Auteur : dimitri

Smartphones Android : ce malware s’intéresse à vos données bancaires

Les utilisateurs de smartphones Android doivent redoubler de vigilance. Ils sont dans le collimateur d’un malware utilisé pour de la fraude bancaire.

Les chercheurs de Cleafy ont tiré la sonnette d’alarme ce lundi. Découvert en janvier 2021 et nommé Teabot, un malware tente de s’infiltrer sur les smartphones Android en utilisant les noms d’applications populations comme DHL, UPS ou VLC Media Player.

Une fois téléchargé, ce cheval de Troie fait en sorte d’obtenir les autorisations nécessaires pour surveiller les faits et gestes de l’utilisateur, récupérer le contenu des applications et réaliser ses actions, mais également  cacher l’icône de l’application pour échapper à la vigilance de l’utilisateur.

“Lorsque l’application malveillante a été téléchargée sur l’appareil, elle tente d’être installée en tant que Service Android, qui est un composant d’application pouvant effectuer des opérations de longue durée en arrière-plan. TeaBot abuse de cette fonctionnalité pour se cacher silencieusement de l’utilisateur, une fois installée, empêchant également sa détection et assurant sa persistance”, explique Cleafy.

Ce malware a pour objectif d’aider à la fraude contre les bancaires en Europe en récupérant les données d’identification et le contenu des SMS. Plus de 60 banques du Vieux Continent sont concernées. En cours de développement, le malware prend en charge six langues incluant notamment l’allemand, l’anglais, l’espagnol, l’italien.

Source : ZDNet

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Free Mobile : avec l’arrivée d’une antenne, un couple se sent expulsé et obligé de déménager

Un couple doit déménager suite à l’installation d’une antenne-relais Free Mobile. Le maire dit comprendre la situation, mais estime pour sa part n’avoir “rien à se reprocher”. Tout a été fait dans les règles et dans l’intérêt général.

“On s’estime expulsés de chez nous”, estime Philippe Aujames. Trois ans seulement après leur installation Rouvres-en-Plaine, commune dans le département de la Côte-d’Or , cet informaticien à la retraite et sa femme vont devoir déménager. “Nous avons trouvé une maison dans un hameau, dans l’Ain, près de Mantenay-Montlin, au milieu des élevages de poulets de Bresse. C’est une zone blanche, loin de tous réseaux et de notre famille, mais où nous espérons pouvoir vivre enfin apaisés, en acceptant toutefois d’être éloignés de tous les commerces et services médicaux. C’est une contrainte avec laquelle nous devrons composer”, explique sa femme Christine Aujames.

Le couple déménage en effet en raison de l’installation d’un pylône Free Mobile à quelques centaines de mètres de leur maison et de sa mise en service au mois de février dernier. Atteint d’électrosensibilité et ayant réussi à faire reconnaitre son handicap, Philippe Aujames a bien tenté de faire barrage, mais en vain. “Malgré mes démarches auprès de la mairie, je regrette que les élus de la commune, parfaitement informés de notre situation, n’aient pas recherché une solution ou un compromis qui aurait permis d’équiper le village tout en nous laissant la possibilité de continuer à y vivre. Je rappelle que la loi Abeille, votée en 2015, renforce le rôle des maires sur l’exposition du public aux champs électromagnétiques”, explique-t-il. Lui et sa femme s’estiment ainsi “confinés à vie et condamnés à fuir une société électro dépendante”.

Le maire comprend, mais doit répondre à l’intérêt général

Le maire Hubert Sauvain affiche sa compassion et regrette la situation vécue pour le couple, mais estime n’avoir “rien à se reprocher”. Il rappelle qu’il a des obligations de son côté, qu’il doit répondre à l’intérêt général. “Il faut comprendre que plus de 80 % des Roburiens sont demandeurs en termes de réseaux et de connectivité et que, au cours de l’année que nous venons de traverser, nombreux sont ceux qui ont dû poursuivre leur activité professionnelle à domicile, en télétravail. Enfin, ce déploiement répond également à une obligation voulue et imposée par l’État”, explique l’élu. Celui-ci souligne aussi que tout a été fait dans les règles, : “La société Free a implanté son antenne sur les terres d’un particulier dans le strict respect des règles en vigueur et donc avec mon accord”.

Source : Le Journal de Saône-et-Loire

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Une marque fait son retour dans la boutique Free Mobile

Free Mobile accueille un nouveau smartphone 5G à petit prix dans sa boutique en ligne. Cette disponibilité sonne au passage le retour d’une marque.

