Auteur : dimitri

Samsung Galaxy A70 : le smartphone grand format désormais disponible en France

Ces derniers mois, Samsung a annoncé tour à tour des smartphones Galaxy A en milieu de gamme. L’un d’eux, le Galaxy A70 offrant un écran XXL, un triple capteur photo et une grosse batterie, est récemment apparu chez les vendeurs en France.

Rappelons que le Samsung Galaxy A70 s’équipe d’un processeur octa-core associé à 6 ou 8 Go de RAM, d’un écran Super AMOLED 6,7 pouces Full HD+ où s’affichera le système Android Pie coiffé de la nouvelle interface One UI, d’un stockage 128 Go extensible par MicroSD, de capteurs photo 32/8/5 Mégapixels au dos (principal, grand-angle 123 degrés et infos de profondeur), d’un capteur photo 32 Mégapixels à l’avant (logé dans une encoche) et d’une connectique physique incluant mini-jack et USB Type-C. Il embarque enfin une batterie 4 400 mAh rechargeable en filaire 25 Watts et un capteur biométrique dans l’écran.

D’après le référencement auprès des revendeurs, le Galaxy A70 sera proposé en France dans une configuration avec 6 Go de mémoire vive et 128 Go de stockage. Elle s’affiche d’ailleurs au prix de 409 euros.

Source : Les Mobiles

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Android 10 Q : Xiaomi indique ses deux premiers smartphones qui y goûteront

Le système d’exploitation Android 10 Q a fait l’objet d’annonces lors de la Google I/O 2019. Tour à tour, les partenaires de la firme de Mountain View communiquent à ce sujet.

Dans la foulée de la présentation d’Android 10 Q lors de la Google I/O 2019, OnePlus a confirmé la bêta sur ses smartphones OnePlus 6 et OnePlus 6T, mais aussi sur le OnePlus 7 Pro attendu demain. Huawei et Honor y sont également allés de leur communication, promettent le déploiement rapide de la version finale après l’arrivée sur les Pixel de Google.

Plus récemment, une publication sur les réseaux sociaux a confirmé que le Xiaomi Mi 9 (que nous avons pu tester) et le Xiaomi Mi Mix 3 (dans sa version 5G annoncée au MWC de Barcelone) participeront également à la phase bêta. Maintenant, la disponibilité n’est pas une surprise, au regard du positionnement haut de gamme de ces smartphones et de leur arrivée récent sur le marché.

 
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Realme : la marque chinoise tease son arrivée prochaine en France et on sait quel smartphone ouvrira le bal

Realme a promis l’arrivée prochaine de ses smartphones en Europe. Comme nous l’apprend un teaser, la France fera partie des marchés servis. On sait d’ailleurs quel modèle ouvrira le bal.

Lors d’une récente interview, Madhav Sheth, le CEO de Realme, confirmait un intérêt pour le marché européen et une disponibilité prochaine des smartphones de la marque chinoise sur le Vieux Continent. Elle devait intervenir avant la fin du premier semestre 2019, et on pouvait espérer trouver la France parmi les pays concernés. Le teasing vient d’ailleurs le confirmer.

Une invitation envoyée par Realme indique en effet une annonce le 24 mai, à Paris. Elle nous renseigne au passage sur le premier modèle (ou l’un des premiers modèles, si d’autres étaient annoncés en même temps) que l’on pourra se procurer. Il s’agira du Realme 3 Pro avec son chipset Snapdragon 710, son écran IPS 6,3 Full HD+, son double capteur photo dorsal 16 + 5 Mégapixels, son module à selfies 25 Mégapixels, sa batterie 4045 mAh avec charge 20 Watts et sa ROM ColorOS 6.0 reposant sur Android Pie. Une solide configuration de milieu de gamme, donc.

Rappelons enfin que Madhav Sheth indiquait une distribution en ligne, sans le recours à des sites partenaires. Comme pour la marque sœur OnePlus, elle aussi propriété du groupe BBK Electronics.

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5G en France : les conditions des enchères pour l’attribution des fréquences se précisent

Alors que les opérateurs mobiles et le régulateur des télécoms sont dans l’attente de plus d’informations concernant les enchères pour l’attribution des fréquences 5G qui se dérouleront à l’automne, le gouvernement français a publié sa lettre pour donner les premiers éléments de cadrage.

Les Echos ont pu prendre connaissance du document, signé par Agnès Pannier-Runacher et Jacqueline Gourault, respectivement secrétaire d’État à Bercy en charge du sujet et ministre chargée de la Cohésion des territoires.

