Auteur : dimitri

Choc des smartphones à 329 euros chez Free Mobile : Mi 10T Lite, Find X2 Lite ou Galaxy A51 ?

La boutique Free Mobile propose actuellement trois smartphones à 329 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes. Aujourd’hui, nous opposons les Oppo Find X2 Lite, Xiaomi Mi 10T Lite et Samsung Galaxy A51, tous les trois proposés à 329 euros, grâce à des baisses de prix sur deux d’entre eux. Notez d’ailleurs qu’ils sont disponibles en plusieurs fois sans frais.

L’écran : Xiaomi

Plus grande diagonale, rafraîchissement 120 Hz et petit poinçon, le Xiaomi fait l’impasse sur l’AMOLED, mais propose quelque chose de plus intéressant en multimédia. L’Oppo dénote un peu avec l’encoche goutte d’eau, pas totalement rédhibitoire, mais moins dans l’air du temps. Tous proposent outre cela une définition Full HD+.

Notre classement :

  1. Xiaomi Mi 10T Lite (6,67 pouces, IPS, FHD+, 120 Hz et poinçon)
  2. Samsung Galaxy A51 (6,5 pouces, AMOLED, FHD+ et poinçon)
  3. Oppo Find X2 Lite (6,4 pouces, AMOLED, FHD+ et encoche)

Performances en multimédia : Oppo

Oppo remporte cette manche avec son processeur plus puissant et sa quantité de mémoire vive plus importante, promettant ainsi de meilleures performances en multimédia et une meilleure fluidité en multitâche. Samsung se retrouve dernier, non pas à cause de piètres performances, mais parce que sa plate-forme n’est pas synonyme de 5G.

Notre classement :

  1. Oppo Find X2 Lite (processeur octa-core 2,4 GHz du chipset Snapdragon 765G avec 8 Go de RAM)
  2. Xiaomi Mi 10T Lite (processeur octa-core 2,2 GHz du chipset Snapdragon 750G avec 6 Go de RAM)
  3. Samsung Galaxy A51 (processeur octa-core 2,3 GHz du chipset Exynos 9611 avec 4 Go de RAM )

La photo : Samsung

Samsung n’a pas la configuration photo 64 Mégapixels, mais évite les capteurs 2 Mégapixels servant juste à gonfler la fiche technique et n’oublie pas les amateurs de selfies en leur proposant un capteur 32 Mégapixels. Oppo succombe aux sirènes des capteurs 2 Mégapixels, mais sans oublier les amateurs de selfies. Xiaomi a voulu gonfler la partie photo arrière, quitte à mettre des capteurs 2 Mégapixels et en proposer moins pour les amateurs de selfies. 

Notre classement :

  1. Samsung Galaxy A51 (48/12/5/5 Mégapixels au dos, 32 Mégapixels à l’avant)
  2. Oppo Find X2 Lite (48/8/2/2 Mégapixels au dos, 32 Mégapixels à l’avant)
  3. Xiaomi Mi 10T Lite (64/8/2/2 Mégapixels au dos, 16 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : Xiaomi

Xiaomi se montre le plus intéressant, que ce soit au niveau de la batterie ou de la charge. Oppo propose une moins grosse batterie, mais avec une charge rapide lui aussi. Samsung dénote un peu avec sa charge en 15 Watts seulement.

Notre classement :

  1. Xiaomi Mi 10T Lite (batterie 4 820 mAh et charge 33 Watts)
  2. Oppo Find X2 Lite (batterie 4 025 mAh et charge 30 Watts)
  3. Samsung Galaxy A51 (batterie 4 000 mAh et charge 15 Watts)

Le choix d’Univers Freebox :

Xiaomi remporte deux manches sur quatre, celles de l’écran et de l’autonomie. Il n’embarque pas la meilleure plate-forme, mais une solution ayant le mérite d’être compatible 5G. Côté photo, il est le seul à proposer un capteur 64 Mégapixels, mais succombe aux modules 2 Mégapixels à l’utilité discutable et oublie un peu les amateurs de selfies par rapport à ses rivaux. Sans être le meilleur sur tous les points, il apparaît surtout comme le plus équilibré.