Ce smartphone, c’est le Moto G50 5G de Motorola, un modèle de petit milieu de gamme officialisé fin mars. Proposé dans sa version grise avec 64 Go de stockage, il s’affiche à 249 euros à l’achat au comptant. Il est possible d’envisager un paiement en 4x sans frais (63 euros à la commande, puis trois fois 62 euros) ou 24 fois sans frais (57 euros à la commande, puis 24 fois 8 euros). Notez que des écouteurs sans-fil Motorola Verve Buds 100 d’une valeur de 39,99 euros sont offerts.

Pour résumer, le Moto G50 5G s’équipe d’un chipset Snapdragon 480, d’un écran IPS 6,5 pouces HD+ 90 Hz, d’un triple capteur photo 48 + 5 + 2 Mégapixels à l’arrière, d’un capteur photo 13 Mégapixels à l’avant et d’une batterie 5 000 mAh rechargeable en 15 Watts. Le mini-jack est de la partie et le lecteur d’empreintes installé au dos.

Ci-dessous, les caractéristiques complètes du Motorola Moto G50 5G :

>Réseaux et connectivité
Bluetooth Bluetooth 5.0
Catégorie LTE Catégorie 15
Bandes 4G FDD 1 – 2100 Mhz, 2 – 1900 Mhz, 3 – 1800 Mhz +, 4 – 1700 Mhz AWS, 5 – 850 Mhz, 7 – 2600 Mhz, 8 – 900 Mhz, 12 – 700 Mhz a, 13 – 700 Mhz c, 17 – 700 Mhz b, 18 – 800 Mhz lower, 19 – 800 Mhz upper, 20 – 800 Mhz, 26 – 850 Mhz +, 28 – 700 Mhz, 32 – 1500 Mhz supp DL
Bandes 4G TDD 38, 40, 42, 43, 66
Bandes 3G 5 – 850 Mhz, 8 – 900 Mhz, 4 – 1700 Mhz AWS, 2 – 1900 Mhz, 1 – 2100 Mhz
Bandes 2G 5 – 850 Mhz, 8 – 900 Mhz, 3 – 1800 Mhz, 2 – 1900 Mhz
Type de connecteur USB C
NFC Oui
Système de positionnement GPS, Glonass, Galileo
Wi-Fi 802.11 a, b, g, n, ac
QAM256 Oui
Mimo 4×4
WiFi direct Oui
Bandes 5G FDD NSA n1(2100 Mhz), n3(1800 Mhz), n5(850 Mhz), n7(2600 Mhz), n8(900 Mhz), n28(700 Mhz), n77(3700 Mhz), n78(3500 Mhz), n20(800 Mhz)
Bandes 5G TDD NSA n38(2600 Mhz), n40(2300 Mhz), n41(2500 Mhz)
>Général
Dimensions(1) 164,9 x 74,9 x 8,95 mm
Poids 191 g
Système d’exploitation Android 11
Processeur Snapdragon 480 Octa-core 2,0 GHz
Mémoire RAM 4 Go
Étanchéité eau & poussière IPX2
Port carte 1 Nano SIM
Port carte 2 Nano SIM, Micro SD
Processeur graphique Adreno 619
Indice de performance 2020(2) A
DAS Membres 3,18 W/Kg
DAS Tronc 1,49 W/Kg
DAS Tête(3) 0,99 W/Kg
Garantie commerciale(4) 24 mois
>Multimédia – Photo
Caméra principale 48 Mpx
Caméra frontale 13 Mpx
Fonctions caméra principale Panorama, Ralenti, Pro, Mode portrait, Mode de nuit ultra
Caméra principale 48 Mpx f1,79 + 5 Mpx f2,4 + 2 Mpx f2,4
Caméra frontale f2,2
>Écran
Type IPS
Taille 6,5”
Résolution 1600 x 720 pixels
Autres HD+, 269 ppi, 90Hz
>Mémoire
Espace de stockage(5) 64 Go
Espace de stockage après installation(6) 39,39 Go
>Capteurs
– Accéléromètre
– Capteur de luminosité
– Capteur de proximité
– Gyroscope
>Multimédia – Musique
Prise Jack 3.5mm Oui
>Batterie et autonomie
Capacité batterie 5000 mAh
>Livré avec
Objet inclu 1Objet inclu 2Objet inclu 3Objet inclu 4Objet inclu 5Objet inclu 6Objet inclu 7
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Free Mobile : un maire assure faire son maximum, mais rappelle avoir des obligations

Des riverains veulent plus de concertation. Le maire de la commune dit ne pas avoir que ça à faire, tout en rappelant les obligations de couverture et le coût des procédures judiciaires.

