Auteur : dimitri

Moto Z4 : smartphone proposant de la photo 48 Mégapixels et une compatibilité avec les modules Moto Mods

 

Un nouveau smartphone a été officialisé sous la bannière Motorola. Il répond au nom de Moto Z4 et se positionne sur le milieu de gamme.

Lenovo, qui fait vivre la marque Motorola dans le secteur des smartphones, a dévoilé un nouveau modèle baptisé Moto Z4 et positionné sur le milieu de gamme. Celui-ci s’articule autour du chipset Qualcomm Snapdragon 675 et s’alimente grâce à une batterie 3 600 mAh qui se recharge en 15 Watts, grâce à la technologie TurboPower. Il propose un écran AMOLED 6,4 pouces FHD+ avec une encoche goutte d’eau et une protection Gorilla Glass 3, un capteur photo 48 Mégapixels à l’arrière et un capteur photo 25 Mégapixels pour les selfies. On trouve également un lecteur d’empreintes sous l’écran. Sans oublier d’évoquer la compatibilité avec les Moto Mods, ces modules à connexion magnétique permettant d’étendre les possibilités du smartphone en ajoutant par exemple une batterie externe, une caméra à 360 degrés, une fonction projecteur ou la connectivité 5G. 

Le constructeur n’a pas communiqué sur une disponibilité en Europe. Il est pour l’instant question du marché US au prix de 499,99 dollars. Le smartphone sera livré avec une ROM Android 9.0 Pie.

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Le petit dico des technologies utilisées par Free : qu’est-ce que l’HDMI CEC ?

 

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons de l’HDMI CEC.

Les Player des Freebox Révolution, Freebox mini 4K et Freebox Delta proposent la fonction HDMI CEC. À quoi sert-elle au juste ?

Avec les nombreux appareils audio et vidéo présents dans le salon, on peut vite se retrouver avec une multitude de télécommandes, qui s’entassent sur la table basse et entre lesquelles il faut parfois jongler. C’est là que la fonction HDMI CEC peut avoir son utilité.

Le CEC (Consumer Electronics Control) est un protocole de communication disponible avec la connectique HDMI. Il permet aux équipements audio-vidéo de communiquer entre eux, sans forcément qu’ils soient du même constructeur. On peut ainsi en piloter plusieurs avec une seule télécommande. Notez que les appareils doivent être compatibles CEC et que certaines fonctions d’un appareil peuvent ne pas être déportées sur une autre télécommande.

Dans le cas de la Freebox Delta, par exemple, il faut aller dans l’application « Affichage », puis ouvrir la section « Réglages HDMI CEC » pour activer ou désactiver la fonction HDMI CEC. Une fois la fonction activée, vous pourrez piloter le Player Freebox avec la télécommande de votre téléviseur, mais également contrôler le téléviseur avec la télécommande de votre Player Freebox. Cela fonctionne également avec les amplificateurs.

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Nokia 3.2 : Univers Freebox a testé le smartphone 4G 700 MHz à petit prix disponible chez Free Mobile

La boutique Free Mobile a récemment accueilli un troisième smartphone compatible 4G 700 MHz de marque Nokia, le Nokia 3.2 à 149 euros. Univers Freebox l’a testé pour voir ce qu’il offre en termes d’expérience au quotidien.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un smartphone prêté par le constructeur, voici un rappel des principales caractéristiques du Nokia 3.2 :

–   Processeur : quad-core 1,8 GHz (Snapdragon 429)

–   Mémoire vive : 2 Go

–   Écran : dalle IPS 6,3 pouces offrant une définition HD+ (1 520 x 720 pixels)

–   Son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure

–   Stockage : 16 Go (extensibles par MicroSD)

–   Compatibilité 4G : jusqu’à 150 Mbits en réception ; support des bandes B1/B3/B5/B7/B8/B20/B28

 –  Capteur photo dorsal : 13 Mégapixels

–   Appareil photo frontal : 5 Mégapixels (dans une encoche goutte d’eau de l’écran)

–   Prise casque : oui (tranche supérieure)

–   Connectique de charge : Micro-USB (tranche inférieure)

–   Connectivité Bluetooth : version 4.2

–   Support NFC : non

–   Batterie : 4 000 mAh (non amovible) rechargeable en filaire avec un chargeur 5 Watts (comme nous l’a confirmé le constructeur, à défaut de nous fournir l’accessoire)

–   Système d’exploitation : Android 9.0 Pie (programme Android One)

–   Protection : reconnaissance faciale

Un smartphone agréable à tenir en main, mais assez salissant

Le Nokia 3.2 s’avère plutôt agréable à regarder avec ses bords arrondis et sa finition brillante. Mais c’est à double tranchant avec une coque qui garde particulièrement bien les traces de doigt. De quoi hérisser le poil de quelques maniaques.

