Auteur : dimitri

Clin d’oeil : quand le palmipède s’interroge sur la tartufferie autour de la 5G

Distribution de coups de bec.“Amish”, “tartufferie”, l’utilisation de ces termes pour désigner les plus septiques face à l’arrivée de la 5G en France n’a pas manqué de faire réagir le Canard Enchaîné.

Toujours fidèle au poste pour donner des coups de bec, le Canard Enchaîné pointe à son tour une tartufferie. Dans un article “Terreur sur la 5G”, le palmipède revient sur la “tartufferie” dénoncée par Cédric O. Le secrétaire d’État au Numérique réagissait alors au moratoire sur la 5G voté par Lille au motif du principe de précaution. Il rappelait que Lille est l’une des villes avant-gardistes en matière d’expérimentations autour de cette nouvelle technologie, grâce à une collaboration avec Orange et 37 antennes de test. Tensions avec l’opérateur, stratégie pour avoir les écolos dans sa poche ou simple principe de précaution, s’interroge le journal satirique.

Le Canard Enchaîné rappelle que le gouvernement a également pris des précautions en commandant un rapport à l’Anses, dont la publication doit intervenir au cours du premier trimestre 2021. Il note aussi que d’autres rapports sont arrivés entre temps, en amont des enchères pour l’obtention des fréquences de la 5G, réduisant au passage à néant le rôle de l’Anses dont le rapport ne semble finalement servir à rien puisqu’on a déjà les réponses. Comme pour clouer le bec aux plus septiques, afin d’écarter toute idée de moratoire, d’aller vite et de ne pas être en retard. “Bizarrement, Cédric ne voit là aucune tartufferie”, s’étonne le journal satirique. Il revient aussi sur le terme “amish” utilisé par Emmanuel Macron, qui sous-entend que les inquiets sont “forcément ridicules”.

Il s’agirait aux yeux du palmipède de décrédibiliser toute opposition, pour faire place aux louanges autour de la 5G et de tous ses bénéfices pour le pays (meilleurs débits, nouveaux usages, compétitivité économique, etc.). “Soyez prêts pour la 5G ! Vous aurez plus de gigas ! Prenez notre forfait Go illimités à 79,99 euros par mois ! Achetez un nouveau mobile , par exemple le Samsung Galaxy S20 5G à 859,90 euros !”, ironise le Canard Enchaîné, voyant la fin de l’année comme l’ouverture d’un “buffet à volonté” qui fermera tout débat.

Source : Le Canard Enchaîné numéro 5215 du 21 octobre 2020

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Free Sénégal ne se voit pas comme un opérateur low cost

Des forfaits mobiles plus accessibles et de nouveaux services pour accompagner le pays dans sa transformation digitale, tel est l’objectif de Free Sénégal, l’un des trois opérateurs mobiles virtuels au Sénégal.

“En moins d’un an, avec l’arrivée de Free, les Sénégalais ont pu bénéficier de baisses conséquentes sur leurs tarifs de communications mobiles et Internet : moins 34 % sur le prix de la minute de communication et moins 75 % sur le prix de l’Internet mobile”,  selon Mamadou Mbengue. Lors d’une interview accordée au CIO Mag, le directeur général de Free Sénégal, fruit du rachat de Tigo et d’un renommage, a rappelé que l’opérateur mobile virtuel a permis de rendre les forfaits mobiles bien plus accessibles.

Participer à la transformation digitale du pays

Pour autant, Mamadou Mbengue explique qu’il ne s’agit pas se positionner en tant qu’opérateur low cost. “Nous nous percevons plutôt comme un opérateur qui allie juste prix, qualité de réseau et expérience client inédite”, indique-t-il. Selon lui, il s’agit en filigrane de participer à la transformation digitale du pays, en donnant accès à tous les services numériques associés. Celui-ci rappelle d’ailleurs que le taux de pénétration en Afrique était de 34 % en 2019 et pourrait atteindre en 2025. Il y a donc encore du pays sur la planche, mais aussi des parts de marché à prendre.

