Iliad Italia recrute des abonnés à l’école, ou du moins sur les campus universitaires. Les SIMBox de l’opérateur italien continuent de se déployer jusqu’à atteindre des endroits plus insolites comme les restaurants universitaires.
Le réseau de bornes distribuant des cartes SIM d’Iliad en Italie est en pleine expansion, puisqu’un an après son lancement, l’opérateur peut se targuer d’avoir 700 distributeurs de carte SIM installés et vise les 3500 pour la fin de l’année. Cela peut se traduire notamment par des installations dans des lieux assez singulier, puisque l’opérateur à décidé de s’installer sur plusieurs campus universitaires italiens.
On trouve en effet dorénavant des SIMbox dans la cafétaria d’une université Romaine, mais aussi à Palerme ou à Bologne. Un emplacement plutôt étrange, qui aurait pu générer des protestations puisqu’au sein d’un établissement public et peu propices aux sollicitations commerciales. Plaintes évitées puisqu’il s’agit d’endroits dédiés à la restauration et au repos, et non aux études et ne faisant pas partie à proprement parler des Universités concernées.
La maison-mère de Free a investi dans un projet bien singulier lancé par le plus grand réseau social du monde : la cryptomonnaie Libra. Le groupe Iliad est le seul investisseur français dans ce projet.
D’après les Echos, Iliad aurait ainsi déboursé au moins 10 millions d’euros pour être partie prenante du projet de cryptomonnaie du réseau social. Cette somme étant le minimum requis pour siéger aux côtés des plus gros investisseurs dans cette idée initiée par le géant américain Facebook. L’un des avantages de cet investissement pour Iliad et Xavier Niel sera en effet de disposer d’un serveur de la blockchain de la cryptomonnaie, nommée Libra.
Un projet regroupant déjà plus d’une vingtaine de géants et Facebook ne souhaite pas s’arrêter là pour lancer Libra, sa propre cryptomonnaie, souhaitant atteindre la centaine d’investisseurs avant la fin de l’année 2019. Le Libra devrait tout d’abord être lancé sur messenger, whatsapp et instagram, mais devrait également être utilisable par les partenaires du projet, dont Iliad fait dorénavant partie aux côtés d’Uber, Lyft ou même Booking.com.
L’intérêt pour le blockchain de Xavier Niel ne date pas d’hier, puisque le fondateur de Free avait déjà investi dans une société française, Sorare, utilisant cette technologie en mai dernier via son fonds d’investissement privé. Cependant, cet investissement d’Iliad en tant que groupe est plutôt surprenant, et il reste à voir ce que la maison-mère de Free fera de ce partenariat.
Un calendrier marketing vient de fuiter sur le net, confirmant la période de sortie de certains smartphones très attendus comme le Pixel 4 ou même le Galaxy note 10 de Samsung.
Google a dévoilé récemment des rendus de son futur flagship, poussant certain à envisager une sortie plus rapide du Pixel 4. D’après un planning marketing de l’opérateur Verizon révélé par le leaker reconnu @evleaks , Google a décidé de continuer de sortir ses nouveaux Pixels en octobre.
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Ce n’est cependant pas la seule sortie qui est confirmée par ce calendrier, puisque l’on trouve également des informations concernant le prochain modèle de la gamme Galaxy Note de Samsung qui devrait sortir en août, et le prochain iPhone en septembre. Les périodes habituelles en somme, ce qu’Evan Blass déplore d’ailleurs, considérant que ces sorties sont devenues "trop prévisibles".
Rappelons cependant que Google a teasé les capacité de son futur Pixel 4, mais que des rumeurs vont également dans le sens d’un Galaxy Note assez impressionnant. Si les dates ne sont pas une surprise, cela ne veut pas dire que les smartphones n’en proposeront aucune. Affaire à suivre donc…
Si la nouvelle a eu un retentissement énorme pour le monde de la tech, la décision du gouvernement américain n’était peut-être pas une aussi grosse surprise pour le fabricant chinois, qui se serait préparé bien en amont.
La réactivité exemplaire de Huawei concernant la fin de sa licence android n’est peut-être pas due uniquement à la capacité du fabricant à retomber sur ses pattes. D’après le South China Morning Post, cette possibilité avait déjà été envisagée dès 2012.
