Auteur : dimitri

4G : Free remporte une bataille judiciaire et va pouvoir installer son antenne-relais

Une commune s’opposait à l’installation d’une antenne-relais de Free. La justice administrative a tranché en faveur de l’opérateur.

Free va pouvoir installer son antenne-relais à La Turballe dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Le tribunal administratif de Nantes a en effet invalidé l’arrêté de la commune empêchant l’opérateur de se lancer dans les travaux et demandé à celle-ci de se pencher à nouveau sur le dossier. La municipalité avait manifesté son refus au mois de juillet dernier. L’opérateur s’était alors tourné dans la foulée vers la justice.

“Dont acte”

De son côté, le maire Didier Cadro prend acte de la décision judiciaire, mais ne cache pas sa déception. “Je ne m’oppose pas au déploiement des réseaux mobiles sur les zones blanches de notre territoire. Mais je regrette que nos arguments, comme l’existence et la mutualisation d’un pylône proche de cette future implantation, mais pas du même opérateur, n’aient pu être retenus par le tribunal”, explique l’élu. Le futur pylône doit permettre à Free d’améliorer la couverture réseau de la zone en 4G, mais également en 3G.

Le telco n’en a toutefois pas fini avec les soucis dans la région. On se souvient en effet de certaines frictions autour de la 5G à Piriac-sur-Mer, à quelques kilomètres de La Turballe. Des riverains manifestent notamment leurs inquiétudes concernant les risques sanitaires liés à l’exposition aux ondes.

Source : Ouest France

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5G à prix cassé et bande 700 MHz : Xavier Niel explique la stratégie de 5G

Xavier Niel revient sur la stratégie de Free dans la 5G, expliquant la nécessité d’utiliser plusieurs bandes de fréquences et la hausse des prix des forfaits qui n’avait pas lieu d’être. Il balaie également avec humour le petit retard de lancement de l’opérateur par rapport à ses rivaux.

Ayant récemment acquis des blocs de fréquences sur la bande des 3,5 GHz afin de déployer leurs réseaux 5G, les quatre grands opérateurs réutilisent également des fréquences de la 4G. Au sein de son propre réseau, Free exploite ainsi les bandes de fréquences 700 MHz et 3,5 GHz, se retrouvant accusé de proposer de la fausse 5G dans les mots des concurrents ou dans les médias. Sur le plateau de C à Vous, Xavier Niel a expliqué cette stratégie.

Interrogé sur le débat vraie/fausse 5G, Xavier Niel est catégorique : “je ne sais pas ce que c’est que la 4G améliorée ou une sous-5G. Il y a une norme technologique qui s’appelle la 5G. Quand vous déployez un réseau, vous déployez de la 5G”. Quoi qu’il en soit, il y a un mieux côté performances : “Nous déployons une 5G aujourd’hui sur laquelle on va essayer de couvrir le territoire, qui nous apporte déjà un débit supplémentaire”.

Xavier Niel poursuit en rappelant qu’un réseau de télécommunications repose sur deux aspects : les débits et la portée. Le premier élément est surtout apporté par la bande 3,5 GHz. Assurant de couvrir un maximum de personnes, le deuxième élément a autant son importance, notamment dans les campagnes, et repose sur la bande 700 MHz.

“Dans Paris, si on a le droit d’ouvrir nos antennes, on a besoin de débit, quand vous êtes dans les campagnes, vous avez besoin de portée”, résume-t-il. Et d’expliquer : “quand vous couvrez ailleurs dans des zones peu denses, oui, vous avez moins de débit parce que vous utilisez des technologies 5G. qui vous amènent moins de débit, et quand vous êtes dans le coeur des villes, bah c’est pas celle-ci (NDRL : la 700 MHz) qui est intéressante. Vous allez être contents que ça marche dans votre cas, mais c’est pas la chose la plus importante. Vous allez chercher un débit extrêmement fort (NDRL : grâce à la 3,5 GHz). Donc on déploie les deux” .

La stratégie de l’opérateur porterait en tout cas ses fruits, selon l’homme d’affaires. “Sur les fréquences basses, celles qui couvrent, et qui couvrent les territoires, on est allés un petit peu plus vite que nos concurrents”, indique-t-il. “Sur les fréquences hautes, je crois qu’on est deuxième en nombre d’antennes aujourd’hui actives derrière un leader, et puis on a deux autres opérateurs derrière nous”, ajoute-t-il. Selon l’Arcep, sur la seule bande 3,5 GHz, Orange compte 475 sites activés, devant Free Mobile avec 221 sites en service. Derrière, suivent Bouygues Telecom (115) et SFR (97). 

