Auteur : dimitri

Oppo Find Z : premier smartphone 5G de la marque chinoise à découvrir au MWC ?

 

Après un smartphone Find X, Oppo s’apprête à dévoiler un modèle Find Z. Peut-être s’agira-t-il aussi du premier smartphone 5G de la marque chinoise.

Un Find Z enregistré

Oppo vient d’enregistrer le nom Find Z auprès de l’European Union’s Intellectual Property Office, qui gère la propriété intellectuelle dans l’Union européenne. Le smartphone Find X de mi-2018 avec son design coulissant aura donc un successeur.

Un smartphone Snapdragon 855 en approche

Or, il se trouve qu’un smartphone Oppo embarquant le chipset Snapdragon 855 – et donc potentiellement le modem X50 compatible 5G – et répondant au nom de code Poseidon a été aperçu dans les données de GFXBench. Le rapprochement des infos laissent penser qu’il pourrait s’agir du même appareil. Doit-on s’attendre à un smartphone Oppo Find Z compatible 5G fin février, au cours du Mobile World Congress de Barcelone ? Il s’agirait alors du premier smartphone 5G de la marque chinoise. De nombreuses annonces autour de la 5G sont en tout cas attendues au MWC. Celle de Huawei, par exemple.

Sans oublier d’évoquer la technologie de zoom 10x en photo récemment annoncée par Oppo qui pourrait être intégrée  ou la technologie de charge rapide Super VOOC dont avait profité la version spéciale du Find X. Au regard du design, ce Find Z pourrait enfin embarquer un lecteur d’empreintes digitales dans l’écran, comme pas mal de smartphones annoncés ces temps-ci. Rendez-vous d’ici quelques semaines pour en avoir le cœur net.

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Galaxy A90 : Samsung réfléchirait à un capteur photo format périscope comme chez Vivo

 

Le capteur à selfies au format périscope 

Pour pousser les bordures sur les smartphones sans totalement tirer un trait sur les selfies, les fabricants ont essayé l’encoche (comme Apple avec ses iPhone), le format coulissant (comme Oppo avec son Find X ou Xiaomi avec son Mi Mix 3), le double écran (comme Nubia avec son X) et l’écran percé (comme Samsung avec son Galaxy A8S ou Honor avec son View 20). Sans oublier le capteur frontal au format périscope vu sur les Nex S et Nex A de Vivo.

Samsung s’y aventurerait avec son Galaxy A90

Et c’est justement cette dernière solution qu’explorerait Samsung. Le compte Twitter Ice Universe, à l’origine de nombreuses fuites dans le secteur des smartphones, évoque en effet un futur Galaxy A90 qui se doterait d’un capteur photo frontal caché dans la tranche supérieure et se déployant à la demande. 

Le fait de voir apparaître une telle possibilité sur un Galaxy A n’aurait rien de surprenant. La firme sud-coréenne a en effet indiqué vouloir désormais tester les innovations sur le milieu de gamme. Le Galaxy A8S avec son écran percé illustre bien cette nouvelle stratégie.

Source : GSMArena

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Antenne Free Mobile : des riverains traquent la moindre irrégularité pour bloquer une installation

Risques sanitaires et décote de l’immobilier.

Énième affaire de résistance face à l’arrivée d’une antenne. À Suresnes, en région parisienne, 25 habitants s’opposent à l’installation d’une antenne-relais sur le toit d’un immeuble. Ils ont ainsi déposé un recours devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise.

Ces riverains dénoncent les risques sanitaires avec les nombreux enfants dans le périmètre, du fait de la présence d’une école, d’une crèche et de centres de loisirs. D’autres pointent du doigt l’impact sur la valeur de l’immobilier dans le quartier.

À la recherche de toute irrégularité

Les plaignants savent que l’argument des ondes sera compliqué à utiliser, en l’absence d’une étude permettant d’affirmer à 100 % leur nocivité. Ils comptent ainsi exploiter la moindre faille dans le dossier : « On sait déjà qu’on ne pourra pas contester l’installation sur la question des ondes. On va donc se battre sur toutes les irrégularités que l’on a constatées concernant le plan local d’urbanisme. Et rien que sur ce point, il y a beaucoup à dire… »

Au lieu d’attaquer sur le fond, ils entendent ainsi attaquer sur la forme. L’un deux déplore d’ailleurs le manque de communication, avec la seule installation, en septembre 2018, d’un panneau indiquant les travaux : « Ça fait partie des choses que l’on est en droit de regretter. Il n’y a eu aucune communication sur le sujet et on a eu toutes les peines du monde à obtenir le dossier d’information déposé par l’opérateur en mairie… ».

