Auteur : dimitri

Oppo Reno : smartphone avec un capteur photo façon aileron de requin et une option 5G

Le smartphone Oppo Reno arrive en France. Rappelons les caractéristiques des différentes versions et découvrons leurs prix en euros.

Oppo fait partie des marques de smartphones chinoises récemment arrivées en France. Appartenant au groupe BBK Electronics qui possède également les marques OnePlus et Vivo, elle s’est illustrée l’année dernière grâce à un modèle Find X au format coulissant disponible chez nous.

Dévoilé à domicile il y a peu, son nouveau smartphone porte-étendard a été présenté en Suisse et va s’aventurer en France. On connait ainsi ses prix en euros, à savoir 499 euros pour la version Standard Edition qui arrivera le 10 mai, 799 euros pour la version 10x Zoom Edition prévue début juin et 899 euros pour la version 5G attendue en mai.

Dans les grandes lignes, l’Oppo Reno Standard Edition s’équipe d’un chipset Snapdragon 710, d’une batterie 3 765 mAh, d’un écran AMOLED 6,4 pouces FHD+, de capteurs photo 48 et 5 Mégapixels au dos et d’un capteur photo 16 Mégapixels à l’avant qui prend la forme d’un aileron de requis lorsqu’il est déployé. 

L’Oppo Reno 10x Zoom Edition permet principalement de passer au chipset Snapdragon 855 et d’améliorer la partie photo avec un triple capteur 48 + 13 + 8 Mégapixels laissant envisager du zoom hybride 10x. L’écran passe à une diagonale de 6,6 pouces et la batterie  à une capacité 4 065 mAh.

Quant au Oppo Reno 5G, il reprendra la configuration de l’Oppo Reno 10x Zoom Edition et apportera la nouvelle connectivité 5G. En l’absence de réseau 5G en France pour le moment, il ne devrait pas arriver chez nous. Pas tout de suite, en tout cas.

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Débits fixes : l’Arcep veut une API pour les box de Bouygues, Free, Orange et SFR afin d’améliorer les mesures

L’ARCEP lance une consultation publique. Le régulateur des télécoms a en effet pour projet une API dans les box de Bouygues, Free, Orange et SFR qui permettrait d’améliorer les mesures des débits Internet fixes.

Mesurer correctement la qualité de connexion sur une ligne fixe peut parfois s’avérer complexe. « Quasi-impossible techniquement » pour l’ARCEP, qui planche ainsi depuis janvier 2018 sur une API à intégrer dans les box Internet des opérateurs. L’objectif ? Rendre les analyses plus simples pour les outils de mesure (les outils de speedtest qui respecteront un code de bonne conduite) et les résultats ainsi plus transparents pour les consommateurs.

Aujourd’hui, l’ARCEP lance une consultation publique, après un chantier ayant réuni « une vingtaine d’acteurs dont des outils de mesure en crowdsourcing, des opérateurs et des acteurs académiques ». Décrit comme « la carte d’identité de l’accès », l’outil devra simplifier la reconnaissance de la technologie utilisée (cuivre, câble, fibre optique, etc.) et la mesure des débits envisageables (en réception comme en émission). Le gendarme des télécoms se veut rassurant concernant le volet vie privée, affirmant qu’aucune information ne filtrera sur les abonnés. Ni le nom, ni l’identifiant.

Ouverte jusqu’au 27 mai 2019, la consultation vise à recueillir toute suggestion, en particulier sur les quatre aspects suivants :

– Le périmètre des opérateurs et des box concernés par la mise en place de l’API
– Les paramètres remontés par l’API
– Les modalités d’implémentation et de restriction d’accès à l’API
– Le calendrier de mise en œuvre

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Freebox OS : quelles sont ces deux icônes non utilisées présentes dans le code source ?

 

En fouillant dans le code source de Freebox OS, le système d’exploitation des Freebox accessible depuis le navigateur Web, on peut remarquer deux icônes non utilisées. À quoi correspondent-elles ?