On savait déjà que Huawei avait déjà travaillé sur son propre OS en cas de désaccord avec Android, mais c’est ici la date qui surprend. En effet, le PDG de la firme de Shenzhen aurait déjà réuni plusieurs cadres de l’entreprise pour lancer le développement d’un OS maison, que l’on connaît dorénavant sous le nom "HongMeng". Les craintes de problèmes avec le gouvernement américain ne sont donc pas nouvelles pour Huawei, et l’anticipation de ce problème devait permettre au fabricant de se retourner assez vite en cas de problème.
Pas totalement une surprise pour la firme donc, mais la réalité a rattrapé Huawei un peu trop vite qui n’est, toujours d’après le South China Morning Post, "pas tout à fait prêt à lancer son OS". Si une cellule a en effet été créée pour le développement du système d’exploitation qui pourrait remplacer Android, la nouvelle a pris de court le fabricant. C’est là cependant que l’on peut voir la réactivité de Huawei, qui aurait déjà un million de smartphones prêts sous son nouvel OS, que l’on pourrait connaître en Europe sous le nom de Ark OS.
L’urgence est toujours là pour Huawei, qui bien qu’armé pour y pallier, subit déjà des contrecoups important comme le retard de lancement de ses smartphones 5G en Europe. Quant à ce que l’on sait de l’OS, il devrait se baser sur la version Open Source d’android, mais ressembler à iOS dans son interface d’après les dernières rumeurs.
Une keynote a lieu aujourd’hui à Paris réunissant de nombreux acteurs pourcélébrer les 20 ans d’Online et sa transformation en fournisseur de cloud international lors d’un évènement nommé le Scaleday. Le cloud BtoB d’Iliad en a profité pour révéler les éléments centraux de sa stratégie tant pour l’international que pour l’hexagone.
Lors du dévoilement du plan Odyssey 2024, la maison mère de Free avait annoncé se lancer sur le marché des entreprises, en s’appuyant notamment sur l’acquisition récente de Jaguar Network et sa filiale Scaleway qui regroupe les offres cloud, datacenter et serveurs d’Iliad. La stratégie du fournisseur de cloud s’est précisée à l’occasion des 20 ans d’Online, ancien nom de l’hébergeur d’Iliad.
Scaleway a ainsi révélé cinq piliers sur lesquels il compte s’appuyer pour s’étendre tant en France qu’à l’international. Le premier sera le renforcement de ses offres dans l’hexagone, Scaleway a bien l’intention de jouer sur l’arrivée de Jaguar Network dans le groupe Iliad et annonce avoir "travaillé à la définition d’un catalogue cloud commun pour la France, combinant les infrastructures Scaleway et les services Jaguar Network". De plus, de nouvelles infrastructures seront développées pour "répondre aux besoins récurrents de cloud souverain" des pouvoirs publiques et les entreprises françaises. L’hébergeur entend également se baser sur son écosystème de ressource cloud "Elements" qui permet à ses clients d’accéder à différentes gammes de produits simples à utiliser tout en restant innovants. Scaleway a également l’intention de considérer la position des développeurs dans sa stratégie , les considérant comme "bâtisseurs de l’ère numérique dans toutes les entreprises".
L’approche vis-à-vis des clients devrait également être améliorée pour permettre un accompagnement plus abouti de ses utilisateurs et garantir une relation saine avec ceux-ci. Cette approche se traduira également par des changements de design et de communication pour proposer une expérience plus légère et "fun" aux utilisateurs de ses services. Pour ce qui est de l’international, Scaleway est aussi plein d’ambition. Il a donc annoncé le lancement d’un datacenter en Pologne, mais aussi l’arrivée prochaine de ses infrastructures sur d’autres continents comme l’Asie et l’Amérique Latine.
Une stratégie bien précise pour Scaleway qui souhaite conserver "les produits à forte valeur ajoutée du cloud, en misant sur l’excellence, l’expertise pointue et la compatibilité avec les standards du marché" note l’hébergeur. Une annonce qui montre la volonté de Scaleway de s’imposer en France et en dehors avec une stratégie bien ficelée.
Google a décidé de prendre les devants sur les fuites du net en tweetant directement un aperçu du design de son prochain flagship, le Pixel 4. Une photo simple, mais qui révèle déjà quelques indices sur le modèle.
