Auteur : dimitri

Meteor : l’application de speedtest se met à jour sous iOS avec une nouveauté et des améliorations

L’application de speedtest Meteor évolue pour permettre les tests en 5G et améliorer l’expérience sous iOS 14.

Meteor pour iOS passe en version 1.25.0 avec désormais la possibilité de tester ses débits sur les réseaux 5G. Rappelons d’ailleurs que les vannes seront bientôt ouvertes en France. “En outre, cette version inclut plusieurs améliorations de performances autour de l’expérience utilisateur sur iOS 14”, ajoutent les développeurs de l’application. Il s’agit, pour rappel, du dernier OS pour smartphone d’Apple, celui notamment livré avec les nouveaux iPhone 12.

Disponible sur Android et iOS, l’application Meteor fait partie des nombreuses applications permettant de tester la qualité de sa connexion Internet en 3G, 4G, Wi-Fi, et 5G à présent. À l’issue des tests, elle chiffre le débit descendant, le débit montant et le ping, mais indique aussi si la connexion est suffisante pour les applications, celles indiquées par défaut et celles ajoutées par l’utilisateur. Des codes couleur permettent de comprendre rapidement les résultats. Les néophytes peuvent également compter sur un compagnon virtuel que l’on peut solliciter en tapotant dessus pour obtenir quelques explications concernant les fonctionnalités.

Classés sous les catégories : Non classé

L’Arcep dévoile ses recommandations à Free, Orange, Bouygues et SFR en matière de cartes de couverture 5G

Le cadre est désormais clairement défini concernant les cartes de couverture 5G des opérateurs. Le régulateur a en effet publié ses recommandations pour rester dans les clous et surtout éviter les plaintes des consommateurs.

Guider Free, Orange, Bouygues et SFR pour éviter la déception du côté des consommateurs telle est la mission de l’Arcep. L’autorité de régulation vient en effet de publier une dizaine de recommandations concernant les cartes de couverture 5G des opérateurs. Certains s’adressent aux opérateurs et d’autres aux acteurs réalisant les mesures qui permettront d’alimenter lesdites cartes.

Des recommandations concernant les cartes elles-mêmes et les mesures

L’Arcep invite évidemment à élaborer et publier des cartes de disponibilité du service pour tenir informés les utilisateurs. Ces cartes devront avoir un titre et une légende, être transparentes en matière de méthodologie, indiquer “comme couvertes uniquement les zones où une partie du débit est effectivement portée par la 5G”, bien distinguer le niveau de débit disponible (en évitant une carte 5G mêlant les bandes de fréquences très différentes) et faire apparaitre une temporalité. Il s’agit également de rappeler, même cela tombe sous le sens, la nécessité d’avoir un terminal compatible 5G.

De leur côté, les acteurs réalisant les mesures sont invités à distinguer “les résultats par strates (zones rurales, urbaines ou intermédiaires) afin de donner une vision plus réaliste des  différences  de  performances  de  la  5G  en  fonction  du  territoire considéré”, mais aussi à ne pas considérer la 5G disponible uniquement en se basant sur l’apparition du logo. L’Arcep leur demande également de la transparence concernant la date des mesures, les protocoles de tests utilisés et les quantités de mesures réalisées.

Aller plus loin

L’Arcep avait indiqué être prêt à répondre aux éventuels doutes des opérateurs pour leurs cartes de couverture 5G, mais aussi à sortir son bâton de gendarme dans le cas de “pratiques trompeuses à l’égard des consommateurs”. La répression des fraudes a également été mise sur le dossier par le gouvernement qui souhaite un cadre clair pour éviter toute publicité trompeuse. De son côté, l’UFC-Que Choisir demandait d’aller plus loin. Plutôt qu’un “gentillet code de bonne conduite”, l’association de consommateur milite pour “une dissuasion efficace” reposant sur une “décision juridiquement contraignante”.