Malgré la tentative de quelques riverains de faire avorter le projet, un pylône de 32 mètres a été implanté le 30 avril dernier par Free près du bourg de Vauchrétien, sur la commune Brissac Loire Aubance, dans le département de Maine-et-Loire. L’équipement se trouve plus précisément sur un terrain privé, près de la D127.

“Au-delà du fait que l’antenne gâche le paysage et se trouve en zone classée agricole, la multiplication du nombre de mâts a un impact environnemental. Nous avons la 4G, bientôt la 5G, jusqu’où est-ce qu’on va aller ? Nous voulons bien être sacrifiés sur l’autel de l’intérêt général s’il le faut, mais nous voudrions avoir des réponses à nos questions”, plaident les opposants.

Ils s’interrogent par ailleurs sur les modalités d’installation sachant qu’une première déclaration préalable de travaux a été annulée en septembre 2020 lorsqu’ils se sont tournés vers la justice administrative et qu’une seconde a été déposée dans la foulée. Une deuxième requête ayant fait l’objet d’une nouvelle requête d’annulation en janvier 2021.

“L’idée n’est pas de faire la guerre aux antennes, mais l’arrêté pris par la mairie revêt certaines irrégularités”, explique Sandrine Taugourdeau, l’avocate sollicitée par un couple faisant partie des opposants. Et de préciser : “Normalement, il y a une concertation du public pour lui donner la possibilité de connaître les conséquences de l’implantation d’une telle antenne. 32 mètres, ce n’est pas rien.”

“Les riverains se demandent pourquoi le principe de mutualisation des antennes entre opérateurs n’a pas été appliqué, surtout qu’il y a quatre pylônes sur le territoire de Vauchrétien et la mutualisation est une obligation du Code des postes et des télécommunications électroniques. Pourquoi pas l’une ou l’autre ? Mais surtout, nous n’arrivons pas à savoir quelle est l’autorité compétente pour demander aux opérateurs une étude de mutualisation des antennes”, explique l’avocate.

La maire estime faire le nécessaire, mais il y a des limites

Au sujet de la nouvelle déclaration de travaux, Sylvie Sourisseau, maire de Brissac-Loire-Aubance, apporte des explications : “À ce moment-là, l’opérateur a annulé sa première demande de permis et en a refait une en déplaçant la position du mât de dix mètres. Sans doute pour des raisons techniques et pour l’éloigner encore plus des habitations”.

“Nous avons des obligations vis-à-vis de l’État pour la couverture du réseau mobile et la suppression des zones blanches. Il y va de l’intérêt général, ne serait-ce que pour porter secours”, rappelle l’élue qui souligne au passage que “ces procédures judiciaires ont un coût pour la commune”, que “c’est de l’argent qui ne va pas ailleurs”.

Sylvie Sourisseau revient également sur l’aspect mutualisation, assurant que la commune fait son possible depuis deux ans pour éviter la multiplication des équipements. “Si nous n’avions pas fait ce travail, nous aurions trois ou quatre antennes de plus à Brissac”. L’élue ajoute d’ailleurs que ce nouveau pylône doit justement être mutualisé. “Cette antenne va permettre d’enlever une antenne Orange et mutualiser celle-ci avec Free”, indique-t-elle.

Enfin, oui à la concertation, mais il y a des limites. “Si nous devions faire des concertations à chaque fois qu’un permis de construire est déposé, nous ne nous en sortirions pas”, rappelle le maire.

Source : Ouest France

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Forfaits mobiles : Sosh propose deux nouvelles séries limitées à moins de 15 euros

La marque low cost d’Orange vient de dévoiler deux forfaits mobiles sans engagement en séries limitées dont les prix ne changent pas après un an.

Jusqu’au 31 mai 2021, Sosh propose des forfaits mobiles 40 et 100 Go (débit réduit au-delà) à 11,99 et 14,99 euros par mois. La marque d’Orange précise “même après un an”, concernant les tarifs promotionnels.

Sans engagement, ces deux forfaits comprennent les appels, SMS et MMS illimités depuis la France et l’Europe. Le forfait 40 Go prévoit une enveloppe de 8 Go pour l’Internet mobile en roaming depuis le reste de l’Europe. Avec le forfait 100 Go, cette enveloppe depuis l’étranger passe à 10 Go. Pas de 5G pour eux, sachant que Sosh ne la propose pas encore dans ses offres.