Les rumeurs affluaient constamment sur la prochaine série de smartphone Pixel et la firme de Mountain View a décidé de répondre favorablement à l’engouement dans un tweet qui tease son flagship. "Et bien, puisque ça a l’air de vous intéresser, voilà ! Attendez de voir ce qu’il peut faire. #Pixel4 " publie-t-elle sur un de ses comptes sur l’oiseau bleu.
Un teasing qui révèle donc un design plutôt sobre, mais qui permet déjà d’affirmer au moins une chose: le Pixel 4 sera le premier de la gamme à proposer un double capteur photo à l’arrière. La firme de Mountain View avait en effet toujours mis un point d’honneur à garder un seul capteur à l’arrière, même dans ses smartphones récents, mais la photo révèle bien deux objectifs au milieu ce petit carré dans le coin du dernier modèle de Google.
Cependant, cette image soulève également quelques questions. On notera par exemple le capteur situé au-dessus des objectifs, très discret mais remarqué notamment par The Verge, qui reste bien mystérieux et laisse dubitatif. Certains évoquent la possibilité d’un capteur permettant à l’appareil photo de mieux gérer la lumière stroboscopique, mais rien n’est sûr pour l’instant.
Outre la photographie, on note également qu’il n’y’a pas d’emplacement dédié à la lecture d’empreinte digitale à l’arrière. Reste à savoir si Google optera pour une reconnaissance faciale (comme son concurrent Apple) ou pour un lecteur d’empreintes sous l’écran (très populaire sur les modèles android récents).
En tout cas, le Pixel 4 s’annonce comme un smartphone bien différent, au moins dans son design, de ses prédécesseurs. Et avec Google qui tease également sur les futures capacités du flagship, les leaks et autres rumeurs devraient continuer de plus belle concernant ce nouveau modèle qui n’est pas encore annoncé et dont on ne sait finalement pas grand chose.
Notre confrère Free-Reseau, qui donne en temps réel l’état du réseau dégroupé de Free et informe de tous les incidents de DSLAMs et des équipements du réseau fibre optique de Free, a lancé son application pour Android l’année dernière.
C’est cette version qui vient de se voir agrémentée d’un nouveau thème sombre, de plus en plus appréciés par les développeurs et les utilisateurs d’applications mobile. La dernière mise-à-jour quant à elle permettait de suivre les incidents depuis votre smartphone.
Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …
11 juin 2013 : la Freebox HD devient Crystal
La Freebox V5 change de nom, mais pas seulement ! C’est en effet il y a presque 6 ans que la Freebox HD a été revisitée pour proposer une offre toujours disponible aujourd’hui : la Freebox Crystal. Nouveau design, nouvelle interface, et même nouveau packaging, Free revoit tout sur sa box sauf… son prix ! L’opérateur proposait également aux abonnés Freebox HD (V5) d’échanger leur box avec la nouvelle venue.
7 juin 2013 : le VDSL2 pour tous les Freenautes
Quatre jours avant l’annonce de la Crystal, Free a fait cadeau à ses abonnés de la nouvelle technologie VDSL2 permettant un débit plus rapide. Le cadeau a mis plus de temps à arriver chez certains, puisque le 7 juin, ce sont les abonnés présents en Dordogne et en Gironde (dont la ligne est éligible bien sûr). Pour rappel, la VDSL2 permettait d’atteindre 90 Mbits/s en download et 25 Mbits/s en upload. Il s’agissait là d’une première, Free proposant cette technologie sans surcoût.
10 juin 2008: Canal+ choisie pour être la première chaîne privée payante en HD sur la TNT
La TNT passe à la HD progressivement à la fin des années 2000 et la première chaîne privée française à en bénéficier est Canal+. Suite à un appel d’offres, la chaîne privée la plus populaire de France sera finalement choisie pour bénéficier d’une diffusion en haute définition. Sa diffusion ne commencera cependant qu’en octobre de la même année, au côté de TF1 et des chaînes du service publique.