D’où le lancement, fin 2019, de Free Money, une plate-forme de transfert d’argent et de paiement. Mamadou Mbengue explique d’ailleurs qu’il y a un lien entre les forfaits attractifs qu’il propose et son service monétaire. Le second a tout simplement besoin des premiers.

Pas l’ambition d’être une banque

Pas question pour autant de devenir une banque à part entière. “Sur cette question, nous voulons être très clairs. Nous sommes partenaires du secteur bancaire. Par conséquent, nous n’ambitionnons pas d’être une banque”, a affirmé Mamadou Mbengue.

Il rappelle d’ailleurs que ses outils sont mis à disposition des partenaires, pour faciliter l’utilisation de Free Money sur de nombreuses plates-formes et “favoriser l’éclosion d’un écosystème de FinTech”. Et d’ajouter : “Les acteurs de la finance digitale au Sénégal et en Afrique ont une chance inouïe de se développer à travers le projet d’interopérabilité initié par la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et dont le lancement officiel est prévu pour 2021. Cette initiative permettra de fusionner l’ensemble des plates-formes de la finance digitale et profitera au client final”.

Le directeur général de Free Sénégal pense par ailleurs que la digitalisation des paiements a pris du sens avec la crise sanitaire. “À l’heure de la digitalisation des transactions, et dans un contexte de pandémie, le sans-contact est devenu une norme. Free Money est une des réponses mises à disposition des Sénégalais”, a-t-il déclaré.

Source : CIO Mag N°66 Septembre/Octobre 2020

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Xiaomi présente une charge ultra rapide en sans-fil pour les smartphones

Recharger son smartphone en sans-fil, sans avoir à mettre la main sur son câble de charge, c’est pratique. Très rapidement, c’est encore mieux.

19 minutes, voilà justement le temps qu’il faut pour recharger un smartphone avec une batterie 4 000 mAh, grâce à la nouvelle technologie dont Xiaomi a fait la démonstration dans une vidéo. Les 10 % sont atteints en 1 minute et les 50 % en 8 minutes. À peine le temps de tourner le dos, que c’est déjà fini.

Xiaomi n’en est d’ailleurs pas à son premier coup dans le domaine de la charge sans-fil. Le constructeur chinois avait en effet proposé une charge sans-fil 30 Watts en 2019, puis présenté des charges sans-fil 40 et 50 Watts plus tôt cette année. Il s’est également illustré grâce à une charge filaire en 120 Watts dont profite un Mi 10 Ultra malheureusement réservé au marché chinois.

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Orange obtient un soutien de poids dans un gros bras de fer avec le fisc

Voyant sa position confortée par le rapporteur public dans le cadre d’un contentieux fiscal, Orange pourrait récupérer 1 952 milliards d’euros d’impôt.

Plus de 2 milliards d’euros, voici la somme que pourrait récupérer Orange, s’il obtenait gain de cause auprès du Conseil d’État. L’opérateur récupérerait en effet 1 952 milliards d’euros d’impôts versés en 2008, auxquels s’ajouteraient 600 millions d’euros d’intérêts moratoires.

Rappel des faits

Retour en 2005. Dans le cadre d’une réorganisation interne, Orange dissout Cogecom, sa holding servant aux acquisitions du groupe. L’opérateur historique revoit ainsi ses bénéfices à la baisse, en les diminuant de 11,5 milliards d’euros, ce qui se traduit par moins d’impôts. 

Sauf qu’en 2008, l’administration fiscale a demandé à Orange de réintégrer ces 11,5 milliards d’euros. Cela se traduira par un redressement fiscal de 1 952 milliards d’euros. L’agrume a bien payé, mais en contestant cette imposition auprès du Conseil d’État.