Qu’en disent la mairie et Free ?

Pour débloquer la situation, la mairie prévoit une réunion avec les riverains et des représentants de l’opérateur. Free affirme pour sa part « avoir respecté les distances par rapport aux établissements sensibles du secteur ».

Source : Le Parisien

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Boycott de Huawei pour la 5G : inquiétudes du côté des opérateurs européens

 

Un opérateur télécom européen s’inquiète de la campagne de boycott lancée contre Huawei. Cela pourrait retarder l’arrivée de la 5G sur le Vieux Continent et engendrer des surcoûts.

Boycott de Huawei

Suite à la demande de boycott de Huawei initiée par les USA, sur fond de suspicions d’espionnage, plusieurs pays ont suivi. Si elle indiquait ne pas vouloir s’engager à son tour, la France semble avoir récemment revu sa position dans ce dossier épineux. Pas de réponse frontale et de blocage à proprement parlé, mais un contrôle étendu et une mission de filtrage diluée grâce à un amendement à la loi Pacte.

Les opérateurs télécoms inquiets

L’inquiétude a été manifestée par Deutsche Telekom, comme le rapporte Bloomberg. L’opérateur télécom allemand pense que se passer du géant des télécoms qu’est Huawei pourrait grandement ralentir le déploiement de la 5G. Il craint au moins deux ans de retard.

Autre aspect souligné par Deutsche Telekom : le coût pour les opérateurs. L’opérateur télécom allemand rappelle que le déploiement de la 5G reposera sur les infrastructures 4G déjà en place. Or, il y a des équipements Huawei. Il faudrait alors remplacer des équipements, ce qui engendrerait un coût supplémentaire de plusieurs milliards d’euros. Sans compter l’impact en termes de concurrence qui pourrait entraîner une hausse des prix des équipements.

Source : Bloomberg
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Samsung Galaxy F : le smartphone pliable se montre dans une vidéo promotionnelle

 

Samsung prépare un smartphone pliable, que l’on connaît pour l’instant en tant que Galaxy F, avec F pour Foldable. Ayant fait l’objet d’une rapide présentation sur scène fin 2018, il se montre à nouveau grâce à ce qui semble être l’une des vidéos promotionnelles.

Un smartphone pliable en préparation

Lors de la Samsung Developpers Conference de novembre 2018, on a pu découvrir la nouvelle interface One UI, les nouveaux écrans Infinity-O et Infinity-V qui équipent notamment les Galaxy A8s et Galaxy M10/M20, mais aussi un smartphone pliable. Une fois déployé, il permettait de profiter d’un écran 7,3 pouces pour profiter des contenus tels que les vidéos, au lieu de l’écran 4,5 pouces à l’extérieur suffisant pour les appels et les SMS.

Une vidéo promotionnelle

Et voilà que ce Galaxy F se montre à nouveau, dans une vidéo cette fois-ci. On le voit plié dans un sac à dos d’une enfant et déployé entre les mains d’une femme. La qualité d’image et le montage professionnel, ainsi que la présence récurrente du logo Samsung, sont loin de faire amateur. Il semble donc que l’on soit face à l’une des vidéos promotionnelles. 

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Une faille de sécurité dans la 3G et la 4G qui affecte aussi la 5G

 

Une faille de sécurité affecte la 3G et la 4G, mais également la 5G, malgré une sécurisation accrue de cette dernière. D’après les chercheurs à l’origine de sa découverte, elle ouvrirait la voie à davantage de possibilités pour l’espionnage sur les réseaux mobiles.

Une brèche qui concerne les 3G, 4G et 5G

Des chercheurs rapportent une faille de sécurité qui affecte les normes de communications mobiles cellulaires 3G et 4G, mais également dans le nouveau standard 5G, malgré une sécurisation améliorée avec ce dernier.

Située au niveau du protocole AKA (Authentification and Key Agreement) qui sert à établir une connexion sécurisée entre le téléphone et le réseau cellulaire, la brèche permet la mise au point d’une nouvelle classe de dispositifs IMSI (International Mobile Subscriber Identity) utilisés par les sociétés de surveillance pour avoir accès au trafic et aux données de localisation. 

