Auteur : lucas

La Poste Mobile propose une nouvelle promo, sans limite de durée, pour un forfait 30 Go avec “Musique illimitée”

L’opérateur virtuel de la Poste propose une nouvelle promotion sur son forfait 30Go, sans augmentation au bout de 6 mois ou d’un an.

Jusqu’au 21 mars prochain, La Poste Mobile propose une promo sur son forfait sans engagement 30Go. Il est proposé à 9.99€/mois au lieu de 14.99€, sans limite de durée. Il faudra également compter sur 10€ à payer lors de la commande pour la carte SIM.

Le forfait propose ainsi Appels, SMS, MMS illimités, 30 Go de data en France dont 10Go utilisables en Europe mais également l’option musique illimitée. Il s’agit ici d’un accès illimité au service d’écoute en streaming de musique du catalogue Universal Music.

 

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Découvrez les nouveaux clips vidéos de Free, avec deux bonnes résolutions pour l’année 2020

Free a mis en ligne deux nouvelles vidéos sur sa chaîne YouTube, avec deux bonne résolution pour les nouveaux abonnés Free: dépenser moins et aller plus vite.

L’opérateur avait déjà déployé sa nouvelle campagne sur le mobilier urbain sur la thématique des bonnes résolutions pour l’année 2020, désormais on peut en voir la version animée en vidéo.

Il s’agit d’une publicité pour la fibre de Free et notamment pour la Freebox mini 4K, qui est l’offre fibre la moins chère de l’opérateur de Xavier Niel. On y retrouve également quelques dessins rappelant l’identité de l’opérateur, avec la fusée Free notamment. Ces petits clips ont été publiés sur la chaîne YouTube officielle de Free aujourd’hui.

 

 

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La 5G avec Huawei en France: les opérateurs recevront les premières autorisations (ou refus) en février

Le déploiement de la 5G en France sera l’un des plus gros enjeux de l’année pour les opérateurs télécoms, et l’inconnue Huawei pèse dans la balance. Face aux plaintes des opérateurs sur la lenteur d’attribution des autorisations d’équipements, l’ANSSI annonce que des premières autorisations (ou refus) seront délivrées en février.

Cette année doit être celle du déploiement des équipements 5G en France et d’un réseau complet sur au moins deux villes pour chaque opérateur d’après le cahier des charges fixé par l’ARCEP.  Mais il reste encore la question des équipements et de la fiabilité des fournisseurs au niveau de la sécurité, notamment Huawei, qui est en ce moment en pleine tourmente à cause de ses liens supposés avec l’état chinois.

 Orange, Free, Bouygues Telecom et SFR sont désormais au parfum concernant les équipements qu’ils pourront utiliser pour le déploiement de leurs réseaux 5G. Le secteur est obligé aujourd’hui d’obtenir au préalable une autorisation auprès de l’ANSSI. L’agence nationale de la sécurité et des systèmes d’information dispose de deux mois pour donner une réponse. Passé ce délais, celle-ci sera considérée comme négative. Et si Bouygues ou SFR sont montés au créneau en exprimant leurs craintes de devoir se passer de Huawei, l’ANSSI affirme qu’ils seront bientôt fixés.

Dans une interview pour nos confrères des Echos, Guillaume Poupard, le directeur général de l’agence, affirme que les premières autorisations (ou refus) seront délivrées en février. Il explique également la raison de la présence de cette procédure : ” Nous savons très bien que si nous laissons les opérateurs tout faire seuls, les questions de sécurité et de souveraineté ne seront pas prises en compte. Il faut ce troisième acteur, l’Etat, pour porter au juste niveau ces questions de souveraineté. C’est aussi la raison pour laquelle les opérateurs français doivent demander des autorisations à l’Anssi sur leurs choix d’équipementiers, pour déployer leurs antennes. “. Pour le directeur général, “il ne faut pas trop en demander” aux opérateurs concernant la sécurité et ce n’est pas un problème de confiance s’il leur est demandé de faire une demande. Il s’agit surtout de penser au long terme, dans un soucis de rééquilibrer les choses pour l’Etat entre le court terme et l’avenir plus lointain.

Guillaume Poupard explique ainsi qu’il comprend le stress sous lequel sont les opérateurs, mais reste ferme : ” Evidemment qu’ils sont stressés et on n’est pas là pour rajouter du stress, on est là pour la sécurité. On a deux mois pour répondre à partir du dépôt du dossier complet. “. Quant aux délais de procédure et aux précisions demandées, il explique cela par un oubli de “remplir des cases, on n’est pas méchant, on les aide à remplir leur dossier”.