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Face aux nouvelles technologies, les Français oscillent entre intérêt et craintes

Ils les aiment pour leur côté pratique au quotidien, mais en ont aussi peur. Voilà le paradoxe révélé par une étude de l’Ifop à propos de la perception des Français face aux nouvelles technologies. La faute à un manque de bagage scientifique.

Le troisième baromètre annuel de l’Académie des Technologies, qui s’appuient sur les réponses de 1 018 personnes montre en effet que les Français auraient bien du mal à se passer de leurs gadgets high-tech, qu’il s’agisse du smartphone désormais présent dans la grande majorité des poches ou des enceintes intelligences trônant de plus en plus dans les salons. D’après les réponses, ils sont en effet 75 % à être attirés par les nouvelles technologies, 61 % à lier progrès technologique et progrès pour l’humanité, 59 % à penser qu’Internet améliore la qualité de vie et 55 % à manifester leur intérêt pour les produits synonymes d’innovations.

Mais il révèle aussi des inquiétudes concernant l’impact de ces nouvelles technologies sur leur vie. 56 % affichent des craintes, soit une progression de 15 points par rapport à l’ancien dernier. Celui-ci illustre des bienfaits du numérique moins évidents aux yeux des utilisateurs qu’il y a une dizaine d’années, que ce soit concernant la santé (45 %, contre 70 % auparavant) ou l’environnement (21 %, contre 49 %). 77 % aimeraient en être davantage dans les décisions prises autour de technologies controversées, 75 % jugent le gouvernement pas assez transparent sur les conséquences et 73 % comptent sur les scientifiques et journalistes spécialisés pour les éclairer.

Manque de bagage scientifique et polémique sur la place publique

Bruno Jarry, président honoraire de l’Académie des Technologies, explique la situation par un manque de bagage scientifique permettant de comprendre les technologies à l’oeuvre. Selon lui, “ils sont mal formés aux questions scientifiques, avec des bases non transmises dès l’école primaire, car les instituteurs et institutrices sont peu issus des filières scientifiques”. D’où le fait que “cela crée donc de l’angoisse”.

Les polémiques publiques ne feraient qu’en remettre une couche. “Les débats sur la place publique des experts avec des avis divergents alimentent des réflexes de peur”, estime en effet Marie Meynadier, docteure en physique et membre de l’Académie. D’après elle, “il y a de plus en plus de défiance vis-à-vis des autorités de la science et des technologies, car les citoyens les voient en ce moment en train de se bagarrer sous leurs yeux alors qu’ils ne les voient d’habitude qu’une fois des résultats obtenus, un médicament ou une nouvelle avancée technologique majeure”. Les discussions autour des risques sanitaires liés des ondes ont, par exemple, alimenté certains discours complotistes sur Internet comme le lien fait entre la 5G et l’épidémie de Covid-19.

Source : Le Parisien

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Free Mobile : quand le coup de sabot ne vient pas du poney, mais de la 5G

Alors qu’il va devoir cohabiter avec une antenne-relais Free Mobile émettant qui plus est en 5G, ce n’est pas celui en première ligne qui fait le plus de bruit. Il continue sa vie comme si de rien n’était.

Voyant un bail de Free arriver à expiration et devant s’occuper du dossier des zones blanches, la mairie de Frelinghien, commune du Nord, a discuté avec l’opérateur à propos de sa délocalisation et d’une nouvelle antenne-relais. Le telco était ainsi censé quitter la Rue du Pont, près de l’église, où il cohabite avec Orange, Bouygues et SFR depuis 2002. Il avait été envisagé de l’installer sur une nouvelle antenne-relais Rue d’Armentières, sur un terrain communal près d’un centre équestre, avec un loyer annuel de 6 000 euros à la clé.

Le poney a fait moins de vagues que la 5G

Aucune donnée n’avait fait tiquer lors de la découverte de l’information au mois de juin dernier, si ce n’est la présence d’un poney pâturant souvent à cet endroit. À propos de l’animal, la commune avait simplement indiqué qu’il “pourra y rester”.

