Auteur : lucas

Hausse de tarif : la majorité des clients Orange et Sosh touchés, les abonnés ADSL et Open en particulier

L’opérateur historique a apporté des précisions sur la hausse de prix annoncée en mars prochain pour ses abonnés. A quelques exceptions près, tous seront concernés mais les montants supplémentaires varient selon la situation.

La faute à l’inflation, encore une fois. Alors que des premiers mails annoncent la couleur à certains abonnés, Orange explique plus en détail les tenants et aboutissants de sa hausse de tarif généralisée prévue pour l’année prochaine.

Ainsi concrètement, deux situations se présentent : si vous êtes client mobile ou fibre chez Orange ou Sosh, une hausse de 1€ sera appliquée sur votre offre. C’est également le cas pour les abonnés ADSL chez Sosh.

En revanche les abonnés ADSL d’Orange et ceux ayant souscrit à une offre Open (box + mobile) subiront une hausse de forfait de 2€, à laquelle il faudra par ailleurs ajouter 1€ par ligne mobile. Chaque abonné sera prévenu au moins un mois avant l’application de cette hausse.

Quelques exceptions sont à prévoir : les clients d’une offre mobile subventionnée avec un engagement de 24 mois, ceux qui détiennent des forfaits mobiles « Let’s Go » (utilisés par les abonnés qui voyagent beaucoup en Europe) et les clients à l’offre sociale « Coup de pouce ». Quant aux nouveaux abonnés, la hausse ne sera pas appliquée avant un an après la souscription. Cependant, c’est bien la majorité du parc d’abonné de l’opérateur historique qui sont touchés.

Il se justifie cependant auprès de la Tribune en expliquant être « directement impacté par une forte hausse de ses coûts d’exploitation, notamment concernant l’énergie, l’approvisionnement et les matériaux » avec une hausse attendue “de plus de 120%” de sa facture d’énergie cette année. Orange précise par ailleurs que ces augmentations auraient été plus importantes s’ils avaient pris en compte toutes les hausses de coûts, en affirmant que “les prix de nos offres restent parmi les moins chers d’Europe“.

 

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Le gouvernement envisage de faire baisser la résolution de Netflix et consorts pour soulager le réseau mobile

Une hypothèse actuellement discutée depuis le début de la semaine à Bercy à l’heure où toutes les idées pour économiser de l’énergie sont considérées.

Et si on passait à une moins bonne définition sur Netflix, Disney+ et compagnie ? Le numérique fait partie des secteurs sur lesquels le gouvernement pourrait pousser à faire des économies d’énergie. L’idée émerge d’un simple fait : aux heures de pointe, 80% du trafi de données fixes et mobiles provient des géants du streaming : Netflix, YouTube, Disney+ etc. En baissant la résolution, cela pourrait permettre une économie d’énergie pour les opérateurs.

L’idée présente également l’avantage d’éviter la saturation d’un réseau mobile qui risque de subir des délestages et ainsi le rendre plus disponible notamment pour les numéros d’urgence. Éviter un réseau surchargé était déjà la motivation première du gouvernement lors du premier confinement en mars 2020. C’était pour cette raison que Disney+ avait d’ailleurs retardé son lancement de quelques semaines. Cependant, cette mesure n’avait pas vraiment influé la consommation énergétique des réseaux.

Cependant, «réduire le volume de données transportées aurait un impact sur les réseaux mobiles, explique un opérateur télécoms, sans donner de chiffres exactes. Cela nous permettrait d’éteindre certaines antennes, notamment la nuit, et donc de réduire la consommation d’électricité». Sur le fixe, l’effet reste très marginal une fois le réseau dimensionné pour un certain volume. Mais la question est donc posée, notamment alors que les opérateurs affirment surdimensionner leurs réseaux et leurs infrastructures pour supporter l’afflux de données de Netflix et compagnie.