Classés sous les catégories : Non classé

Huawei présente ses nouveaux smartphones Mate 40 avec écran OLED, 5G, photo 50 Mégapixels et charge ultra rapide

Comme chaque année, Huawei renouvelle sa famille de smartphones haut de gamme Mate. Le géant chinois a mis le paquet pour séduire, alors qu’il reste pénalisé par l’embargo américain le privant des services de Google.

Ils répondent aux noms de Mate 40, Mate 40 Pro, Mate 40 Pro+ et Mate 40 RS. Ce sont les nouveaux smartphones haut de gamme dévoilés ce jeudi 22 octobre par Huawei. Tous bénéficient d’un chipset maison de dernière génération, le Kirin 9000E pour le Mate 40 ou le Kirin 9000 pour les trois autres déclinaisons. Gravées en 5 nanomètres, ces plates-formes apportent un processeur octa-core jusqu’à 3,13 GHz et la compatibilité 5G. La différence se joue au niveau de la partie GPU, avec 22 ou 24 coeurs, et de la partie NPU, avec 2 ou 3 coeurs. La mémoire vive pour épauler le processeur oscille entre 8 et 12 Go de RAM, selon les modèles.

Les quatre nouveaux smartphones de Huawei profitent d’un écran OLED 90 Hz avec une diagonale oscillant entre 6,5 pouces (en 2 376 x 1 080 pixels) pour le Mate 40 et 6,76 pouces (en 2 772 x 1 344 pixels) pour les autres et d’un capteur photo 50 Mégapixels au dos avec plus ou moins de capteurs additionnels selon les modèles. Le Mate 40 embarque une batterie 4 200 mAh rechargeable en filaire avec une puissance de 40 Watts. Les Mate 40 Pro, Mate 40 Pro+ et Mate 40 RS abritent une batterie 4 400 mAh avec une charge 66 Watts en filaire ou 50 Watts en sans-fil.

À smartphones haut de gamme, tarifs haut de gamme. Côté prix, il faudra en effet compter 899, 1 199, 1 399 et 2 295 euros respectivement pour les Mate 40 (8/128 Go), Mate 40 Pro (8/256 Go), Mate 40 Pro+ (12/256 Go) et Mate 40 RS (12/512 Go). Tous les quatre s’accompagneront d’un système Android 10 avec l’interface EMUI 11, mais ne profiteront pas des services et applications de Google du fait de l’embargo américain ciblant toujours le groupe chinois, lequel réfléchirait d’ailleurs à se séparer sa branche Honor.

Classés sous les catégories : Non classé

Test du Realme 7 : quelle expérience avec ce smartphone à petit prix ?

Le Realme 7 est désormais disponible en France. Nous l’avons testé pendant plusieurs jours. Voici nos impressions à son sujet. La copie n’est pas parfaite et même un poil décevante.

Après le Realme 6 et ses différentes déclinaisons un peu plus tôt dans l’année, au tour à présent du Realme 7 d’être testé par la rédaction d’Univers Freebox. Avant de passer au test, voici les caractéristiques du Realme 7, qui s’affiche en ce moment à partir de 179 euros sur la boutique du constructeur :


Fiche technique du Realme 7 : les caractéristiques du modèle prêté par la marque


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,05 GHz (chipset Helio G95)
–   Mémoire vive : 8 Go en LPDDR4x


–   Écran : dalle IPS 6,5 pouces avec une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels)
et un rafraîchissement en 90 Hz
–   Audio : son sortant de la tranche inférieure
–   Stockage : 128 Go en UFS 2.1 extensibles par carte MicroSD (slot dédié)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–   Compatibilité 5G : non


–   Quadruple capteur photo au dos (organisation en ligne verticale) : 48 + 8 + 2 + 2 Mégapixels
–   Capteur photo à l’avant : 16 Mégapixels (dans un poinçon en haut à gauche)


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (dans la tranche inférieure)
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11a/b/g/n/ac
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   NFC : oui


–   Batterie : 5 000 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 30 Watts (6A/5A ; bloc inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface Realme  UI


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale
ou lecteur d’empreintes digitales sur la tranche droite
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : août 2020


Un smartphone avec une bonne prise en main

De face, le Realme 7 est un smartphone parmi d’autres, qui suit d’ailleurs la tendance d’un poinçon pour éviter l’encoche. Un menton assez prononcé rappelle d’ailleurs que l’on est face à un smartphone à petit prix.

