Auteur : dimitri

En quoi consistent les smartphones reconditionnés ? Que faut-il savoir avant d’en acquérir un ? Voici quelques rappels dans une petite vidéo.

Depuis février 2019, Free propose des smartphones reconditionnés grâce à un partenariat signé avec le spécialiste français Recommerce. Pour l’instant, on trouve l’iPhone 6 en capacité 16 ou 64 Go. Et voici justement une vidéo publiée par l’association UFC-Que Choisir qui explique en quoi consiste le reconditionnement et ce qu’il faut savoir pour éviter les mauvaises surprises.

UFC-Que Choisir rappelle que le smartphone a été remis en état, que ce soit au niveau de l’écran ou de la batterie, et que les données du précédent utilisateur ont été effacées. L’association fait également une piqûre de rappel concernant le grade A qui signifie proche du neuf et les grades B et C qui laissent entendre des marques d’usure plus moins visibles. 

UFC-Que Choisir distille par ailleurs quelques conseils pour éviter les mauvaises surprises, à commencer par la lecture attentive du descriptif. Il faut aussi penser à éviter les reconditionneurs douteux ou trop éloignés, en raison des risques de pièces contrefaites ou de soucis en cas de SAV. Soulignons enfin que les annonces peuvent indiquer 6 ou 12 mois de garantie. Sauf que, d’après la loi, le produit reconditionné bénéficie de la même garantie de 24 mois qu’un produit neuf.

La marque Redmi de Xiaomi prépare un smartphone haut de gamme. Voici un visuel permettant de découvrir son design et d’en savoir plus sur ses caractéristiques techniques.

Redmi, l’ancienne gamme de Xiaomi récemment devenue une marque, a pour l’instant dévoilé des smartphones modestes avec les Redmi 7 et Redmi Note 7 récemment arrivés en France, mais aussi un Redmi Note 7 Pro. Mais sachant qu’elle fait désormais cavalier seul, on s’attend à des tentatives sur d’autres segments, et notamment le haut de gamme.

Un visuel marketing relayé sur le réseau social chinois Weibo vient d’ailleurs appuyer cette idée. Le texte évoque en effet un Redmi Pro 2 qui embarquerait le Snapdragon 855, dernier chipset mobile haut de gamme de Qualcomm. Il mentionne aussi un capteur photo 48 Mégapixels, qui a de grandes chances d’être le modèle IMX586 de Sony, sachant que le Redmi Note 7 Pro de milieu de gamme en profite. En regardant l’appareil, ensuite, on dénombre aussi trois capteurs photo dorsaux et remarque un capteur photo frontal au format périscope qui permet d’éviter l’encoche. On constate aussi l’absence d’un lecteur d’empreintes, ce qui suggère une intégration dans l’écran.

Certains abonnés Freebox trouvent les mois particulièrement longs. L’un d’eux a préféré prendre les décennies avec humour.

Sur son compte Twitter, SkeletonGamer, un abonné Freebox, a publié une capture d’écran de son espace abonné. Ce qui attire tout de suite l’attention, c’est la date d’inscription qui remonte au 1er janvier 1970. Soit il y a près d’un demi-siècle, mais surtout bien avant la création de Free par Xavier Niel le 18 février 1999 ou même avant l’arrivée d’Internet dans les foyers. D’autant plus que cette date est indiquée en rouge.

Peu de temps après son tweet, l’abonné a republié une capture d’écran montrant la résolution de ce qui n’était au final, et comme on s’en doutait un peu, qu’un simple bug informatique.

 

Motorola préparerait un smartphone à quatre capteurs photo. Voilà quelques rendus en fuite.

Comme le montrent la multiplication des capteurs photo au dos (2, 3, 4 ou même 5 sur le Nokia 9 PureView), l’usage de capteurs 48 Mégapixels (comme celui de Samsung sur le Redmi Note 7 ou celui de Sony sur le Redmi Note 7 Pro) et le recours à l’intelligence artificielle pour l’embellissement des clichés (mode beauté, effet Bokeh, mode nuit, etc.), les constructeurs de smartphones mettent clairement l’accent sur cette partie. Il faut dire aussi que c’est l’un des arguments lors de l’achat.

Motorola semble d’ailleurs vouloir faire partie des fabricants proposant une partie photo particulièrement étoffée. C’est en tout cas ce que suggèrent les rendus d’un smartphone de la marque. L’appareil visible comporte pas moins de quatre capteurs au dos. L’un d’eux serait un modèle 48 Mégapixels. Les visuels montrent également une connectique physique incluant l’USB-C et le mini-jack, ainsi qu’un écran avec une encoche format goutte d’eau pour accueillir le capteur photo frontal. 

