Auteur : dimitri

 

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons du Dolby Atmos attendu prochainement sur le player de la Freebox Delta.

Dans le player de sa Freebox Delta, Free a intégré une barre de son à six haut-parleurs, fruit d’une étroite collaboration avec Devialet. Xavier Niel nous avait confirmé en exclusivité l’arrivée du Dolby Atmos sur celle-ci. Mais qu’est censée apporter cette technologie ?

Développée par Dolby Laboratories, la technologie Dolby Atmos a été présentée en 2012. Par rapport aux autres technologies de spécialisation du son de la société qui se contentaient d’une spatialisation sur le plan horizontal, celle-ci renforce l’immersion en ajoutant la verticalité (différence de positionnement sur un plan vertical). Cela passe par des haut-parleurs installés au plafond ou orientés vers le plafond, dans le cas d’un système audio très complet (au cinéma ou à la maison), ou par la réflexion, dans le cas d’une barre de son (à la maison). Imaginez avec un hélicoptère qui décolle ou atterrit. Le son vous permettra de suivre son déplacement et situer sa position (au sol ou dans les airs). C’est dans ce genre de scènes qui le Dolby Atmos prend tout son sens.

(Crédit photo : KEF)

Pour quels appareils ? Comme déjà dit, il y a les amplificateurs audio avec plusieurs enceintes ou les barres de son avec amplificateur intégré, telles que celle du player Free Devialet. Mais on peut citer également les smartphones. Le ZTE Axon 10 Pro 5G dévoilé en février 2019, au MWC de Barcelone, s’annonce en effet compatible Dolby Atmos.

Pour quels contenus ? Le Dolby Atmos est proposé dans les salles de cinéma, mais également à la maison avec les Blu-Ray ou les services de vidéo à la demande (Netflix, par exemple). Le premier long-métrage avec une piste Dolby Atmos était d’ailleurs Rebelle (ou Brave, dans les pays anglophones). Sans oublier les jeux vidéo. Citons le très populaire Assassin’s Creed Origins.

La France réservera les fréquences de la 5G aux opérateurs Bouygues, Free, Orange et SFR. Les industriels seront en effet exclus du processus d’attribution prévu en fin d’année.

Fin janvier, le gouvernement a annoncé que les enchères pour l’attribution des fréquences de la 5G interviendront dans le courant de l’automne 2019. À l’occasion d’une interview accordée au quotidien Le Monde, Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État chargée des télécoms, a révélé une nouvelle info à propos du processus.

Pas question d’inclure les industriels dans la partie, comme en Allemagne, où une partie des fréquences de la 5G leur est réservée. En France, les opérateurs télécoms auront en effet la priorité. Bouygues, Free, Orange et SFR seront ainsi les seuls à participer aux enchères. Pour autant, les acteurs extérieurs au milieu des télécoms ne seront pas totalement oubliés. Selon Agnès Pannier-Runacher, si aucune demande claire n’a été formulée, le gouvernement s’assurera qu’ils puissent accéder à la 5G « dans de bonnes conditions ». Rien d’étonnant, sachant que la 5G s’annonce prometteuse en termes d’usages dans le domaine de l’industrie, mais également de la ville connectée. Elle apportera bien plus que de meilleurs débits au grand public.

Source : Le Monde

La société App Annie, spécialisée dans la mesure et l’analyse d’audience dans le secteur des applications mobiles, vient de publier ses classements pour le premier trimestre 2019. L’occasion de découvrir celles qui sont les plus téléchargées, mais également celles qui génèrent le plus de revenus.

Combinant les téléchargements sur les plates-formes App Store et Play Store, les données relatives aux volumes de téléchargements sont divisées en deux parties, avec celles concernant les jeux et celles à propos des applications autres que les jeux. App Annie évoque 30 milliards de téléchargements, soit 10 % de plus que sur la même période en 2018.

Les dix jeux mobiles les plus téléchargés sont donc Color Bump 3D, Free Fire, Subway Surfers, PUBG Mobile, Paper.io 2, My Talking Tom 2, Brawl Stars, Helix Jump, Happy Glass et Drive and Park. 

Les dix applications les plus téléchargées sont Facebook Messenger, Facebook, WhatsApp Messenger, Tik Tok, Instagram, SHAREit, Netflix, Like, Snapchat et Spotify. Les réseaux sociaux apparaissent clairement comme la plus grosse activité sur smartphone et tablette tactile. Notez que le streaming audio et vidéo n’est pas mal positionné non plus, avec Netflix en 7e place et Spotify en 10e place. 

