Auteur : dimitri

5G : Orange veut tordre le cou à certaines inquiétudes

Équipement nécessaire pour profiter de la 5G, obligation de prendre le train en marche ou encore évolution du niveau d’exposition aux ondes, voilà quelques-unes des interrogations abordées dans un moment vrai ou faux.

S’apprêtant à faire ses premiers pas en France, la 5G suscite beaucoup d’interrogations, voire d’inquiétudes. Tour à tour, les acteurs et spécialistes du domaine des télécoms viennent ainsi apporter des éléments de réponse pour expliquer, rassurer.

Aujourd’hui, Orange y va d’une vidéo sur sa chaîne YouTube pour démêler le vrai du faux à propos de la 5G. L’opérateur historique rappelle ainsi que la 5G consomme moins d’énergie que ses devancières (il avait d’ailleurs expliqué les différents mécanismes), qu’elle permettra de désengorger les réseaux, qu’elle nécessitera un smartphone compatible et qu’elle permettra de pousser de nouveaux usages tels que la ville intelligente ou la télémédecine. À propos des smartphones à remplacer, l’agrume rappelle qu’il existe des solutions de recyclage. Un recyclage auquel participent d’ailleurs les quatre opérateurs.

Orange revient également sur la fausse idée selon laquelle la 5G remplacerait les 3G et 4G, forçant ainsi la main aux utilisateurs. “La 5G vient en complément des réseaux existants comme la 4G ou la 3G”, rappelle l’opérateur. Orange entend également tordre le cou à une idée selon laquelle “10 fois plus de débit avec la 5G, c’est 10 fois plus d’ondes”. L’agrume rappelle que la 5G devra respecter les mêmes limites d’exposition réglementaires que les précédentes technologies. Dans un reportage diffusé sur France 3, l’ANFR, le gendarme des ondes, constatait d’ailleurs, preuve à l’appui, qu’il n’y a pas plus d’émission d’ondes avec la 5G par rapport à la 4G.

 

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3G et 4G : un maire accuse Free de passer “en force”

Face à l’implantation d’une antenne-relais de Free, un maire dénonce l’attitude de l’opérateur qui ne prendrait pas le temps de la concertation et tenterait un passage en force. Or, selon lui, il y a des alternatives dont il faut discuter ‘intelligemment”.

“Free passe en force et nous sommes démunis”, dénonce Jean-Michel Brard, le maire de Pornic. L’antenne que l’opérateur souhaite installer dans un lotissement de Sainte-Marie-sur-Mer, commune rattachée à Pornic, n’apparaît toujours pas la bienvenue.

Jean-Michel Brard reproche à Free un manque de communication. “Ils ne prennent même pas le temps de venir nous rencontrer”, déplore-t-il. Ayant refusé une implantation sur la maison des associations et dans le clocher de l’église, l’élu souligne qu’“il y a d’autres solutions” et qu’“il faut se mettre autour de la table et discuter intelligemment”.

En tant que président de la communauté de communes Pornic Agglo Pays de Retz, Jean-Michel Brard souligne des cas de cancers pédiatriques à Sainte-Pazanne, à 25 kilomètres de là. Des cas “dont on ne s’explique pas vraiment l’origine”, souligne-t-il. “On ne peut donc pas faire n’importe quoi”, selon lui. Au rang des griefs, on retrouve également la pollution visuelle qu’avait tenté de démontrer un riverain à l’aide d’un drone ou encore l’impact sur la valeur de l’immobilier à proximité.

Une victoire devant la justice administrative

Renvoyé dans les cordes par la commune au motif d’une implantation nécessitant une modification du plan local d’urbanisme, alors que lui y voyait de “simples travaux de raccordement”, Free s’était pour rappel tourné vers le tribunal administratif de Nantes et avait d’ailleurs obtenu gain de cause en septembre dernier.