Si l’ANSSI se veut donc rassurante et pédagogue, rappelons que pour certains opérateurs français comme Bouygues ou SFR, devoir se passer de Huawei en tant qu’équipementier serait très difficile. S’ils n’obtiennent pas d’autorisation de passer par Huawei, tous deux seraient dans l’obligation de remplacer leurs antennes 3G et 4G pour des raisons de compatibilité. De même, leur réseau serait par conséquent impacté pendant de nombreux mois et les abonnés pourraient filer à la concurrence. Sans Huawei, le coût du déploiement de la 5G en France augmenterait de 8 % à 29 % au cours des 10 prochaines années, chiffre le quotidien. Un coup dur pour ces deux opérateurs, à l’aube d’une nouvelle génération et après tant d’investissement dans la 5G. Pour calmer ces craintes, Guillaume Poupard rappelle que les autorisations peuvent durer 8 ans au maximum  et que ” Dire à un opérateur du jour au lendemain, vous ne pourrez plus utiliser tel équipementier, c’est très dur pour lui, on ne peut pas leur faire cela. Mais en même temps, cela ne peut pas être une faiblesse à l’infini, car cela ne sont pas des solutions ad vitam aeternam. On va trouver un bon équilibre.” Et si cette situation peut tout de même paraître difficile (choisir un équipementier puis devoir s’en séparer moins de dix ans plus tard), l’ANSSI veut rester ferme : ” Ca c’est le problème des opérateurs télécoms. A eux de faire leur choix et de gérer leurs risques en connaissance de cause. “. Il rappelle en effet que l’enjeu reste la sécurité des réseaux 5G et que ce sur ce point, “Il n’y a pas de débat avec les opérateurs, qui sont responsables en France”.

De son côté Free n’est pas concerné puisque l’opérateur a signé un partenariat avec Nokia. Le FAI de Xavier Niel aurait été appelé à ne pas signer avec Huawei. Orange ne dispose pas d’antennes du géant chinois mais souhaite avoir la possibilité de se tourner vers lui

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Clin d’oeil: Free, le remède contre la déprime du #BlueMonday ?

Aujourd’hui, c’est le #BlueMonday, la journée de la déprime et du blues sur les réseaux sociaux. Mais Free est confiant dans le bien être de ses abonnés et le fait savoir.

Le Blue Monday ou le “Lundi blues” est censé être le nom du jour le plus déprimant de l’année. Enfin, c’est surtout les restes d’une campagne publicitaire britannique de la chaîne de télévision Sky Travel, lancée en 2005. Il s’agit généralement du troisième lundi du mois de janvier et l’idée derrière ce nom s’explique ainsi : c’est le début de la semaine (et donc la reprise du travail), le salaire n’est pas encore tombé, il fait froid en janvier, on a dépensé nos sous pour Noël, on abandonne les bonnes résolutions… On peut continuer, mais voilà pourquoi ce Blue Monday serait le jour le plus déprimant de l’année… Mais pas pour les abonnés Free apparemment.

L’opérateur de Xavier Niel a en effet publié un tweet indiquant, avec des données scientifiques à l’appui, le pourcentage d’abonnés Free parmi les gens déprimés durant le Blue Monday. Bon, on attend toujours les sources, mais en tout cas, Free a l’air d’être un sacré remède contre la déprime !

 

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Free déploie une nouvelle mise à jour de son application Freebox sur Android avec de nouvelles fonctionnalités

Une nouvelle mise à jour de l’application Freebox est en cours de déploiement sur le Play Store. Elle propose son lot de nouveautés, notamment au niveau de la maison connectée.

Après avoir lancé certaines nouveautés en bêta-test sur l’OS de Google, l’application accessible à tous intègre son lot de nouvelles fonctionnalités, ainsi que d’améliorations et de correctifs dans une nouvelle mise à jour. L’assistance Freebox home vient de publier la liste des nouveautés apportées par cette nouvelle mise à jour de l’application Android que vous pouvez télécharger sur la Play Store.

  • Choix de l’univers favori (Système d’alarme ou Maison Connectée) à définir depuis les paramètres de l’application.
  • Tuiles sur la home annonçant les nouveautés (alertes SMS et détection de mouvement de la caméra) si elles n’ont pas été activées.
  • Enregistrement et partage des clips vidéo des caméras.
  • Suppression multiple des clips vidéo.
  • Enchaînement automatique de la lecture des clips vidéo.
  • Le dernier événement des télécommandes est désormais affiché dans la liste des objets.
  • Intégration du site d’assistance dans l’application.
  • Nombreuses améliorations UX/UI.
  • Correction de l’upload de fichiers (synchronisation photos).

La mise à jour est en cours de déploiement progressif, il faudra donc peut être patienter avant qu’elle soit disponible sur votre appareil. Ces fonctionnalités ont déjà été bêta-testée, si vous souhaitez rejoindre le programme bêta-test pour aider au développement de nouvelles fonctionnalités, Univers Freebox a réalisé un tutoriel.