Une hausse des prix qui n’a pas lieu d’être

Free propose sa 5G en l’intégrant sans surcoût dans ses forfaits. Le milliardaire évoque “une habitude dans certains pays, de certains opérateurs, d’augmenter leurs prix au moment d’un changement de technologie”. À ses yeux, elle “n’a pas de raison d’être”.

Nouvelle guerre des prix en perspective ? Xavier Niel rappelle que le marché français est extrêmement compétitif. “Donc, on a probablement les services de téléphonie les moins chers en Europe je suis sûr, peut-être pas au monde”, indique-t-il. Interrogé sur “une saine concurrence au profit du consommateur”, l’homme fort de Free nuance en soulignant que “la concurrence, elle est saine, quand les acteurs ne s’entendent pas”, en référence à une précédente entente pour laquelle les opérateurs français ont été condamnés.

Quid des capacités d’investissement pour les telcos et de la qualité du réseau à la clé pour les utilisateurs ? Xavier Niel répond avec l’humour qu’on lui connait : “je suis content qu’on arrive à vous faire pleurer nous, opérateurs. C’est assez rare. Je savais pas qu’on arrivait à faire pleurer les Français en général, et vous en particulier, en vous disant on a des sociétés extrêmement dans la difficulté”. Et d’affirmer : “tous les acteurs qui sont sur la place gagnent de l’argent”.

Une attente modérée

Le fondateur de l’opérateur répond par ailleurs au fait qu’il soit le dernier à avoir annoncé le lancement de son réseau 5G, après SFR, Bouygues Telecom et Orange. “Les autres ont lancé il y a un mois, et on a eu des fréquences il y a un mois et demi, ça reste très modéré comme attente”, nuance-t-il avec le sourire.

Source : France tv

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Concours : Univers Freebox vous fait gagner un smartphone très endurant

Univers Freebox organise un nouveau concours vous permettant de remporter un smartphone, un modèle de marque Realme cette fois-ci.

Encore un. Univers Freebox vous propose en effet de gagner un smartphone. Il s’agit du Realme 7i que nous avons testé et que la marque nous permet de faire gagner à nos fidèles lecteurs. Ce modèle d’entrée de gamme a comme argument une très bonne autonomie.

Bref, un smartphone quasi neuf qui n’attend qu’un nouveau propriétaire. Vous, peut-être ? Pour participer, c’est très simple. Il suffit de vous abonner à notre compte Twitter et de retweeter le tweet associé à cet article en y copiant le hashtag suivant : #AMoiLeRealme7iOffertParUniversFreebox. Le gagnant sera tiré au sort et annoncé lundi prochain.

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Test du Realme 7i par Univers Freebox : un smartphone marathonien

Après vous avoir proposé en août dernier le test du Realme 6i, voici celui-ci de son successeur le Realme 7i, un smartphone fraîchement annoncé et positionné sous la barre des 200 euros. Quelle expérience offre-t-il au quotidien ? Quels sont ses aouts ? Réponses après une semaine en sa compagnie.

Avant de passer au test, voici un rappel des principales caractéristiques de l’exemplaire qui nous a été fourni par Realme et qui s’affiche à 169 euros dans la boutique officielle de la marque :


Fiche technique du Realme 7i : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,0 GHz (chipset Helio G85)
–   Mémoire vive : 4 Go en LPDDR4x


–   Écran : dalle IPS 6,5 pouces avec une définition HD+ (1 600 x 720 pixels)
–   Audio : son sortant de la tranche inférieure
–   Stockage : 64 Go (extensible de 256 Go, grâce à un slot MicroSD dédié)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–   Compatibilité 5G : non


–   Triple capteur photo au dos (organisation dans un bloc carré) : 48 + 8 + 2 Mégapixels (principal + ultra grand-angle 119 degrés + macro 4 centimètres)
–   Capteur photo à l’avant : 8 Mégapixels dans une encoche goutte d’eau


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche inférieure)
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11 b/g/n/ac
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   NFC : non


–   Batterie : 6 000 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 18 Watts (bloc 9V/2A inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface Realme UI


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal ou lecteur d’empreintes digitales rond au dos
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : octobre 2020


Un design plutôt sympa, un smartphone qui pèse

Sous la barre des 200 euros, on n’attend pas des matériaux nobles ni de gros efforts en termes de design. On peut toutefois reconnaître au Realme 7i une bonne qualité d’assemblage et un aspect loin d’être vilain.