De dos, il tente de se démarquer avec un motif changeant en fonction de l’orientation. Et il faut bien admettre que ça rend bien. On pourra d’ailleurs le garder visible avec la coque incluse dans la boîte, cette dernière étant transparente.

En main, le Realme 7 offre une bonne préhension avec son poids raisonnable, sa coque arrondie et son bloc photo arrière ne dépassant pas excessivement (même s’il rend le smartphone un peu instable sur le dos, sauf avec la coque fournie).

Un effort du côté de l’écran, mais pas grand-chose pour le son

S’il ne profite pas des belles couleurs et des forts contrastes de l’AMOLED, se contentant d’une dalle IPS, l’écran du Realme 7 propose la définition Full HD+ et le taux de rafraîchissement 90 Hz bienvenu dans les jeux vidéo. Chaleur d’affichage et taux de rafraîchissement sont ajustables dans les paramètres. Bref, rien à redire de ce côté-là.

 

Pour le son, en revanche, ça n’est pas le même constat. Il n’offre pas de relief ni de rendu stéréo, mais surtout, il nous a fait plisser les yeux par moment, en raison d’aigus désagréables, en particulier à fort volume. On a l’impression d’un son brouillon dès lors d’une musique un peu riche.

Bonne nouvelle toutefois si vous avez de bons écouteurs ou un bon casque en mini-jack, la connectique répond présente, dans la tranche inférieure.

Pas grand-chose à attendre du côté de la photo

Difficile de faire des éloges concernant la photo, ce qui prouve – si cela était encore nécessaire – qu’un grand nombre de capteurs photo ne garantit pas une expérience optimale. Les clichés avec le bloc arrière manquent de détails et ne respectent pas les couleurs. Pas mieux avec le capteur frontal. Lors d’un après-midi ensoleillé, nous avons bataillé et finalement fini à l’ombre pour avoir un seflie sans problème de surexposition, mais pas fameux non plus. 

Ci-dessous, deux photos en extérieur, puis leurs versions ultra grand-angle :

Une photo avec du flou d’arrière-plan :

Une photo de nuit, puis sa version corrigée :

Des selfies en extérieur et à l’intérieur (nous avons vérifié une dernière fois avant de publier, Marjo n’est toujours pas rousse…) :

Dual-SIM et compatible B28

Pas de 5G pour ce Realme 7. Le smartphone est en revanche compatible avec la 4G 700 MHz et propose une gestion dual-SIM avec deux logements dédiés. Pas besoin de choisir entre dual-SIM et extension du stockage. Un bon point.

Ci-dessous, des débits en intérieur :

 

Et d’autres, obtenus en extérieur, dans des zones assez bien couvertes :

 

Pas une bête de course, mais joueur quand même

Le Realme 7 ne promet pas monts et merveilles en termes de performances, mais offre une bonne fluidité au quotidien et permet de s’adonner aux jeux dans de bonnes conditions.

Pour les amateurs de benchmarks, il faudra se contenter des résultats de Disk Speed, à savoir 218 Mo/s en écriture et 403 Mo/s en lecture pour la mémoire interne. L’outil AnTuTu, que nous utilisons habituellement, plantait systématiquement avant la fin du test.

2 jours d’autonomie sans se priver

D’après nos observations, il est largement possible de tenir deux jours loin du secteur, sans se restreindre. Cela s’explique par la présence d’une batterie 5 000 mAh à bord.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : départ à 14h58 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 20h00 avec 14 % :

– 1 heure et 5 minutes de streaming audio avec les écouteurs filaires
– 45 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 35 minutes de jeu avec le son du smartphone
– Consultations et notifications Gmail/Twitter/Facebook
– Pas mal de surf
– SMS/MMS
– 12 téléchargements d’applications, dont 3 gros
– 39 mises à jour d’applications
– Photos
– Tests de débits
– Benchmarks (dont plusieurs avortés)
– Manipulations pour les captures