Les deux forfaits fonctionnent avec une SIM classique ou l’eSIM et proposent la conservation du numéro dans le cadre de la portabilité. “Les séries Limitées Sosh ne sont pas valables pour les clients mobile Orange ou Sosh en changement d’offre”, est-il enfin précisé.

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Twitter : après la course aux likes, celle aux pourboires

Twitter teste actuellement une nouvelle fonction pour les créateurs de contenus sur sa plate-forme.

Après la course aux followers et aux likes, les créateurs de contenus sur Twitter vont pouvoir solliciter une nouvelle gratification de la part de leur communauté de fans. Le réseau social à l’oiseau bleu teste en effet depuis peu la possibilité de laisser un pourboire à ses comptes utilisateurs favoris. La possibilité devra avoir été activée depuis le profil. Via un bouton, il sera ainsi possible de payer via des services tels que Bandcamp, Cash App, Patreon, PayPal ou Venmo.

“Nous voulons que vous puissiez plus facilement vous soutenir les uns les autres au-delà des follows, retweets, et likes”, explique Twitter. “C’est la première étape de notre plan pour créer de nouvelles façons de donner et recevoir du soutien sur Twitter, avec de l’argent”, ajoute-t-il. Le service a fait savoir qu’il ne percevra pas de commission sur les pourboires.

Dans un autre registre, Twitter déploie depuis peu un système d’alerte pour inviter l’utilisateur à réfléchir avant de publier et ainsi limiter la proportion de contenus haineux sur sa plate-forme.

Source : France info

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Choc des smartphones 5G dans la boutique Free Mobile : Oppo A74 5G ou Xiaomi Mi 10T Lite ?

La boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones 5G à 299 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir selon vos attentes. Aujourd’hui, nous opposons les Oppo A74 5G et Xiaomi Mi 10T Lite, tous deux affichés à 299 euros grâce à une ristourne de 30 euros sur le second.

L’écran : ex æquo

Dans les deux cas, on a une dalle IPS avec la définition Full HD+, le taux de rafraichissement plus élevé que les 60 Hz standards pour plus de fluidité et le poinçon pour intégrer discrètement le capteur photo frontal. Les deux diagonales sont sensiblement équivalentes.

Notre classement :

  1. Xiaomi Mi 10T Lite (6,67 pouces, FHD+, IPS, 120 Hz et poinçon centré)
  2. Oppo A74 5G (6,5 pouces, FHD+, IPS, 90 Hz et poinçon excentré)

Performances : Xiaomi

L’Oppo A74 5G repose sur un chipset Snapdragon de la série 400, quand le Xiaomi profite d’une solution Snapdragon de la série 700, avec ainsi la promesse de performances plus élevées, notamment en multimédia. Dans les deux cas, la plate-forme assure la compatibilité réseau 5G.

Notre classement :

  1. Xiaomi Mi 10T Lite (processeur octa-core 2,2 GHz du chipset Snapdragon 750G avec 6 Go de RAM)
  2. Oppo A74 5G (processeur octa-core 2,0 GHz du Snapdragon 480 et mémoire vive 6 Go)

La photo : Xiaomi

Les configurations photo sont assez proches, à la seule différence du capteur photo principal. Oppo opte pour un capteur 48 Mégapixels et Xiaomi pour un modèle 64 Mégapixels. Les capteurs secondaires en 2 Mégapixels sont, comme souvent, essentiellement là pour gonfler la fiche technique.

Notre classement :

  1. Xiaomi Mi 10T Lite (64/8/2/2 Mégapixels au dos, 16 Mégapixels à l’avant)
  2. Oppo A74 5G (48/8/2/2 Mégapixels à l’arrière, 16 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : Xiaomi

Les deux smartphones profitent d’une grosse batterie avec une capacité aux alentours des 5 000 mAh. De quoi tenir la journée sans problème et envisager les deux jours dans le cas d’un usage pas trop intensif. Xiaomi va toutefois plus loin que son rival avec une charge filaire plus performante et la promesse de temps de charge plus courts.

