Auteur : dimitri

OnePlus Nord N10 testé par Univers Freebox : c’est presque un sans-faute

OnePlus ne se concentre plus seulement sur le haut de gamme. Fin octobre, la firme a ainsi dévoilé des OnePlus Nord N10 et N100. Univers Freebox a pu tester le premier durant une bonne semaine. Il en ressort une expérience plutôt convaincante.

Avant de passer au test, voici les caractéristiques du OnePlus Nord N10, qui s’affiche en ce moment à 349 euros dans une configuration équipée de 6 Go de RAM et d’un stockage 128 Go :

 


Fiche technique du OnePlus Nord N10 : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,0 GHz (chipset Snapdragon 690)
–   Mémoire vive : 6 Go en LPDDR4x


–   Écran : dalle IPS 6,49 pouces avec une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels) et un rafraîchissement en 90 Hz
–   Audio : son stéréo
–   Stockage : 128 Go en UFS 2.1 extensible par carte MicroSD (slot hybride MicroSD/nano-SIM)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche inférieure
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1, B2, B3, B4, B5, B7, B8, B12, B17, B20, B28 et B66
–   Compatibilité 5G : oui


–   Quadruple capteur photo au dos (organisation en L dans un bloc rectangulaire) : 64 + 8 + 2 + 2 Mégapixels
–   Capteur photo à l’avant : 16 Mégapixels (dans un poinçon en haut à gauche)


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (dans la tranche inférieure)
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11a/b/g/n/ac
–   Connectivité Bluetooth : version 5.1
–   NFC : oui


–   Batterie : 4 300 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 30 Watts (5V/6A ; bloc inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface OxygenOS (mise à jour vers Android 11 prévue début 2021)


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale ou lecteur d’empreintes digitales au dos
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : octobre 2020


Un beau design, une bonne prise en main

Côté design, tout en étant passe-partout, le OnePlus Nord N10 se montre plutôt agréable à l’oeil. Les maniaques pourront toutefois vite s’agacer face aux traces de doigts que la coque brillante accroche rapidement.

En main – sauf peut-être en période estivale avec les mains moites -, le smartphone se montre un peu plus glissant. Son gabarit se montre en revanche parfait pour ceux n’ayant pas de grandes paluches.

Posé sur la table, notre ami a tendance à tanguer. La faute à un bloc photo large, mais malheureusement excentré.

Dommage que la marque ne fournisse pas de coque de protection comme avec les modèles plus haut de gamme. Celle-ci aurait évité les désagréments évoqués ci-dessus, en protégeant le smartphone des traces de doigts (mais aussi des rayures et chocs), en offrant une meilleure accroche en main et en réduisant la protubérance du bloc photo arrière.

Pas d’AMOLED, mais du 90 Hz et du stéréo

Pour des raisons évidentes de maîtrise des coûts, le OnePlus Nord N10 fait l’impasse sur la technologie d’affichage AMOLED, se contentant d’une dalle IPS. L’écran profite malgré tout d’une définition Full HD+, d’un taux de rafraîchissement 90 Hz bienvenu en navigation et en jeu et d’un poinçon au lieu de l’encoche pour le capteur photo frontal. Chaleur d’affichage et taux de rafraîchissement pourront d’ailleurs être ajustés depuis les paramètres.

Côté audio, le son est clair, puissant et stéréo, avec le petit début de basses qui fait toujours plaisir. Rien à redire de ce côté-là.

Toujours au chapitre son, certains seront sans doute ravis d’apprendre que le mini-jack est de la partie. Notre modèle de test n’était pas accompagné d’écouteurs, mais la marque nous a confirmé qu’ils seront bien présents dans la boîte des modèles commercialisés en France.

De la photo pour le plus grand nombre

Quatre capteurs photo au dos, dont un principal de 64 Mégapixels, un capteur de 16 Mégapixels à l’avant. Sur le papier, le OnePlus Nord N10 s’annonce polyvalent et à même de satisfaire le plus grand nombre. À l’usage, c’est le cas. On dispose d’un modèle 64 Mégapixels pour un maximum de détails, de l’ultra grand-angle, d’un mode macro, d’un mode portrait efficace et d’un mode nuit permettant de récupérer quelque chose d’exploitable. Difficile de reprocher quelque chose, au regard du positionnement tarifaire.

