Auteur : dimitri

Ses antennes-relais sont refusées, Free réagit face à l’incohérence d’un maire

Face au refus de ses antennes-relais, Free pointe du doigt le changement d’avis d’un maire.

Free rencontre actuellement un blocage à Concarneau, dans le département du Finistère. La commune refuse en effet à l’opérateur l’implantation d’antenne-relais sur les sites Kerambreton-Kerangall et Stang-Bihan. Un refus incohérent aux yeux de Free. “Ces sites nous ont été proposés par Marc Bigot, quand il était adjoint à l’urbanisme. Si on ne nous avait pas proposé ces terrains, on n’aurait pas travaillé dessus”, déplore le représentant de l’opérateur.

Mais pourquoi ce blocage ?

“Aujourd’hui, nous avons trois sites, qui sont en périphérie de la ville : un sur la tour de Kerandon, un à Keramporiel (sur un pylône Orange) et un à Keroulin (avec SFR). Ce qui permet une couverture de la périphérie et d’une petite partie du centre-ville. Mais une grande partie du centre-ville, autour du port notamment, est pour nous une zone blanche”, explique Free. L’implantation de nouvelles antennes-relais doit donc permettre “de régler le problème de la couverture 3G et 4G sur Concarneau”.

“On peut comprendre les inquiétudes sur la 5G. Mais on nous bloque sur autre chose”, souligne le représentant de Free. La voilà donc l’explication du changement d’avis du maire : le fait que les pylônes puissent servir par la suite au déploiement la téléphonie de cinquième génération, laquelle ne met, on le sait pas, pas tout le monde d’accord. Certains élus ont en effet réclamé un moratoire, le temps d’avoir les conclusions de l’Anses concernant les risques sanitaires liés à la 5G. Sébastien Soriano, le gendarme des télécoms, a d’ailleurs invité en début de semaine les opérateurs à ne pas passer en force et maintenir le dialogue. Il cite d’ailleurs en exemple Paris et sa concertation citoyenne.

Source : Le Télégramme

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Déploiement de la 5G : Orange, Free, Bouygues Telecom et SFR invités à ne pas passer en force et à maintenir le dialogue

Le déploiement de la 5G n’aura pas de retard en France, mais Orange, Free, Bouygues Telecom et SFR devront y associer les maires. Le gendarme des télécoms invite en effet au dialogue.

Devant être lancée commercialement à la fin de l’année, la 5G ne fait pas l’unanimité. Certaines communes accueillent à bras ouverts la téléphonie mobile de cinquième génération et toutes ses promesses, et d’autres comme Lille réclament au contraire un moratoire, le temps d’obtenir des garanties concernant son innocuité. Dans ce contexte, Sébastien Soriano, président de l’Arcep jusqu’à la fin de l’année, invite Orange, Free, Bouygues Telecom et SFR à ne pas passer en force. Le gendarme des télécoms invite “au dialogue”.

“Respecter la démocratie locale”

“Juridiquement, à partir du moment où les opérateurs auront dans leurs mains les autorisations des fréquences que nous, Arcep, allons leur donner, ils peuvent déployer le réseau. Et ils n’ont pas besoin de l’autorisation du maire”, explique Sébastien Soriano. Le gendarme des télécoms invite toutefois à prendre en compte les interrogations et inquiétudes, à maintenir un dialogue.

Sébastien Soriano prend notamment l’exemple de Paris avec sa concertation citoyenne autour de la 5G, une initiative permettant d’expliquer “à quoi ça sert, quels services publics on pourrait déployer avec la 5G, comment est-ce qu’on déploie le réseau dans l’espace public”.  À ses yeux, il serait judicieux que les opérateurs “respectent ces concertations, ne passent pas en force dans les endroits où il y a des maires qui veulent essayer de trouver une solution, de concilier les impératifs et de créer de l’appropriation”. Et d’inviter les opérateurs à “respecter la démocratie locale“, à “s’inscrire dans un dialogue avec les territoires concernés”.

