Auteur : dimitri

Xiaomi Mi 10 Lite : test du smartphone 5G disponible à moins de 400 euros dans la boutique Free Mobile

Univers Freebox a pu tester le Xiaomi Mi 10 Lite à moins 400 euros, qui présente plusieurs arguments, dont celui d’être prêt pour les futurs réseaux 5G. Voici nos impressions après plusieurs jours de test.

Avant de passer au test, voici un rappel des principales caractéristiques du Xiaomi Mi 10 Lite, qui s’affiche en ce moment à 369 euros sur la boutique de Free Mobile (au lieu de 399 euros) et dont un exemplaire 6 Go + 128 Go nous a été prêté par la marque :

 

 


Fiche technique du Xiaomi Mi 10 Lite : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,4 GHz (chipset Snapdragon 765G)
–   Mémoire vive : 6 Go en LPDDR4x


–   Écran : dalle AMOLED 6,57 pouces avec une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels)
–   Audio : son sortant de la tranche inférieure
–   Stockage : 64 ou 128 Go, non extensible par MicroSD


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche inférieure
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–   Compatibilité 5G : oui


–   Quadruple capteur photo au dos (organisation en carré) : 48 + 8 + 2 + 2 Mégapixels
–   Capteur photo à l’avant : 16 Mégapixels dans une encoche goutte d’eau


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche supérieure)
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11a/b/g/n/ac
–   Connectivité Bluetooth : version 5.1
–   NFC : oui


–   Batterie : 4 160 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 20 Watts (bloc 22,5 Watts inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface MIUI


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal ou lecteur d’empreintes digitales sous l’écran
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : juin 2020


 

Un smartphone qui fait son petit effet à la sortie de la boîte

Le Xiaomi Lite 10 Lite existe en trois finitions blanc céleste, bleu boréal et gris cosmos. Nous avons eu la seconde qui fait son petit effet au déballage. Un brin tape-à-l’oeil, mais sans faire dans l’exagération.

Cerise sur le gâteau, la coque de protection fournie est transparente et ne masquera pas ce joli design, tout en rendant le smartphone moins glissant, moins sujet aux traces de doigt et moins bancal sur le dos (à cause du bloc photo arrière qui dépasse).

La prise en main est en tout cas excellente, que ce soit avec ou sans cette coque.

Un écran AMOLED, mais pas de son stéréo

Côté écran, on a de l’AMOLED pour de belles couleurs et des noirs profonds, mais il faudra composer avec la petite encoche – qui se fait rapidement oublier, cela dit -, et faire l’impasse sur le taux de rafraîchissement 90 Hz.

Toujours concernant les couleurs, il sera d’ailleurs possible d’en régler la chaleur depuis les paramètres du smartphone. Pour finir sur l’écran, nous n’avons pas noté de problème de luminosité particulier pour l’usage en extérieur.

Au chapitre son, hormis l’absence de stéréo, il n’y a pas vraiment à se plaindre. Le son est puissant et profite d’un début de basses qui donne du relief, que ce soit en musique, en vidéo ou en jeu vidéo. Logé dans un coin d’étagère, le smartphone peut faire office d’enceinte d’appoint dans une soirée tranquille entre amis. Bien évidemment, cela ne vaudra pas une bonne enceinte Bluetooth.

À propos des écouteurs fournis, on est en terrain connu. Efficaces, ce sont en effet les mêmes que nous avions notamment avec le Redmi Note 7.

Leur branchement se fera ainsi en mini-jack. La prise se trouve dans la tranche supérieure. Vous aurez donc le choix entre le mini-jack ou le Bluetooth pour le branchement des dispositifs audio.

Une partie photo imparfaite, mais intéressante

Passons maintenant à la partie photo. Xiaomi ne prend pas de risques avec suffisamment de polyvalence pour satisfaire le plus grand monde. On a de l’ultra grand-angle, du mode portrait, de la macrophotographie et du mode nuit au programme. Le module à selfies ne s’en sort pas trop mal et permettra d’avoir des selfies assez convenables pour les réseaux sociaux.