Passons aux applications et jeux générant le plus de revenus, que ce soit grâce à un abonnement, à l’achat ou aux achats intégrés. Là encore, les données combinent les celles pour iOS et Android. Sur la période, les dépenses des utilisateurs s’élevaient à 22 milliards de dollars. Par rapport à l’année dernière, le chiffre affiche une progression de 20 %. Apple capte d’ailleurs une bonne partie des revenus, puisque 14 milliards ont été générés sur iOS.

Les jeux rapportant le plus sont Fate Grand Order, Honour of Kings, Candy Crush Saga, Monstrer Strike, Dragon Ball Z Dokkan Battle, Fantasy Westward Journey, Lineage M, Pokémon GO, Puzzle & Dragons et QQ Speed.  

Quant aux applications les plus rémunératrices, il s’agit de Tinder, Netflix, Tencent Video, iQiYi, Pandaro Music, YouTube, Kawei, Youku, LINE Manga ou Line.

Un utilisateur est parvenu à contourner la reconnaissance d’empreintes digitales de son smartphone Galaxy S10. Il a suffi d’une empreinte laissée sur une bouteille en verre…

Pour la sécurisation de ses données, le smartphone Galaxy S10 propose un lecteur d’empreintes ultrasonique installé dan l’écran. En contrepartie d’une vitesse de reconnaissance plus lente et d’une plus grande sensibilité aux rayures sur l’écran par rapport à un lecteur d’empreintes optique, le lecteur d’empreintes ultrasonique s’annonce plus précis et plus sûr. Cela s’explique par le fait qu’il repose sur une lecture en 3D (longueur, largeur et profondeur), au lieu de 2D (longueur et largeur).

Plus sûr ? Pas forcément si l’on en croit l’un des propriétaires du Galaxy S10. Après avoir récupéré son empreinte laissée sur une bouteille en verre, puis l’avoir retouchée sur Photoshop, imprimée en 3D et présentée au lecteur d’empreintes, il est parvenu à déverrouiller son Galaxy S10. Une petite démonstration en vidéo a d’ailleurs été publiée sur Imgur.

Même si on imagine que Samsung va faire le nécessaire pour améliorer les performances son capteur biométrique, on constate que le bon vieux mot de passe a encore de beaux jours devant lui, avec la lecture d’empreintes digitales et la reconnaissance faciale voulues plus sécurisées et annoncées chaque fois plus abouties, mais qui continuent de se faire berner. D’autant plus qu’un mot de passe se change, contrairement à des empreintes digitales. On ne peut en revanche enlever à ces solutions leur côté très pratique, au regard du nombre de fois où l’on dégaine le smartphone chaque jour.

 Source : Le Figaro

 

Le développeur de FMobile poursuit son travail autour de la seconde génération de son application qui libérait initialement les abonnés Free Mobile de l’itinérance Orange et qui fonctionne désormais avec les opérateurs du monde entier. La publication d’une troisième version beta, synonyme d’une stabilité proche de la première génération, est d’ailleurs l’occasion de lancer un appel à destination de Free.

Évoquant le chiffre de 2 700 testeurs et le fait qu’il n’a jamais sollicité l’aide de Free, le testeur déclare avoir aujourd’hui besoin de l’opérateur pour améliorer la détection de l’itinérance et rendre son application compatible avec les tablettes iPad 4G  :

« Aujourd’hui, pour tous les utilisateurs de l’application et les clients Free Mobile, Free peut faire quelque chose de relativement simple à leur échelle pour aider ses abonnés tant bien sur iPhone que sur iPad. 

Depuis la sortie de la 2ème génération de FMobile sur iPad en bêta, l’application n’a pas cessé de planter. Après une longue enquête, et grâce au réseau F-Contact, j’ai réussi à en tirer une hypothèse et grâce à deux courageux testeurs qui ont accepté d’installer plusieurs versions de prototypes de FMobile, ils ont pu confirmer ma théorie (merci à eux). En réalité, la 2ème génération de FMobile est compatible avec les iPad cellulaires, mais elle requiert une action de Free au préalable pour fonctionner. Une action que Free a fait sur iPhone mais n’a jamais fait sur iPad, et il serait peut-être temps que cela change. Pour que le nouveau FMobile fonctionne sur iPad, Free doit distribuer un simple fichier de configuration opérateur (appelé Carrier Bundle) via une MÀJ opérateur. Actuellement, Free n’est pas déclaré par quelconque fichier de configuration, ce qui entraîne l’utilisation d’un fichier générique (et c’est pour cela que les iPad affichent LTE au lieu de 4G, avec un avertissement de compatibilité lors de l’activation de la 4G). Dès que Free distribuera ce fichier de configuration, FMobile deviendra instantanément compatible avec tous les iPad 4G ayant effectué la mise à jour opérateur. J’invite Free à le faire, comme l’ont fait ses concurrents depuis bien longtemps.