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Chronologie des médias: Netflix pourrait bénéficier d’un délai réduit avant de pouvoir diffuser un film, à la manière de Canal+

Avec la future réforme de l’audiovisuel, la place des plates-formes de SVOD est l’un des enjeux majeur pour faire évoluer le domaine en France. Et Netflix, qui devra investir 25% de son chiffre d’affaire en France, pourrait bénéficier d’un régime spécial concernant les délais avant la diffusion d’un film sur son service.

Vendredi dernier a eu lieu l’ouverture des locaux de Netflix en France. Pour l’occasion, de nombreux acteurs de l’audiovisuel en France se sont réunis, ainsi que le PDG de Netflix Reed Hastings. L’occasion également pour la plateforme d’annoncer ses ambitions en France, avec le projet de produire une vingtaine de programmes supplémentaires pour 2020 et un investissement de plus de 100 millions d’euros cette année. On y trouve des films originaux, ainsi que des séries, mais aussi des productions de grand nom du cinéma comme Jean-Pierre Jeunet ( Amélie Poulain, Un long dimanche de fiançailles…) .

La plateforme est très bien implantée dans l’hexagone, en effet, un Français sur 10 est abonné à Netflix (et cela ne tient pas en compte les partages de comptes, un phénomène très important). De plus, d’après l’observatoire de la VOD réalisé par le CNC, Netflix possèdait en 2018 une part d’audience équivalente à la cinquième chaîne de télévision Française. Et avec la nouvelle réforme audiovisuelle, le gouvernement veut obliger Netflix et consorts à investir au moins 25% de leur chiffre d’affaire en France. Mais le géant pourrait également bénéficier d’un peu plus de souplesse de la part du gouvernement, notamment concernant la diffusion des sorties cinéma.

En effet, d’après nos confrères des Echos, le Ministre de la Culture aurait annoncé que de nouvelles négociations allaient être ouvertes concernant la chronologie des médias. Cette chronologie détermine en fait le laps de temps entre une sortie au cinéma et sa diffusion sur une plateforme ou une chaîne télévisuelle. Netflix est logé à la même enseigne que les chaînes télévisuelles classiques pour l’instant, et doit attendre 36 mois avant de diffuser un film. Mais Franck Riester indique qu’il pourrait trouver une fenêtre qui “reflète mieux les conditions de financement de Netflix“. Un régime particulier est déjà mis en place pour Canal par exemple, qui finance beaucoup de production française et un observateur explique qu’un modèle “plus ou moins aligné sur Canal” pourrait être appliqué à Netflix.

Ainsi, les sorties cinéma pourraient arriver plus rapidement sur Netflix en France si les négociations sont concluantes. Cependant, les modalités de cet accord sont encore inconnues, même s’il est certain que le groupe américain devra prendre des engagements pour qu’un régime spécial soit appliqué.

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“Fleeceware”: une nouvelle arnaque capable de soutirer des centaines d’euros aux utilisateurs d’applications Android

Si le Play Store possède son propre service de sécurité, de nombreuses arnaques arrivent à passer entre les mailles du filet. C’est le cas des “Fleeceware”.

Sous ce nom assez obscur se cache un nouveau phénomène apparu depuis quelques mois sur le magasin d’application de Google. Sans code malveillant, ces applications se basent surtout sur des failles dans les règles du magasin d’application pour soutirer de l’argent aux utilisateurs, allant parfois jusqu’à des centaines d’euros.

La société Sophos avait déjà alerté Google à ce sujet en septembre 2019. Le phénomène se traduisait ainsi : des applications tierces gratuites proposant une fonctionnalité assez simple (édition de photo, lecteur de QR code..) avec un mode payant. Et c’est sur ce mode payant, avec une période d’essai très courte que tout se joue. En effet, le délai très court (trois jours par exemple) est fait pour que l’utilisateur ne pense pas à se désabonner et le prélèvement automatique est directement effectué.

Si le montant était d’1€ ou deux, ce serait gênant certes, mais pas catastrophique pour l’utilisateur. Le problème, c’est que ces applications appliquent des frais exorbitants. En effet, des témoignages relayés par Sophos font état de prélèvement de 104€ voir de 214€ pour des applications très basique après une brève période d’essai. De même, le fait de désinstaller l’application ne supprime pas l’abonnement et certains témoignages expliquent même avoir suivi la procédure de désinscription, mais avoir quand même été facturés.

Si Google avait réagi a l’alerte de Sophos l’année dernière, la société spécialisée dans la sécurité se désole de l’ampleur que prends le phénomène. Dans un billet de blog, elle explique que depuis ce billet et la réaction de Google “les Fleeceware restent un gros problème sur Google Play. Depuis notre publication de septembre, nous avons vu de nombreuses autres applications Fleeceware“. En effet, la société en liste 25 nouvelles, comptabilisant 600 millions de téléchargements sur le Play Store. Un chiffre qui aurait pu être gonflé par les développeurs de ces arnaques, pour donner une impression de légitimité. 