Il s’agit d’éviter que les craintes favorisent la circulation de fausses informations sur les réseaux sociaux, comme l’association de la 5G à l’épidémie de Covid-19, mais également les sabotages d’antennes pour laquelle la France s’était hissée à la troisième marche du podium européen.

Source : BFMTV

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Freebox Pop et mini 4K : découvrez gratuitement Crunchyroll, un service de SVOD incontournable pour les fans d’animés japonais

Univers Freebox vous propose aujourd’hui de découvrir Crunchyroll, un service de SVOD pour les fans d’animés japonais disponible sur les Freebox Pop et mini 4K via une application téléchargeable sur le Play Store.

Adeptes de la culture nippone, Crunchyroll est fait pour vous. Service SVOD concurrent d’ADN (Anime Digital Network) et Wakanim, créé en 2006 et d’ailleurs en passe d’être racheté par Sony pour près d’un milliard de dollars, celui-ci propose de nombreux contenus autour des animés japonais. Il revendique plus de 600 séries. Le tout sans publicités et avec une disponibilité des épisodes peu de temps après la sortie au Japon (1 heure après). 

De quoi suivre des animes cultes comme One Piece, adaptation du manga le plus vendu de l’histoire suivant les aventures de Luffy et de son équipage pour devenir Roi des Pirates, ou encore des séries plus récentes mais très populaires comme le récent carton “Moi quand je me réincarne en Slime”, délirant mélange d’Isekai, de comédie et d’aventure épique. Les adaptations des plus récents succès du Jump sont également de la partie, avec Dr Stone ou Burn The Witch. 

Pour se faire une idée, trois formules d’abonnement à 4,99 euros par mois (1 écran), 6,49 euros par mois (4 écrans et mode hors ligne) ou 64,99 euros par an (4 écrans et mode hors ligne) sont proposées avec à chaque fois un essai gratuit de 14 jours.

S’inscrire en quelques étapes

Pour vous inscrire, il suffit de se rendre sur le site du service depuis le navigateur Web. Vous devrez alors renseigner votre adresse e-mail, votre nom d’utilisateur, un mot de passe, votre date d’anniversaire et votre sexe.

Après avoir créé un compte, vous pourrez alors lancer l’essai gratuit en cliquant sur le bouton “Essai gratuit premium” en haut.

De là, il vous sera demandé de choisir la formule à essayer.

Mais il faudra également saisir vos coordonnées bancaires. Une mesure sans doute pensée pour éviter les abus, la carte bancaire consistant en effet une carte d’identité.

Vous pouvez à présenter essayer le service.

 

Installer l’application sur le player Pop ou mini 4K et se connecter au service

Pour commencer, rechercher l’application Crunchyroll et l’installer.

Après avoir chargé l’application, connectez-vous avec les identifiant et mot de passe choisis plus tôt.

Deux manières de naviguer parmi les contenus

L’interface de Crunchyroll propose deux façons de naviguer parmi les contenus.

Vous pouvez choisir de vous laisser guider parmi les recommandations de la page d’accueil. Cela intéressera les novices, mais également ceux en manque d’inspirations dans leurs quêtes de nouveaux contenus.

Mais si vous savez précisément ce que vous voulez, vous pourrez ouvrir le menu avec le bouton en haut à gauche et cliquer sur “Naviguer”.

Une nouvelle page vous permettra alors de chercher par ordre alphabétique ou par genre. Pratique.

Les fiches des contenus sont complètes, tout en restant claires. Dans la partie supérieure, on trouve un bouton pour alimenter une Watch List (accessible depuis le menu principal de l’application) et le bouton pour lancer le contenu.

Dans la partie inférieure, organisés dans un système d’onglets, se trouvent les détails concernant le contenu et des recommandations de contenus similaires.

Un lecteur simple et efficace

Simple et efficace, voilà les mots qui viennent à l’esprit face au lecteur intégré à Crunchyroll.