Le juge avait souligné que la commune n’avait pas présenté d’éléments probants dans ce dossier, rappelé qu’elle “n’est pas entièrement couvert(e) par les réseaux” et estimé qu’elle devait par conséquent se pencher à nouveau sur la demande de l’opérateur. “Free Mobile justifie de l’existence d’une situation d’urgence, eu égard à l’intérêt public qui s’attache à la couverture du territoire national par le réseau de téléphonie mobile et aux intérêts propres de la société qui a pris des engagements (…) au titre de cette couverture”, avait-il par ailleurs été indiqué.

Source : Presse Océan (version papier du mardi 17 novembre)

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En pleine tempête, Huawei se sépare des smartphones Honor

Honor n’appartient plus à Huawei. Sur fond de pressions nord-américaines, le géant chinois finit par céder sa filiale positionnée sur les smartphones à prix attractifs.

L’information circulait depuis peu. C’est désormais chose faite. Dans un communiqué, Huawei a en effet officialisé la vente de sa filiale Honor créée en 2013 et ayant pour cibles les jeunes avec des smartphones aux prix attractifs en entrée et milieu de gamme.

Tous les actifs commerciaux de sa division seront ainsi transférés à Zhixin New Information Technology, un consortium porté par plusieurs dizaines de sociétés. À ce titre, le géant chinois indique qu’il ne possèdera plus aucune action dans l’entité Honor. Il n’interviendra plus dans les prises de décision ou dans la gestion commerciale. Aucune somme n’a été communiquée. Le dernier montant ayant circulé indiquait l’équivalent de 12,8 milliards d’euros.

Honor pris dans la tempête

Huawei rappelle le contexte de cette vente, à savoir les pressions américaines qu’il subit et qui interfèrent dans ses collaborations avec les entreprises US. Parmi elles : Google. Cela le prive des services du géant Mountain View tels que la boutique applicative Play Store. Cela pose aussi problème pour la fourniture des composants.

En tant que filiale du géant chinois, Honor est victime collatérale de l’embargo américain et de ces problèmes d’accès au Play Store et  aux composants. Or, son positionnement sur les smartphones attractifs aux marges plus faibles implique de gros volumes pour s’y retrouver.

Libérée, délivrée ?

Cette cession offrira une bouffée d’air frais à Honor, aidera à sa survie dans un segment ultra concurrentiel, mais permettra aussi aux vendeurs et partenaires de la filiale de souffler un peu, en récupérant des commandes. Huawei rappelle qu’Honor est loin de la diffusion limitée, avec plus de 70 millions de smartphones par an. 

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Guerre de la data : Bouygues Telecom et Red by SFR frappent fort

Répliquant tour à tour face à la concurrence et s’alignant plus ou moins,  Bouygues Telecom et Red by SFR  proposent une offre 100 Go pour environ 15 euros.

Après la guerre des petits prix en 2018 qui n’avait pas de sens économique aux yeux de Free et dont sont rapidement revenus leurs initiateurs (Bouygues et SFR avec leurs forfaits à 5 euros), place depuis de nombreux mois à la bataille autour de la data. Les telcos proposent actuellement des forfaits mobiles riche en données incluant les appels/SMS/MMS illimités pour des prix intermédiaires. Petit tour d’horizon des formules de chacun.

100 Go pour 15 euros

Red by SFR lance jusqu’au 23 novembre un forfait 100 Go à 15 euros au lieu de 20 euros, “sans prix qui double au bout d’un an”. En février dernier, la marque low cost de l’opérateur carré rouge avait même frappé plus fort en dégainant le Big Red, un forfait 100 Go alors proposé à 12 euros, là encore sans doublement du prix après la première année.

Bouygues Telecom vient de mettre à jour ses promotions, avec désormais un choix entre un forfait 200 Mo à 4,99 euros et un forfait 100 Go à 14,99 euros. Ils sont disponibles jusqu’au 23 novembre. L’opérateur baisse donc le prix de son forfait 100 Go de 5 euros, mais en contrepartie de la disparition de l’internet illimité le week-end. Exit au passage la formule intermédiaire de 80 Go qui était justement affichée à 14,99 euros.

