Auteur : dimitri

Comment le Gouvernement a fait appel aux opérateurs pour inciter au téléchargement de son application TousAntiCovid

L’exécutif fait à nouveau appel à Orange, Free, Bouygues et SFR pour communiquer autour de la crise sanitaire, cette fois en incitant au téléchargement de son application de tracage.

Nouveau confinement, nouvelle alerte du gouvernement. De nombreux français ont pu recevoir un message réalisé par l’Etat afin de pousser au téléchargement de son application TousAntiCovid et s’interrogent.: comment le gouvernement peut-il m’envoyer un message directement ?

La technologie utilisée est en fait identique à celle utilisée pour communiquer des promotions à tous les abonnés d’un même opérateur. Nommée SMS-MT, son fonctionnement est plutôt simple : le gouvernement rédige un message puis le transmet aux opérateurs mobiles qui doivent l’envoyer à l’ensemble des numéros de téléphones portables du pays. Soit environ 80 millions de cartes SIM en circulation.Elle avait déjà été utilisée en mars dernier pour informer sur l’épidémie et les mesures prises par l’exécutif. 

Ainsi, l’État n’a pas besoin d’obtenir votre numéro, puisque Orange, Free, Bouygues ou SFR font office de relais. Une pratique encadrée par la loi, notamment par le code des postes et des communications électroniques : “L’opérateur prend les mesures nécessaires pour transmettre à ses utilisateurs les messages d’alerte et d’information des pouvoirs publics destinés au public pour l’avertir de dangers imminents et atténuer les effets de catastrophes majeures.“. Un cas assez exceptionnel dans d’autres circonstances que celles d’une pandémie mondiale. 

D’après nos propres constatations, les abonnés Orange et Sosh ont bien reçu un SMS, mais plusieurs abonnés SFR, Free ou Bouygues n’en ont pour l’instant pas vu la couleur. D’après BFM TV, le déploiement des messages est progressif afin de ne pas saturer les réseaux. Vous devriez ainsi le recevoir dans les prochains jours, même si vous avez déjà téléchargé l’application.

10 millions d’utilisateurs pour TousAntiCovid

Après des débuts compliqués en tant que StopCovid, l’application de traçage de contacts lancée par le gouvernement sur fond de crise sanitaire prend enfin son envol sous le nom TousAntiCovid. Elle a en effet franchi le cap symbolique des 10 millions d’utilisateurs et en revendique 10,32 millions à l’heure où sont écrites ces lignes. 14 733 notifications ont d’ailleurs été envoyées.

Une progression affichée directement sur l’application. Le gouvernement ne manque cependant pas de la mettre en lumière à l’heure d’un assouplissement du confinement de la population. “10 millions de téléchargements : plus d’un Français sur six a déjà installé #TousAntiCovid ! C’est un maillon essentiel de notre stratégie pour nous protéger et protéger nos proches”, a annoncé ce samedi dans un tweet le Premier ministre Jean Castex, qui n’avait d’ailleurs pas installé la première mouture.

 

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Clin d’oeil : une 5G à consommer avec modération

Un smartphone compatible dans une main et une bière dans l’autre. À l’heure de la 5G, il convient d’être équipé.

Une chose est sûre : en plein lancement en France, vous allez en manger de la 5G, que ce soit à travers les articles de presse, les réseaux sociaux ou les publicités. Mais peut-être allez-vous aussi en boire ? Il existe en effet une bière estampillée 5G, et plus précisément “5.G”. Proposée par le site Les Bières Belges, le doux brevage répond au nom “SuperFood Beer – 5.G” et s’adresse “à un public à la recherche d’une bière plaisir”.

Mais au fait, pourquoi 5.G ? “La 5.G est une bière blonde cuivrée, légère, tonifiante et désaltérante qui intègre 5 “super aliments” reconnus pour leurs bienfaits (Gingembre, Ginseng, Guarana, Ginkgo, Biloba et Galanga)”, indique le vendeur. Aucun rapport avec la nouvelle technologie. Juste une référence aux ingrédients. Une 5G face à laquelle les anti-ondes peuvent donc être sereins, mais qui reste malgré tout à consommer avec modération.