Une photo en extérieur avec ses versions ultra grand-angle et zoomée 2x :

D’autres photos en extérieur (voyez d’ailleurs le complot en préparation chez les volatiles sur le second cliché):

Des photos avec le mode macro qui permet de s’amuser un peu :

Des photos avec du flou d’arrière-plan, en intérieur, puis en extérieur :

Des selfies en intérieur et en extérieur :

Des clichés de nuit en extérieur avec le mode dédié (notez d’ailleurs la seconde prise de vue avec ce mur crème devenant bleu, malgré plusieurs tentatives) :

Une photo le soir, en intérieur, avec peu d’éclairage et un sujet qui bougeait un peu :

Sauf à vouloir faire de la publicité pour votre smartphone sur les réseaux sociaux, vous pourrez désactiver le watermark activé par défaut. Dans l’application photo, il faut aller dans “Paramètres/watermark”.

 

Un smartphone dual-SIM, B28 et 5G

Le smartphone est compatible dual-SIM, avec deux logements SIM dans un tiroir de la tranche inférieure. Il fonctionne avec les réseaux 4G et 5G. Faute de réseau 5G au moment du test, nous n’avons pu tester que les débits en 4G, sur le réseau Free Mobile.

Voici des débits obtenus en intérieur :

 

Des débits en extérieur :

Notez que le Mi 10 Lite gère la 4G 700 MHz, soit la B28 chère à l’opérateur de Xavier Niel. Une bonne chose pour les abonnés Free Mobile.

Le jeu ? Une formalité !

Avec un chipset Snapdragon 765G, le jeu est sans surprise une pure formalité. Nos habituelles titres Asphalt 9 et Call of Duty Mobile se chargeaient rapidement et tournaient avec de beaux graphismes. Pas de chauffe dérangeante.

En revanche, l’autonomie fond doucement, mais sûrement. Avec 35 minutes de COD, nous sommes ainsi passés de 37 à 21 %. Amateurs de jeu mobile, vous voilà prévenus.

Côté benchmarks, l’outil AnTuTu positionne le Xiaomi Mi 10 Lite en dessous du OnePlus Nord doté du même chipset Qualcomm et au-dessus du Samsung Galaxy Note9, un ancien haut de gamme de fin 2018.

Disk Speed affichait quant à lui 529 Mo/s en écriture et 0,91 Go/s en lecture pour la mémoire interne. Voilà qui explique les installations et chargements rapides. D’ailleurs, pas d’extension par carte MicroSD au programme.

La journée, voire un peu plus

L’autonomie variera évidemment selon les usages de chacun. Dans notre cas, la batterie 4 160 mAh permettait de passer la première journée sans nous priver et d’envisager une demi-journée en plus.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : départ à 11h30 avec 100 % et arrivée le lendemain à 20h17 avec 19 %

– 55 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 50 minutes de streaming audio avec le son du smartphone
– 40 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 55 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– Consultations et alertes Gmail / Twitter
– Pas mal de surf sur Internet
– SMS
– Photos
– 3 mises à jour d’applications
– 6 téléchargements d’applications, dont 3 gros
– Une mise à jour du système pesant 910 Mo
– Tests de débits
– Benchmarks

Le Xiaomi Mi 10 Lite supporte la charge 20 Watts via l’USB-C, ce qui permet d’avoir une charge dans un temps raisonnable. Le constructeur d’ailleurs un bloc chargeur légèrement plus puissant de 22,5 Watts. Pas de charge sans-fil, par contre.

Ci-dessous, un suivi de charge :
– 10h16 : 5 %
– 10h21 : 12 %
– 10h26 : 22 %
– 10h31 : 31 %
– 10h36 : 40 %
– 10h41 : 50 %
– 10h46 : 59 %
– 10h59 : 84 %
– 11h04 : 88 %
– 11h09 : 92 %
– 11h30 : 100 %

L’interface MIUI avec une base Android 10

Le Xiaomi Lite 10 Lite profite d’une interface assez complète en termes de fonctionnalités (mode nuit, mode ne pas déranger, mode écran divisé, possibilité de cacher l’encoche, second espace, etc.).

