Auteur : dimitri

Orange lance son programme Re pour accélérer le recyclage des mobiles et la vente de modèles reconditionnés

Une consommation plus responsable, grâce à des utilisateurs mieux informés et une industrie plus impliquée, telle est la volonté d’Orange avec son programme “Re”.

Les smartphones reconditionnés sont a priori bons pour la planète, avec un appareil à la durée de vie allongée, et pour le portefeuille, avec une belle économie par rapport au prix du neuf. Mais encore faut-il lever les freins pour permettre au reconditionnement de prendre pleinement son envol. Du côté des anciens propriétaires, il faut en effet convaincre concernant les données personnelles et le prix. Du côté de potentiels repreneurs, il y a la nécessité de garanties concernant le bon fonctionnement de l’appareil, contre des vices cachés.

Informer les utilisateurs, responsabiliser les industriels

Orange  annonce d’ailleurs le lancement de son programme nommé “re” qui vise à “accélérer le recyclage, la reprise et le reconditionnement des mobiles”. Il s’agira de sensibiliser le grand public au sujet de la seconde vie que l’on peut donner aux appareils, comme avec cette vidéo récemment diffusée sur ses chaînes YouTube.

Qui dit smartphone, dit aussi usages. Orange indique la mise en place au cours des prochaines semaines d’“indicateurs sur l’impact carbone de leurs usages numériques et des conseils pour le maitriser, sur les espaces clients Orange et Moi et My Sosh”.  

Il s’agira par ailleurs de “mobiliser et responsabiliser les industriels qui travaillent avec nous”, a indiqué Fabienne Dulac, Directrice Générale Adjointe, CEO d’Orange France. Oui, tout le monde devra apporter sa pierre à l’édifice.

Re, comme reprise, recyclage et reconditionnement 

Avant le recyclage ou le reconditionnement, il y a tout d’abord la reprise. Pour inciter les consommateurs à faire reprendre leur ancien mobile et ainsi s’attaquer aux 100 millions d’appareils dormant dans tiroirs et placards, Orange annonce une remise immédiate ou un bon d’achat, sur la base d’un argus mis à jour quotidiennement. En parallèle de chaque reprise, 2 euros sont en outre versés au réseau Emmaüs International.

Dans le cas d’un mobile n’étant plus fonctionnel ou n’ayant plus de valeur marchande, celui-ci sera collecté et recyclé, grâce au déploiement d’“une filière de collecte solidaire de recyclage pour les mobiles de bout en bout”, mise sur pied en partenariat avec Emmaüs International, association à laquelle sont d’ailleurs reversés l’intégralité des bénéfices du recyclage.

Orange s’est fixé pour objectif d’arriver à une proportion de 10 % de ses ventes de smartphones d’ici 2025. Les smartphones reconditionnés apparaissent déjà sur les sites d’Orange et Sosh, en partenariat avec Again et Recommerce. “Les smartphones reconditionnés sont des terminaux qui ont fait l’objet d’un contrôle sur plus de 35 points techniques, de réinitialisation à 100%, ils sont livrés avec des accessoires neufs et compatibles et sont garantis un an”, souligne Orange. Ceux-ci feront prochainement leur apparition dans les boutiques physiques. Orange annonce le déploiement progressif, à partir du 19 octobre, d’un “espace de présentation pérenne dédié”, qui s’ajoutera au bac de collecte. “Ainsi les clients pourront les voir et éventuellement les prendre en main”, expliquait Fabienne Dulac au Figaro.

Une démarche initiée il y a 10 ans, une nécessité de mettre le pied sur l’accélérateur

Orange rappelle avoir initié la démarche il y a 10 ans, ce qui a permis au groupe de récolter plus de 15 millions de téléphones dans l’ensemble des pays où il est présent. Parmi eux, 8 millions l’ont été par Orange France.

Par la voix de son PDG, Orange a affiché sa volonté de mettre le pied sur l’accélérateur à l’occasion de la 5G, synonyme de renouvellement des terminaux. “Est-ce qu’il y a de l’obsolescence programmée ? On le sait tous très bien”, avait d’ailleurs lâché Stéphane Richard au micro de France Inter, en expliquant que le recyclage est l’un des moyens à disposition pour s’y attaquer.

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iPhone 12 : Apple présentera ses nouveaux smartphones le 13 octobre

Apple a envoyé les invitations ce mardi. Plus qu’une semaine avant de découvrir les nouveaux iPhone 12. Petit piqûre de rappel concernant les attentes autour de cette nouvelle génération.