Le gouvernement français souhaite aller plus loin que les exigences de l’Union européenne avec non pas au moins une ville couverte, mais « plusieurs villes », lors du lancement prévu courant 2020. Il insiste également sur le fait que le déploiement doit évidemment concerner les grandes villes pour désengorger les réseaux, mais également englober les milieux ruraux ou montagnards. Voilà pourquoi « la mutualisation des réseaux » est suggérée, afin de permettre un « calendrier raisonnable » et aux opérateurs de s’y retrouver en termes d’investissements. Et d’ajouter que « la bonne couverture mobile de l’ensemble du territoire est un objectif majeur ».

Concernant enfin la question très attendue du coût, il a été indiqué que le prix de réserve sera fixé d’ici l’été par la commission des participations et des transferts, avec la promesse d’un « juste milieu », afin de permettre « des infrastructures numériques de qualité », tout en permettant au prix plancher de « constituer un critère substantiel des attributions ».

Source : Les Echos
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Red by SFR : un forfait 40 Go à 10 euros par mois à vie

La marque Red by SFR propose un forfait mobile 40 Go avec un tarif promotionnel valable à vie.

Jusqu’au 20 mai, la marque low-cost de SFR propose un forfait mobile 40 Go à 10 euros par mois, avec un tarif promotionnel valable à vie. La carte SIM, payable à la commande, revient à 10 euros.

Sans engagement, ce forfait mobile comprend également les appels, SMS et MMS illimités. Pour revenir à la partie data, les 40 Go sont utilisables en France Métropolitaine avec des débits 4G/4G+ et on dispose d’une enveloppe supplémentaire de 4 Go dans le reste de l’Union européenne avec des débits 3G/3G+.

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Huawei P Smart Z : le smartphone annoncé en France avec son capteur photo motorisé et sa grosse batterie

Huawei complète son catalogue de smartphones avec un nouveau modèle de milieu de gamme baptisé P smart Z. Voici son prix pour la France et ses caractéristiques, parmi lesquelles un capteur photo frontal rétractable et une grosse batterie.

Depuis peu, un nouveau smartphone Huawei P smart Z se montrait sur les sites européens du constructeur. On a désormais les informations de distribution concernant la France. Ce modèle arrivera vers la mi-mai dans une configuration 4/64 Go vendue au prix de 279 euros.

Le Huawei P smart Z est un smartphone de milieu de gamme reposant sur un chipset Kirin 710 qui apporte son processeur octa-core jusqu’à 2,0 GHz et sa 4G/LTE jusqu’à 600 Mbit/s en réception (non support de la B28). Il propose aussi un écran IPS 6,59 pouces Full HD+ où s’affichera une ROM Android 9.0 Pie, un stockage extensible par MicroSD, un double capteur photo 16 + 2 Mégapixels au dos et un capteur photo 16 Mégapixels frontal motorisé caché dans la tranche supérieure. La prise casque répond présente, tout comme la connectique USB-C. On trouve enfin une batterie 4 000 mAh.

Source : FRandroid

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Mise à jour Android 10 Q : Huawei et Honor promettent un déploiement très rapide

Huawei et Honor promettent un déploiement rapide de la mise à jour Android 10 Q.

Plus tôt dans la semaine, Google a profité de sa conférence I/O 2019 pour en dire davantage sur son prochain système d’exploitation Android. Dans la foulée, OnePlus a fait comprendre que ses smartphones en profiteront rapidement. Ses actuels OnePlus 6 et OnePlus 6T participent en effet à la bêta. Ce sera également le cas pour ses OnePlus Plus 7 et OnePlus 7 Pro attendus le 14 mai.

Huawei et sa marque Honor y sont également allés de leur communication à propos de la mise à jour Android 10 Q. Une publication sur les réseaux sociaux promet la mise à jour sur les smartphones Honor Magic 3, Honor View 20, Huawei Mate 20 (Mate 20, Mate 20 Pro, Mate 20 X et Mate 20 RS Porsche Design) et Huawei P30 (P30 et P30 Pro), dans la foulée du déploiement sur les Pixel de Google. Sans surprise, le haut de gamme en aura la primeur. Le reste du catalogue sera servi plus tard. La promesse est loin d’être anodine, sachant que le constructeur chinois propose une ROM Emotion UI loin de l’expérience Android pure. Reste donc à voir si elle sera effectivement tenue.

Source : GSMArena
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Interview Univers Freebox : quels améliorations et nouveaux usages attendre de la 5G ? Quid de la 6G dont on parle déjà ?

