Auteur : dimitri

Choc des smartphones disponibles chez Free : cinq modèles à 299 euros, lequel choisir ?

La boutique Free Mobile propose actuellement cinq smartphones au prix de 299 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes. Aujourd’hui, nous mettons en concurrence les Samsung Galaxy A41, Xiaomi Redmi Note 9 Pro, Crosscall Core M4, Sony Xperia 10 II et Huawei Nova 5T, tous les cinq proposés à 299 euros au comptant, mais également en plusieurs fois sans frais.

L’écran : Xiaomi ou Samsung

Côté écran, si le Samsung Galaxy A41 profite d’une dalle AMOLED pour de belles couleurs et de meilleurs contrastes, le Xiaomi Redmi Note 9 Pro offre la plus grande diagonale et opte pour un poinçon discret. Mais le Sony Xperia 10 II a aussi comme atout son format plus compact grâce à sa plus petite diagonale et son ratio 21/9 permettant un design allongé. Le Crosscall Core-M4 est tout simplement hors concours.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (6,67 pouces, Full HD+, IPS et poinçon)
  2. Samsung Galaxy A41 (6,1 pouces, Full HD+, AMOLED et encoche goutte d’eau)
  3. Huawei nova 5T (6,26 pouces Full HD+, IPS et poinçon)
  4. Sony Xperia 10 II (6 pouces, Full HD+, OLED et bordure)
  5. Crosscall Core-M4 (4,95 pouces, FWVGA, IPS et bordure)

Performances en multimédia : Huawei

En tant qu’ancien modèle haut de gamme, le Huawei nova 5T en a évidemment sous le capot, tant au niveau du processeur que de la mémoire vive. Le Xiaomi Redmi Note 9 Pro n’est pas trop mal loti non plus. Seul le Crosscall Core-M4 fait réellement bande à part avec sa plate-forme d’entrée de gamme.

Notre classement :

  1. Huawei nova 5T (processeur octa-core 2,6 GHz du SoC Kirin 980 + 6 Go de RAM)
  2. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (processeur octa-core jusqu’à 2,3 GHz du SoC Snapdragon 720G + 6 Go de RAM)
  3. Samsung Galaxy A41 (processeur octa-core 2,0 GHz du SoC Helio P65 + 4 Go de RAM)
  4. Sony Xperia 10 II (processeur octa-core 2,0 GHz du SoC Snapdragon 665 + 4 Go de RAM)
  5. Crosscall Core-M4 (processeur quad-core 1,3 GHz du SoC Snapdragon 215 + 2 Go de RAM)

La photo : Xiaomi

Les Xiaomi Redmi Note 9 Pro, Huawei nova 5T, Samsung Galaxy A41 et Sony Xperia 10 II promettent de la polyvalence avec leurs multiples capteurs photo (même si on sait que le surnombre ne garantit rien, surtout lorsque l’on parle de modules 2 Mégapixels). Les trois premiers promettent par ailleurs des selfies bien définis. Quant au Crosscall Core-M4, il se contente du minimum syndical, surtout pour les amateurs de selfies.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (64/8/5/2 Mégapixels au dos et 16 Mégapixels à l’avant)
  2. Huawei nova 5T (48/16/2/2 Mégapixels au dos et 32 Mégapixels à l’avant)
  3. Samsung Galaxy A41 (48/8/5 Mégapixels au dos et 25 Mégapixels à l’avant)
  4. Sony Xperia 10 II (12/8/8 Mégapixels au dos et 8 Mégapixels à l’avant)
  5. Crosscall Core-M4 (12 Mégapixels au dos et 2 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : Xiaomi

Ici, Xiaomi laisse tout le monde sur place avec son Redmi Note 9 Pro offrant la plus grosse batterie et la charge la plus rapide. Cerise sur le gâteau, il fournit même un chargeur plus puissant que nécessaire dans la boîte. Huawei, Sony et Samsung proposent des batteries plus petites, mais cela annonce aussi des appareils plus légers dans la poche. Oui, une grosse batterie, ça pèse dans la balance. Les charges sont aussi moins rapides, mais permettent de ne pas y passer des heures et des heures non plus. Crosscall Core-M4 se tient une nouvelle fois à l’écart, notamment avec sa charge 5 Watts qui exclut toute charge express en cas de besoin et invite à privilégier une charge nocturne.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 Pro (batterie 5 020 mAh et charge 30 Watts)
  2. Huawei nova 5T (batterie 3 750 mAh et charge 22,5 Watts)
  3. Sony Xperia 10 II (batterie 3 600 mAh et charge 18 Watts)
  4. Samsung Galaxy A41 (batterie 3 500 mAh et charge 15 Watts)
  5. Crosscall Core-M4 (batterie 3 000 mAh et charge 5 Watts)