Le gabarit contenu grâce à la réduction des bordures, la finesse et le poids bien reparti en font une smartphone tenant bien en main, malgré le format 6,3 pouces. On note par contre le côté « savonnette ». Nous l’avons vu glisser sur son propre boîte ou lorsqu’il était posé sur un autre smartphone. On évitera de le poser n’importe où.

Petite chose notable : la diode indiquant la recharge en cours ou la réception d’un SMS a été déportée dans le bouton de mise sous tension. Pourquoi pas. Cela fait son petit effet.

Un écran grand format, mais qui manque de luminosité

Parlons maintenant de l’écran. S’il offre une bonne glisse, de bons angles de vision et un rendu des couleurs correct, il pêche un peu du côté de la luminosité, rendant l’usage en extérieur parfois inconfortable, surtout lors d’une journée assez ensoleillée. 

Une partie audio loin d’être désagréable

Du côté de l’audio, on trouve un seul haut-parleur d’écoute, dans la tranche inférieure, qui produit un son clair, assez puissant et avec un peu de relief. S’il ne remplacera pas une petite enceinte mobile, il pourra servir pour les jeux et les vidéos. On est très loin de la torture qu’était un Alcatel 1x.

Toujours pour la partie audio, notons la présence du mini-jack dans la tranche supérieure.

Une partie photo plutôt correcte pour de l’entrée de gamme

Abordons à présent la partie photo. Par beau temps, les clichés sont exploitables, avec le capteur photo arrière comme avec le capteur photo avant. Si les clichés manquent de peps, on ne se retrouve pas avec de la bouillie de pixels. En basse luminosité, évidemment, c’est une autre paire de manche. On oubliera tout bonnement l’idée. Dans l’ensemble, cela reste acceptable pour un smartphone à 150 euros.

Ci-dessous, des photos en plein jour :

 

En mode nuit, sans puis avec le flash (qui ne rattrape pas grand-chose) :

Un selfie, par beau temps, où le ciel se retrouvre c :

Des débits 4G confortables et un support de la bande des 700 MHz

Nous avons mené des tests de débits 4G depuis nos endroits habituels. Nous avons ainsi réussi à dépasser les 100 Mbit/s en 4G, là où des modèles haut de gamme parvenir à 150-200 Mbit/s. À l‘occasion d’une perte d’une connexion fixe et d’un partage de connexion sur un PC, il nous a bien dépanné.

Toujours à propos de 4G, le Nokia 3.1 gère la bande des 700 MHz (B28). Un aspect bienvenu si vous êtes un abonné Free Mobile.

Des performances modestes

Avec un processeur quad-core et 2 Go de RAM, nous ne nous attentions pas à des étincelles. Le Nokia 3.2 assurera les tâches courantes de manière assez fluide, de la vidéo et quelques petits jeux tels que Fruit Ninja, Jetpack Joyride ou Sonic pour tuer le temps sans trop de soucis, mais n’en attendez guère plus. Nous avons essayé de lancer Asphalt 9 pour voir. Alors, oui, le jeu de course se lance sans trop attendre. Par contre, l’expérience se révèle dégradée, en raison d’un affichage saccadé. C’est injouable.

Les performances modestes auront comme avantage d’avoir un appareil qui chauffe rarement – nous n’avons pas rencontré le cas durant nos tests – et qui offre une autonomie assez confortable, surtout avec une batterie 4 000 mAh. 

Et mieux vaut ne pas devoir la recharger trop souvent cette batterie ou ne pas tomber en rade. Avec un chargeur 5 Watts – qui n’était pas fourni avec notre modèle de test et qui nous a obligé à tester avec un modèle compatible –, nous avons récupéré 7 % en 15 minutes, 12 % en 30 minutes et 27 % en 60 minutes. En étant à 30 %, l’écran indiquait les 100 % dans 3 heures. Vous voilà prévenus.