Parallèlement à cela, si c’est possible, j’invite également Free à se renseigner sur la possibilité de retirer Orange des PLMN de ce même fichier de configuration sur iPhone. En effet, en faisant cela, la détection de l’itinérance pourrait être d’une fiabilité sans précédent, l’application pouvant alors se passer du test de débit et de la détection "manuelle". Évidement, ce n’est en aucun cas une obligation ni une pression que je mets à Free, mais une simple invitation. Si Free ne réagit pas à celle-ci, je me chargerai de porter la 1ère génération dans la 2ème, néanmoins pour le peu d’efforts (a priori) que cela demande, ce serait dommage de revenir à l’ancien procédé de détection de l’itinérance, qui est nettement moins fiable. »

Pour revenir à la bêta 3, proposée sur iOS et disponible via TestFlight (à défaut de franchir les portes de l’App Store), elle annonce les nouveautés, améliorations et corrections suivantes : 

– L’interface de l’app est désormais 100% stable

– Amélioration du DataManager

– Support du réseau "F – Contact" + autres opérateurs non déclarés

– Amélioration du contrôle du pays

– Une partie des notifications informatives n’étaient pas encore masquées, c’est désormais le cas

– Suppression quasi totale des plantages

– Support partiel des iPad cellulaires

– Affichage d’une notification au démarrage de l’application sur iPad uniquement pour expliquer pourquoi l’app est incomplète dessus (prise d’otage façon Altice).

  

 

Tour à tour, les smartphones Galaxy A de 2019 se dévoilent, au travers de fuites, puis d’annonces. Aujourd’hui, parlons du Galaxy A80, dont les caractéristiques ont fuité sur la Toile.

En amont d’un événement au cours duquel on espère découvrir des smartphones Galaxy A80 et Galaxy A90, le Galaxy A80 a fait une apparition dans la base de données de GeekBench, avec une référence SM-A805F. 

Les caractéristiques mentionnent le processeur octa-core d’un chipset Qualcomm, associé à 8 Go de RAM. Elles font également référence au système Android 9.0 Pie, ce qui sous-entend d’ailleurs la nouvelle interface One UI du constructeur sud-coréen.

En parallèle, les caractéristiques en fuite évoquent aussi un écran Super AMOLED Full HD+ et une grosse batterie avec une charge rapide. Les attentes portent enfin sur un lecteur d’empreintes directement intégré à l’écran et un capteur photo principal 48 Mégapixels.

Source : GSMArena

Le prochain smartphone Galaxy Note de Samsung se déclinerait en quatre versions. Parmi elles, deux seraient compatibles 5G.

En février dernier, Samsung a présenté sa nouvelle génération de smartphones Galaxy S avec quatre modèles Galaxy S10e, Galaxy S10, Galaxy S10+ et Galaxy S10 5G. Comme tous les ans, la famille Galaxy Note, qui mise sur un grand écran et un stylet (rendu compatible Bluetooth en 2018), sera renouvelée plus tard dans l’année, à l’occasion d’un événement dédié.

Et d’après les dernières fuites à son sujet, cette génération Galaxy Note10 serait synonyme de quatre smartphones. Il y aurait deux modèles compatibles 4G, ainsi que deux modèles compatibles 5G. Avoir des modèles 5G n’a rien de surprenant, après un Galaxy S10 décliné en version 5G. Mais quelles différences entre les deux versions 4G et les deux versions 5G ? Il y aurait en fait une version 6,28 pouces avec trois capteurs photo dorsaux et une version 6,75 pouces dotée de quatre capteurs photo au dos. Comme sur la gamme Galaxy S, il s’agirait d’offrir plus de choix et de rendre la famille Galaxy Note plus accessible à l’heure où les prix s’envolent.

Source : SamMobile

Cette semaine, nous testons pour vous le jeu Alpa Guns, disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien. Ce beat them all puise son inspiration dans la saga Metal Slug de SNK. Et il le fait plutôt bien.

Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K, voici le jeu Alpha Guns, un titre clairement inspiré de la saga Metal Slug de SNK. Le principe est assez simple, puisqu’il s’agit d’avancer tout en dézinguant des ennemis à tour de bras avec les armes à votre disposition. 

Commençons par la prise en main. Le jeu permet de jouer avec la télécommande de la mini 4K ou avec la manette Freebox. Nous vous déconseillons fortement le premier choix et vous suggérons plutôt d’opter pour le second. Tenir la télécommande en mode manette n’a rien d’agréable et passer son temps à chercher les boutons d’action n’a rien d’intuitif.