Elle permet en effet d’obtenir d’autres données telles que le nombre d’appels passés, le nombre d’appels reçus, le nombre de SMS envoyés ou encore le nombre de SMS reçus, afin d’en savoir plus sur l’activité d’un utilisateur et donc d’établir un profil. Elle donne aussi la possibilité de prendre en compte l’éloignement ou le rapprochement d’un capteur IMSI, ce qui permet un suivi de l’utilisateur dans le temps. Il est enfin possible de déterminer si la personne utilise une ou plusieurs cartes SIM. Pour citer un cas concret, cela permettrait de connaître les faits et gestes d’un homme politique et de son entourage. Et ça peut aussi marcher avec le consommateur, dans le cadre d’un ciblage publicitaire, par exemple…

Une correction pour la fin de l’année

Ayant discuté avec la 3GPP et la GSMA, les chercheurs indiquent que la faille de sécurité en question devrait être corrigée d’ici la fin de l’année 2019. À temps donc pour le lancement des premières offres commerciales en France, attendues en 2020.

Source : ZDNet

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Freebox Delta : comment régler l’intensité de l’alarme depuis l’application mobile

 

La Freebox Delta s’accompagne d’un système d’alarme. Si vous jugez son intensité un peu faible, voici comment la régler depuis l’application mobile.

Une intensité qui peut être faible

Comme on peut le voir dans le bug tracker mis à disposition pour la Freebox Delta, dont le fonctionnement a d’ailleurs été expliqué lors d’une interview avec un développeur Freebox, il se peut que l’intensité de l’alarme de la Freebox Delta soit trop faible.

Sachez qu’il est possible de régler ce paramètre depuis l’application mobile Freebox. Rien de bien compliqué. Il faut juste savoir où se trouve le réglage.

Voici comment l’augmenter

Une fois dans l’application Freebox, ouvrir le menu principal, puis les paramètres. Tapoter ensuite sur « Liste des objets », puis « Système d’alarme ».

 

De là, il sera possible de régler plusieurs paramètres, dont le délai avant le déclenchement de la sirène, la durée de la sirène et, ce qui nous intéresse dans ce tutoriel, l’intensité de l’alarme. Il suffit de tapoter sur le paramètre « Puissance de la sirène », de saisir la puissance (jusqu’à 100) et de valider.

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SNCF : le Wi-Fi gratuit arrive dans les trains Intercités

 

Le Wi-Fi gratuit commence à arriver dans les trains Intercités. Les usagers de la ligne Paris – Clermont-Ferrand y auront droit dès ce vendredi. Ceux des lignes Paris-Limoges-Toulouse et Bordeaux-Marseille en bénéficieront prochainement.

Sur la ligne Paris – Clermont-Ferrand dès ce vendredi

La SNCF vient d’annoncer que les usagers de la ligne Paris – Clermont-Ferrand profiteront d’un service de Wi-Fi gratuit dès ce vendredi 1er février. 91 voitures Corail seront équipées. Répondant à une forte demande, le service aura coûté près de 8 millions d’euros, entièrement financés par l’État.

Les voyageurs y auront accès depuis leur smartphone, leur tablette tactile ou leur ordinateur portable, que ce soit pour du surf, de la messagerie électronique ou de la consultation de réseaux sociaux. Dans les faits, chaque session durera une heure, avant la nécessité d’en relancer une autre.

La connexion sera également l’occasion de communiquer sur les lieux touristiques de la destination et de distiller des informations sur le voyage (trajet parcouru, voie d’arrivée), mais aussi de mettre en avant la partie restauration de la SNCF.

Puis sur les lignes Paris-Limoges-Toulouse et Bordeaux-Marseille

Ce type de service sera prochainement étendu à deux autres lignes. Pour les usagers de la ligne Paris-Limoges-Toulouse, il faudra attendre la seconde partie de l’année 2019. 177 voitures seront équipées. Ceux de la ligne Bordeaux-Marseille devront patienter un peu plus, avec un déploiement prévu courant 2020.

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Xperia XZ4 : Sony pourrait proposer des clichés 52 Mégapixels

 

La course aux Mégapixels dans la photo sur smartphone semble relancée. Il se murmure d’ailleurs que Sony pourrait lancer un Xperia XZ4 avec un capteur 52 Mégapixels.