  

 

Il y a un petit lot d’applications préinstallées dans le cadre de partenariats commerciaux, qui ont le mérite d’être bien rangées et supprimables.

 

Les solutions de déverrouillage avancées, à savoir le lecteur d’empreintes sous l’écran et la reconnaissance faciale, ont toujours fonctionné à merveille durant notre test.

Toujours au volet de la sécurité, nous avions enfin les patchs de sécurité de juin 2020 durant notre test.


VERDICT

Au regard de son prix sous la barre des 400 euros, le Xiaomi Mi 10 Lite se présente comme une belle proposition à défaut d’être parfait en tous points.

En main ou à l’oeil, il respire la qualité. Au quotidien, il offre un bel écran, de belles photos, de bonnes performances en multimédia, une autonomie convenable et une charge assez rapide. Compatible avec la 4G 700 MHz, il s’annonce également prêt pour la 5G. Cerise sur le gâteau, le constructeur n’est pas avare en accessoires, fournissant une coque de protection (de base, mais bien là), de bons écouteurs et un chargeur plus puissant que nécessaire.

En étant tatillon, on pourrait lui reprocher le son pas stéréo et l’absence de charge sans-fil, mais cela reste acceptable sous la barre des 400 euros. Il y a l’absence d’extension MicroSD.


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Auchan Telecom dégaine deux forfaits 20 et 50 Go en promotion dont les prix ne changent pas au bout d’un an

Auchan Telecom propose deux forfaits mobiles 20 et 50 Go à des prix promotionnels. Ils sont sans engagement et leurs prix ne changent pas après la première année.

Jusqu’au 9 septembre, Auchan Telecom propose des forfaits mobiles 20 et 50 Go à respectivement 9 et 10,99 euros par mois, au lieu de 9,99 et 16,99 euros par mois. Chose à noter : les tarifs promotionnels sont valables au-delà de la première année d’abonnement.

Sans engagement de durée, les forfaits en question comprennent par ailleurs les appels, SMS et MMS en illimité depuis la France métropolitaine. Utilisable depuis l’Europe et les DOM, le second prévoit en outre 5 Go de data en roaming, avec des débits 3G/3G+.

Notez qu’il faudra payer 10 euros pour la carte SIM triple découpe, au moment de la commande.

Comme Cdiscount Mobile ou NRJ Mobile, la marque Auchan Telecom appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile en France avec 2 millions de clients, d’ailleurs en passe d’être racheté par Bouygues Telecom. Elle utilise les réseaux de Bouygues Telecom, Orange et SFR.

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Tensions autour d’une antenne : un politique s’en mêle pour désamorcer la situation

Un politique intervient pour éviter l’enlisement d’un conflit entre Free et des riverains refusant l’implantation d’une antenne-relais. Pourtant dans son bon droit, l’opérateur de Xavier Niel serait prêt à venir discuter d’alternative.

La tension a bien du mal à redescendre à Montjuvin, dans le département de Haute-Loire, avec l’installation d’une antenne-relais censée d’améliorer la couverture réseau mobile sur la base de voile de Lavalette et de son parking. Ayant obtenu le soutien de la nouvelle municipalité, les riverains disent vouloir “défendre leur cadre de vie”, déplorant une installation trop proche des habitations, un impact sur la valeur de l’immobilier à proximité et un pylône de 40 mètres peu esthétique en guise d’accueil pour les visiteurs. La tension monte d’un cran alors que Free serait en droit de démarrer les travaux dès le 9 septembre.