Une reconnaissance faciale un poil frustrante

Pour la sécurisation des données, on a le code, le schéma ou la reconnaissance faciale. En plus de ne pas être la plus sécurisée, cette troisième solution se révèle frustrante à l’usage. Longue, elle peut en plus échouer. Cela est arrivé un bon nombre de fois. On pourrait mettre les piètres performances sur le compte du prix du smartphone. Sauf qu’un Alcatel 1x à 99 euros s’en sortait bien mieux de ce côté-là.

Une interface Android Pie de base

Terminons sur la ROM, basée sur l’expérience Android 9.0 Pie de base avec son tiroir d’applications, sa gélule dans la partie inférieure qui permet la navigation gestuelle et sa gestion du temps passé à l’écran (bien-être numérique). Elle n’est pas remplie de logiciels tierces et intègre les patchs de sécurité de février 2019.

 

 

Notez enfin que le Nokia 3.2 fait partie du programme Android One, afin de garantir un bon suivi en termes de mises à jour.

VERDICT

Le Nokia 3.2, c’est le smartphone qui n’excelle dans aucun domaine, qui s’attache à proposer l’essentiel et à assurer une expérience correcte au quotidien. Il propose une utilisation assez fluide, une 4G plutôt rapide, un son assez pour du smartphone, des photos exploitables, le mini-jack, une bonne autonomie et une ROM très propre. Si l’on deait lui reprocher des choses, tout en gardant à l’esprit son positionnement tarifaire, ce serait écran manquant de luminosité, sa reconnaissance faciale frustrante, sa recharge interminable (3 heures entre 30 et 70 % !) et sa coque salissante. Son espace de stockage se retrouve vite rempli, mais peut être étendu avec une carte MicroSD. Notez enfin le support de 4G 700 MHz, qui est un argument pour les abonnés Free Mobile.

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Vidéo : découvrez le métier de technicien sur le réseau cuivre

 

Dans une vidéo, découvrez le quotidien d’un technicien sur le réseau cuivre.

Si l’on parle beaucoup du déploiement de la fibre optique en France, le réseau cuivre reste largement utilisé. Sur sa chaîne YouTube, Orange publie une vidéo afin de présenter les principales missions de ses techniciens qui assurent son entretien et sa maintenance. Le quotidien des techniciens est ainsi ponctué d’interventions sur le terrain pour diagnostiquer le problème et rétablir rapidement le réseau en cas de panne, avec parfois plusieurs milliers d’abonnés impactés. Il y a également des mesures pour localiser des défauts sur le réseau et mettre en place des actions curatives. La maintenance concerne un million de kilomètres de câbles, 15 millions de poteaux et 30 millions d’accès.

 

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Sony préparerait aussi un smartphone pliable, mais il se fera un peu attendre

 

Sony préparerait lui aussi un smartphone pliable, mais ça n’est pas pour tout de suite.

Si Sony n’est pas le plus en vue sur le marché du smartphone et s’il a tendance à s’y faire plus discret ces temps-ci, le groupe japonais entendrait quand même rester « dans le coup ».

Sony préparait en effet un smartphone pliable baptisé Xperia F (comme Foldable) et équipé d’un écran OLED souple fourni par Samsung. Il ne faudrait pas l’attendre tout de suite, par contre. Le lancement de l’appareil n’interviendrait apparemment pas avant 2020. Peut-être le temps pour les concurrents d’essuyer les plâtres, comme on l’a vu avec Samsung et son Galaxy Fold, et dans l’optique de voir l’accueil du grand public, avant de mettre ses billes. Et on ne peut pas vraiment parler de retard, sachant que ni le Huawei Mate X ni le Samsung Galaxy Fold annoncés plus tôt dans l’année ne sont encore en vente. Comme le soulignait OnePlus, lors d’une interview accordée à Univers Freebox, le smartphone pliable s’apparente surtout à une démonstration des capacités de R&D, plus une vitrine technologique qu’autre chose. Même Xiaomi indiquait à Univers Freebox que l’heure est encore aux prototypes.

Autre info à propos de ce smartphone : la compatibilité 5G. Logique, sachant qu’on parlerait d’une vitrine technologique. Il ne s’agirait toutefois pas du premier modèle de la marque à proposer cette connectivité.