La 5G est sur toutes les lèvres. Mais qu’apporte-t-elle vraiment en termes d’améliorations, et surtout d’usages pour l’utilisateur ? Cette technologie deviendra une réalité en France courant 2020, alors que d’autres pays se sont déjà lancés. Sommes-nous vraiment en retard ? Bleu122, agence spécialisée dans la création d’applications pour d’autres entreprises et dont nous présentions récemment une infographie comparant la 4G et la 5G, nous apporte des éclaircissement sur cette nouvelle technologie.

1/ Avec la 5G, on promet une forte hausse des débits, ainsi qu’une baisse de la latence. Pouvez-vous nous donner un ordre d’idée ?

La 4G permettait un débit théorique de l’ordre de 200 Mbit/s. Avec la 5G, on peut monter à 10 Gbit/s pour des usages qui nécessitent beaucoup de données.

Pour d’autres usages, la 5G peut favoriser la latence. En effet, certaines utilisations comme les opérations à distance ou les voitures autonomes demandent une latence faible, sans forcément avoir besoin de beaucoup de bande passante.

2/ Comment s’expliquer, dans les grandes lignes, cette forte hausse des débits ?

Trois innovations de la 5G permettent cette hausse des débits.

– Le beamforming, qui permet de concentrer l’émission des données vers l’utilisateur (un peu comme le faisceau d’un phare), alors que la 4G émettait dans toutes les directions.

– Un nombre d’antennes plus élevé au sein même de chaque antenne relais.

– La possibilité pour le téléphone d’émettre et de recevoir des donnés en même temps.

3/ La 5G promet également plus de sécurité. Pouvez-vous nous apporter quelques précisions à ce sujet ?

La 5G n’apporte pas en soit de changement particulier par rapport à la sécurité. Cependant, les nouveaux usages qui vont apparaître représentent de nouveaux défis (voiture connectée, par exemple) et demandent une attention particulière. Sur le plan technique, la 5G permet la virtualisation des équipements via le standard SDN, c’est-à-dire que l’infrastructure réseau entière peut être contrôlée et modifiée à distance de façon automatique sans intervenir individuellement sur les différents équipements du réseau. Ainsi, que ce soit en cas d’attaque ou pour une simple opération de maintenance, les actions à réaliser sont plus simples. Cela permet aussi de rendre l’infrastructure plus «scalable». Imaginons qu’un soir de match beaucoup de monde regarde la télévision en direct, la 5G permettra alors d’adapter l’infrastructure réseau aux besoins de façon momentanée.

4/ On évoque par ailleurs une consommation énergétique moindre et donc une meilleure autonomie pour les appareils mobiles. Comment cela est-il possible ?

Le déploiement de la 5G se fera notamment via l’utilisation de «SmallCells». Ces SmallCells sont des antennes de faible portée (de l’ordre de quelques centaines de mètres), qui seront placées de manière plus dense qu’en 4G. De ce fait, nos smartphones utiliseront moins d’énergie pour communiquer avec des antennes plus proches. Les émissions des ondes radio sont donc aussi réduites, car notre téléphone émettra à une puissance plus réduite pour communiquer avec une antenne plus proche qu’une plus éloignée. Pour les objets connectés, une partie du spectre 5G leur est réservée. Ils peuvent ainsi communiquer à un débit faible en consommant très peu d’énergie.

5/ On parle de smartphones 5G. Mais la technologie servira également à la maison connectée et à la ville intelligente. Pouvez-vous nous citer quelques exemples concrets ?

Les utilisations dans le cadre de la maison /ville intelligente sont variés : places de parking connectés, lampadaires qui s’allument au bon moment… La gestion du trafic autoroutier est aussi primordiale. Comme la 5G permettra à un grand nombre d’appareils de communiquer entre eux, on peut imaginer que les GPS des voitures pourront répartir le trafic de manière optimale. La 5G permettant de communiquer via un mode bas débit basse consommation, un objet connecté pourra demain utiliser un module 5G, car il n’impactera que peu ses performances énergétiques.

6/ En parlant de la maison, c’est la possibilité de remplacer les technologies terrestres (ADSL et fibre optique) par une technologie mobile, pour l’accès au très haut débit. Quelle proportion de foyers pourrait, selon vous, envisager une telle alternative ?

Globalement; toute la France sera fibrée aux alentours de 2022, du fait notamment des subventions de l’État. Le déploiement de la 5G sur tout le territoire prendra lui plus de temps. Au vu des investissements sur l’infrastructure fibre, les opérateurs feront tout pour empêcher cet usage de la 5G qui rendrait la fibre redondante. Il ne faut aussi pas oublier qu’une antenne 5G est forcément reliée à une ligne fibre pour communiquer sur Internet. La 5G permet donc aux mobiles de profiter d’un débit similaire à la fibre sans connexion physique, mais pas de la remplacer.

