Auteur : lucas

Starlink réduit de moitié le prix de son offre internet par satellite

Après avoir fait grimper le prix de son kit de connexion, la filiale de Space X réduit drastiquement le coût de son abonnement.

Un abonnement tout de même moins onéreux. Depuis hier, le tarif d’abonnement pour la solution d’internet par satellite en France de Starlink est passé de 99€/mois à 50€ mensuels, avec des frais de livraisons gratuits, contre 59€ auparavant.

Une nouvelle qu’il convient de contrebalancer par la hausse, en mars dernier, de son kit d’installation soit l’antenne, le routeur etc, passé de 499€/mois au début de l’année à 634€ dorénavant. Cependant, sur le long terme, l’offre devient tout de même plus avantageuse, le prix proche de la centaine d’euros ayant surpris beaucoup de consommateurs lors du lancement de cette solution. Cette baisse de prix concerne également les abonnés actuels.

Dans un mail envoyé aux clients, Starlink précise cependant qu’une nouvelle politique sera mise en place dès octobre prochain concernant les débits et la consommation data. En effet, si la data illimitée reste d’actualité, la firme priorisera ceux consommant moins de 250 Go par mois et au delà, la connexion pourra être moins rapide. « Les utilisateurs peuvent également choisir d’acheter des données supplémentaires pour récupérer la priorité à 10 €/100 Go. La priorisation est basée uniquement sur l’utilisation des données, sans tenir compte du fournisseur de contenu. », explique la filiale de Space X.

Source : Numerama

 

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Les opérateurs déploiement doucement la 4G, Free Mobile reprend du poil de la bête

L’ANFR dévoile les chiffres de déploiement des réseaux mobiles 4G/3G durant le mois de juillet. Les opérateurs ont globalement levé le pied, même si Free s’est réveillé après un mois de juin en demi-teinte.

Comment se déroule le déploiement de la 4G en France ? Au 1er août, d’après l’ANFR, un total de 61 131 sites sont autorisés en France par l’ANFR, sont 53 104 en service en métropole. “Les autorisations de sites 4G ont poursuivi leur progression sur le mois de juillet : elles se sont accrues de 0,8%. Les mises en service de sites 4G ont, quant à elles, augmenté de 0,4 %. ” développe l’institution.

Après une performance assez faible durant le mois de juin, Free Mobile s’est un peu plus calé sur le rythme des concurrents, avec 115 nouveaux sites activés, soit davantage que Bouygues Telecom et ses 96 sites. Le premier en terme de rythme de déploiement reste Orange, qui a cependant déployé moins de sites qu’en juin, avec 166 nouvelles installations actives. SFR pour sa part est deuxième avec 135 nouveaux sites.

Le bilan des sites 4G mis en service en métropole s’établit comme suit :

  • Orange (28 403 sites, + 166 en juillet 2022) ;
  • SFR (23 631 sites, + 135 sur la même période) ;
  • Bouygues Telecom (23 413 sites, + 96 sur la même période) ;
  • Free Mobile (22 262 sites, + 115 sur la même période).

Un mois assez calme mais Free Mobile ne se repose pas sur ses lauriers

Le nombre de nouveaux sites déployés par les opérateurs n’a rien de particulièrement extravagant durant le mois de juillet. La majorité des activations a été réalisée sur la bande 700 MHz, avec 131 sites activés durant le mois de juillet. On peut également noter une très forte augmentation des autorisations dans la bande 2100 MHz, mais Free n’en active qu’assez peu pour le moment.

Pour rappel, Free utilise ses fréquences fétiches, les 700MHz, pour la 4G mais également pour déployer son réseau 5G. Ce déploiement massif de Free permet donc de proposer une couverture nationale plus rapidement que ses concurrents. Le débit sera par contre à peine plus élevé que pour la 4G

Il est à noter que certains des sites autorisés dans les différentes bandes de fréquences sont mutualisés. Ceci explique pourquoi la somme des sites autorisés par bande de fréquences n’est pas égale à la totalité des sites autorisés.