Source : GizChina

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5G : il faudrait écarter Huawei et surtout se rappeler que l’Europe a ses champions, estiment deux spécialistes de l’Asie

Avec l’arrivée de la 5G et la campagne de boycott lancée par les USA contre le groupe Huawei se pose évidemment la question du choix des équipements. Pour l’Institut Montaigne, citant l’analyse de deux spécialistes de l’Asie, il faut s’équiper européen et se passer de Huawei.

À la suite de la campagne de boycott lancée par les États-Unis contre Huawei, dans le cadre du déploiement de la 5G, les réactions des partenaires sont allés d’un encadrement plus strict concernant le choix des équipements (comme en France) à l’interdiction des équipements réseau du groupe chinois (comme en Australie ou au Japon).

S’appuyant sur les conclusions de Mathieu Duchâtel et François Godement, deux spécialistes de l’Asie, l’Institut Montaigne recommande la première option, à savoir celle d’écarter les équipements 5G de Huawei. Selon eux, si Huawei est un élément essentiel pour la concurrence dans le secteur, « l’impossibilité de Huawei de démontrer l’absence de liens étroits et ineffaçables avec le parti-Etat chinois rend nécessaire d’écarter cette entreprise des infrastructures à risque ». Autre point sombre souligné par les spécialistes : « Dès 2011, nous avions constaté qu’il s’agissait de la multinationale qui dépensait le plus en relations publiques à Bruxelles, toutes nationalités confondues. »

Selon les deux spécialistes, il ne faut surtout pas oublier  que « les champions européens existent déjà ». Et d’ajouter que « l’omniprésence de Huawei dans les médias a eu tendance à le faire oublier ». En se tournant vers eux, l’Europe assurerait son indépendance industrielle. Or cet aspect « a été une considération secondaire ou inexistante pour la plupart des États et des opérateurs ».

Source : Les Echos
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Enceintes connectées :l’appareil encore perçu comme un gadget, les internautes français encore peu équipés

 

Une étude menée par le CSA et l’Hadopi, avec le concours de 2 605 personnes, s’est intéressée à l’usage des enceintes connectées par les internautes français et les opportunités qui s’offrent aux services de contenus.

De l’étude du CSA et de l’Hadopi, il ressort que 46 % des Français ont déjà utilisé un assistant vocal sur un smartphone, une tablette, un ordinateur, une enceinte ou un téléviseur. En s’intéressant plus précisément à l’enceinte connectée, un Français sur dix utilisait une enceinte connectée à commande vocale. L’achat est d’ailleurs conditionné par deux principaux critères : la notoriété de la marque de l’enceinte et le prix de l’appareil. Et pour ceux qui en possèdent une, 80 % l’utilisent pour du streaming musical, dans le cadre d’une version gratuite ou d’un abonnement payant. 

Selon l’étude, la consommation de contenus à travers les dispositifs avec assistant vocal représente une opportunité à exploiter pour les plates-formes de contenus, notamment pour orienter le plus rapidement possible les internautes vers des contenus illicites. Les enceintes connectées ne sont pas un vecteur de contenus illicites, mais ces derniers pourraient apparaître et prendre de l’ampleur. L’étude cite les 77 % d’utilisateurs d’une enceinte connectée qui sont abonnés à une offre de télévision, de vidéo à la demande ou de musique payante, quand ce chiffre atteint les 46 % pour les internautes dans leur globalité. Il faudra juste penser à rassurer les utilisateurs. 63 % des utilisateurs d’une enceinte connectée estiment en effet que l’appareil représente une menace pour leur vie privée. Il est aussi jugé nécessaire d’initier davantage les utilisateurs qui n’ont pas conscience de tout le potentiel de l’appareil et en ont souvent un usage relativement basique. L’enceinte connectée est par ailleurs perçue comme un gadget par environ un quart des internautes, ce qui explique que seulement 4 % des internautes non équipés auraient prévu d’en acquérir une en 2019.

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Tutoriel Freebox Delta : pilotez le service de musique Spotify à la voix grâce à l’assistant Alexa

 

Avec ce tutoriel, vous allez voir qu’il est possible de piloter le service de musique Spotify à la voix avec l’assistant virtuel Amazon Alexa.