Un long fleuve tranquille pour l’antenne-relais de Free, au moins jusqu’en novembre dernier. La découverte du dossier d’information, visible sur le site de la ville, a en effet fait tiquer. En plus de la 3G et la 4G de l’opérateur, le document mentionne clairement la 5G. “Dans le cadre du projet décrit dans ce dossier, Free Mobile projette l’installation d’une antenne-relais émettant sur les bandes de fréquences 700/900/1800/2100/2600/3500MHz pour réaliser la couverture de votre commune en 3G, 4G et 5G”, peut-on en effet y lire.

“C’est la seule chose qui a varié depuis les discussions initiales entre la ville et Free”, admet de son côté la maire Marie-Christine Fin. Se voulant rassurante concernant l’exposition aux ondes, elle indique : “Nous ferons mesurer les ondes électromagnétiques avant la mise en service de l’antenne et après”. L’élue précise que le pylône mesurera “20 à 30 mètres de haut” et annonce “une possible mise en service” au mois de mars 2021. “Le dossier faisant référence à la 5G a été transmis à la population afin justement que chacun puisse faire des observations”, indique enfin la mairie, sous-entendant que la voix de chacun sera écoutée.

Source : La Voix du Nord

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Tech chez Free : focus sur la technologie MIMO 4×4

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons MIMO 4×4.

Free a récemment activé une technologie MIMO 4×4 sur son réseau mobile 4G ? Mais qu’est-ce donc ?

Avec la technologie MIMO (Multiple Input Multiple Output), que l’on retrouve également dans le Wi-Fi des Freebox, il est possible d’utiliser plusieurs antennes côté émetteur et côté récepteur. À la clé : plusieurs flux de données simultanés et plus de débit disponible. Par analogie, c’est comme lors du passage d’une route nationale à une autoroute à plusieurs voies. Vous augmentez le volume de véhicules pouvant circuler et améliorez ainsi sensiblement la capacité de trafic.

Hausse de débit, amélioration de la couverture et meilleure qualité de réception

Dans le cas de Free Mobile, le nombre de flux de données en simultané peut désormais atteindre les 4. Le débit maximal théorique atteignable en liaison descendante (réception/téléchargement) sur son réseau 4G passe ainsi de 450 à 780 Mbit/s. Cela représente une amélioration de plus de 70 % du débit maximal théorique. C’est loin d’être négligeable, surtout dans une zone où le débit n’est pas énorme.

Au-delà de la hausse débit permise par la combinaison de différents signaux, la technologie peut également améliorer la couverture réseau et la qualité de réception lors de l’émission du même signal.

Des conditions

Maintenant, il y a des conditions. Cela nécessite en effet des équipements compatibles, aussi bien du côté émetteur que récepteur. Il faut ainsi que l’antenne-relais à laquelle on est connecté soit compatible. Chez Free Mobile, la technologie est disponible sur les bandes 1 800 MHz et 2 600 MHz.

Mais le smartphone doit aussi prendre en charge cette technologie. Free Mobile l’indique d’ailleurs dans les fiches techniques des smartphones vendus à travers sa boutique en ligne. Parmi eux, on retrouve les derniers flagships d’Apple et Samsung (Galaxy Note20, iPhone 12, etc.), mais aussi des modèles haut de gamme Xiaomi et Oppo (Oppo Reno4 5G et Xiaomi Mi 10T). Ce n’est en revanche pas le cas pour des modèles moins onéreux comme le Xiaomi Redmi Note 9, le Samsung Galaxy A41 ou l’Oppo A72.

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Free s’apprête à lancer son réseau 5G et réalise des tests ailleurs qu’à Paris

Dans les starting-blocks, Free effectue des tests de dernière minute sur son réseau 5G en région parisienne, mais aussi dans d’autres zones du territoire.

On sait Free Mobile prêt à ouvrir les vannes pour son réseau 5G, peu de temps après SFR, Bouygues Telecom et Orange. À en croire les dernières déclarations de l’opérateur de Xavier Niel, cela n’est qu’une question de jours ou de semaines. En attendant, le réseau 5G de Free continue de faire l’objet de tests.

Ces expérimentations ne se déroulent d’ailleurs pas seulement en région parisienne, comme on a déjà pu le voir précédemment. nPerf met en effet en lumière des tests réalisés sur d’autres du zones du territoire. En scrutant la cartographie de l’outil de speedtest, on note quelques traces violettes caractéristiques de tests en 5G réalisés bien loin de la capitale.

