Auteur : dimitri

Free Mobile : un maire aurait préféré la mutualisation à la multiplication des antennes mais…

Une commune rend finalement les armes face à Free, qui va pouvoir installer son antenne-relais 4G. Le maire prône la mutualisation des équipements plutôt que la multiplication des sources de rayonnement.

Face à la volonté de Free d’installer une antenne-relais, la commune de Mareil-Marly, dans le département des Yvelines, avait dit non. Elle avait d’ailleurs engagé une procédure judiciaire. “Nous avons décidé de ne pas aller plus loin sur le plan judiciaire”, a toutefois indiqué le maire, après que le juge des référés ait donné raison à l’opérateur et alors que la commune préparait sa défense. L’antenne Free Mobile, devant sera servir à améliorer la couverture 4G, sera donc bel et bien implantée le long de la départementale 98, au niveau du garage Ford.

Peu de chances de remporter la bataille

Le maire Dominique Lafon souligne les minces chances de gagner. “La possibilité de s’y opposer était très faible, voire nulle”. Et d’ajouter qu’il y a “une pression très forte des pouvoirs publics afin de développer les réseaux des opérateurs”. L’édile pointe également ce qui apparaît un paradoxe à ses yeux, à savoir le fait qu’“il existe des réglementations très strictes quand on veut faire des modifications dans sa maison ou son jardin, mais l’implantation d’une antenne ne peut être contestée par une mairie, ne serait-ce qu’au sujet de son implantation”

Il fait en outre remarquer le fait “qu’à Mareil on capte déjà très bien”. Et de s’interroger sur la nécessité de multiplier les antennes : “Est-on obligé de créer une antenne par opérateur”. Au nom du principe de précaution concernant l’exposition aux ondes, il estime qu’il n’y a pas d’“intérêt à multiplier les sources de rayonnements”. Voilà pourquoi il serait, à ses yeux, “logique de tout faire pour diminuer leur nombre en mutualisant par exemple les antennes et les réseaux”. Pour l’élu, il y a une question à se poser : “Ce foisonnement d’antennes est-il dû à des intérêts commerciaux ou à des impératifs d’ordre technologique ?”

Pas d’orientation vers la crèche et un effort pour camoufler l’antenne

Alors que les craintes tournaient autour de la proximité de la crèche, le maire se veut rassurant. “L’antenne ne sera pas orientée dans sa direction”, indique-t-il. L’élu apporte aussi quelques éléments de réponse concernant l’aspect esthétique de l’équipement. Une collaboration entre les services de la ville et l’opérateur est en effet prévue pour l’intégrer au mieux dans le paysage.

Source : Toutes les nouvelles (version papier)

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Free Mobile : un maire aurait préféré la mutualisation à la multiplication des antennes mais…

Une commune rend finalement les armes face à Free, qui va pouvoir installer son antenne-relais 4G. Le maire prône la mutualisation des équipements plutôt que la multiplication des sources de rayonnement.

Face à la volonté de Free d’installer une antenne-relais, la commune de Mareil-Marly, dans le département des Yvelines, avait dit non. Elle avait d’ailleurs engagé une procédure judiciaire. “Nous avons décidé de ne pas aller plus loin sur le plan judiciaire”, a toutefois indiqué le maire, après que le juge des référés ait donné raison à l’opérateur et alors que la commune préparait sa défense. L’antenne Free Mobile, devant sera servir à améliorer la couverture 4G, sera donc bel et bien implantée le long de la départementale 98, au niveau du garage Ford.

Peu de chances de remporter la bataille

Le maire Dominique Lafon souligne les minces chances de gagner. “La possibilité de s’y opposer était très faible, voire nulle”. Et d’ajouter qu’il y a “une pression très forte des pouvoirs publics afin de développer les réseaux des opérateurs”. L’édile pointe également ce qui apparaît un paradoxe à ses yeux, à savoir le fait qu’“il existe des réglementations très strictes quand on veut faire des modifications dans sa maison ou son jardin, mais l’implantation d’une antenne ne peut être contestée par une mairie, ne serait-ce qu’au sujet de son implantation”.  

