Auteur : lucas

Free, peu de temps après Bouygues Telecom, Free a décidé de soulager les sinistrés de la rue d’Aubagne à Marseille en les acquittant des frais liés à la clôture de leur abonnement. 

Nous vous en avions parlé il y’a peu, les sinistrés du 5 novembre 2018 à Marseille après la démolition de leur immeuble s’étaient retrouvés dans le désarroi face à la problématique de la clôture de leur ligne internet. En effet, face à la destruction des box lors du sinistre, les compagnies d’assurances et la mairie se renvoyaient la responsabilité de la couverture des frais concernant le matériel loué par les opérateurs. Face à ces problèmes, le sénateur Bruno Gilles , membre des Républicains et candidat à la mairie de Marseille en 2020, avait envoyé un courrier pour solliciter la bienveillance des opérateurs Free et Bouygues Telecom et pour exempter les sinistrés des frais qu’ils auraient pu avoir à payer. 

➡️ Suite à l’article paru ce jour dans @LaProvence concernant les sinistrés du 69 rue d’Aubagne, j’ai immédiatement saisi @Xavier75 et @MartinBouygues !@AFPMarseille @MadeMarseille @leJDD @lamarsweb pic.twitter.com/rZc5uY2Auz

— Bruno Gilles (@brunogilles13) 3 février 2019

Les opérateurs ont alors répondu à ce courrier, le premier en la personne de Martin Bouygues lui-même qui s’excusait des inquiétudes causées pour ces sinistrés, dû au fait de la difficulté de traiter leur situation très particulière et affirmant avoir transmis des directives au PDG de Bouygues Telecom pour aller dans le sens de la demande du sénateur. Le député a ainsi publié le mail reçu sur son compte twitter. 

A peine une semaine après ce premier message, c’est Angélique Gérard, directrice de la relation abonné chez Free, qui a répondu dans un courrier à la demande du sénateur. Le courrier montre une bonne connaissance du dossier, puisqu’il y est fait état du nombre d’abonnés concernés par le drame. 

"J’ai le grand plaisir de vous confirmer que les cinq abonnés Freebox résidant au 69 rue Aubagne (ainsi que les deux autres résidant au 63 et 65 rue Aubagne) ont bénéficié d’un acquittement total de tous les frais liés à la clôture de leur abonnement. Les abonnés n’ayant pas encore été facturés ne le seront pas et les abonnés qui ont, malheureusement, été facturés seront remboursés."

 Le courrier a lui été posté sur le compte twitter du sénateur et dans celui-ci, Free a exprimé sa volonté de "ne pas pénaliser nos clients dans cette situation par ailleurs déjà difficile". Un geste apprécié par le sénateur qui remercie de la réponse positive des deux opérateurs. 

 Après de nombreuses fuites, la nouvelle gamme de Samsung a enfin été présentée le 20 février et comptera 4 smartphones, dont trois sont déjà disponibles en pré-commande. 

C’estt lors d’un événement à San Francisco que le fabricant sud-coréen a pu dévoiler ses nouveaux smartphones, dont la gamme Galaxy S10. Une véritable famille de smartphone qui arrive sur le marché, à la manière de Huawei ou Apple,et propose différentes versions dont les prix oscilleront entre 759€ et 1609€ pour le modèle le plus haut de gamme. 

Une gamme innovante même dans son design

Les Galaxy S10 arborent tous un nouveau format d’écran, avec un appareil photo sur le côté gauche de l’écran mais sans encoche. L’écran est également nouveau, puisqu’il s’agit d’écrans dynamic AMOLED, succédant au Super AMOLED, avec du HDR10+. Pour le marché européen, la nouvelle gamme arrivera avec le chipset Exynos 9820 et tournera sous Android 9.0 Pie avec l’interface One UI. Les trois modèles bénéficieront pour leur appareil photo d’une assistance poussée par l’intelligence artificielle et profiteront tous les trois également de la technologie Wireless Power Charge (qui permet de recharger d’autres smartphones avec un des Samsung Galaxy S10) ainsi que d’une charge rapide sans fil. 

Galaxy S10e, la version "abordable" du très haut de gamme

Le premier fabricant de smartphone mondial a décidé de lancer une nouvelle itération de son flagship avec le Galaxy S10e. Si auparavant, on trouvait la version originale puis la version "+", c’est dorénavant une version plus abordable qui arrive sur le marché avec des capacités allégées.

Si le modèle possède bien l’écran Dynamic AMOLED en 5.8", sa résolution est quant à elle limitée à 1080p+. Il sera doté d’une batterie de 3100 mAh, d’un lecteur d’empreinte sur la tranche mais aussi d’un support pour le Dolby Atmos. Côté appareil photo le S10e embarque un capteur avant de 10 MP qui pourra filmer en 4K et à l’arrière, on y trouve deux capteurs, un de 16 Mp et l’autre de 12 Mp.

