Auteur : dimitri

Smartphones : Asus prépare l’artillerie lourde, Motorola dévoile deux modèles à petit prix

Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au programme : le modèle gamer que prépare Asus et les deux modèles à petit prix annoncés à travers la marque Motorola.

Asus donne ainsi rendez-vous le 10 mars prochain pour découvrir son nouveau smartphone taillé pour le mobile gaming. Pas de ROG Phone 4 comme on pouvait naturellement s’y attendre après un ROG Phone 3 (voir notre test), mais un ROG Phone 5.

Cette nouvelle itération est attendue avec un chipset Snapdragon 888, une mémoire vive de 8 ou 16 Go, un écran AMOLED 6,78 pouces, une batterie 6 000 mAh, une charge 65 Watts et un système d’exploitation Android 11.

De son côté, Motorola a dévoilé des smartphones Moto g10 et Moto g30 qui arriveront début mars sur le marché français avec des prix respectifs de 159 et 199 euros. Tous les deux s’accompagnent d’un système Android 11. Les plates-formes utilisées sont synonymes de smartphones 4G.

Le Moto g10 embarque pour sa part un chipset Snapdragon 460, un écran 6,5 pouces HD+, un capteur photo principal de 48 Mégapixels et une batterie 5 000 mAh rechargeable en 10 Watts.

Le Moto g30 permet de passer à un chipset Snapdragon 662, une dalle 90 Hz et un module photo 64 Mégapixels. La batterie 5 000 mAh supporte cette fois-ci la charge en 15 Watts (même si un chargeur 20 Watts est fourni).

Sans oublier d’évoquer le smartphone haut de gamme Xiaomi Mi 11 dont on connait à présent les prix français, à savoir 749 et 799 euros pour les configurations 8 + 128 Go et 8 + 256 Go. Le constructeur nous a d’ailleurs confirmé que seule la seconde serait disponible chez Free.

Classés sous les catégories : Non classé

Les data centers s’installent dans les fermes pour réduire leur empreinte environnementale

Pour réduire l’empreinte carbone des data centers, une startup propose une installation à la campagne, et plus précisément dans les fermes.

Les regards se tournent régulièrement vers les acteurs du numérique pour une réduction de l’empreinte environnementale, celle résultant notamment du fonctionnement des centres de données. 

Datafarm compte justement apporter sa pierre à l’édifice, avec une nouvelle solution pour le moins originale. La startup propose en effet une implantation des data centers dans les fermes. Dix premières installations en France ont été annoncées pour début 2021, dont une au sein d’une ferme de 200 bovins dans le Pas-de-Calais et une autre du Morbihan.

Pour l’exploitation agricole, c’est une source de chaleur permettant de chauffer les serres ou encore aide au séchage du foin, explique Stéphane Petibon, président de Datafarm. Pour le centre de données, c’est la possibilité d’obtenir une source d’énergie grâce à la méthanisation. Le biogaz produit à partir des déchets organiques, dont les déjections animales, peut être transformé en électricité.

Pour qu’un tel projet soit envisageable, il y a donc la condition que la ferme pratique la méthanisation. Mais il faut également qu’elle soit dans une zone couverte par la fibre optique. “En implantant leurs serveurs dans des fermes pratiquant la méthanisation, ils disposeront d’ailleurs de crédits carbone”, indique Datafarm, en parlant des professionnels du cloud. Une bonne raison à ses yeux pour les inciter à relocaliser la gestion de la data, laquelle participe à la souveraineté numérique.

Source : Le Parisien

Classés sous les catégories : Non classé

Pas plus d’internautes en 2020, mais le temps passé sur Internet a augmenté

Selon Médiamétrie, le nombre d’internautes est resté stable en 2020 à 53 millions, mais le temps passé quotidiennement sur Internet a augmenté pour approcher les 2 heures et demie en moyenne.

Un peu plus de temps passé sur Internet. Voici ce que confirme la dernière étude de Médiamétrie, réalisée avec le concours de 25 000 internautes et présentée ce mercredi.

Sur fond de crise sanitaire, avec des mesures de confinement et de restriction des déplacements poussant à davantage de numérique, les Français ont sans surprise passé davantage de temps sur Internet en 2020 que ce soit pour communiquer avec leurs proches, acheter en ligne, se divertir grâce aux plates-formes en ligne, étudier ou télétravailler.