Notre classement :

  1. Xiaomi Mi 10T Lite (batterie 4820 mAh et charge 33 Watts)
  2. Oppo A74 5G (batterie 5 000 mAh et charge 18 Watts)

Le choix d’Univers Freebox : le Xiaomi Mi 10T Lite

Les deux smartphones en proposent pas mal au regard des 299 euros demandés. Xiaomi va toutefois plus loin, que ce soit sur les parties performances, photo et charge. À cela s’ajoute le double haut-parleur stéréo bienvenu en multimédia que le rival n’a pas. L’Oppo pourra toutefois intéresser ceux privilégiant la prise en main, avec un poids de 190 grammes pour le A74 5G contre 214,5 grammes pour le Mi 10T Lite.

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Une société française a développé un robot pour protéger les data centers

L’incident sur le site strasbourgeois d’OVH a montré la marge de progression dans la protection des infrastructures sensibles que sont les data centers. Celle-ci pourrait d’ailleurs être assurée par des robots.

Il mesure 1,36 mètre de haut, accuse 70 kilos sur la balance et répond un nom de Captain DC. Proposé par Ubecome, ce robot dont les premiers exemplaires ont été produits dans le nord de la France et dont le prix oscille entre 40 et 75 000 euros selon les technologies à bord a été pensé pour la protection des centres de données ou des entrepôts.

Bardé de capteurs, il peut en effet effectuer des rondes de manière autonome pour détecter différents problèmes et donner l’alerte en temps réel. “Il est équipé du protocole SecureMobility combinant le LIDAR, les caméras volumétriques et les roues odométriques. Ses capteurs intégrés sont capables de détecter des anomalies et peuvent être adaptés en fonction des besoins du site. Il possède une caméra thermique et des sondes hygrométriques”, explique la société française.

“Il peut intervenir lors d’un défaut d’alimentation électrique, d’une erreur humaine, d’une fuite d’eau ou d’une température trop importante, d’une panne de générateur ou d’une panne de matériel”, explique la société française, selon laquelle “plus de 65% des incidents rencontrés peuvent être évités ou résolus” grâce à Captain DC.

Doté d’une autonomie de 8 heures, ce dernier retourne de lui-même vers sa borne de recharge pour faire le plein. Actuellement, la société travaille sur la reconnaissance faciale pour permettre au robot de surveiller les va-et-vient dans les datacenters.

Le robot qui valait 7 millions

“Ubecome est issu d’une activité de Parrot, revendue à Econocom en 2016 où je dirigeais l’activité robotique. On sentait qu’il y aurait une demande pour des robots de surveillance de datacenter”, explique Chockri Baaziz, fondateur de l’entreprise et ingénieur en robotique. Et de poursuivre : “On a alors développé un premier cahier des charges avec des acteurs de ce marché, ça nous a permis de connaître leurs demandes essentielles et un premier prototype a été développé avant qu’Econocom décide de se séparer de cette activité que j’ai reprise à titre personnel pour créer Ubecome en 2018”. Depuis les débuts, remontant donc à l’ère Parrot, ce sont ainsi près de 7 millions qui ont été injectés dans cette technologie.

Chez OVH, peut-être ?

En mars 2021, 3,6 millions de sites Web étaient rendus inaccessibles à la suite d’un incendie sur un site d’OVH. Le leader français de l’hébergement de données pourrait donc logiquement s’intéresser à ce type de technologies. “On a même contacté OVH, mais nous n’avons pas eu de retour”, note pourtant Chockri Baaziz.

“Oui, il y en a, mais pas en France, plutôt en Asie et en Grande-Bretagne”, explique-t-il concernant la demande pour le robot, notant ne pas avoir encore de client en France et que “les projets sont tous gelés pour cause de pandémie”. À ses yeux, la France est, “comme le cordonnier, mal chaussé”.

Source : BFMTV

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Entretien exclusif : la Médiatrice répond à Univers Freebox et vole aux secours des abonnés en plein litige avec leur opérateur

Alternative à une action judiciaire souvent longue et coûteuse, la Médiatrice des Communications Électroniques vise à résoudre à l’amiable un litige entre un consommateur et un professionnel. Occupant ce poste depuis mai 2019 et pour un mandat de 3 ans, Valérie Alvarez explique tout le processus, ses limites et ses perspectives d’évolution. Titulaire d’un 3eme cycle de droit de l’informatique, technologies nouvelles à Paris XI et diplômée de l’ESCP Europe, elle a exercé pendant plus de 20 ans des fonctions juridiques et règlementaires au sein d’opérateurs de communications électroniques. Valérie Alvarez occupe le poste de directrice juridique chez l’opérateur d’instractures Covage depuis 2010.