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Rachat de Covage : Altice obtient le feu vert de Bruxelles avec la cession de 25 réseaux

Altice et sa filiale SFR FTTH ont finalement obtenu le feu vert européen pour le rachat de Covage. 25 réseaux du quatrième opérateur d’infrastructures devront toutefois être cédés pour garantir la concurrence sur le marché professionnel.

L’avis de la Commission européenne était attendu de pied ferme par Altice. En fin de semaine dernière, Bruxelles a ainsi dit oui au groupe de Patrick Drahi, mais aussi à Omers et Allianz (autres actionnaires de SFR FTTH), pour le rachat de Covage, quatrième opérateur d’infrastructures en France.

Un feu vert avec des conditions

Comme prévu, cette acquisition à 1 milliard d’euros ne se fera pas sans condition. “Nous avons donc approuvé l’acquisition de Covage grâce à des cessions globales pour faire en sorte que la concurrence reste au bénéfice des clients locaux et internationaux et des consommateurs en France”, a en effet indiqué Margrethe Vestager, Commissaire européen en charge de la concurrence. Deux engagements ont été proposés par SFR FTTH et validés par Bruxelles, pour qui les deux remèdes répondent à ses inquiétudes en matière de concurrence :

– La cession à un acheteur approprié de 25 filiales et d’actifs correspondant à l’activité de boucle locale de fibre de Covage sur le territoire de 30 établissements publics. Ces filiales et actifs sont constitués de réseaux FTTO (dont plusieurs réseaux mixtes FTTO et FTTH) et représentent au total environ 95% de l’activité FTTO de Covage.

– L’offre d’un contrat de service transitoire, comprenant l’accès à tous les actifs et services nécessaires à l’exploitation concurrentielle de l’activité cédée pendant une durée permettant à SFR FTTH de devenir totalement indépendante.

Un deal gagnant-gagnant

Un type de deal que l’on savait sérieusement envisagé par Altice, afin de sécuriser l’acquisition de Covage. Selon un document du cabinet-conseil de SFR que Les Echos avait pu consulter, Altice proposait “de vendre l’activité de Covage sur 30 réseaux pour les entreprises construits par des villes, mais exploités par Covage, ou inversement”. Toujours d’après le quotidien, le groupe s’engageait aussi à vendre la participation de Covage dans 15 des 43 réseaux dédiés aux professionnels, mais également dans 10 sur 19 réseaux accueillant à la fois particuliers et professionnels.

La manoeuvre consistant à lâcher du lest sur le marché professionnel s’annonce rentable au final pour Altice puisqu’elle permet de générer une plus-value, car concernant un marché de la fibre optique où les prises disponibles se font de plus en plus rares au fur et à mesure du fibrage du pays. Quant à l’acquisition, elle est synonyme de nouveaux revenus locatifs et de nouveaux clients. “L’enquête de la Commission a révélé que l’opération, telle qu’elle avait été initialement notifiée, aurait soulevé de graves problèmes de concurrence”, souligne en effet la Commission européenne, sous-entendant qu’il fallait lâcher du lest.

Une acquisition retardée sur fond de crainte de monopole

Altice espérait avoir bouclé l’opération au premier semestre 2020, mais une enquête de la direction générale de la concurrence de la Commission européenne a été ouverte au sujet des répercussions sur le marché de la fibre entreprise, retardant ainsi le processus. Un volet concurrentiel loin d’être anodin sachant que les réseaux de Covage accueille quelque 200 opérateurs de détails. Le noeud du problème était la situation de position dominante dans laquelle se retrouverait SFR pour le déploiement de la fibre dans les zones peu denses (18 % du secteur pour SFR et 16 % pour Covage).

