Auteur : dimitri

Projet Hexa-X : Nokia, Ericsson et Orange planchent déjà sur la 6G

La 5G n’est qu’une nouvelle étape. Les industriels planchent déjà sur sa remplaçante, y compris en Europe où Nokia porte un projet “Hexa-X”.

Si l’heure est à la 5G, notamment en France où elle fait ses débuts commerciaux depuis peu, la prochaine génération mijote déjà dans les esprits. La 6G fait en effet l’objet de débats et de travaux en Corée du Sud et aux États-Unis, mais également en Europe. 

Financé par l’Union européenne, un projet nommé “Hexa-X” et mené par l’équipementier Nokia doit ainsi démarrer le 1er janvier 2021 et durer 2 ans et demi. D’autres industriels font partie de l’aventure, parmi lesquels l’équipementier Ericsson et les opérateurs Orange et Telefonica. Sans oublier les groupes Atos, Intel et Siemens. Les universités d’Oulu, en Finlande, et de Pise, en Italie, ont aussi rejoint le projet. 

L’objectif est de préparer le terrain, avec comme objectif la commercialisation des premiers équipements 5G d’ici 2030. N’est-ce pas un peu tôt pour en parler finalement ? Non, rétorquent les industriels, rappelant qu’il se passe en général une dizaine d’années entre les premiers travaux et la concrétisation d’une nouvelle technologie de communication. D’ici là, il s’agira notamment de définir une vision précise autour de cette technologie, mais aussi d’établir une feuille de route et de faciliter les interactions avec les agences gouvernementales.

De la 6G pour quoi faire ?

Chez Nokia, on a déjà une idée des apports de la future 6G, tout en gardant à l’esprit la jeune 5G. “Même s’il y a encore beaucoup d’innovation en 5G avec le développement de nouvelles normes, nous explorons déjà la 6G dans notre laboratoire de recherche. À l’ère de la 6G, nous verrons des applications qui connecteront non seulement les humains aux machines, mais aussi au monde numérique”, indique en effet Peter Vetter, responsable chez Nokia Bell Labs. Et d’ajouter que de tels réseaux auront “un sixième sens comprenant intuitivement nos intentions, rendant nos interactions avec le monde physique plus efficaces et anticipant nos besoins, améliorant ainsi notre productivité”. Tout un programme.

Sources : Bloomberg et BFMTV

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Malfaçons dans la fibre optique : la filière lance un guide visant “à garantir une installation de qualité ” du premier coup chez les foyers français

La filière fibre optique a bien entendu l’appel du gouvernement et du régulateur. Elle présente une bible pour un réseau de qualité qui durera dans le temps.

Déployer et raccorder les abonnés à rythme soutenu pour faire de la France un pays connecté et un champion de la fibre optique, oui, mais la qualité doit aussi être au rendez-vous. L’Arcep, par la voix de son président Sébastien Soriano, et le gouvernement, par la voix du Secrétaire d’État au Numérique Cédric O, ont récemment tapé du poing sur la table. Pointant du doigt le travail réalisé par certains sous-traitants, le premier avait dénoncé un “travail de cochons” et le second un énorme gâchis au regard du travail accompli.

L’appel est visiblement arrivé jusqu’aux oreilles des industriels du secteur. Objectif Fibre, la plate-forme de travail visant à identifier et lever les freins opérationnels au déploiement massif de la fibre, au sein de laquelle on retrouve notamment la Fédération Française des Telecom ou Infranum, a annoncé le lancement d’un guide opérationnel s’adressant aux professionnels du secteur. Celui-ci sera disponible dans des versions papier et PDF, mais existera aussi dans une version numérique interactive attendue début 2021.

“Une installation de qualité et pérenne”

Présenté lors de l’événement annuel d’Objectif Fibre, organisé le 8 décembre en présence de près de 350 participants issus de la filière, du gendarme des télécoms et de l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires, ce guide préfacé par Sébastien Soriano “vise à garantir une installation de qualité et pérenne de la fibre optique chez les clients sur l’ensemble du territoire”.  

Cette sorte de bible du technicien fibre optique distille “de bonnes pratiques et des conseils pour une montée en compétence de la filière”. Prenant comme exemples “des solutions concrètes répondant aux divers cas de figure rencontrés sur le terrain par les techniciens et permettant d’éviter les complications et surcoûts qui peuvent impacter les relations entre les acteurs impliqués”, le document de 144 pages insiste sur la nécessité de “bien faire dès la première fois”. Le volet formation n’a pas été oublié, afin d’accompagner la montée en compétentes des techniciens.