Avec la manette, la croix multidirectionnelle sert à avancer, reculer, se baisser ou viser vers le haut, tandis qu’on dispose de boutons pour le tir ou le saut. On peut d’ailleurs tirer en continu en maintenant le bouton de tir enfoncé. Une petite chose (désagréable) que nous avons constatée à plusieurs reprises lors de nos parties : la détection étrange de nos quelques manettes Freebox. On se retrouve à regarder en l’air ou à se baisser, au lieu d’avancer ou de reculer. Il nous a suffi de débrancher et rebrancher la manette pour que tout rentre dans l’ordre. Rien de grave, mais c’est le genre de choses que l’on aimerait éviter. D’autant plus que le jeu est encore mis à jour (la dernière update remonte en effet au 3 avril 2019).

Poursuivons avec les ennemis que vous serez amenés à croiser. Il y a évidemment ceux de base que l’on met hors d’état de nuire à l’aide d’une seule balle.

On tombe également sur des boss intermédiaires tels que les tanks et les hélicoptères, qu’il faut trouer comme du gruyère pour en venir à bout. Il suffit de les allumer et se mettre à l’abri quand vient leur tour de tirer, avant de revenir à la charge.

Les fins de niveau sont enfin synonymes de boss particulièrement coriaces. Citons la tête de mort qui vous attend à l’issue du premier niveau. Elle vous envoie la cavalerie et vous rentre dedans à l’occasion.

Parlons maintenant des armes. Il y a le pistolet de base dont les munitions sont illimitées et les armes plus efficaces telles que la mitraillette, le lance-flamme ou le lance-roquettes dont les munitions sont limitées. Évidemment.

Ces armes plus efficaces peuvent être ramassées sur le chemin grâce à des caisses parachutées ou bien achetées depuis la boutique intégrée au jeu dont nous parlerons plus bas. Elles seront bienvenues au moment de s’attaquer aux boss intermédiaires, et encore plus aux boss finaux. Sans elles, on a un peu l’impression d’avoir un pistolet à bouchon à ce moment-là…

Sur votre route également, des vies supplémentaires amenées par des ailes, qui ne seront d’ailleurs pas un luxe, tant la difficulté est vite perceptible et croissante.

Cette difficulté, justement, sera là pour vous inciter à mettre la main au porte-monnaie. En effet, si Alpha Guns est téléchargeable gratuitement, il propose des achats in-app pour faciliter votre progression et surtout rémunérer le développeur. 

Des achats in-app de quelques euros qui, cumulés, peuvent d’ailleurs vite faire grimper la facture. La personne et l’arme la moins chère valent par exemple 2,19 euros chacune. Un aspect à garder à l’esprit si le jeu vous plait vraiment et si vous comptez le terminer.

VERDICT : avec ses graphismes sympas, sa musique hardrock qui se laisse écouter (même si un peu répétitive), sa prise en main aisée (si on met de côté la mauvaise détection de la manette facile à corriger) et sa bonne fluidité, Alpha Guns a des arguments pour plaire à ceux cherchant un bon défouloir ou même aux amateurs de Metal Slug dont il s’inspire. Reste la difficulté vite palpable qui vous suggérera rapidement de passer à la caisse pour profiter pleinement du jeu. Un aspect à prendre en compte si vous n’êtes pas de ceux qui payent. Et pour ceux qui imaginaient jouer à la télécommande, comme nous le disions en début d’article, c’est clairement à oublier. Manette obligatoire ou crise de nerfs assurée.

En cas de problème avec l’agrégation xDSL/4G sur la Freebox Delta, voici ce qu’il faut vérifier.

Dans une vidéo, un abonné Freebox Delta évoque le problème de l’agréation xDSL/4G et ce qu’il peut être intéressant de vérifier. Il retire le rack dans lequel se trouve le module xDSL/4G (celui marqué 1), décolle légèrement le coin droit de l’étiquette, retire la vis T7 et déclipse enfin le capot. On découvre alors les deux câbles près d’une vis cruciforme qui pourraient s’être déconnectés et poser problème pour l’agrégation xDSL/4G. 

Pour rappel, nous avons publié un tutoriel pour vous montrer comment profiter de l’agréation xDSL/4G en toute circonstance et réalisé quelques tests pour constater la hausse des débits.

Cdiscount Mobile propose un forfait mobile 100 Go en promotion. Il est disponible en Série Limitée à moitié prix pendant un an.

Jusqu’au 18 avril inclus, Cdiscount Mobile brade son forfait mobile 100 Go, qui se retrouve ainsi à 9,99 euros au lieu de 20 euros durant les 12 premiers mois. La carte SIM, payable à la commande, coûte 10 euros.

Sans engagement, ce forfait comprend aussi les appels, SMS et MMS en illimité. Pour revenir à la partie data, les 100 Go sont utilisables en 4G (jusqu’à 100 Mbit/s). Au-delà de l’enveloppe, les débits sont réduits. Notez enfin qu’une enveloppe supplémentaire de 5 Go est disponible dans le reste de l’Union européenne et dans les DOM, avec des débits 3G/3G+.