Source : Le Figaro

 

 

 

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Fermeture du cuivre : Orange dévoile les 162 premières communes concernées

Un lot ayant fait l’objet de consultations et revu à la baisse. L’Avicca, l’association des collectivités engagées dans le numérique apporte son avis sur l’annonce de l’opérateur historique

Un chantier parallèle à celui du déploiement de la fibre optique, mais tout aussi important est la fermeture du réseau cuivre. Une première sélection a déjà été faite pour lancer la coupure et un second lot devrait bientôt être communiqué par Orange.

Ces 162 communes indiquées directement dans ce document sont réparties dans divers département et ont fait l’objet de concertations entre les collectivités locales, les opérateurs et le régulateur des télécoms et a entraîné le retrait de 19 communes, soit 47 000 locaux du plan initial. Certaines collectivités ont par ailleurs été retirées alors qu’elles avaient exprimé des doutes sur la fermeture du cuivre à l’heure où des malfaçons ternissent l’image de la fibre optique.

Cette question de l’image de la fibre que les opérateurs malmènent de manière persistante aura à n’en pas douter un très fort impact pour garantir une bascule complète et rapide des abonnés satisfaits de leur service ADSL et VDSL vers le FttH.
Avicca

Si elle affirme que les discussions n’ont fonctionné “qu’à sens unique”, l’Avicca salue la démarche de concertation permise par Orange. Pour cette première salve de foyers où l’ADSL disparaîtra, presque tous les opérateurs d’infrastructure sont concernés, à l’exception de TDF.

Certains points restent discutés, notamment la complétude des déploiements nécessaire pour une coupure du réseau cuivre. Sur les 162 communes proposées, 104 sont dotées avec 98 ou 99% de prises raccordables. Cependant, 30 communes sont “beaucoup moins bien couvertes, l’une d’entre elle n’atteignant que 87%”. Elles représentent 8000 locaux qui restent à déployer avant la coupure et l’Avicca indique que “les premiers retours des expérimentations montrent que le nombre de réfractaires au changement de technologie est tout sauf anodin. De même, certaines prises, notamment s’agissant des locaux professionnels, sont en nombre insuffisants. Inutile donc de s’encombrer dès le début de milliers de locaux potentiellement problématiques à raccorder.” L’association indique en effet qu’à côté de ces zones complexes, 5109 communes sont raccordables à 100%, 1772 le sont à 99% et 1523 à 98%, “soit près d’une commune sur 4“en France.

Certes, le critère de complétude subsistera et aucune commune ne devrait réellement pouvoir être fermée sans complétude. De même, l’Avicca ne fait aucun procès d’intention aux opérateurs d’infrastructure en charge des communes les moins bien couvertes dans ce premier lot, ceux-ci ayant assurés Orange et l’Arcep de terminer les déploiements avant la fermeture effective du réseau cuivre. Mais il y a lieu, d’une part, de minimiser les difficultés de déploiements, surtout s’agissant des premiers lots, et d’éviter, d’autre part, d’adresser à l’écosystème un message pouvant troubler la sérénité indispensable au lancement de cet immense et nécessaire chantier.” affirme-t-elle.

En marge de ce premier lot, Orange a également exprimé sa volonté d’expérimenter la fermeture du cuivre en zone très dense, plus précisément sur la commune de Vanves et certains quartiers du centre de Rennes. Une idée qui paraît bonne à l’Avicca mais qui doit respecter les gardes-fous demandés par une partie importante des collectivités concernées à savoir : une complétude à 100% des locaux raccordables et l’impossibilité de fermer en zone très dense à une échelle infra communale. Or, ni Rennes ni Vanves ne sont raccordables à 100% et seuls certains quartiers de Rennes sont concernés explique l’association.

 

 

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M6 se dit “serein” pour sa place sur la TNT, “les nouveaux entrants sont souvent les premiers sortis”

Pour Nicolas de Tavernost, président du directoire du groupe M6, il est peu probable que la chaîne perde sa licence.

