Auteur : dimitri

Red by SFR lance comme Free Mobile un forfait avec un iPhone 8 offert, mais moins cher et sans intermédiaire

Pas de Big Red avec un max de data cette fois-ci, mais un Red Deal avec un smartphone offert.

Les offres spéciales de Free Mobile avec un smartphone offert  en contrepartie d’un engagement de 24 mois continuent d’inspirer la concurrence. Red by SFR s’y était essayé en décembre 2020 et récidive aujourd’hui avec son Red Deal. La marque low cost de l’opérateur au carré rouge rend par ailleurs la formule encore plus attractive et se passe d’intermédiaire, par rapport à Free Mobile qui facture 19,99 euros par mois et passe par Veepee. L’offre Red Deal à 15 euros par mois au lieu de 20 euros est en effet proposée directement sur le site de Red by SFR, et non sur Showroomprivé comme à l’accoutumée.

Contre un engagement de 2 ans, l’abonné se voit offrir un iPhone 8 64 Go gris sidéral reconditionné grade A (très bon état). Le forfait associé inclut les appels, SMS et MMS en illimité, ainsi que 100 Go de data, depuis la France Métropolitaine. Concernant la partie roaming, l’enveloppe data pour le reste d’Union européenne et les DOM est de 13 Go. À noter que la carte SIM est facturée 1 euro. Reste maintenant à voir si Bouygues Telecom, souvent dans le sillage des promotions de Red by SFR, dégainera une offre similaire. Elle pourrait même inspirer Free Mobile, dont ce type d’offres passent exclusivement par Veepee. L’opérateur de Xavier Niel intègre toutefois plus de data à l’étranger et plus de destinations incluses.

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Instagram : le réseau social prend des mesures pour protéger les mineurs

Instagram vient d’annoncer des mesures pour protéger davantage les mineurs présents sur sa plate-forme de partage de photos et de vidéos.

Les réseaux sociaux fortement plébiscités par les adolescents se présentent comme un vivier potentiel pour les prédateurs sexuels. Ils sont par conséquent invités à trouver des solutions adéquates. Ce mardi, Instagram a annoncé des mesures visant à améliorer la protection des plus jeunes et ainsi rassurer les parents. Il s’agit plus concrètement de limiter les interactions possibles entre mineurs et adultes ne se connaissant pas.

Concernant les jeunes utilisateurs, le réseau social permettant de partager photos et vidéos compte notamment sur l’intelligence artificielle pour mieux déterminer l’âge des utilisateurs. Et pour cause : certains trichent pour pouvoir s’inscrire, en mentant sur leur date de naissance. L’âge minimal requis est pour rappel de 13 ans. Les jeunes utilisateurs pourront également être invités à la prudence, lors d’une sollicitation par un utilisateur jugé suspect. Ils seront aussi incités à basculer en privé pour restreindre l’accès à leurs contenus.

Du côté des prédateurs potentiels, il s’agira de détecter les adultes envoyant des messages privés à un grand nombre de mineurs. La plate-forme veut également empêcher les adultes de contacter des mineurs qui ne les suivent pas. “Lorsqu’un adulte tentera d’envoyer un message à un adolescent qui ne le suit pas, il recevra une notification l’informant qu’il lui est impossible de le faire”, explique Instagram. Dans le cas d’un utilisateur adulte suspect, le réseau social pense également à réduire la proportion d’utilisateurs mineurs dans les suggestions.

Sources : 20 Minutes et BFM TV

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Agressions des conseillers et techniciens : Orange en appelle à la responsabilité des abonnés

“Ensemble, disons stop aux incivilités”, tel est le message envoyé par Orange. Le telco réagit aux agressions dont sont victimes ses collaborateurs.

Orange soutient ses troupes en première ligne, celles potentiellement au contact d’abonnés plus ou moins en colère. Dans la plupart des cas, cela s’arrête à des regards agacés, des gestes d’impatience ou des critiques acerbes. Dans d’autres, cela peut aller jusqu’à la violence orale ou physique.

