Auteur : dimitri

Apple présente iOS 13, tout en dévoilant iPad OS pour ses tablettes tactiles

La conférence WWDC 2019 a été l’occasion de nombreuses annonces de la part d’Apple, dont plusieurs concernant les smartphones et les tablettes tactiles.

Apple a ainsi dévoilé iOS 13 avec son thème sombre, son écriture au clavier en faisant glisser le doigt (façon SwiftKey), son application Photo avec un meilleur tri des contenus, son application Plan aux cartes plus précises, ses applications plus légères, ses mises à jour plus légères et sa technologie de déverrouillage Face ID plus rapide. Le respect de la vie privée était également au rendez-vous avec notamment une gestion plus fine de l’accès aux données de localisation (possibilité de donner l’accès une seule fois). Les dispositifs qui auront droit à iOS 13 : iPhone SE, iPhone 6S/6S Plus, iPhone 7/7 Plus, iPhone 8/iPhone 8 Plus, iPhone X, iPhone XR, iPhone XS/XS Max et iPod Touch de 7e génération (celui fraîchement annoncé).

Mais la firme à la pomme a surtout présenté iPad OS, un système d’exploitation spécifique à ses tablettes tactiles. Il profite ainsi du multifenêtrage pour échanger des éléments entre les applications ou afficher des documents côte-à-côte. On note également la gestion des clés USB, le gestionnaire de téléchargements et le fait de privilégier les pages Web en version desktop dans le navigateur Safari. Toujours à propos de l’iPad, l’appareil pourra servir d’écran externe ou de tablette graphique sur un ordinateur Mac grâce à la fonction Sidecar apportée par macOS Catalina. iPad OS sera déployé sur les dispositifs suivants : iPad mini 4, iPad mini 2019, iPad Air 2, iPad Air 2019, iPad 9,7 pouces 2017 et iPad 9,7 pouces 2018. Il arrivera également sur tous les iPad Pro.

Sources : iPhon.fr et GSMArena

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Xiaomi annonce la présentation de nouveaux smartphones, a priori les versions françaises des Redmi K20 et Redmi K20 Pro

 

Xiaomi vient d’envoyer une invitation pour une annonce prévue plus tard dans le mois qui pourrait être l’occasion de découvrir les versions françaises des Redmi K20 et Redmi K20 Pro.

Dans une invitation presse de Xiaomi, il est en effet question d’un événement le 12 juin prochain, de nouveaux smartphones et de la lettre T. Or, les Redmi K20 et Redmi K20 dévoilés fin mai en Chine ont fait l’objet de fuites concernant une commercialisation sur d’autres marchés, directement sous la marque Xiaomi en tant que Mi 9T et Mi 9T Pro ou bien à travers la marque Pocophone en tant que F2 et F2 Pro.

Les Redmi K20 et Redmi K20 Pro pourraient ainsi devenir des Xiaomi Mi 9T et Xiaomi Mi 9T Pro sur le marché français. Rappelons que ces smartphones proposent un écran AMOLED 6,39 pouces Full HD+ sans encoche, un lecteur d’empreintes sous l’écran, un triple capteur photo au dos, un capteur photo rétractable pour les selfies et une batterie 4 000 mAh. Ils se différencient au niveau du chipset et de la charge rapide, avec un chipset Snapdragon 730 et une charge 18 Watts pour le K20 ou un chipset Snapdragon 855 et une charge 27 Watts pour le K20 Pro.



Source : FRandroid

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Test de l’application Alphabet sur Freebox mini 4K : quatre activités pour apprendre les lettres et les mots aux enfants

Cette semaine, nous testons pour vous l’application Alphabet, disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien. Elle propose quatre activités pour apprendre les lettres et les mots à nos chères têtes blondes.

Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K, voici l’application Alphabet. Elle s’adresse aux enfants avec quatre activités ludiques pour une initiation aux lettres et aux mots. Le tout à travers une interface épurée.