Cette version possède 6Go de Ram et 128 Go de stockage (extensible jusqu’à 512Go en micro-SD) et sera commercialisé au prix de 759€. 

Galaxy S10 et S10+, le haut du panier

Arrive la partie à laquelle on est habitué maintenant : les flagships. Les deux modèles embarquent un nouveau lecteur d’empreintes digitales ultrasonique scannant votre doigt en 3D plutôt qu’en 2D pour les lecteurs d’empreintes classiques.

A gauche, le S10 et à droite sa version S10+

Les S10 et S10+ proposeront respectivement des écrans de 6.1 et 6.4 pouces, tous deux en résolution 1440p . Côté performance et stockage, le S10 propose déjà 8Go de RAM pour entre 128 Go et 512Go de stockage selon la version et le S10+ propose encore plus fort avec les mêmes capacités, mais aussi une édition "Performance" qui pousse jusqu’à 12 Go de RAM et 1To de stockage, tous sont extensible jusqu’à 512 Go en micro-SD. 

Les appareils photos ne sont pas en restes puisque les flagships embarqueront trois capteurs photos à l’arrière, deux capteurs 12 Mp et un capteur de 16 Mp. Cependant, c’est à l’avant que la différence se joue puisque si le S10 propose un capteur 10 Mp qui filme en 4K, identique au S10e, la version supérieure propose un second capteur pour les selfies 8Mp. 

Ces smartphones sont déjà disponibles en pré-commande, le S10 coûtera 909€ pour sa version 128Go de stockage et 1159€ pour la version à 512 Go. Pour ses trois versions (128 Go, 512 Go de stockage et "Performance" ), le Galaxy S10 + proposera son flagship pour respectivement 1009€, 1259€ et 1609€. 

Tous ces modèles sont déjà disponibles en pré-commande, mais également en location chez Free mobile. 

 Source : GSM Arena

C’est définitivement une période de remise en question pour LG. Après avoir laissé de côté ses envies de smartphones pliables, sa branche française vient d’annoncer fermer sa division mobile pour un temps. 

Des moyens humains redirigés sur d’autres secteurs

C’est au cours d’une interview donnée à Frandroid que le directeur Marketing de la branche française de LG. En effet, le fabricant Sud-Coréen a décidé de "concentrer ses moyens d’investissements humains et marketing sur l’image et son, l’électroménager et le BtoB" sur le territoire français. Si les téléphones seront bien toujours disponibles sur le marché et que les partenariats avec les distributeurs seront bien honorés, LG France ne souhaite pas investir plus de moyens dans les mobiles… Pour l’instant. 

Plus une pause qu’un arrêt définitif

Il s’agit en effet, d’après Jérôme Pinton, responsable marketing de LG France, d’une restructuration de la division mobile en attendant l’arrivée de la 5G. Le représentant de la firme l’assure : « ça ne veut pas dire qu’il n’aura plus d’équipe dédiée aux smartphones à l’avenir. On souhaite prendre du recul sur la division mobile et revenir avec un plan d’investissement plus adapté à l’horizon de l’arrivée de la 5G ». Ce recul, c’est aussi un moyen pour LG France de rebondir, puisque le fabricant ne possédait que 3% des parts de marché en France en 2018. Il n’a cependant pas annoncé de date de retour de la section mobile, préférant rester sur la date de commercialisation de la 5G en France en 2020. 

Il semble donc que la remise en question de LG ne touche pas que ses fabrications en matière de smartphones, mais aussi ses stratégies de marketing et son approche du marché. La prochaine actualité LG sera la présentation au MWC de ses smartphones V50 ThinQ et LG G8 ThinQ, mais au vu des décisions prises récemment, difficile de prédire l’avenir du fabricant. 

Source : Frandroid

Le saviez vous ? Free a lancé un chat automatisé sur sa page facebook pour faciliter l’aide aux abonnés. 

Free a confié à Univers Freebox avoir lancé un chatbot (un chat automatisé) pour faciliter la prise en charge des abonnés. Vous pouvez ainsi trouver cet outil sur la page Facebook de Free qui pourra vous guider vers une réponse adaptée à votre problème.

Le principe d’un chatbot est simple: en cliquant sur démarrer lors de l’ouverture de la fenêtre de discussion, le robot va vous poser diverses questions à choix multiples pour cerner votre problème. Puis, souvent après avoir proposé une première solution, votre demande sera envoyée à un Free Helper qui disposera ainsi de toutes les informations pour vous aider au mieux et plus rapidement. 