Ou pas très loin

Même Orange participe à cette surenchère de gigaoctets, à travers sa marque Sosh. Jusqu’au 14 décembre, l’opérateur historique propose en effet des forfaits 70 et 100 Go, à respectivement 14,99 et 20,99 euros par mois, “même après un an”, précise-t-il. Ses autres forfaits proposent 100 Mo bloqués ou non. Là encore, c’est le grand écart.

Avec sa dernière Série Free, dévoilée ce mercredi et valable jusqu’au 24 novembre, l’opérateur de Xavier Niel propose 80 Go pour 13,99 euros, avant un passage à 100 Go pour 19,99 euros au-delà de la première année.

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Orange lancera finalement son réseau 5G “d’ici quelques semaines”, son patron s’est un peu trop avancé

Pas si vite concernant la 5G. L’administration est dans le coup. Et ça rallonge forcément les délais.

La 5G arrivera bel et bien, mais pas aussi vite. “On pourra avoir accès à la 5G dès le 18 novembre, là où évidemment il y a des antennes 5G”, indiquait pour rappel Stéphane Richard au micro de BFM Business. Sauf que le PDG d’Orange s’est visiblement un peu trop avancé. À 01net, un porte-parole de l’opérateur historique a déclaré que “la 5G sera disponible d’ici quelques semaines dans les premières villes”. Et de préciser : “nous attendons l’autorisation d’émettre de l’ANFR”.

Les délais administratifs à ne pas oublier

L’Arcep avait indiqué que les opérateurs pourraient lancer leurs réseaux 5G entre le 20 et le 30 novembre. Le régulateur avait toutefois souligné qu’il s’agissait d’une date théorique. Et pour cause puisqu’il faut tenir compte des délais administratifs. Les opérateurs doivent en effet obtenir des autorisations d’émettre auprès de l’ANFR, le gendarme des ondes, mais également communiquer auprès des communes concernant l’activation de leurs antennes.

L’ANFR a confirmé avoir reçu les premières demandes dès le 23 octobre. Cela s’explique par le fait que les opérateurs ont attendu le 20 octobre, jour des résultats des enchères de positionnement, avant de déposer leur dossier. “Nous devrions être en mesure de fournir les premières autorisations de sites commerciaux en bande 3,5 GHz à partir du 20 novembre. Nous publierons ces données sur la 5G après la publication des offres commerciales des opérateurs”, a indiqué l’autorité administrative à nos confrères.

Des communes moins emballées à convaincre

Quant aux communes, il faut réussir à convaincre les réfractaires. “Juridiquement, à partir du moment où les opérateurs auront dans leurs mains les autorisations des fréquences que nous, Arcep, allons leur donner, ils peuvent déployer le réseau. Et ils n’ont pas besoin de l’autorisation du maire”, a rappelé Sébastien Soriano. Celui-ci avait toutefois invité Orange, Free, Bouygues Telecom et SFR à ne pas passer en force et maintenir le dialogue. La consultation citoyenne organisée par Paris est un bon exemple de pédagogie.

Source : 01net

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Recyclage des vieux mobiles : un autre gros chantier pour Orange, Free, Bouygues et SFR

À l’aube de la 5G, les opérateurs prennent des mesures pour soutenir la filière du recyclage des terminaux mobiles. Petit tour d’horizon.

Avec l’arrivée de la téléphonie mobile de nouvelle génération, les consommateurs finiront tôt ou tard par renouveler leur smartphone pour s’équiper d’un modèle compatible. Cela sous-entend une énorme quantité de mobiles 4G qu’il faudra recycler.