C’est le dossier chaud du moment dans l’audiovisuel français : M6 et TF1 arriveront-ils à conserver leurs fréquences sur la TNT ? Alors que la potentielle candidature de Xavier Niel pour remplacer M6 fait parler d’elle, Nicolas de Tavernost affirme ne pas s’inquiéter.

Je suis serein. Cela fait trente cinq ans qu’avec les équipes nous avons bâti ce groupe autour de M6, qui a toujours respecté ses engagements et ses cahiers des charges” explique-t-il au Figaro. Il rappelle également que le groupe M6 a déjà pu se montrer innovant et agile, comme une réponse aux critiques de NJJ Médias, appartenant au fondateur de Free. Une confiance s’appuyant sur des bases assez solide puisque “depuis 2015, M6 est la chaîne préférée des Français. Cinq de nos animateurs figurent dans le top 10 des personnalités télés préférées des Français. M6 a besoin de la TNT et la TNT a besoin de M6.

Nicolas de Tavernost affirme qu’il est “difficile de créer une chaîne“, faisant appel à son expérience passée. Il explique par ailleurs que M6 a investi “massivement et perdu de l’argent durant cinq ans”, pointant du doigt qu’à “quelques exceptions près, notamment les chaînes spécialisées, l’arrivée de nouveaux entrants, malgré les promesses formulées, n’a pas considérablement enrichi le paysage audiovisuel français. Certaines chaînes vivotent aujourd’hui, d’autres ont disparu ou ont été revendues. Sur la TNT, les nouveaux entrants sont souvent les premiers sortis.

La TNT reste un secteur important pour les chaînes selon lui. ” La TNT n’est pas simplement utile, elle est indispensable pour avoir la maîtrise du lien direct avec le public. Il existe, en effet, deux moyens privilégiés pour conserver ce lien. L’OTT, c’est-à-dire un accès via notre application actuelle 6Play sur les téléviseurs connectés, les tablettes, les ordinateurs et les smartphones. L’autre moyen, c’est la TNT, qui a des atouts très importants : elle permet un accès gratuit à M6, elle couvre la quasi-totalité de la population, notamment les zones rurales, et est économe en énergie” affirme-t-il qualifiant cette technologie pourtant vieillissante “d’assurance tous risques“.

Il ne nie pas le fait que beaucoup de Français ont accès à la télévision depuis la box de leur opérateur, mais entend rester attentif par rapport à ces partenaires. “On ne peut pas mettre demain dans leurs seuls mains le choix de ce que regardent les Français. Nous avons besoin des box, à condition de ne pas être relégué, notamment derrière les plateformes américaines” affirme-t-il. Le passage au tout-numérique, s’il faut s’y préparer, viendra progressivement d’après le président du directoire de M6.

Source : Le Figaro

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Orange et l’Arcep en conflit ouvert, les raisons de la discorde entre l’opérateur et le régulateur

Si la situation durant la crise sanitaire s’était apaisée, l’opérateur historique s’attaque de nouveau à l’Arcep et ce dernier n’entend pas se laisser faire.

Des querelles interne sur fond de déploiement de la fibre et du prix du dégroupage. Orange a déjà brandi la menace de “lourds contentieux” avec l’Arcep sur un sujet tandis que ce dernier l’a mis en demeure de respecter ses engagements dans le cadre du nombre de prises déployées en France. Le signe d’une nouvelle gouvernance selon la présidente de l’Arcep, Laure de la Raudière.

Du côté de l’opérateur historique, c’est la réactivité et la capacité d’adaptation du régulateur qui sont attaquées. La nouvelle directrice générale Christely Heydemann l’a déclaré sans prendre de pincettes devant le Sénat : “par essence, les autorités administratives indépendantes sont indépendantes, mais elles sont placées sous le contrôle du Parlement. Elles ont des comptes à vous rendre “. C’est sur deux points précis que l’achoppement a lieu, avec des reproches des deux côtés.