La préhension est globalement bonne avec une coque au toucher agréable (mais un peu glissante), des tranches anguleuses en leur centre assurant une bonne saisie et un bloc photo à trois capteurs bien intégré ne dépassant presque pas du dos. Il y a par contre ce poids assez perceptible, mais s’expliquant pas la très grosse batterie à bord (nous y reviendrons plus loin).

Un écran moyen, un son passable

Bonnes bordures, encoche goutte d’eau, définition HD+, taux de rafraîchissement standard 60 Hz, Realme n’a clairement pas misé sur l’écran avec ce smartphone. Celui-ci fait néanmoins le boulot, permettant un usage en extérieur comme un intérieur. Les paramètres permettent d’ailleurs d’ajuster le chaleur d’affichage.

Côté son, par contre, ça n’est pas du tout la joie. Aucun plaisir à l’écoute, en raison d’une surreprésentation des aigus qui a vite fait d’agresser les oreilles. On utilisera le haut-parleur du smartphone en dernier recours. Vraiment. Oui, “le haut-parleur”, car le rendu stéréo n’est pas de la partie. Toujours au chapitre audio, le mini-jack répond présent, au niveau de la tranche inférieure, à côté d’un port USB-C et du haut-parleur d’écoute. Une présence toujours bienvenue.

Pas d’étincelles en photo

Nous n’attendions pas spécialement le Realme 7i sur la photo, et cela s’est confirmé à l’usage, dès les premiers clichés. De quoi dépanner et prendre des photos moyennes lorsque les conditions de luminosité sont au rendez-vous, mais pas de quoi immortaliser un événement important.

Ci-dessous, deux photos en pleine journée puis leurs versions ultra grand-angle :

Une autre photo de jour avec ses versions ultra grand-angle, puis zoomées 2x et 5x (les deux dernières sont moches, on peut le dire) :

Deux photos avec le mode macro (rien de foufou) :

Une photo en intérieur, le soir :

Une photo en extérieur le soir, puis sa version corrigée (jaunie et enrichie à la bouillie de pixels, surtout) par le mode nuit :

Un selfie avec du flou d’arrière-plan :

Supports dual-SIM et B28, mais pas de 5G

Sans surprise, la 5G n’est pas au programme avec ce Realme 7i. Il faudra donc se contenter de la 4G, avec d’ailleurs un support de la B28 (4G 700 MHz) et une gestion dual-SIM (emplacements dédiés).

Ci-dessous, les débits en intérieur :

Et les débits obtenus en extérieur :

Nous ne sommes jamais montés très haut, même dans les zones biens couvertes où nos effectuons habituellement nos tests de débit. Pas un speedtest à 100 Mbit/s, malgré de nombreuses tentatives.

Un chipset gamer sur le papier, mais rien d’exceptionnel à l’usage

Un chipset Helio de la famille G, pour “Gamer”, sous le capot assure-t-il du jeu dans de bonnes conditions sur les petites configurations ? La combinaison d’un chipset Helio G85 et d’une mémoire vive 4G nous a effectivement permis de lancer nos classiques Asphalt 9 et Call of Duty Mobile, mais pas de les faire tourner de façon optimale. Le premier, notamment, manquait de fluidité. Nos quelques courses étaient par ailleurs ponctuées de saccades. Au moins, n’avons-nous jamais rencontré de grosse chauffe.

Côté benchmarks, rien de glorieux non plus, ce qui n’a rien d’étonnant au regard du segment tarifaire. AnTuTu nous à la 84e place, d’ailleurs sous le nom Narzo 20 utilisé en Inde pour ce même smartphone. Un renommage qui n’a rien de surprenant dans le secteur. De son côté, Disk Speed affichait 181 Mo/s en écriture et 240 Mo/s en lecture pour la mémoire interne.

L’autonomie est clairement son point fort et un sérieux argument

S’il y a un point sur lequel le Realme 7i se démarque, c’est l’autonomie. Sans nous priver, nous avions du mal à faire descendre le niveau de charge. Au bout de presque deux jours et demi, il nous restait 10 %. Mais il y a une nuance : on parle de 10 % sur une batterie 6 000 mAh. Tenir les trois jours apparaît ainsi largement envisageable dans le cadre d’un usage modéré.