Le rythme est maintenu pour le déploiement de la 3G chez Free

Si elle est moins intéressante par ses usages, il ne faut cependant pas oublier la troisième génération de téléphonie mobile, qui reste bien utile lorsque la 4G ou la 5G sont absentes. Free a ainsi activé 96 nouveaux sites 3G en métropole, pour un total de 22 542 installations actives.

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Plus de 3200 applications laissent fuiter votre compte Twitter (entre autres)

De nombreux applis possèdent une vulnérabilité permettant à des pirates d’utiliser votre compte Twitter, GitHub ou d’autres services.

Parfois, même un excellent mot de passe ne suffira pas . L’un des danger parfois oublié lors de la protection des utilisateurs vient simplement des applications connectées à vos comptes de réseaux sociaux. D’après les chercheurs de CloudSEK, 3207 applications mobiles laissent fuiter l’intégralité ou une partie des clés API Twitter, qui permettent de prendre le contrôle de votre compte.

Une technique très utilisée selon les experts, notamment ceux tentant de lancer des attaques majeurs ou encore des campagnes de fake news voire même des malwares. De nombreuses applications permettent également d’accéder à d’autres clés API ou des toekns d’accès, parmi lesquels GitHub, AWS, HubSpot et Razorpay. Les chercheurs indiquent qu’il est important de vérifier la liste des applications connectées à votre compte Twitter (ou autre), simplement en se rendant dans les réglages, dans l’onglet sécurité. Allez ensuite dans la section dédiée aux applications, dans la rubrique “Applications connectées”. Il ne vous reste plus qu’à supprimer toute application qui ne convient pas.

Source : Presse-Citron

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Levée de boucliers contre le projet de l’Union Européenne de scanner les messages

Les instances de protection de données personnelles européennes critiquent ouvertement le projet de loi prévoyant de lutter contre la pédopornographie en scannant les messages envoyés.

Surveiller les messages envoyés par les citoyens européens n’est pas une vraie solution. En mai dernier, la Commission européenne avait en effet présenté un nouveau projet de loi pour lutter contre la pédopornographie. Celui-ci prévoyait en effet d’autoriser des analyses automatisées par intelligence artificielle directement sur les terminaux des utilisateurs, pour détecter les contenus illicites mais aussi les messages visant un ou une mineur(e) dans le but de les piéger.

Cette solution, voulant contourner le chiffrement de bout en bout des messageries instantanées grâce à des backdoors fait face à une opposition très ferme du Comité européen de la protection des données, regroupant les présidents des 27 CNIL et du contrôleur européen de la protection des données. Le texte présenterait « plus de risques pour les particuliers et, par extension, pour l’ensemble de la société, que pour les criminels poursuivis pour des contenus pédopornographiques ».

Sont critiquées notamment les conditions d’analyses pas assez précises, pouvant conduire à une surveillance généralisée, sans discrimination, de toutes les communications. De plus, l’usage de l’IA risque de générer des erreurs et semble hautement intrusif aux yeux des deux instances.

« Même si cette technologie se limite à l’utilisation d’indicateurs, l’impact négatif de la surveillance généralisée des communications textuelles et audio des individus est si grave qu’il ne peut être justifié au regard de la Charte des droits fondamentaux de l’UE », estime Wojciech Wiewiorowski, le Contrôleur européen de la protection des données.

D’autant plus que « le chiffrement contribue de manière fondamentale au respect de la vie privée et à la confidentialité des communications, à la liberté d’expression , à l’innovation et à la croissance de l’économie numérique.” En particulier, les deux instances soulignent “l’importance du chiffrement de bout en bout, un outil couramment utilisé qui présente de solides garanties techniques et de confidentialité. »

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Free ligue 1 signe un partenariat avec deux nouveaux clubs de Ligue 1

Le service 100% foot de Free s’affichera sur les maillots des équipes de Toulouse et de Strasbourg.