Le fichier PNG stockant les différentes icônes de l’interface Freebox OS, avant hashage et répartition grâce au CSS, en contient en effet deux non utilisées. Si vous êtes abonné chez Free, vous pouvez d’ailleurs retrouver le fichier à cette adresse.

Il y a celle d’un troll apparemment là depuis quelques temps. On la devine destinée à ceux qui fouinent dans le code source à la recherche d’indices concernant des fonctionnalités à venir. Mais on remarque surtout celle présentant un ordinateur de bureau encapsulé dans une forme de delta. La possibilité d’accéder à Freebox OS depuis l’interface TV ? On attend vos pronostics dans les commentaires.

 

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Vidéo : comment fonctionne un réseau mobile ?

Dans une vidéo postée sur son compte YouTube, Vendée Numérique résume dans les grandes lignes le fonctionnent d’un réseau mobile.

En situation de mobilité, la connexion à Internet passe par les réseaux 3G ou 4G. À travers une vidéo postée sur sa chaîne YouTube, Vendée Numérique explique comment ces derniers fonctionnent.

L’occasion de rappeler que les réseaux 3G/4G sont déployés par des opérateurs télécoms privés comme Free Mobile ou Orange et que les antennes sont installées en hauteur (immeubles, châteaux d’eau, églises ou pylônes) et raccordées en fibre optique.

La vidéo en profite également pour expliquer la perte de débits, voire de couverture : zone mal couverte, maison aux murs épais, bâtiment métalliques, forêt dense ou lieu avec de nombreuses connexions simultanées (concerts, par exemple).

 

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Nokia 1 Plus : Univers Freebox a testé le smartphone 4G 700 MHz le moins cher de la boutique Free Mobile, une expérience plutôt agréable

Free Mobile propose le smartphone Nokia 1 Plus. Il s’agit du modèle 4G 700 MHz le moins cher de sa boutique. Univers Freebox l’a testé pour voir ce qu’il vaut au quotidien.

Avant de commencer ce test, plantons le décor et rappelons les principales caractéristiques de ce smartphone vendu à 99 euros :

– Processeur : quadruple cœur A53 cadencé à 1,5 GHz (chipset MediaTek MT6739)
– Mémoire vive : 1 Go
– Écran : dalle IPS 5,45 pouces affichant une définition FWVGA+ (480 x 960 pixels)
– Stockage : 8 Go extensibles (grâce un slot MicroSD dédié)
– Compatibilité 4G : catégorie 4 jusqu’à 150 Mbit/s en réception ; support des bandes 700, 800, 850, 900, 1800, 2100 et 2600 MHz
– Appareil photo dorsal : 8 Mégapixels avec flash LED
– Appareil photo frontal : 5 Mégapixels
– Prise casque : oui (tranche supérieure)
– Connectique de charge : Micro-USB 2.0 (tranche inférieure)
– Batterie : 2 500 mAh (facilement accessible et amovible)
– Système d’exploitation : Android 9.0 Pie

 

Extérieur et écran

Commençons par l’aspect extérieur du Nokia 1 Plus. Le smartphone donne une impression d’assemblage bien fini. Pas de jeu ou de plastique qui craque. Grâce à son dos texturé, qui se retire d’ailleurs sans mal pour accéder aux cartes SIM, à la carte MicroSD ou à la batterie, il ne glisse pas des mains. Pas d’effet savonnette. Le poids bien réparti participe à la prise en main agréable.

Une fois l’appareil allumé, on se trouve face à un écran plutôt agréable à regarder, avec une luminosité correcte sans être exceptionnelle et des angles de vision assez bons. Bien évidemment, la définition faiblarde fait qu’il ne faudra pas s’attendre à un affichage exceptionnel en ayant le nez collé à l’écran. Parlons ensuite du tactile. S’il s’avère réactif, il n’est en revanche pas le plus agréable à utiliser, en raison d’une petite sensation d’accroche du doigt.