Univers Freebox : Quelles sont, dans les grandes lignes, les missions de la Médiatrice des communications électroniques ?

VA : Ma première mission est de rendre des propositions de solution pour éteindre un différend. Pour cela, je me suis engagée à être indépendante, neutre, et à les motiver en droit et/ou en équité. Je suis soumise à une obligation de confidentialité, ce qui permet aux parties de s’exprimer librement. En conséquence, mes propositions de solution sont confidentielles et ne peuvent être produites en justice, sauf accord exprès des deux parties. Je dois rendre mes propositions de solutions dans un délai de 90 jours maximum, mais je peux prolonger ce délai à tout moment en cas de litiges complexes. Je dois alors en informer les parties au litige (consommateur et professionnel). En 2020, j’ai rendu mes propositions de solutions en 61 Jours. Chaque partie dispose d’un mois pour accepter ou refuser l’avis du Médiateur.

Ma seconde mission est de faire un rapport d’activité annuel et des recommandations aux professionnels de façon à améliorer leurs pratiques. Chaque année, je publie un rapport d’activité où je dresse un bilan complet de mon action et fais part de mes recommandations pour résoudre les problématiques rencontrées le plus fréquemment pendant l’année ou pour anticiper des faits ou problématiques que les dossiers qui me sont remontés laissent entrevoir. Ce rapport est remis à la DGCCRF, à l’ARCEP et aux associations de consommateurs agréées. Il est également remis aux professionnels membres de l’Association de la Médiation des communications Électroniques, signataires de la charte qui les engage dans un objectif d’amélioration des pratiques du secteur.

Ma troisième mission est de rendre des propositions de solution qui soient claires, explicatives et compréhensibles dans ce secteur technique pour que les consommateurs et les professionnels suivent mes propositions. En effet, elles restent facultatives et chacune des parties au différend reste libre de ne pas suivre ma proposition de solution.

Ma quatrième mission est de faire des fiches pratiques permettant aux consommateurs de mieux appréhender le secteur des communications électroniques qui est un domaine très technique.

Univers Freebox: Comment-ont-elles évolué ces dernières années ?

VA : Mes deux premières missions sont très encadrées par la loi. Chaque nouveau Médiateur apporte à sa fonction une vision selon ses spécificités et sa personnalité. J’attache beaucoup d’importance à émettre des propositions de solution avec pragmatisme pour tenir compte des intérêts de chacune des parties.

Les grands principes suivants me guident dans toutes mes réflexions et propositions de solutions :

– Je cherche à comprendre le problème soumis, à l’analyser techniquement et juridiquement afin de proposer une solution respectant les intérêts de chaque partie de façon non discriminatoire et équitable.

– Les sujets de la médiation des Communications Électroniques sont complexes. Il existe des vides juridiques, différentes interprétations possibles, parfois l’absence de jurisprudence, une dimension personnelle des sujets (le casuel). L’exigence des consommateurs s’est accrue. Je veille donc à apporter des explications simples, compréhensibles et motivées tant auprès des consommateurs, bien souvent néophytes quant aux règles encadrant la Médiation de la consommation, qu’auprès des professionnels.

– J’applique le droit tout en faisant preuve d’équité dans les situations qui le nécessitent afin que la Médiation soit perçue par les deux parties comme une solution et non une décision.

– Je conduis une veille permanente sur les évolutions technologiques et le droit de la consommation afin de développer mes connaissances, tant techniques que juridiques, pour rendre les propositions de solutions les plus adaptées.

– Je suis très attentive au respect des délais de traitement des dossiers, tout en conservant le temps et la qualité nécessaires à l’analyse des litiges. Ce qui passe par les échanges tant avec les consommateurs qu’avec les professionnels.

– Enfin, je suis particulièrement vigilante à rendre le parcours du consommateur le plus aisé possible, à améliorer et simplifier en permanence les process de saisine tout en conservant l’essentiel qui est le respect des critères de saisine et des règles édictées par le code de la consommation et la CECMC. Concrètement, en 2021, le consommateur qui nous saisit déjà à 85% en ligne sera encore plus accompagné et guidé, tant dans son parcours de saisine de la Médiatrice, que dans son espace personnel où iI pourra suivre l’évolution de chaque étape du traitement de sa saisine, échanger avec les équipes de la Médiation, faire connaitre sa position sur la proposition de solution et même alerter la Médiatrice en cas de soucis de mise en œuvre par le professionnel.