Une intervention pour faire bouger les lignes

Laurent Wauquiez, président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, a décidé d’intervenir pour tenter de désamorcer la situation. “Il faut gagner du temps et trouver comment repousser la date limite de l’installation de cette antenne afin que Free ait moins de pression et soit plus détendu pour discuter”, indiquait-il ce dimanche 6 septembre, lors d’un rassemblement de riverains. Confirmant que “la situation juridique est tordue”, il a affiché son intention de mettre son “poids en entier dans la balance”.  Et de lâcher : “Free a besoin de nous, Région, et je leur ai dit que s’ils cherchaient à passer en force sur ce dossier, ils me trouveraient sur leur chemin. Le message a été, je crois, bien reçu”. Il a toutefois replacé les choses dans leur contexte, à savoir les obligations liées aux New Deal Mobile : “il faut reconnaitre que Free a une pression financière et qu’il est engagé sur des délais pour développer son réseau 4G sous peine d’astreintes financières importantes”. D’où la possibilité d’aides, “en cas de surcoût”, liés à des solutions alternatives.

En parallèle, les opposants ont poursuivi leur action. Le cabinet d’avocats sollicité par les opposants évoque d’ailleurs des “éléments tangibles” à exploiter dans le cadre de cette affaire. Spécialisé dans les questions d’antennes, il conseille d’ailleurs depuis des années l’association Robin des Toits. Aux sujets des opposants, Laurent Wauquiez a promis des aides financières. “Je n’admets pas que vous engagiez de l’argent de votre poche alors que votre combat est un combat plus large pour préserver ce site qui, s’il n’est pas totalement naturel, est un des joyaux de notre département et qu’à ce titre il mérite d’être préservé. Je m’engage à ce que cela ne vous coûte rien personnellement”, a-t-il en effet indiqué.

Une rencontre prévue en septembre

Si Free n’hésite pas à aller devant les tribunaux quand il en a marre et pourrait dans le cas présent démarrer les travaux du fait l’expiration du délais d’opposition, l’opérateur aurait ici accepté une rencontre courant septembre afin de discuter d’alternatives. Rappelons d’ailleurs que l’installation avait été un temps envisagée au village Chenereilles, avant d’être proposée au village de Montjuvin. Un choix permettant au passage d’améliorer la couverture du village de Verne, où la couverture de l’opérateur de Xavier Niel est jugée faible.

Source : Zoomdici

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Orange parle de ses poteaux connectés devant faciliter les interventions en cas d’incidents

Orange présente la solution qui doit grandement faciliter la gestion de son énorme parc de poteaux en France Métropolitaine et dans les départs d’Outre-Mer.

Orange dispose en effet d’un parc de 15 millions de poteaux en France Métropolitaine et dans les départs d’Outre-Mer. Ils servent pour les liaisons téléphoniques et les liaisons fibre optique. Sujets aux intempéries, chutes d’arbres ou collisions de voiture, ceux-ci sont plus de 150 à tomber chaque jour. Soit plusieurs dizaines de milliers d’incidents par an.

Si l’opérateur historique peut compter sur les signalements de clients, riverains et collectivités, il mise aussi sur une solution IoT (Internet of Things ou Internet des Objets) pour intervenir plus rapidement afin de rétablir la qualité de service, en particulier. Grâce à des capteurs autonomes installés sur les poteaux dans les zones à risques, il sera possible de repérer rapidement un poteau très incliné, voire couché, pour déclencher l’intervention dans la foulée, mais aussi d’avoir une indication concernant le niveau de batterie du capteur. Au cours des cinq prochaines années, Orange compte déployer plus d’un million de ce type de capteurs, dont la durée de vie est d’ailleurs annoncée à au moins 12 ans.

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Déploiement de la 5G : un collectif réclame des “constats objectifs” et des “études indiscutables” concernant les risques

Sans “études indiscutables” concernant les effets de la 5G attendue prochainement en France, un collectif d’experts réclame de freiner son déploiement qu’il estime basé sur des “raisons purement économiques”.

À quelques semaines du lancement des enchères pour l’attribution des fréquences de la 5G, la nouvelle technologie fait débat. Avec des inquiétudes concernant les risques sanitaires, sociétaires et environnementaux, l’idée d’un moratoire se retrouve régulièrement sur la  table. Sans compter les théories du complot alimentées par les réseaux sociaux.