Télécommande ou manette, à vous de choisir

Concernant la prise en main, tout d’abord, on a le choix entre la manette en USB – celle de Free, par exemple – ou la télécommande. Dans le premier cas, la croix multidirectionnelle ou le stick sert à bouger le curseur à l’écran et le bouton 3 à valider le choix lors d’une action. Dans le second cas, il faut utiliser les flèches de navigation et le bouton OK.

Quatre activités

Parlons maintenant des quatre activités proposées : Animaux, Chiffres, La chanson de l’alphabet et Mots croisés.

Avec Animaux, il suffit d’écouter le nom de l’animal et de déplacer le curseur sur l’écran pour valider les lettres une par une. Un son "Ding" valide d’ailleurs la bonne lettre à chaque fois.

Dans Chiffres, le principe est le même, mais avec les chiffres de 1 à 10.

Avec La chanson de l’alphabet, une voix chantonne les lettres et des exemples de mots.

Avec Mots Croisés, l’enfant doit sélectionner la lettre sur la partie droite et la déplacer jusqu’à la bonne case. On notera d’ailleurs la lenteur durant le déplacement des lettres qui rend l’expérience un poil frustrante. Dommage, car c’est l’activité la plus intéressante.

Des sons personnalisables

Pour les parents qui le souhaitent, il est possible d’aller dans les paramètres de l’application pour réenregistrer les sons avec leur propre voix, avec un enregistrement grâce au microphone de la télécommande. Pourquoi pas. Au cas où, on pourra remettre les sons d’origine.

VERDICT : gratuite, légère, utilisable à la télécommande ou à la manette et personnalisable en ce qui concerne les sons, l’application Alphabet a tous les arguments pour intéresser les parents souhaitant initier les enfants à l’alphabet et aux mots. On regrette juste la lenteur dans l’activité la plus intéressante – Mots croisés – parmi les quatre disponibles.

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Interview Univers Freebox : une signature de Free avec TDF et SFR Collectivités est “imaginable d’ici la fin de l’année” selon le président d’InfraNum

 

Calendrier prévisionnel du déploiement de la fibre optique en France, solutions alternatives pour desservir les dernières zones du territoire en très haut débit, financement et situation de Free. À l’occasion d’une interview avec Étienne Dugas, président d’InfraNum, fédération regroupant les principaux acteurs du très haut débit en France, Univers Freebox fait sur le point sur le déploiement du très haut débit en France.

Univers Freebox : L’Internet très haut débit via la FTTH (fibre jusqu’à l’abonné) concerne les particuliers à l’heure de la dématérialisation des services de l’administration et des contenus. Avez-vous d’autres exemples des bénéfices de cette hausse des débits, des exemples auxquels on ne penserait pas spontanément ?

Étienne Dugas : Bien sûr. Nous sommes à l’aube d’une approche radicalement nouvelle en matière de gestion et d’information sur nos territoires. S’il y a quelques exemples concrets et remarquables de smart territoires, le potentiel d’applications et d’usages est énorme, et je présume que nous ne sommes pas au bout de nos surprises…

UF : En parlant de hausse des débits, a-t-on une grosse marge de progression pour les 5 ou 10 années à venir ?

Oui, car la capacité de la fibre étant quasiment infinie, chaque longueur d’onde, elles-mêmes déclinées en très grand nombre, peut sur une même fibre véhiculer des débits colossaux. En débit réel, la capacité du réseau dépend au final des équipements de terminaison. Ceux-ci progressent technologiquement tous les jours.

UF : Toujours à propos de débits, Free a été le premier à annoncer de la fibre 10 Gbit/s avec sa Freebox Delta lancée fin 2018. Pensez-vous que les concurrents vont lui emboîter le pas rapidement ?

Il est certain que les débits vont continuer à augmenter, non seulement parce que les usagers vont consommer de plus en plus d’applications et parce que les applications vont en consommer de plus en plus. Ce n’est donc pas une question de capacité, mais de marketing des offres.

UF : 10 Gbit/s, c’est un beau chiffre en termes de communication. Mais quels usages pour un tel débit à l’échelle d’un foyer ?