Appels et surf sur Internet

En ce qui concerne les appels, ils se lancent assez rapidement. Notez d’ailleurs que vous pourrez gérer deux numéros en même temps, sans sacrifier l’extension MicroSD, grâce à la présence de deux emplacements SIM et d’un slot MicroSD dédié. Tant mieux, sachant qu’on parle de 8 Go, avec à peine la moitié de cet espace réellement disponible. Toujours à propos des cartes SIM, il faudra choper le coup de main pour l’insertion. Il suffit en effet de glisser le rail, puis de la basculer vers le haut.

Abordons maintenant la partie surf. Avec une bonne connexion 4G ou Wi-Fi, le surf et le téléchargement ne s’effectuent pas à toute vitesse, mais se passent assez convenablement. Voici d’ailleurs des mesures réalisées avec nPerf pour illustrer les débits 4G obtenus en intérieur et en extérieur. L’accroche réseau s’effectue dans un délai convenable.

Ci-dessous, en intérieur, avec un pic à 28 Mbit/s en réception et 16 Mbit/s en émission :

Ci-dessous, les tests en extérieur avec des pics à 91 et 63 Mbit/s en réception, le second ayant été effectué près d’une antenne émettant sur la bande des 700 MHz :

 

Car oui, le Nokia 1 Plus gère la bande des 700 MHz (B28) pour la connexion 4G. Un bon point, quand on est abonné chez Free Mobile. C’est d’ailleurs le smartphone le moins cher de la boutique avec la 4G en 700 MHz.

Son et photo

Poursuivons avec le son. Nous avons testé le haut-parleur d’appel et le haut-parleur d’écoute qui manquent de puissance et produisent un son nasillard dépourvu de basses. D’ailleurs, le haut-parleur d’écoute se trouve au dos. Il faudra donc poser le smartphone sur l’écran pour écouter de la musique ou le tenir pour regarder une vidéo. Notez enfin que le mini-jack est présent. Un bon point pour les mélomanes. À ce propos, les écouteurs d’origine, sans être exceptionnels, font le job.

Parlons de la partie photo, dont on n’attend pas forcément des étincelles, étant donné le positionnement du smartphone. Le capteur 8 Mégapixels au dos produit des clichés tout juste corrects pour de la publication sur les réseaux sociaux ou de la consultation sur smartphone. Rien de plus.

Ci-dessous, des clichés en extérieur, lors d’une journée peu ensoleillée :

Puis un cliché en intérieur, avec peu d’éclairage :

Idem pour le module 5 Mégapixels dédié aux selfies. Avec, il faudra également oublier les clichés en basse luminosité, en raison de l’absence de flash.

Performances, autonomie et partie logicielle

Terminons sur le ressenti global concernant les performances du smartphone, l’autonomie et le système à bord. Le Nokia 1 Plus ne brille pas par ses performances. Il faut parfois attendre un peu avant le chargement des applications un peu gourmandes. Il n’est pas non plus difficile à faire chauffer avec une installation de mise à jour (comme lors de notre premier démarrage) ou une application de benchmark de type AnTuTu. La configuration modeste permettra en revanche une autonomie correcte, malgré la petite batterie à bord. Avec un usage modéré, on peut sans problème envisager les deux jours. À propos de la batterie, ne soyez pas pressés. Il faut bien deux bonnes heures pour faire le plein. Pas de charge rapide au programme.

Quant à la ROM fournie, elle repose sur Android 9.0 Pie, la dernière version de l’OS mobile de Google, et n’est pas blindée de logiciels/jeux issus de partenariat. Un bon point.

 

VERDICT : le Nokia 1 Plus, c’est le smartphone qu’on peut conseiller si vous avez un budget très limité, celui dont on ne regrette pas rapidement l’achat en raison d’une expérience imbuvable. S’il ne promet pas monts et merveilles en termes de performances ou de photos et s’il n’a pas de quoi faire rêver les technophiles concernant les fonctionnalités, l’appareil assure le minimum syndical et le fait bien. Il offre en effet un écran convenable, un système à jour, une interface plutôt fluide, une gestion dual-SIM et un surf Internet confortable. Sans oublier sa conception, sombre et plastique, mais de bonne facture. S’il y avait quelque chose à lui reprocher, ce serait sa capacité de stockage, de seulement 8 Go, mais fort heureusement extensible par MicroSD. En étant tatillon, on pourrait également pointer sa connectique Micro-USB, mais cela reste pardonnable sachant qu’on parle d’un smartphone à 99 euros.