Pour Frédéric Bordage, fondateur du collectif d’experts GreenIT.fr, qui milite pour une numérique sobre et responsable, il est “urgent de freiner le déploiement” de la 5G en l’absence d’étude “indiscutables”. Une chose qui s’annonce d’ailleurs compliquée, sachant que l’Anses doit publier une étude sur les risques sanitaires début 2021 et a déjà indiqué qu’il serait “impossible de démontrer l’absence de risques pour la santé”.

Frédéric Bordage pointe aussi du doigt le manque d’informations concernant le nombre d’antennes et le manque de recul concernant l’exposition des usages. Difficile ainsi de se faire une réelle idée de la consommation énergétique découlant du déploiement de la 5G. “Tout le monde est sur des hypothèses mais pas sur la réalité. Donc, on ne sait pas encore exactement comment cela va se passer”, déplore-t-il. Et d’ajouter qu’il faut se “baser sur des constats objectifs”.

Une urgence à baisser la cadence que Frédéric Bordage justifie également par le fait que la 4G suffit amplement pour 99,5 % des usages courants et que la 5G implique le remplacement des terminaux des utilisateurs. “On n’a pas besoin de plus”, a-t-il indiqué à nos confrères de FranceInfo. À ses yeux, le déploiement de la 5G repose sur des “raisons purement économiques”.

Source : FranceInfo

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Cdiscount Mobile propose un forfait 30 Go en série limitée à 2,99 euros par mois

Cdiscount Mobile dégaine un forfait 30 Go en promo à 2,99 euros par mois. Notez que le tarif promotionnel ne vaut que pour les 6 premiers mois.

Facturé 2,99 euros par mois durant les 6 premiers mois, puis 12,99 euros par mois, ce forfait Immanquable comprend 30 Go de data (débit réduit au-delà) en 3G/4G (selon la couverture disponible), les appels illimités et les SMS/MMS illimités. Utilisable depuis l’Europe et les DOM, il inclut 10 Go de data en roaming avec débits 3G/4G. Sans engagement, ce forfait est proposé jusqu’au 14 septembre. Payable à la commande, la carte SIM triple découpe coûte 10 euros.

Comme NRJ Mobile ou Auchan Telecom, la marque Cdiscount Mobile appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile en France avec 2 millions de clients, d’ailleurs en passe d’être racheté par Bouygues Telecom. Elle utilise pour rappel les réseaux de Bouygues Telecom, Orange et SFR.

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Test du Realme C3 : quelle expérience propose ce smartphone à 150 euros ?

La rédaction d’Univers Freebox vous propose le test du Realme C3, un smartphone s’adressant aux petits budgets.

Avant de passer au test, voici un rappel des principales caractéristiques du Realme C3, qui s’affiche à 149 euros et dont un exemplaire nous a été prêté par la marque :

 


Fiche technique du Realme C3 : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,0 GHz (chipset Helio G70)
–   Mémoire vive : 3 Go


–   Écran : dalle IPS 6,5 pouces avec une définition HD+ (1 600 x 720 pixels)
–   Audio : son sortant de la tranche inférieure
–   Stockage : 32 Go extensible, grâce à un slot MicroSD dédié


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B3/B5/B7/B8/B20/B28
–   Compatibilité 5G : non


–   Triple capteur photo au dos (organisation en ligne) : 12 + 2 + 2 Mégapixels
–   Capteur photo à l’avant : 5 Mégapixels dans une encoche


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche inférieure)
–   Connectique de charge : Micro-USB (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11 802.11 b/g/n
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   NFC : non


–   Batterie : 5 000 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 10 Watts (bloc inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface Realme UI


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal ou lecteur d’empreintes digitales au dos
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : juillet 2020


 

Un smartphone qui respire l’entrée de gamme

On ne va pas se mentir. Que ce soit visuellement avec son menton assez prononcé ou en main avec sa finition plastique, le Realme C3 ne trompe pas concernant son positionnement entrée de gamme. Maintenant, l’assemblage et le design sont très loin d’être infâmes, tandis que la préhension est plutôt bonne. Rien d’inexcusable pour un smartphone à 150 euros.

Comme souvent en ce moment sur le smartphones, le bloc photo arrière dépasse. Ici, la position excentrée peut gêner en mode paysage pour le jeu ou la vidéo et rendre le smartphone instable lorsqu’il est posé sur la table.