Un soutien de poids

D’après François-Henri Briard l’un des avocats d’Orange, l’opérateur a obtenu un important soutien dans ce contentieux avec le fisc. “Le rapporteur public a demandé de faire droit à la demande d’Orange”, a-t-il en effet déclaré ce lundi à l’AFP, rappelant le caractère “tout à fait hors norme” de l’affaire au regard des sommes en cause.

Une nouvelle plutôt rassurante pour Orange. “La position du rapporteur public est une recommandation, qui est souvent, mais pas forcément, suivie par le Conseil d’État dans sa décision au fond”, note en effet l’AFP. D’autant plus que le Conseil d’État avec déjà donné raison à Orange en 2016.

Source : AFP

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Exposition aux ondes : l’ANFR vous montre comment sont réalisés les contrôles de DAS sur les smartphones

Comment se passent les contrôles de DAS réalisés chaque année par l’ANFR ? Voilà qui reste probablement opaque pour une bonne partie des consommateurs. Le gendarme des ondes vous explique tout.

Lors des contrôles réalisés par l’ANFR sur les smartphones, afin de vérifier le respect des limites réglementaires en matière de DAS, certains se font épingler. Dernièrement, cela a notamment été le cas pour le Sony Xperia 5 et le Xiaomi Mi Note 10. Tous les deux sont d’ailleurs rentrés dans les clous suite à des mises à jour logicielles déployées par les constructeurs.

Mais quel est le parcours d’un smartphone lors d’un contrôle et les sanctions encourues ? Dans une vidéo, le gendarme des télécoms vous montre et vous explique tout, notamment les mesures réalisées par un laboratoire avec un réceptacle de forme humaine rempli de liquide où est plongée la sonde. Il revient également sur les suites en cas de non-conformité, avec la mise en demeure de celui distribuant le smartphone et la prononciation de sanctions financières, voire le retrait du smartphone et le rappel des unités déjà vendues (ce fut notamment le cas de l’Echo Horizon Lite).

Des évolutions autour du DAS

Rappelons que la législation autour du DAS a récemment évolué, afin de mieux informer le consommateur sur fond de multiplication des objets connectés. Depuis le 1er juillet 2020, il s’étend ainsi au-delà des téléphones mobiles pour concerner l’ensemble des équipements radioélectriques prévus pour un usage à proximité du corps humain et dont la puissance moyenne maximale est supérieure à 20 mW, englobant ainsi certaines montres connectées, les casques sans-fil et les tablettes tactiles. Le DAS doit être indiqué dans les notices et les publicités, mais aussi sur les lieux de vente à proximité des appareils concernés. Free s’est d’ailleurs mis en conformité.

Rappelons également que les contrôles seront renforcés sur fond de déploiement de la 5G en France. 70 appareils ont été contrôlés en 2019. L’ANFR en contrôlera 140 en 2021, en ciblant particulièrement les modèles 5G.

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Comment bien utiliser son smartphone : Bouygues Telecom distille quelques conseils en vidéo

À travers une série de vidéos, Bouygues Telecom distille quelques conseils de bon sens aux novices. Quelques piqûres de rappel qui ne sont toutefois jamais de trop, même pour les utilisateurs expérimentés.

Comment faire durer plus longtemps sa batterie ? Comment éviter de saturer le stockage de son smartphone ? Comment bien sécuriser son appareil ? Comment éviter de passer trop de temps devant l’écran ? Autant de questions qui trouveront des éléments de réponse à travers une série de vidéos proposées par Bouygues Telecom.

Une première vidéo invite à adapter la luminosité, à activer/désactiver les connectivités en fonction des situations, à privilégier la sonnerie par rapport au vibreur ou à réduire les notifications. Le tout dans le but d’espacer le temps entre deux charges et d’éviter de se retrouver à court de batterie au moment où l’on aura vraiment besoin de son smartphone.

Une seconde vidéo s’attarde sur le stockage du smartphone. Il s’agit de faire de la place en évinçant les applications devenues inutiles, en vidant le cache des applications ou en privilégiant le stockage des photos/vidéos dans le Cloud. Sans oublier, quand c’est possible, l’usage d’une carte mémoire. Ces conseils valent en particulier pour les smartphones les moins onéreux et à la capacité de stockage moins importante.