Un deuxième exemple d’utilisation : départ à 22h35 avec 100 % et arrivée le lendemain à 13h22 avec 77 %
– 20 minutes de streaming avec les écouteurs filaires
– 5 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 20 minutes de YouTube avec les écouteurs
– 15 minutes de jeu avec le son du smartphone
– Consultations et notifications Gmail/Twitter/Facebook/LinkedIn
– Surf sur Internet
– SMS/MMS
– 1 appel court
– 7 mises à jour d’applications
– 6 téléchargements, dont 3 gros
– Fonctionnement de StopCovid

Autre bon point : la charge. Realme propose une charge 30 Watts et fournit le bloc adéquat. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ça ne traîne pas. 

Ci-dessous, un suivi de charge :
– 20h59 : 13 %
– 21h14 : 45 %
– 21h30 : 74 %
– 21h43 : 93 %
– 21h51 : 100 %

Une interface Android 10 complète et pas trop chargée

Avec son Realme 7, le constructeur fournit une interface Realme UI basée sur Android 10 avec deux applications partenaires, WPS Office et Facebook, qui peuvent être désinstallées.

 

 

Cette interface inclut quelques fonctions pratiques, dont :
– L’affichage multifenêtre pour, par exemple, répondre à un SMS tout en écoutant une vidéo YouTube
– La gestion avancée des gestes, y compris sur l’écran éteint
– La possibilité d’afficher ou non le tiroir d’applications
– La barre latérale de raccourcis (accessible avec un glissement depuis la droite)
– Le mode sombre

 

Durant notre test, nous avions les patchs de sécurité du mois d’août 2020. Pas les plus récents, mais pas trop anciens non plus. Toujours en parlant des solutions de sécurité, reconnaissance faciale et lecteur d’empreintes digitales sur la tranche fonctionnaient à merveille, en plus d’être très rapides.


VERDICT

Le Realme 7 a des qualités, comme son bel écran (au regard de son segment tarifaire, évidemment), sa belle autonomie, sa charge rapide et son interface complète. Il conserve également le mini-jack, tout en ne forçant pas à choisir entre dual-SIM et extension mémoire. La copie est toutefois gâchée par la partie photo, vraiment très moyenne. Un effort aurait également pu être fait sur la partie son. 

En face, Xiaomi se montre plus convaincant avec son Redmi Note 9 à la configuration moins aguicheuse sur certains points (pas d’écran 90 Hz et charge moins rapide en 18 Watts), mais sans faute note. Plus équilibrée, en somme.


 

Classés sous les catégories : Non classé

Cédric O réclame plus de transparence sur les algorithmes des réseaux sociaux

Cédric O milite pour un meilleur encadrement des réseaux sociaux, avec plus de transparence sur les algorithmes utilisés et des sanctions pour ceux n’allant pas assez loin en matière de modération des contenus.

Course au buzz avec des contenus parfois discutables. Déferlante de fausses informations. Au-delà de la modération par les géants de réseaux sociaux, Cédric O réclame moins d’opacité sur le fonctionnement de ces plates-formes. “L’opacité du fonctionnement de leurs algorithmes et de leur modération est une aberration sociétale et démocratique”, a en effet fustigé le secrétaire d’État chargé de la transition numérique et des communications électroniques dans une tribune publiée sur Medium.

Ce sont donc les algorithmes, ces mécanismes permettant les recommandations de contenus et la suppression des contenus jugés inappropriés, qui se retrouvent dans le viseur. Des mécanismes qui sont le nerf de la guerre, au même titre que les données collectées, dans le secteur et que les géants gardent évidemment secrets.

Deux axes

Cédric O propose ainsi de s’attaquer aux plates-formes qui n’iraient pas assez loin. “Il est urgent que le législateur puisse assigner des obligations de moyens à ces plates-formes qui leur imposent, sous la menace de sanctions extrêmement dissuasives et sous la supervision du régulateur, de mettre en place des dispositifs de modération à la hauteur de l’enjeu qu’elles représentent pour la société”.