Il fait en outre remarquer le fait “qu’à Mareil on capte déjà très bien”. Et de s’interroger sur la nécessité de multiplier les antennes : “Est-on obligé de créer une antenne par opérateur”. Au nom du principe de précaution concernant l’exposition aux ondes, il estime qu’il n’y a pas d’“intérêt à multiplier les sources de rayonnements”. Voilà pourquoi il serait, à ses yeux, “logique de tout faire pour diminuer leur nombre en mutualisant par exemple les antennes et les réseaux”. Pour l’élu, il y a une question à se poser : “Ce foisonnement d’antennes est-il dû à des intérêts commerciaux ou à des impératifs d’ordre technologique ?”

Pas d’orientation vers la crèche et un effort pour camoufler l’antenne

Alors que les craintes tournaient autour de la proximité de la crèche, le maire se veut rassurant. “L’antenne ne sera pas orientée dans sa direction”, indique-t-il. L’élu apporte aussi quelques éléments de réponse concernant l’aspect esthétique de l’équipement. Une collaboration entre les services de la ville et l’opérateur est en effet prévue pour l’intégrer au mieux dans le paysage.

Source : Toutes les nouvelles (version papier)

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4G : les tours de bureaux, dernières zones blanches pour Orange, Free, Bouygues et SFR ?

Lorsque l’on parle de mauvaise couverture réseau mobile, les regards se tournent vers les campagnes. Mais les tours de bureaux ne seraient pas mieux loties à en croire une étude selon laquelle trois quarts d’entre elles ne profiteraient pas d’une bonne couverture 4G.

Alors que Free, Orange, Bouygues et SFR continuent de charbonner dans le cadre du New Deal pour améliorer la couverture mobile, parvenant aujourd’hui à couvrir presque 100 % de la population (98 % de la population en 4G pour Free), c’est pour eux la perspective d’un nouveau chantier avec des tours de bureaux qui pourraient devenir “les dernières zones blanches” en France.

74 %, c’est en effet la proportion de tours de bureaux mal couvertes pour en 4G d’après une étude Hub One, la filiale télécoms du groupe Aéroports de Paris, reposant sur l’analyse de 61 tours de 100 mètres de haut et plus. Le chiffre grimperait même à 95 % dans le cas de bâtiments plus récents.

Obstacles, densité de population et meilleure isolation

Cela s’explique par la proximité d’autres tours qui viennent perturber la communication avec les antennes des opérateurs et la densité de population qui se traduit par la saturation du réseau aux heures de pointe. Le phénomène s’amplifie avec les matériaux plus isolants des constructions récentes dites à haute qualité environnementale (HQE) qui diviserait par 100, voire 1 000, la puissance du signal.

“La vraie différence, c’est HQE versus non-HQE. La rénovation d’un bâtiment en HQE fait régresser la couverture. Or, les attentes de connectivité sont constamment en hausse. Aujourd’hui, on veut surtout du débit, mais demain, on exigera de la latence très faible”, indique Guillaume de Lavallade, directeur général de Hub One.

“Les bâtiments écologiques sont des remparts aux ondes. Or, aujourd’hui, 85 % des bâtiments neufs ou en rénovation sont HQE”, souligne de son côté Frédéric Forestier, responsable du pôle couvertures indoor chez Bouygues Telecom.

Ce à quoi il faudra ajouter le paramètre 5G, dont les hautes fréquences offrent de meilleurs débits, mais également une moins bonne pénétration des bâtiments.

Des solutions, mais coûteuses et pas évidentes

Côté opérateurs, le sujet est pris au sérieux. “C’est un vrai sujet et le Wi-Fi n’offre pas une solution alternative satisfaisante, car il est déjà sursollicité. Ce sont donc les entreprises qui gèrent au cas par cas”, indique la Fédération française des télécoms.