Ils auront un peu de retard cette année en raison de la crise sanitaire, mais ils répondront bel et bien présents. Les prochains smartphones d’Apple, les iPhone 12, seront en effet dévoilés le 13 octobre prochain, soit dans quelques jours à peine. La firme à la pomme l’a confirmé à travers des invitations annonçant une Keynote “Hi, Speed” qui sera organisée à l’Apple Park et diffusée en ligne.

Pour rappel, les attentes portent sur quatre modèles iPhone 12 mini, iPhone 12, iPhone 12 Pro et iPhone 12 Pro Max. Les deux premiers modèles proposeraient des écrans de 5,4 et 6,1 pouces, ainsi qu’un double capteur photo au dos (grand-angle et ultra grand-angle), et les deux derniers modèles des diagonales de 6,1 et 6,7 pouces, ainsi qu’un triple capteur photo (grand-angle, ultra grand-angle et zoom). Tous auraient un écran OLED et la 5G.

Ces nouveaux iPhone embarqueront assez logiquement le nouveau chipset A14 Bionic équipant déjà la tablette iPad Air fraîchement dévoilée par Apple, ainsi que le nouveau système iOS 14 récemment déployé sous la forme d’une mise à jour sur les générations précédentes d’iPhone.

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L’Arcep lance une consultation pour l’attribution de fréquences aux Antilles et en Guyane, où Free doit lancer ses offres

Free prévoit de se lancer en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à Saint-Barthélemy, à Saint-Martin et à Saint-Pierre-et-Miquelon. Le gendarme des télécoms lance une consultation publique en vue de l’attribution l’attribution des bandes de fréquences, notamment sur la bande 700 chère à l’opérateur.

Le vendredi 2 octobre 2020, l’Arcep a lancé une consultation publique. Pour le régulateur, qui attend les contributions des acteurs avant le 18 décembre 2020, il s’agit de préparer les modalités et conditions d’attribution des bandes de fréquences 700 MHz et 3,4-3,8 GHz en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à Saint-Barthélemy, à Saint-Martin et à Saint-Pierre-et-Miquelon.

Free dans les starting-blocks

Pour rappel, Iliad prépare justement le lancement de ses offres mobiles dans ces territoires.

Dans cette optique, il a officialisé, en juin 2020, la création d’une co-entreprise avec l’opérateur Digicel. “Cette société détiendra le réseau de téléphonie mobile, à savoir les infrastructures et les équipements actifs, pour le compte des deux groupes dans la zone Caraïbes et en Guyane française”, avait alors expliqué la maison-mère de Free et Free Mobile. Iliad comptait en effet utiliser les infrastructures de Digicel en plus de son parc d’antennes qu’il déployait de plusieurs mois, afin d’être rapidement dans les clous vis-à-vis du régulateur.

L’Arcep avait indiqué, dans la foulée, examiner le contrat de mutualisation entre Free et Digicel.

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Pas question que les opérateurs télécoms collectent sans garde-fous les données

La Cour de justice de l’UE a tenu à éclaircir un point. Pas question que les opérateurs télécoms collectent massivement les données sans garde-fous.

Les gouvernements peuvent-ils demander aux opérateurs télécoms de collecter sans distinction et de façon systématique les métadonnées de connexion Internet ou de conversations téléphoniques (infos permettant d’identifier l’utilisateur, concernant les équipements utilisés, détaillant jour, heure et durée de la communication, etc.) ? C’est la question qui a été posée par les juridictions belge, britannique et française à la Cour de justice de l’Union européenne. La réponse a été donnée ce mardi. 

Pour la justice de l’Union européenne, c’est non. Il peut toutefois y avoir des contextes particuliers pour la collecte de données, mais pas sans cadre, pas sans garde-fous. Dans le cas d’une “menace grave pour la sécurité nationale, réelle et actuelle ou prévisible” imposant une collecte de données “généralisée et indifférenciée”, celle-ci doit se faire “pour une durée temporellement limitée au strict nécessaire”. Idem dans le cas de la lutte contre la criminalité. La justice de l’Union européenne estime qu’“une telle ingérence dans les droits fondamentaux doit être assortie de garanties effectives et contrôlée par un juge ou une autorité administrative indépendante”.

Source : Le Figaro

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Une antenne Free divise un village, près de la moitié des habitants n’en voulant pas

Antenne Free en approche, village divisé. Près de la moitié des habitants ont en effet manifesté leur opposition en signant une pétition lancée par un collectif.

Les prochains mois et prochaines semaines s’annoncent tendus à Berzet, petit village en Auvergne. La cause des remous ? La future implantation d’une antenne-relais de Free.