Mais le secrétaire d’État réclame également plus de transparence. Selon lui, “il serait par ailleurs indispensable que toute la transparence soit faite à l’égard de la puissance publique quant aux principes régissant dans le détail les choix faits par leurs algorithmes de modération, qu’il s’agisse d’ailleurs de haine en ligne ou de diffusion de fausses informations”.

Pas question en revanche pour Cédric O de mettre fin à l’anonymat sur Internet. “Une obligation d’identification serait non seulement aisément contournable, mais aussi juridiquement très incertaine”, explique-t-il.

Cédric O s’en remet donc à l’Union pour “jeter les bases d’une véritable supervision des réseaux sociaux en matière de modération”. Une nouvelle législation européenne devrait d’ailleurs être proposée en décembre prochain.

Source : AFP

Classés sous les catégories : Non classé

TousAntiCovid, ex-StopCovid, est disponible sur tous les smartphones

La nouvelle version de l’application de traçage de contacts est désormais disponible au téléchargement. Elle apporte une interface plus claire et davantage d’informations, mais s’accompagne aussi d’un changement de nom voulu plus fédérateur.

Une deuxième chance. Admettant l’échec de StopCovid, avec plus de 2,6 millions de téléchargements et plus d’un million de désinstallations, le gouvernement avait annoncé une seconde version de son application de traçage de contacts pour lutter contre le Covid-19. Baptisée TousAntiCovid, elle devait débarquer ce jeudi 22 octobre. La voici justement qui apparaît sur le Play Store pour les smartphones Android, mais également sur l’App Store pour les iPhone. Il ne s’agit d’ailleurs pas d’une nouvelle application à proprement parler, mais plutôt d’une mise à jour de StopCovid faisant passer au numéro de version 2.0.0, tout en apportant de nouvelles fonctionnalités et changeant les nom et logo de l’application.

L’utilisateur accompagné et mieux informé

L’utilisation est toujours pris en main durant la phase d’installation, avec d’ailleurs un rappel des gestes barrière.

L’interface s’est enrichie de nouvelles données : risque d’exposition, chiffres clés et dernière actualité, tout cela bien en vue de l’utilisateur. Juste en dessous, et déjà proposés dans la première version, des boutons permettront de se déclarer en cas de diagnostic positif,  mais également de partager l’existence de l’application avec ses proches pour favoriser son installation.

Encore plus bas, une section “Plus” permet de savoir où se faire dépister et d’obtenir une attestation couvre-feu. Des liens menant à chaque fois vers les sites gouvernementaux, depuis le navigateur Internet. Elle permet aussi de gérer ses données (suppression du téléphone et/ou du serveur) et d’avoir des informations concernant la confidentialité des données.

Un nom plus fédérateur et des alliés

Après “StopCovid”, il est désormais question de “TousAnti-ovid“, un nom voulu plus fédérateur qui appelle à une lutte collective contre le Covid-19, en installant notamment la nouvelle mouture de l’application. “Chacun est mobilisé”, avait résumé le président de la République lors de son allocution. Un changement de nom jugé nécessaire par le Conseil national du numérique. En avril dernier, il avait en effet recommandé un changement de nom pour éviter de “porter de fausses promesses”.

Pour donner un maximum de chances à l’application d’atterrir sur les smartphones des citoyens, Cédric O indiquait récemment chercher “des relais et des alliés”. Le secrétaire d’État chargé du numérique compte notamment sur le secteur médical pour contrebalancer avec “le manque de confiance” vis-à-vis de la parole politique, mais également sur le secteur de l’hôtellerie et de la restauration pour éviter la prise de mesures qui pourraient porter préjudice.

Classés sous les catégories : Non classé

nPerf : l’application intègre une nouveauté pour les tests de débit Wi-Fi sur les Freebox

nPerf pour Android se met à jour avec une nouveauté. Elle intéressera les abonnés Freebox souhaitant tester leurs débits en Wi-Fi.