Quand un foyer dispose de plusieurs équipements et que chacun de ses membres veut consommer un Game Of Thrones, un dessin animé et assurer une conversation Skype/Facetime dans de bonnes conditions, et en même temps, on arrive vite à 10 Gbit/s. Demain, la 4K nécessitera des débits plus importants. Rappelons que c’est la vidéo qui consomme la bande passante.

UF : Selon les prévisions du secteur, 80 % des foyers français auront accès à la fibre optique en 2022. Où en est le calendrier ? 

La filière est au rendez-vous du plan France Très Haut Débit. Il a fallu quelques années pour qu’elle s’industrialise, mais nous y sommes. À fin 2018, nous avions construit 37 % des prises prévisionnées à terme. En 2022, nous sommes désormais certains que nous aurons atteint collectivement l’objectif de plus de 80 % des locaux fibrés dans notre pays. 

UF : Combien de lignes FTTH ont été construites aujourd’hui ? Combien devront être construites d’ici 2022 et à quel rythme ?

En 2018, nous avons construit 3,2 millions de prises pour un cumul en fin d’année à 13,6 millions de prises. Le cap des 4 millions de prises FTTH produites par an devrait être franchi cette année (progression de 2,6 à 4,3 millions en 2 ans). En ce moment, la filière construit 15 000 prises par jour ouvré. C’est colossal.

UF : Pouvez-vous nous en dire plus sur le chemin qui restera à parcourir pour atteindre les 100 % ? Quels freins avez-vous identifiés qui pourraient empêcher les opérateurs d’atteindre cet objectif ?

Tout d’abord, il faut reconnaître que la volonté du gouvernement est réelle et s’est traduite dans les faits par une avancée majeure avec l’adoption de la loi ELAN. Celle-ci permet de traiter la majeure partie des freins au déploiement qui existaient auparavant (lourdeurs administratives, contraintes de copropriétés, etc.). 

Beaucoup de chemin parcouru également dans notre croisade pour faire connaître les métiers de la filière et aider les industriels à recruter massivement les compétences dont ils ont besoin pour tenir les objectifs. Si 2019 doit être une année record avec 6 400 nouveaux collaborateurs à intégrer, soit 2,5 fois plus que l’an dernier, les prévisions sont optimistes avec des taux de remplissage dans les centres de formation encore jamais égalés.

Le 3e frein majeur, mais dont l’issue est moins avancée que pour les deux précédents, est celui du financement du « reste à faire » après 2022. Compte-tenu des dernières signatures de RIP et dans l’hypothèse où toutes les demandes AMEL actuelles trouvent une réponse favorable, le nombre de prises à connecter en THD au-delà de 2022 est estimé à 6,4 millions. Parmi elles, au moins 3 n’ont pas encore trouvé de financement. Ces prises, les plus difficiles à raccorder, pourrait coûter 5,715 milliards d’euros, dont 800 millions de fonds d’État. Sachant de surcroît que les déploiements ne s’arrêteront pas à cette date (une densification est à prévoir pour répondre aux nouvelles implantations), InfraNum et l’Avicca ne cessent d’appeler à une réouverture prioritaire du guichet de financement des RIP.

UF : Il a récemment été évoqué la nécessité d’une enveloppe supplémentaire de 800 millions d’euros pour déployer les dernières prises (les 3 millions les plus complexes et les plus coûteuses). Comment expliquer le coût inférieur aux 1,2 à 1,5 milliard estimés précédemment ?

Effectivement, depuis les premières estimations gouvernementales réalisées à l’époque par le ministre Jacques Mézard, les données ont changé. L’introduction du dispositif AMEL permet de reporter une partie de l’effort de financement initial par les opérateurs privés, avec néanmoins une perte de propriété du réseau pour les collectivités locales ayant fait ce choix. Et dans le même temps, l’industrialisation du déploiement a naturellement généré des économies.

UF : D’ailleurs, quelles solutions existent-ils pour les foyers les plus compliquées à desservir ?