Le choix d’Univers Freebox

À défaut d’être parfait en tous points, le Xiaomi Redmi Note 9 Pro est celui qui coche le plus de cases, la proposition la plus équilibrée en somme. S’il fait bande à part avec sa fiche technique d’un autre temps, le Crosscall Core-M4 n’est pas à exclure. Il s’adressera en effet aux baroudeurs ou aux professionnels évoluant en milieu hostile (pour le smartphone). Or, le test d’un autre smartphone de la marque a montré que Crosscall se montre particulièrement efficace sur ce créneau.

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Lutte contre les fake news : Wikipédia et l’OMS main dans la main

Sur fond de lutte contre l’épidémie de Covid-19, l’Organisation Mondiale de la Santé et la Fondation Wikimedia annoncent une collaboration. Il s’agit de freiner la diffusion de fausses informations.

Aidées par la puissance des réseaux sociaux et les craintes de la population autour de l’épidémie de Covid-19, de fausses informations prolifèrent. Les acteurs du Web tels que Facebook, Twitter ou encore YouTube sont ainsi invités à mettre les bouches doubles pour contrecarrer le phénomène. Une demande qui vaut d’ailleurs également pour la 5G, celle-ci ayant droit à son petit lot de fake news, dont un lien entre elle et le Covid-19.

L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et la fondation Wikimedia, qui gère l’encyclopédie collaborative en ligne Wikipédia, ont ainsi annoncé leur étroite collaboration. Concrètement, l’OMS permettra un accès aux informations les plus récentes et les plus fiables concernant le Covid-19. Des ressources qui permettront aux contributeurs de compléter et mettre à jour les articles sur le sujet disponibles sur la plate-forme. Des données dont la licence Creative Commons permettra par ailleurs un partage libre et une diffusion encore plus large.

Source : Presse Citron

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OnePlus confirme sa nouvelle stratégie avec l’officialisation des smartphones Nord N10 et Nord N100

OnePlus ne laisse plus planer aucun doute quant à sa nouvelle stratégie dans les smartphones. La marque présente des OnePlus Nord N10 et OnePlus Nord N100 qui devraient lui permettre de s’adresser à un plus large public.

Après être sans cesse monté en gamme pour offrir le meilleur à sa communauté d’utilisateurs et avoir en conséquence régulièrement augmenté ses tarifs, OnePlus a opéré un changement de stratégie illustré par le OnePlus Nord, un smartphone de milieu gamme compatible 5G affiché à 399 euros. Cette nouvelle orientation s’était aussi illustrée avec le OnePlus 8T, un haut de gamme à prix accessible le faisant revenir sur le créneau de flagship-killers, et dont nous vous préparons d’ailleurs un test sur Univers Freebox.

Des Nord N10 et Nord N100 à 349 et 199 euros

Le constructeur chinois confirme aujourd’hui sa volonté de s’adresser à un public plus large grâce à des tarifs plus attractifs, en présentant des OnePlus Nord N10 et OnePlus Nord N100 à respectivement 349 et 199 euros.

Compatible 5G grâce à sa plate-forme Snapdragon 690, le OnePlus Nord N10 propose par ailleurs un écran IPS 6,49 pouces Full HD+ 90 Hz, un son stéréo, quatre capteurs photo 64, 8, 2 et 2 Mégapixels au dos et un module 16 Mégapixels pour les selfies. Le capteur biométrique se retrouve au dos, et la batterie 4 300 mAh profite d’une charge filaire en 30 Watts.

Se limitant à la 4G, le OnePlus Nord N100 reposant sur la plate-forme Snapdragon 460. La fiche technique mentionne un écran IPS 6,52 pouces HD+, un son stéréo et une batterie 5 000 mAh avec une charge en 18 Watts. Côté photo, on trouve un triple capteur 13 + 2 + 2 Mégapixels au dos et un capteur 8 Mégapixels à l’avant. De nouveau, le lecteur d’empreintes digitales se trouve au dos.

Les deux smartphones seront livrés avec un système Android 10 coiffé de l’interface OxygenOS 10.5. Leurs caractéristiques indiquent enfin une compatibilité avec la B28, soit la 4G 700 MHz, chère aux abonnés Free Mobile. Univers Freebox fait le nécessaire pour vous proposer prochainement des tests complets.