Ces missions évoluent notamment en raison de la montée de l’exigence des consommateurs dans leurs demandes

Univers Freebox : Quelles sont les limites d’intervention de la Médiatrice ?

VA : Mes propositions de solution ne lient pas les parties. À tout moment, les parties peuvent se retirer du processus de médiation. Elles sont libres d’accepter ou de refuser sa proposition de solution. La participation à la médiation n’exclut pas la possibilité d’un recours devant une juridiction. La solution apportée peut être différente de la décision qui serait rendue par un juge.

Par ailleurs, je ne suis compétente que pour des différends entre un professionnel et un consommateur pour lequel il existe un lien contractuel. Par exemple, je ne peux pas rendre une proposition de solution pour un problème de blocage de mobile à la suite d’un vol si le mobile volé n’a pas été acheté auprès de l’opérateur chez qui le consommateur à un abonnement téléphonique et sur la base duquel ce consommateur me saisirait. Je ne peux pas être saisie d’une demande de réparation pour un dommage professionnel. Je ne peux pas rendre une proposition de solution qui obligerait un opérateur à fibrer une rue puisqu’il n’existe pas de contrat de fibre entre l’opérateur et le consommateur tant que la rue n’est pas fibrée.

Univers Freebox : Quelle est la marche à suivre pour un abonné en cas de problème avec son opérateur télécom ?

VA : Pour régler un litige rapidement et que le dossier soit déclaré recevable par la Médiatrice, le consommateur doit respecter des étapes et des délais.

Préalablement, il doit vérifier que son dossier peut faire l’objet d’une médiation :

– Il est un particulier, client d’un professionnel adhérent à la charte de médiation des communications électroniques.

– Il rencontre un différend (commercial, contractuel, technique, etc.), avec ce membre.

– Il agit auprès du Médiateur dans le délai maximum d’un an après avoir saisi par écrit le professionnel.

– Sa demande est fondée et non manifestement abusive.

– Il n’a pas eu recours à la justice ou à un autre Médiateur pour le litige concerné.
Les étapes sont les suivantes :

Étape 1 : En cas de litige, le consommateur doit contacter le service client par écrit ou par téléphone pour faire part de sa réclamation afin de trouver une solution. S’il ne reçoit aucune réponse dans un délai d’un mois ou si la solution proposée ne le satisfait pas, il doit contacter par courrier le service recours consommateurs.

Étape 2 : Si le consommateur ne reçoit aucune réponse du service recours consommateurs dans un délai d’un mois ou si la solution proposée ne le satisfait pas, il peut créer un dossier auprès de la médiation des communications électroniques.

Le consommateur peut également saisir la Médiatrice directement s’il ne reçoit pas de réponse du service client depuis plus de deux mois.

Étape 3 : Si la demande du consommateur est recevable, il en est informé par e-mail ou courrier dans un délai de 18 jours. La Médiatrice dispose d’un délai de 90 jours pour faire connaître son avis aux deux parties (consommateur et professionnel) qui disposent d’un mois pour accepter ou refuser la solution de la Médiatrice. Si la Médiatrice estime le litige particulièrement complexe et nécessitant une instruction plus longue, elle le notifie aux deux parties.

Si la réclamation est irrecevable, la Médiatrice précise la raison pour laquelle la demande est rejetée. Et, le cas échéant, des démarches que le consommateur peut entreprendre.

Le plus simple reste pour le consommateur de se laisser guider sur le site Internet de la Médiation pour vérifier si son dossier est éligible à la médiation via un quizz. Il peut saisir son dossier en ligne en y adjoignant les pièces justificatives nécessaires et suivre l’état d’avancement de son dossier. Je peux également être saisie par voie postale.

Univers Freebox : Combien cela coûte-t-il à l’abonné ?

VA : C’est un service gratuit.

Univers Freebox: Avec vous un exemple où la médiation était d’emblée vouée à l’échec ?

VA : Depuis la création de la médiation des Communications Électroniques, la Médiatrice a toujours pu rendre une proposition de solutions pour les litiges qui lui ont été soumis. À charge pour le consommateur comme pour le professionnel de l’accepter ou pas. Les seuls cas où je n’ai pu rendre un avis concernent des consommateurs qui ont déjà eu recours à la justice ou à un autre Médiateur pour le litige concerné ou bien dépassé le délai d’un an.

Univers Freebox : Avec le contexte de crise sanitaire s’accompagnant d’un confinement et d’une augmentation du télétravail, avez-vous constaté l’augmentation de certains litiges ?