Ci-dessous, une photo en extérieur puis sa version ultra grand-angle :

Une photo en mode 64 Mégapixels :

Deux photos en intérieur et en extérieur avec du flou d’arrière-plan, la première avec un félin temporairement sage comme une image :

Une photo de jour, en mode macro :

Une photo en intérieur le soir avec un faible éclairage et sans mode nuit :

Deux photos le soir, puis leurs versions corrigées par le mode nuit nommé “Paysage Nocture dans l’application photo (oui, entre raclette et tartiflette, nous avons choisi barbecue) :

Un selfie en extérieur avec du flou d’arrière-plan :

5G, 4G 700 MHz et dual-SIM, mais…

Compatible avec la 4G 700 MHz (ou B28) chère aux abonnés Free, le OnePlus Nord N10 s’annonce aussi prêt pour la 5G. On peut également envisager un fonctionnement dual-SIM, pour par exemple gérer un numéro personnel et un numéro professionnel depuis le même appareil. Il faudra par contre choisir entre dual-SIM et extension mémoire, en raison d’un slot hybride MicroSD/nano-SIM. Dommage.

Ci-dessous, des débits obtenus en intérieur :

Et d’autres, obtenus en extérieur :

Des performances pour tous les usages

Quid des performances ? Eh bien, à aucun moment nous n’avons ressenti une frustration, y compris dans les jeux vidéo. Ce n’est pas le plus haut de gamme des smartphones, mais il répond présent. Nous n’avons pas souvenir d’une chauffe désagréable non plus, y compris en jeu ou en benchmark.

En parlant de benchmarks, justement, voici les résultats obtenus dans les outils AnTuTu et Disk Speed. Dans AnTuTu, le OnePlus Nord N10 côtoie les Redmi Note 9 Pro et Poco X3 que nous avons d’ailleurs récemment testés. Il n’est pas très loin non plus d’un Galaxy S9 en version Exynos 9810. Dans Disk Speed, le smartphone atteint les 205 Mo/s en écriture et les 738 Mo/s en lecture pour sa mémoire interne. De quoi assurer des installations et chargements rapides.

Pas d’étincelles côté autonomie, mais une charge rapide

Côté autonomie, l’impression globale est une journée, voire une journée et demie, avec une utilisation sans retenue. Cela variera évidemment en fonction des usages de chacun.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : Départ à 16h46 avec 100 % et arrivée le lendemain à 21h40 avec 4 %

– Fonctionnement de TousAntiCovid
– Consultations et alertes Twitter / Gmail
– Surf sur Internet
– SMS/MMS
– 1 heure et 35 minutes de streaming vidéo
– 40 minutes de streaming audio avec les écouteurs filaires
– 1 heure et 15 minutes de streaming audio avec l’enceinte Bluetooth
– 50 minutes de jeu avec le son du smartphone
– Photos
– 1 téléchargement d’application
– Tests de débits

Le OnePlus Nord N10 ne profite pas de la charge filaire 65 Watts de la marque, mais de la charge 30 Watts malgré tout. Cela permet déjà de ne pas faire du plein une corvée.

Ci-dessous, un suivi de charge, alors que nous étions au fond du gouffre :

– 18h31 : 1 %
– 18h36 : 13 %
– 18h41 : 25 %
– 18h46 : 37 %
– 18h51 : 47 %
– 18h56 : 57 %
– 19h01 : 65 %
– 19h06 : 74 %
– 19h11 : 83 %
– 19h16 : 91 %
– 19h21 : 96 %
– 19h25 : 100 %

Android 10 en sortie de boîte, Android 11 pour bientôt

Le OnePlus Nord N10 n’est pas fourni directement avec Android 11 comme le OnePlus 8T. Comme nous l’a confirmé le constructeur, il faudra attendre début 2021 pour un basculement, grâce à une mise à jour.

L’interface n’est pas polluée de logiciels partenaires (aucun sur notre modèle de test en tout cas) et propose des fonctions pratiques telles que :

– La possibilité d’avoir ou non les boutons de navigation Android
– La gestion avancée des gestes, y compris sur l’écran éteint
– Le mode nuit programmable
– Le mode lecture
– L’affichage précis de l’heure, à la seconde près
– Le Game Space pour peaufiner son expérience de jeu (notifications, luminosité, etc.)