Il convient donc d’être très prudent lorsque vous essaierez une application avec un mode payant avec une période d’essai sur votre smartphone Android. Dans la nouvelle liste publiée par Sophos, on trouve notamment une application de récupération de photo avec une souscription annuelle de 199.99$, on imagine très bien la mauvaise surprise qu’un tel versement pourrait être pour un utilisateur.

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Facebook abandonne l’idée d’afficher des publicités sur son application WhatsApp

Le projet a finalement été abandonné par le plus gros réseau social du monde : WhatsApp n’affichera pas de publicités.

WhatsApp est une application de messagerie instantanée dont le succès résonne à travers le monde. Son propriétaire, Facebook cherchait donc une méthode pour en faire une application rentable et l’une des pistes de réflexion était d’y intégrer des publicités, comme pour Messenger. Le projet faisait grincer des dents les utilisateurs lorsqu’il avait été révélé en mai dernier, mais le Wall Street Journal, relayé par Frandroid, révèle que le géant américain a finalement abandonné le projet.

En effet, on y apprends qu’une équipe dont le domaine était l’intégration des annonces publicitaires dans WhatsApp a été dissoute. De même, toute trace de son travail aurait été effacé du code de l’application mobile. Cependant, cela ne veut pas dire que WhatsApp sera complètement sans pub. En effet, Facebook compte toujours en intégrer à l’équivalent des stories Instagram de son application.

La firme voudrait cependant plutôt miser sur des solutions dédiées aux entreprises pour rentabiliser son service, notamment pour celles souhaitant proposer un service client via l’application. Donc pas de crainte à avoir pour les utilisateurs particuliers : vos messages ne seront pas entrecoupés de publicités.

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Free Mobile: le Redmi Note 7 “spécial Free” bénéficie d’une nouvelle promo

Il s’agissait de l’un des coups de coeur de l’année dernière de la rédaction, le Redmi Note 7 édition 700 bénéficie d’une nouvelle promo dans la boutique en ligne.

Le prix du smartphone avait déjà été revu à la baisse en décembre dernier avec l’arrivée de son successeur dans la boutique de l’opérateur, passant de 199€ à 179€. Le Redmi Note 7 dans sa version compatible avec la bande-fréquence 700 MHz voit une nouvelle promo lui être appliquée, de 10€.

Ainsi le smartphone qui a fait office de référence dans l’entrée de gamme durant l’année 2019 voit son prix passer de 179€ à 169€ pour une commande au comptant. La réduction s’applique également en 4x sans frais, avec une première commande de 43€ puis 3 fois 42€. En 24 fois sans frais, il faudra s’acquitter d’un premier paiement de 49€ puis 24 fois 5€.

Pour rappel, il s’agit ici d’une édition spéciale, réservée à Free et compatible avec la fréquence B28 chère à l’opérateur. Univers Freebox en avait réalisé un test détaillé que vous pouvez retrouver ici.

 

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Le Samsung Galaxy Note 10 Lite est déjà disponible en précommande en France

La version abordable de la gamme Galaxy Note de Samsung a été officialisée durant le CES 2020. Le Galaxy Note 10 Lite est ainsi déjà disponible en précommande, avec une sortie en France prévue prochainement.

C’est une première pour un Galaxy Note : un smartphone plus abordable dans une gamme qui est habituellement portée sur le haut de gamme et l’innovation. Le Samsung Galaxy Note 10 Lite est ainsi 350€ moins cher que le Galaxy Note 10 classique, et il est évident que le fabricant a dû faire quelques concessions.

Le S Pen par exemple, stylet emblématique de la série possédera ainsi moins de fonctionnalité que celui de ses grands frères. Le design a également été revu avec des bordures plus prononcées et son dos passant d’une surface en verre à une surface mi-verre, mi-plastique. Niveau caractéristiques techniques, on trouve le SoC Exynos 9810, équipant les Galaxy S9 et S9 Plus avec 6 Go de RAM. Une perte de performance par rapport aux portes-étendards récents du géant sud-Coréen, mais des capacités tout de même très convenables. 

Pas de charge sans fil pour le Note 10 Lite, qui compense cependant avec une autonomie poussée et une batterie de 4500 mAh. Côté photo, on y trouvera un triple module polyvalent 12 Megapixels. Pour ce qui est de l’écran, il s’agit d’un écran Infinity-O de 6.7 pouces, Super AMOLED avec un lecteur d’empreinte sous la dalle.

Le modèle est déjà disponible en précommande sur certains sites comme Cdiscount ou Boulanger, au prix de 609 euros pour 128 Go. La sortie officielle se fera entre le 20 et le 28 janvier en France.

Source: Frandroid

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