7/ On parle de téléviseur 5G. La connectivité permettrait le streaming et le téléchargement des contenus, mais aussi le remplacement de la box Internet. Pensez-vous que c’est l’avenir du téléviseur, souvent vu comment un élément central de la maison ?

Les plates-formes de streaming comme Netflix, HBO ou YouTube posent de nouveaux défis en termes d’infrastructure. Netflix représente 15 % du trafic Internet mondial et est en augmentation constante. Avec la démocratisation du streaming en 4K et l’arrivée prochaine de la 8K, un accès 5G sur un téléviseur permettrait de désengorger les lignes traditionnelles.

8/ Au-delà des usages grand public, la 5G s’annonce prometteuse pour l’industrie. Avez-vous quelques exemples de nouveaux usages ?

L’industrie subie la quatrième grande transformation de l’histoire. On parle d’industrie 4.0. Connecter chaque équipement peut permettre la captation de donnés en temps réel qui peuvent ensuite être traitées, notamment pour réaliser de la maintenance prédictive. La connectivité 5G permettant de remonter un volume massif de données. Lorsqu’un composant sur une machine commence à mal fonctionner, des algorithmes de maintenance prédictive peuvent déterminer qu’une casse va survenir. Cette prédiction est réalisée avant la panne, et on peut donc prévoir une maintenance courte qui limitera la perte de production.

9/ On a un débat entre les acteurs concernant la 6G, certains souhaitant une évolution de la 5G et d’autres une arrivée plus tardive avec une rupture technologique plus nette. Quel est votre avis sur la question ?

Les fabricants d’antennes et de smartphones lancent tout juste les premiers laboratoires d’études sur la 6G qui doivent déterminer quelles seront les innovations de la 6G. Cette technologie sera sûrement déployée à l’horizon 2030, et il est donc trop tôt pour avoir un avis concret sur la question. L’arrivée des smartphones ont engendré de nouveaux besoins (streaming vidéo en haute définition, notamment) qui ont demandé une mise en place de la 4G. Dans le futur, l’arrivée de nouveaux terminaux pourraient rendre un potentiel réseau 6G nécessaire. Sur le plan politique, les réseaux mobiles sont devenus un enjeu crucial, un peu comme la course à l’espace dans les années 60-70. Le président Trump a récemment demandé l’arrivée de la 6G «le plus vite possible». En réalité, la 6G n’est même pas encore spécifiée et la partie standardisation ne sera pas terminée avant 2025-2028.

10/ La 5G doit faire ses premiers pas en France courant 2020, alors qu’elle est déjà une réalité en Asie. Sommes-nous vraiment en retard ?

La Chine et les États-Unis sont les deux seuls pays où la 5G a réellement commencé à être déployée. Pour la Chine, la 5G est un enjeu crucial. Elle comporte plus de 700 millions d’utilisateurs mobiles. Pour éviter la congestion, la 5G est vraiment nécessaire. Pour les pays d’Europe à la démographie moins dynamique (75 millions d’abonnements mobiles en France) l’enjeu est plus faible. La 5G est naturellement en cours de déploiement à Chongqing, en Chine, ville la plus peuplée du monde. Elle comporte à elle seule presque autant d’habitants que la moitié de la France. On comprend donc l’intérêt de déployer la 5G. En France, nous n’en somment pas encore là. L’attribution des fréquences par l’État (Arcep) n’aura lieu que début 2020. Les opérateurs pourront ensuite commencer à déployer leurs réseaux. Le gouvernement français s’est fixé comme objectif de couvrir au moins une grande ville en 2020 et les principaux axes de transport d’ici 2025, là où les États-Unis prévoient 190 millions de connexions en 2025. En France, les plages de fréquences 5G sont parfois déjà requises pour d’autres utilisations. Ces erreurs se sont déjà produites lors du déploiement 4G. La mort de la TNT, progressivement remplacée par l’IPTV, devrait permettre de récupérer une partie du spectre pour la 5G.

11/ Cette arrivée plus tardive pourrait-elle s’avérer pénalisante sur le long terme ?

Tout à fait. Les opérateurs Français ne connaissant pas encore la durée de validité et le coût des licences, (les opérateurs achètent les licences à l’État). L’État Français va vendre les fréquences 5G aux enchères, ce qui risque d’impacter négativement le budget des opérateurs dédié aux infrastructures.