Un chantier colossal auquel participent à leur niveau les opérateurs télécoms, mais surtout à ne pas prendre à la légère, sachant que les mobiles représentent 80 % de l’impact environnemental du numérique et qu’un smartphone de 120 grammes nécessite 70 kilos de matières premières. Un chantier qui va rapidement gagner en consistance avec une bonne partie des consommateurs se disant intéressés par la 5G et y voyant l’occasion pour 35 % de revendre ou donner leur smartphone 4G, ou pour 42 % de le faire recycler.

Orange : un programme Re pour accélérer le mouvement

Orange rappelle régulièrement que 100 millions de mobiles dorment dans les placards et tiroirs, pour finir par être jetés dans certains cas. L’opérateur historique rappelle avoir collecté plus de 15 millions de mobiles à travers l’Europe et compte accélérer le mouvement avec la 5G. Son PDG Stéphane Richard estime par ailleurs que le recyclage est l’un des moyens à disposition des opérateurs pour lutter contre l’obsolescence programmée. Orange a ainsi lancé son programme Re pour accélérer le recyclage des mobiles et la vente de modèles reconditionnés. Cela se traduit notamment par l’accentuation de la communication autour de la seconde vie des mobiles. Sans oublier les points de collecte installés dans les 600 boutiques de l’opérateur.

Free : l’opérateur collecte les mobiles et offre des reconditionnés

De son côté, Free a annoncé en octobre un partenariat avec Les Ateliers du Bocage. Des boîtes de collecte de mobiles sont désormais disponibles dans 32 de ses Free Centers. Avec désormais le cap des 100 boutiques ouvertes, l’opérateur de Xavier Niel a encore une bonne marge de manoeuvre. Autre signe d’implication de Free : le lancement cette semaine d’une vente privée où le smartphone offert est un iPhone reconditionné, comme nous l’avions d’ailleurs suggéré dans une émission Totalement Fibrés.

Bouygues Telecom : le plus haut taux de reprise

Bouygues Telecom est présent sur le vaste chantier du recyclage. L’opérateur de Martin Bouygues dispose en effet 900 bornes de collecte reparties entre ses différentes boutiques. “Selon notre partenaire Recommerce, notre taux de reprise est le plus élevé en Europe”, souligne la directrice commerciale et client chez Bouygues Telecom. Chrystel Abadie-Truchet note d’ailleurs que la moitié des achats d’iPhone 12 s’effectue via le programme de reprise de l’opérateur.

SFR : une reprise plus généreuse

SFR indique avoir collecté environ 4 millions de mobiles depuis 2003. L’opérateur au carré rouge indique récupérer 15 % des mobiles vendus et espère améliorer ce ratio en se montrant “plus généreux” concernant le montant de reprise, afin d’inciter les consommateurs à se délester de leurs vieux mobiles.

Le gouvernement aussi

Pour faciliter le recyclage, le gouvernement veut mieux informer le consommateur et soutenir la filière du reconditionnement. Il réfléchit en effet à la mise en place d’un “indice de réparabilité”, une note sur 10 à la manière du spécialiste iFixit qui se penche sur les appareils high-tech afin d’en noter la facilité de réparation. Les consommateurs pourraient ainsi acheter de manière plus éclairée. Mais au-delà de la meilleure information pour les utilisateurs, il s’agit aussi de soutenir le secteur du reconditionné, avec notamment une enveloppe de 21 millions d’euros pour la filière ou encore un taux de TVA réduit.

Source : Les Echos

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Freebox Pop et mini 4K : découvrez l’application de Radio FG, temple de la musique électronique

Amateurs de techno, de house ou encore de dance, voici l’application de Radio FG disponible gratuitement sur les Freebox Pop et Freebox mini 4K. Au programme, de la musique électronique et des podcasts.

Station de radio parisienne positionnée depuis plusieurs dizaines d’années sur la musique électronique, Radio FG dispose d’une application Android. De quoi permettre aux abonnés Freebox Pop et Freebox mini 4K d’écouter de la musique techno, house ou encore dance. Rappelons en effet que les players de ces Freebox tournent sous environnement Android TV et ont donc accès au Play Store de Google.