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Orange rempile pour le Tour de France, l’édition 2021 se fera avec la 5G

Petit coup de pédale d’Orange pour passer à la vitesse supérieure lors de l’édition 2021 du Tour de France. La Grande Boucle va en effet profiter de la 5G pour rayonner à travers le monde.

Plus de 21 ans que ça dure, et c’est pas fini comme dirait un opérateur concurrent. Orange vient en effet de rempiler pour quatre ans avec ASO, l’organisateur du Tour de France, troisième compétition sportive la plus suivie au monde.

Chaque année, c’est l’occasion pour les deux partenaires de “concevoir et déployer des dispositifs technologiques de télécommunication innovants et responsables sur l’ensemble du tracé de la Grande Boucle”. L’édition 2021 du Tour de France sera ainsi l’occasion d’utiliser la 5G, nouvelle génération de téléphonie mobile pour laquelle l’opérateur historique a récemment ouvert les vannes. 2004 et 2012 avaient été respectivement marquées par l’arrivée de la 3G et de la 4G sur le tracé de la course.

Comme les précédents, le Tour de France 2021 offrira l’opportunité d’améliorer la couverture réseau (4G et 5G, mais aussi fibre optique) des villes et villages sur le tracé. En 2021, 9 régions et 38 départements seront d’ailleurs traversés. “Du Grand Départ breton, au Tourmalet, en passant par le Mont Ventoux, et la mythique arrivée sur les Champs-Élysées, cette 108e édition promet toujours autant de spectacle et d’émotions, garanties par un dispositif technologique proposé par Orange”, annonce l’opérateur. Et de présenter l’événement comme “la plus belle des vitrines pour notre patrimoine naturel et culturel, mais aussi pour notre savoir-faire technologique”.

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5G : Orange, Free, Bouygues et SFR opèrent des modifications sur des sites, l’ANFR fait le point

Les opérateurs ont fait des demandes pour des modifications au niveau de leurs sites d’antennes, avec en toile de fond le lancement de la téléphonie mobile de cinquième génération. L’ANFR apporte des éclairages autour de celles-ci.

Sur fond de conférence citoyenne pour la mise à jour d’une charte signée avec la ville depuis 2003, les opérateurs n’ont pas encore activé la 5G à Paris. Pourtant, ils sont prêts à appuyer sur le bouton, prêts à ouvrir les vannes. En attestent les demandes de modifications constatées par nos confrères du Parisien pour 883 des 1 965 sites d’antennes que compte la capitale. Mais de quelle nature sont lesdites modifications ? Interrogé par Univers Freebox, l’ANFR apporte quelques éclairages à ce sujet. “Cela dépend des bandes de fréquences“, indique tout d’abord le gendarme des ondes.

Le cas de la bande 3,5 GHz

Le premier cas concerne les sites exploitant la bande 3,5 GHz, pour laquelle les opérateurs ont récemment obtenu du spectre lors d’enchères. “Le changement est plus important, puisqu’il faut installer de nouvelles antennes sur les toits. Il faut toutefois noter que, pour tous les sites que nous avons déjà autorisés, ce sont des sites déjà existants qui sont ainsi dotés de nouvelles antennes”, indique l’ANFR. Le gendarme des ondes précise que la puissance maximale dans la bande 3,5 GHz est donnée au moment de la demande d’autorisation. “Il faut aussi, bien sûr, installer en sous-sol l’électronique pour pouvoir produire le signal 5G”, ajoute l’autorité administrative. Ces travaux plus importants et la nécessité d’attendre la fin des enchères de l’Arcep expliquent, selon l’ANFR, que “les autorisations en bande 3,5 GHz sont pour l’instant moins nombreuses que les autorisations dans les autres bandes de fréquences”.

Celui des bandes 700 et 2 100 MHz

Viennent ensuite les sites utilisant les bandes déjà affectées pour les précédentes générations de téléphonie mobile, à savoir la 700 et la 2 100 MHz. “Il n’y a en général pas de changement de matériel sur les toits (mêmes panneaux rayonnants) ni ajustement de la puissance d’émission”, explique l’ANFR. Selon l’autorité administrative, “il peut y avoir une mise à niveau dans les locaux techniques des sous-sols des immeubles : rajout de cartes électroniques, ajustement du débit du raccordement de l’antenne”.

L’ANFR souligne être “uniquement saisie de ce qui peut influer sur les caractéristiques radioélectriques de l’antenne au moment de la demande d’autorisation”. Et d’ajouter : “Nous sommes donc le plus souvent informés que ce site, qui existait déjà en 3G ou 4G, va, sur les mêmes bandes, moduler le signal selon le protocole 5G. Si la puissance d’émission change, nous en sommes bien sûr informés”.