Depuis l’année dernière, Free Ligue 1 multiplie les partenariats avec divers clubs de football présents sur le championnat. C’est au tour du Toulouse FC, surnommé “Les Pitchouns’ ou encore  TéFéCé par les supporters, et du Racing Club de Strasbourg Alsace de signer avec le service lancé en 2020 par l’opérateur.

Une stratégie visant clairement à promouvoir son service aux supporters, après avoir déjà signé avec C Metz , le RC Lens , le Stade de Reims , le Stade Rennais FC et l’OGC Nice en 2021, puis l’AS Saint-Étienne, le FC Nantes, Angers SCO, le FC Lorient , l’AS Monaco FC , le Montpellier Hérault Sport Club et le Clermont Foot 63 avec qui le partenariat a été prolongé ou encore les Girondins de Bordeaux cette saison. Une technique qui avait porté ses fruits, de l’aveu du chargé de communication du service en juin dernier, alors que la barre des 1,8 millions de téléchargements sur mobile allait être franchie.

Le service en lui-même continue d’évoluer, avec notamment un changement vis-à-vis des présentateurs et des têtes d’affiches, en recrutant récemment Alexandre Ruiz, figure emblématique de beIN Sports mais aussi de Julian Palmieri, 169 matchs en ligue 1 (SC Bastia, Lille LOSC, FC Metz), d’Aurore Thibault ainsi que de Rio Mavuba, ancien champion du LOSC.

L’application Free Ligue 1 pour suivre 100% des matchs en extraits en quasi-direct

Pour rappel, Free propose la seule offre qui permet à tous les fans de football de visionner 100% des matchs du championnat de France sous forme d’extraits vidéo en quasi-direct. Accessible depuis l’application Free Ligue 1 téléchargeable gratuitement sur iOS et Google Play et sur le Chaîne 63 pour les abonnés Freebox. L’ensemble de son offre gratuite est aussi disponible sur le site internet : www.free-Ligue1.fr Pour les abonnés Free (Freebox et forfaits mobiles Free et Série Free) le flux vidéo en quasi-direct est déjà inclus. Les abonnés aux autres opérateurs mobiles peuvent accéder aux extraits en quasi-direct des matchs pour 3,99€ par mois, sans engagement. Les buts et les résumés restent accessibles pour tous gratuitement.

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Ça s’est passé chez Free et dans les télécoms : le coup de gueule de Free, la lutte anti-démarchage téléphonique s’intensifie…

Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les télécoms ». Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …


1er août 2019 : de nouvelles mesures pour lutter contre le démarchage téléphonique

Des premières mesures de lutte contre les appels et messages non sollicités, voulues par l’ARCEP, sont entrées en vigueur le jeudi 1er août. La première se traduisait, pour rappel, par l’interdiction d’utiliser comme identifiant d’appelant, en l’absence de mécanisme d’authentification, un numéro géographique (01-05) ou polyvalent (09), que ce soit pour les appels ou messages provenant de l’international. Les opérateurs devaient ainsi mettre en place des mécanismes pour opérer un filtrage.

La second entendait interdire aux systèmes automatisés émettant plus d’appels ou de messages qu’ils n’en reçoivent d’utiliser des numéros géographiques (01-05), mobiles (06-07) ou polyvalents (09) comme identifiant d’appelant. Plus complexe à mettre en oeuvre, avec le risque de “bloquer certains flux d’appel à tort au détriment des utilisateurs finals”, elle concernera dans un premier temps les numéros mobiles (06-07). Pour les numéros géographiques et polyvalents, il aura fallu attendre le 1er janvier 2021.

 Pour ceux n’étant pas épargnés, quelques astuces de Fabien Olicard !


