Auteur : dimitri

OnePlus 8T : la marque revient sur le créneau des flagship-killers

OnePlus renouvelle son haut de gamme avec un 8T sonnant comme un retour aux sources.

Après s’être aventurée dans le milieu de gamme cet été avec un OnePlus Nord, la marque chinoise renouvelle en effet son haut de gamme. Elle ne présente d’ailleurs qu’un seul modèle. Pas de variante Pro cette fois-ci.

Le nouveau bébé répond au nom de OnePlus 8T et ne lésine pas en termes de caractéristiques techniques. Il propose en effet le chipset Snapdragon 865. Pas le puissant du moment, mais l’un des plus performants malgré tout. La plate-forme est d’ailleurs synonyme d’une compatibilité 5G, grâce au modem X55 de Qualcomm. À côté de cela, le OnePlus 8T s’équipe d’un écran Fluid AMOLED 6,55 pouces FHD+ avec un rafraîchissement à 120 Hz où s’affichera une interface OxygenOS basée sur Android 11, d’un stockage en UFS 3.1, d’un quadruple capteur photo  48 + 16 + 5 + 2 Mégapixels à l’arrière (principal + ultra grand-angle + macrophotographie + monochrome) et d’un capteur photo 16 Mégapixels à l’avant. Pour alimenter l’ensemble, le constructeur propose une batterie 4 500 mAh avec une charge ultra rapide en 65 Watts via l’USB-C.

Le smartphone OnePlus 8T se décline en deux variantes avec 8 Go et 128 Go de stockage ou 12 Go de RAM et 256 Go de stockage, à respectivement 599 et 699 euros. Notez d’ailleurs que le stockage n’est pas extensible par carte MicroSD. De tels tarifs bien dessous de la barre des 1 000 euros qui permettent en tout cas à la marque de renouer avec ses origines, avec l’époque où elle sévissait sur le créneau des flagship-killers.

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Une nouvelle application de télécommande virtuelle Freebox est disponible sur iOS

Après avoir fait ses premiers pas sur les smartphones et tablettes Android, l’application “Télécommande Freebox” s’aventure désormais sur l’iPhone et l’iPad.

Une application de télécommande virtuelle peut se montrer pratique lorsque l’on ne trouve plus sa télécommande ou lorsque l’on se retrouve à court de piles en plein week-end. Le smartphone ou la tablette tactile fait alors office de télécommande d’appoint.

En avril dernier, une petite nouvelle baptisée sobrement “Télécommande Freebox” avait fait son apparition sur le Play Store de Google, s’adressant ainsi aux utilisateurs sous Android. La version pour iPhone et iPad devait arriver par la suite, avec une diffusion via l’App Store. C’est désormais chose faite avec une mouture estampillée 1.0.0.

Ayant déjà fait l’objet d’un test dans nos colonnes, l’application “Télécommande Freebox”  est compatible avec les Freebox V5, Freebox Crystal, Freebox Révolution, Freebox One et Freebox Delta. Les Freebox mini 4K et Freebox Pop sont “non supportées pour le moment”, indique le développeur.

L’application “Télécommande Freebox” nécessite que l’appareil soit connecté au réseau Wi-Fi de la Freebox. Côtés fonctionnalités, on a des boutons pour afficher le clavier virtuel ou utiliser la commande vocale, un guide des chaînes, une possibilité d’avoir ou non des retours haptiques (vibrations).

Pas de mode carrousel donnant accès à deux affichages  comme sur Android, par contre. Interrogé à ce sujet par Univers Freebox, le développeur a répondu l’avoir supprimé, car peu pertinent. “Si des utilisateurs font part de leur volonté de l’avoir dans la version iOS, je pourrai étudier la faisabilité”, a-t-il toutefois indiqué. À bons entendeurs.

 

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Emmanuel Macron annonce “Tous Anti-Covid”, la remplaçante de “StopCovid”

Nouveau nom, nouvelles fonctionnalités. Les informations se précisent autour de la nouvelle application de traçage de contacts poussée par le gouvernement pour lutter contre l’épidémie de Covid-19. 