Des agressions pour les collaborateurs d’Orange, mais pas seulement

La récente attaque au marteau d’un technicien d’Orange, alors en pleine intervention sur un point de mutualisation à Osny, dans le Val-d’Oise, en est un parfait exemple. Elle avait d’ailleurs fait réagir Stéphane Richard, PDG de l’agrume. “Inqualifiable agression“, s’était-il alors indigné sur les réseaux sociaux. Grégory Rabuel, directeur général de SFR, avait réagi à l’événement : “Nous sommes tous unis face aux agressions répétées de nos techniciens qui interviennent partout en France”. Fin décembre, deux salariés de SFR FTTH avaient été pris pour cible à Neuilly-sur-Marne, en Seine-Saint-Denis, alors qu’ils rénovaient des équipements de fibre.

Stop

Orange en appelle aujourd’hui à la responsabilité des abonnés. “Ces derniers temps, nos techniciens et nos conseillers sont devenus la cible d’agressions verbales et physiques”, dénonce-t-il. À ses yeux, “aucune situation ne justifie les menaces ou les insultes envers eux”. L’opérateur historique rappelle que ses collaborateurs sont au service des abonnés pour leur garantir le meilleur service et leur apporter des solutions.

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5G : Huawei compte avoir sa part du gâteau et va taxer les constructeurs de smartphones

Dans une situation compliquée depuis deux ans, Huawei cherche des solutions pour générer de nouveaux revenus. Disposant d’un grand nombre de brevets autour de la 5G, il aurait d’ailleurs une idée.

L’embargo américain a coûté cher à Huawei. Il a écarté le groupe chinois du déploiement de la 5G dans plusieurs pays et lui a fait perdre des parts de marché dans le domaine des smartphones. Assez logiquement, celui-ci cherche des moyens de renflouer les caisses. D’autant plus que la récente arrivée de Joe Biden à la maison blanche ne semble pas prête, au moins pour l’instant, d’améliorer la situation.

Fin 2020, Huawei a ainsi cédé sa branche Honor, la libérant au passage des restrictions liées à l’embargo américain telles que l’accès aux composants et aux services de Google. Selon CNBC, le géant asiatique étudierait à présent l’idée d’une taxe lui permettant de rentabiliser ses travaux dans le domaine de la 5G et donc de créer une nouvelle source de revenus. Elle serait payée par les fabricants de smartphones.

Huawei est en effet le premier détenteur de brevets autour de la 5G. Il en possède 3 007 brevets. De quoi augmenter la probabilité qu’un appareil ait recours à ses technologies. D’ailleurs, 18,3 % des brevets autour de la 5G détenus par Huawei seraient exploités. La firme de Shenzhen envisagerait ainsi de réclamer jusqu’à 2,50 euros par smartphone 5G vendu et utilisant l’une de ses technologies. Un système de royalties qui n’a rien de nouveau en soi, avec la clé la possibilité de récupérer entre 1,2 et 1,3 milliard de dollars pour la période 2019-2021.

Source : CNBC via Frandroid

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Free Mobile : la pollution visuelle d’un futur pylône montrée avec des ballons

Drone, ballons rouges, tout est bon pour démontrer l’impact visuel d’un futur pylône Free Mobile et pousser le maire à revoir sa position. Des riverains déplorent un laisser-faire, un boulevard offert aux opérateurs en l’absence de sanctions.

À Plouézec, commune des Côtes-d’Armor, en région Bretagne, Free compte installer une première antenne-relais. L’équipement de l’opérateur se traduira par un pylône de 33,65 mètres de haut sur un terrain communal face au lotissement de Lost Pic.

Drone et ballons rouges

Opposé au projet au motif d’un impact esthétique, un collectif composé de plus de 80 riverains est déterminé à monter l’impact visuel d’une telle installation. Face à un maire défendant le projet et évoquant “une dizaine de maisons concernées”, un drone a survolé, il y a une quinzaine de jours avec l’aide d’un professionnel, la zone dans le but de montrer une tout autre réalité. Mais les habitants récalcitrants n’en ont pas terminé.