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons du standard Qi.

Le player de la récente Freebox Delta intègre la technologie Qi. À quoi sert-elle ?

À prononcer « Tchi » et signifiant « énergie, souffle vital » en chinois, Qi est un standard de recharge sans-fil développé par le Wireless Power Consortium, derrière lequel on retrouve notamment Asus, HTC, Huawei, LG, Motorola, Nokia, Samsung et Sony. Dans les faits, il faut poser l’appareil compatible sur un socle. La transmission de l’énergie se fait par induction magnétique.

Dans le cas de la Freebox Delta, Qi permet de recharger la télécommande tactile, après un appairage grâce au NFC, mais également un smartphone compatible Qi (nous avons d’ailleurs testé avec un Huawei Mate 10 Pro). On peut également citer l’exemple des écouteurs Galaxy Buds, dont le boîtier de rangement se recharge lorsqu’il est posé sur le Galaxy S10+. Toujours dans l’univers des smartphones, on aurait pu évoquer l’iPhone, les AirPods et l’Apple Watch avec le socle AirPower, si ce dernier n’avait pas été récemment abandonné par Apple.

Si la recharge sans-fil peut s’avérer pratique par rapport à la recharge filaire, dans le sens où il suffit de poser son appareil sur un socle, socle installable à la maison, au travail ou dans un lieu public, elle reste en retrait concernant la puissance délivrée et le temps nécessaire pour faire le plein.

Xiaomi propose en effet de la recharge sans-fil 20 Watts avec son flagship Mi 9, tout en planchant sur de la recharge filaire 100 Watts. Parlons aussi d’Oppo qui propose du 50 Watts avec sa charge Super VOOC ou de Huawei qui permet une charge 40 Watts avec son smartphone P30 Pro. Cet écart  explique d’ailleurs pourquoi OnePlus n’a pas l’intention, au moins pour l’instant, de proposer la recharge sans-fil dans ses smartphones et préfère miser sur sa recharge filaire Fast Charge.

Le smartphone OnePlus 7 apparaît dans de nouveaux rendus avant son officialisation.

Attendu en mai 2019, le prochain smartphone haut de gamme de OnePlus s’illustre dans de nouveaux rendus avec une coque de protection.

Les visuels suggèrent la présence d’un triple capteur photo au dos, ainsi qu’un capteur photo frontal motorisé se rangeant dans la partie supérieure qui permet de pousser davantage les bordures d’écran tout en évitant l’encoche. Ils montrent également une tranche inférieure avec le haut-parleur d’écoute, le microphone d’appel, le port USB Type-C et le tiroir pour carte SIM. Les tranches latérales comportent quant à elles les boutons d’allumage / mise en veille et de réglage du volume, ainsi que le bouton Alert Slider qui permet de passer le smartphone à l’état silencieux. Sans surprise, le mini-jack, évincé depuis le OnePlus 6T, ne se montre pas. Invisible lui aussi, le lecteur d’empreintes digitales se retrouvera dans l’écran, comme sur le OnePlus 6T.

 

Les chiffres de couverture 4G/4G+ contenus dans le nouveau baromètre de nPerf ramènent Bouygues, Free, Orange et SFR à la réalité. L’écart avec leurs chiffres est loin d’être négligeable.

L’outil nPerf, qui permet à tout un chacun de mesurer ses débits 3G et 4G (mais aussi Wi-Fi) grâce à des applications mobiles disponibles sur l’App Store et le Play Store et d’avoir un aperçu de la couverture des opérateurs mobiles en France, vient de publier un nouveau baromètre.

Réalisé à partir de 2 milliards de mesures effectuées depuis 143 370 appareils et sur 365 jours, il désigne Bouygues Télécom comme numéro un en termes de couverture 4G, avec 90,5 % de la population couverte. SFR, Orange et Free suivent avec 89,97 %, 88,28 % et 79,09 %. 

Au-delà des chiffres, c’est surtout la différence entre les chiffres de nPerf et ceux communiqués par l’ARCEP et les opérateurs qui interpelle. Le régulateur des télécoms indique en effet 99 % de population couverte par Bouygues Télécom, Orange et SFR. Free arrive dernier avec 92 % de la population couverte. L’écart entre les deux mesures flirte en effet avec les 10 points dans le cas de Bouygues Télécom, Orange et SFR. Il approche même les 13 points dans le cas de Free. 