Une position dominante laissant craindre un marché moins accessible aux petits opérateurs télécoms proposant des offres fibre optique entreprise, alors que celui-ci est déjà dominé par Orange et SFR. Un marché professionnel rentable, avec des professionnels payant plus cher et changeant moins souvent de prestataires. Les opérateurs s’interrogeaient sur des complications pour l’accès aux infrastructures de Covage. D’autant plus que les tarifs de gros de SFR ne sont pas régulés comme avec Orange. Ils ont d’ailleurs augmenté de 2 à 9 % en début d’année. SFR se retrouvant sur les deux tableaux, une porosité entre les deux filiales, avec une branche déploiement poussant vers la division commerciale, faisait également partie des craintes.

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Problèmes de connexion pour de nombreux abonnés Free : que s’est-il passé ?

Les problèmes de connexion rencontrés par une partie des abonnés Free semblent désormais résolus. Ils s’expliqueraient par un problème d’interconnexion.

Comme le montre l’outil Downdoctor, un certain nombre d’abonnés Free ont en effet rencontré des soucis avec certains sites Internet et services en ligne au cours des dernières 24 heures. Le souci semble dans tous les cas avoir été résolu.

Selon nos confrères de Frandroid, les sites et services en question utilisaient principalement les serveurs AWS (Amazon Web Services). Un changement de DNS ne permettant pas de résoudre le problème, cela laisse entendre un problème d’interconnexion entre Free et AWS. Si le problème n’a pas concerné l’ensemble des abonnés Free, il a impacté nombre d’entre eux sur l’ensemble du territoire.

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Freetv, l’application de télécommande Freebox, se met à jour pour corriger ses bugs

Petite mise à jour corrective pour l’application de télécommande virtuelle Freetv disponible sur Android.

Ayant récemment rejoint la liste des applications mobiles permettant de changer son smartphone ou sa tablette tactile en télécommande Freebox, Freetv profite d’une mise à jour et passe ainsi en version 1.2.2. Le développeur indique la résolution d’une erreur provoquant un plantage lors de la reprise de l’application. Il évoque par ailleurs la correction d’un problème graphique pouvant survenir lors de l’affichage de la liste des chaînes favorites. Bref, pas de grosses nouveautés au programme, mais la disparition de bugs pouvant nuire à l’expérience utilisateur.

Compatible Freebox Révolution et Freebox Delta, Freetv est à télécharger gratuitement sur le Play Store de Google. Sa gratuité a comme contrepartie la présence de publicité sous la forme d’un petit bandeau en haut de l’écran. Pour utiliser l’application, il faut que le smartphone ou la tablette soit connecté au réseau Wi-Fi de la Freebox. Chose pratique : pas besoin de code de télécommande. Le player est en effet détecté automatiquement au lancement de l’application et les commandes opérationnelles dans la foulée.

 

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Un smartphone de la boutique Free Mobile passe sous les 200 euros grâce à une baisse de prix

Grâce à une baisse de prix d’environ 25 %, un smartphone intéressant de la boutique Free Mobile se rend plus accessible aux petits budgets.

Déjà intéressant pour les budgets serrés, l’un des smartphones présents dans la boutique Free Mobile le devient encore plus. Auparavant proposé à 259 euros, l’Oppo A72 voit en effet son prix passer à 199 euros, soit une baisse de 60 euros. Ce smartphone de petit milieu de gamme peut également être payé en 4x (52 euros à la commande, puis 3 fois 49 euros) ou 24x (31 euros à la commande, puis 24 fois 7 euros), sans frais. Cerise sur le gâteau : une coque de protection d’une valeur de 19,99 euros est offerte. De quoi lui éviter quelques rayures au quotidien.

Côté caractéristiques, rappelons que l’Oppo A72 propose un chipset Snapdragon 665 avec 4 Go de RAM, un écran IPS 6,5 pouces FHD+, un stockage 128 Go extensible par MicroSD, de la photo 48 Mégapixels à l’arrière et 16 Mégapixels à l’avant, une batterie 5 000 mAh et un système Android 10 coiffé de l’interface maison ColorOS 7.1.