Rien de spécial côté écran et son

Le Realme C3 propose le minimum syndical côté écran, avec une luminosité un peu limite pour un usage par temps ensoleillé et un manque de définition. Sans surprise, pas de rafraîchissement 90 Hz pour la fluidité dans la navigation ou les jeux. Là encore, c’est pardonnable au regard du segment tarifaire.

Côté audio, ça s’écoute, mais sans plus. Le son manque de relief et de puissance, surtout en extérieur. Exit aussi le rendu stéréo bienvenue en vidéo ou en jeu. Le son sort uniquement de la tranche inférieure. Bonne chose toutefois : on dispose du mini-jack dans la tranche inférieure.

Le minimum syndical en photo

Pas grand-chose non plus à attendre du côté de la photographie, malgré la présence de trois capteurs au dos. Peu de définition, pas de zoom optique, pas d’ultra grand-angle et pas de mode nuit. Les clichés seront à consulter depuis le smartphone et partager sur les réseaux sociaux. Rien de plus.

Une photo de jour avec ses versions zoomées 2x/4x (et moches, on peut le dire) :

D’autres photos de jour en extérieur, au rendu un peu terne et manquant de détails :

Des clichés avec du flou d’arrière-plan :

Des photos en mode macro :

Des selfies de jour et de nuit :

Des photos de nuit, en milieu urbain :

Un smartphone compatible B28

Le Realme C3 profite d’une compatibilité avec la 4G 700 MHz (B28) chère à l’opérateur de Xavier Niel.

Ci-dessous, les débits obtenus en intérieur avec les outils nPerf et RNC Mobile :

 

Ceux obtenus en extérieur :

 

Le smartphone est dual-SIM avec des emplacements SIM dédiés. Pas de slot hybride obligeant à sacrifier l’extension MicroSD. Une bonne chose.

Le jeu est envisageable

D’après nos propres tests, le Realme C3 permet de lancer des jeux vidéo tels qu’Asphalt 9 et Call of Duty. Pas avec les temps de chargement les plus courts et les graphismes à fond, mais sans saccade durant les parties et sans chauffe gênante. Pas mal pour un smartphone à seulement 150 euros.

Et qui dit smartphone peu puissant, dit smartphone peu gourmand. 10 minutes de COD nous grignotaient maximum 2 points de batterie.

Pour les amateurs de benchmarks, le Realme C3 n’affole pas les compteurs. Disk Speed indique en effet 107 Mo/s en écriture et 241 Mo/s en lecture dans l’outil Disk Speed.  AnTuTu le place en dessous du Galaxy A51 que l’on peut trouver à moins de 300 euros aujourd’hui et dont avions d’ailleurs publié un test complet.

 

L’autonomie : son point fort

Avec une batterie d’une capacité de 5 000 mAh et une configuration assez modeste, le Realme C3 peut rester éloigné 2 jours du secteur, voire 3 jours dans le cas d’un usage modéré.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation avec pas mal de multimédia : départ à 17h39 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 14h13 avec 26 % :

– Consultation et alertes Gmail / Twitter
– 10 minutes de streaming audio avec le son du smartphone
– 2 heures de streaming audio avec les écouteurs filaires
– 50 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 15 minutes de jeu avec les écouteurs filaires
– 1 heure et 40 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 3 heures et 35 minutes de YouTube avec les écouteurs filaires
– Surf sur Internet
– SMS/MMS
– Photos
– 8 mises à jour d’applications
– 1 téléchargement d’application
– Tests de débits
– Benchmarks

Dommage par contre qu’il faille se contenter d’un chargeur 10 Watts, qui plus est en Micro-USB. 

Ci-dessous, un suivi de charge :
– 14h27 : 32 %
– 14h32 : 36 %
– 14h49 : 48 %
– 15h13 : 64 %
– 15h26 : 73 %
– 15h45 : 84 %
– 16h06 : 94 %
– 16h39 : 100 %

Notez qu’un souci avec le chargeur accompagnant notre modèle de test nous a obligés à utiliser un chargeur compatible.