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Insolite : un drone utilisé pour prouver qu’une antenne Free Mobile va gâcher le paysage

Classique levée de boucliers face à l’arrivée d’une antenne Free Mobile, mais moyen inattendu pour montrer l’impact de celle-ci.

Ça se passe au Clos du Bocage, lotissement de Sainte-Marie-sur-Mer, dans le département de la Loire-Atlantique, où un pylône de 36 mètres accueillera bientôt la 3G/4G de Free (et prochainement la 5G).

Il prendra plus précisément place sur une parcelle de terrain louée par un particulier à l’opérateur pour un loyer annuel de 5 000 euros. Farouchement opposée à l’arrivée de ladite antenne, la propriétaire de la parcelle voisine “a écrit à ce monsieur pour essayer de le faire changer d’avis, en vain”, déplore Christophe Garraud, porte-parole du collectif d’opposants.

Celui-ci a d’ailleurs envoyé un drone à 36 mètres de hauteur. En montrant que l’on voyait Pornic, commune dont dépend Sainte-Marie-sur-Mer, il s’agissait de prouver que l’antenne sera visible de très loin et gâcherait ainsi l’esthétique du paysage. “De là, on voit tout Pornic et bien au-delà, c’est donc une antenne qu’on verra de très loin, qui va dénaturer le paysage”, dénonce-t-il. Et de s’interroger : “Pourquoi si haut ?”.

Mais ce ne sont pas les seules questions que se pose Christophe Garraud. “Pourquoi ici ?”, “Pourquoi n’ont-ils pas demandé à s’installer sur des sites existants ?”, se demande-t-il, en rappelant la proximité des habitations et l’existence d’autres sites comme le clocher de l’église de Sainte-Marie, le phare de la Noëveillard ou encore le château d’eau de la Joselière, où sont déjà présents les autres opérateurs. Et d’argumenter que “la commune est étendue”, qu’“il y a des terrains communaux un tout petit peu plus loin dans les terres, loin des habitations, où personne ne la verrait”. “Sur la parcelle, on pourrait créer des jardins ouvriers, ce serait plus bio”, selon lui.

Le maire a bien essayé, mais…

Pour rappel, Jean-Michel Brard, mairie de Pornic, commune dont dépend Sainte-Marie-sur-Mer, avait dit non au motif que l’antenne ne collait pas au plan local d’urbanisme et obligeait ainsi à modifier ce dernier.

Notant que son installation ne demandait aucun renforcement du réseau électrique local et nécessitait ainsi de “simples travaux de raccordement”, mais surtout qu’il a des impératifs et des attentes en matière de couverture du territoire, Free s’était alors tourné vers la justice administrative et avait obtenu gain de cause. Le tribunal administratif de Nantes avait demandé, début septembre, à la ville de Pornic de se pencher à nouveau sur la demande de l’opérateur. Il avait en outre condamné la commune à verser 1 000 euros à Free au titre de frais de justice.

Source : Ouest France

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eSIM : principe, usages et atouts expliqués en moins de 2 minutes

Qu’est-ce que l’eSIM ? Quels sont les avantages par rapport à une SIM classique ? Des questions auxquelles les moins technophiles trouveront des réponses dans une petite vidéo.

SIM, Micro-SIM, Nano-SIM et maintenant eSIM. Dans une petite vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, Orange s’adresse aux moins technophiles et rappelle les grandes lignes de cette évolution de la carte SIM, ainsi que ses usages et atouts.

eSIM correspond pour rappel à “Embedded SIM”, ou “SIM Embarquée” en bon français. Il s’agit d’une carte SIM miniature directement intégrée au matériel par les constructeurs. Cela permet de se débarrasser de l’aspect logistique lors de l’envoi des cartes SIM, de changer plus facilement de forfait, de simplifier la gestion multi-SIM et de faciliter le partage d’un numéro entre plusieurs appareils. Sans oublier l’intégration plus simple, notamment dans les petits appareils comme les montres connectées. L’eSIM est proposée par Orange, mais également par Bouygues Telecom et SFR. Longtemps réticent, Free a récemment revu sa position sur le sujet.

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TousAntiCovid : la nouvelle application de traçage de contacts franchit déjà la barre des 4 millions de téléchargements

Meilleur démarrage pour TousAntiCovid, avec un volume de téléchargements déjà plus important par rapport à celui de StopCovid. Difficile cependant de parler pour l’instant d’un véritable engouement de la population.