Un exemple d’utilisation : départ à 12h32 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 18h39 avec 10 % :

– 1 heure et 25 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 1 heure et 5 minutes de YouTube avec l’enceinte Bluetooth
– 1 heure et 25 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 1 heure et 50 minutes de streaming audio avec les écouteurs filaires
– 2 heures et 20 minutes de streaming audio sur l’enceinte Bluetooth
– Consultation et alertes Gmail / Twitter
– Pas mal de surf
– Quelques SMS/MMS
– 11 téléchargements, dont 3 gros
– 5 mises à jour d’applications
– Fonctionnement continu de TousAntiCovid
– Photos
– Tests de débit
– Benchmarks

Pour faire le plein, Realme fournit un chargeur 18 Watts. Ça n’est pas l’idéal au regard de la taille de la batterie. Cela permet néanmoins de recharger sans y passer la nuit. On peut aussi se rappeler que certaines marques ne fournissent pas d’office le chargeur adéquat. Quand elles ne le retirent simplement pas…

Ci-dessous, un suivi de charge :

– 20h56 : 17 %
– 21h01 : 20 %
– 21h06 : 24 %
– 21h11 : 28 %
– 21h31 : 45 %
– 22h00 : 67 %
– 22h31 : 88 %
– 23h19 : 100 %

Android 10 en sortie de boîte

Realme fournit une interface Realme UI basée sur Android 10, soit l’avant-dernière version de l’OS de Google.

Notre modèle de test n’était pas spécialement blindé d’applications partenaires. Nous avions seulement WPS Office et Facebook, avec à chaque fois la possibilité de désinstaller.

L’interface propose quelques fonctions pratiques, dont :

– La possibilité d’avoir ou non le tiroir d’applications sur l’écran d’accueil
– L’affichage multi-fenêtres
– La gestion avancée de la gestuelle sur l’écran éteint (O pour l’appareil photo ou V pour la lampe-torche, par exemple)
– La barre latérale pour accéder rapidement aux outils ou applications favorites
– Le mode nuit
– L’espace de jeux pour gérer les performances, la luminosité et les notifications durant les sessions de jeu

Durant nos tests, nous avions les patchs du mois d’octobre 2020. Pas les derniers, mais pas les plus vieux non plus. Cela reste acceptable sur de l’entrée de gamme.

Toujours au volet sécurité, les deux solutions de déverrouillage proposées, le lecteur d’empreintes dorsal et la reconnaissance faciale, fonctionnaient parfaitement. La seconde apparait juste un peu plus lente d’une fraction de seconde. À peine le temps de voir l’écran de verrouillage.

 


VERDICT

Le Realme 7i brille par son autonomie, vraiment excellente et gage d’une tranquillité d’esprit. On peut partir un week-end sans la peur de se retrouver à court de batterie. La charge n’est pas trop lente, grâce à un chargeur 18 Watts fourni d’office. Autre bon point à souligner, l’emplacement 2 + 1 qui permet d’avoir le dual-SIM et l’extension mémoire, sans avoir à choisir à cause d’un emplacement hybride Nano-SIM / MicroSD. Sans oublier le mini-jack, dont la présence reste bienvenue. Pour le reste, on a ce qu’on paye, à savoir un écran moyen, des performances moyennes, des photos moyennes. La compatibilité 5G et la charge sans-fil ne sont pas au programme, mais ça n’a rien de surprenant sur le segment tarifaire du Realme 7i.


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Exposition aux ondes : l’ANFR publie ses premières mesures de DAS membre

L’ANFR a testé les DAS membre de 27 smartphones vendus en France. Tous se sont révélés en conformité, indique l’autorité administrative.

Dans le cadre de sa mission de contrôle de l’exposition du public aux ondes électromagnétiques et de surveillance du marché, l’ANFR prélève tout au long de l’année des smartphones dans les points de vente en France. Il s’agit de vérifier que les fabricants restent dans les clous en matière de DAS (Débit d’Absorption Spécifique). 