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4G : la justice a tranché, Free Mobile pourra installer son antenne-relais sans attendre une charte

Une commune doit réétudier le dossier de Free pour l’implantation d’une antenne-relais. Son projet de charte n’a pas pesé lourd dans la balance.

Classique conflit autour d’une antenne-relais à L’Île-d’Olonne, en Vendée. Le 6 juillet 2020, la mairie a refusé l’implantation d’une antenne-relais de Free au lieu-dit Chétif Pré, aux motifs d’une très bonne couverture dans la zone et d’une atteinte à l’esthétique d’une zone naturelle. Elle comptait aussi proposer aux opérateurs une charte pour l’installation des antennes. L’affaire s’est poursuivie devant la justice administrative.

La commune renvoyée dans les cordes

Le tribunal administratif de Nantes a en effet sommé la commune de réexaminer le dossier de Free d’ici le 17 décembre 2020. La commune a aussi été condamnée à verser 1 000 euros à Free au titre de frais de justice. La juge a estimé que “les moyens invoqués par Free Mobile sont, en l’état de l’instruction, de nature à faire naître un doute sérieux quant à la légalité de l’arrêté attaqué”.

Pour sa défense, Free avait souligné que la partie de cette commune n’était “pas couverte par les réseaux de téléphonie mobile” et avait rappelé ses engagements en matière de couverture du territoire, tout en soulignant le choix d’un “pylône en treillis métallique” plutôt qu’un “pylône monotube” afin d’arriver d’arriver à “une transparence suffisante pour assurer son intégration”. L’opérateur a également pointé du doigt une charte “dépourvue de toute valeur réglementaire” et n’étant “pas de nature à faire perdre à cette demande de suspension son caractère urgent”.

“La couverture Free Mobile est très bonne sur cette partie du territoire”, défendait Me Geoffroy de Baynast, l’avocat de la commune. “La frange ouest et sud-ouest de la commune est entièrement couverte d’une zone naturelle de marais classée. Cette antenne de plus de 30 mètres de haut viendrait donc s’installer dans un environnement rural et bocager, préservé et vierge de toute autre construction. Elle sera visible sur plusieurs kilomètres alentour et en co-visibilité totale avec l’église Saint-Martin de Vertou”, avait-il également plaidé.

Source : Le Journal des Sables

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Freebox Pop et mini 4K : découvrez “I Am Old School”, la radio pour les fans de son Hip-hop et RnB

Amateurs de Hip-hop et R’nB, voici l’application I Am Old School disponible gratuitement sur les Freebox Pop et Freebox mini 4K. Elle diffuse 24 heures sur 24 et sans publicité.

I Am Old School est une station de radio diffusant 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 des sons Hip-hop et RnB, des sons parmi lesquels des titres de 2Pac, Brandy, Dr Dre, Jay-Z, Mary J Blige, Nas (que l’on connait notamment à travers son featuring avec NTM) ou encore Shaggy. La programmation inclut par ailleurs des chroniques sur l’histoire du Hip-hop, ainsi que du mix DJ en direct le week-end. 

Disponible depuis le navigateur Web sur ordinateur, I Am Old School l’est également au travers d’une application sur le Play Store de Google, se rendant ainsi accessible sur les players Freebox Pop et mini 4K. Petit tour (rapide, vous le verrez) du propriétaire.

Installer l’application

Il faut tout d’abord installer l’application “I Am Old School”, proposée gratuitement et pesant quelques mégaoctets. Une légèreté qu’il s’explique assez vite.

Une interface qui va droit au but

En effet, l’application va à l’essentiel : le son. Son interface se présente comme un gros lecteur audio avec le titre du morceau en cours de lecture et l’interprète au centre, le bouton de lecture/pause  dans la partie gauche et la pochette de la chanson de l’album ou du single dans la partie droite. En bas, on trouve un bandeau avec deux gros boutons pour basculer les deux canaux disponibles. Pas de paramètres où personnaliser son expérience ou perdre son temps (c’est selon). Le tout est pilotable avec la croix multidirectionnelle de la télécommande, en se baladant à l’aide des flèches et activant le peu de boutons à l’écran.

Le premier des deux gros boutons en bas donne ainsi accès à un flux “Old School Hip Hop”, avec la promesse d’un hip-hop strictement old school.

Le second permet de charger le flux “90”s R&B Classic” pour écouter des grands classiques du RnB des années 90.

Durant nos tests, pas de temps d’attente, que ce soit lors de la mise en lecture/pause du flux ou lors du basculement entre les deux canaux. Tout était parfaitement fluide, quasi instantané.