Revendiquant l’attachement au cadre et à la qualité de vie de leur village, les opposants se sont regroupés au sein d’un collectif “Vivre à Berzet” et ont lancé une pétition le 12 septembre ayant récemment passé le cap des 200 signatures sur environ 500 âmes. Une réunion publique d’information a eu lieu dimanche dernier et une autre est prévue ce mardi soir, à la salle communale. Sans oublier la réunion avec l’opérateur qui devrait avoir lieu dans le courant du mois.

Mais qu’est-ce qui coince au juste ? L’antenne se traduira par un pylône de 36 mètres de haut, qui sera d’ailleurs installé au bout du chemin du champ Comtat, sur le terrain d’un particulier. Or, la zone est plane. D’où le grand classique de l’atteinte à l’esthétisme des lieux. Un choix par ailleurs peu cohérent aux yeux des riverains étant donné le récent classement des lieux au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Source : La Montagne

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Quand Orange, Google, Facebook et Microsoft explorent de nouvelles pistes pour rendre les data centers plus écolos

Les data centers représentent une bonne partie de la consommation énergétique du numérique. Découvrez les pistes explorées pour les rendre plus respectueux de l’environnement.

Un numérique plus respectueux pour l’environnement, tel est l’objectif. Voilà pourquoi des géant de la tech, tels qu’Orange, Facebook, Google ou Microsoft, se penchent sur le cas des data centers. Ces installations, servant au stockage des données, représentent en effet un tiers de la consommation énergique du numérique. Elles représentent de ce fait un excellent levier d’action.

Plusieurs solutions sont explorées pour réduire la consommation énergétique des data centers ou même exploiter la grande quantité de chaleur qu’ils dégagent. Cela passe par l’installation dans des régions froides ou sous l’eau pour un refroidissement naturel et la récupération de l’énergie dégagée pour chauffer des logements.

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Les opérateurs mobilisés pour réparer les réseaux fixes et mobiles après le passage de la tempête Alex

Après le passage de la tempête Alex qui a causé de sérieux dégâts sur leurs infrastructures, les opérateurs mettent les bouchées doubles pour rétablir les communications fixes et mobiles. Ils mettent aussi en place des solutions provisoires pour les usagers les plus isolés.

Rétablir les communications. Ils sont en effet des dizaines de milliers d’usagers à s’être retrouvés privés de téléphone suite au passage de la tempête Alex, dont les pluies violentes ont provoqué des crues dans les vallées de la Roya, de la Tinée et de la Vésubie, dans les Alpes-Maritimes.

Les opérateurs télécoms mettent ainsi les bouches doubles pour réparer les dégâts affectant les réseaux fixes et mobiles. Antennes-relais, poteaux et fibres optiques ont en effet été touchés. Les dégradations du réseau électrique alimentant les équipements posent elles aussi problème.

Des solutions provisoires, un rétablissement progressif

En parallèle, les opérateurs proposent des solutions de dépannage aux usagers. Orange, dont une quarantaine d’antennes ont été touchées, va par exemple mettre à disposition des points Wi-Fi avec liaison satellitaire dès ce mardi après-midi dans les villages les plus isolés. Il indique aussi la fourniture d’une quinzaine de téléphones satellitaires dans une douzaine de villages privés de communications. L’opérateur historique a par ailleurs effectué des réparations provisoires, déployé des groupes électrogènes ou encore réorienté son trafic mobile vers les antennes opérationnelles les plus proches.

De son côté, Bouygues Telecom a pu remettre sur pied une partie des plus de trente antennes touchées par la tempête. L’opérateur “a pu remettre en service les deux tiers des antennes qui avaient été touchées dès ce week-end”, a indiqué Julien Lair, directeur régional réseau, à nos confrères du Figaro. Cela s’explique par le fait que la majorité des antennes-relais sont situées en hauteur et utilisent les réseaux hertziens pour communiquer entre elles, et non la fibre optique. Il a donc suffi à Bouygues Telecom d’installer des groupes électrogènes en attendant le rétablissement de l’électricité sur les équipements. “Déjà, grâce à la mise en place de groupes électrogènes et aux travaux réalisés dans des conditions difficiles, près de 17 000 clients Mobile Bouygues Telecom ont retrouvé le service”, a indiqué l’opérateur sur son blog. Et d’ajouter que lundi soir, 3 700 clients restaient privés de téléphone et “devraient progressivement retrouver l’usage de leur téléphone dans les jours qui viennent”. “Côté ADSL, la situation dépend du rétablissement de l’alimentation électrique et les accès à l’Internet fixe prendront plus de temps”, a précisé Bouygues Telecom.