 

Le baromètre place également SFR à la première place pour la couverture 4G+, avec 66,64 %. Bouygues Télécom, Free et Orange arrivent derrière avec 64,29 %, 62,53 % et 57,05 %. Orange, qui revendique régulièrement sa place de numéro un en termes de couverture mobile, se retrouve ainsi en dernière place…

Pour ceux que cela intéresse, le baromètre nPerf complet avec les cartes par région est disponible au format PDF à cette adresse.

Troisième smartphone de la nouvelle marque Redmi de Xiaomi, après un Redmi Note 7 ayant visiblement trouvé son public et un Redmi Note 7 Po, le Redmi 7 a été dévoilé vers la mi-mars. Le voilà qui arrive en France. Découvrons ses prix en euros et rappelons ses caractéristiques techniques. 

S’affichant désormais sur la boutique française de Xiaomi, le smartphone Redmi 7 est proposé en deux configurations. À 169,90 euros, la première s’accompagne de 3 Go de mémoire vive et 32 Go de stockage. Pour 20 euros de plus, la seconde double la capacité de stockage.

Côté caractéristiques, rappelons que le Redmi 7 propose le chipset Snapdragon 632 et son processeur octa-core jusqu’à 1,8 GHz, un écran IPS 6,26 pouces HD+ (1 520 x 720 pixels), un double capteur photo 12 + 2 Mégapixels au dos (le second pour l’effet Bokeh), un capteur photo 8 Mégapixels pour les selfies, une connectique Micro-USB /mini-jack et une batterie 4 000 mAh rechargeable en filaire avec un bloc 10 Watts. La sécurisation passera par le lecteur d’empreintes au dos ou la reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal. Quant à la ROM, elle repose sur Android 9.0 Pie.

Pour l’accès à Internet depuis la maison, il y a plusieurs technologies terrestres. Quelles sont-elles ? Quels sont leurs avantages et inconvénients ?

Dans une vidéo, le comparateur d’offres Internet Selectra fait le point sur les technologies terrestres disponibles pour l’accès à Internet à la maison. On a droit à quelques rappels concernant les technologies ADSL, VDSL, FTTLA et FTTH, avec leurs avantages et inconvénients. 

On apprend ainsi que l’ADSL propose un débit descendant compris entre 1 et 15 Mbit/s, alors que son évolution nommée VDSL laisse envisager jusqu’à 70 Mbit/s, voire 100 Mbit/s pour les lignes les plus courtes. En contrepartie, le VDSL utilise des fréquences plus sensibles à l’atténuation. Ses forts débits ne concernent ainsi que les logements situés à moins d’un kilomètre du nœud de raccordement. Près de 99 % des foyers français sont éligibles à ces deux technologies, ce qui explique qu’elles sont les plus couramment utilisées.

Du côté de la fibre optique, il y a la technologie FFTH qui propose une liaison 100 % fibre jusqu’à l’abonné, alors que la technologie FFTLA n’est synonyme de fibre que jusqu’au dernier amplificateur, une liaison coaxiale prenant en effet le relais sur les derniers mètres. La première solution offre les débits les plus élevés.

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La jeune marque Redmi annonce que son premier smartphone est un succès. En quelques mois, plusieurs millions d’exemplaires ont été écoulés.

Début janvier, Xiaomi a officialisé l’émancipation de sa gamme de smartphones Redmi. Réputée pour ses modèles de milieu de gamme à prix attractif, elle devenait une marque. On découvrait alors le Redmi Note 7, premier smartphone de cette nouvelle ère.

Trois mois plus tard, Redmi fait le bilan. Un bilan plutôt positif, si on se fie aux 4 millions d’exemplaires du Redmi Note 7 écoulés en moins de trois mois. Il faut dire aussi que le smartphone ne manque pas d’arguments, au regard de son prix contenu (à partir de 199,90 euros chez nous et encore moins cher en Chine) : chipset Snapdragon 660, écran Full HD+, capteur photo 48 Mégapixels, batterie 4 000 mAh et charge rapide 18 Watts.

Notez enfin, comme on l’a appris dernièrement, que la variante Pro avec chipset Snapdragon 675 et capteur photo Sony (au lieu de Samsung) n’est pas vouée à s’aventurer en Europe, et par extension en France.