La troisième vidéo s’attarde sur la sécurité du terminal et des données en mémoire. Il faudra ainsi penser à mettre en place un mot de passe assez complexe et une solution de déverrouillage avancée comme la reconnaissance faciale ou le lecteur d’empreintes digitales (en fonction des solutions proposées, évidemment). Mieux vaut également se méfier des téléchargements douteux, comme un outil normalement payant et étrangement gratuit, ou activer la localisation de l’appareil en prévention d’une perte ou d’un vol. Sans oublier de vérifier la disponibilité de mises à jour de sécurité et surtout de les installer.

Dans une quatrième vidéo, il est enfin question de l’addiction au smartphone, qui se traduit par beaucoup de temps passé à l’écran. Aller dans les outils de mesure du temps à l’écran permet dans un premier temps de prendre la mesure d’une possible addiction. Gagner du temps passe également par une réorganisation des applications pour mettre en avant les plus utiles et par la suppression des notifications superflues. Sans oublier les modes “ne pas déranger” que proposent désormais les smartphones, afin de ne pas être perturbé au travail ou au moment de dormir.

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Face à l’incompréhension, Free explique pourquoi son antenne 4G est nécessaire

Face à des riverains ne comprenant pas l’installation d’un nouveau pylône pour sa couverture mobile, Free apporte des explications, notamment concernant l’emplacement et la hauteur.

Une mobilisation forte. Voilà près de deux ans que l’opérateur d’infrastructures TDF a manifesté son intention d’installer un pylône de plus de 40 mètres afin d’y accueillir la 4G de Free, dans la commune de Belles-Forêts, dans la Moselle. Riverains et élus s’y opposent fermement au motif qu’un pylône à quelques dizaines de mètres de là accueille déjà Orange et pourrait ainsi être utilisé par Free. Le collectif avait ainsi porté l’affaire devant la justice administrative.

La justice rejette le recours des opposants

Le tribunal a rendu son verdict en juillet dernier et renvoyé le collectif dans les cordes. Le pylône s’installera donc bel et bien à Angviller-lès-Bisping, l’un des deux villages composant Belles-Forêts. “Goliath a mis à terre David”, déplore Martine Kleine, adjointe à la maire Marina Husson. Et d’admettre : “On a engagé la procédure en sachant que nous étions tout petits”. Le pylône mesurera d’ailleurs 42 mètres, au lieu de 45 mètres comme prévu initialement.

“C’est comme si on n’avait pas notre mot à dire”, déplorent la maire et son adjointe, qui estiment être face à une construction résultant “d’une guerre économique entre opérateurs téléphoniques”. Elles notent n’avoir “jamais obtenu de réponse claire sur les raisons de la non-collaboration entre Free et Orange”.

Free apporte des explications

Interrogé par le Républicain Lorrain, Free a, de son côté, rappelé qu’il a des obligations en matière de couverture. “Free Mobile est un acteur profondément attaché au dialogue notamment avec les collectivités locales et soucieux de respecter des dispositions légales et réglementaires. Pour autant, nous sommes aussi soumis à des contraintes techniques et à des engagements de couverture que nous devons respecter”, a expliqué l’opérateur de Xavier Niel.

Concernant la parcelle de terrain choisie, Free indique qu’il s’agit de parfaire la couverture pour que tout le monde en profite. L’opérateur explique étudier “toutes les possibilités, mais, parfois, certains sites ne répondent pas au cahier des charges ou conduisent à multiplier les situations où un voisin capte et l’autre pas”. À propos de la hauteur, il apporte aussi une explication : “l’antenne sera finalement déployée à notre demande à 42 mètres. C’est la hauteur requise pour assurer la couverture souhaitée compte tenu de la hauteur des arbres et de la densité de la forêt aux alentours”. Free indique enfin que ladite antenne servira pour la 3G et la 4G, mais pas pour la 5G.