Nous avons testé le chatbot sur différents aspects qui pourraient être utiles aux abonnés et nous allons dorénavant vous présenter une conversation typique avec ce robot. Si nous avons effectué le test sur ordinateur, le chatbot fonctionne également sur la version mobile de messenger (tant sur Android que sur iOs). 

Comment le chatbot fonctionne

En vous rendant sur la page facebook de Free, il vous suffit de cliquer sur "envoyer un message" pour avoir accès à l’outil. Une fois cela fait, vous aurez ainsi le message présentant le temps de réponse habituel des Free Helper, mais cette fois, vous trouverez à la place de la barre de saisie de texte, le bouton "Démarrer" sur lequel vous devrez cliquer. 

Une fois cela fait, le bot vous saluera en utilisant votre nom sur Facebook, puis vous demandera quel service est concerné par votre problème. Vous trouverez ainsi deux boutons sur lesquels cliquer : "Freebox" ou "Free Mobile" . 

Vous devrez ensuite renseigner votre numéro de ligne Freebox ou Free Mobile. 

Une fois cela fait, le chatbot vous proposera également une sélection de catégories de problèmes afin de préciser la demande qui sera traitée. Pour les problèmes liés à la Freebox vous y trouverez un bouton "dysfonctionnement", "facturation", "résiliation" ou même le suivi d’un ticket ainsi que le bouton "Accueil" qui vous permettra de revenir directement à la première question posée par le bot.

Pour les abonnés Free Mobile, les mêmes onglets sont présents, mais d’autres apparaissent avec notamment le choix "Commande de mobile" qui vous redirigera vers la page du site de Free dédiée.

Nous avons testé chacun des onglets pour voir jusqu’où le robot accompagnait les abonnés. Pour les onglets plus administratifs, comme la résiliation, le bot vous demandera tout de suite de formuler votre question précise pour ensuite la transmettre à un Free Helper qui vous informera directement et avec qui vous pourrez échanger plus précisément. 

A noter que pour les dysfonctionnements, des questions intermédiaires vous seront posées pour pouvoir éventuelle régler vos problèmes immédiatement. 

Si, après avoir suivi les différents conseils ou démarches proposés, votre problème n’est toujours pas résolu, votre situation sera transmise à un Free Helper qui pourra vous aider plus précisément. 

Le chatbot propose également un accès aux FAQ Mobile et Box afin de voir si votre problème est fréquent et a déjà été résolu. Elles sont directement accessibles dans le menu de discussion à gauche de votre fenêtre de saisie. 

Pour certains onglets vous pourrez également être redirigé vers votre espace abonné directement sur la page dédiée à votre question. 

Conclusion

 Ce chatbot permettra aux abonnés d’obtenir plus d’informations sans avoir à contacter le 3244 certes, mais il améliorera surtout le service concernant les Free Helper qui sont encore beaucoup sollicités par le bot. Cependant, l’outil reste pratique pour poser une question très précise et obtenir une réponse plus adaptée sur la discussion Facebook qui peut être gérée depuis votre portable et sans contrainte de réponse immédiate contrairement au 3244. Cependant, le délai de réponse des Free Helper varie selon le problème et en cas d’urgence, il vaudra mieux privilégier le 3244. Pour un problème plus fréquent ou moins gênant, le chatbot aura son utilité puisque vous pourrez suivre la discussion à votre rythme une fois mis en relation avec le Free Helper. 

La société française de réseau minimal a annoncé lorgner vers de nouveaux horizons et proclame un objectif très ambitieux : connecter un milliard d’objets. 

Sigfox a reçu récemment un éclairage médiatique important en équipant la Freebox Delta de son réseau minimal pour sa fonction de centrale de sécurité. Un coup marketing qui pousse l’entreprise à voir encore plus grand.

L’entreprise annonce un chiffre d’affaire de 60 millions d’euros dont 80% vient de la vente d’équipements et 20% des services fournis. Les français visent à équilibrer ces pourcentages en répartissant à parts égales ces revenus. Si l’entreprise n’a pas encore pu être rentable avec 160 000€ de pertes, l’ambition reste intacte puisque Franck Siegel, directeur des opérations de Sigfox, annonce "travailler à une levée de fond" en vue d’une expansion à l’international. 

Sigfox est déjà présent sur près d’une soixantaine de pays, surtout à travers des partenariats avec des entreprises, mais pour s’étendre encore plus, c’est vers l’Est que le regard de l’entreprise se tourne. En effet, l’Inde, la Chine et la Russie  présentent un énorme potentiel de développement pour la firme. Un potentiel qui, une fois exploité, pourrait permettre à Sigfox de réaliser son objectif : un milliard d’objets connectés au réseau d’ici 2023 contre 6.2 millions en 2018. 

Si le réseau minimal proposé par Sigfox est utilisé en majorité par Sécuritas, la firme française a annoncé avoir déjà signé plusieurs contrats qui permettraient de connecter un million d’objets supplémentaires. 