Le gendarme des ondes publie d’ailleurs ses premiers résultats de mesure concernant le DAS membre. “Jusqu’à présent, la réglementation permettait des contrôles sur les DAS localisés tête et tronc. À la suite de l’entrée en vigueur le 1er juillet 2020 de l’arrêté du 15 novembre 2019 relatif à l’affichage du débit d’absorption spécifique des équipements radioélectriques et à l’information des consommateurs, le DAS membres peut également être contrôlé”, explique l’autorité administrative. Et d’ajouter que celui-ci “correspond à l’usage du téléphone plaqué contre un membre, par exemple porté dans une poche de pantalon, dans un brassard ou tenu à la main. Il est donc mesuré au contact”

Ces premiers contrôles ont été réalisés auprès de 27 terminaux mobiles. Il ressort que toutes les unités respectaient la limite réglementaire du DAS membre, fixée à 4 W/kg. L’ANFR indique des résultats oscillant entre 1,04 à 3,84 W/kg. La moyenne mesurée s’établit à 2,29 W/kg, note l’agence administrative.

Davantage de contrôles

Pour rappel, le gouvernement a annoncé un renforcement des contrôles de DAS sur fond de lancement de la 5G. L’ANFR devra ainsi réaliser 140 contrôles en 2021, soit le double par rapport à 2019. De quoi tester, dès 2020, plus de 80% des modèles les plus vendus en France. Les contrôles cibleront d’ailleurs particulièrement les modèles 5G.

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L’Arcep formule 11 propositions impliquant les réseaux fixes et mobiles d’Orange, Free, Bouygues et SFR

L’Arcep fait 11 propositions pour un numérique plus soutenable. Le gouvernement, les opérateurs télécoms, les plates-formes de contenus, les éditeurs de logiciels, les centres de données et les utilisateurs, tout le monde doit y mettre du sien aux yeux du régulateur.

Le numérique, mais pas sans le curseur environnemental, tel était le message de l’Arcep au mois de juin dernier lorsqu’il a annoncé le lancement de sa plate-forme de travail “pour un numérique soutenable”. Ce mardi 15 décembre, le gendarme des télécoms a d’ailleurs publié 11 propositions issues de ce travail de réflexion auquel ont participé 127 personnes.

Les recommandations visent à conjuguer le développement du numérique et la réduction de son empreinte environnementale. Pas question de condamner ou restreindre le numérique. Mais pas question non plus de le dispenser des efforts communs pour préserver l’environnement. “C’est donc une voie du milieu entre les deux écueils du laisser-faire et de l’économie administrée qui est proposée”, indique ainsi l’autorité administrative.

Les pouvoirs publics ont leur rôle à jouer

L’Arcep commence par les pouvoirs publics. Le régulateur propose de “confier à une entité publique le pouvoir de collecter les informations utiles auprès de l’ensemble de l’écosystème numérique (fournisseurs de contenu et applications, éditeurs de systèmes d’exploitation, fabricants de terminaux et opérateurs de centres de données, au-delà des opérateurs de communications électroniques pour lesquels un tel dispositif existe déjà) afin de disposer de données granulaires et fiables essentielles à l’évaluation et au suivi de l’empreinte environnementale du secteur et des mesures mises en œuvre”.

Pour le gendarme des télécoms, il faut par ailleurs créer “un référentiel de mesure de référence”, afin notamment de mieux identifier les enjeux et mieux restituer l’information.

7 propositions concernant les opérateurs

Trois autres propositions concernent les réseaux fixes. Parmi elles : accompagner la transition du cuivre vers la fibre optique, soutenir les efforts de mutualisation des infrastructures et encourager les initiatives de mises en veille automatique des box (sur des plages définies ou en cas de non-utilisation prolongée). Quatre propositions ciblent de leur côté les réseaux mobiles. L’Arcep évoque l’évolution de l’indice de performances des réseaux en y intégrant le paramètre environnemental, l’étude des solutions permettant d’optimiser l’impact environnemental des réseaux (mutualisation, meilleur usage des fréquences) et le meilleur suivi des pratiques de subventionnement de terminaux. Il y a également l’analyse plus fine des impacts positifs et négatifs en vue d’une extinction des réseaux 2G et 3G.

Impliquer les autres acteurs et les utilisateurs

Les opérateurs auront leur part du travail, mais les autres acteurs du numérique devront aussi mettre la main à la pâte. L’Arcep recommande ainsi d’impliquer les fournisseurs d’applications et contenus (adaptation de la qualité de diffusion, limitation de la lecture automatique, etc.), les éditeurs des systèmes d’exploitation (maintien des anciennes versions, par exemple) et les opérateurs de centre de données (optimisation de l’architecture des data centers, optimisation du refroidissement, etc.). Sans oublier de mettre les utilisateurs dans la boucle. Le régulateur invite à les responsabiliser eux aussi par “une démarche de régulation par la donnée”. Cela sous-entend de favoriser “l’émergence d’outils d’aide à la décision du consommateur quant à ses choix et leur impact sur l’environnement”. Le régulateur formule ainsi l’idée d’un “baromètre environnemental” permettant de valoriser les meilleures pratiques de l’ensemble de l’écosystème numérique”.