Après la déclinaison iOS pour intégrer la détection 5G, au tour de la déclinaison Android de l’application nPerf de se mettre à jour. Une version 2.8.0 apporte en effet le support de l’iPV6. Le déploiement concerne d’ailleurs 100 % des utilisateurs.

Pour effectuer un test de débit en IPv6, il faut choisir manuellement un serveur qui est indiqué comme IPv6, précisent les développeurs. Or, les serveurs IPv6 n’apparaissent dans la liste que si la connexion est compatible IPv6.

Chez Free, il faudra se contenter de l’IPv6 en Wi-Fi avec une Freebox, notent les développeurs. Début 2019, l’opérateur a en effet diffusé des mises à jour sur les Freebox Delta et les Freebox Révolution pour mettre l’IPv6 par défaut et d’empêcher sa désactivation. Mai 2019, l’IPv6 avait ainsi été déployé sur plus de 70 % de son réseau.

Bien qu’il soit généralement disponible chez Orange/Sosh et Bouygues, souvent l’IPv6 n’est pas activé par défaut en cellulaire, précisent les développeurs. Il faudra alors modifier l’APN dans les paramètres système. Dans le type d’APN, il faut modifier “IPv4” en “IPv4/IPv6”.

C’est quoi l’IPv6 ?

Pour rappel, l’IPv6 est une évolution du protocole de communication IP (Internet Protocol), lequel permet d’attribuer une adresse à un appareil présent sur le réseau. Un ordinateur, un smartphone, une tablette, une console de jeu ou une box Internet. Reposant sur un plus grand nombre de caractères qui permet de générer davantage d’adresses, cette évolution répond à la démocratisation d’Internet dans le Monde et l’explosion du nombre d’appareils connectés à Internet qui nécessite d’augmenter le nombre d’adresses IP disponibles.

Partenariat avec Univers Freebox

Univers Freebox et nPerf ont lancé un partenariat avec la possibilité de réaliser un test de débit depuis la page dédiée et de le sauvegarder. Les données étant issues de nPerf, leur fiabilité est assurée.

Classés sous les catégories : Non classé

Fibre optique : les poteaux de la discorde

Le déploiement du réseau mobile provoque régulièrement des tensions avec les riverains. Celui-ci de la fibre optique peut également entraîner quelques remous.

Dans nos colonnes, il est souvent question de riverains se plaignant du déploiement de la téléphonie mobile, en raison de l’exposition aux ondes ou de l’atteinte à l’esthétique du paysage. En voici qui se disent dérangés par celui de la fibre optique.

Ça se passe à Gueugnon, dans le département de Saône-et-Loire. Des habitants se plaignent de voir pousser des poteaux métalliques dans les rues. Ces infrastructures servent au déploiement de la fibre optique dans la ville, “où les premières prises seront commercialisées d’ici la fin de l’année, voire début 2021”, a indiqué le maire Dominique Lotte lors du dernier conseil municipal. 

Les habitants dénoncent une pollution visuelle. “Regardez, je me retrouve avec deux poteaux en pleine façade, à 1,50 mètre de distance. Je ne suis pas contre la fibre. Mais là, tout est fait en dépit du bon sens ! En plus, ce poteau bouge, il tape contre les fils téléphoniques”,  peste l’un d’eux. “On demande d’égayer les quartiers, les lotissements, et voilà le résultat”, ajoute-t-il.

“La situation n’est pas très intelligente”, conçoit le maire, tout en soulignant que “la Ville n’y est strictement pour rien”. Il rappelle que le déploiement se fait en fonction des infrastructures déjà existantes (gaines souterraines et poteaux existantes), avec des études sur leur capacité à accueillir le réseau fibre optique. Et de noter un autre problème : “Il y aurait une relation compliquée entre Orange et Covage”, potentiellement en concurrence, venant ajouter de la complexité au dossier. Malgré les complications, Covage doit avancer pour tenir les détails, le chantier devant être bouclé en 2022. “Si Covage ne réalise pas cela en temps et en heure, il s’expose à des amendes”, rappelle Dominique Lotte.