En fin de semaine, ils comptent en effet lâcher et faire stationner pendant plusieurs jours des ballons rouges de 2,10 mètres de diamètre gonflés à l’hélium à 33 mètres, afin de montrer l’impact visuel du futur pylône. Ceux-ci soulignent d’ailleurs avoir obtenu au préalable l’autorisation de la direction générale de l’aviation civile.

Le collectif espère que le maire change finalement d’avis et a d’ailleurs déposé un recours gracieux. “Ensuite, nous envisageons un recours auprès du tribunal administratif”, indique-t-il.

Pas de mutualisation, pas de sanction, trop d’antennes

Aux yeux des opposants, l’installation est loin d’être anodine. “C’est la taille d’un immeuble de 10 étages, c’est énorme, on a été impressionné de voir jusqu’où montait le drone”, expliquent-ils. Et d’ajouter : “L’impact sera visible sur 6 à 8 km² et ce sont plus de 200 maisons qui vont être touchées”. Ils s’interrogent également concernant la prise en compte de l’impact visuel, de manière générale: “L’atteinte au grand paysage, c’est un sujet sur lequel on doit s’interroger. C’est quoi le seuil d’acceptabilité ?”

Les riverains s’interrogent par ailleurs sur le devoir de mutualisation et le manque de sanction à la clé pour les opérateurs. “La loi Abeille inscrit dans le code des Télécommunications un devoir de mutualisation que les opérateurs ne peuvent refuser, mais on ne prévoit pas la sanction. L’agence nationale des fréquences ne fait pas obligation de rechercher la mutualisation sur des supports qui existent. Qui décide vraiment ce qui est techniquement faisable ou pas ? Qui fait autorité ?”, se questionnent-ils.

Les opposants évoquent l’utilisation possible du château d’eau, sur lequel sont présents les autres opérateurs. Selon eux, elle a été écartée par le maire sans avoir été réellement étudiée. “Le maire répond que techniquement ce n’était pas faisable, mais après vérification auprès de l’agglomération Guingamp-Paimpol, propriétaire du château d’eau, l’opérateur n’a même pas fait de demande…”, déplorent-ils.

Un boulevard offert aux opérateurs

Aux yeux du collectif, cela se traduit par la prolifération des antennes, au détriment du cadre de vie. “Politiquement est-ce qu’un objectif de couverture en téléphonie doit écraser tous les autres objectifs ? Ceux de préserver notre paysage et notre cadre de vie ? Il y a de plus en plus de recours contre des antennes parce que les parlementaires ont offert un boulevard aux opérateurs, mais personne n’évoque la notion d’acceptabilité visuelle”, expliquent-ils.

Sources : Le Télégramme et Actu.fr

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Couverture 4G+: Free Mobile est 2e dernière Orange selon nPerf

L’outil de speedtest nPerf vient de publier son nouveau baromètre de couverture pour les opérateurs mobiles. Free a progressé et couvre désormais 98 % de la population en 4G et 93,48 % de la population en 4G+.

Reposant sur 1,397 milliards de mesures réalisées sur 138 282 appareils ayant installé l’application nPerf, avec des données uniquement collectées à partir des smartphones Android au moment où le GPS est sollicité par une application (navigation GPS, jeu géolocalisé, etc.), ce baromètre permet d’avoir les chiffres de couverture 4G/4G+ nationale pour Free Mobile. Cette dernière a progressé.

98 % de la population en 4G, 93,48 % en 4G+

Free Mobile couvre ainsi 98 % de la population en 4G et 84,05 % du territoire en 4G. Avec ces chiffres, il obtient un indice de couverture nPerf 91,03 %, en fait la moyenne des deux taux de couverture. Par rapport au baromètre 2019, où il couvrait 97,26 % de la population et 76,67 % du territoire en 4G, l’opérateur de Xavier Niel a donc progressé. Un peu, mais quand même, en se rappelant le contexte de crise sanitaire.