Nouveau flop en perspective ? C’est la question que l’on peut naturellement se poser après l’échec de StopCovid, l’application de traçage de contacts poussée par le gouvernement sur fond de lutte contre le Covid-19. Portant un nom voulu plus fédérateur, proposant davantage d’informations et se voulant plus simple d’utilisation, l’application TousAntiCovid a débarqué le jeudi 22 octobre sur les Play de Google et l’App Store d’Apple avec pour objectif de rectifier le tir.

Sans parler d’un engouement général, les chiffres montrent au moins plus de téléchargements. À l’issue de plusieurs mois d’existence, StopCovid avait été installé plus de 2,6 millions de fois (comparé aux 16 et 18 millions outre-Manche et outre-Rhin), mais aussi désinstallé plus de 1 million de fois. En l’espace de quelques jours, TousAntiCovid bat déjà le record de sa devancière. Elle a en effet atteint les 2,8 millions de téléchargements jeudi et franchi la barre des 4 millions ce dimanche.

Une deuxième chance et des alliés

Avec TousAntiCovid, le gouvernement entend fournir davantage d’informations au sein d’une interface plus claire. L’interface s’est notamment enrichie de nouvelles données : risque d’exposition, chiffres clés et dernière actualité, tout cela bien en vue de l’utilisateur. Une section “Plus” permet de savoir où se faire dépister et d’obtenir une attestation couvre-feu, grâce à des liens vers les sites gouvernementaux.

En parallèle, le gouvernement compte sur le soutien de tous. Cédric O indiquait récemment chercher “des relais et des alliés”. Le secrétaire d’État chargé du numérique compte notamment sur le secteur médical pour contrebalancer avec “le manque de confiance” vis-à-vis de la parole politique, mais aussi sur le secteur de l’hôtellerie et de la restauration. La meilleure mise en avant du bouton de partage de l’application montre que le gouvernement compte en outre sur les utilisateurs pour en faire la “promotion” auprès de leur entourage.

Source : Le Parisien

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Il n’y a pas que Free dans la vie de Xavier Niel

Si Xavier Niel s’occupe quotidiennement de Free, dont il est le fondateur, son oeil aiguisé d’investisseur guette les opportunités d’acquisitions et les synergies possibles dans divers secteurs autres que les télécoms.

Xavier Niel, c’est le fondateur de Free, mais également un investisseur dans l’âme. Le milliardaire de 53 ans possède un véritable empire dont une infographie nous donnait un bon aperçu. Officiellement, Xavier Niel délègue pour avoir le temps de s’occuper de Free. La réalité est plus nuancée. Il échange quotidiennement avec Anthony Maarek, l’homme qui gère depuis deux ans sa holding personnelle NJJ, ce qui lui permet de flairer les opportunités. Patience et vision à long terme sont également de mise. Il a par exemple fallu 10 ans pour que les efforts finissent par payer dans le cas du titre de presse Le Monde.

De nombreux titres de presse

Hors technologies (Free, Monaco Telecom, Eir, etc.) Xavier Niel a investi dans différents médias incluant notamment Rue 89 (2014, à travers le Nouvel Obs), le Monde (2010), Les Cahiers du Cinéma (2010), Nice Matin (2019), La Provence (2019) et France Antilles (2020). Il fait aussi partie des contributeurs de la société des Amis de Mediapart, a investi dans le site Electron Libre et participé au site d’actualité Atlantico à travers le fonds d’investissement Free Minds qu’il détient à 49 %. L’empire de Xavier Niel dans la presse pèse plus de 500 millions d’euros et environ 2 500 salariés.

Au-delà des acquisitions pour remettre sur pied des sociétés renommées se trouvant dans des situations délicates, il s’agit également de trouver des synergies, comme le montre le supplément hippique que le lancera France-Antilles fin octobre et dont Paris-Turf fournira les contenus. Il s’agit également d’assurer le maintien de la presse, comme le montre l’acquisition de France-Antilles pour éviter que les départements d’outre-mer ne se retrouvent sans quotidien d’information générale, et d’aider au maintien du pluralisme dans ce même secteur, en soutenant les médias indépendants de tout bord.