Cela peut notamment passer par des réseaux d’antennes distribuées, autrement appelés DAS. “Avec le besoin de connectivité croissant, c’est un marché qui croît d’année en année”, note d’ailleurs Frédéric Forestier. Mais cela a un coût pour l’entreprise (400 000 euros pour un bâtiment de 50 000 m², d’après une estimation de la Banque des territoires en 2019), et il n’est pas toujours aisé d’obtenir un raccordement au réseau des opérateurs comme le déplorent les installateurs.

Source : Les Echos

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Orange annonce l’arrivée d’un nouveau câble sous-marin sur les côtes françaises

Début 2020, Orange a annoncé l’arrivée du câble sous-marin Dunan. Au tour à présent d’Amitie de débarquer sur les côtes françaises pour assurer la connexion de la France avec le reste du monde.

Ce lundi 8 février, Orange a annoncé l’arrivée d’un nouveau câble sous-marin sur les côtes françaises, en partenariat avec le géant américain des réseaux sociaux Facebook et l’opérateur britannique Vodafone. L’opérateur historique a d’ailleurs indiqué une arrivée effective prévue “dans les prochains jours”, en raison des mauvaises conditions météorologiques. Le telco sera propriétaire de la portion présente des eaux territoriales françaises.

Projet estimé à 250 millions d’euros et nommé “Amitie”, le câble sous-marin en question mesurera 6 800 kilomètres. Construit par Alcatel Submarine Networks (ASN), il reliera la commune du Porge (près de Bordeaux, en Gironde) et à l’État du Massachusetts (États-Unis), en passant par Bude (Angleterre). Sa mise en service est programmée pour début 2022.

“Dans le contexte de l’explosion du trafic international, de l’arrivée de ces nouvelles générations de câbles sous-marins plus efficaces, et compte tenu des enjeux stratégiques et de la souveraineté nationale liée aux câbles sous-marins, Orange doit continuer de développer ses infrastructures pour connecter la France à d’autres continents”, explique Jean-Luc Vuillemin, directeur des réseaux internationaux d’Orange.

Source : AFP

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Sosh propose trois forfaits mobiles en série limitée avec jusqu’à 100 Go de data

En pleine guerre autour de la data, la marque low-cost d’Orange propose trois forfaits mobiles avec de grosses enveloppes pour l’Internet mobile. Le tout à prix cassé.

Jusqu’au 1er mars 2021, Sosh commercialise trois forfaits mobiles en série limitée avec des enveloppes data comprises entre 40 et 100 Go et des prix oscillant entre 12,99 et 16,99 euros. Ils sont sans engagement.

Une première formule propose les appels, SMS et MMS en illimité, 40 Go de data en France métropolitaine et 8 Go depuis l’Europe pour 12,99 euros par mois. Une seconde formule permet de passer les volumes de data à 80 et 12 Go pour 15,99 euros, tandis qu’une troisième permet de passer à 100 et 15 Go pour 16,99 euros. Des tarifs promotionnels valables “même après un an”, indique Sosh.

Notez que l’on parle de forfaits 4G. En effet, pas de 5G au menu. La gamme low-cost d’Orange ne propose d’ailleurs pas encore de formule 5G, contrairement à celles de Bouygues Telecom et SFR. Le nouveau réseau reste pour l’instant réservé à ses forfaits classiques.                                                                                                 

 

 

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VLC : découvrez le lecteur multimédia disponible sur Freebox Pop et mini 4K

Lecteur multimédia et gratuit, VLC est disponible sur les players Freebox Pop et mini 4K. Nous vous proposons de découvrir son interface et ses fonctionnalités.