En 4G+, les chiffres passent à respectivement 93,48 % de la population et 59,40 % du territoire. La moyenne obtenue est de 76,44 %.

Là encore, Free a progressé par rapport à 2019. Il couvrait 91,87 % de la population et 48,07 % du territoire en 4G+.

 

Free dernier sur la 4G, deuxième sur la 4G+

Avec un indice de couverture de 91,03 % en 4G, Free se retrouve en dernière place derrière Orange, Bouygues Telecom et SFR qui atteignent respectivement 94,29, 93,69 et 93,46 %. Des rivaux se retrouvant d’ailleurs dans un mouchoir de poche.

Même place qu’en 2019 pour Free, mais pas pour les autres. Bouygues Telecom était premier, SFR deuxième et Orange troisième.

 

Concernant la 4G+, l’opérateur de Xavier Niel fait mieux et se hisse à la 2e place avec un indice de couverture de 76,44 %, juste derrière l’opérateur historique avec ses 78,24 %. Un peu plus loin, mais pas trop non plus, on trouve SFR et Bouygues Telecom avec respectivement 72,94 et 71,74 %.

Là encore, le classement a été bousculé. En 2019, SFR était premier, suivi d’Orange, Bouygues Telecom et SFR.

Le baromètre complet, disponible à cette adresse, permet d’avoir le détail des couvertures des quatre opérateurs pour les différentes régions de France.

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Choc des smartphones proposés par Free Mobile : deux modèles à 179 euros, lequel choisir ?

La boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones à 179 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix selon vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose un comparatif des smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile. Il s’agit de vous aider à choisir selon vos attentes. Aujourd’hui, nous mettons face à face les Xiaomi Redmi Note 9 et Oppo A53, tous deux proposés à 179 euros grâce à une réduction sur le premier.

L’écran : Xiaomi

À chacun son atout en termes d’affichage : le Xiaomi Redmi Note 9 a sa définition Full HD+ et l’Oppo A53 son taux de rafraîchissement 90 Hz. Nous aurions tendance à privilégier la meilleure définition, qui sera autant bénéfique en jeu qu’en vidéo, et donc le modèle Xiaomi. Pas d’AMOLED dans les deux cas, les deux smartphones s’équipant d’une dalle IPS.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (6,53 pouces, FHD+, IPS et poinçon)
  2. Oppo A53 (6,5 pouces, HD+, IPS, poinçon et 90 Hz)

Performances en multimédia : Xiaomi

Le Xiaomi bénéficie d’un chipset Helio G85 avec un processeur plus véloce et une partie graphique pensée pour apporter le jeu mobile sur les smartphones abordables (d’où le G, pour Gaming). L’Oppo a toutefois pour lui sa mémoire vive plus importante pour davantage de souplesse en multitâche.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (processeur octa-core 2,0 GHz du chipset Helio G85 et mémoire vive 3 Go)
  2. Oppo A53 (processeur octa-core 1,8 GHz du chipset Snapdragon 460 et mémoire vive 4 Go)

La photo : Xiaomi

Si les deux smartphones se reposent un peu trop sur les capteurs photo 2 Mégapixels pour gonfler leurs fiches techniques respectives, le Xiaomi Redmi Note 9 est celui qui en offre le plus, tant à l’arrière avec un capteur principal 48 Mégapixels et un capteur ultra grand-angle que son rival n’a pas, qu’à l’avant, avec ses selfies plus détaillés. Dans les deux cas, on évite l’encoche. Écran poinçonné pour les deux.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (48/8/2/2 Mégapixels à l’arrière, 13 Mégapixels à l’avant)
  2. Oppo A53 (13/2/2 Mégapixels à l’arrière, 8 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : ex aequo

Batterie 5 000 ou 5 020 mAh, charge 18 Watts en filaire, Xiaomi et Oppo se retrouvent dans un mouchoir de poche, affichant les mêmes prestations. Notez que Xiaomi fournit un chargeur un peu plus puissant que nécessaire (22,5 Watts).