On y retrouve également la volonté de clarification qui s’est illustrée chez Free. Le portefeuille de Paris-Turf, jugé peu clair, devrait s’alléger de Bilto et Tiercé Magazine, pourtant historiques, pour concentrer tous les efforts sur Paris-Turf, le titre phare du groupe. En tant que geek, Xavier Niel veut également et logiquement moderniser les outils et les stratégies. Dans le cas de Nice-Matin, le but est de tripler les abonnements numériques à 25 000 dans les trois ans. Même orientation pour France-Antilles.

L’immobilier, la fausse viande

Xavier Niel investit par ailleurs dans l’immobilier. Citons notamment l’acquisition du Golf du Lys en 2006, l’entrée au capital de l’hôtel L’Apogée en 2013 (50 %), le rachat de l’hôtel de Coulanges en 2016 ou l’acquisition de la partie basse de la Tour Montparnasse en 2019. En ce moment, le milliardaire intervient pour sauver Unibail-Rodamco-Westfield, géant de l’immobilier commercial dont il estime la direction “défaillante”. Sans oublier son investissement dans la société Les Nouveaux Fermiers qui promet de réinventer la viande grâce à substitut végétal de viande, ce qui lui avait d’ailleurs attiré les foudres des agriculteurs et éleveurs.

Un business angel jamais avare de conseils

En tant qu’investisseur dans l’âme qui a soutenu plus de 200 startups via le business angel Kima Ventures, Xavier Niel n’est jamais avare de conseils. Il s’adressait ainsi récemment aux entrepreneurs dans le Numérique. À ses yeux, il reste encore de la place pour des GAFAM à la française. “Il faut dire à la jeunesse que c’est possible”, soulignait-il.

Source : Le Figaro

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Fibre optique : encore beaucoup de travail pour fibrer toute la France d’ici 2025 et autant de freins à lever pour atteindre l’objectif

Le fibrage de la France avance bien, mais est loin d’être terminé. La seconde partie du chantier ne s’annonce d’ailleurs pas simple pour la filière. Cette dernière demande au gouvernement de lever les derniers freins opérationnels.

“Ce ne sera pas les prises les plus simples”, a indiqué Étienne Dugas. Lors de l’Université du THD organisée les 20 et 21 octobre, le président d’InfraNum, qui regroupe les entreprises de la fibre optique, a insisté sur la “forte mobilisation” et le “travail collectif remarquable” de la filière avec en tête de faire de la fibre optique un service universel d’ici 2025, tout en rappelant que la seconde partie du chantier s’annonce plus complexe.

Étienne Dugas a rappelé que 20,3 millions de locaux sont désormais raccordables, après un raccord à 4,8 millions de nouveaux foyers raccordables en 2019 et une prévision à près de 5 millions en 2020. Cela représente la moitié du chantier. Malgré le bon rythme de déploiement des prises, surtout avec la crise sanitaire venue entre temps mettre son petit grain de sel, Étienne Dugas reste attentif et n’a pas manqué d’interpeller le gouvernement sur ce qui pourrait ralentir la cadence.

Des freins à lever

La filière demande la levée des “derniers freins opérationnels”. Elle réclame, entre autres, la suppression des calculs de charges sur les appuis aériens communs pour les raccordements (nécessaires à 20% des déploiements en zones rurales, soit 800 000), l’accélération de la Base d’Adresses Nationales (BAN) pour réduire les taux d’échecs de raccordements, la simplification des reprises de conventions, le glissement des prises de décisions vers le comité syndical de copropriété quand les assemblées générales ne peuvent avoir lieu et la poursuite des travaux pour améliorer le mode STOC (Sous-Traitance Opérateur Commercial).

De façon plus concrète, concernant la partie sous-traitance, on peut notamment citer les “plats de nouilles” au niveau des armoires de rue qui sont dans le viseur de l’Arcep. Présente lors de l’événement, l’Avicca, a d’ailleurs dénoncé “une pandémie de malfaçons”. Concernant les taux d’échecs de raccordements, Cyril Luneau, directeur des relations avec les collectivités locales chez Orange, explique la situation : “Deux raccordements sur trois aujourd’hui concernent des maisons individuelles, et quatre raccordements sur dix se font dans les zones rurales. Par rapport à une colonne montante, qui permet de relier 300 appartements dans un immeuble, c’est plus complexe. Il y a donc des taux d’échec importants”.

Un plan à 7 milliards d’euros pour le Numérique

De son côté, Cédric O a rappelé l’enveloppe de 7 milliards d’euros accordée au numérique dans le cadre du plan de relance dévoilé début septembre, dont 240 millions alloués plus spécifiquement à la filière fibre optique. Le secrétaire d’État en charge du Numérique a par ailleurs indiqué qu‘”une nouvelle équipe a été mise en place sur la BAN, car il faut résoudre ce serpent de mer dont l’enjeu dépasse même le numérique”.