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Freebox Pop et mini 4K : découvrez gratuitement Wakanim, un service de SVOD pour les fans d’animés japonais

Univers Freebox vous propose aujourd’hui de découvrir Wakanim, un service de SVOD pour les fans d’animés japonais disponible sur les Freebox Pop et mini 4K via une application téléchargeable sur le Play Store.

Comme Crunchyroll dont nous avons récemment proposé un test ou encore Anime Digital Network, Wakanim s’adresse aux amateurs de culture nippone.  Créée en 2009, cette plate-forme de vidéo à la demande par abonnement propose en effet de nombreux animes japonais. Le service est disponible sur le Play Store d’Android TV, se rendant ainsi accessible aux abonnés Freebox Pop et mini 4K.

Sans publicité, Wakanim propose notamment L’Attaque des Titans d’Hajime Isayama, dont il diffuse la dernière saison en exclusivité. Au menu aussi : Blue Exorcist de Kyoto Saga, Haikyû de Haruichi Furudate ou encore Fire Force d’Atsushi Ōkubo. Sans oublier la célèbre série Demon Slayer de Koyoharu Gotouge. Le service intègrera d’ailleurs le film dans la continuité de la saison 1.

S’inscrire au service : quelques clics

Il faut commencer par s’inscrire, en passant par le site Web de Wakanim.

Le service propose une période d’essai de 14 jours, après laquelle il vous en coûtera 5 euros par mois. Des abonnements trimestriel et annuel sont aussi possible pour 13,99 et 49,99 euros respectivement.

L’inscription se fait en quelques clics, après avoir renseigné ses identifiant, mot de passe, pays, département et données bancaires. Le paiement par PayPal ou PaysafeCard est envisageable, mais ne donne pas accès à l’essai gratuit.

Télécharger l’application sur le Play Store

Une fois l’inscription terminée, il faudra se rendre sur l’interface du player Freebox pour télécharger et installer l’application depuis le Play Store.

Une fois l’application chargée, entrez vos identifiant et mot de passe pour vous connecter au service. 

L’interface d’accueil : on ne change pas une formule gagnante

L’interface de Wakanim est on ne peut plus classique, avec une barre de navigation sur la gauche et une grille de contenus sur le reste de l’écran. Le service n’a pas réinventé la roue.

La barre de navigation donne accès à un moteur de recherche, utilisable avec le clavier virtuelle ou la voix.

Viennent ensuite, en dessous, des sections nommées “Catalogue”, “Collection”, “Genres”, “Ma WatchList” et “Paramètres”. 

“Catalogue” vous plonge dans les nombreuses recommandations de la plate-forme.

“Collection” donne accès aux contenus acquis (nous y reviendrons plus loin). 

“Genres” renvoie vers les différentes catégories de contenus (action, arts martiaux, aventure, demons, détective, créations originales, etc.). D’ailleurs, l’interface précise le nombre de séries disponibles par genre. Bien vu. Il y en a ainsi 107 dans la catégorie “Action”.

“Ma WatchList” donne accès à vos contenus épinglés en vue d’une lecture ultérieure (depuis la fiche du contenu). Seul hic : la fonction n’a jamais fonctionné durant nos tests. Notre liste était en effet désespérément vide malgré nos nombreuses tentatives de l’alimenter…

“Paramètres” permet de se déconnecter et d’afficher le “À propos”. On y retrouve par ailleurs l’activation du bouton permettant “Ignorer” l’introduction dans la sous-section “Lecteur”. Bref, une section bien vide.

Le lecteur : bien pensé

Le lecteur est plutôt bien fichu. Il propose une réglette pour naviguer dans le contenu à l’aide des flèches gauche/droite de la télécommande, ainsi que des boutons de mise en pause/lecture, de retour 30 secondes en arrière (pratique si vous avez loupé un dialogue ou un moment d’action) et un retour au début du contenu.

Une icône en format d’écran permet de définir la qualité de diffusion pour s’adapter au mieux aux performances de votre connexion Internet. Cela peut également économiser l’enveloppe data du forfait dans le cas d’un usage sur mobile. Bien vu.