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Tutoriel Freebox Pop : comment installer et tester la toute nouvelle interface Google TV

Google propose une nouvelle interface pour la télévision connectée. Voici comment l’installer sur le player de la Freebox Pop.

Avec sa dernière clé multimédia Chromecast, Google propose une nouvelle interface baptisée Google TV qui arrivera plus tard sur les dispositifs de partenaires du géant californien, mais que l’on peut d’ores et déjà installer soi-même en passant par des fichiers APK, y compris sur le player de la Freebox Pop fraîchement lancée. Dans le cadre de ce tutoriel, Univers Freebox vous guide pas à pas pour installer et profiter de la nouvelle interface.

Préparer le terrain (partie 1) : récupérer les fichiers APK

Pour commencer, il va falloir récupérer les fichiers APK nécessaires, notamment celui servant à l’installation de l’interface Google TV. Il vaut aussi récupérer l’APK de Google Base.

Après les avoir téléchargés, transférez-les sur une clé USB ou un disque dur USB.

Préparer le terrain (partie 2) : installer un gestionnaire de fichiers sur le player Pop

Nous allons maintenant installer un gestionnaire de fichiers. Pour le test, nous avons retenu “File Commander”, car simple et traduit en français. Il suffit de lancer une recherche sur le Play Store et de lancer l’installation.

Préparer le terrain (partie 3) : autoriser l’installation de fichiers APK

Il va ensuite falloir permettre l’installation de ces fichiers APK, sachant qu’ils proviennent d’une autre source que le Play Store,  qui est le store officiel.

Depuis la Home Android, accédez aux paramètres grâce à l’icône en forme de roue dentée en haut à droite.

Allez ensuite dans “Préférences relatives à l’appareil”, puis “Sécurité et restrictions” et “Sources inconnues”.

À partir de là, vous pourrez autoriser les installations depuis le gestionnaire de fichiers File Commander installé un peu plus tôt, ou celui que  vous comptez utiliser.

Installer Google TV et Google Base.

APK récupérés, gestionnaire de fichier installé et restriction levée, il est temps à présent d’installer les APK. 

Commencez  tout d’abord par connecter votre clé USB ou disque USB au port USB de player Pop, afin de pouvoir accéder à son contenu, et donc aux fichiers APK, depuis l’écran de votre téléviseur.

Dans les deux cas, il suffit de cliquer sur le fichier et de cliquer sur “Installer”.

À chaque fois, l’installation vous sera confirmée par une fenêtre au premier plan.

Désactiver l’interface Android TV

Les fichiers sont désormais installés. Il va falloir désactiver l’interface Android TV afin de laisser place à Google TV.

Cela passe par le smartphone ou la tablette, où il faudra installer l’application “Remode ADB Shell” disponible gratuitement sur le Play Store

Une fois lancée, l’application vous demande l’adresse IP pour se connecter au Player. Pour trouver cette info, accédez aux paramètres du player Freebox Pop grâce à l’icône en forme de roue dentée en haut à droite sur la Home Android, avant d’aller dans “À propos”, “État” et “Adresse IP”.

De retour dans l’application “Remode ADB Shell” sur votre smartphone ou tablette, saisissez cette adresse et validez. 

Une confirmation sera demandée côté player, via le téléviseur donc, avant l’établissement de la connexion entre votre smartphone ou tablette et votre player Freebox Pop.

Une fois la connexion établie, retournez dans l’application mobile et à saisir la commande suivante (vous pouvez la copier/coller, c’est plus simple) : pm uninstall –user 0 com.google.android.tvlauncher. 

Il ne reste alors qu’à appuyer sur le bouton Home de la télécommande (celui en forme de maison). Vous voilà avec la toute nouvelle interface Google TV.

Quelles possibilités avec la nouvelle interface ?

Le changement saute vite aux yeux puisqu’on passe de bandeaux proposant les contenus des applications, à des onglets “Pour vous”, “Films”, “Séries, Applications” et “Bibliothèques” regroupant les contenus provenant de différentes plates-formes telles que YouTube, Netflix, Prime Video, Disney+, myCANAL ou le Play Store. Ces contenus sont organisés selon différents filtres : nouveautés, popularité ou genre dans le cas des films ; déjà installés, divertissement, jeux incontournables dans le cas des applications). 