Source : Le Républicain Lorrain

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Choc des smartphones disponibles chez Free : quatre modèles à 199 euros, lequel choisir ?

La boutique Free Mobile propose actuellement quatre smartphones au prix de 199 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes. Aujourd’hui, nous mettons en concurrence les Xiaomi Redmi Note 9, Nokia 6.2, Oppo A9 2020 et Huawei P Smart S, tous les quatre proposés à 199 euros au comptant, mais également en plusieurs fois sans frais. Le quatrième est arrivé un peu plus tôt dans le mois sur la boutique de l’opérateur.

L’écran : le Huawei P Smart S avec son écran OLED

Le Huawei P Smart S a comme sérieux atout une dalle OLED qui promet de plus belles couleurs et de meilleurs contrastes. Le Xiaomi Redmi Note 9 a quand même pour lui le poinçon, plus discret lors d’un visionnage vidéo ou d’une séance de jeu. L’Oppo A9 2020 offre une belle diagonale, mais avec une définition HD+.

Notre classement :

  1. Huawei P Smart S (6,3 pouces, FHD+, OLED et encoche goutte d’eau)
  2. Xiaomi Redmi Note 9 (6,53 pouces, FHD+, IPS et poinçon)
  3. Nokia 6.2 (6,3 pouces, FHD+, IPS et encoche goutte d’eau)
  4. Oppo A9 2020 (6,5 pouces, HD+, IPS et encoche goutte d’eau)

Performances en multimédia : le Huawei P Smart S avec son processeur plus puissant

Le Huawei P Smart S embarque un processeur plus performant sur le papier, tandis que le Xiaomi Redmi Note 9 profite d’un chipset pensé pour le jeu sur mobile. Nokia 6.2 apparaît en retrait avec son chipset plus ancien.

Notre classement :

  1. Huawei P Smart S (chipset Kirin 710F ; processeur octa-core 2,2 GHz avec 4 Go de RAM)
  2. Xiaomi Redmi Note 9 (chipset MediaTek Helio G85 ; processeur octo-core 2,0 GHz avec 3 Go de RAM)
  3. Oppo A9 2020 (chipset Snapdragon 665 ; processeur octa-core 2,0 GHz avec 4 Go de RAM)
  4. Nokia 6.2 (chipset Snapdragon 636 ; processeur octa-core 1,8 GHz avec 4 Go de RAM)

La photo : un modèle en retrait

Les Oppo A9 2020 et Huawei P Smart S se démarquent en proposant de la photo 48 Mégapixels avec plus moins de capteurs en complément, ainsi qu’un module 16  Mégapixels pour les selfies. Nokia 6.2 est une nouvelle fois en retrait, se contentant d’un capteur photo principal de 16 Mégapixels, mais aussi d’un module à selfies de 8 Mégapixels.

Notre classement :

  1. Oppo A9 2020 (48/8/2/2 Mégapixels à l’arrière, 16 Mégapixels à l’avant)
  2. Huawei P Smart S (48/8/2 Mégapixels à l’arrière, 16 Mégapixels à l’avant)
  3. Xiaomi Redmi Note 9 (48/8/2/2 Mégapixels à l’arrière, 13 Mégapixels à l’avant)
  4. Nokia 6.2 (16/8/5 Mégapixels à l’arrière, 8 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : le Xiaomi Redmi Note 9 coche toutes les cases

Le Xiaomi Redmi Note 9 creuse l’écart, grâce à sa batterie de plus grosse capacité, mais également avec sa charge plus rapide.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (5 020 mAh ; 18 Watts)
  2. Oppo A9 2020 (5 000 mAh ; 10 Watts)
  3. Huawei P Smart S (4 000 mAh ; 10 Watts)
  4. Nokia 6.2 (3 500 mAh ; 10 Watts)

L’interface : c’est une affaire de goût

L’interface logicielle reste toujours une affaire de goût. Reste que le Huawei P Smart S subit l’embargo américain et se retrouve ainsi privé du Play Store de Google, obligeant à se contenter de l’AppGallery moins fourni. Un aspect difficile à ne pas prendre en compte, aussi intéressante soit la fiche technique.