VERDICT

Application légère et gratuite, interface épurée qui va à l’essentiel, programmation variée et absence de publicité, voilà une application dont il serait assez dommage de vous priver si vous aimez le son Hip-hop et RnB.


 

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Abonnés fibre : la France fonce vers le titre de championne d’Europe

La filière du très haut débit en France cravache pour apporter la fibre optique sur l’ensemble du territoire. Un énorme chantier permettant à la France de donner l’exemple et de rayonner à l’échelle du continent.

Tout travail finit par porter ses fruits. Avec le Plan France Très Haut Débit adopté en 2013, la France s’est donné pour objectif de couvrir l’intégralité du territoire en très haut débit, dans un premier temps avec un mix technologique (80 % de fibre d’ici 2022) et dans un second temps avec la fibre optique (100 % de fibre optique à l’horizon 2025). Il s’agit d’en faire un service universel au même titre que l’eau ou l’électricité.

Selon les derniers chiffres de l’Arcep publiés la semaine dernière, le gendarme des télécoms en France, on dénombre 22,3 millions de prises raccordables, soit plus de 1,4 million de locaux supplémentaires en l’espace d’un trimestre et près de 3,9 millions de plus depuis le début de l’année. 18 millions de celles-ci sont d’ailleurs éligibles aux offres FTTH de Free, d’après la dernière carte d’éligibilité mise en ligne par l’opérateur de Xavier Niel.

Ajoutée au fait que la France fait partie des premiers pays à miser à fond sur la fibre optique, une telle vitesse de croisière en matière de déploiement permet à la France de se présenter comme l’une des championnes de la fibre optique. Selon une étude réalisée sur 39 pays par le Think Tank iDate, en 2026, elle pourrait revendiquer un taux de pénétration de la fibre de 92 % et ainsi prétendre à la première marche du podium européen. “Cette technologie représente désormais plus des deux tiers du nombre total d’accès à très haut débit”, révélait le dernier observatoire de l’Arcep.

Oui, mais…

Trois aspects toutefois à prendre en compte. Tout d’abord, l’installation des dernières prises s’annonce plus compliquée, car celles-ci se trouvent dans les zones moins denses et donc moins rentables pour les opérateurs. D’où les financements plus difficiles à mettre en place.

Ensuite, fibrer n’est pas tout. Il faut s’assurer que le travail soit bien fait, que le réseau soit de bonne qualité. Ce qui ne semble pas être toujours le cas, comme en attestent les récentes critiques de l’Arcep et du gouvernement autour du travail de certains sous-traitants. D’ailleurs, le gouvernement compte lancer prochainement un audit pour s’assurer de la qualité des réseaux déployés.

Enfin, il faudra que les utilisateurs l’adoptent. Fin septembre, ils étaient 9,2 millions à être raccordés en fibre optique, soit 945 000 de plus par rapport au second  trimestre 2020. Les opérateurs devront donc les inciter à migrer de l’ADSL vers la fibre optique, avec en filigrane l’extinction du réseau cuivre prévue d’ici 2030. Nul doute que la nécessité d’une bonne connexion à Internet, mise en exergue au cours des derniers mois par le confinement, se présente comme un bon argument.

Source : Les Echos

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Pas encore de 5G avec les iPhone 12 pour les abonnés Orange, Bouygues Telecom et SFR

Avoir un forfait 5G, se retrouver dans une zone couverte par son opérateur et disposer d’un smartphone compatible, c’est cocher pas mal de cases. Mais cela ne suffit pas. Certains abonnés Orange, Bouygues et SFR ont pu s’en apercevoir.

À l’heure des débuts de la 5G, les opérateurs ne manquent de le rappeler. Pour profiter du nouveau réseau mobile et de ses meilleurs débits, il faudra bien évidemment disposer d’un smartphone compatible. De quoi a priori être tranquille pour ceux ayant acquis l’un des derniers iPhone annoncés en cette fin d’année. Ou même l’un des derniers flagships de Samsung.

Sans oublier la mise à jour opérateur

Sauf que certains propriétaires d’iPhone 12 ont pu remarquer qu’ils ne captaient pas la fameuse 5G, malgré le forfait adéquat et la couverture disponible. Si les opérateurs ont été plutôt discrets à ce sujet, il faudra en effet patienter encore un peu avant de pouvoir se connecter en 5G avec les smartphones populaires de la firme à la pomme.