Lors d’une interview accordée à TF1 et France 2 sur fond de reprise de l’épidémie de Covid-19 en France, Emmanuel Macron a annoncé plusieurs mesures, dont un couvre-feu en Île-de-France et dans huit métropoles. Le président de la République est aussi revenu sur l’échec de StopCovid, l’application de traçage de contacts censée aider à lutter contre l’épidémie de Covid-19, pour annoncer sa remplaçante.

Un nom plus fédérateur

Après “StopCovid”, il y aura donc “Tous Anti-Covid“, un nom voulu plus fédérateur qui appelle à une lutte collective contre le Covid-19, en installant notamment la nouvelle mouture de l’application. “Chacun est mobilisé”, a résumé le président de la République.

StopCovid avait en effet été téléchargée plus de 2,6 millions de téléchargements (contre 16 et 18 millions outre-Manche et outre-Rhin), mais surtout désinstallée plus de 1 million de fois. 7 969 personnes se sont déclarées positives, avec 472 notifications à la clé. Emmanuel Macron a écarté le mot “échec” et nuancé le peu de succès rencontré par StopCovid en soulignant le fait que, malgré les téléchargements plus importants chez les voisins, “personne n’a réussi à faire de l’application un vrai outil d’alertes”.

Un changement de nom jugé nécessaire par le Conseil national du numérique. En avril dernier, il avait en effet  recommandé un changement de nom pour éviter de “porter de fausses promesses”.

De nouvelles infos, un mode d’emploi très clair

Au-delà du changement d’identité, il sera également question de nouvelles fonctionnalités. Il s’agira de renforcer l’information des utilisateurs, avec notamment des indicateurs concernant la circulation du virus sur le territoire ou la localisation des endroits où se faire tester. Avec la nouvelle mouture, l’objectif est également de simplifier l’utilisation avec “un mode d’emploi très clair”, afin d’éviter un fonctionnement continu de l’application et une frustration causée par la batterie qui se vide plus rapidement que d’habitude.

Des alliés

Pour donner un maximum de chances à l’application d’atterrir sur les smartphones des citoyens, Cédric O indiquait récemment chercher “des relais et des alliés”. Le secrétaire d’État chargé du numérique compte notamment sur le secteur médical pour contrebalancer avec “le manque de confiance” vis-à-vis de la parole politique, mais également sur le secteur de l’hôtellerie et de la restauration pour éviter la prise de mesures qui pourraient porter préjudice.

Une disponibilité le 22 octobre

Invité sur le plateau de France Info, Jean Castex avait précisé la disponibilité effective de la nouvelle application Le Premier ministre avait donné rendez-vous le 22 octobre pour son téléchargement. Il avait d’ailleurs déclaré qu’il en serait cette fois-ci, après ne pas avoir installé StopCovid. L’installation se fera d’ailleurs toujours sur la base du volontariat.

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Free annonce l’ouverture de son 98e Free Center demain

Free inaugure une nouvelle boutique et se rapproche ainsi toujours plus de son objectif.

Avec pour but d’arriver à un parc de 120 boutiques d’ici la fin de l’année, Free poursuit sa stratégie de quadrillage du territoire pour être au plus proche de ses abonnés et clients prospects. L’opérateur de Xavier Niel annonce ainsi l’ouverture, ce mercredi, d’un nouveau Free Center au centre commercial Ulis 2, dans la commune Les Ulis, dans le département de l’Essonne.

Pour rappel, Free a récemment ouvert ses 95e, 96e et 97e boutiques à PlaisirBourg-en-Bresse et Paris. D’autres ouvertures sont prévues prochainement à Bordeaux (Gironde), Angers (Maine-et-Loire), Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) et Le Chesnay (Yvelines) mais aussi à Cherbourg (Manche).

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Tech chez Free : c’est quoi le WPA3 ?

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons du WPA3.

En juillet 2020, Free a déployé une mise à jour avec pour objectif d’améliorer le Wi-Fi de ses box Internet. En plus d’augmenter les débits et la portée du signal, le nouveau firmware améliore la sécurité grâce à l’implémentation du WPA3. Qu’est-ce donc ?

