Auteur : lucas

Alors que le MWC 2019 approche et, avec lui, la vague des premiers smartphones pliables des cadors du smartphone (Huawei, Samsung, Oppo…), LG se retire temporairement du marché, privilégiant un smartphone 5G. 

"Nous avons considéré lancer un smartphone pliable au moment du lancement d’un modèle 5G mais avons décidé de ne pas en produire" a annoncé le responsable des branches electroniques et mobile de LG Brian Kwon au Korea Times lors d’une conférence de presse à Séoul. Le fabriquant Sud-Coréen a donc décidé de s’écarter du marché du smartphone pliable pour l’instant. 

Une décision motivée par la volonté qu’a LG de "retrouver une place sur le marché", le fabricant affirme être prêt technologiquement pour pallier aux attentes des utilisateurs en smartphone pliable, mais qu’il est trop tôt pour LG pour se lancer sur ce segment. Un des communiquant de la firme a d’ailleurs annoncé au média américain The Verge que LG travaille sur ce types de produit depuis des années, comme pour confirmer la compétence du fabriquant. 

Une compétence que peu de gens remettent en question, notamment après la démonstration en janvier de la TV enroulable du fabricant Sud-Coréen. Le MWC 2019 sera cependant une occasion pour la firme de présenter ses smartphones 5G avec une version du LG ThinQ V50 compatible et le LG G8 ThinQ. 

Une stratégie privilégiant le retour sur le marché du smartphone aura en effet peut être plus de sens plutôt que de présenter des innovations technologiques pour un marché limité ( une demande d’un million d’utilisateurs d’après Brian Kwon).

 

 

Après l’apparition de la boutique d’accessoires la semaine dernière et la gestion de votre offre Netflix sur l’espace abonné, il est désormais plus facile de gérer et résilier l’option de gardiennage proposée par Free en partenariat avec Axa. 

La Freebox Delta est venue avec de nombreux services inclus mais également avec quelques options dont notamment un service de gardiennage et d’intervention d’un agent de sécurité. Cette option est réservée aux abonnés ayant opté pour le pack sécurité. 

Pour rappel, il s’agissait d’une option qui coûtait 2€ par mois et permettait l’intervention, si nécessaire, d’un agent de sécurité en cas d’infraction ou de risque d’infraction ainsi qu’un service de gardiennage de votre domicile durant 24H avec une limitation d’interventions à deux par ans. Univers Freebox avait d’ailleurs rédigé un tutoriel pour activer l’option et la présenter plus en détail que vous pouvez retrouver sur ce lien. 

Lors de la rédaction de ce tuto, il n’était possible de résilier que d’une seule manière : en envoyant un courrier de résiliation. Cependant, Free avait annoncé à UniversFreebox qu’une fonctionnalité sur l’espace abonné devait arriver et c’est chose faite ! 

Il est ainsi possible de désactiver cette option en allant sur votre espace abonné Freebox Delta dans l’onglet "Mon Abonnement" puis en sélectionnant "Option d’intervention d’un agent de sécurité". Il vous sera alors indiqué que l’option est activée et un bouton "Résilier" est désormais présent. Il vous suffira de cliquer dessus puis de confirmer la demande pour annuler cette option. 

Vous aurez ensuite la confirmation de la résiliation. Pour rappel, la résiliation sera effective au prochain mois de facturation et il s’agit d’une option proposée par Free, elle n’est donc pas obligatoire. 

 

L’autorité luttant contre le piratage organise en ce moment même un colloque au sénat sur les moyens de lutte contre le phénomène et a déclaré que SFR pourrait être un allié dans cette lutte. 

SFR est devenu très protecteur du contenu qu’il diffuse et a d’ailleurs mis en place des moyens importants pour le protéger. Notamment depuis que l’opérateur est propriétaire de contenus très prisés comme RMC Sport. Hadopi reconnaît d’ailleurs les efforts de l’opérateur au carré rouge en le citant comme le seul opérateur qui joue le jeu concernant la lutte contre le piratage.