Mais pourquoi ? Comme d’autres constructeurs, dont Google avec ses Pixel 4a 5G et Pixel 5, Apple n’a pas encore diffusé la mise à jour opérateur permettant à ses iPhone 12 mini, 12, 12 Pro et 12 Pro Max de fonctionner en 5G sur les réseaux français. Le géant de Cupertino devrait le faire dans les prochains jours, d’après une information de 01net. “Elle devrait intervenir mi-décembre pour Apple et pour Google. Seul Google nous a bien confirmé cette échéance”, ont en en effet indiqué nos confrères. Une attente qui vaudrait aussi pour les propriétaires d’un smartphone OnePlus, à en croire le site iGen.

Sources : 01net et iGen

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Free Mobile annonce les débits max 5G pour les smartphones compatibles dans sa boutique en ligne

Free a mis à jour sa boutique en ligne. L’opérateur de Xavier Niel affiche désormais le débit 5G max à côté des smartphones compatibles 5G. On peut ainsi espérer jusqu’à 780 Mbit/s pour les plus gros modèles.

La 5G sera bientôt disponible chez Free et tous les abonnés ne seront pas logés à la même enseigne en termes de débit ? Cela dépendra en effet de la couverture réseau, mais aussi du smartphone possédé. Il est d’ailleurs possible d’avoir une idée, au moins pour les abonnés disposant de l’un des smartphones 5G vendus dans la boutique en ligne de l’opérateur.

Dans sa nouvelle version, celle-ci affiche depuis peu un filtre pour n’afficher que les smartphones 5G. Depuis ce week-end, est même affiché le débit 5G maximum envisageable avec les smartphones compatibles. Attention, l’information apparait seulement dans la fiche produit pour le moment, sans précision toutefois concernant la bande de fréquences utilisées, sachant que l’opérateur utilisera la bande 700 MHz et la bande 3,5 GHz.

Un débit max 5G compris entre 430 et 780 Mbit/s.

Le débit 5G max n’est pas le même pour tous les smartphones. Il oscille entre 430 Mbit/s pour les modèles 5G les plus abordables et 780 Mbit/s pour les derniers flagships compatibles avec la nouvelle technologie.

Modèle de smartphone  Débit 5G max théorique sur le réseau Free Mobile
iPhone 12 mini 780 Mbit/s
iPhone 12 780 Mbit/s
iPhone 12 Pro 780 Mbit/s
iPhone 12 Pro 780 Mbit/s
Samsung Galaxy Note20 Ultra 5G 780 Mbit/s
Samsung Galaxy Note20 5G 780 Mbit/s
Xiaomi Mi 10T 780 Mbit/s
Oppo Reno4 Pro 5G 780 Mbit/s
Oppo Reno4 Z 5G 780 Mbit/s
Samsung Galaxy S20 Ultra 5G 680 Mbit/s
Samsung Galaxy S20+ 5G 680 Mbit/s
Samsung Galaxy S20 5G 680 Mbit/s
Huawei P40 Pro 5G 680 Mbit/s
Xiaomi Mi 10 Lite 5G 680 Mbit/s
Oppo Find X2 Lite 680 Mbit/s
Samsung Galaxy A42 5G 630 Mbit/s
Xiaomi Mi 10T Lite 600 Mbit/s
Samsung Galaxy S20 FE 5G 530 Mbit/s
Huawei P40 Lite 5G 430 Mbit/s
Huawei P40 5G 430 Mbit/s
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YouTube : la plate-forme veut faire réfléchir les auteurs de commentaires virulents

YouTube veut moins de haine sur sa plate-forme et veut responsabiliser ses utilisateurs les plus virulents. Elle invite les auteurs de commentaires haineux à réfléchir avant de publier.

Dans les réseaux sociaux, il y a du bon et du moins bon. Du côté obscur, on retrouve notamment les commentaires haineux auxquels s’adonnent certains internautes se sentant à l’abri grâce à l’usage d’un pseudonyme et la barrière de l’écran. Dans cette lutte contre la haine en ligne, les géants du numérique tentent tour à tour, et à leur niveau, d’apporter leur pierre à l’édifice. Une charte a même été récemment signée, avec la prise d’engagements sur cet énorme et délicat chantier.

Dernier exemple en date : YouTube. La plate-forme vidéo de Google déploie en effet un système de fenêtre invitant l’utilisateur à revoir son commentaire, pour garantir des échanges respectueux. L’internaute peut décider de publier quand même, d’éditer son commentaire ou encore indiquer à YouTube un faux positif en matière de détection automatique de commentaire inapproprié. Cette nouvelle fonctionnalité n’enlève en rien la possibilité pour le propriétaire de la chaine ou pour YouTube de supprimer le commentaire publié et jugé inapproprié.

Source : Presse-Citron

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