Le WPA3 est un protocole pour sécuriser le réseau sans-fil Wi-Fi. Annoncé en janvier 2018 par la WiFi Alliance, il est une nouvelle itération du WPA (WiFi Protected Access) et prend la relève du WPA2 annoncée en 2004, soit 14 ans plus tôt. Une évolution nécessaire avec un Wi-Fi désormais omniprésent (maison, travail, école, hôtels, aéroports, centre-villes, etc.) et utilisé par un grand nombre d’appareils (ordinateur, smartphones, tablettes, enceintes, consoles de jeu, lecteurs multimédias, etc.).

Le WPA3 vient corriger quelques lacunes de son prédécesseur. Il promet une meilleure résistance face aux attaques par force brute pour deviner vos mots de passe même “faibles”. Grâce au mécanisme “Simultaneous Authentication of Equalse” (SAE), le système interagira en effet avec le réseau lors de la saisie du mot de passe et pourra ainsi détecter des tentatives d’attaques. De plus, la technologie “forward secrecy” qui fait son apparition empêchera un éventuel pirate qui aurait réussi à obtenir votre mot de passe de déchiffrer vos communications. Il  impose aussi une clé minimale de 192 bits, ce qui la rend plus difficile à déchiffrer, dans la version pensée pour les professionnels et institutions (WPA3-Enterprise).

Notez enfin que Free propose un mode appelé transition permettant au protocole WPA2 de rester accessible pour les appareils non compatibles.

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Un collectif exige le démontage d’une antenne Free Mobile fraîchement installée

Un collectif de riverains exige le démontage et le déplacement d’une antenne-relais fraîchement installée par Free. Une pétition a d’ailleurs récolté plus de 1 200 signatures.

Début août, des habitants de Figeac se disaient “sonnés” à la suite de l’implantation d’une antenne Free Mobile. Soulignant que tout était allé très vite, ils avaient dénoncé une “verrue” dans un secteur classé, en parlant du pylône de 30 mètres de haut ayant pris place près du stade du Calvaire, mais également pointé du doigt la proximité d’habitations, d’un collège et d’un lycée. “Pourquoi implanter une telle antenne si près des maisons ?”, “On développe le principe de mutualisation des pylônes, pourquoi ce n’est pas le cas ?”, continuent de s’interroger les opposants.

Regroupés au sein d’un collectif “Rentrez vos antennes 46”, ils ont ainsi lancé une pétition pour réclamer le démontage et le déplacement de l’installation “dans un lieu moins sensible”. Celle-ci a recueilli plus de 1 200 signatures. 

Une rencontre avec le maire toujours attendue

Avec pour but de faire entendre sa voix, le collectif a par ailleurs organisé une mobilisation samedi matin sur le marché de Figeac et souhaite une rencontre avec le maire. “Nous lui avons fait une demande début août et nous attendons toujours”, déplore Olivier Rabatel, membre du collectif, notant également avoir “reçu de la mairie une invitation à une réunion publique prévue le 6 octobre en présence de l’opérateur” et “dans le même temps, une lettre d’annulation de cette même réunion”.  De son côté, André Mellinger, le maire, indique que la réunion n’a pas été annulée, mais reportée, et qu’elle est souhaitable pour répondre aux inquiétudes des riverains.

“Le collectif veut d’abord un rendez-vous uniquement avec le maire pour lui faire part de ses interrogations et de ses craintes. On ne veut pas d’un exposé technique de l’opérateur qui va nous expliquer que les mesures d’onde sont conformes avec la loi”, insiste toutefois le collectif.

Source : Media7

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Le gouvernement et les opérateurs main dans la main pour réduire l’empreinte écologique des smartphones

75 %, c’est la part de l’empreinte écologique du numérique que représentent les smartphones. Aidé par les opérateurs, le gouvernement veut mettre un coup de frein à l’obsolescence programmée et pousser le secteur du reconditionné.