Parmi les zones où ont été identifiés les tests sur le nouveau réseau : La Bazoge (au nord du Mans), Saint-Dizier (dans le Grand Est), Torey (à côté du Creusot, en Saône-et-Loire ), Givors et Viennes (au Sud de Lyon) ou encore entre Mehun-sur-Yèvre et Saint-Douchard (au nord-ouest de Bourges). Ci-dessous, les tests à Saint-Dizier et près de Lyon :

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Sécurité des réseaux 5G : face aux inquiétudes exprimées, l’UE annonce un audit

De par les changements industriels et sociétaux qu’elle annonce, la 5G suscite des interrogations et inquiétudes, y compris en termes de sécurité. L’Union européenne s’empare du sujet, afin d’arriver à une approche commune. Un audit a été annoncé. Les conclusions arriveront dans un an.

La 5G est synonyme d’une hausse des débits comme l’a été la 4G avant elle, mais pas seulement. Elle promet en effet de pousser le développement d’usages comme la voiture autonome, la ville intelligente, la télémédecine ou encore l’industrie connectée, annonçant ainsi une véritable transformation de la société, amenée à être toujours plus connectée. Voilà pourquoi la sécurité de cette nouvelle technologie n’est pas prise à la légère. Cela a d’ailleurs valu quelques soucis à Huawei. Sur fond de suspicions de proximité avec le gouvernement chinois et de risques d’espionnage, le groupe de Shenzhen s’est retrouvé pointé du doigt par l’administration US, et plus ou moins écarté du déploiement des réseaux dans de nombreux pays. Certains l’ont purement banni, tandis que d’autres comme la France ont limité sa participation.

Un audit sur la sécurité des réseaux 5G, une approche concertée

Dans ce contexte, la Cour des comptes européenne a annoncé ce mardi le lancement d’un audit sur la sécurité des réseaux 5G. Celui-ci “fait suite au récent document d’analyse de la Cour sur la réponse de l’UE à la stratégie d’investissement étatique de la Chine, qui souligne que la sécurité des réseaux 5G est source d’inquiétude”, indique-t-elle.

Il s’agit ainsi de s’assurer que “l’UE et ses États membres mettent en place des réseaux 5G sûrs, en temps utile et de manière concertée”. Selon l’Union européenne “la 5G requiert une approche concertée”, car “son infrastructure et les menaces susceptibles de peser sur sa sécurité ont un caractère transfrontalier”. Et d’ajouter que “toute vulnérabilité importante ou tout incident de cybersécurité majeur concernant les réseaux dans un État membre auraient des répercussions sur l’Union dans son ensemble”. Au même titre qu’un retard de déploiement, des problèmes en matière de sécurité pourraient selon elle avoir “des répercussions considérables sur la compétitivité de l’UE et sur son indépendance stratégique”.

L’audit s’intéressera à plusieurs volets, dont la sécurité des équipements et la cybersécurité. “Les auditeurs se pencheront sur les actions entreprises depuis 2016 et examineront les données collectées dans un échantillon de quatre États membres (Allemagne, Espagne, Pologne et Finlande)“, indique le communiqué. La publication du rapport final interviendra dans un an. “Il ne traitera pas des effets potentiels de la 5G sur la santé humaine ou animale ou sur l’environnement”, est-il d’ailleurs précisé. À noter enfin qu’un webinaire sur le thème “Cap sur la 5G: sécuriser l’avenir numérique de l’Europe ?” est prévu le 7 janvier 2021.

L’action et la responsabilité reviennent aux autorités nationales et opérateurs nationaux

La Cour des comptes européenne rappelle toutefois qu’elle est là pour soutenir et coordonner les actions, mais qu’il incombe aux autorités nationales d’élaborer et de mettre en oeuvre les plans relatifs à la 5G et à la sécurité. Tout comme les opérateurs “sont responsables du déploiement de réseaux 5G sûrs faisant appel aux équipements mis sur le marché par les fabricants”.

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Free Mobile : les riverains ne veulent pas d’une “réplique de la Tour Eiffel” dans leur commune

“La Dame de Fer à Paris, mais pas sous ma fenêtre”, tel est le message de riverains ne s’opposant pas à l’implantation d’un pylône de téléphonie mobile, mais demandant sa délocalisation. Le maire veut tenter quelque chose pour calmer la grogne.