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Téléphonie mobile : qu’est qu’un MVNO ou opérateur virtuel ?

 

Dans le secteur de la téléphonie mobile, il y a des opérateurs dit virtuels, ou MVNO. Qui sont-ils ? Comment se différencient-ils par rapport aux opérateurs classiques ?

Dans une vidéo, le comparateur d’offres Internet Selectra fait le point sur ce qu’on appelle les opérateurs mobiles virtuels, ou MVNO (Mobile Virtuel Network Operator). Par rapport aux opérateurs classiques, ceux-ci n’ont pas de couverture réseau propre. Ils doivent ainsi louer celui des autres. Il existe deux types de MVNO : les MVNO Light comme La Poste Mobile ou Coriolis, qui se contentent d’acheter les cartes SIM et les communications en gros avant de les vendre, ou les Full MVNO comme Euro Telecom (marques Auchan Télécom et NRJ Mobile), qui possèdent toutes les caractéristiques d’un opérateur sauf le réseau et qui peuvent exploiter plusieurs réseaux en même temps. Les opérateurs dits virtuels ciblent généralement les marchés de niche (ados, seniors, etc.) et misent sur des prix bas.

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OnePlus 7 : la marque confirme les trois versions et promet un écran super fluide

OnePlus confirme l’arrivée de trois versions pour son prochain smartphone haut de gamme et promet une technologie d’écran révolutionnaire.

Lors d’une interview accordée au site The Verge, Pete Lau, CEO de OnePlus, a confirmé l’existence d’une variante Pro équipée d’un nouvel écran rapide et fluide, mais aussi d’une version 5G pour cette variante Pro. Il devrait donc bel et bien y avoir trois modèles du OnePlus 7 attendu en mai. Une segmentation qui devrait permettre de rester accessible (même si on est loin des prix du début), tout en proposant les dernières technologies afin de conserver une image de challenger sur le haut de gamme.

Pour revenir à l’écran présenté comme révolutionnaire sur la version Pro, il pourrait s’agir d’une dalle avec un taux de rafraîchissement à 90 Hz. Des rumeurs circulent en effet à ce propos. Le taux de rafraîchissement conventionnel dans les smartphones est de 60 Hz. Il existe toutefois des modèles orienté gaming comme l’Asus ROG Phone qui propose du 90 Hz et les Razer Phone 1 et 2 qui annoncent du 120 Hz. Pas question de recharge sans-fil, par contre. La firme chinoise a confirmé écarter cette technologie, la trouvant peu intéressante face aux technologies de charge filaire.

Source : The Verge

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Galaxy Fold : la sortie du smartphone pliable de Samsung repoussée

 

Après des problèmes entre les mains de certains journalistes, Samsung décide de reporter la sortie du Galaxy Fold, son premier smartphone pliable.

En amont de son arrivée sur les étals, prévue le 26 avril aux États-Unis et le 3 mai en France, le Galaxy Fold a pu être testé par les journalistes. Malheureusement, ça ne s’est pas passé comme prévu, outre-Atlantique en tout cas. Plusieurs modèles ont fini avec un écran souple abîmé, voire cassé. Pour une bonne partie des cas, la chose s’explique par une couche protectrice retirée, car prise pour un film d’écran.

Samsung a rapidement récupéré les modèles cassés pour mener sa petite enquête, qui a d’ailleurs révélé des chocs au niveau de la charnière et des infiltrations de substance ayant pu affecter le fonctionnement de l’écran. Quoi qu’il en soit, et pour s’éviter un nouveau couac à la Galaxy Note7, le constructeur vient d’annoncer que le lancement était reporté, le temps de réaliser d’autres tests en interne, de prendre les mesures nécessaires pour renforcer la protection d’écran (la rendre plus difficile à retirer, on imagine) et communiquer davantage sur le fait qu’elle ne doit pas être retirée. De nouvelles dates de lancement seront communiquées prochainement.