À l’heure où 100 millions de téléphones dorment dans les tiroirs et où la 5G va nécessiter le renouvèlement des terminaux, le recyclage de ces derniers devient un sujet de premier plan. Avec l’extraction des matériaux nécessaires à leur fabrication, l’assemblage ou encore l’acheminement, il faut dire que ces appareils de notre quotidien représentent à eux seuls “75 % de l’empreinte écologique du numérique”, comme l’a rappelé Barbara Pompili, la ministre de la transition écologique. Pas facile pour autant de faire lever le pied à toute une industrie et calmer le fléau incessant de smartphones qui se déverse sur le marché avec des prix et des technologies incitant au renouvèlement régulier.

Les opérateurs télécoms dans la boucle

De son côté, Orange a affiché sa volonté de mettre le pied sur l’accélérateur, avec son programme Re, continuité d’une démarche initiée il y a 10 ans ayant permis de récolter plus de 15 millions de téléphones dans l’ensemble des pays où le groupe est présent. Stéphane Richard, PDG de l’opérateur historique estime que les smartphones reconditionnés sont un des moyens d’action à l’échelle des opérateurs. Free en est également avec les boîtes de collecte de mobiles désormais disponibles dans 32 de ses Free Centers.

Le gouvernement en soutien à la filière du reconditionné

On sait également que le gouvernement a commandé une enquête de la DGCCRF, sur fond de plaintes des réparateurs et reconditionneurs concernant la difficulté à trouver les pièces détachées et les prix élevés rendant les réparations économiquement peu intéressantes, et qu’il veut éclairer davantage le consommateur grâce à la mise en place d’un “indice de réparabilité”, une note sur 10 à la manière du spécialiste iFixit qui se penche sur les appareils high-tech afin d’en noter la facilité de réparation. Cet indice sera mis en place dès le mois de janvier 2021. Le gouvernement entend aussi soutenir le secteur du reconditionné, avec notamment une enveloppe de 21 millions d’euros pour la filière ou encore un taux de TVA réduit.

Avec dans l’idée de vider les tiroirs et de fournir de la matière à la filière du reconditionné, Cédric O, Secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, adresse un message clair aux Français : “J’invite dès aujourd’hui tous les Français à rapporter ces téléphones dans la boutique de l’opérateur le plus proche”. Pour aider la filière, Benoit Varin, patron de Recommerce, indique un autre aspect : “il faut aussi que l’État impose à tous les revendeurs et reconditionneurs de payer des taxes en France et renforcer les contrôles douaniers pour éviter des appareils reconditionnés low cost venus de Chine”.

Source : Le Parisien

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Redevance TV : bientôt payée par tous, mais moins chère ?

Un maximum de contributeurs pour un coût moins élevé par tête, telle est la piste explorée pour faire évoluer la redevance audiovisuelle. Les entreprises mettraient aussi la main à la poche.

Ayant tels appareils à la maison, suis-je assujetti à la redevance audiovisuelle ? Voilà une question qui ne se poserait plus avec l’“universalisation” de la redevance audiovisuelle proposée par une quarantaine de députés, parmi lesquels le président de la Commission des affaires culturelles Bruno Studer.

L’idée serait que tout le monde contribue, y compris ceux ne possédant pas de téléviseur. Les entreprises seraient également invitées à mettre la main à la poche, à partir d’un certain seuil de chiffre d’affaires ou d’un certain nombre de salariés, fixés par décret. Cela permettrait d’envisager une redevance audiovisuelle passant de 138 à 100 euros, tout en maintenant les recettes à un niveau équivalent à celui d’aujourd’hui , à savoir plus de 3 milliards d’euros.  Celle-ci serait prélevée à la source.

“On considère que les Français écoutent la radio, regardent la télévision sur smartphone, etc.”, indique Bruno Studer, au quotidien Les Echos, pour expliquer l’idée d'”universalisation” de cette taxe. Et d’ajouter : “Sans compter que France Télévisions, notamment, contribue très largement à la création française et les différents groupes au rayonnement de la France”. “Il ne s’agit pas de créer une nouvelle taxe, mais de poursuivre la déflation fiscale”, est-il expliqué.