Un appui sur la droite ou la gauche de la molette de la télécommande permet d’avancer ou de reculer dans le contenu, tandis qu’un appui sur le bouton central de la molette permet de mettre en lecture ou pause. On ne peut plus simple.

Un appui vers le haut donne accès aux options de sous-titrages, mais permet aussi d’afficher le bouton pour passer à l’épisode suivant (dans le cas d’une série).

Des options pour protéger votre vie privée

En allant dans l’option “Paramètres” du menu principal, vous accéderez à différents réglages, dont certains intéressants pour les plus à cheval sur la vie privée.

Une section “Effacer l’historique de recherche” permettra de supprimer toutes vos recherches, tandis qu’une section “Do not sell my personal information” permettra d’indiquer explicitement que vous ne souhaitez pas voir vos données personnelles revendues. Concernant la seconde, il aurait d’ailleurs été bienvenue qu’elle soit traduite en français.

Depuis ces mêmes paramètres, il serait d’ailleurs possible de régler les sous-titres, la langue de l’application ou encore l’affichage des contenus pour public averti (simplement en confirmant avoir plus de 18 ans…).


VERDICT

Claire, facile à prendre en main, truffée de bonnes idées, réactive et respectueuse de la vie privée des utilisateurs, voilà une application qui mérite d’être essayée si vous êtes adeptes des animes japonais. Vous avez d’ailleurs 14 jours.


 

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Free Mobile : les riverains rejettent les antennes bruyantes

Dangereuses, peu esthétiques et bruyantes. Pas facile décidément, pour des riverains, de cohabiter avec les antennes-relais.

Pas un, mais deux. Des habitants de Bois-le-Roi, commune dans le département de Seine-et-Marne, devront composer avec deux pylônes de téléphonie mobile sur une propriété privée rue des Foucherolles, un de 27,7 mètres de haut installé cet été par Orange et un de 36 mètres que compte installer Free. Malgré les arrêtés d’opposition de la commune, les deux opérateurs ont en effet obtenu gain de cause dans des recours auprès du tribunal administratif de Melun.


L’antenne Orange (crédit photo Actu.fr)

Classiquement, les riverains évoquent l’impact sur l’esthétique du paysage et les risques sanitaires liés à l’exposition aux ondes. “Ces deux antennes de cette hauteur, proches l’une de l’autre, sont un préjudice pour l’environnement, pour les habitants et tous ceux qui empruntent cette rue en accès direct à la forêt”, déplorent en effet les riverains, indiquant aussi que “l’absence de preuve d’innocuité des ondes électromagnétiques n’est pas faite pour rassurer”.  Regroupés au sein du collectif des Foucherolles, ils pointent également du doigt une “source de nuisances sonores”, dues “au bruit continu gênant” provoqué par les “ventilateurs de refroidissement des circuits électroniques”.

Notant la concentration de pylônes au même endroit, ils s’interrogent enfin sur la possibilité de voir arriver d’autres antennes, notamment pour la 5G, et demandent ainsi la modification du plan local d’urbanisme en ce sens. “Nous souhaitons aussi qu’ils refusent la mise en place de la 5G tant que des analyses n’ont pas montré l’absence d’impact sur l’environnement et la santé”, indique d’ailleurs le collectif.

La commune ne fera pas appel

Le maire David Dintilhac indique avoir fait son possible en refusant les demandes d’installation, en organisant des réunions publiques et en allant devant la justice administrative. Il a fait savoir aux riverains qu’il ne souhaitait pas “engager de dépenses supplémentaires” en faisant appel.

Source : Actu.fr

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Fibre optique : son parcours jusqu’à l’abonné expliqué en 1 minute

Quel chemin parcourt la fibre optique avant d’arriver à votre domicile ou votre entreprise ? Une vidéo donne un aperçu.

La fibre optique passe par différents équipements avant d’arriver à l’abonné. À travers une vidéo d’une minute proposée sur la chaîne YouTube Communication INNOVANCE, découvrez le chemin emprunté par celle-ci, en passant par le NRO (Noeud de Raccordement Optique), le SRO (Sous-Répartiteur Optique) et le PM (Point de Mutualisation). Sans oublier les fourreaux et les poteaux, infrastructures servant à son cheminement en sous-terrain ou en aérien.