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Free accusé d’avoir “triché” pour installer son antenne 4G

Un riverain affiche son intention d’en découdre avec Free. Il refuse qu’une antenne-relais s’installe à côté de chez lui et accuse l’opérateur de tricherie lors de la constitution de son dossier.

Free compte installer une antenne 4G à Saint-Pée-sur-Nivelle, commune des Pyrénées-Atlantiques. L’opérateur a fait une déclaration préalable de travaux à la mairie et a obtenu un certificat de non-opposition le 2 octobre. Sauf que l’antenne en question, devant être installée rue Motxokoborda, sur un pylône de 33 mètres de haut, n’emballe ni la mairie ni le plus proche voisin.

La mairie a essayé, mais…

“On a essayé de freiner la chose, mais le problème, c’est que c’est sur un terrain privé. Il y avait un accord avec le propriétaire et au niveau urbanisme, on n’a pas la possibilité de refuser”, explique Dominique Idiart, maire de Saint-Pée-sur-Nivelle. L’élu ajoute que Free n’a pas le choix non plus pour assurer sa couverture dans la zone. “Aujourd’hui, le réseau Free passe par un autre réseau, mais il s’avère qu’en 2021 ce montage ne sera plus possible. Free doit mettre son propre réseau en place”, indique-t-il.


Le lieu d’implantation de la future antenne (Crédit photo : Guillaume FAUVEAU)

Les voisins directs dénoncent une pollution visuelle et une tricherie

Le panneau d’information ayant été repéré et la nouvelle ayant circulé, les habitants du quartier du Lac, futurs voisins de cette antenne-relais, se sont regroupés au sein d’un collectif. Ils ne veulent pas de l’antenne Free et n’entendent pas en rester là. Un recours a d’ailleurs été déposé devant le tribunal administratif de Pau. Romain Rio, fermier en polyculture-élevage ayant déposé le recours en novembre, plante le décor : “Ça va générer des tensions énormes. Des jeunes gens sont prêts à agir et ne veulent pas voir cette antenne de 33 mètres”. Mais pourquoi, au fait ? Les riverains pointent la proximité immédiate d’une zone Natura 2000, d’un parcours sportif et d’une bergerie.

Selon cet habitant, Free a “carrément triché” lorsqu’il a remis son dossier. Il évoque des photos prises par temps brumeux, afin de dissimuler la forêt et les montagnes environnantes. L’opérateur aurait ainsi remis un dossier ne reflétant pas totalement “la réalité du site”. Un argument dont le riverain compte bien de servir dans sa bataille judiciaire. Cet ancien juriste pointe également la possibilité, à ses yeux, qu’avait la mairie de s’opposer en utilisant le code de l’urbanisme. Il cite l’article R111-21 selon lequel “le projet peut être refusé ou n’être accepté que sous réserve de l’observation de prescriptions spéciales si les constructions, par leur situation, leur architecture, leurs dimensions ou l’aspect extérieur des bâtiments ou ouvrages à édifier ou à modifier, sont de nature à porter atteinte au caractère ou à l’intérêt des lieux avoisinants, aux sites, aux paysages naturels ou urbains ainsi qu’à la conservation des perspectives monumentales”.

Source : Mediabask

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Free Mobile change de formule en avance pour son forfait “Série Free”

Quelques jours d’avance sur le calendrier initial. Le forfait “Série Free” change en effet de formule avant l’heure. Un prix moins élevé, mais aussi un quart de data en moins.

Cette semaine, Free a dévoilé un forfait “Série Free” avec 80 Go de data en France Métropolitaine et 8 Go en roaming pour 13,99 euros par mois. Valable jusqu’au 1er décembre, il a finalement changé en cours de route.

Depuis hier et jusqu’au 1er décembre, Free Mobile propose son forfait intermédiaire à 10,99 euros par mois avec cette fois-ci 60 Go de data en France Métropolitaine et 8 Go en roaming. Celui-ci intègre également les appels, SMS et MMS en illimité. Au-delà de la première année, les abonnés basculeront automatiquement sur le Forfait Free avec enveloppe data de 100 Go à 19,99 euros par mois. 