Le choix d’Univers Freebox

Bel écran, bonnes performances, polyvalence en photo, grosse autonomie, charge rapide et interface complète. Xiaomi a réussi à cocher pas mal de cases avec son Redmi Note 9, tout en restant sous la barre des 200 euros. Il apparaît donc à nos yeux comme le choix à privilégier. Vous pouvez d’ailleurs retrouver le test complet du Redmi Note 9 que nous avons réalisé.  Le Huawei P Smart S aurait pu se montrer comme une alternative intéressante, mais pas sans le Play Store et sa pléthore d’applications.

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nPerf : l’outil pour mesurer ses débits 3G, 4G et Wi-Fi se met à jour sur iOS

 

L’application nPerf reçoit une mise à jour dans sa déclinaison iOS. Elle permet l’identification des tests réalisés en 5G et vient peaufiner le code de l’application.

L’application nPerf sur iOS se met à jour avec la publication d’une mouture estampillée 2.7.2. Celle-ci apporte la détection 5G, afin d’identifier si un test est fait en 5G (info affichée dans l’historique, sur les images de partage, et utilisée pour les publications nPerf). En revanche, cela ne permet pas de contribuer aux cartes de couverture, car il est impossible de connaitre la force du signal pour le moment, Apple ne fournissant pas cette information, soulignent les développeurs. La mise à jour résout par ailleurs quelques bugs qualifiés de mineurs et venant simplement peaufiner le code de l’application.

Disponible gratuitement sur Android et iOS, l’application mobile nPerf permet pour rappel d’évaluer la qualité de sa connexion mobile ou Wi-Fi en effectuant un test de débit descendant, un test de débit montant, un test de navigation sur plusieurs sites Internet et un test de streaming vidéo avec trois qualités d’affichage. En fin de test, elle délivre alors un nombre de points reflétant la qualité globale de la connexion.

Partenariat avec Univers Freebox

Univers Freebox et nPerf ont lancé un partenariat avec la possibilité de réaliser un test de débit depuis la page dédiée et de le sauvegarder. Les données étant issues de nPerf, leur fiabilité est assurée.

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5G : la nouvelle technologie expliquée en 2 minutes et 5 questions

Alors que la 5G pointe le bout de son nez en France, Bouygues Telecom opère une petite piqûre de rappel. Il s’agit d’expliquer la nouvelle technologie aux moins technophiles.

Améliorations, nouveaux usages, coup d’envoi, prérequis et avenir des technologies précédentes. Au travers d’une vidéo de 2 minutes postée sur sa chaîne YouTube, Bouygues Telecom apporte des réponses à ces questions que peuvent se poser les utilisateurs les moins avertis.

L’opérateur rappelle ainsi qu’il s’agit d’offrir de meilleurs débits, de désencombrer les réseaux mobiles en particulier dans les zones denses et de permettre l’émergence de nouveaux usages comme la voiture autonome. Il insiste également sur le fait que la 5G ne remplacera pas la 4G, mais viendra en complément. Un dernier aspect qu’Orange avait déjà indiqué dans une vidéo du même acabit.

Sans oublier la nécessité – a priori évidemment – d’avoir un smartphone et un forfait compatibles, mais également d’être dans une zone couverte. Les forfaits compatibles 5G se montrent déjà chez Orange et Bouygues Telecom, tandis que la technologie commence à s’aventurer sur les smartphones de milieu de gamme sous la barre des 300 euros, avec par exemple le Xiaomi Mi 10T Lite.

Rappelons enfin qu’Univers Freebox vous a proposé un dossier complet sur la 5G. Il vous résume tout ce que vous devez savoir à propos de cette technologie (principes, usages, polémiques, etc.).

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