La moyenne quotidienne toutes catégories confondues s’établit ainsi à 2 heures et 25 minutes, soit 19 minutes de plus par rapport à l’année 2019 (+ 15 %). Pour deux tiers des personnes interrogées, cela passait d’ailleurs par le smartphone. Ce temps passé par jour sur Internet atteignait même 4 heures et 23 minutes pour la tranche des 15-24 ans (+ 24 %).

Médiamétrie note par ailleurs des pics d’utilisation durant les confinements, avec une moyenne de 3 heures et 11 minutes pendant le premier et de 2 heures et 45 minutes pendant le second.

Source : BFM TV

Classés sous les catégories : Non classé

Free Mobile : plus besoin d’aller à l’église pour envoyer leurs SMS

Grâce à la volonté du maire et des habitants, un village a fini par sortir de son isolement numérique. Installée dans le cadre du New Deal, une antenne Free Mobile offre en effet la couverture réseau mobile espérée depuis des années.

Une longue bataille s’est achevée pour le petit village de Saint-Auban-d’Oze, dans le département des Hautes-Alpes. Après sept années d’attente, il dispose enfin de son antenne-relais de téléphonie mobile. Cette dernière a été installée par Free Mobile dans le cadre New Deal, dispositif présenté début 2018 par le gouvernement et les opérateurs visant à réduire les zones blanches.

Le samedi 13 février, Gérard Tenoux, conseiller départemental en charge des infrastructures numériques, a fait le déplacement en présence des maires et habitants des communes de la zone pour se rendre compte du changement dans ce village qualifié d’“emblématique par son isolement numérique”.

Plus besoin d’aller à l’église pour envoyer un SMS

Une installation qui a changé la ville des habitants. “À cette époque, chacun cherchait le point stratégique pour juste envoyer un SMS. La plupart du temps, il fallait sortir et grimper au pied de l’église. Heureusement, ce temps est révolu”, se rappelle le maire Jean-Marie Gueyraud.

L’élu remercie au passage une famille pour avoir facilité le projet. “Il y a également la famille Bermond qui a joué un très grand rôle de facilitateur pour l’installation de l’antenne mobile. La famille a cédé à la commune le terrain de l’antenne dans un esprit communautaire et pour le bien de tous”, rappelle-t-il. Et de souligner un autre aspect : “Cette antenne est une des rares qui a été installée sans qu’il n’y ait une quelconque opposition, démontrant ainsi son caractère indispensable”.

La fibre se fait encore attendre

Mais il reste encore un chantier pour les opérateurs. Lors de son déplacement, Gérard Tenoux a en effet rappelé que la fibre se fait encore attendre. “La fibre sera bientôt déployée sur le territoire, mais je ne vous apprends rien : les territoires les plus isolés seront les derniers”, a-t-il déclaré. Celui-ci a d’ailleurs insisté sur la nécessité de continuer à assurer la maintenance du réseau cuivre.

Source : Le Dauphiné Libéré

Classés sous les catégories : Non classé

L’Arcep autorise Starlink d’Elon Musk en France et lui délivre des fréquences pour arroser le territoire en très haut débit

Arcep donne son feu vert à Starlink, l’accès à Internet fixe par satellite du milliardaire Elon Musk. L’autorité administrative précise les fréquences attribuées pour le fonctionnement de ce service ayant pour objectif de réduire les zones blanches dans le monde.

Space X, la société aérospatiale de l’entrepreneur et milliardaire Elon Musk, vient d’obtenir le feu vert de l’Arcep pour proposer Starlink en France. Le gendarme des télécoms annonce en effet avoir attribué une autorisation d’utilisation de fréquences dans le cadre de ce projet permettant de proposer une connectivité haut débit grâce à des satellites regroupés au sein d’une constellation nommée Starlink. D’où le nom du service, dont l’objectif affiché est, rappelons-le, de réduire les zones blanches dans le monde.

“L’autorisation délivrée par l’Arcep ne dispense pas de la délivrance d’autres autorisations requises pour l’implantation de stations radioélectriques (déclarations auprès de l’Agence nationale des fréquences, autorisations d’urbanisme)”, souligne toutefois l’autorité administrative.