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9 (batterie 5 020 mAh ; charge 18 Watts en USB-C)
  2. Oppo A53 (batterie 5 000 mAh ; charge 18 Watts en USB-C) 

Le choix d’Univers Freebox : Xiaomi

L’Oppo ne démérite pas, mais son rival Xiaomi en mieux. Le Redmi Note 9 propose un écran mieux défini, de meilleures performances en multimédia et plus de polyvalence en photo. Il promet aussi une autonomie confortable et une charge pas trop longue.

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Freebox Pop et mini 4K : découvrez Lebonmix, cinq canaux de musique sans aucune publicité

Univers Freebox vous fait découvrir l’application Lebonmix, son interface sans publicité et ses cinq canaux musicaux, dont un 100 % vinyles.

Aujourd’hui, nous vous proposons de découvrir Lebonmix, disponible gratuitement sur les players Pop et mini 4K via le Play Store (mais aussi via l’App Store et en version Web). Cette application propose pas moins de cinq canaux musicaux alimentés en continu. Petit tour du propriétaire.

Télécharger l’application Lebonmix sur Le Play Store

Pour commencer, il faut télécharger l’application Lebonmix sur Le Play Store qui pèse moins de 10 Mo et dont la dernière mise à jour remonte au 14 janvier 2021. Une application qui n’est donc pas totalement laissée à l’abandon par les développeurs.

Pas de compte utilisateur, une interface simple et efficace

Au démarrage, pas de compte à créer ni de compte Facebook à utiliser. On arrive directement sur l’interface du service de radio. La partie supérieure affiche l’auteur, le titre et la pochette, ainsi que le bouton de mise en lecture / pause. La partie inférieure accueille les cinq boutons pour naviguer entre les cinq canaux disponibles. Simple et efficace.

L’interface s’utilise avec les flèches de navigation de la télécommande Freebox et le bouton d’action au milieu.

Cinq canaux pour trouver son bonheur

En première position tout à gauche, il y a le canal Lebonmix classique proposant un choix musical varié incluant de l’acid-jazz, de la disco, de la funk, de l’électro, du groove, du old school ou encore du trip-hop.

Des canaux spécifiques nommés Lebonmix Soft, Lebonmix Medium, Lebonmix Dynamic et Lebonmix Jim’s Prophecy permettent de trouver son ambiance en fonction du moment. 

Lebonmix Soft propose ainsi de la musique douce tout au long de la journée, Lebonmix Medium un compromis entre lent et rapide et Lebonmix Dynamic de la musique qui bouge. Quant à Lebonmix Jim’s Prophecy, il s’adresse aux puristes avec de la musique 100 % vinyles (avec de l’électronique, mais pas seulement).

De la qualité HD, pas de publicité

Malgré la gratuité revendiquée, Lebonmix propose une diffusion en qualité HD 320 Kbit/s idéale pour une diffusion sur les installations haut de gamme, que ce soit à la maison, en voiture ou dans le casque. Le service indique aussi un fonctionnement sans publicité pour une écoute sans interruption.

 


VERDICT

Écoute 100 % gratuite, sans compte et sans publicité, interface utilisateur ultra simple, variété de contenus grâce à différents canaux et qualité de diffusion HD, l’application Lebonmix mérite qu’on y jette un oeil et qu’on y prête une oreille.


 

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Clin d’oeil : privée de réseau, l’équipe municipale sort les talkies-walkies

Dans un village situé en zone blanche, l’équipe municipale doit recourir au système D. À défaut d’une couverture réseau convenable, le contact entre le maire et ses collaborateurs est ainsi garanti pour des talkies-walkies.

Situé en zone blanche, La-Roque-sur-Pernes, village de 400 âmes du Vaucluse, cumule les déconvenues avec le réseau fixe comme avec le réseau mobile. La situation a d’ailleurs tendance à exaspérer l’équipe municipale à l’heure du fibrage massif du territoire, du lancement commercial de la 5G et surtout du télétravail devenu la règle.