Concernant le volet sécurité, nous avions les patchs d’octobre 2020 suite à une mise à jour de maintenance, soit presque les derniers. Les solutions de déverrouillage, la reconnaissance faciale et le lecteur d’empreinte au dos, ont toujours fonctionné à merveille.


VERDICT

Absences de l’écran AMOLED, de la charge sans-fil et de la coque de protection ne sont pas inexcusables sur le segment des 350 euros. En revanche, la 5G, l’écran 90 Hz, le son stéréo, la photo 64 Mégapixels, la mini-jack, la charge 30 Watts et la promesse d’une mise à jour Android 11 ont clairement de quoi séduire. Hormis le choix à faire entre dual-SIM et extension MicroSD, nous n’avons finalement pas trouvé grand chose à reprocher au OnePlus Nord N10. Un smartphone que l’on ne peut que conseiller.


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Réseaux Mobiles France : l’application mobile pour en savoir plus sur les antennes de Free et ses rivaux, évolue

Permettant d’en savoir plus sur les antennes de son opérateur, l’application mobile Réseaux Mobiles France a enchaîné deux mises à jour, dont une plus importante.

Disponible gratuitement sur le Play Store de Google et destinée aux utilisateurs sous Android à partir de la version 4.4 KitKat, “Réseaux Mobiles France” a évolué vers une version 1.1.08, puis rapidement dans une version 1.1.09.

Une réécriture complète de l’application

La mouture 1.1.08 annonce une “réécriture complète de l’application (Kotlin, Hilt, Retrofit, MVVM, clean architecture, …)”. Interrogé par Univers Freebox, le développeur indique avoir “réécrit complètement l’application en Kotlin (qui est censé remplacer Java à long terme sur Android” et profité de la nouvelle version pour “utiliser les derniers frameworks Android et mettre en place les bonnes pratiques de développement Android: Clean architecture, injection de dépendances avec Dagger Hilt, Modern Android Development Skills (MAD Skills)”. “Au niveau de l’utilisateur, cela ne sera pas forcément très visible”, note le développeur, expliquant que cela améliorera en revanche la maintenance (plus simple de corriger les bugs, moins de crashs, etc. ) et facilitera la mise en place de nouvelles fonctions.

Et d’ajouter que la nouvelle version a quand même été l’occasion d’implémenter quelques fonctions plus visibles pour l’utilisateur : l’azimut des antennes en mode online, l’affichage des faisceaux hertziens, la recherche qui a été réécrite (avec autocomplétion et possibilité de rechercher par id support), le thème sombre / clair, la possibilité d’utiliser d’autres applications que Google Maps pour l’itinéraire vers un support (Waze, etc) et la possibilité de copier l’id support, les coordonnées GPS ou l’adresse depuis la page de détail d’un support (grâce à des boutons dédiés juste à côté).

Quant à la mouture 1.1.09, elle vient simplement corriger quelques bugs n’ayant pu être identifiés durant la phase bêta.

En savoir plus sur les antennes des opérateurs

Pour rappel, l’application permet aux abonnés des quatre grands opérateurs (Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange et SFR) de connaitre la position et les caractéristiques des antennes-relais sur le territoire. Les infos à propos des antennes proviennent des données mises à jour et diffusées chaque mois par l’ANFR.

L’application donne par ailleurs la possibilité de cartographier sa propre couverture mobile “à partir des relevés de niveau du signal capté par votre téléphone”, puis de partager ces données pour établir une carte de couverture des réseaux mobiles en France (Crowdsourcing).

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Déploiement de la fibre dans les RIP : le gouvernement veut en finir avec le travail mal fait

Le gouvernement veut s’assurer de la qualité des réseaux fibre optique financés sur des fonds publics. Il va ainsi contrôler le travail réalisé dans les RIP à l’heure où certains sous-traitants sont décriés.

Les réseaux fibre optique peuvent être les victimes de dégradations volontaires et d’intempéries, mais pas que. Plus tôt dans l’année, Sébastien Soriano avait évoqué le sujet des “plats de nouilles”, ces branchements “sauvages” au niveau des armoires de raccordement. Le gendarme des télécoms pointait du doigt certains sous-traitants travaillant “comme des cochons” pour accélérer le mouvement et un manque de vigilance de la part des opérateurs. Il envisageait ainsi la possibilité de “faire la police” pour écarter les brebis galeuses.