Installer l’application sur le player Freebox

Pour commencer, il faut chercher tout d’abord l’application disponible sur le PlayStore et l’installer sur le player. D’ailleurs, elle est gratuite, légère (un peu plus de 20 Mo) et ne nécessite pas de compte pour être utilisée.

Au premier lancement, l’application vous demandera un accès aux données de localisation. Des données servant notamment pour la diffusion de publications.

L’interface d’accueil : du déjà-vu, mais efficace

L’interface de l’application Radio FG est plutôt classique, avec une barre de navigation sur la gauche et une grille de contenus dans la partie centrale. Elle va à l’essentiel. Pas de chichi. Même pas de section Paramètres.

En dessous d’un bouton de recherche, la barre latérale donne d’ailleurs accès au flux en cours de diffusion.

De la musique électronique et rien que ça

L’application donne en effet accès au flux de Radio FG, ainsi qu’à des podcasts (interviews etc).

Mais elle donne également accès aux flux des différentes déclinaisons de la radio parisienne. On retrouve ainsi les canaux FG Chic, FG Deep Dance, FG Nomade ou encore FG Home Party. Une variété de styles qui permet en général de trouver son bonheur. Les amateurs de contenus plutôt commerciaux iront vers FG Starter by Hakimalki. Ceux cherchant des musiques plus calmes s’orienteront vers FG Nomade. Les fêtards devraient quant à eux trouver chaussure à leur pied avec FG Home party.

Un lecteur basique

En fonction du contenu en cours de lecture, un flux en direct ou un podcast, les contrôles de lecture sont plus ou moins étoffés. Pour le flux en direct, il y a seulement un bouton de mise en lecture/pause. Lors des podcasts s’ajoutent des boutons de navigation dans le contenu, ainsi qu’une réglette pour connaître sa position dans le contenu. D’ailleurs, les boutons gauche/droite de la télécommande ne permettent pas la navigation. Il faut appuyer successivement sur les boutons retour/avance dans l’interface. Dommage, cela aurait été pratique.

 


VERDICT

Si vous aimez la musique électronique, voici une application qui mérite d’être installée. Facile à prendre en main, fluide, gratuite et donnant accès à différents styles, elle a des chances de vous plaire,


 

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Le Play Store désigné comme principal responsable des malwares sur les smartphones Android

Selon une étude, le Play Store est la plate-forme de téléchargement officielle des appareils Android, mais aussi le principal canal pour la diffusion des malwares.

Menée par des chercheurs de NortonLifeLock et de l’Institut du logiciel IMDEA à Madrid, une étude s’est intéressée aux malwares Android, et plus précisément au chemin utilisé pour arriver jusqu’aux utilisateurs. Pour cela, les chercheurs ont étudié les installations d’applications sur plus de 12 millions d’appareils Android entre juin et septembre 2019. Au cours de la période, plus de 34 millions d’installations enregistrées pour plus de 7,9 millions d’applications uniques.

Il apparaît que les applications malveillantes ont été installées dans 67,5 % des cas par le biais du Play Store, le store officiel de l’écosystème Android. Le reste a pu arriver grâce aux stores alternatifs (10,4 %) régulièrement pointés du doigt par Google, mais également par le biais du navigateur Web, d’un lien dans une messagerie instantanée, d’un partage de fichiers, d’une installation depuis le gestionnaire de fichiers, d’une préinstallation ou encore d’une restauration.

La bonne nouvelle dans l’histoire, c’est que Google redouble d’efforts pour assainir sa plate-forme de téléchargements et protéger les utilisateurs. Le géant de Mountain View opère en effet régulièrement quelques évictions d’applications infectées ou au comportement ne respectant pas les conditions d’utilisation.