Avec la démocratisation des objets connectés, Sigfox a bel et bien une place à se faire et si son objectif de 2023 paraît bien ambitieux, sur ce marché jeune, la firme pourrait bien surprendre son monde. 

Source : Le Figaro (version papier)

Amazon Prime Video vient d’investir 46 millions de dollars au Sundance Festival pour acquérir les droits de plusieurs films primés au festival. Une démarche impressionnante de par le budget requis qui dénote une volonté pour le service de SVOD d’acquérir des films de "qualité". 

Le festival du film Sundance, festival de cinéma indépendant très connu et le plus important des Etats Unis a été l’occasion d’une démonstration de force pour Amazon. En effet, la plate-forme a décidé de frapper fort en achetant les droits de plusieurs films reconnus comme "Late Night", un film sur un talk show féminin, ou encore un film sombre sur l’après 11 septembre "The Report". Le tout avec des budgets bien supérieurs à ce que les films de Sundance sont habitués. 

Netflix a une énorme avance, que ça soit en nombre d’abonnés ou en quantité de programmes. Amazon le sait et semble s’orienter vers une concurrence moins directe. Plutôt que de concurrencer la plate-forme reine du marché en investissant dans des dizaines de programmes, la plate-forme semble avoir choisi de se tourner vers les programmes plébiscités par le public. Depuis l’arrivée de Jennifer Salke (une ancienne de NBC), la plate-forme semble vouloir s’accaparer les meilleurs films (comme Manchester by the sea en 2017, ou encore les droits du Seigneur des anneaux pour lesquels Amazon à dépensé 250 millions de dollars). 

Amazon pourrait donc devenir une plate-forme qui diffusera beaucoup de films indépendants qui, habituellement, ne trouveraient que peu leur public en salle de cinéma. L’entreprise de Jeff Bezos a le budget pour cela et ne semble pas regarder à la dépense et ce positionnement pourrait bien en faire une alternative possible à Netflix mais aussi aux futurs services se profilant comme Disney + qui possèdent beaucoup de contenus de type blockbusters, de très gros succès en salle (Marvel, Star Wars…). 

De plus, l’abonnement à sa plate-forme est assez "safe" pour Amazon puisqu’il ne concerne pas que l’accès à la SVOD mais aussi son service de livraison. Un abonnement centralisé qui permet donc aux gens commandant souvent sur Amazon de profiter de la SVOD et inversement. 

Avec un positionnement assez particulier sur un marché de la vidéo à la demande que l’on peine encore à cerner pleinement et un budget très conséquent, Amazon semble avoir les moyens de devenir un service prisé par un public de plus en plus conséquent. 

Source : Forbes 

Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs … 

18 Février 1999 : Un nouvel opérateur est né

Happy birthday to Free ! C’est la date clé de cette semaine, une filiale d’Iliad est lancée en milieu de février 1999 sans que l’on se doute de l’impact qu’elle va avoir sur le monde des télécoms. Mais c’est quelques mois après que Free a déjà surpris son monde en lançant le premier accès à internet gratuit puis c’était l’escalade des révolutions avec le triple play, son arrivée sur le marché mobile en 2012…

13 Février 2012 : France Télécom initie son changement de nom

Quelques jours auparavant, les premières offres mixtes au nom d’Orange étaient lancés et c’est à partir du 13 février que France Télécom présente son projet d’être renommé Orange aux syndicats. C’est le début de la fin pour le nom France Télécom qui sera acté quelques mois plus tard. 

20 Février 1986 : La Cinq arrive sur les écrans français

 C’est l’arrivée de la 2ème chaîne privée après Canal + en France : la 5 est lancée il y’a 33 ans. C’est la première chaîne privée en France financée uniquement par la publicité et elle restera à l’antenne pendant 6 ans avant d’être remplacée par Arte.

14 Février 2005 : YouTube est créé

 Un an et dix jours après Facebook, c’est une nouvelle plate-forme qui changera internet qui fête son anniversaire. Issu d’une volonté de pouvoir partager ses vidéos simplement et gratuitement sur le web, YouTube est né à la Saint-Valentin 2005. La plate-forme a bien évoluée depuis, notamment après son rachat par Google, mais à l’époque c’était une plate-forme sans prétention permettant tant aux créatifs qu’aux familles de partager des instants vidéos à grande échelle.  La première vidéo postée sur YouTube en est le parfait exemple : il s’agit simplement de l’un des fondateurs de YouTube décrivant des éléphants dans un Zoo. 

Face au projet d’installer une antenne Free sur le toit de leur immeuble, des habitants d’une résidence SHLMR à la Réunion s’assemblent et menacent de camper devant la résidence pour empêcher l’installation.