Dans d’autres pays d’Europe, les licences sont moins chères et ont déjà été attribuées. Comme l’Internet des objets est en train de devenir un pilier économique (1600 milliards d’euros dans le monde en 2019), les industriels iront s’installer là où les infrastructures sont déjà déployées. 

12/ Concernant les forfaits mobiles, la 5G pourrait-elle sonner la fin des quotas avec l’illimité qui deviendrait alors la norme ?

Plusieurs opérateurs américains et coréens proposent déjà des forfaits illimités en 5G. Mais les opérateurs cherchent des moyens pour continuer à vendre des options payantes, comme une latence faible pour les utilisateurs voulant utiliser la 5G pour jouer en ligne.

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Google I/O 2019 : la firme en dit plus sur Android 10 Q, son prochain OS mobile

À l’occasion de sa conférence I/O 2019, Google a présenté des smartphones Pixel 3a et Pixel 3a XL proposant des hautes performances photo sur le milieu de gamme. Mais la firme californienne a également parlé d’Android 10 Q, son prochain système d’exploitation mobile.

Attendu plus tard dans l’année, Android 10 Q est pour l’instant disponible au stade bêta. Google a parlé de 21 smartphones de 13 marques, avec bien évidemment les Pixel. OnePlus a, par exemple, confirmé en être avec ses OnePlus 6 et OnePlus 6T. Le OnePlus 7 Pro attendu le 14 mai y aura aussi accès.

Les nouveautés et améliorations apportées par Android 10 Q sont nombreuses. Certaines permettent de coller aux évolutions technologiques dans le domaine des smartphones, à l’image de la 5G largement mise en avant au MWC de Barcelone ou des écrans pliables comme celui du Galaxy Fold. Pour d’autres, il s’agit d’améliorations pour le confort d’utilisation. Citons le thème sombre pour les consultations nocturnes, le mode Focus Mode pour mettre temporairement en sourdine les applications les plus génératrices de notifications ou la technologie Live Caption pour sous-titrer automatiquement le son d’une vidéo ou d’un podcast. L’aspect vie privée fait aussi partie des annonces. Mentionnons notamment les trois niveaux d’autorisation de la localisation dans Google Maps. On peut la désactiver, l’autoriser juste avec l’application ouverte ou l’autoriser tout le temps. Sans oublier d’évoquer Project Mainline qui permet la mise à jour en arrière-plan et sans redémarrage du smartphone, pensé pour accélérer le déploiement des mises à jour de sécurité.

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Smartphones : un constructeur a osé (une nouvelle fois) la double encoche

Alors que l’industrie du smartphone fait son maximum pour se débarrasser de l’encoche, ou au moins la réduire, Sharp va à contre-courant avec son dernier modèle haut de gamme. L’Aquos R3 en comporte deux.

Sharp vient d’annoncer un smartphone Android baptisé Aquos R3. Une chose interpelle au premier coup d’œil : la présence de deux encoches. En effet, alors que les fabricants essayent différentes solutions (design coulissant, écran percé, capteur photo motorisé et double écran) pour évincer ou réduire l’encoche censée accueillir le capteur photo frontal sur les smartphones borderless et souvent jugée disgracieuse, la firme japonaise a décidé d’en mettre deux. Un choix d’autant plus étonnant que la seconde encoche sert à accueillir le bouton Home dans lequel se trouve le lecteur d’empreintes digitales, alors que là aussi les solutions ne manquent pas (capteur au dos, capteur dans le bouton home sur la tranche ou capteur dans l’écran). On se retrouve ainsi avec un design pour le moins incompréhensible. Pourquoi s’orienter par deux fois vers une qui impacte la consultation de contenus multimédias ? Gageons que d’autres constructeurs n’emboîtent pas le pas à Sharp, sachant que la firme produit des écrans de smartphones. Celle-ci n’en est d’ailleurs pas à son premier coup d’essai. L’Aquos R2 Compact dévoilé fin 2018 adoptait déjà la double encoche…

Pour le reste, le Sharp Aquos R3, qui s’oriente vers le haut de gamme, propose un chipset Snapdragon 855 avec 6 Go de RAM, un affichage 6,2 pouces en 3 120 x 1440 pixels avec un taux de rafraîchissement à 120 Hz, un stockage 128 Go, un double capteur photo 12,2 + 20 Mégapixels au dos, un capteur photo 16,3 Mégapixels à l’avant et une batterie 3 200 mAh avec une possibilité de recharge sans-fil en 11 Watts (technologie Qi). Une facture technique loin d’être mauvaise. Dommage pour le design étonnant qui pourrait plus être une épine dans le pied qu’un réel attrait.

Source : GSMArena
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