Mesurant 33 mètres de haut et servant à la 4G de Free Mobile, un pylône installé sur la zone artisanale Beauregard, à Vouillé, commune de la Vienne, ne fait visiblement pas l’unanimité. “Nouvelle attraction sur Vouillé, la réplique de la Tour Eiffel, top pour tirer le 14 juillet ! Que vois-je depuis 14h45 à travers ma fenêtre de cuisine ? Une belle antenne-relais Free, d’une majestueuse hauteur de 33,10 mètres. Tout ça à moins de 150 mètres de mon habitation, sans que je sois bien sûr au courant ! Merci la Mairie de Vouillé”, dénonce l’un des riverains. C’est donc l’aspect esthétique, la proximité avec les habitations et le manque d’informations qui mettent en colère une partie des habitants.

Mais ça n’est pas tout. Suite à une nouvelle estimation de son bien immobilier, l’habitante la plus proche du pylône, dont le jardin se trouve à moins de 60 mètres et la maison à moins de 150 mètres, dénonce une perte de 20 000 euros. “C’est une maison qu’on a construite nous-même. On y a mis tout notre cœur et tout notre argent. De voir qu’elle est dévaluée à cause d’une antenne mise sans concertation, je trouve ça moche”, déplore-t-elle. Une voisine estime quant à elle pas assez poussée l’étude des solutions en amont. “Dans d’autres communes, des antennes sont installées près de bois. Des solutions existent, elles n’ont pas été considérées”, plaide-t-elle.

Quant au propriétaire du terrain, il reconnait le caractère peu esthétique du pylône, mais préfère être pragmatique : “pour avoir du réseau téléphonique aujourd’hui, il faut aussi accepter la présence de ces antennes”.


L’antenne de la discorde (crédit photo Nicolas Dinet)

Le déplacement du pylône

De son côté, le maire Éric Martin estime avoir tout fait dans les règles. “L’antenne est sur un terrain privé et Free a rempli le dossier dans les règles de l’art”, explique-t-il. Répondant à “l’absence de panneau d’affichage sur le site” souligné côté riverains, l’élu rétorque que “la déclaration a été affichée au niveau de la mairie”. Le maire affiche néanmoins un regret, celui que Free n’ait pas pris l’initiative de prévenir les riverains, et souhaite ainsi répondre à la grogne en organisant une réunion avec l’opérateur “pour voir ce qu’il est possible de faire”. L’idéal, selon lui, serait un déplacement du pylône. “Si Free acceptait de changer de place ce pylône, ce serait bien pour tout le monde. Je veux absolument qu’une rencontre puisse se faire”, estime-t-il.

Source : France 3

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Le saviez-vous ? Free permet à ses abonnés de changer leur numéro de mobile en quelques clics

Vous ne le saviez peut-être pas, mais il est possible de changer rapidement et simplement son numéro Free Mobile.

Besoin de changer rapidement de numéro de mobile pour par exemple échapper à un(e) ex un peu trop insistant(e) ? Free facilite grandement la démarche. Rendez-vous dans l’espace abonné de l’opérateur. Quelques clics suffisent.

Après vous être connecté à l’espace abonné, il suffit de se rendre sur la ligne concernée. Deux gros boutons rouges apparaissent, un pour changer de forfait et un pour justement changer de numéro.

De là, vous pourrez choisir parmi dix numéros proposés dans une liste, puis cliquer sur “Valider mon choix et continuer”. Le basculement vers le nouveau numéro sera effectif après un paiement de 5 euros par carte bancaire. Aucun changement de carte SIM n’est nécessaire. Notez que vous ne pourrez pas changer à nouveau de numéro avant une période de 30 jours ni récupérer votre ancien numéro une fois le changement effectué.

Chose à savoir, enfin, le changement de numéro apparaît bel et bien dans la nouvelle version du site de Free Mobile, dans la section “Mon compte / Mon offre”. Mais l’option apparaît toutefois grisée. Un clic dessus indique d’ailleurs “Fonctionnalité en maintenance”.