Créé au milieu des années 90, le lecteur multimédia VLC media player s’est rendu disponible sur de nombreuses plates-formes incluant Windows, macOS, Linux, iOS ou Android. Libre et gratuit, il fait notamment l’objet d’une préinstallation sur le player de la Freebox Pop tournant sous Android TV. Nous vous proposons aujourd’hui un petit tour du propriétaire de cette petite pépite made in France.

L’écran d’accueil et sa barre de navigation

VLC  ne réinvente pas l’eau chaude en ce qui concerne l’interface avec une barre de navigation à gauche et une zone de contenus.

La barre de navigation propose un moteur de recherche avec une requête saisie au clavier virtuel ou annoncée à la voix grâce au microphone de la télécommande. On y accède grâce à l’icône sous forme de loupe.

En dessous,  des raccourcis pour accéder aux fichiers vidéo et audio, aux listes de lecture, à l’historique de lecture et à la navigation dans les médias.

La section Autres permet d’accéder aux préférences de l’application et d’actualiser les contenus disponibles, mais également au À propos de l’application.

Les contenus : vidéos, musiques, listes de lecture

Les sections Vidéo et Audio permettent respectivement d’accéder aux vidéos et aux musiques, en se basant sur les contenus disponibles, que ce soit dans la mémoire interne ou dans le support de stockage amovible connecté au port USB du player. Les musiques s’accompagnent d’ailleurs de filtres par artistes, albums et genres.

La section Listes nous permettait d’ouvrir un fichier .XSPF donnant accès à une liste de stations de radio téléchargée et transférée sur notre clé USB.

L’historique

La section Historique permet d’avoir des raccourcis vers les contenus lus précédemment. Une gestion de cet historique est proposée depuis les préférences de l’application (nous y reviendrons plus loin).

La navigation dans les différents médias

La section Navigation permet de naviguer dans les différents médias, incluant la mémoire interne de l’appareil, le support de stockage amovible connecté au port USB du player ou un dispositif connecté au même réseau local.

On peut ainsi accéder aux captures d’écran réalisées sur le player Freebox, comme diffuser les photos et vidéos de famille stockées sur la clé USB ou un disque dur externe USB.

L’explorateur de fichiers permet de basculer entre des vues “Liste” ou “Grille”, mais également de trier par “Nom”.

Tout au bout des boutons de tri et de filtrage, un bouton permet d’accéder à une liste de lettres, celles utilisées par les noms des répertoires. De quoi offrir un accès plus rapide dans le cas d’un grand nombre de dossiers. Bien vu.

La fonction caster depuis le smartphone ou la tablette

En ayant l’application VLC installée sur un smartphone ou une tablette tactile, il est possible de caster une musique, une vidéo ou une image vers le player afin de l’afficher sur le téléviseur. Il suffit de cliquer sur l’icône prévue à cet effet.

Mais cela fonctionne également sur ordinateur. Il suffit de passer par le menu “Lecture/Rendu” et de sélectionner le player Freebox.

Quelques paramètres à retenir

Parmi les nombreux paramètres, et plus précisément ceux dans la sous-section Préférences, il y a la possibilité de relancer l’analyse des médias à chaque lancement de l’application, d’activer l’accélération matérielle pour améliorer les performances, de désactiver l’historique de lecture, de supprimer l’historique de lecture, de charger automatiquement les sous-titres ou encore de régler la langue de l’application. Le bouton Actualiser permet de relancer l’analyse des médias pour détecter les contenus disponibles.

 


VERDICT

VLC permet d’accéder à de nombreux contenus, ceux de la box comme ceux sur le smartphone, la tablette ou à la clé USB, au travers d’une interface simple, fluide et très complète. Ce lecteur multimédia est souvent cité comme référence, à raison. Autorisons-nous un petit cocorico, pour cette pépite française.

Chose à rappeler, pour les abonnés Freebox, ils peuvent accéder partiellement au bouquet Freebox TV depuis la version ordinateur.