Sur le sujet du prix du dégroupage, Christel Heydemann estime avoir tenu ses engagements vis-à-vis d’un accord signé avec le prédécesseur de Laure de la Raudière pour augmenter le tarif imposé aux autres opérateurs utilisant le réseau cuivre de d’Orange.  “L’Arcep n’a rien fait, alors que tout était prévu” déplore-t-elle. Si une grande analyse de marché est prévue l’année prochaine pour déterminer s’il faut changer les règles, l’Arcep rétorque qu’on “ne deale pas avec une autorité indépendante”. Sa présidente explique qu’Orange leur a écrit mi-octobre “avec une série de demandes que nous avons examinées. L’une d’entre elles, sur un volet fiscal propre aux télécoms [la taxe IFER] nous a paru légitime. Cela pourrait conduire ainsi à une augmentation d’une trentaine de centimes du prix du dégroupage. Mais pour les autres demandes, l’Arcep n’est pas d’accord avec Orange “.

Viennent ensuite les reproches adressées à Orange, sur le déploiement de la fibre optique et les retards observés dans certaines zones. “Je suis la première à reconnaître et à saluer le degré de déploiement de la fibre optique en France. Mais je rappelle aussi les engagements d’Orange. Au regard de ceux-ci, il manque des prises. C’est pourquoi l’Arcep a mis Orange en demeure pour lui faire respecter ses engagements. C’est le travail du régulateur”, explique Mme de la Raudière. Des “menaces de sanctions” peu appréciées par la direction de l’opérateur. Des conflits qui font craindre de potentielles retombées négatives aux autres opérateurs.

Source : Le Monde

 

 

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Ça s’est passé chez Free et dans les télécoms : la Freebox passe à une tout autre définition, SFR fait ses premiers pas dans le mobile…

Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …


14 décembre 2004 : Free donne le coup d’envoi de la TV en HD par l’ADSL

Une avant-première mondiale ! Le 14 décembre 2004, Free annonçait la diffusion de deux chaînes en haute définition via son nouveau réseau ADSL 2+. Cette diffusion a été réalisée en partenariat avec France Télévisions, sur deux canaux, avec des programmes provenant des chaînes du groupe.

Une démonstration de force pour le réseau de Free à l’époque, qui souhaitait commercialiser la TV en HD à l’avenir, une fois la haute définition proposée par assez de chaînes.


15 Décembre 1992 : SFR ouvre le deuxième réseau GSM en France

C’est l’arrivée du deuxième opérateur après France Télécom sur le marché de la téléphone mobile. Bien que le marché du téléphone mobile soit encore réservé à un public de niche, le 15 décembre 1992 marque les premiers pas d’un autre opérateur que France Telecom dans ce domaine, nommé SFR. Bouygues Telecom suivra, deux ans plus tard.

La téléphonie mobile mettra plusieurs années à s’installer dans les poches des français. Si pendant deux ans, Itinéris et SFR rivaliseront d’opérations de communication pour engranger des abonnés, c’est peu de temps avant l’arrivée d’un troisième opérateur que le premier forfait grand public débarque, nommé “Déclic” et lancé par France Télécom. Pour vous donner une idée, deux ans après le lancement du réseau de SFR, le nombre d’abonnés en France est alors de 280 000.

L’occasion de vous montrer l’un des premiers téléphones GSM français : l’Alcatel 9109 HA !


15 décembre 2009 : Free lance l’enregistrement des programmes à distance

La Freebox n’en finit pas d’être enrichie de nouvelles fonctionnalités. Le 15 décembre 2009, l’opérateur de Xavier Niel annonce une nouvelle fonction pour son magnétoscope numérique inclut dans les Freebox HD : l’enregistrement à distance. Dès cet instant, les abonnés pouvaient ainsi programmer leurs enregistrements depuis leur espace abonné. Si ce n’est pas encore une application pour smartphone (le terminal n’étant pas encore très démocratisé), la fonctionnalité était assez complète avec plusieurs types d’enregistrements proposés.