De son côté, Red by SFR a frappé fort en dévoilant un forfait Big Red avec 50 ou 200 Go de data pour 12 ou 15 euros par mois. Sosh, la marque d’Orange, propose une série limitée 40 Go à 11,99 euros par mois. Dans la vitrine de Bouygues Telecom, on trouve des forfaits 50 et 100 Go à respectivement 11,99 et 14,99 euros par mois. Du côté d’Auchan Telecom, on note un forfait 60 Go à 5,99 euros par mois, avec un passage à 14,99 euros par mois après la première année.

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Smartphones : Samsung renouvelle son entrée de gamme, Xiaomi met la 5G dans ses Redmi Note

Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au programme : deux nouveaux modèles à petit prix chez Samsung, deux modèles Redmi Note compatibles 5G chez Xiaomi et une grosse batterie à moins de 200 euros chez Poco.

Samsung a présenté des Galaxy A02s et A12, dont la commercialisation doit intervenir au premier trimestre 2021 avec des prix sous la barre des 200 euros. Le Galaxy A02s mise sur un processeur octa-core 1,8 GHz, une batterie 5 000 mAh, un écran 6,5 pouces HD+ et un triple capteur photo 13 + 2 + 2 Mégapixels. Le Galaxy A12 permet de passer à un processeur octa-core 2,3 GHz et à un quadruple capteur photo 48 + 5 + 2 + 2 Mégapixels. Tous les deux assurent une compatibilité 4G.

Xiaomi a finalement annoncé sa famille Redmi Note 9 à domicile, en Chine donc. Il a été question d’un Redmi Note 9, mais surtout de Redmi Note 9 5G et Redmi Note Pro 5G. La plate-forme 5G diffère d’un modèle à l’autre. Le Redmi Note 9 5G opte ainsi pour le chipset Dimensity 800U de MediaTek, tandis que le Redmi Note 9 Pro 5G s’oriente vers le SoC Snapdragon 750G de Qualcomm. Reste maintenant à attendre des infos à propos d’une disponibilité sur d’autres marchés, dont l’Europe. Il y a de fortes chances que l’on ait des nouvelles dans les prochains mois, autrement dit en début d’année prochaine.

Toujours au sein de la sphère Xiaomi, même si la marque clame son indépendance tout en continuant à apparaître sur le site du groupe chinois, voici le Poco M3. Annoncé dans des configurations 4/64 et 4/128 Go à respectivement  159,90 et 179,90 euros, ce smartphone mise sur une batterie 6 000 mAh rechargeable en 18 Watts. Il profite également d’un écran FHD+ et d’un capteur photo 48 Mégapixels. Côté chipset, on trouve le Snapdragon 662, synonyme de 4G.

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RNC Mobile : l’application corrige un problème handicapant pour sa horde de chasseurs d’antennes

L’application RNC Mobile se met à jour. Il s’agit de corriger un problème gênant rencontré par les utilisateurs voulant contribuer à sa base de données.

Un chasseur dans l’impossibilité de chasser et revenant bredouille, c’est plutôt gênant. Voici pourquoi RNC Mobile a mis à jour son application sur Android avec la publication d’une mouture estampillée .3.5.5-19865. Les développeurs indiquent la correction d’un plantage en mode chasse, empêchant ainsi aux utilisateurs d’alimenter la base de données.

Disponibilité gratuitement sur le Play Store, l’application RNC Mobile permet pour rappel aux abonnés Free Mobile d’en savoir davantage sur les antennes en service, d’enrichir la base de données en partant à la chasse aux antennes de l’opérateur et d’effectuer des tests de débit. 

Grâce à une collaboration entre RNC Mobile et Univers Freebox, nous vous proposons pour rappel :

-  La carte de couverture de Free Mobile sur cette page

-  Tous les records de débits sur le réseau Free Mobile sur celle-ci

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