Plusieurs bandes de fréquences

Selon l’Arcep, le service Starlink pourra ainsi utiliser la bande de fréquences 10,95-12,70 GHz (sens espace vers Terre) et 14-14,5 GHz (sens Terre vers espace) pour les terminaux utilisateurs de type paraboles. Ces fréquences servent pour la transmission du signal du satellite vers le terminal de l’utilisateur.

Le service prend également appui sur la bande 17,8-19,3 GHz (sens espace vers Terre) et 27,5-30,0 GHz (sens Terre vers espace) pour les passerelles, essentielles au fonctionnement du réseau. Ces fréquences permettront au satellite de se connecter au réseau terrestre. “Trois stations ont ainsi été autorisées”, précise d’ailleurs l’Arcep. D’ailleurs, un petit village français fait de la résistance

Classés sous les catégories : Non classé

Fibre optique : redécouvrez les débuts de la fibre optique

Utilisée dans le domaine des télécommunications, la fibre optique ne date pas d’aujourd’hui. Elle est le fruit de travaux remontant à plusieurs décennies. Retour sur les prémices de cette technologie qui a bousculé tout un secteur.

La fibre optique est aujourd’hui sur toutes les lèvres, notamment celles des opérateurs. La création de la première fibre optique utilisable dans le domaine des télécommunications remonte à 1970, grâce aux travaux de la société américaine Corning, à laquelle on doit également le verre Gorilla Glass protégeant les écrans de nombreux smartphones. Les chercheurs de la firme avaient alors réussi à améliorer la pureté du verre pour réduire grandement l’atténuation du signal.

Au travers une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, Radio-Canada Info nous propose un bond de 50 ans en arrière pour découvrir les prémices de la technologie depuis les travaux de Charles Kao. Quelques années avant l’exploit des chercheurs de Corning, cet ingénieur-physicien avait posé les bases des télécommunications via la fibre optique. Il est considéré comme le père des communications dans la fibre optique” et a reçu le prix Nobel de Physique en 2009 pour ses travaux sur la transmission de la lumière dans la fibre optique.

Classés sous les catégories : Non classé

Free Mobile : des riverains réservent le même accueil à la 5G de l’opérateur qu’aux compteurs Linky

Après s’être opposé aux compteurs Linky, un groupe de riverains refuse catégoriquement l’arrivée de la 5G dans la commune. Il dénonce “un déni de démocratie”.

C’était déjà un “non” ferme face aux compteurs Linky, et ça l’est également concernant la 5G faisant ses débuts commerciaux en France.

À Périgny, commune du département de Charente-Maritime, plusieurs riverains protestent vivement depuis plusieurs semaines contre les modifications prévues sur un pylône TDF, rue Augustin-Fresnel, et devant permettre à Free de proposer sa 5G dans les prochains mois. “La 5G, non merci”, tel est en effet leur slogan.

Ondes, consommation, données personnelles

Parmi les arguments soulignés par les opposants, il y a les ondes avec la présence d’une crèche à quelques centaines de mètres. Le volet environnemental fait aussi partie des griefs, avec le recyclage des anciens mobiles non compatibles ou la facture énergétique amenée selon eux à “doubler en raison de la surconsommation électrique due à la prolifération des objets connectés“. Autre question avancée : “Et quid de nos données personnelles ?” Ils reprochent aussi le fait que l’évolution de l’équipement soit “présentée comme une banale intervention pour s’adapter aux besoins des utilisateurs”.

Un collectif devenu une association

Regroupés en 2017 au sein d’un collectif s’opposant à l’installation des compteurs communicants Linky, les riverains ont décidé un an plus tard de passer à une association. “Pour avoir plus de visibilité et des prêts de salle”, explique Jacqueline Labaume, présidente de l’association Anti Linky – 5G . Et d’ajouter : “Avant, en tant que collectif, nous n’existions pas auprès de l’ancien maire Guy Denier”.

L’association note d’ailleurs avoir trouvé oreille attentive auprès de la nouvelle maire Marie Ligonnière. La commune fait en effet partie de celles à avoir voté, le 17 novembre 2020, un moratoire pour la 5G. “La 5G risque d’être installée à nos dépens”, déplore en revanche Yves Labaume, secrétaire de l’association. Il s’agit à ses yeux d’un “déni de la démocratie”.