Une collection à alimenter : pour ceux voulant posséder le contenu

Revenons enfin sur la section “Collections”. Elle s’adresse à ceux voulant posséder leurs contenus. Comprendre les télécharger au lieu de simplement les consulter en streaming. Il faudra toutefois alimenter au préalable un crédit depuis votre compte. Chaque épisode coûte 1 crédit et chaque crédit coûte 1 euro. En gros, 1 euro l’épisode. Pas cher au premier abord. Tout dépend ensuite du nombre d’épisodes de la série convoitée.


VERDICT

Simple à prendre en main, gâtée de bonnes idées et fluide, l’interface de Wakanim est un point de fort. Si on peut bien évidemment de côté le dysfonctionnement de la fonction Watch List observée durant notre test. La riche de contenus est également un bon point, tout comme la possibilité d’acquérir les épisodes de ses séries favorites.


 

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Free Mobile : quels sont les smartphones compatibles avec le réseau 5G de l’opérateur ?

Free Mobile dresse la liste des smartphones compatibles avec son réseau 5G et amenés à l’être prochainement grâce à une mise à jour. Certains modèles sont d’ailleurs proposés à travers sa boutique en ligne.

Les opérateurs l’ont rappelé à plusieurs reprises. Pour profiter de la 5G, il faudra bien évidemment se retrouver dans une zone couverte, mais aussi disposer d’un smartphone compatible. Sans oublier la mise à jour opérateur permettant le fonctionnement de l’appareil sur les réseaux 5G français.

L’assistance Free Mobile a d’ailleurs dressé la liste des smartphones réunissant les deux conditions côté appareil, à savoir la compatibilité 5G et la disponibilité de la mise à jour à opérateur. “Une recherche puis installation d’une mise à jour peut être nécessaire”, est-il souligné. Peuvent ainsi déjà fonctionner sur le réseau 5G de Free Mobile les smartphones suivants :

  • Apple iPhone 12 mini
  • Apple iPhone 12
  • Apple iPhone 12 Pro
  • Apple iPhone 12 Pro Max
  • Samsung Galaxy S20 Ultra
  • Samsung Galaxy Note20 Ultra
  • Samsung Galaxy Note20
  • Samsung Galaxy S20 5G
  • Samsung Galaxy S20+ 5G
  • Samsung Galaxy S20 FE 5G
  • Samsung Galaxy A42 5G
  • Huawei P40 5G
  • Huawei P40 Pro
  • Huawei P40 Lite 5G
  • Huawei Mate 40 Pro
  • Nokia 8.3
  • Oppo Find X2 Lite
  • Oppo Find X2 Neo
  • Oppo Find X2 Pro
  • Oppo Reno4 Z
  • Oppo Reno4
  • Oppo Reno4 Pro
  • Sony Xperia 1 II
  • Sony Xperia 5 II
  • TCL 10
  • Xiaomi Mi 10
  • Xiaomi Mi 10T
  • Xiaomi Mi 10T Pro
  • Xiaomi Mi 10T Lite

L’assistance liste en parallèle les smartphones compatibles attendant encore la mise à jour opérateur pour pouvoir opérer sur les réseaux 5G français. Sont aussi fournies les dates de déploiement pour chacun des modèles. 

  • OnePlus 8 (01/2021)
  • OnePlus 8 Pro (01/2021)
  • OnePlus Nord (01/2021)
  • OnePlus 8T (01/2021)
  • Google Pixel 4a 5G (03/2021)
  • Google Pixel 5 (03/2021)
  • Motorola Razr (03/2021)
  • Motorola Edge (03/2021)
  • Motorola G 5G (03/2021)
  • Motorola G 5G Plus (03/2021)

19 smartphones 5G dans la boutique Free Mobile, dont 6 à moins de 400 euros.

Dans sa boutique en ligne, Free Mobile propose 19 smartphones 5G à partir de 319 euros. Ceux-ci apparaissent en sélectionnant le filtre dédié (en haut à gauche).

Parmi ces modèles 5G, on retrouve donc les derniers modèles haut de gamme d’Apple, Samsung et Huawei, comme les iPhone 12, Galaxy Note20, Galaxy S20 et P40. Les challengers Oppo et Xiaomi sont aussi de la partie avec leurs Reno4 et Mi 10T. Ça, c’est pour les personnes ayant un budget de 499 euros et plus.