Depuis une mise à jour 1.0.5 déployée sur le player de la Freebox Delta, il est possible de piloter Spotify à la voix grâce à l’assistant virtuel Amazon Alexa. Nous avons testé la fonctionnalité, qui nécessite un abonnement Premium auprès du service du streaming musical.

Après avoir connecté le smartphone au même réseau sans-fil Wi-Fi que le player de la Freebox Delta et exécuté l’application Spotify sur le smartphone, tapotez sur « Appareils disponibles » puis sélectionnez « Freebox Player ». Le flux audio est envoyé vers l’enceinte du player.

  

Vous pouvez désormais demander à Alexa de lancer ou arrêter la musique en cours de lecture (« Alexa, arrête la musique ») ou de changer de musique  (« Alexa, change de musique » ou « Alexa, mets la musique suivante »). Vous avez également la possibilité de demander à l’assistant d’Amazon « Baisse le son » ou « Augmente le son » pour gérer le volume sonore.

 

En ayant associé votre compte Spotify au compte Amazon, vous pourrez profiter de commandes supplémentaires pour demander le lancement d’un style de musique (« Alexa, mets-moi de la musique rock ») ou demander le nom de la chanson en cours de lecture (« Alexa, quelle est cette musique  »).

Pour l’association, lancer l’application Alexa et aller dans « Paramètres/Musique » avant de cliquer sur « Associer le compte sur Spotify.com ». Il suffira de saisir vos identifiant et mot de passe Spotify.

 

VERDICT
D’après nos différents tests, le pilotage de Spotify avec Alexa fonctionne très bien. Et si l’association au compte Amazon n’est pas une obligation pour bénéficier des commandes vocales, elle enrichit grandement l’expérience en permettant de découvrir de nouvelles musiques.

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LeKiosk : le service de presse intégré à l’offre Freebox Delta améliore la navigation dans ses applications Android et iOS

 

Les applications mobiles du service de presse LeKiosk, inclus dans l’offre Freebox Delta, se mettent à jour pour améliorer la fonction de recherche.

Fin 2018, Free a annoncé une offre Freebox Delta incluant de nombreux services, dont Netflix, TV by CANAL, Youboox et LeKiosk. Disponible sur PC, mais également sur smartphone et tablette tactile grâce à des applications sur l’App Store et le Play Store, ce dernier propose plus de 1 600 titres de presse et magazines.

Les applications iOS et Android viennent justement d’être mises à jour dans des versions 4.1.0 et  3.2.0. Les notes de version indiquent une amélioration de la fonction de recherche : "NOUVEAU – Recherchez plus simplement. Afin de faciliter votre navigation, nous avons déplacé la recherche qui est désormais accessible depuis le menu du bas".

Dernièrement, c’est la version PC, accessible depuis le navigateur Web, qui bénéficiait d’une refonte avec un nouveau design et une fluidité améliorée.

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Redmi : la marque de Xiaomi lève le voile sur ses smartphones K20 et K20 Pro

La marque Redmi, derrière laquelle on trouve pour rappel Xiaomi, a officialisé ses smartphones Redmi K20 et  Redmi K20 Pro.

Commençons par le Redmi K20. Il repose sur le chipset Snapdragon 730, dont le processeur octa-core jusqu’à 2,2 GHz fonctionne avec 6 ou 8 Go de RAM. Celui-ci propose également un écran AMOLED 6,39 pouces Full HD+ au ratio 19,5/9 sans encoche, un lecteur d’empreintes sous l’écran, un triple capteur photo 48 + 13 + 8 Mégapixels au dos (principal/ultra grand-angle/zoom), un capteur photo 20 Mégapixels rétractable pour les selfies et une batterie 4 000 mAh rechargeable en 18 Watts (en filaire).

La version estampillée Pro permet de passer au chipset Snapdragon 855, avec son processeur octa-core jusqu’à 2,84 GHz. Elle apporte aussi la recharge filaire en 27 Watts (58 % en 30 minutes et 100 % en 74 minutes).

Seule la Chine a été évoquée pour l’instant. Le Redmi K20 en 6/64 et 6/128 Go y sera vendu les équivalents de 258 et 271 euros. Le Redmi K20 Po en 6/64, 6/128, 8/128 et 8/256 Go sera vendu les équivalents de 323, 337, 362 et 388. On attend maintenant les infos concernant une disponibilité en Europe.

Source : GSMArena
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