Source : The Verge

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FMobile : l’application qui libère les abonnés Free Mobile de l’itinérance Orange intègre désormais un outil de diagnostic

 

Le développeur de l’application FMobile, compatible avec les iPhone, libère une nouvelle mouture à travers le canal stable. Deux grosses nouveautés sont au programme, parmi lesquelles un outil de diagnostic.

Disponible sur TestFlight, à défaut de franchir les portes de l’App Store, l’application FMobile a été initialement pensée pour se libérer de l’itinérance Orange. Depuis une seconde génération, elle peut fonctionner avec les opérateurs du monde entier. Les utilisateurs ont le choix entre  des moutures préliminaires diffusées régulièrement via un bêta (Fidelity Beta Testing) ou des versions plus stables déployées via un canal LTS (Long Term Support).

Une nouvelle version estampillée 1.05 (59) a été déployée via le canal LTS, avec deux grosses nouveautés :
– Standardisation du code
– Amélioration de la détection d’itinérance pour les opérateurs hors France Métropolitaine 
– Optimisations 
– Corrections de bugs
– Mise à jour de FMobile G1 pour iPad Cellulaire
– NOUVEAU : les tâches d’arrière-plan et l’application travaillent désormais ensemble pour détecter l’itinérance (au-delà de simplement l’afficher dans l’interface) quand l’app est ouverte
– NOUVEAU : FMobile est maintenant livré avec un outil de diagnostic intégré ! Retrouvez-le dans la section avancé de l’app. Pour l’instant, il ne sait pas encore détecter automatiquement les problèmes de configuration, mais il est capable de générer un rapport complet que je vous invite à m’envoyer dès que vous rencontrez un problème avec l’app, car il me permet de comprendre bien plus rapidement ce qu’il s’est passé.

 


 

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L’Arcep prolonge la régulation de la TNT jusque fin 2020

L’Arcep officialise la prolongation de la régulation sur le marché de gros de la TNT et apporte des précisions. Elle sera maintenue jusque fin 2020.

Fin février, l’Arcep confirmait un rétropédalage. Après avoir envisagé de stopper la régulation du marché de gros de la TNT, en raison d’une augmentation du nombre d’abonnés haut débit et très haut débit et d’un accroissement de la consommation des services de télévision par le biais d’Internet, le régulateur annonçait sa décision de maintenir la régulation. Ce changement de position faisait suite à des consultations publiques et divers retours du secteur.

Aujourd’hui, l’Arcep apporte des précisions sur le sujet. La régulation se poursuivra jusque fin 2020, et plus précisément jusqu’au 17 décembre 2020. Comme prévu, elle se retrouve prolongée de deux ans. Si le gendarme des télécoms annonce la prolongation du quatrième cycle de régulation, en prenant « acte des besoins de débit des foyers pour un accès confortable à la télévision et Internet par les réseaux télécoms », elle écarte en revanche « l’option d’un 5ème cycle de régulation ».

Le gendarme des télécoms indique que la décision s’accompagne d’engagements du côté de TDF, qui exploite le réseau d’antennes pour la diffusion de la télévision numérique  à travers la voie hertzienne :

– Prolonger la durée de validité de l’offre de référence de 2020 jusqu’au 31 mai 2021, avec des mises en service intervenant jusqu’au 31 décembre 2021, permettant ainsi de couvrir les appels d’offres lancés par les multiplex au cours de l’année 2021

– Étendre jusqu’à fin 2020 les mécanismes applicables en cas de résiliation des contrats d’accès aux sites réplicables et à augmenter les quotas pour lesquels une résiliation sans frais est possible, passant ainsi de 5 % à 10 % du chiffre d’affaires qualifiant réalisé par TDF auprès de l’opérateur alternatif

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