 

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Choc des smartphones à 159 euros proposés par Free : Oppo A53 ou Huawei P40 Lite E ?

La boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones à 159 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes. Aujourd’hui, nous mettons face-à-face les Oppo A53 et Huawei P40 Lite E, tous les deux proposés à 159 euros grâce à des baisses de prix pour les deux.

L’écran : Oppo

Dalle IPS et définition HD+ avec une diagonale assez proche et un poinçon pour le capteur photo avant, l’écran du Oppo A53 se démarque toutefois sur un point intéressant. Il profite en effet du taux de rafraîchissement à 90 Hz permettant d’ajouter un peu de fluidité notamment dans la navigation et les jeux.

Notre classement :

  1. Oppo A53 (6,5 pouces, HD+, IPS, poinçon et 90 Hz)
  2. Huawei P40 Lite E (6,39 pouces, HD+, IPS et poinçon)

Performances en multimédia : Huawei

Les deux smartphones profitent de la même quantité de mémoire vive, mais le Huawei P40 Lite E embarque un processeur plus véloce que l’Oppo A53. Huawei remporte ainsi cette manche.

Notre classement :

  1. Huawei P40 Lite E (processeur octa-core 2,2 GHz du chipset Kirin 710F et mémoire vive 4 Go)
  2. Oppo A53 (processeur octa-core 1,8 GHz du chipset Snapdragon 460 et mémoire vive 4 Go)

La photo : Huawei

Huawei embarque est le seul des deux à profiter d’un capteur photo principal de 48 Mégapixels. Celui-ci propose également le mode ultra grand-angle toujours bienvenu, mais absent en face. Enfin, il n’abuse pas des capteurs 2 Mégapixels comme son rival. Oppo en promet toutefois un peu plus aux amateurs de selfies.

Notre classement :

  1. Huawei P40 Lite E (48/8/2 Mégapixels à l’arrière, 8 Mégapixels à l’avant)
  2. Oppo A53 (13/2/2 Mégapixels à l’arrière, 16 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : Oppo

L’Oppo A53 embarque une batterie de plus grosse capacité pour une meilleure autonomie et propose une charge plus puissante. Il remporte donc la manche.

Notre classement :

  1. Oppo A53 (batterie 5 000 mAh ; charge 18 Watts en USB-C) 
  2. Huawei P40 Lite E (batterie 4 000 mAh ; charge 10 Watts en USB-C)

Le choix d’Univers Freebox : Opp A53

Chaque smartphone remporte deux manches, mais le Huawei P40 Lite E est privé des services Google, y compris le Play Store avec sa foule d’applications. Cela est d’ailleurs clairement indiqué sur le site du constructeur lors d’une tentative d’achat. L’Oppo A53 apparaît donc comme un choix plus judicieux, avec des arguments à faire valoir comme l’écran 90 Hz, la batterie 5 000 mAh et la charge 18 Watts.

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Test du Xiaomi Redmi 9A, l’un des smartphones les moins chers de la boutique Free Mobile

Affiché à 119 euros, le Xiaomi Redmi 9A fait partie des trois smartphones les moins chers de la boutique Free Mobile. Quelle expérience offre-t-il au quotidien ? Nous l’avons testé pendant une semaine et voici nos impressions.

Avant de passer au test, voici un rappel des principales caractéristiques de l’exemplaire acquis par nos propres moyens et s’affichant à 119 euros dans la boutique Free Mobile :

 


Fiche technique du Xiaomi Redmi 9A  : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,0 GHz (chipset MediaTek Helio G25)
–   Mémoire vive : 2 Go en LPDDR4x


–   Écran : dalle IPS 6,53 pouces
avec une définition HD+ (1 600 x 720 pixels)
–   Audio : son sortant uniquement de la tranche inférieure
–   Stockage : 32 Go en eMMC 5.1 extensible par carte MicroSD (slot dédié)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes 1/2/3/4/5/7/8/20/28
–   Compatibilité 5G : non