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Xiaomi Mi 10T Pro : le smartphone haut de gamme avec capteur 108 Mégapixels testé par Univers Freebox

Après avoir testé le Xiaomi Mi 10T, Univers Freebox se penche sur la variante Pro de ce smartphone haut de gamme à prix cassé. Elle étoffe surtout la partie photo avec un capteur principal de 108 Mégapixels. Voici notre test après une dizaine de jours en sa compagnie.

Avant de passer au test, voici les caractéristiques du Xiaomi Mi 10T Pro, qui s’affiche à 569,90 euros dans sa configuration 8/128 Go et 599,90 euros dans sa configuration 8/256 Go :


Fiche technique du Xiaomi Mi 10T Pro : les caractéristiques


-   Processeur : octa-core jusqu’à 2,84 GHz (chipset Snapdragon 855)

-   Mémoire vive : 8 Go en LPDDR5


-   Écran : dalle IPS 6,67 pouces avec une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels)
 et un rafraîchissement en 144 Hz

-   Audio : son stéréo

-   Stockage : 128 ou 256 Go en UFS 3.1 non extensible par carte MicroSD


-   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche inférieure

-   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28/B32

-   Compatibilité 5G : oui


-   Trois capteurs photo au dos (dans un bloc rectangulaire) : 108 + 13 + 5 Mégapixels

-   Capteur photo à l’avant : 20 Mégapixels (dans un poinçon en haut à gauche)


-   Prise casque 3,5 millimètres : non

-   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)

-   Support Wi-Fi : 802.11a/b/g/n/ax

-   Connectivité Bluetooth : version 5.1

-   NFC : oui


-   Batterie : 5 000 mAh non amovible

-   Recharge filaire : support de la charge 33 Watts (bloc inclus dans la boîte)

-   Recharge sans-fil : non


-   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface MIUI 12


-   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale ou lecteur d’empreintes digitales sur la tranche droite

-   Patchs de sécurité installés durant notre test : septembre 2020


 

Un smartphone difficile à oublier

En effet, avec son écran 6,67 pouces et sa batterie 5 000 mAh, notre ami a bien du mal à se faire oublier, que ce soit dans la main ou dans la poche. La contrepartie d’un affichage XXL et d’une bonne autonomie, comme nous le verrons plus loin.

Même constat qu’avec la version standard, et bien d’autres smartphones, le bloc photo ne fait pas dans la discrétion et gâche un peu le design de l’ensemble. Il vient également se faufiler sous le doigt lors de la tenue en mode paysage pour le jeu, la vidéo ou le selfie et rendre le smartphone bancal sur la table. Une protubérance que vient fort heureusement atténuer la coque de protection fournie.

Écran 144 Hz et son stéréo : deux atouts pour le multimédia

Comme sur le modèle standard, on a un écran Full HD+ 144 Hz avec un poinçon assez discret, mais avec une dalle IPS. Le passage au modèle Pro ne sonne donc pas le passage à l’AMOLED avec ses couleurs plus vives et ses noirs plus profonds. Cela n’empêche pas à l’écran du Mi 10T Pro d’offrir une belle expérience au quotidien, en extérieur comme intérieur, quel que ce soit l’usage. On peut procéder à quelques ajustements depuis les paramètres.

Quelques rares smartphones mettent une petite claque en termes de son, à l’image de l’Asus ROG Phone 3 que nous avons récemment testé. Le Xiaomi Mi 10T Pro offrant simplement un son stéréo et propre, avec un petit début de basses ajoutant du relief.

Ne cherchez pas le mini-jack pour y brancher vos écouteurs filaires. La connectique ne fait tout simplement pas partie de l’équation. Le constructeur fournit cependant un convertisseur mini-jack vers USB-C.

Un capteur photo 108 Mégapixels

C’est l’argument principal du Xiaomi Mi 10T Pro par rapport au Xiaomi Mi 10T : un capteur 108 Mégapixels, quand le modèle standard se “limite” à un module 64 Mégapixels. On retrouve outre cela les capteurs secondaires 13 et 5 Mégapixels pour l’ultra grand-angle et la macrophotographie.

Les selfies se retrouvent une nouvelle fois confiés à un module 20 Mégapixels. Dans les faits, tous ces capteurs assurent une certaine polyvalence et permettent d’avoir des clichés exploitables dans la plupart des situations.