Pour faire entendre davantage sa voix, l’association y va de tracts glissés dans les boîtes à lettres et d’une pétition en ligne. Elle se rapproche par ailleurs d’autres groupes de riverains en France.

Source : Actu.fr

Classés sous les catégories : Non classé

Cdiscount Mobile dégaine un forfait 80 Go en série limitée à 3,99 euros par mois

,

La guerre de la data fait rage dans la téléphonie mobile avec des forfaits 80, 100 ou 200 Go à prix cassés. De son côté, CDiscount Mobile y va d’une formule 80 Go sans engagement à moins de 5 euros par mois.

Jusqu’au 23 février 2021, la marque Cdiscount Mobile commercialise en effet un forfait en série limitée à 3,99 euros par mois, au lieu de 16,99 euros par mois. Le tarif promotionnel ne vaut toutefois que durant les 6 premiers mois. Notez également que la carte SIM triple découpe est payable au moment de la commande et coûte 10 euros.

Sans engagement, le forfait Cdiscount Mobile en question comprend les appels,SMS et MMS illimités, ainsi que 80 Go de data pour la France métropolitaine (débit ajusté au-delà) utilisables en 3G ou 4G (selon la couverture disponible). Pas de 5G avec lui, donc. Pour la partie roaming, cette série limitée prévoit 8 Go d’Internet mobile depuis l’Europe et les DOM.

Comme NRJ Mobile ou Auchan Telecom, la marque Cdiscount Mobile appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile en France avec 2 millions de clients, désormais filiale du groupe Bouygues Telecom. Elle utilise pour rappel les réseaux de Bouygues Telecom, Orange et SFR.

Classés sous les catégories : Non classé

Choc des smartphones à 99 euros chez Free Mobile : Xiaomi Redmi 9A ou Alcatel 1S 2020 ?

La boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones à 99 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir en fonction de vos attentes.

Aujourd’hui, nous mettons face-à-face les Xiaomi Redmi 9A et l’Alcatel 1S 2020, tous les deux vendus à 99 euros grâce à une réduction de 20 euros sur le premier.  Notez d’ailleurs qu’on parle de smartphones limités à la 4G. Pas de 5G à ce niveau de prix.

L’écran : Xiaomi

Dans les deux cas, on a une dalle IPS, une définition HD+ et une encoche goutte d’eau. Le Xiaomi Redmi 9A offre toutefois une diagonale un peu plus importante et un menton moins prononcé.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi 9A (6,53 pouces, HD+, IPS, encoche goutte d’eau)
  2. Alcatel 1S 2020 (6,22 pouces, HD+ IPS, encoche goutte d’eau)

Performances en multimédia : Alcatel

Avec ses 3 Go de mémoire vive, l’Alcatel offrira un peu plus de souplesse en multitâche et en multimédia. Dans les deux cas, il ne faudra de toute manière pas se montrer exigeant concernant les performances, notamment en jeu.

Notre classement :

  1. Alcatel 1S 2020 (processeur octa-core 1,8 GHz du chipset Helio P22, mémoire vive 3 Go)
  2. Xiaomi Redmi 9A (processeur octa-core 2,0 GHz du chipset Helio G25, mémoire vive 2 Go)

La photo : Alcatel

Dans les deux cas, on a de la capture photo 13 Mégapixels au dos et 5 Mégapixels à l’avant. L’Alcatel ajoute un (tout petit) peu de polyvalence, en intégrant notamment un capteur pour l’ultra grand-angle et un autre pour la macrophotographie. Mais rien de foufou, non plus.

Notre classement :

  1. Alcatel 1S 2020 (13/5/2 Mégapixels à l’avant, 5 Mégapixels à l’avant)
  2. Xiaomi Redmi 9A (13 Mégapixels à l’arrière, 5 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : Xiaomi

Une puissance de charge identique pour les deux, mais une capacité de batterie 25 % plus importante pour le Xiaomi qui promet ainsi une autonomie plus confortable. Le Redmi 9A remporte cette manche.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi 9A (batterie 5 000 mAh, charge 10 Watts)
  2. Alcatel 1S 2020 (4 000 mAh, charge 10 Watts)

VERDICT : le Xiaomi Redmi 9A

Difficile de les départager, chacun ayant ses atouts. Un peu plus de souplesse en multitâche et un peu plus de polyvalence en photo pour l’Alcatel 1S 2020, ce qui est toujours bienvenu sur ce segment tarifaire. Un écran un poil plus grand et un peu plus d’autonomie pour le Xiaomi Redmi 9A, ce qui n’est pas négligeable non plus.