–   Simple capteur photo au dos : 13 Mégapixels
–   Simple capteur photo à l’avant : 5 Mégapixels (dans une encoche goutte d’eau)


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche supérieure)
–   Connectique de charge : Micro-USB (tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : Wi-Fi 802.11n
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–    NFC : non


–   Batterie : 5 000 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 10 Watts (bloc 5V/2A inclus dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface MIUI 12


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : janvier 2021


 

Une bonne prise en main, une finition soignée

Avec son design plutôt fin, son poids raisonnable et sa coque légèrement texturée, le Xiaomi Redmi 9A offre une prise en main plutôt agréable. Dans le coloris bleu que nous avions pour le test, il passe difficilement inaperçu.

Le capteur photo dépasse un peu du dos, rendant un peu instable le smartphone posé sur la table, mais ne dérange pas trop en mode paysage pour la lecture vidéo ou le jeu.

Malgré le positionnement entrée de gamme, le Xiaomi Redmi 9A ne laisse en tout cas pas de mauvaise impression, offrant un assemblage d’assez bonne facture.

Pas de Full HD+, pas de stéréo

Côté écran et son, le Xiaomi Redmi 9A propose sans surprise le minimum syndical.

Le smartphone s’équipe en effet d’une dalle IPS, offre une définition HD+ et a recours à l’encoche goutte d’eau pour le capteur photo frontal. On a toutefois une luminosité correcte pour l’usage en extérieur.

Le smartphone propose un son puissant, mais sans basses et avec des aigus pas forcément agréables à plein volume. Quant au rendu stéréo, il ne fait pas partie de l’équation. Le son sort uniquement du haut-parleur de la tranche inférieure, non loin de la connectique Micro-USB (pas d’USB-C, du coup).

Toujours au chapitre audio, le mini-jack répond présent, au niveau de la tranche supérieure.

Le minimum syndical en photo

Malgré les apparences, le Xiaomi Redmi 9A ne propose qu’un seul et unique capteur photo dorsal, un module 13 Mégapixels offrant quelque chose de convenable, mais rien de foufou non plus. À l’avant, pour les selfies, c’est un modeste module 5 Mégapixels qui prend le relais. Pour résumer, nous étions plutôt agréablement surpris par les clichés, étant donné le segment tarifaire.

Ci-dessous, des photos de jour en extérieur, dont la première avec un sujet en mouvement :

Deux photos en intérieur :

Une photo de nuit plutôt correcte, malgré la désactivation du mode nuit :

Une photo en intérieur avec une lumière très tamisée (puis sa version très légèrement corrigée par le mode nuit) :

Des photos en fin de journée :

Des selfies en extérieur et en intérieur, avec du flou d’arrière-plan :

Gestion dual-SIM et 4G 700 MHz

Sans trop de surprise, pas de 5G pour le Xiaomi Redmi 9A. Il supporte la 4G, y compris sur la bande 700 MHz (la fameuse B28 chère aux abonnés Free Mobile). On a également une gestion dual-SIM, grâce à des emplacements dédiés accessibles dans un tiroir de la tranche gauche.

Ci-dessous, des débits obtenus en intérieur :

Puis des débits en extérieur :

Le multimédia, ça n’est pas son dada

Avec son chipset Helio G25 et sa mémoire vive 2 Go, le Xiaomi Redmi 9A n’est pas une bête de course. Le manque de réactivité se sent en jeu, évidemment, mais aussi au moment de tâches basiques comme prendre une photo ou ouvrir son flux Twitter, avec quelques secondes d’attente.

Pour revenir au jeu, durant nos premières parties de Call of Duty Mobile avec le Redmi 9A, notre manque de réactivité faisait de nous une plante verte ou de la chair à canon (c’est selon). La chauffe modeste, mais perceptible, nous rappelait l’essoufflement de notre smartphone. Vous l’aurez compris, un peu de jeu, mais pas trop.