1er août 2021 : Amazon rentre dans le monde de la Ligue 1

Un changement majeur dans le football Français : un service de SVOD devient le distributeur exclusif de 80% des matchs de Ligue 1. C’est en effet le 1er août 2021 qu’Amazon a lancé son Pass Ligue 1, disponible directement sur son service de SVOD. Une offre qui est apparue après un échec retentissant de Mediapro, qui avait obtenu les droits mais n’a jamais réussi à transformer l’essai. La décision n’avait d’ailleurs pas vraiment plu à Canal+, qui se retrouvait à payer trop cher pour deux affiches à son goût. L’offre a d’ailleurs évolué puisqu’en plus de la formule mensuelle proposée dès le lancement, Amazon propose depuis cet été un abonnement pour la saison entière, en un seul paiement.


2 août 2006 : Free dénonce une pratique peu scrupuleuse et vient en aide aux abonnés touchés

L’opérateur prend les devants et dénonce une forte recrudescence du “slamming”. Le 2 août 2006, Free publie un communiqué plutôt remonté contre cette pratique “peu scrupuleuse
menée par certains opérateurs indélicats qui abonnent des consommateurs contre leur gré.
” Plus concrètement, cette technique aussi nommée “écrasement de ligne”, consistait à effectuer une commande de câblage sur une ligne téléphonique sans y être autorisé par l’abonné, coupant ainsi tous ses services. L’opérateur avait ainsi lancé un numéro vert dédié pour les abonnés concernés.


4 août 2020 : France Ô et France 4 obtiennent un sursis

Sauvés temporairement par le gong. Les deux chaînes du service public ont en effet réussi à survivre un peu plus longtemps que prévu. Le 04 août 2020, il a été annoncé que la date d’arrêt d’émission de France 4 et France Ô, prévue pour le 9 du même mois était repoussée. Si pour France Ô, le repos ne fut que de courte durée puisqu’elle cessera son activité à la fin du mois d’août, France 4 avait pour sa part bénéficié d’un sursis d’un an, motivé notamment par son très bon fonctionnement durant la pandémie.


06 août 2007 : arrivée de deux têtes d’affiche d’Iliad dans le groupe

Un recrutement un peu particulier a eu lieu le 6 août 2007. En effet, la maison-mère de Free annonçait le recrutement de Thomas Reynaud, diplômé d’HEC et de la New York University, au poste de Directeur du Développement et du Financement et de Nicolas Jaeger au poste de Responsable des Relations Investisseurs. Des arrivées qui à l’époque, ne laissaient pas forcément présager de l’importance que ces deux hommes prendraient au sein du groupe. En effet, Thomas Reynaud est depuis devenu le Directeur Général d’Iliad et Nicolas Jaeger son directeur Financier. Qui l’aurait deviné, 15 ans auparavant ?

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Comment gérer les SMS indésirables chez Free Mobile, Orange, Bouygues et SFR ?

Vous recevez peut-être régulièrement des messages sur votre mobile pour des opérations commerciales de diverses marques. Pour s’en débarrasser, les opérateurs proposent une solution assez simple.

Il suffit parfois de dire stop ! Si vous avez utilisé votre numéro de téléphone portable pour la création d’un compte en ligne sur certains sites marchands, il est courant que ces derniers, ou des marques, utilisent les SMS pour communiquer avec vous. Le contenu de ces messages peut varier, mais si vous ne souhaitez pas en recevoir davantage, les opérateurs mobiles proposent une procédure pratique et simple pour un arrêt du démarchage.

Cette procédure est sobrement nommée le “STOP SMS”, et fonctionne uniquement sur les numéros courts expéditeurs à 5 chiffres commençant par 3,4,5,6,7 ou 8. Si vous recevez un message de ce genre, il vous suffit d’envoyer STOP à un numéro dédié. Si l’expéditeur est affiché sous la forme d’un numéro court, il vous suffit de répondre STOP au SMS reçu. Si le nom d’une marque s’affiche comme expéditeur, un numéro court est affiché dans le message comme marqué ci-dessous :

 

Il vous suffit alors d’envoyer STOP à ce numéro directement. Si vous souhaitez vérifier vous même l’identité de l’expéditeur vous pouvez le faire en envoyant le mot-clé “CONTACT”.