Face à Stéphane Richard, patron d’Orange, selon lequel “100 % de fibre, ça n’arrivera jamais”, Cédric O a rétorqué qu’“on ne tirera pas la fibre jusqu’au dernier éperon rocheux”. Le secrétaire d’État a également ajouté : “Je m’opposerai toujours à la fermeture du cuivre tant qu’on n’est pas certain que 100% des gens peuvent avoir la fibre dans une zone”. Une fermeture du cuivre dont, rappelons-le, les modalités ne mettent pas tout le monde d’accord.

Sources : Les Echos et DegroupTest

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Auchan Telecom dégaine des forfaits 60 et 80 Go en promotion

Auchan Telecom propose deux forfaits mobiles 60 et 80 Go à des prix promotionnels. Ils sont sans engagement.

Jusqu’au 1 novembre, Auchan Telecom propose des forfaits mobiles 60 et 80 Go sans engagement à respectivement 11,99 et 5,99 euros par mois. Dans le premier cas, le tarif ne change après la première année. Dans le second, il passe à 16,99 euros après 6 mois. Notez qu’il faudra payer 10 euros pour la carte SIM triple découpe, au moment de la commande.

Le forfait 60 Go comprend les appels/SMS/MMS illimités, 60 Go depuis la France métropolitaine (débit réduit au-delà) et 5 Go en roaming depuis l’Europe et les DOM. Le forfaits 80 Go fait passer les enveloppes data à respectivement 80 et 8 Go.

Comme Cdiscount Mobile ou NRJ Mobile, la marque Auchan Telecom appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile en France avec 2 millions de clients, d’ailleurs en passe d’être racheté par Bouygues Telecom. Elle utilise les réseaux de Bouygues Telecom, Orange et SFR.

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Smartphones : Apple lance ses iPhone 12, Huawei présente ses Mate 40 et Vivo arrive en France

Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au menu : annonce des Huawei Mate 40, arrivée des iPhone 12, début de Vivo en France et disponibilité des Realme 7 et 7 Pro.

Deux des quatre iPhone 12 dévoilés le 13 octobre dernier sont désormais disponibles en France. Ils peuvent d’ailleurs être achetés auprès de la boutique Free Mobile. Compatibles 5G, ceux-ci proposent notamment un chipset A14 Bionic gravé en 5 nanomètres, un écran OLED, deux ou trois capteurs photo 12 Mégapixels et le nouveau système iOS 14 avec son écran d’accueil repensé.

Vivo, marque soeur d’Oppo et OnePlus, a confirmé son arrivée en France avec quatre modèles X51 5G à 799 euros, Y70 à 279 euros, Y20s à 199 euros et Y11s à 169 euros qui débarqueront le 30 octobre. Compatible 5G grâce au chipset Snadragon 765G, le premier met en avant un écran AMOLED 90 Hz, un capteur photo 48 Mégapixels et une charge rapide en 33 Watts. Les trois autres sont des modèles 4G avec des chipsets Snapdragon 665 ou Snapdragon 460.

Les Realme 7 et 7 Pro sont désormais disponibles en France. Avec un prix démarrant à 179 euros et ayant fait l’objet d’un test par Univers Freebox, le premier mise sur un chipset Helio G95, un écran IPS 90 Hz et une batterie 5 000 mAh rechargeable en 30 Watts. En photo, il propose un quadruple capteur photo 48/8/2/2 Mégapixels (pas de 64 Mégapixels en Europe). Affiché à 329 euros, le second s’oriente vers un SoC Snapdragon 720G, une dalle AMOLED et une batterie 4 500 mAh rechargeable en 65 Watts. En photo, il s’équipe d’un quadruple capteur photo 64/8/2/2 Mégapixels.

Il y a également eu la présentation de la famille de smartphone Mate 40 ce jeudi 22 octobre. Le ticket d’entrée est fixé à 899 euros. Écran OLED, chipset nouvelle génération compatible 5G, photo 50 Mégapixels, charge ultra rapide, le constructeur chinois a mis le paquet pour séduire alors qu’il reste privé du Play Store de Google sur fond d’embargo américain.

Sans oublier la démonstration de Xiaomi autour d’une charge sans-fil en 80 Watts dont profiteront de prochains smartphones.

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