Toujours plus de pixels

Le nombre de Mégapixels annoncé par le capteur photo d’un smartphone ne garantit pas toujours la bonne qualité des clichés qui seront produits. On peut facilement s’en rendre compte en comparant les performances d’un capteur photo 13 Mégapixels sur un smartphone d’entrée de gamme avec celles du capteur photo 12 Mégapixels de l’iPhone XR. Il faut aussi prendre en compte la taille des pixels (plus ils sont gros, plus ils captent de lumière, notamment en basse luminosité) et le traitement logiciel derrière (qui vaut d’ailleurs au Pixel 3 d’être une référence en photo). Pourtant, le nombre de Mégapixels en photo reste un argument largement mis en avant par les équipes marketing.

48 Mégapixels et bientôt 52 Mégapixels ?

Honor et Redmi insistent ainsi beaucoup sur la présence d’un capteur 48 Mégapixels sur leurs smartphones Honor View 20 et Redmi Note 7. Le premier se fournit auprès de Samsung (module ISOCELL Bright GM1), et le second auprès de Sony (module IMX586).

En parlant de Sony, c’est justement le Japonais qui pourrait reprendre l’ascendant, avec son smartphone Xperia XZ4 attendu au MWC 2019 de Barcelone. Une photo relayée par le blog japonais Sumahoinfo suggère en effet trois capteurs photo dorsaux, dont un de… 52 Mégapixels. Il s’agirait d’une version améliorée du IMX586, dont les smartphones maison auraient logiquement la primeur.

Le reste des attentes portent sur un chipset Snapdragon 855, un écran AMOLED 6,5 pouces en 1 440 × 3 360 pixels protégé par une vitre Gorilla Glass 5, une batterie 4 400 mAh et une ROM Android 9.0 Pie.

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Le petit dico du jour d’Univers Freebox : qu’est-ce que l’eSIM ?

 

 
Avec Le petit dico du jour d’Univers Freebox, nous inaugurons une nouvelle chronique pour vulgariser le monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Pour cette première, parlons de l’eSIM.
 
eSIM : une carte SIM intégrée
 
Vous avez probablement déjà entendu parler de SIM, Micro-SIM ou Nano-SIM, qui design le format de carte SIM à bord de votre smartphone. Et voilà que l’eSIM apparaît dans les fiches techniques des constructeurs et dans les articles de presse. Mais qu’est-ce donc ? 
 
La technologie eSIM, pour Embedded SIM ou SIM Embarquée en bon français, désigne une carte SIM directement intégrée au smartphone, à la tablette tactile ou à la montre connectée. Fini la carte SIM à glisser dans un petit tiroir ou à insérer dans un slot après avoir ouvert l’appareil.
 
La carte SIM devient alors « virtuelle », avec de l’électronique directement intégrée au chipset mobile. Au moment d’utiliser son smartphone, il ne reste qu’à aller dans les paramètres du système d’exploitation pour indiquer l’opérateur et la formule d’abonnement choisis, afin d’ouvrir une nouvelle ligne.
 
 
 
Quel intérêt ?
 
À l’heure où les appareils se veulent toujours plus minces et où l’espace à l’intérieur se réduit, c’est un gain de place parmi d’autres, surtout dans le cas de deux logements SIM. De plus, l’ouverture en moins participe à l’étanchéité des appareils. Voilà pour le point vue constructeur. Et du côté des opérateurs ? C’est une logistique en moins à gérer, celle de l’envoi des cartes SIM.
 
Pour les consommateurs – car c’est évidemment ce qui vous intéresse le plus -, plus besoin de changer de carte SIM lors d’un changement d’opérateur. Changer de crèmerie s’annonce beaucoup plus simple. De plus, tout est appareil est potentiellement multi-SIM. Tout le monde – surtout le consommateur – semble y trouver son compte. Merveilleux, non ?
 
Quels appareils ?
 
Si les appareils proposant l’eSIM ne courent pas les rues, il en existe déjà. Parmi eux, on peut citer la montre Samsung Gear S2, la montre Apple Watch Series 4, les iPhone XR, XS et XS Max ou le Meizu Zero. Sans oublier OnePlus avec son 6T.
 
Reste maintenant à voir quels opérateurs proposent l’eSIM. Orange permet, par exemple, l’eSIM avec la montre Apple Watch Series 4. Il travaille pour la proposer sur l’iPhone. SFR et Bouygues Télécom ont indiqué, de leur côté, plancher dessus. Free n’a rien dit à ce sujet. Les opérateurs trainent-ils un peu des pieds pour l’adoption de l’eSIM ? Peut-être un peu, sachant qu’ils transfèrent une partie de leurs compétences aux constructeurs… Bref, on y viendra forcément, mais peut-être un peu moins vite que voulu.
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