Android 10 avec l’interface Realme UI

Le Realme C3 s’accompagne d’une ROM Realme UI basée sur Android 10, assez complète en termes de fonctions (mode sombre, affichage ou non du tiroir d’applications, affichage ou non des boutons virtuels, barre latérale d’applications favorites, affichage multifenêtre ou gestes sur l’écran éteint) et de réglages, mais mériterait une meilleure organisation. Un exemple qui nous vient naturellement à l’esprit : l’indication du niveau de charge de la batterie non activée par défaut. L’option se retrouve dans la section “Notifications et barre d’état” au lieu d’être plus logiquement dans la section “Batterie”. 

 

Dans notre cas, nous avons remarqué pas mal de logiciels préinstallés type Facebook et Opera, mais également Lazada, Trip.com, Agoda et Webnovel. Fort heureusement, on peut supprimer ceux jugés inutiles. 

 

Au niveau des patchs de sécurité, une mise à jour intermédiaire nous a permis d’avoir ceux de juillet 2020. Ce ne sont pas les derniers en date, mais pas les plus vieux non plus. Quant aux deux solutions de verrouillage, elles fonctionnaient à merveille. Rien à signaler de ce côté-là.

 


VERDICT

Si l’on devait revenir un atout du Realme C3, c’est son autonomie atteignant facilement les 2 jours et pouvant aller jusqu’à 3 jours. Choses appréciables aussi : la possibilité de jouer à des jeux récents, la présence du mini-jack et la compatibilité B28. Côté finition, écran, son, photo et charge, on a revanche le minimum syndical. L’interface est assez complète, mais mériterait une réorganisation pour mieux s’y retrouver, autrement qu’en passant par le moteur de recherche intégré.


 

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Smartphones : Samsung dévoile son smartphone 5G le plus abordable, Asus garde sa Flip Camera

Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au programme : l’annonce d’un Galaxy A42 5G chez Samsung, les détails concernant le Galaxy Z Fold2 chez Samsung, l’arrivée des Asus Zenfone 7 et 7 Pro en Europe et la présentation des Realme 7 et 7 Pro.

Samsung continue de rendre la 5G plus abordable sur ses smartphones. Il a ainsi présenté un Galaxy A42 5G. Celui-ci propose un écran Super AMOLED 6,6 pouces FHD+ avec une encoche, un quadruple capteur photo 48/8/5/2 Mégapixels à l’arrière, un capteur photo 20 Mégapixels à l’avant et une batterie 5 000 mAh. Il sera disponible d’ici la fin de l’année et vendu sous la barre des 400 euros. Certains marchés l’ont annoncé à 379 euros.

La firme sud-coréenne a par ailleurs donné les détails concernant le Galaxy Z Fold2, successeur du Galaxy Fold qui sera disponible en France le 18 septembre et vendu 2 020 euros. Articulé autour du chipset Snapdragon 865+ et alimenté par une batterie 4 500 mAh, il propose un écran externe 6,2 pouces et un écran interne pliable de 7,6 pouces avec rafraîchissement en 120 Hz. La charnière permet d’ailleurs un mode assis comme le Galaxy Z Flip. On a également de la 5G, des capteurs photo 10 et 12 Mégapixels et une charge 25 Watts.

Asus renouvelle ses smartphones haut de gamme avec les Zenfone 7 et Zenfone 7 Pro équipés respectivement des chipsets Snapdragon 865 et 865+. Tous les deux proposent une batterie 5 000 mAh, une charge 30 watts et un écran AMOLED 90 Hz. Ils héritent également du bloc photo Flip Camera du Zenfone 6 de 2019. Le constructeur indique des prix de 699 et 799 euros.