En effet, la plupart des opérateurs fournissant un accès à internet refusent une collaboration avec Hadopi au nom de la liberté de l’internaute juridiquement responsable. Cependant, lorsque interrogé sur la possibilité d’une alliance entre SFR et la Hadopi, le président Denis Rapone a déclaré "Je n’exclus pas, par une forme d’optimisme, que l’on puisse y parvenir.".  

Une collaboration entre opérateur et autorité permettrait de mettre en place plus de solutions pour lutter contre le piratage de contenu. Même si l’autorité ne fait pas l’unanimité, elle cherche toujours de nouveaux moyens de protéger les contenus sur internet. 

Source : Challenges (version papier)

Le service de streaming musical français a décidé de se lancer sur le marché américain et est donc accessible depuis le 14 février Outre-Atlantique. 

Dans un pays où les leaders du marché sont Apple et le suédois Spotify, le service de streaming hi-res vient de débarquer avec détermination. C’est d’ailleurs ce que montre un post twitter qui résume bien l’ambiance de cette arrivée : une détermination à toute épreuve. 

 

🇺🇸 pic.twitter.com/WveRtrGayR

— Qobuz (@qobuz) 14 février 2019

 L’entreprise française aura pourtant fort à faire pour s’implanter sur le marché américain face à des concurrents très installés. Ca ne fait pas peur à Qobuz qui annonce que "personne en fait de haute-résolution de cette manière" aux Etats-Unis. Si le français n’est pas le seul à proposer de la hi-res (même son compatriote Deezer possède une offre de ce genre), Qobuz a bien l’intention d’être le premier à réussir à implanter ce type de service sur le territoire américain. 

La stratégie du Frenchie est bien ficelée : "Nous visons d’abord les audiophiles qui veulent une option de haute résolution en streaming musical, encore plus après avoir vu leurs amis européens en profiter. Puis nous viserons les amateurs de musique qui n’ont pas encore éxperimenté ce genre de qualité."

Les offres proposées sur le territoire américain sont les mêmes qu’en France avec l’offre Sublime à 299$/an, l’offre Studio à 24.99$/mois et les deux offres Hi-Fi et Premium pour respectivement 19.99$ et 9.99$ par mois. 

Qobuz compte ainsi sur une augmentation de l’intérêt pour l’option de la Hi-Res sur le marché américain et, comme il l’a fait en France, cible surtout un public d’audiophile du moins pour ses débuts. 

Source : Rollingstones

YouGov a publié son classement "Best Brands" répertoriant les marques qui ont fait le plus parler d’elle (en bien) en France en 2018 par secteur et le résultat est sans appel : Orange est loin devant, suivi par Sosh et Free dans le domaine des télécoms. 

La présence sur le net est d’une importance capitale pour les grosses entreprises et est au coeur de leurs stratégie de communication. La société d’étude Yougov vient de publier son classement des sociétés qui ont fait le plus de buzz en France au cours de l’année dernière.

Si le terme "buzz" est assez générique, Yougov a défini un protocole permettant d’évaluer un score de buzz. En utilisant leur outil Brandindex qui permet d’évaluer 960 marques via un panel de 225000 répondants, une méthodologie très précise à été appliquée. Le score d’une marque indiquera donc la qualité de son "buzz", soit positif soit négatif et permettra de déterminer de qui parle-t-on en mieux sur le net en comparant les différents scores. 

Le classement était réalisé par secteurs d’activité et dans celle qui était réservée aux télécoms, Orange décroche la première place haut la main avec un score de 14.5. La deuxième place revient à Sosh qui décroche un score de 11.7 suivi de très près par Free avec son score de 11.5. Bouygues quant à lui est quatrième et SFR est absent du Top 5 puisque la cinquième place revient à Android. 

Méthodologie : 

Cible : adultes de plus de 18 ans

Période : du 01.01.2018 au 31.12.2018

Buzz :"au cours des deux dernières semaines, pour quelles marques de l’univers [X] avez-vous vu, lu ou entendu quelque chose de positif/négatif (que ce soit dans l’actualité, via une publicité, sur Internet ou en discutant avec votre entourage) ? Le score est exprimé en % de Buzz positif – % de Buzz négatif. Par exemple 60% de positif – 20% de négatif = +40. Le Buzz est donc un score pouvant varier de -100 à +100."