Sachant qu’il y a peu de chances de prendre un smartphone à 100 euros pour du jeu vidéo ou de la photo, nous privilégierions l’autonomie et donc le Xiaomi Redmi 9A avec sa batterie 5 000 mAh. Soulignons par ailleurs la finition bien plus qualitative par rapport à l’Alcatel 1S 2020. Contrairement à son rival, il fait en revanche l’impasse sur le lecteur d’empreintes digitales.

Classés sous les catégories : Non classé

Palmarès UFC-Que Choisir des meilleurs opérateurs mobiles : Orange et Sosh toujours en tête, Free Mobile encore pénalisé par son réseau et SFR dans les choux

UFC-Que Choisir livre son nouveau classement des meilleurs opérateurs mobiles. Orange perd sa première place, mais au profit de sa marque low cost Sosh. Free reste pénalisé par la qualité de son réseau. SFR n’a même pas la moyenne.

UFC-Que Choisir livre son nouveau classement des meilleurs opérateurs mobiles. Reposant sur les réponses de 12 368 personnes interrogées entre les 13 et 31 octobre 2020, celui-ci révèle quelques surprises comme la présence de Red by SFR sur le podium et une première place désertée par Orange. Il donne également un air de déjà-vu avec SFR, toujours à la traîne.

Un podium Sosh, Orange et Red by SFR

“Il s’agit du principal bouleversement de notre palmarès. Pour la première fois depuis que notre classement des opérateurs existe, Orange n’atteint pas la plus haute marche du podium”, note UFC Que Choisir, avant de souligner que l‘opérateur historique n’est pas le grand perdant que l’on pourrait croire”.

Avec une note de 13,8/20, Orange cède en effet sa première place, mais elle est récupérée par Sosh, sa marque low cost, qui obtient pour sa part 14,8/20. Orange conserve une bonne note grâce à son taux de satisfaction et son faible nombre de litiges, mais les clients semblent en vouloir davantage au regard des prix plus élevés. Sosh n’affiche pas les prix les plus attractifs, mais séduit par son rapport qualité/prix.

En dernière marche du podium avec 13,4/20, on retrouve Red by SFR qui a quitté les dernières places, grâce à des offres attractives. La donne pourrait toutefois changer avec les évolutions de forfaits, légales, mais très mal mal vues côté abonnés.

Free Mobile en 5e position

Juste en dessous dans le classement, La Poste Mobile, Free Mobile, Bouygues Telecom et EI Telecom (NRJ Mobile, Cdiscount Mobile, Auchan Telcom, CIC Mobile et Crédit Mutuel Mobile) se retrouvent dans un mouchoir de poche avec des notes respectives 12,8, 12,8, 12,7 et 12,7/20.

En plus de l’important réseau de distribution de la poste et d’offres adaptées aux besoins des consommateurs, La Poste Mobile profite d’un nombre de litiges en baisse. Si Free Mobile propose des forfaits complets et un service client efficace, il souffre d’un “réseau moins étendu et moins performant que ceux de ses concurrents”, explique UFC Que-Choisir. Bouygues Telecom se retrouve “miné par une augmentation des plaintes et une satisfaction en baisse”, auxquelles s’ajoutent les hausses de tarifs imposées à certains clients qui ont du mal à passer. Concernant EI Telecom, l’étude constate une note en baisse, mais s’interroge surtout sur la suite, l’opérateur virtuel étant récemment devenu une filiale de Bouygues Telecom.

SFR totalement à la traîne

Le classement révèle enfin un opérateur au carré rouge totalement à la ramasse, contraire à sa marque low cost. En plus d’être dernier, SFR se trouve aussi être le seul à avoir une note en dessous des 10/20. Même pas la moyenne. Il obtient un petit 8/20, souffrant d’un nombre de litiges demeurant “plus important que ceux de ses concurrents”, indique UFC-Que Choisir.

Source : Que Choisir n°300 version papier à paraître le 1er mars 2020

Classés sous les catégories : Non classé