D’autres pistes explorées par le passé

Le sujet est, on le sait, sensible, et promet des débats houleux. Ce n’est en tout cas pas la première fois que l’évolution nécessaire de la redevance audiovisuelle se retrouve mise sur la table. Par le passé, le gouvernement avait envisagé de l’étendre à tous les écrans, afin d’intégrer les nouveaux moyens de visionnage (ordinateur, tablette et smartphone), avant d’abandonner l’idée. Sans oublier la possibilité d’une suppression évoquée à plusieurs reprises par Gérald Darmanin, alors ministre des Comptes publics. Une annonce perçue comme un coup de massue auprès des professionnels de l’audiovisuel.

Avec la nouvelle proposition d”universalisation”, il s’agirait de maintenir le financement de l’audiovisuel public (France Télévisions, Radio France, etc.), tout en baissant le coût par tête. Difficile en revanche d’attendre un avis favorable de la part du gouvernement, avec le risque d’y avoir une nouvelle hausse d’impôts sur fond de crise sanitaire.

Source : Les Echos

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StopCovid : le gouvernement va lancer une deuxième version de son application de traçage de contacts le 22 octobre

Seconde version pour une deuxième chance. Le gouvernement annonce l’arrivée prochaine d’une nouvelle mouture de son application StopCovid. Elle débarquera le 22 octobre, soit dans une dizaine de jours.

On le sait, le gouvernement entend donner une seconde chance à StopCovid, l’application de traçage de contacts lancée début juin 2020 pour participer à la lutte contre le Covid-19. Avouant lors d’une audition au Sénat que celle “marche mal”, mais s’avouant pas vaincu, Cédric O indiquait récemment chercher “des relais et des alliés”. Le secrétaire d’État chargé du numérique compte notamment sur le secteur médical pour contrebalancer avec “le manque de confiance” vis-à-vis de la parole politique, mais également sur le secteur de l’hôtellerie et de la restauration pour éviter la prise de mesures qui pourrait porter préjudice.

Cette deuxième chance passera aussi par une deuxième version de StopCovid, comme l’a indiqué Jean Castex sur le plateau de France Info. Il a d’ailleurs indiqué que cette fois-ci il installera lui aussi l’application, après n’avoir pas installé la première mouture. Pour les nouveautés apportées pour cette nouvelle version, le Premier ministre a donné rendez-vous le 22 octobre, jour de son lancement.

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Le maire a donné le feu vert à Free, mais seulement pour la 4G

Free va implanter une antenne-relais dans une commune, mais il n’est pas question de 5G, assure le maire pour calmer les esprits. De toute façon, cela nécessiterait un second permis de construire.

Crispations à Têche, commune dans le département de l’Isère. Fin août, le maire a donné le feu vert à Free pour l’implantation d’une antenne-relais de téléphonie mobile. Des riverains se sont regroupés pour manifester leur désapprobation en découvrant le projet.

Réclamant la délocalisation de l’antenne et ayant récolté plus de 120 signatures avec une pétition, ils envisagent un recours devant la justice administrative. Les opposants réclament également une réunion publique, jugeant insuffisants les créneaux de 15 minutes par groupe de 3 prévus le 15 octobre de 18h00 à 20h00.

Pas de 5G sans second permis de construire

De son côté, le maire tient à rassurer les opposants qu’il a reçus vendredi avec ses adjoints et qui craignent l’arrivée de la 5G. “À Têche, il n’y aura pas la 5G, seulement la 4G. La mise en place de cette antenne permettra un renforcement du réseau actuel pour couvrir les zones blanches“, a en effet précisé Philippe Charbonnel.

Hubert Burtin, adjoint au maire, a apporté quelques précisions concernant une potentielle 5G : “si l’opérateur souhaitait diffuser la 5G, il serait obligé de doubler la hauteur du pylône, une opération qui nécessiterait alors un nouveau permis”.

Source : Le Dauphiné

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