Source : Yougov

Malgré la mobilisation et les menaces de Google, la Commission Européenne a fixé le mercredi 13 février 2019 les articles 11 et 13 de sa nouvelle Directive des droits d’auteur. 

C’est une affaire qui remonte déjà à l’année dernière : l’Europe souhaite renforcer la sécurité des droits d’auteurs sur internet. Ces mesures ont d’ailleurs donné lieu à des réactions fortes de la part du plus concerné de tous les GAFA par ces mesures : Google. 

Google face à l’Europe

En effet, Google avait protesté contre l’article 11 qui concernait l’utilisation de liens hypertextes et l’article 13 qui lui concerne les droits d’auteurs sur les plate-formes d’hébergement vidéos (dont la plus importante, YouTube, appartient à Google). Pour l’article 11, la protestation avait eu la forme d’une menace de fermer Google Actualités (service qui pourrais être très affecté par cette directive) et pour YouTube, une mobilisation énorme avait été lancée par la firme de Mountain View avec notamment le hashtag #saveyourinternet, devenu une vraie opération de lobbying. 

Des protestations qui ont pourtant eu assez peu d’impact sur les articles qui étaient encore en rédaction durant ces épisodes de protestation. Désormais, la version finale de ces deux articles est rédigée et il n’y’a pas de changements réellement notable. 

L’Europe reste intransigeante

C’est Julia Reda, une députée européenne britannique qui a publié le texte validé concernant ces deux articles sur son site internet. La députée milite contre cette directive et présente également un résumé sur son site du contenu de ces articles 11 et 13.

Pour ce qui concerne l’article 11 qui concernait notamment les droits d’auteur de liens hypertextes et l’utilisation d’articles de presse, la nouvelle version est très semblable à la précédente. Elle ne concernera plus uniquement les agrégateurs de contenu d’actualité et les moteurs de recherche, mais également les sites, lucratifs ou non, utilisant plus que "de très courts extraits" de presse. *

Pour les plates-formes de vidéos comme YouTube, le contrôle de contenu soumis aux droits d’auteur ne s’effectuera plus une fois la publication effectuée, mais directement dès l’upload de la vidéo sur la plate-forme. Ainsi, les vidéos ne respectant pas les droits d’auteurs ne pourront tout simplement pas être publiées sur la plate-forme. L’article 13 ne concernera cependant que les sites et les plate-formes à but lucratif… Dont YouTube fait partie. 

Le vote, le dernier espoir de Google 

Cependant, si le texte est fixé et ne sera plus modifié, il n’a pas encore été voté. Les discussions au parlement Européen seront lancées le 18 Février 2019 en vue d’un vote en mars ou en avril. Google, s’il ne veut pas devoir revoir totalement son fonctionnement sur le territoire européen, doit compter sur un refus de cette directive, mais pas seulement. Il est également possible qu’une certaine souplesse soit appliquée selon les états membres de l’Union Européenne. En effet , la transposition de ces directives dans le droit des Etats peut rendre plus flexible leur application. 

Les fêtes, on le sait, c’est l’occasion pour les community manager de sortir leurs plus beaux jeux de mots. La Saint-Valentin ne fait pas exception à la règle. 

La fête des amoureux, c’est l’occasion de se retrouver avec sa compagne ou son compagnon pour partager un moment romantique ou simplement être ensemble. Free, en bon célibataire prend la journée comme elle est et annonce nonchalamment être libre pour la Saint-Valentin. 

 

Et vous, vous faites quoi pour la #SaintValentin ? pic.twitter.com/7GsCx6YRx7

— Free (@free) 14 février 2019

Dans certains département, Orange est le premier rempart contre l’isolation rurale et la fracture numérique. C’est notamment le cas dans le Tarn, où l’opérateur a annoncé qu’il n’avait pas l’intention d’abandonner les territoires ruraux. 