Sous la barre des 400 euros, on note tout de même 6 modèles dont les Samsung Galaxy A42 à 379 euros, Oppo Reno4 Z à 349 euros, Xiaomi Mi 10 Lite à 349 euros, Xiaomi Mi 10T Lite à 329 euros, Oppo Find X2 Lite à 329 euros et Huawei P40 Lite à 319 euros. Notez d’ailleurs que ces modèles plus abordables sont disponibles en 4x ou 24x frais. De quoi permettre aux budgets les plus serrés de s’équiper malgré tout.

Des smartphones testés par Univers Freebox

La rédaction a pu tester plusieurs smartphones 5G de la boutique Free Mobile :
Le test du Samsung Galaxy Note20
Le test du Xiaomi Mi 10T
Le test du Xiaomi Mi 10 Lite
Le test du Oppo Find X2 Lite

Nous vous avons également proposé les tests des modèles suivants :
Le test du OnePlus 8T
Le test du OnePlus Nord N10
Le test du OnePlus 8 Pro
Le test du OnePlus 8
Le test du Xiaomi Mi 10T Pro
Le test du Xiaomi Mi 10

D’autres arriveront prochainement.

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Free défend les performances énergétiques de son réseau 5G

En plein lancement de sa 5G en France, Free promet une hausse des débits, mais pas seulement. Selon l’opérateur, la nouvelle technologie représente la meilleure solution pour éviter l’explosion de la consommation énergétique des réseaux mobiles.

“Plus responsable”, indique Free. Comme ses rivaux, l’opérateur de Xavier Niel n’omet en effet pas de communiquer sur le volet environnemental de la 5G. Et pour cause : le sujet de l’écologie n’a cessé d’être mis sur la table et continue d’ailleurs de l’être. Les craintes portent sur une hausse de la consommation énergétique. Elles ressortent par exemple dans les récentes recommandations prodiguées lors de la conférence citoyenne organisée par la mairie de Paris.

Free indique que sa 5G “transporte jusqu’à 10 fois plus de données tout en consommant moins d’énergie”. Elle promet ainsi d’aider à absorber la forte croissance actuelle du trafic des données mobiles (+ 30 %) afin d’éviter la saturation des réseaux, mais sans pour autant faire exploser la consommation énergétique des réseaux qu’entraînerait une stratégie reposant uniquement sur la densification des réseaux 4G (comprendre la multiplication des sites mobiles). “Le déploiement de la 5G est ainsi plus économe d’un point de vue énergétique que la densification du réseau 4G”, affirme Free.

Mais comment ? “La  technologie  5G  est  en  effet la  1ère génération  d’équipements  mobiles  dits  éco-conçus ou green by design, c’est-à-dire qui intègrent dès leur conception la prise en compte des enjeux énergétiques”, explique Free. Cette amélioration découle de fonctions de mise en veille avancées reposant des logiciels. Dans les faits, “les antennes 5G n’émettent que lorsque cela est nécessaire, en fonction des besoins sur une zone donnée”, indique le telco.

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Red by SFR lance son forfait 5G pour rivaliser avec Free Mobile

L’un après l’autre, les opérateurs dévoilent des forfaits 5G à prix cassé. Au tour de Red by SFR, avec une formule à 25 euros par mois.

La 5G ne coûtera pas forcément un bras. Free Mobile vient en effet de l’ajouter sans surcoût dans son forfait à 19,99 euros, dont l’enveloppe data passe par la même occasion à 150 Go. Elle est également proposée en illimité à 15,99 euros pour les abonnés Freebox et même 9,99 euros pour les abonnés Freebox Pop. Bouygues Telecom a récemment dégainé une série spéciale à 24,99 euros avec 130 Go.

Reb by SFR entre dans la danse. Jusqu’au 21 décembre, la marque low cost de l’opérateur au carré rouge propose ainsi un forfait 5G 130 Go à 25 euros par mois au lieu de 30. “Sans engagement, sans prix qui double au bout d’un an”, est-il d’ailleurs précisé. Similaire à celle proposée chez Bouygues Telecom, la formule comprend par ailleurs les appels, SMS et MMS en illimité. Pour la partie roaming, 13 Go sont prévus depuis l’Europe et les DOM. Plus concrètement, Red by SFR offre l’option 5G normalement facturée 5 euros sur son plus gros forfait, celui de 130 Go. Au final, c’est le même prix pour la 4G ou la 5G. Reste maintenant à avoir le smartphone compatible pour en profiter.

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