Toujours en parlant du réseau fibre optique, nous vous expliquions dans un récent article le principe de l’architecture PON (Passive Optique Network) utilisée par Free, alternative à l’architecture P2P (Point-to-Point).

Pour aller plus loin, nous vous suggérons d’autres vidéos sur le processus de fabrication, les différents types de câbles et la création des plans d’acheminement.

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Free Mobile : l’opérateur remporte une manche face à une commune réfractaire

Dans une bataille judiciaire l’opposant à une commune pour l’installation d’une antenne-relais, Free vient de remporter une manche. Mais la commune n’a pas dit son dernier mot, comptant utiliser tous les recours possibles.

La mairie de Vierzon, dans le département du cher, avait délivré le 30 juillet 2018 un permis de construire à Free pour l’installation d’une antenne-relais au lieu-dit Le Batonet. Sur fond de protestations de 59 habitants réclamant en septembre 2018 un recours gracieux, elle avait toutefois décidé de retirer le permis de construire quelques mois plus tard. L’opérateur de Xavier Niel ne l’avait pas entendu de cette oreille et s’était tourné alors vers la justice administrative en février 2019.

Le tribunal administratif d’Orléans a rendu son verdict à la mi-octobre 2020, demandant à la commune de Vierzon d’annuler le retrait du permis de construire, au motif que l’opérateur a été notifié “au-delà du délai de trois mois suivant la délivrance du permis de construire”. Le juge estime aussi que le maire ne peut “se fonder sur ses pouvoirs de police générale pour décider de retirer le permis de construire afin de protéger les riverains contre les effets des ondes émises par le projet d’antenne”. Et d’ajouter que la commune “n’apporte aucun élément circonstancié de nature à établir l’existence d’un risque certain ou incertain”, se fondant uniquement sur “l’incertitude scientifique”. Le tribunal estime “erronée” l’appréciation du maire.

La commune compte faire appel de la décision. Reprochant à Free d’avoir entamé les travaux sans autorisation préalable, et alors qu’un arrêté datant de cet été interdisait le passage des véhicules de plus de 3,5 tonnes, elle compte en parallèle sur les conclusions du tribunal judiciaire de Bourges le 10 novembre. L’heure n’est visiblement pas à l’apaisement entre les deux camps.

Source : Le Berry Républicain

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Freebox Connect, l’application pour gérer facilement son Wi-Fi, se met aussi à jour sur Android

Free déploie une nouvelle version de son application Freebox Connect pour Android, une mise à jour venant corriger plusieurs bugs.

Après les utilisateurs iOS, au tour de ceux sous Android. L’application Freebox Connect pour Android passe en effet en version 1.1.4. Lors de la connexion à la Freebox, l’application met désormais à jour automatiquement le port d’accès distant s’il a changé, indiquent les développeurs. La nouvelle version apporte en outre son petit lot de corrections et améliorations diverses. Bref, une mise à jour corrective.

Des tutoriels Freebox Connect

Pour rappel, Univers Freebox a publié un tutoriel vidéo vous présentant l’interface et les fonctions de l’application Freebox Connect :

Vous pouvez aussi retrouver nos articles consacrés à l’application :

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Clin d’oeil : Free n’est pas le seul à proposer des Freebox

En tant que Freenaute de la première heure, vous pensiez connaître toutes les Freebox ? En voici d’autres. Inutile toutefois de les chercher sur le site de Free. Elles ne sont en effet pas proposées par l’opérateur de Xavier Niel.

Depuis la première Freebox présentée il y a 18 ans à la Freebox Pop dévoilée en juillet dernier, Free a lancé un paquet de box Internet, mais pas celles-ci. Lors de nos recherches, nous sommes en effet tombés nez à nez avec un site Freebox-HD affichant des Freebox 7007, Freebox 7000, Freebox f 3000, Freebox 2700, Freebox 707, Freebox X77, Freebox V 777 et Freebox z12.