Il était ainsi possible de programmer un enregistrement immédiat, différé, ponctuel ou périodique mais aussi de réaliser l’opération directement depuis votre grille des programmes. La qualité de l’enregistrement était adapté aux définitions proposées par les différentes chaînes de Freebox TV : HD, SD ou version “bas débit”. A noter qu’il était également possible d’enregistrer ses programmes sur un disque dur externe et d’en réaliser deux en même temps. Merci Free !


15 décembre 2020 : Free Mobile lance sa 5G, sans surcoût

Si Free n’a pas été le premier, il a été le moins grippe-sou ! L’opérateur de Xavier Niel a en effet été le seul à proposer la 5G sans surcoût dans son offre à 19.99€. Pour l’occasion, l’enveloppe de data de ce forfait a d’ailleurs été revu à la hausse, passant de 100 à 150 Go par mois. Il évoluera ensuite pour passer à 210 Go.

Outre la vente de forfaits, l’opérateur frappait également très fort en annonçant d’emblée posséder le réseau 5G le plus étendu de France. Une prouesse réalisable grâce à l’utilisation des fréquences 700MHz, déjà utilisée pour la 4G, lui permettant à l’époque de couvrir 40% de la population dès le réseau activé. Free n’est cependant pas reposé sur ses lauriers, puisqu’il couvre, deux ans après plus de 87% de la population en 5G. Pour l’occasion, Xavier Niel avait d’ailleurs mouillé la chemise…


16 Décembre 1997 : Création de Neuf (connue sous le nom 9 Telecom)

Le fournisseur d’accès à Internet est né le 16 décembre 1997, sous l’impulsion du groupe Bouygues. Sa première offre commerciale double play sera lancée en 2002, sous le nom simple de “Tout9”, et proposait à l’époque l’accès à internet (jusqu’à 8 Mbit/s) et la téléphonie sur IP. Pour le triple-play, il faudra attendre la Neufbox Trio3C, en 2004, avec l’intégration de l’ADSL2+ et le support d’un décodeur NeufTV. L’opérateur a fourni l’ADSL pour 4.4 millions d’abonnés en 2007 avant d’être racheté par SFR l’année suivante.


8 Décembre 2009 : Free mobile obtient la licence 3G

Free mobile est le quatrième opérateur à obtenir cette licence en fin d’année 2009. Lors de l’annonce de son acquisition le 18 décembre 2009, Iliad voit déjà en cette licence l’occasion de devenir un “acteur majeur” du domaine et de “libérer l’usage du mobile au bénéfice du consommateur“.


18 décembre 2019 : Canal+ Séries débarque sur toutes les Freebox

Il aura fallu quelques mois pour le service de SVOD de Canal soit disponible pour l’ensemble des abonnés Freebox le 18 décembre 2019. En effet, la plateforme avait été lancée en mars de la même année. Encore aujourd’hui, Canal+ Séries est disponible sur les box de Free et fait même l’objet d’une promotion pour les abonnés Pop, Delta et Révolution, puisqu’il est inclus 12 mois sur ces offres

Le service Canal+ Séries est maintenant disponible pour tous sur la Freebox, avec 1 mois offert

 

 

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Apple : vers d’autres magasins d’applications sur iPhone et iPad

Si Apple franchit ce pas décisif, on pourrait parler d’une révolution dans le monde du smartphone avec une nouvelle ouverture de la part de la firme de Cupertino.

D’après les informations de Bloomberg, Apple se préparerait en effet à autoriser des magasins d’applications tiers sur ses appareils mobiles (iPhone et iPad). Un changement motivé directement par une nouvelle directive européenne nommée le Digital Markets Act.

Cette réglementation à laquelle les géants du numérique doivent se conformer dans les prochains mois impose notamment une meilleure ouverture à la concurrence , y compris pour les boutiques d’applications. Plus concrètement, si vous possédez un iPhone ou un iPad, vous pourriez ainsi télécharger des applications autrement que sur l’App Store.  L’obligation de se mettre à jour vis à vis du DMA est fixée à mars 2024 au grand maximum, mais les règles imposées censées commencer dès le 2 mai prochain.