Pour les amateurs de benchmarks, Disk Speed indiquait 77 Mo/s en écriture et 217 Mo/s en lecture pour la mémoire interne. AnTutu permettait de faire tourner le test, mais pas d’accéder au classement.

Une très bonne autonomie

Avec une configuration très modeste adossée à une grosse batterie, le Xiaomi Redmi 9A offre une autonomie vraiment confortable. Deux ou trois jours apparaissent largement envisageables, surtout si vous êtes peu gourmands.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : départ à 11h49 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 12h57 avec 22 % :

– 1 heure et 15 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 50 minutes de YouTube avec les écouteurs filaires
– 1 heure de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– Consultation et alertes Twitter/Gmail
– Surf sur Internet
– 3 téléchargements d’applications
– 16 mises à jour d’applications, dont 3 grosses
– 1 mise à jour système
– Photos
– Tests de débit
– Benchmark
– Fonctionnement continu de TousAntiCovid

Nous l’avons même laissé tourner une journée de plus pour voir, avec simplement les notifications et TousAntiCovid en fond. Il est arrivé le lendemain à 15h57 avec 15 % de batterie.

Avec une batterie 5 000 mAh, avoir une charge 10 Watts n’est pas l’idéal. Du coup, ça prend un peu de temps. On peut au moins se consoler d’avoir évité le chargeur 5 Watts que certaines marques continuent de fournir.

Ci-dessous, un suivi de charge :
– 9h22 : 21 %
– 9h33 : 28 %
– 9h48 : 38 %
– 10h30 : 66 %
– 11h22 : 95 %
– 11h33 : 98 %
– 11h49 : 100 %

L’interface MIUI 12

Le Xiaomi Redmi 9A s’accompagne du système Android 10 coiffé de l’interface MIUI 12.

Il propose quelques fonctions pratiques, dont :
– Le mode nuit programmable
– Le mode lecture, à savoir une teinte jaune pour soulager les yeux, là aussi programmable
– La possibilité d’avoir ou non un tiroir d’applications

On a surtout un paquet d’applications préinstallées dans le cadre de partenariats commerciaux, incluant Netflix, Opera, Amazon, Facebook, TikTok, WPS Office, eBay, LinkedIn, Agoda et AliExpress, ainsi qu’une petite flopée de jeux. Fort heureusement, tout ce petit monde est rangé dans des dossiers et désinstallable. Sans oublier la préinstallation du navigateur Web maison.

Durant notre test, une mise à jour système de 196 Mo nous a permis d’obtenir les patchs de sécurité du mois de janvier 2021. En parlant de sécurité, nous devions nous contenter d’une reconnaissance faciale efficace, mais manquant un peu d’instantanéité. Pas de lecteur d’empreintes digitales, par contre.


VERDICT

Avec le Redmi 9A, Xiaomi s’adresse aux petits budgets auxquels il ne propose pas le meilleur smartphone du moment, mais une bonne finition, une excellente autonomie, un support de la 4G 700 MHz et des photos correctes. Il nous épargne aussi le chargeur 5 Watts, mais pas la vieille connectique Micro-USB. Le multimédia sera envisageable, mais pas dans les meilleures conditions. L’écran et le son proposent sans surprise le minimum syndical.


 

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(Màj) SFR augmente automatiquement la facture de certains abonnés

Mise à jour : des lecteurs indiquent la possibilité d’annuler l’augmentation en passant par cette adresse.

 


Quelques dents risquent de grincer chez les abonnés SFR. L’opérateur au carré rouge fait en effet évoluer leur abonnement Internet et leur facture mensuelle.

Bien que légale, et même certains y trouvent finalement leur compte, la pratique a tendance à agacer du côté des abonnés concernés. Elle donne également de l’urticaire aux associations de consommateurs comme UFC-Que Choisir ou 60 millions de consommateurs.