Des appareils qui n’ont strictement rien à voir avec les box Internet de l’opérateur de Xavier Niel. En arabe, le site indique d’ailleurs un siège à Bagdad, en Irak. D’après les quelques infos visibles, il s’agit en effet de dispositifs de réception TV. Avec son Freebox z12, le constructeur promet par exemple l’accès à plus de 1 300 chaînes en IPTV. Avec la Freebox 7000, c’est la promesse d’un flux Full HD via le satellite.

L’usage de termes génériques comme “Free” et “Box” n’a rien de surprenant pour des boîtiers permettant d’accéder gratuitement à des chaînes de télévision. Pas sûr en revanche que l’opérateur apprécie de voir utiliser sa marque historique.

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Smartphones de la boutique Free : lequel choisir si vous avez un budget de 100, 200, 300 ou 400 euros ?

Vous comptez acquérir un nouveau smartphone en passant par Free et avez un budget de 100, 200, 300 ou 400 euros ? Univers Freebox vous propose justement un nouveau comparatif avec les smartphones disponibles dans la boutique de l’opérateur.

 

Alcatel 1S 2020 à 99 euros : petit prix, mais expérience honnête

Pas trop de choix en ce moment sous la barre des 100 euros, mais une proposition intéressante. L’Alcatel 1S 2020 montre en effet que l’on peut avoir une expérience convenable à 99 euros.

Le design est daté, la finition sans prétention, la photo loin d’être exceptionnelle et la charge un peu longue, mais on peut toutefois s’amuser un peu en photo et jouer à des titres à la mode comme Call of Duty Mobile (avec des graphismes au minimum). Lecture d’empreinte digitale et reconnaissance faciale fonctionnent très bien. Avec la batterie 4 000 mAh, la journée sera une formalité et les 2 jours d’autonomie largement envisageables. Le support de la 4G 700 MHz (B28) est de la partie.

Clairement une option à envisager pour les budgets les plus serrés.

Le test complet de l’Alcatel 1S 2020


 

Xiaomi Redmi Note 9 à 199 euros : une bonne expérience sans se ruiner

Une bonne expérience à tous les niveaux  (écrans, performances, photo, autonomie et charge), sans pour autant aller vers les flagships onéreux ? Voilà ce que promet le Redmi Note 9 et qu’offraient déjà ses prédécesseurs. Free le propose d’ailleurs dans un nouveau coloris.

Le test complet du Xiaomi Redmi Note 9


 

Xiaomi Redmi Note 9 Pro à 299 euros : un cran encore au-dessus

Si vous pouvez aller jusqu’à 300 euros, Xiaomi a également une belle proposition avec le Redmi Note 9 Pro. Ce smartphone donne en effet accès à un capteur photo principal de 64 Mégapixels et à une charge rapide en 30 Watts. Lui aussi est disponible dans un nouveau coloris chez Free.

Le test complet du Xiaomi Redmi Note 9 Pro


 

Oppo Find X2 Lite à 389 euros : pas mal de cases cochées, dont celle de la 5G

Se retrouvant sous la barre des 400 euros grâce à une baisse de prix, l’Oppo Find X2 Lite se présente comme un smartphone intéressant avec son écran AMOLED, son connectique mini-jack, sa polyvalence en photo, ses bonnes performances en multimédia, sa bonne autonomie, sa charge très rapide, ses solutions de déverrouillage très efficaces et son interface logicielle assez complète. De surcroît, il est prêt pour la 5G. Cerise sur le gâteau : des écouteurs sans-fil d’une valeur de 79 euros sont offerts.