L’idée d’un contrôle du travail des sous-traitants gagne d’ailleurs en consistance. Selon DegroupTest, le gouvernement compte en effet lancer prochainement un audit pour s’assurer de la qualité des réseaux déployés. Chapeautée par le secrétariat d’État en charge de la Transition numérique et aux Communications électroniques et confiée à Benoît Loutrel, ancien directeur général de l’Arcep, la mission de surveillance concernerait d’ailleurs les RIP (Réseaux d’Initiative Public), financés sur des fonds publics. L’idée serait ainsi de laisser aux opérateurs le soin de s’assurer de la qualité des réseaux qu’ils financent.

Les contrôles ne s’arrêteraient pas aux seules armoires de rue pour s’assurer que l’ordre y règne malgré les interventions successives. Ils iraient en amont pour vérifier des aspects tels que le dimensionnement et la qualité des câbles utilisés. Des câbles importés permettent de réaliser des économies, mais ne donneraient pas entière satisfaction. Il s’agit donc de fibrer tout le territoire à l’horizon 2025, mais pas au détriment de la qualité.

Source : DegroupTest

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Free vante les performances fibre et Wi-Fi de la Freebox Pop dans une nouvelle campagne publicitaire

Free continue de vanter les mérites de son dernier bébé, la Freebox Pop présentée en grande pompe en juillet 2020. L’opérateur lance une nouvelle campagne publicitaire.

Confinement ou pas, Free compte bien assurer une certaine visibilité à sa nouvelle box. L’opérateur de Xavier Niel a ainsi lancé une nouvelle campagne de publicité sur le mobilier urbain à base d’affiches 4 x 3 mettant en avant les performances fibre optique (jusqu’à 2,5 Gbit/s partagés) et les performances Wi-Fi (grâce au répéteur Wi-Fi inclus) de la Freebox Pop. “La fibre ultra rapide est disponible chez vous”, indique un premier panneau, tandis que le second, un peu plus loin, annonce un “Wi-Fi rapide partout dans votre maison”. Une connexion très haut débit, mais pas sans une connexion sans-fil performante pour en profiter sur tous les appareils de la maison.

Dans une précédente campagne, Free utilisait les éloges autour de son dernier bébé, la meilleure des pubs. “La Freebox Pop est séduisante” (Journal du geek), “Une petite box survitaminée” (Numerama) ou “Une petite révolution” (INpact Hardware) pouvait-on ainsi lire sur les habillages publicitaires pour promouvoir la nouvelle box.

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Red Bull TV : découvrez un service de VOD gratuit pour les amateurs de sports extrêmes

Amateurs de sports extrêmes et de compétitions eSport, voici le service Red Bull TV disponible gratuitement sur les Freebox Pop et Freebox mini 4K grâce à une application téléchargeable sur le Play Store de Google.

La plate-forme Red Bull TV propose de nombreux contenus autour des sports extrêmes type rally, surf, skate, VTT, BMX ou breakdance, mais aussi des compétitions eSport.

Le service est gratuit, sans publicités ni achats intégrés. Les abonnés Freebox Pop et Freebox mini 4K peuvent d’ailleurs en profiter au travers une application à télécharger depuis le Play Store, la boutique applicative de l’écosystème Android. Les players de ces Freebox tournent pour rappel sous environnement Android TV.

Installer Red Bull TV sur le player

Pour commencer, il faut bien évidemment lancer une recherche de l’application et lancer son installation, celle-ci ne faisant pas partie de celles préinstallées. Le service n’exige d’ailleurs pas de connexion. Vous le verrez plus loin. Celle-ci est proposée, mais optionnelle.

L’interface principale : cinq onglets

La page d’accueil de l’application Red Bull TV s’articule autour de cinq onglets.

Accueil : une grille de contenus basée sur les recommandations (les meilleurs films et séries sur l’escalade ou les meilleurs contenus autour du surf, par exemple).

Parcourir : un classement des programmes par formats (événements, émissions, films et clips) et canaux (bike, aventure, sports motorisés, surf, skateboard, etc.)

Événements : événements en direct à venir, événements passés ou même événements annulés.

Compte : une fois le compte créé et activé à partir du navigateur Web (grâce au lien ou au flashcode), vous pourrez y retrouver vos contenus favoris. L’ajout de ces contenus passe d’ailleurs par un appui long sur la vignette du contenu ou grâce au bouton dédié dans la fiche descriptive du contenu.