D’autres changement sont à venir suite à des décisions de l’Union Européenne, notamment celle de proposer des iPhone avec une connectique USB-C au plus tard en décembre 2024.

Source : via Clubic

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Fibre optique : une nouvelle méthode de déploiement, plus écologique, moins chère et rapide

TDF présente une nouvelle méthode de déploiement écologique de la fibre optique nommée “Greenpose”, se voulant plus vertueuse.

La fibre passe le long de nos routes, parfois visible sur des poteaux mais parfois cachée en sous-terrain. L’opérateur d’infrastructure TDF a établi un partenariat avec la société de génie civile OT Engineering pour mettre en place dans le Val de Loire une nouvelle technique  pour enterrer les câbles de fibre de manière écologique, en comparaison au déploiement traditionnel de la fibre.

Cette technique nommée greenpose consiste concrètement à déposer un liant mélangé à la terre afin de remplacer le béton. Dans une vidéo explicative, l’opérateur d’infrastructure présente un chantier Greenpose représentant près de 7 kilomètres de génie civil dans la commune de Continvoir. Pour apporter la fibre à environ 600 habitants d’ici la fin de l’année, l’entreprise OTE va donc pouvoir utiliser sa méthode développée depuis trois ans.

Sur ce chantier, c’est donc le traitement de sol qui est privilégié en utilisant directement les matériaux déjà sur place qui sont traités avec un liant. Le fonctionnement est assez simple à comprendre : un porte touret déroule les tubes contenant la fibre à l’avant de ce chantier mobile et vient ensuite un camion unique se chargeant de quatre actions. Il creuse la tranchée, traite les déblais puis pose les fourreaux au fond de fouille et la remblaie directement avec la terre à laquelle a été ajoutée ce fameux liant. Un troisième véhicule équipé d’une roue de compactage s’occupe ensuite de tasser la tranchée pour ensuite être mis au propre avec une balayeuse et une mini-pelle. Le chantier utilise ainsi 3 machines au lieu de 5.

Dans la vidéo, le responsable d’OTE explique les nombreux avantages de cette pratique. Le premier point et l’apport écologique puisque la Greenpose permet de réduire notre impact carbone de 95% par rapport à une méthode classique, soit 33 tonnes de Co2 économisés par km de fibre déployée. Cette économie est permise par l’absence du “balai des camions toupie qui gravitent autour d’un chantier traditionnel“, il n’y a aucun déchet à évacuer ou à traiter et l’utilisation du béton et très réduite par rapport à la méthode classique.

Est également mise en avant la sécurité des usagers, puisque les tranchées ne restent pas ouvertes au bord de la route. De plus, cette technique permet une vitesse d’exécution très rapide, allant jusqu’à 350 mètres de fibre déployée par heure. Sur le RIP de Val de Loire Fibre opéré par TDF, l’objectif est de réaliser 200 kilomètres de fibre déployée grâce à la technologie Greenpose.

 

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La Freebox Révolution fête ses 12 ans

Une box qui a bouleversé le marché a été lancée le 14 décembre 2010. Retour sur la Freebox emblématique qui fête aujourd’hui son douzième anniversaire : la Freebox Révolution.

Difficile de l’oublier tant elle aura marqué les esprits : la Freebox Révolution entame aujourd’hui sa treizième année d’existence. Irréductible, elle reste encore très populaire et représente une part importante du marché des box chez Free. Et pour cause, lors de son lancement, elle n’avait pas volé son nom. Au menu, lecteur Bluray, média-center, console de jeu, NAS de 250Go accessible facilement, appels vers les mobiles… de quoi inquiéter clairement la concurrence puisque Free la proposait à son tarif historique : 29.99€/mois.