Le test complet du Oppo Find X2 Lite 5G


 

Xiaomi Mi 10 Lite à 399 euros : un autre choix très intéressant

Si nous devions choisir en ayant 400 euros en poche, nous regarderions aussi du côté du Xiaomi Mi 10 Lite. Proposant un écran AMOLED et un capteur photo 48 Mégapixels, il offre une autonomie correcte et permet une charge assez rapide (mais pas exceptionnelle non plus). Cerise sur le gâteau : il est prêt pour la 5G, grâce à son chipset Snapdragon 765G. Seul vrai regret avec lui : l’absence de slot MicroSD pour étendre la mémoire interne.

Le test complet du Xiaomi Mi 10 Lite 5G


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Free Mobile : ils disent oui à l’antenne de l’opérateur et au progrès, mais plus loin

Les riverains l’affirment, ils comprennent parfaitement la nécessité de nouvelles antennes pour en finir avec les zones blanches, mais réclament que leur voix soit entendue et surtout prise en compte.

Rendez-vous au lieu-dit Brody, à Illiat, dans l’Ain. Une poignée de riverains s’opposent à l’implantation d’un pylône de 48 mètres de haut sur une parcelle de terrain privé. L’installation doit accueillir une antenne Free et permettre d’améliorer la couverture de l’opérateur dans la zone. Ils ne sont que quatre foyers, mais espèrent bien se faire entendre.

Comme bien souvent, c’est oui à l’antenne, mais plus loin. “Nous ne sommes pas contre l’installation d’une antenne. Ce que nous contestons et à quoi nous nous opposons, c’est qu’elle soit ici”, indique en effet le collectif. L’un des riverains explique d’ailleurs : “Nous ne sommes pas opposés au progrès, on sait bien qu’il faut en finir avec les zones blanches, mais nous pensons qu’il existe de meilleurs emplacements. La commune est grande, et l’on peut sûrement trouver un endroit plus éloigné des habitations pour préserver la santé des gens”.

Les riverains affichent en effet leurs inquiétudes concernant “les risques sanitaires liés à un équipement d’une telle dimension, sa puissance et donc ses émissions, à une courte distance de (leurs) lieux de vie”. Un vrai problème aux yeux d’une famille ayant acheté sa maison début 2020 et ayant réalisé 6 mois de travaux. “Je voulais un cadre de vie de qualité pour mes enfants et moi. Là, je risque de me retrouver avec une antenne juste en face de mes fenêtres, à 150 m de ma maison”, indique le père. Et d’ajouter : “J’ai tout investi dans cette maison. Avec l’antenne, c’est aussi sa valeur qui va être touchée”. Il était au courant d’une antenne, mais pas aussi près de chez lui.

Mais les opposants déplorent également “le manque d’information et l’absence totale de concertation autour de la localisation de cette antenne”. Ils auraient voulu en être, lors de l’étude du projet de l’opérateur.

Qu’en dit le maire ?

Une réunion organisée le 30 septembre avec le maire et l’opérateur afin de trouver une alternative leur avait donné une lueur d’espoir. “Cela semblait encore possible, mais dès le lendemain, Free indiquait que le dossier était bouclé et que plus rien ne pouvait changer”.

De son côté, le maire Richard Labalme tient à rappeler le contexte et la légalité du projet. “J’ai été élu le 23 mai 2020, dans un contexte inédit qui est celui de la Covid. À peine installé, des dossiers importants ont été mis sur la table, dont celui de cette antenne”. Et d’expliquer : “Les distances, les conditions, tout était stipulé dans le dossier. En tant que maire, je n’avais pas le choix. Je devais signer le projet, car il était légal, et je ne souhaitais pas emmener la municipalité au tribunal administratif”. Il insiste par ailleurs sur le fait que “tout a été fait dans le total respect de la légalité”. Il indique aussi s’être renseigné auprès de Free et que l’ancienne équipe municipale “connaissait la parcelle concernée par l’antenne”.

Afin de trouver un terrain d’entente, une réunion a toutefois été organisée le 22 octobre à la mairie. Les habitants du lieu-dit Brody ont d’ailleurs obtenu le soutien de l’édile dans leurs démarches auprès de la justice administrative pour faire évoluer le projet.

Source : La voix de l’Ain (version papier)

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