Depuis cette même section, vous pourrez ajuster les différents paramètres de l’application. Nous y reviendrons plus loin dans ce tutoriel

Rechercher : de là, vous pouvez lancer une recherche textuelle en utilisant le clavier virtuel ou une recherche vocale avec le microphone de la télécommande (après avoir validé une autorisation). La deuxième possibilité se montrera rapidement plus pratique. La reconnaissance fonctionne en effet vraiment bien.

Le lecteur : simple, il va à l’essentiel

Durant la lecture du contenu, un appui vers avec la flèche haut permet d’afficher la fiche du contenu (nom, résumé, bouton de mise en favoris), la section des sous-titres ou la section de la bande-son. L’essentiel. Pas de superflu.

Un appui au centre de la croix multidirectionnelle de la télécommande permet d’afficher les boutons utiles au contenu : lecture/pause, d’avance ou de retour. Il y a également un raccourci pour l’accès aux sous-titres.

Les réglages de l’application : votre vie privée n’a pas été oubliée

Dans la section Compte, on retrouve différents réglages pour l’application : aperçus vidéo, sous-titrages, langue audio, etc.

De là, il sera aussi possible de supprimer l’historique des recherches et l’historique des vidéos regardées. Les plus à cheval sur la vie privée apprécieront.


VERDICT

Aérée, fluide, intuitive, épargnée par la publicité, l’interface de Red Bull TV invite naturellement à la découverte des contenus (films, séries, documentaires, etc.) qui sont d’ailleurs en nombre et bien organisés. Vous trouverez forcément votre bonheur dans la pléthore de contenus. La gratuité du service ne fait qu’enfoncer le clou. Vous aimez les sports extrêmes et l’eSport ? Le service Red Bull TV mérite clairement d’être essayé.


 

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Insolite : la 5G déployée dans certaines zones grâce à des drones

Pour assurer le déploiement de la 5G dans certaines zones plus compliquées à couvrir, des drones pourraient venir compléter les infrastructures terrestres classiques.

Une “mégatour de téléphonie cellulaire dans la stratosphère”. Cambridge Consultants et Stratospheric Platforms Limited, deux sociétés britanniques, testent en effet une solution alternative pour le déploiement de la 5G. Dans sa version finale, celle-ci consisterait en des drones fonctionnant à l’hydrogène avec une autonomie de 9 jours, volant à environ 20 000 mètres du sol et arrosant des zones de 140 kilomètres de diamètre grâce des antennes 5G à leur bord.

La technologie est actuellement testée sur un prototype n’ayant qu’un huitième de la taille réelle, à savoir 3 mètres carrés. Une flotte de 60 drones permettrait, selon Cambridge Consultants, de couvrir en 5G un territoire tel que le Royaume-Uni avec un débit supérieur à 100 Gbit/s. Autre aspect mis en avant : la possibilité d’orienter les faisceaux afin de peindre spécifiquement une zone comme un axe de circulation ou des zones reculées difficiles à couvrir par les moyens classiques, mais aussi de s’arrêter à une frontière. Cambridge Consultants et Stratospheric Platforms Limited évoquent par ailleurs un rapport coût de maintenance / nombre de personnes connectées plus intéressant.

Stratospheric Platforms Limited a apporté son expertise dans le transport de moyen de communication, tandis que Cambridge Consultants s’est occupé de la partie antennes dont il a fallu réduire au maximum le poids, sachant que le drone ne peut transporter qu’une charge de 140 kilogrammes. La charge liée aux équipements de télécommunications n’atteint au final que 120 kilogrammes. Un autre défi souligné par  Stratospheric Platforms Limited était le refroidissement. Mais le duo s’attend à d’autres obstacles, d’ordre réglementaire cette fois. De tels appareils se retrouveraient en effet dans l’espace aérien et il faudra ainsi obtenir les autorisations en ce sens.

Source : ZDNet

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Les Français sont majoritairement pour la 5G, mais des inquiétudes subsistent

Selon un sondage, 75 % des Français montrent un intérêt certain pour la 5G et se disent prêts à payer pour en profiter. Il demeure toutefois des inquiétudes autour de cette nouvelle technologie.