Source : ZDNet

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4G : quand une mairie ne sait pas sur quel pied danser avec Free Mobile

Une mairie revient à la table des négociations avec Free. L’implantation d’une antenne-relais de l’opérateur étant une certitude, autant faire partie des discussions.

Il y aura bel et bien une nouvelle antenne-relais Free à Ohnenheim, commune du Bas-Rhin, en Alsace. Après avoir barré la route à l’opérateur de Xavier Niel, la municipalité tente à présent de trouver un terrain d’entente.

Voilà en effet deux ans que Free tente d’implanter une antenne-relais dans la commune alsacienne. “Free s’était montré insistant, mais nous avons déjà un certain nombre d’installations sur le château d’eau, je ne voulais pas en rajouter pour des raisons sanitaires, au niveau des ondes”, explique l’ancien maire Rémy Stoecklé, sollicité par l’opérateur en octobre 2018.

Free avait fini par trouver oreille attentive auprès d’un couple d’artisans ayant besoin de couverture réseau pour son activité et prêt à lui louer un terrain privé route d’Elsenheim, à la sortie du village, où prendrait alors place un pylône de 24 mètres de haut. “Depuis qu’on habite ici, nous avons des soucis de réseau”, déplore le couple qui a signé le bail avec l’opérateur en septembre 2020. Et d’ajouter : “Pour notre activité, il nous faut du réseau”.

Une alternative proposée par la mairie

La mairie s’est ainsi retrouvée écartée des discussions, alors même que le dossier respecte le plan local d’urbanisme, mais ne fait pas l’unanimité parmi les habitants. Le projet de l’antenne provoque en effet la grogne dans le lotissement Saint-Grégoire, à proximité du nouvel emplacement choisi par Free. La mairie tente donc de convaincre l’opérateur à propos d’un terrain communal. Elle propose en effet l’emplacement actuel de l’aire de traitement des effluents phytosanitaires, située entre l’étang de pêche et le moulin d’Ohnenheim.


Le nouvel emplacement proposé (crédit photo Alsace Centrale)

“Comme il y aura de toute façon une antenne-relais à Ohnenheim, autant qu’elle soit sur un terrain communal, plus éloigné des habitations”, indique Jacqueline Schunck, la maire actuelle. Voulant éviter les possibles impacts sur la santé, l’esthétique des lieux et la valeur immobilière, elle voit par ailleurs dans ce nouveau choix l’aspect financier, avec le loyer payé pour l’emplacement.

Reste maintenant à voir si Free accepterait d’étudier cette nouvelle alternative, après avoir longtemps rencontré un mur, consacré beaucoup de temps pour trouver une solution et fait sa déclaration préalable de travaux le 5 octobre 2020. Les propriétaires du terrain privé ont fait savoir que la solution leur convenait également.

Source : Alsace Centrale (version papier du 15 novembre)

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Bouygues Telecom propose deux forfaits B&You en promo intégrant l’Internet illimité le week-end

De grosses enveloppes data, mais également de l’Internet illimité le week-end, voici ce que proposent ces deux forfaits mobiles en promotion.

Jusqu’au 18 novembre, Bouygues Telecom propose des forfaits mobiles 80 et 100 Go à respectivement 14,99 et 19,99 euros par mois. Sans engagement de durée, ceux-ci intègrent par ailleurs l’internet Illimité le week-end depuis la France Métropolitaine. Bref, un max de data pour les ultra-connectés.

Les deux forfaits de l’opérateur comprennent par ailleurs les appels, les SMS et les MMS en illimité, ainsi qu’une partie roaming avec 10 ou 15 Go de data (respectivement sur les 80 et 100 Go disponibles) utilisables depuis l’Europe et les DOM. À noter pour terminer qu’ils s’accompagnent de trois mois offerts au service Spotify Premium et qu’il faudra prévoir 10 euros payables à la commande pour la carte SIM triple découpe.

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