10 juin 2010: la 3D arrive sur Freebox TV avec TF1 et Canal+
Entrez dans une nouvelle dimension… Ou presque. Les évènements sportifs sont souvent l’occasion pour les chaînes de réaliser des prouesses techniques et ici, la 3D arrivait sur votre Freebox à l’occasion de la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud. Douloureux souvenir pour les fans de football, cette compétition a cependant été l’occasion pour de (rares) Freenautes d’utiliser leur équipement 3D à la maison, qui était loin d’être démocratisé à l’époque.
Malgré le souvenir amer de la Coupe du monde 2010 pour l’équipe de foot française, voici un petit moment nostalgie (on aime toujours autant la musique chez Univers Freebox)
12 juin 2009 : l’Hadopi voit le jour
Difficile de souhaiter un bon anniversaire à une autorité qui a une si mauvaise image, mais on va essayer ! La lutte contre le piratage en P2P made in France a été initiée par Nicolas Sarkozy en créant l’Hadopi, un acronyme bien connu des internautes qui signifie "Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet". Cette autorité n’est d’ailleurs pas seulement rejetée par les "pirates" du web, Free a également longtemps rejeté l’Hadopi en lui mettant des bâtons dans les roues.
Huawei continue sa contre-attaque, après avoir distribué un million de smartphones équipés de son OS maison, le fabricant démarche dorénavant les développeurs d’applications pour les faire rejoindre son App Gallery.
Le conflit entre le géant Chinois et le gouvernement américain est loin d’être fini et Huawei prépare l’après Android. Face au risque de bannissement du Play Store, la firme de Shenzhen souhaite en effet récupérer les applications présentes sur la plate-forme de Google pour son propre magasin d’applications : App Gallery.
Le principal souci de cette galerie d’applications créée par Huawei, c’est son catalogue. Très peu d’applications utilisées tous les jours par les occidentaux (en particulier les Européens) et un magasin très orienté vers le marché chinois. Le fabricant se tourne donc vers les développeurs pour demander leur aide pour étoffer son store.
Le démarchage s’effectue notamment par mail,invitant certains développeurs à publier leur application sur la gallerie, le tout gratuitement. Une technique qui rappellera aux plus technophiles la tentative d’appel aux développeurs de Microsoft pour ses Windows phone. La différence réside surtout dans la popularité des deux fabricants : Huawei étant le deuxième fabricant mondial, il bénéficie d’une visibilité grande et l’opération n’a aucun coût et ne requière qu’un effort minimum pour le développeur. Il reste à voir si cet appel du pied rencontrera son public et si les développeurs suivront.
Episode 2. Des habitants de la Réunion ne décolèrent pas et continuent de s’engager contre l’installation d’une antenne-relais Free Mobile à la Plaine Saint-Paul, envisageant même un recours en justice.
L’affaire remonte déjà au mois d’avril dernier sur l’île de la Réunion où une quatrième mobilisation médiatisée a pris place, visant l’installation d’une antenne-relais Free Mobile. Les habitants d’un lotissement privé de 122 maisons de la Plaine Saint-Paul s’étaient, en effet, déjà mobilisés contre l’implantation d’un pylône de 20 mètres de haut de Telco OI/Free. Les opposants au projet invoquaient notamment les risques potentiels des ondes pour la santé des riverains.
Vent debout face au projet, ces administrés ne veulent pas s’arrêter là. S’ils déclarent avoir eu l’occasion de discuter avec l’opérateur, les réponses apportées par celui-ci n’ont pas vraiment convaincu les riverains. Les risques supposés de l’antenne sur la santé sont toujours évoqués, mais l’utilité de cette antenne est également remise en cause : "Cette antenne va seulement amplifier le réseau alors qu’il y a une zone blanche un peu plus haut. L’intérêt d’une telle installation n’a pas été démontré. J’ai deux enfants. Je n’ai pas quitté Paris pour leur offrir une antenne-relais comme cadre de vie" explique l’un des riverains opposé au projet. Sont évoquées également la présence de deux écoles primaires proche du site d’installation, ainsi que la dévalorisation immobilière des logements.
L’association de riverains a également pris contact avec un avocat et envisage de porter l’affaire devant un tribunal administratif si la situation ne se débloque pas. D’après l’un des habitants, ils n’ont pas été prévenus du projet et n’ont pas pu recevoir de réponse de la part de l’opérateur ou de la mairie avant la fin des délais autorisant un recours. Affaire à suivre donc pour ce lotissement Réunionnais.
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