Sous couvert d’enrichissement de la formule, les abonnés se voient proposer, voire imposer dans certains cas, une augmentation automatique de la facture mensuelle. C’est d’ailleurs le cas d’un abonné SFR ayant reçu un courrier l’informant de l’intégration des appels illimités depuis sa box vers les mobiles européens à son offre fixe. L’enrichissement ajoute 3 euros à la facture mensuelle et l’abonné indique ne pas avoir la possibilité de refuser.

Ce que dit le DGCCRF

Selon la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes, les opérateurs ont le droit d’augmenter le prix des forfaits en respectant deux conditions. La première : prévenir un mois avant par courrier ou courriel. La seconde : l’amélioration de l’abonnement doit concerner seulement des services ayant attrait aux télécoms comme les SMS illimités, plus de data ou un meilleur débit. En revanche, ils ne peuvent en aucun cas augmenter le prix du forfait pour une autre raison comme “une option musique, option télé, abonnement à un livre”. En cas d’augmentation pour un autre motif, l’abonné peut signaler cette hausse de forfait sur la plate-forme SignalConso mise en place par la Répression des fraudes. Sa situation sera alors examinée. Lors du lancement de la plate-forme, l’autorité a affirmé que les entreprises ayant reçu plusieurs signalements sans réagir seront dans leur viseur.

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Le saviez-vous ? Free permet aux abonnés Freebox de savoir qui utilise leur connexion Internet

Vous ne le saviez peut-être pas, mais les abonnés Freebox peuvent savoir exactement quels appareils sont connectés à leur réseau et donc qui utilisent leur connexion Internet.

Que ce soit pour repérer un adolescent censé dormir au lieu de surfer sur Internet ou un voisin récemment dépanné continuant finalement d’utiliser votre connexion à Internet, il peut être utile de garder un oeil aux appareils connectés à votre réseau.

Free permet justement de le faire au travers de l’interface de gestion Freebox OS, accessible depuis le navigateur Web à l’adresse http://mafreebox.freebox.fr/, mais aussi avec l’application Freebox Connect, disponible pour sur les smartphones Android et iOS.

La solution Freebox OS

Avec l’interface Freebox OS, il suffit, après s’être connecté, de cliquer sur l’icône “Périphériques réseau”.

La fenêtre ouverte liste alors les appareils connectés en ce moment, en donnant les noms et en précisant les types. Dans le cas présent, nous retrouvions ainsi les seuls appareils censés être connectés au réseau, à savoir les deux ordinateurs portables de la maison, l’iPhone 11 et le Galaxy Z Fold2 en cours de test.

Juste en dessous, se trouve la liste des appareils qui ont été connectés précédemment, parmi lesquels le Galaxy S9 fonctionnant en 4G au moment de la vérification, le player mini 4K débranché électriquement ou le Galaxy Z Flip précédemment testé et renvoyé à Samsung depuis. Étrange d’ailleurs de voir le Galaxy Z Flip illustré par un ordinateur de bureau.

La liste se met automatiquement à jour lors de la connexion d’un nouvel appareil. Le smartphone Xiaomi Redmi 9A en cours de test a ainsi été ajouté dans la foulée de l’activation de son Wi-Fi.

En double cliquant sur l’icône du Galaxy Z Flip, puis sur l’onglet “Connectivité”, on peut savoir à quand remonte la dernière connexion au réseau. Son test ayant été réalisé en juin 2020, il est logique d’avoir une inactivité remontant à cette période.

La solution Freebox Connect

Depuis l’application Freebox Connect, il suffit de cliquer sur l’icône “Appareils” en bas de l’écran entre “Accueil” et “Profils” pour avoir la liste des appareils connectés.

On a aussi des informations concernant la quantité de données transitant en temps réel, ce qui permet de savoir si l’appareil est actif. Ici, on voit très bien le téléchargement lancé sur le Galaxy Z Fold2.

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