VA : Les années 2020 et 2021 sont marquées par la pandémie mondiale de la Covid-19 qui nous a tous contraints à adapter nos modes de vie et de travail. Les communications électroniques ont été un des piliers pour pouvoir y faire face en nous permettant de continuer à travailler, communiquer, apprendre ou se divertir, assurant ainsi la continuité de la vie sociale et économique durant l’épidémie.

En raison du caractère indispensable, voire vital, des moyens de communications électroniques et de l’impatience des consommateurs à en disposer, l’année 2020 a marqué une inversion de la tendance baissière des saisines constatée ces dernières années avec un nombre de propositions de solution qui reste cependant stable. L’année 2021 nous dira si cette tendance à la hausse se confirme et notamment si le nombre de propositions de solution augmente.

Univers Freebox : Les abonnés de certains opérateurs voient leurs forfaits évoluer sans la possibilité de refuser. Dans quelle mesure cela se répercute-t-il dans les litiges constatés ?

VA : En 2020, il est constaté sur la partie mobile une augmentation des propositions de solutions. Cette augmentation s’explique en partie par les enrichissements d’offre.
L’essentiel des saisines porte sur la contestation par le consommateur de l’augmentation tarifaire de l’opérateur. Dès lors que le droit de la consommation donne la possibilité de modifier les caractéristiques de l’offre, l’essentiel de mon travail va être se s’assurer que les conditions fixées par l’article L224-33 du code de la consommation sont respectées.

Le constat est que le code de la consommation est suivi par les opérateurs. En revanche, ils devraient améliorer leur communication vis-à-vis des consommateurs qui, très souvent, ne se sont pas rendu compte qu’ils avaient été informés des évolutions et qu’ils pouvaient résilier. C’est pourquoi j’ai fait une recommandation sur l’emplacement de cette information dans leur communication écrite et sur la police de caractère utilisée quant à la communication des droits du consommateur en application de L224-33.

Univers Freebox : En nombre de litiges, avez-vous remarqué une différence entre les opérateurs ?

VA : En France, la médiation de la consommation donne une vision sectorielle globale. Nous donnons la précision par membre uniquement pour ce qui concerne le détail du taux d’acceptation des avis de la Médiatrice qui est globalement de 96 %.

Univers Freebox : Une différence entre les abonnements Internet et les forfaits mobiles ?

VA : La téléphonie mobile reste le principal objet des litiges (41 %) en lien avec une part de marché importante des abonnements sans engagement, mais poursuit sa baisse importante (- 5 en 2019 et – 6 en 2020). Pour la première année, la part des litiges ADSL (31 %) baisse (stable en 2019, – 4 en 2020). La part de la fibre poursuit pour la deuxième année son augmentation (+ 5 en 2019 et + 9 en 2020), représentant dorénavant un quart des saisines de la Médiatrice.

Univers Freebox : Quid des améliorations qui permettraient aux opérateurs de réduire grandement les litiges avec les abonnés ?

VA : Chaque année, j’émets dans mon rapport annuel une dizaine de recommandations aux professionnels pour améliorer les pratiques du secteur en lien avec un volume important de saisines ou de sujets récurrents d’une année sur l’autre.

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NRJ Mobile : deux forfaits 100 et 150 Go en séries limitées, le premier avec un iPhone 8 offert

Jusqu’au 20 mai 2021, NRJ Mobile propose deux forfaits mobiles 4G en séries limitées avec de grosses quantités de data. L’un d’eux inclut un smartphone offert.

Facturé 7,99 euros par mois, le premier comprend les appels, SMS et MMS en illimité, ainsi que 150 Go de data. Le tarif passe à 22,99 euros au-delà des 12 premiers mois d’abonnement. Il n’y a pas d’engagement de durée.

Affiché à 14,99 euros, le second propose les appels, SMS et MMS illimités, ainsi que 100 Go de data pour l’Internet Mobile. Il s’accompagne en outre d’un smartphone offert, un modèle iPhone 8 reconditionné indiqué en “excellent état”. L’engagement est cette fois-ci annoncé à 24 mois.

Comme Auchan Telecom et Cdiscount Mobile, la marque NRJ Mobile appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile en France avec 2 millions de clients, désormais filiale du groupe Bouygues Telecom. Suite à ce rachat, les abonnés des différentes marques de l’opérateur migrent progressivement pour utiliser exclusivement le réseau de Bouygues Telecom.

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