Un grand “oui” à la 5G, et un “mais” à la fois. Voilà ce que révèle une étude réalisée en octobre 2020 pour le compte de Celside Insurance, spécialiste de l’assurance des appareils connectés, avec le concours de 1 000 Français âgés de 18 à 54 ans ayant répondu en ligne.

Premier enseignement : 66 % des sondés pensent que la 5G va améliorer leur vie de tous les jours et 75 % que la technologie se présente ainsi comme l’avenir. Avec elle, 87 % espèrent une connexion plus réactive, 83 % une meilleure couverture réseau et 53 % une solution pour éviter la saturation des réseaux. À l’heure du confinement et du télétravail, 81 % pensent par ailleurs que cela facilitera cette forme de travail et 40 % pensent même que cela la facilitera beaucoup.

Des Français prêts à mettre la main au porte-monnaie

Mais les Français sont-ils prêts à payer pour en profiter ?

D’après les réponses, 90 % envisageraient de dépenser 500 à 1 000 euros pour un smartphone compatible. 9 % y consacreraient même un budget compris entre 1 000 et 1 500 euros. Si la bonne affaire se présente, c’est encore mieux. 11 % attendent ainsi le Black Friday pour acheter et 19 % n’achèteront que s’ils dénichent la bonne affaire. Les trois smartphones qui font rêver sont d’ailleurs les iPhone 12 (35 %), Samsung Galaxy Note 20 (26 %) et Samsung Galaxy Z Fold (14 %). L’achat sera l’occasion pour 35 % de revendre ou donner leur smartphone 4G, ou pour 42 % de le faire recycler.

87 % se disent par ailleurs prêts à débourser 5 à 10 euros de plus chaque mois pour le forfait pour avoir la 5G, soit une hausse de prix, mais contenue malgré tout. Stéphane Richard l’a d’ailleurs réaffirmé, il n’y aura pas de flambée des prix. Surtout sur un marché aussi concurrentiel que celui de la téléphonie mobile.

Des inquiétudes malgré tout

D’autres réponses viennent toutefois nuancer cette attente chez les Français. 46 % des sondés, soit près de la moitié, estiment en effet le débat sur la santé et l’environnement justifié. Les interrogés affichent des inquiétudes concernant les risques environnementaux (67 %), les risques sanitaires (61 %) et le temps passé sur le smartphone (31 %). Des craintes que les spécialistes comme l’ANFR ou Orange essaient régulièrement de tempérer. L’Anses est d’ailleurs attendue au premier trimestre 2021 à propos d’un rapport sur les risques sanitaires liés à la 5G, tout en insistant sur le fait que ses travaux ne permettront pas de réponse tranchée.

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WhatsApp teste la possibilité de lire les messages en cas de signalement par les utilisateurs

La messagerie WhatsApp envisage la possibilité d’accéder aux messages signalés par les utilisateurs. Il s’agit de pouvoir modérer plus efficacement les comportements jugés inappropriés.

WhatsApp a fait du chiffrement de bout en bout des conversations un argument phare de son service de messagerie, à l’heure où la vie privée reste un dossier extrêmement sensible. Sauf que cet aspect a également ses inconvénients.

Dans le but d’éviter certains agissements inappropriés et répétés type spam, harcèlement ou insultes, WhatsApp réfléchit ainsi à la possibilité d’accéder aux messages signalés par les utilisateurs, afin que des modérateurs puissent lire le contenu et prendre des mesures appropriées telles que le bannissement d’un utilisateur grâce à son numéro de téléphone.

Jusqu’à maintenant, un signalement n’entraînait que la suppression de la conversation et le blocage de l’utilisateur concerné. Reste désormais à connaître les contours exacts de cette future possibilité, celle-ci étant encore à l’état bêta sous Android (et prochainement sous iOS), mais surtout son accueil côté utilisateurs.

WhatsApp évolue sur d’autres sujets. La messagerie commence en effet à proposer les messages éphémères, avec une suppression automatique au bout de sept jours. Sans oublier l’amélioration concernant la gestion de l’espace de stockage occupé par l’application et ses données.

Source : WaBetaInfo via 20Minutes

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Bbox Smart TV : Bouygues vous livre ses tutos vidéo pour l’installation et la configuration

Comment installer, paramétrer et utiliser le décodeur virtualisé de l’offre Bbox Smart TV ? Trois vidéos vous expliquent tout.