Sur le site surmafacture.fr, tenu par l’AF2M qui regroupe Orange, SFR, Bouygues Telecom et même Free pour ses offres fixe, les opérateurs préviennent ainsi que dans le cas d’un message provenant d’un numéro long commençant par 06 ou 07, la méfiance est de mise. Il peut en effet s’agir d’une tentative de hameçonnage (aussi appelée “smishing” dans le cas d’un SMS), et il est alors conseillé de signaler ce SMS auprès de 33700. Il vous suffira de transférer le SMS non-sollicité, au numéro court dédié et suivre les instructions données.

Les campagnes de smishing sont assez fréquentes et peuvent prendre de multiples formes, certaines visant à collecter vos données, d’autres à installer un malware sur votre appareil via un appareil frauduleux. C’est notamment le cas en ce moment avec une vaste campagne de SMS indiquant un colis envoyé, alors qu’il n’en est rien.

A noter pour les abonnés Freebox et Free Mobile, il est également possible de filtrer les appels commerciaux non-sollicités, vous pouvez le faire directement depuis votre espace abonné en suivant notre tutoriel.

 

 

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Un poteau téléphonique d’Orange menace une réserve incendie, le maire s’inquiète de la lenteur de l’opérateur

Une crainte de double peine : percer une poche incendie et priver les abonnés aux alentours de téléphonie.

Une situation précaire qui dure depuis trop longtemps. A Martainville dans l’Eure, un poteau de téléphonie penche dangereusement depuis plusieurs mois. Si cela ne suffisait pas, l’emplacement de cette installation est d’autant plus problématique du fait qu’une grande poche incendie en plastique a été installée en avril dernier et se situe juste en dessous du poteau, qui fait office d’épée de Damoclès.

 “Je l’ai signalé à Orange. Mon signalement a été pris en compte. L’entreprise missionnée par l’opérateur devait intervenir en mai. Je l’attends toujours”, s’agace Didier Delabrière, maire de la commune. Le risque est double : endommager cette poche qui a tout de même coûté plus de 12 000€ mais aussi couper la téléphone aux habitants du quartier. La lenteur est d’autant plus exaspérante “qu’en août, on le sait, beaucoup d’entreprises sont souvent en congé“.

Crédit image : L’éveil de Pont-Audemer

Une situation plutôt critique, à laquelle s’ajoute un entretien des alentours par le département ne permettant pas une sécurité optimale vis-à-vis des incedies selon l’élu. En attendant une résolution…

Source : L’éveil de Pont-Audemer (version papier)

 

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Android : mots de passe, code pin, données bancaires… rien n’échappe à ces 17 applications, désinstallez-les

Un malware redoutable sévit sur les smartphones Android et a été identifié sur 17 applications dont il est urgent de se débarrasser.

Les pirates et hackers ne prennent pas de vacances. Une nouvelle étude des experts en sécurité Trend Micro dévoile plusieurs applications contenant des malwares visant à dérober vos données, allant du code PIN de votre téléphone à vos coordonnées bancaires.

Nommé Octo,  e malware serait également capable d’intercepter vos SMS pour y placer des logiciels malveillants. Il gardera l’appareil éveillé et enregistrera un service programmé pour collecter et télécharger des données sensibles sur son serveur […]. Il utilise aussi un réseau virtuel pour enregistrer l’écran de l’utilisateur, y compris les informations sensibles telles que les informations d’identification bancaires, les adresses e-mail et les mots de passe, ainsi que les codes PIN. Le logiciel malveillant provoque également le noircissement de l’écran de l’utilisateur en désactivant le rétroéclairage et en éteignant le son de l’appareil pour masquer les comportements malveillants.” expliquent les experts de Trend Micro.

Pour ne rien arranger, Octo est également capable de désactiver Google Play Protect, chargé de vérifier les applications pour identifier les comportements malveillants. Cela lui permet notamment de collecter les données utilisateurs comme les contacts, les applications installées et même les messages.