Ci-dessous, une photo de jour, puis ses versions ultra-grand et zoomée (x2) :

Deux photos avec du flou d’arrière-plan, en extérieur et en intérieur :

Une photo en mode macro (sur un mur avec de la mousse) :

Deux photos de nuit, puis leurs versions corrigées par le mode nuit :

Des selfies en intérieur et en extérieur :

Dual-SIM, 4G 700 MHz et 5G

Le Xiaomi Mi 10T Pro supporte la 4G 700 MHz chère aux abonnés Free Mobile, mais aussi la 5G qui fait ses débuts commerciaux en France. La gestion dual-SIM fait partie du programme avec deux logements Nano-SIM dans un tiroir de la tranche inférieure.

Ci-dessous, des débits obtenus en intérieur :

Puis en extérieur :

Le smartphone en a sous le capot

Comme le Mi 10T standard, le Mi 10T Pro offre une expérience fluide au quotidien et de bonnes performances en multimédia. Il embarque lui aussi un chipset Snapdragon 865, l’un des meilleurs du moment, de la mémoire LPDDR5 et un stockage UFS 3.1. Cette version Pro propose d’emblée 8 Go de mémoire vive (contre 6 ou 8 Go pour le modèle standard) et permet d’envisager 256 Go (contre seulement 128 Go).

Cette débauche de performances se ressent forcément dans les benchmarks. Disk Speed indique ainsi 575 Mo/s en écriture et 0,99 Go/s en lecture pour la mémoire interne. AnTuTu positionne le Mi 10T Pro en 10e position. Bref, il boxe parmi les meilleurs.

Une autonomie confortable et une charge rapide

L’autonomie variera évidemment en fonction des usages de chacun. Durant nos tests, nous avions sans forcer les deux jours d’autonomie, grâce à la batterie 5 000 mAh à bord.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : départ avec 100 % à 14h00 et arrivée le surlendemain à 25 % à 13h20 :

– 5 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 55 minutes de streaming audio avec le son du smartphone
– 5 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 30 minutes de jeu avec les écouteurs Bluetooth
– 20 minutes de YouTube avec les écouteurs Bluetooth
– 35 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– Consultations et alertes Gmail / Twitter
– Pas mal de surf sur Internet
– Un appel voix court
– SMS/MMS
– Fonctionnement continu de TousAntiCovid
– Photos
– Tests de débits
– Benchmarks
– 14 mises à jour d’applications
– 1 téléchargement d’application

Le chargeur 33 Watts fourni permet des charges express et aux charges complètes de ne pas s’éterniser. Pour une charge plus rapide sur le même segment tarifaire, il faudra regarder du côté d’Oppo et OnePlus 8T, dont les Reno4 5G et 8T à respectivement 549 et 599 euros proposent de la charge 65 Watts.

Ci-dessous, un suivi de charge :
– 21h15 : 20 %
– 21h20 : 28 %
– 21h25 : 38 %
– 21h30 : 48 %
– 21h35 : 58 %
– 21h40 : 68 %
– 21h45 : 77 %
– 21h50 : 86 %
– 21h55 : 93 %
– 22h00 : 98 %
– 22h05 : 99 %
– 22h07 : 100 %

Android 11 avec l’interface MIUI 12

Le Xiaomi Mi 10T Pro s’accompagne d’une interface MIUI 12 reposant sur Android 11, le dernier OS mobile de Google.

Elle propose quelques fonctions pratiques, dont :

– La possibilité d’avoir ou non un tiroir d’applications
–  Les fenêtres flottantes
–  La gestion avancée des gestes de navigation
–  Le mode lecture
–  Le mode nuit
–  L’assistant de jeu Game Turbo
–  Le second espace pour sécuriser vos données sensibles

Quelques applications sont préinstallées dans le cadre de partenariats commerciaux : eBay, Facebook, LinkedIn, Netflix et WPS Office. Tout ce petit monde peut être désinstallé très facilement. Il y a également le navigateur Web maison, en alternative à celui de Google.

Terminons sur le volet sécurité. Durant notre test, nous avions les patchs du mois de septembre 2020. Nous n’avions pas mieux lors de la rédaction de test.

Quant aux deux solutions de verrouillage proposées, à savoir le lecteur d’empreintes latéral ou la reconnaissance faciale, rien à signaler. C’est rapide et efficace. Pas un raté durant notre test.