Talkies-walkies pour l’équipe municipale

“On ne compte plus les coupures de réseau. La dernière fois, à mon domicile, je n’ai rien eu pendant 12 jours”, déplore le maire Joseph Bernhardt. “En ce moment, toutes les réunions importantes se passent en visio, mais je n’ai pas réussi à en suivre une seule jusqu’au bout”, ajoute-t-il. Pour rester joignable, l’édile a ainsi opté pour le talkie-walkie.

“Lors de ces réunions, on a l’impression de regarder Canal +, mais sans décodeur”, indique de son côté une employée de la mairie. Un exemple de déconvenues donné par une élue illustre assez bien la situation : “Pour téléphoner, je suis obligée de monter au dernier étage et de rester dans l’escalier, c’est le seul endroit où je capte”.

Rendez-vous non honorés et arnaques

Joseph Bernhardt pointe du doigt Orange. “Lorsqu’on peut les avoir, les rendez-vous téléphoniques ne sont pas toujours honorés. Il y a quelques mois, un poteau téléphonique a été dégradé dans un accident. Les fils pendent toujours aujourd’hui”, dénonce-t-il.

De son côté, l’opérateur historique explique qu’une “défaillance sur l’alimentation électrique a provoqué de graves problèmes de réseau à La-Roque-sur-Pernes” et “constate une bonne couverture en extérieur des réseaux 3G et 4G”. Et d’ajouter : “En intérieur, dans des mairies anciennes, aux murs épais, les signaux passent parfois moins bien, mais il est possible d’installer des répétiteurs. On s’engage en tout cas à prendre contact avec le maire”.

Cerise sur la gâteau. Déjà privée de réseau, la commune a récemment été victime d’une arnaque. “Ma femme a reçu un appel d’une personne se présentant comme technicien Orange, mais il appelait en fait du Rwanda. On a reçu une note téléphonique de plus de 150 euros”, souligne le maire.

Bientôt le bout du tunnel grâce à SFR et Free ?

La fibre optique que devait installer SFR à partir de fin 2020 et qui aurait permis d’améliorer la situation a malheureusement pris du retard. “Pour la fibre, SFR a terminé la partie enfouie. Reste l’aérien, mais ils vont devoir notamment changer 30 poteaux en très mauvais état sur la route départementale entre La Roque et Saint-Didier”, souligne l’édile. Quant au réseau mobile, un mieux pourrait venir des discussions avec Free. “J’ai aussi été contacté par Free pour installer une antenne pour la téléphonie mobile, le dossier doit être étudié dans les prochaines semaines”, explique le maire.

Source : La Provence (papier)

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Iliad-Free : le groupe de Xavier Niel performe, son titre en Bourse s’envole

Solides, les résultats financiers et commerciaux d’Iliad présentés ce mardi 16 mars ont été particulièrement bien accueillis par les investisseurs. Tout comme le dividende annoncé en parallèle, d’ailleurs.

Tous les voyants sont au vert pour Iliad, malgré une année 2020 marquée par la crise sanitaire. Le chiffre d’affaires au global d’Iliad affiche en effet une progression de 10,1 % sur l’année, à 5,87 milliards d’euros. En France, le CA s’établit pour la première fois à 5 milliards d’euros. Illiad Italia et Play, les filiales italiennes et polonaises, ne sont pas en reste non plus. Elles ont contribué à respectivement 674 et 200 millions d’euros du chiffre d’affaires en 2020. Le bénéfice net du groupe flirte avec les 420 millions d’euros. Là encore, les filiales italiennes et polonaises ont apporté leur contribution. La première a réduit ses pertes, tandis que la seconde a apporté sa première contribution.

Dans ce contexte, Iliad a annoncé un dividende de 3 euros par action, contre 2,60 euros la fois précédente. Celui-ci sera proposé le 2 juin 2021 au cours d’une assemblée générale. Une nouvelle évidemment bien accueillie par les investisseurs. À l’heure où sont écrites ces lignes, le titre boursier du groupe affiche en effet une progression de 6,05 % (+ 9,30 euros) à 163,05 euros.

 

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