Le contexte du Tarn est un bon exemple du travail qu’il reste à faire sur les territoires ruraux pour une couverture optimale et le bon fonctionnement des infrastructures réseaux. Treize mille kilomètres de réseau cuivré pour 147000 poteaux s’y trouvent pour desservir 216 000 lignes. C’est d’ailleurs le délégué Orange en charge de la région Midi-Pyrénées (où se trouve le Tarn) qui a déclaré «On n’abandonne pas les territoires ruraux et nous continuons à ne pas délaisser le réseau cuivre»

Un réseau ancien qui a déjà nécessité 88 000 interventions en 2018 pour Orange. «Les années passent mais la somme consacrée pour entretenir les lignes du téléphone fixe reste la même. Un réseau qui a profondément changé avec le temps. Ce n’est plus comme en 1970 où la ligne ne servait qu’à téléphoner. Aujourd’hui, elle doit supporter des données, des images, faire que la télévision tourne tout en permettant aux jeunes de jouer en ligne. Nous devons donc mettre le réseau à jour, l’entretenir pour assurer la qualité.» a annoncé le délégué régional d’Orange Jean-Christophe Arguillière. 

Un enjeu de taille donc et pour cela, Orange a déjà ouvert un nouveau central téléphonique dans le Tarn, a un projet de NRA, veut "opticaliser" sept relais dans le but non pas d’amener le très haut débit mais au moins de permettre "aux utilisateurs d’augmenter leur débit. De 2 mégas maximum, ils pourront atteindre jusqu’à 30 mégas.". L’installation de NRA-med qui visent  sont également prévus, avec l’aide du département qui en finance 19 afin d’amplifier les débits et d’éviter aux communes de dépendre de leurs voisins pour bénéficier du débit.

La mise à jour du réseau cuivré reste donc une préoccupation importante pour Orange et l’opérateur historique continue d’améliorer le réseau dans les zones rurales tout en déployant le très haut débit dans les villes. 

Source : La Dépêche

 

 

 Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs … 

 

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7 Février 1987 : Création de la Société Française de Radiophonie (SFR)  

La Compagnie générale des eaux crée en 1987 son opérateur de téléphone nommé SFR faisant partie de SFR Cegetel. C’est le premier opérateur alternatif à  l’opérateur historique France Télécom et il s’avérera être un pionnier notamment dans la téléphonie mobile pour SFR et dans la téléphonie fixe avec Cegetel avant de devenir SFR group et d’être racheté par Altice. 

L’opérateur au carré rouge était né

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12 Février 2004 : Une troisième Freebox voit le jour 

C’est la deuxième génération des Freebox qui voit le jour avec la Freebox V3 qui apporte un tout nouveau design à la Freebox. Plus compacte, dotée d’un affichage LED que n’avaient pas les versions précédentes, la Freebox V3 fait aussi table rases de connectiques inutilisées comme les connecteurs RCA et le second connecteur téléphonique. 

V1, V3, V6, des designs toujours renouvelés pour Free (sans mentionner la récente Delta…). 

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9 Février 2012 : France Télécom propose ses premières offres mixtes au nom d’Orange

Les offres mixtes France Télécom commencent à disparaître puisque c’est en février 2012 que les premières offres mixtes (fixe et mobile) Orange sont présentées par l’opérateur. Le choix était laissé aux utilisateurs vis à vis de la durée des appels : deux heures (19,90€/mois), quatre heures (25,90€) ou illimité (39,90€). 

La transition est bien enclenchée  ! 

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7 Février 2013 : La troisième Livebox arrive sur le marché

La Livebox Play est lancée en 2013. Elle est compatible ADSL2, VDSL2 et FTTH et propose un design noir sobre avec écran OLED. Si la première version de la livebox s’est vue être déclinée en 3 versions différentes, celle ci restera la même jusqu’à l’arrivée de la 4ème génération en 2016.

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13 Février 2015 : La Nintendo 3DS arrive en Europe

La 3D dans sa poche, c’était la promesse de Nintendo avec cette nouvelle console portable qui est arrivé une veille de Saint Valentin en Europe et aux Etats Unis. La technologie de 3D sans lunettes avait fait le buzz à l’époque de sa sortie, mais il s’avère que la technologie n’était pas complètement adaptée et causait plus de migraines qu’un réel niveau d’immersion supplémentaire. 

 

 Avec l’ouverture de la boutique en ligne jeudi dernier, c’est l’occasion pour les abonnés Freebox Delta de prendre leur pack sécurité ou de l’étoffer avec du nouveau matériel. Nous avons testé pour vous la connexion de deux caméras en simultané.