Les Realme 6 et Realme 6 Pro testés dernièrement par Univers Freebox ont des successeurs avec les Realme 7 et Realme 7 pro tout juste dévoilés par la marque. Le premier mise sur un chipset Helio G95, un écran IPS 90 Hz, une batterie 5 000 mAh rechargeable en 30 Watts, tandis que le second s’oriente vers un SoC Snapdragon 720G, une dalle AMOLED et une batterie 4 500 mAh rechargeable en 65 Watts. Tous les deux partagent un quadruple capteur photo 64/8/2/2 Mégapixels. Reste maintenant à attendre les prix pour le Vieux Continent.

Sans oublier le ZTE Axon 20 5G, premier smartphone annoncé commercialement avec un capteur photo dissimulé sous l’écran.

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Orange explique une solution pour avoir Internet en cas de panne sur sa ligne fixe

Votre ligne Internet fixe est en panne ? Orange propose une solution de secours.

En cas de panne sur sa ligne Internet fixe, il est possible d’envisager le partage de sa connexion 4G. À travers deux vidéos, Orange explique ainsi comment faire avec un smartphone iOS et un smartphone Android disposant d’une carte SIM Orange ou Sosh. Dans le cadre de son service Service 24h garanti, l’opérateur historique offre en effet 200 Go de data par mois pendant 2 mois à partager depuis son smartphone avec tous ses équipements connectés. Cette enveloppe vient en complément l’enveloppe initiale du forfait mobile.

Sur iOS :

Sur Android :

 

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Les forts investissements annoncés par Iliad/Free dans les réseaux inquiètent le marché

Difficile de satisfaire tout le monde. Les opérateurs télécoms investissent massivement, ce qui améliore les performances de leurs réseaux, mais inquiètent les investisseurs. Le titre d’Iliad en fait les frais.

Malgré l’annonce de bonnes performances commerciales et financières au cours du premier semestre 2020, avec notamment 243 000 nouveaux abonnés fibre optique et 80 000 nouveaux abonnés dans le mobile en France, qui plus est sur fond de ralentissement de l’économie en raison de la crise sanitaire, le titre Iliad a chuté en Bourse. Le jour de l’annonce des résultats, il démarrait à 184 euro, pour terminer à 174,40 euros, soit une baisse de 5,3 %. À l’heure où sont écrites ces lignes, le titre du groupe s’affiche à 173,10 euros, en baisse de 0,49 %.

Cette baisse du titre Iliad à la Bourse de Paris s’explique par les inquiétudes du marché concernant les investissements dans les réseaux. “Le groupe a indiqué durant une conférence téléphonique qu’il prévoyait de maintenir un niveau d’investissement très élevé cette année et encore plus en 2021, alors que le consensus attendait une nette réduction”, souligne Stéphane Beyazian, analyste chez MainFirst. “La demande des Français pour la fibre et le succès du lancement de la Freebox Pop (NDRL : 100 000 en 2 mois) nous amènent à revoir à la hausse nos objectifs sur le déploiement de la fibre optique”, a expliqué Thomas Reynaud, le directeur général d’Iliad. Le groupe tablait en effet sur 2 millions d’abonnés fibre d’ici fin 2020 et 4,5 millions en 2024. Ses objectifs sont désormais de 2,8 millions et 5 millions respectivement.

Or, au regard des investisseurs, ces investissements accrus dans les réseaux contrebalancent les bonnes performances commerciales en se répercutant sur la trésorerie disponible du groupe. Le solde d’Ebitdaal pour 2020 est attendu à plus de 700 millions d’euros, contre plus de 800 millions d’euros auparavant. Il est également attendu à plus de 900 millions d’euros, contre plus d’un milliard d’euros auparavant. 

Il faudra forcément investir

Avec la volonté du gouvernement de généraliser la fibre optique d’ici 2025 et de ne pas prendre trop de retard dans la 5G pour laquelle les enchères sont prévues pour fin septembre, les investissements de la part des opérateurs ne sont pas prêts de ralentir. Pas dans l’absolu en tout cas.

En début d’année, Stéphane Richard, patron d’Orange indiquait ainsi “nos investissements commenceront à décroître en 2022”. Sans compter que la 5G n’est pas citée dans le plan de relance récemment présenté par le gouvernement et prévoyant environ 7 milliards d’euros pour le numérique.

Source : Challenge

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