En mai 2020, Bouygues Telecom a présenté l’offre Bbox Smart TV et son décodeur virtualisé. Aujourd’hui, l’opérateur publie une série de vidéos pour expliquer aux abonnés l’installation, le paramétrage et le fonctionnement du service.

Une première vidéo rappelle ainsi le principe de l’offre dans les grandes lignes, à savoir un player prenant la forme d’une application B.tv+ sur le téléviseur connecté et permettant le contrôle depuis une seule télécommande.

Une deuxième vidéo explique l’installation du téléviseur connecté et le paramétrage de l’application B.tv+. Il faudra ainsi démarrer le téléviseur et suivre les indications à l’écran, puis connecter l’appareil à Internet quand cela sera demandé grâce au câble Ethernet fourni et au port prévu à l’arrière. Il sera également possible de se connecter en sans-fil, grâce au Wi-Fi, en saisissant le mot de passe.

L’utilisateur devra par ailleurs indiquer Bouygues Telecom en tant que fournisseur de services et s’identifier dans l’application B.tv+ pour accéder aux chaînes. L’emplacement de l’appli sur la page d’accueil pourra d’ailleurs être personnalisé.

Une troisième vidéo montre enfin comment installer l’application B tv+ si elle n’est pas préinstallée sur le téléviseur et la paramétrer avec l’adresse e-mail et le mot de passe de l’espace client.

Elle montre aussi comment naviguer dans les contenus en cours de diffusion ou disponibles en replay. Sans oublier la possibilité de personnaliser l’interface en basculant entre un thème sombre et un thème grâce, grâce à un bouton dédié en haut à droite.

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Free Mobile : une municipalité voudrait bien aider un collectif, mais dit ne plus en avoir le pouvoir

Un climat toujours tendu, avec des riverains refusant l’implantation d’une antenne Free et ne parvenant pas à trouver un terrain d’entente avec l’opérateur. La commune dit ne plus pouvoir les aider.

Les tensions ne diminuent pas à Chantemerle-lès-Grignan, village de quelques centaines d’âmes dans la Drôme où Free compte installer une nouvelle antenne pour améliorer sa couverture mobile. Celle-ci se traduira plus précisément par un pylône de 36 mètres de haut dans le quartier des Bréchets.

Depuis plusieurs mois, les réfractaires se battent en effet becs et ongles contre le projet de l’opérateur. Ils dénoncent notamment une installation “hors normes” qui “sera nettement visible depuis la place du village et de nombreux autres points de vue, dont certains considérés comme remarquables”. Les opposants suggèrent également d’attendre la fibre optique, puis de “réévaluer les besoins complémentaires éventuels qui subsisteraient”.

Des discussions avec Free n’ont permis aux opposants d’obtenir un autre lieu d’implantation. Deux autres sites étaient proposés, mais ne convenaient pour des raisons géographiques ou techniques. Les suggestions de réduction de taille ou de camouflage n’ont pas non plus trouvé écho pour des raisons techniques.

Renvoyé dans les cordes, le collectif compte sur la maire

Regroupés au sein d’un collectif, les riverains ont lancé une pétition en ligne et comptaient notamment sur la justice administrative pour faire entendre leur voix. Sauf que le tribunal administratif de Grenoble a rejeté le recours.

Ayant déposé un nouveau recours, les riverains comptent sur le conseil municipal pour stopper le projet. “Seul le conseil municipal a le pouvoir de décider de l’interruption de ce projet en prenant une délibération d’abandon”, indiquent-ils. Ce à quoi la maire Fabienne Carmon a répondu dans un courrier adressé à la population : “Le collectif présente les choses comme si nous avions encore un pouvoir. Mais on n’a plus de pouvoir”. En février dernier, la commune a donné son accord pour résoudre un problème de zone blanche. Or, d’après le texte de la loi Élan du 23 novembre 2018, “À titre expérimental, par dérogation à l’article L. 424-5 du code de l’urbanisme et jusqu’au 31 décembre 2022, les décisions d’urbanisme autorisant ou ne s’opposant pas à l’implantation d’antennes de radiotéléphonie mobile avec leurs systèmes d’accroche et leurs locaux et installations techniques ne peuvent pas être retirées”.

Source : Le Dauphiné Libéré

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