Pour les abonnés Freebox Delta, il est désormais possible de commander des objets Free dédiés à leur Freebox directement depuis leur espace abonné. Il est donc possible de commander des éléments du pack sécurité séparés si vous êtes déjà équipés du pack. Petite note tout de même, il n’est possible de commander que deux exemplaires par commandes pour chacun des objets contenus dans le pack. 

Ici nous avons donc commandé une deuxième caméra wi-fi pour 39,99€ afin de tester la possibilité offerte par la Freebox de gérer plusieurs caméras connectée sur la même box. La commande a d’ailleurs été reçue en 3 jours ouvrés. 

Un appairage nécessaire

Nous avons déjà effectué un tutoriel pour installer votre caméra et tous les éléments de votre pack sécurité que vous pouvez trouver ici. Cependant, de petites précisions doivent y être ajoutés. 

L’ajout d’une caméra se fait via l’application Freebox en cliquant sur l’ajout d’une nouvelle caméra et en suivant la procédure indiquée sur l’application. Cependant, il est possible qu’au moment de la lecture du QR Code que la caméra ne s’appaire pas à votre Freebox. Si c’est le cas, il existe un petit bouton de réinitialisation de la caméra sur lequel vous devrez appuyer avant de ré-essayer la manœuvre. Il est possible que vous ayez à recommencer cette manipulation plusieurs fois. 

Il vous suffit de maintenir appuyé ce bouton jusqu’à ce que la LED clignote rouge pour réinitialiser la caméra

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Naviguer entre les caméras depuis votre smartphone 

Une fois l’appairage réalisé et le QR Code effectué, la différence est très subtile pour ce qui est de l’interface sur l’application Freebox qui est disponible sur Android et iOs. 

Un simple petit bouton (encadré en rouge ici) pour passer d’une caméra à l’autre

La navigation se fait facilement, bien qu’il faille un petit peu de temps pour l’application pour récupérer le flux de l’autre caméra (jamais plus de cinq secondes). Pour rappel, il suffit de cliquer sur le flux vidéo pour l’avoir en direct. 

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Voir les deux caméras sur votre Freebox Delta

Vous pouvez également accéder à vos deux caméras directement sur votre poste de télévision depuis le player de la Freebox Delta. Il vous faut pour cela vous rendre directement dans l’univers Multimédia de votre Freebox Delta puis sélectionner "Mes caméras".

Une fois cela fait, vous aurez ainsi une présentation des deux caméras avec une certaine latence bien sûr. Suivant l’ordre dans lequel vous les avez appairées, les caméras s’afficheront avec le nom donné lors de l’enregistrement directement sur votre interface. 

Il vous sera donc proposé de mettre la caméra en plein écran en cliquant sur "Ok" mais également de la mettre en pip via l’icône qui se trouve à côté du nom de la caméra. A noter que si vous choisissez de mettre l’une des caméras en pip pour avoir toujours un oeil sur une pièce pendant que vous regardez la télévision, il vous faudra retourner sur cette même page pour afficher en pip l’autre pièce que vous souhaitez surveiller. 

Il est même possible, si l’envie vous prend, de surveiller les deux pièces en même temps comme montré ci-dessous.

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Présentation du mode nuit

Comme toute bonne caméra de surveillance, la caméra du pack sécurité est dotée d’une vision nocturne. L’activation de ce mode est automatique dès que la luminosité dans la pièce devient trop basse pour que la caméra puisse voir clairement ce qu’il s’y passe. A noter d’ailleurs que le degré de luminosité doit être très bas pour que la caméra passe en noir et blanc. Par exemple, au vu de la luminosité naturelle de notre espace de rédaction, nous avons dû poster la caméra derrière un bureau et couper toutes lumières pour activer cette vision. 

Jour (en haut) contre nuit (en bas), les couleurs s’en vont mais les détails restent

Comme vous pouvez le voir, tous les détails (ou presque) sont conservés et avec le passage quasi-instantané à la vision nocturne, vous ne manquerez rien de ce qui se passe dans vos pièces, même dans l’obscurité.