Ainsi, si vous retrouvez une appli portant l’un de ces noms sur votre téléphone, il est urgent de la désinstaller.

  • Call Recorder
  • Rooster VPN
  • Super Cleaner
  • Document Scanner
  • Universal Saver Pro
  • Eagle photo editor
  • Call recorder pro+
  • Extra Cleaner
  • Crypto Utils
  • FixCleaner
  • Universal Saver Pro (une autre version)
  • Lucky Cleaner
  • Just In: Video Motion
  • Document Scanner PRO
  • Conquer Darkness
  • Simpli Cleaner
  • Unicc QE Scanner

Source : Trend Micro via 01net

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Vie privée : un Français sur trois aimerait s’effacer d’internet

Selon une nouvelle étude, la présence sur le net taraude un peu moins les Français que les Américains, mais une partie d’entre eux ferait disparaître ses données du web s’il le pouvait.

Ne plus avoir de présence sur le net vous intéresserait-il ? Il s’agit en somme de la question que s’est posée la société NordVPN durant une étude interrogeant un millier de Français et s’il ne s’agit pas d’un problème pour beaucoup, 31% des sondés affirment qu’ils effaceraient leur présence d’Internet s’ils le pouvaient. A titre de comparaison, c’est le cas pour 55% des Américains.

Plusieurs raisons sont évoquées, notamment la collecte de leurs données personnelles par des tiers pour 44% d’entre eux. La même part de la population craint que son appareil finisse par être piraté. Plus généralement, 34% des sondés ne font pas confiance à Internet, et 20% estiment y passer trop de temps. A noter cependant que, contrairement à d’autres pays sondés, aucun Français interrogé n’a évoqué les problématiques de confidentialité ou de cyberharcèlement.

51% des Français aimeraient avant tout effacer leurs informations bancaires du Web, notamment par crainte que des pirates puissent y avoir accès. D’autres informations sont source d’inquiétudes, comme les SMS et emails personnels (44%), les comptes sur les réseaux sociaux (38%), les renseignements médicaux (35%) ou encore les détails sur la vie sexuelle (26%). La protection de la vie privée et de la réputation vont plutôt de pair pour les habitants de l’Hexagone : 33% d’entre eux voudraient effacer un moment embarrassant et 35% veulent voir disparaître des photos ou vidéos peu flatteuses. Enfin, 30% des répondants souhaitent que leurs anciens comptes sur les réseaux sociaux ou les sites de rencontres ne soient plus affichés en ligne.

Cependant, nous paraissons plus sensibilisés que d’autres pays voisins à la façon dont nous pouvons gérer nos données. D’après l’étude, 21% des Français déclarent savoir comment retirer toutes leurs informations personnelles du Web, soit d’avantage que dans d’autres pays interrogés et 36% des Français annoncent savoir comment en effacer une partie.

Ce qui n’empêche pas d’être curieux. En effet, l’étude s’est également intéressée à ce que les internautes voulaient connaître d’une personne de leur entourage. Si “les Français s’avèrent moins curieux que leurs voisins (52,3% ont répondu “aucune”)“, certaines données intéressent plus que d’autres. En premier viennent les comptes sur les réseaux sociaux (17%), puis l’historique des précédents employeurs (15%). Les SMS et emails personnels (13%), informations sur l’emploi (12%), informations bancaires (11%) et informations sur la vie sentimentale et sexuelle (10%) complètent la liste.

NordVPN proposant des solutions promettant une protection de la vie privée, l’entreprise s’est bien sûr penchée sur le prix de cette dernière. Pour la majorité (64.9%) des sondés, ils ne sont pas prêts à débourser un centime pour conserver leur anonymat. Parmi les Français prêt à payer, 23% des internautes pourraient débourser jusqu’à 100€ et 2€ seraient même prêts à investir plus de 1000€.

 

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