La Freebox voulait également proposer une interface TV intuitive qui est resté sensiblement la même malgré quelques évolutions avec le temps et comment oublier la télécommande iconique équipée d’un gyroscope à 3 axes permettant de surfer facilement sur le web. Du côté du Server, on pense également à l’intégration dès le lancement d’un contrôle parental, du téléchargement automatique depuis la box de fichisers selon certains protocoles ou encore le monitoring de la bande-passante…

Avec son apparence si particulière, que l’on doit à Philippe Starck, célèbre designer, elle est instantanément reconnaissable. Pour beaucoup d’ailleurs, l’offre actuelle tient encore la route maintenant, malgré l’évolution de son tarif en 2018 avec un tarif promotionnel la première année. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si elle fait encore l’objet d’offres spéciales sur Veepee alors que la mini 4K, plus récente, n’est plus proposée par l’opérateur sur son site web. La sixième Freebox en a encore sous le coude et continue d’accueillir des mises à jour et des améliorations.

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En effet, la “V6” comme elle était appelée a par exemple bénéficié d’une amélioration de son WiFi en 2020 suite au lancement de la Freebox Pop permettant ainsi d’augmenter ses performances sans même avoir à changer de matériel. D’autres mises à jour sont venues depuis, elle a par exemple intégré Netflix et Amazon Prime, mais Disney+ ne sera malheureusement pas de la partie. De même, en octobre 2021 la Freebox Révolution est devenue compatible avec Alexa.  Elle a également bénéficié d’un nouveau menu de réglages économie d’énergie en octobre ou encore d’un économiseur d’écran le 21 novembre dernier.

Et Free n’en a pas fini avec les nouveautés pour sa Freebox phare : plusieurs évolutions importantes sont prévues. Notamment avec l’intégration du nPVR (Network Personal Video Recorder), qui n’est autre qu’un espace personnel d’enregistrement non physique dans le cloud ou nuage,  mis à disposition des abonnés. “Cela permettra par exemple de faire le lien avec les enregistrements réalisés sur Oqee pour les consulter sur le player Révolution”, nous a fait savoir Maxime Bizon, chef d’équipe software Freebox lors de la journée des Communautés Free.  Avec cette intégration, le start-over pourrait suivre mais certaines problématiques gênent son déploiement, surtout le niveau de l’impact sur les réseaux au vu de l’importance du parc Révolution. Plus concrètement, des évolutions sont prévues au sujet de l’interface TV qui doit rester la même mais accueillir des fonctionnalités présentes sur Oqee.

 

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Orange annonce une hausse de tarif à venir pour ses abonnés fixe et mobile et se justifie

Des abonnés Orange commencent à recevoir un mail leur indiquant une hausse de tarif dès le mois de mars 2023, pour compenser l’augmentation des coûts de l’énergie.

En début d’année, la facture de certains abonnés Orange augmentera d’un ou deux euros. C’est en effet la teneur du mail envoyé par leur opérateur qui annonce faire face « à une augmentation importante de [ses] coûts d’exploitation, en particulier de l’énergie qui alimente [ses] réseaux mobile et internet ».

Ainsi, les tarifs des abonnements fixes et mobiles vont augmenter, avec des frais supplémentaires variant entre 1 et 2€ mensuels. Dans le cadre du forfait 2h , l’augmentation sera de 1€/mois mais pour d’autres abonnements comme une offre Open (box+mobile), la hausse sera de 2€. Une augmentation effective dès le mois de mars 2023.

L’opérateur s’explique en indiquant qu’une partie de la hausse de l’énergie n’est pas répercutée sur la facture et qu’il a ainsi limité l’augmentation à 1 ou 2€ supplémentaires. Conformément à la loi, il est également possible de changer d’offre ou de résilier sans frais dans les 4 mois suivant la notification de votre opérateur par mail. Si vous ne l’avez pas encore reçu et que vous souhaitez mettre fin à votre abonnement, il est important d’attendre la confirmation de la part de votre opérateur avant de procéder à la résiliation pour éviter les frais.

Source : Alloforfait

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