Source : Le Journal de Saône-et-Loire

Classés sous les catégories : Non classé

Smartphones : le refus de déverrouiller l’appareil peut constituer une infraction

“Il y a maintenant un vrai risque à ne pas vouloir donner son code”, alerte un avocat, suite à une décision judiciaire concernant la communication du code de déverrouillage de son smartphone aux forces de l’ordre.

Mot de passe, lecteur d’empreintes digitales et reconnaissance faciale permettent d’empêcher les accès non désirés au contenu de nos smartphones et donc de protéger nos données personnelles. Mais qu’en est-il face à une demande des forces de l’ordre ? La chambre criminelle de la Cour de cassation de Paris a apporté des éclaircissements sur ce point, dans un arrêt publié le 13 octobre 2020.  

“Le code de verrouillage d’un téléphone constitue une convention secrète de déchiffrement dès lors qu’il est utilisé dans le mécanisme de chiffrement des données contenues dans l’appareil grâce à un algorithme défini de manière à les rendre inintelligibles”, indique l’instance judiciaire.

Jusqu’à trois ans de prison

Elle estime de ce fait que le refus de communiquer le code de déverrouillage peut constituer une infraction relevant de l’article 434-15-2 du Code pénal.

“Est puni de trois ans d’emprisonnement et de 270 000 € d’amende le fait, pour quiconque ayant connaissance de la convention secrète de déchiffrement d’un moyen de cryptologie susceptible d’avoir été utilisé pour préparer, faciliter ou commettre un crime ou un délit, de refuser de remettre ladite convention aux autorités judiciaires ou de la mettre en oeuvre, sur les réquisitions de ces autorités délivrées en application des titres II et III du livre Ier du code de procédure pénale.

Si le refus est opposé alors que la remise ou la mise en oeuvre de la convention aurait permis d’éviter la commission d’un crime ou d’un délit ou d’en limiter les effets, la peine est portée à cinq ans d’emprisonnement et à 450 000 € d’amende”, prévoit l’article en question.

Un risque bien réel à ne pas communiquer son code

Interrogé par Les Numériques, Thierry Vallat, avocat au barreau de Paris, estime l’arrêt “très intéressant”, car il précise ce que l’on appelle “convention de chiffrement” et la manière de demander le sésame. Et d’expliquer : “Il faut que ce policier ait obtenu l’autorisation d’un magistrat. C’est vrai que lorsqu’on est en garde à vue et qu’on ne sait pas tout à fait comment ça se passe, la plupart des gens donnent leur code sans résistance”.

Selon Thierry Vallat, il faut désormais une vraie définition juridique, afin de lever toute ambiguïté et de “savoir quels téléphones sont concernés ou pas”.

Sauf à se tourner vers la Cour européenne des droits de l’homme, “on a maintenant une décision qui peut faire jurisprudence”, note-t-il concernant le caractère définitif de ce verdict, Et d’insister sur le fait qu’“il y a maintenant un vrai risque à ne pas vouloir donner son code”.

Source : Les Numériques

Classés sous les catégories : Non classé

Freebox Pop : Free utilise les éloges autour de son dernier bébé, la meilleure des pubs

Free continue d’orienter les projecteurs vers la Freebox Pop, son dernier bébé dévoilé durant l’été.

Son dernier bébé ayant eu droit à des éloges de la presse, autant les utiliser. Dans une nouvelle campagne de publicité habillant le mobilier urbain, l’opérateur de Xavier Niel reprend en effet les critiques positives de la presse concernant la Freebox Pop, sa box Internet présentée durant l’été dernier.

“La Freebox Pop est séduisante” (Journal du geek), “Une petite box survitaminée” (Numerama) ou “Une petite révolution” (INpact Hardware) peut-on en effet lire sur les habillages publicitaires pour promouvoir la nouvelle box.

 

La Freebox Pop devient également la nouvelle box Internet avec laquelle Free fait la promotion de sa fibre optique et dont l’opérateur se sert comme produit d’appel, que ce soit sur les bandeaux publicitaires sur Internet ou le mobilier urbain. Auparavant, c’est la Freebox mini 4K qui était utilisée.

Classés sous les catégories : Non classé