En cliquant sur la fiche d’un film par exemple, on se voit proposer l’abonnement au service qui propose ce contenu ou les prix à l’achat et à la location dans le cas d’un contenu disponible sur le Play Store. Dans le premier cas, cela charge en fait l’application avec le contenu, si on est déjà inscrit et si les identifiants sont déjà rentrés.

Ci-dessous, un exemple avec un contenu proposé sur Netflix, dont l’application était installée et les identifiants déjà rentrés :

La partie supérieure des fiches de contenu indique également le type de contenu, l’année, la durée et le résumé. La partie centrale contient des boutons pour un ajout à la liste de favoris ou indiquer un contenu déjà vu. Plus bas encore dans les fiches, il y a des recommandations pour ceux qui pourraient vous plaire si vous avez aimé ce contenu.

Des onglets “Rechercher” et “Bibliothèque” permettent enfin de chercher un contenu en particulier et de retrouver vos contenus favoris (ceux pour lesquels vous avez cliqué sur “Ma liste”)


VERDICT

Durant nos tests, l’interface Google TV s’est montrée réactive et nous avions accès aux contenus des services auxquels nous étions abonnés. Par rapport à l’ancienne interface, nous avons trouvé l’organisation claire et intuitive. L’organisation par thématique plutôt que par plate-forme incite par ailleurs à la découverte de nouveaux services.


 

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RNC Mobile : l’application pour chasser les antennes Free Mobile et tester ses débits fait le plein de nouveautés

Avis aux chasseurs d’antennes Free Mobile et à ceux voulant tester leurs débits, notre partenaire RNC Mobile met à jour son application disponible sous Android.

Proposée gratuitement par l’intermédiaire du Play Store de Google, l’application RNC Mobile permet aux abonnés Free Mobile d’en savoir davantage sur les antennes en service, mais également d’enrichir la base de données en partant à la chasse aux antennes de l’opérateur. Elle donne par ailleurs la possibilité d’effectuer des tests de débits.

Dans cette nouvelle version 3.5.1-19836, les développeurs de RNC Mobile ont apporté plusieurs améliorations et corrections, dont voici d’ailleurs la liste complète : 

– Implémentation de NMCore développé par Michal Mroček
– Nouvelles statistiques englobant le taux d’itinérance, les zones blanches 3G/4G
– Nouveaux choix de durée pour les statistiques (7/15/30jours)
– Attribution possible d’une 4GZB en mode chasse
– Ajout du LTE TA modifiable dans les Préférences (78 ou 144 mètres)
– Correction codifications des 3GZB et sites 3G de Monaco

Grâce à une collaboration entre RNC Mobile et Univers Freebox, nous vous proposons pour rappel :

-  La carte de couverture de Free Mobile sur cette page

-  Tous les records de débits sur le réseau Free Mobile sur celle-ci

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Une maire exprime sa colère face à une antenne-relais Free “hideuse”

Une maire n’en voulait pas et exprime sa colère face à une antenne-relais Free qu’elle juge “hideuse”.

Retour en juillet 2019, à Civrieux-d’Azergues, dans le département du Rhône. Free annonce son intention d’implanter une antenne-relais. Quelques mois plus tard, en septembre, Marie-Pierre Teyssier, maire de la commune, fait part de son refus. 

Faute d’entente entre les deux parties, l’affaire sera portée devant la justice administrative qui donnera, en janvier 2020, raison à l’opérateur. “En réalité, s’il y a un élément qui caractérise le milieu dans lequel le projet est destiné à venir s’implanter, c’est bien son absence d’intérêt esthétique et architectural”, avait alors indiqué le tribunal, en réponse aux griefs concernant l’aspect esthétique de l’installation. L’arrêt empêchant l’installation de l’antenne s’était ainsi retrouvé invalidé et la maire renvoyée dans les cordes.

L’antenne de la discorde (Crédit photo : Le Progrès)

À l’occasion d’un conseil municipal qui s’est déroulé jeudi dernier, le dossier a été remis sur la table. La raison ? Malgré l’opposition, l’antenne a été bel et bien été installée, sur une parcelle de terrain privé. Marie-Pierre Teyssier ne cache pas sa colère, dénonçant l’absence de “concertation avec les pouvoirs”, le “peu de moyens de défense face aux cabinets d’avocats de cette société (NDRL : Free) qui sont habitués à ces dossiers”.

Pour autant, Marie-Pierre Teyssier n’entend pas en rester là, se disant en “colère et déterminée” face à une “construction hideuse”. “Le conseil municipal et moi-même sommes décidés à participer à un projet d’association en cours pour la défense de notre environnement et de notre patrimoine”, a-t-elle indiqué.

Source : Le Progrès

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