 


VERDICT

Avec le Mi 10T Pro, Xiaomi propose un smartphone haut de gamme à prix cassé. Chipset Snapdragon 865 avec 8 Go de RAM, écran 144 Hz, son stéréo, 5G, 4G 700 MHz, photo 108 Mégapixels, batterie 5 000 mAh, charge 33 Watts et interface complète basée sur Android 11, ce smartphone coche un grand nombre de cases pour un smartphone compris entre 500 et 600 euros. Il fait en revanche l’impasse sur le recharge sans-fil, pratique, mais pas essentielle non plus. Oubliez également le mini-jack et le slot MicroSD, aux abonnés absents. La copie reste perfectible, mais la proposition néanmoins très intéressante au regard du prix.


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Antennes 5G près des aéroports : un ouf de soulagement pour Orange, Free, SFR et Bouygues

Sans doute un “ouf” du côté des opérateurs, en plein lancement commercial de la 5G. Leurs antennes peuvent commencer à s’installer près des aéroports. La vigilance reste toutefois d’actualité. Tout n’est pas réglé.

Orange, Free, Bouygues et SFR peuvent souffler un peu. Ils voient d’estomper un possible obstacle à l’heure du déploiement de la téléphonie mobile de cinquième génération. Après avoir mené les “analyses techniques complémentaires” demandées par la Direction générale de l’aviation civile à propos d’un “risque majeur” de brouillage, l’Agence nationale des fréquences vient de délivrer les premières autorisations d’antennes 5G près des aéroports.

Un dossier loin d’être bouclé

Les opérateurs restent toutefois vigilants avec une proportion d’antennes potentiellement à risque passée de 5 à 2 %. Un reliquat s’expliquant par un manque de données et dont la validation pourrait ainsi demander plusieurs semaines ou mois supplémentaires.

“L’objectif, désormais, c’est de mieux comprendre les altimètres qui n’ont pas suffisamment de protection par rapport aux bandes de fréquences”, explique Gilles Brégant, patron de l’ANFR. “N’oubliez pas qu’à tout moment nous pouvons suspendre une antenne. Par ailleurs, nous sommes plutôt confiants, car ce problème qui était abordé jusqu’à présent pays par pays est en train d’être abordé continent par continent”, ajoute-t-il.

Du côté des opérateurs, toute zone de contrainte ou d’exclusion, aussi minime soit-elle, a un coût financier. “Même si au final 1 % des antennes n’ont pas le feu vert de l’ANFR, ça représente quand même 30 millions d’euros. Cela ouvre la voie à du contentieux indemnitaire. Pour les opérateurs, ce dossier est loin d’être fini”, souligne un acteur du secteur des télécoms.

Les opérateurs craignaient un retard, mais pas l’ANFR

Les opérateurs avaient récemment affiché leurs craintes concernant un retard de déploiement de la 5G près des aéroports. En cause : des réserves émises par la Direction générale de l’aviation civile au motif de possibles interférences avec l’altimètre à bord des avions, l’appareil permettant de mesurer la distance entre l’avion et le sol ou les obstacles. Cet appareil utilise des bandes de fréquences proches de celles utilisées par la 5G. Sans compter une variété d’appareils, parfois anciens et ne réagissant pas la même manière en présence d’antennes 5G. Des craintes que les telcos jugeaient non fondées, mais surtout un véto arrivé tardivement.

Ne cachant pas son agacement, SFR avait écrit au gouvernement et menacé de ne pas verser les 118 millions d’euros dus à l’État (premier paiement pour les fréquences 3,5 GHz), tant que les réserves de la DGAC “n’auront pas été levées”. Bouygues Telecom demandait de son côté une indemnisation “à proportion de ces nouvelles contraintes”.

L’ANFR s’était voulue rassurante. Il n’y aurait qu“un retard de quelques semaines, voire de quelques mois, sur un nombre limité d’antennes à proximité des aéroports”, selon son directeur général. “Il n’y aura pas de zones d’exclusion durables. Les aéroports français ont la 2G, la 3G et la 4G. Ils auront aussi la 5G”, avait affirmé le gendarme des ondes.

Source : Les Echos

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