D’après nos estimations, au-delà de 2022, 2,2 millions de foyers auront besoin de mix technologique. Seuls le THD radio et le satellite permettront de leur apporter du très haut débit.

UF : Pensez-vous que les réseaux THD radio, pour laquelle l’ARCEP a récemment lancé une consultation publique, en vue d’identifier les projets bien avancés et de prolonger son guichet, pourrait suffire à compléter la technologie fibre optique ?

Oui, mais la prolongation du guichet ne se fera que pour les collectivités qui auront un projet bien avancé, sachant que l’Arcep a confirmé avoir l’intention de clôturer le dépôt des dossiers AMEL au 15 juin, c’est demain.

UF : Au regard de la situation actuelle et des prévisions, peut-on encore dire que la France est en retard en matière d’Internet très haut débit ?

La France est le pays qui déploie actuellement, ramené à sa population, le plus de prises au monde. Nous serons en 2025 le pays le plus équipé du monde, exception faite des cités états bien entendu.

Cette expertise développée collectivement et par toute une filière doit être mise au service d’autres déploiements nationaux. Cela permettra également de pérenniser notre filière. C’est un enjeu pour lequel InfraNum déploie beaucoup d’énergie et entend s’appuyer sur l’État et l’outil Comité Stratégique de Filière (CSF).

UF : Free fait-il, selon vous, partie des bons élèves en matière de déploiement commercialisation du très haut débit ?

Free est commercialement très efficace dans son arrivée sur les RIP parce qu’il sait dédier les ressources nécessaires, directement sur le terrain et avec la bonne approche humaine (souplesse et forte attention portée aux clients, pour les prises de rdv par exemple…).

UF : Free n’a pas encore signé avec les opérateurs d’infrastructures comme par exemple TDF et SFR Collectivités pour proposer ses offres fibre optique. Quand pensez-vous qu’un accord pourrait être signé ?

Je ne vois pas pourquoi ça ne se ferait pas. Et la fin de l’année me paraît imaginable.

UF : Une question enfin que peuvent se poser les abonnés : comment expliquer le délai entre la signature de Free avec un opérateur d’infrastructures et son arrivée au compte-gouttes sur ses RIP ? Est-ce pareil avec les autres opérateurs ?

Tous les opérateurs sont confrontés aux mêmes délais. La signature ne vaut pas mise en place des process. Elle indique que les conditions d’interfaçage des systèmes d’Information sont techniquement faisables et en cours d’installation. Toutefois, reste à mettre "la machine en route", et à assurer le marketing qui en découle.

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Smartphones : le capteur photo frontal “disparaît” pour laisser toute la place à l’écran

Oppo et Xiaomi viennent de publier des vidéos de démonstration, afin de présenter des prototypes de smartphones sans bordure, encoche, trou dans l’écran ou partie photo motorisée.

Par le biais de leurs comptes Twitter respectifs, Oppo et Xiaomi ont présenté des prototypes de smartphones sans bordure, encoche, trou dans l’écran ou partie photo motorisée. Mais où se trouve donc le capteur photo frontal, celui servant les seflies ?

En fait, il ne faut pas chercher bien loin. Comme on le voit de plus en plus souvent avec le lecteur d’empreintes digitales, le capteur photo frontal se cache ici sous l’écran. Cela permet de maximiser le surface d’affichage sans avoir d’élément perturbateur (encoche plus ou moins grande ou trou dans l’écran) et de pièce mécanique (capteur rétractable ou capteur rotatif). À voir maintenant si d’autres constructeurs adopteront cette solution.

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Galaxy Note10 : le smartphone haut de gamme de Samsung proposerait une charge très rapide

Le Samsung Galaxy Note10, prochain smartphone haut de gamme de la marque sud-coréenne, pourrait profiter d’une charge rapide 45 Watts.

Avec l’annonce du Galaxy Note10 qui se rapproche à grands pas (celle-ci étant pressentie pour le mois d’août), de nombreuses informations circulent à propos du smartphone haut de gamme de Samsung. Il a notamment été question de deux tailles d’écran, de la disparition du mini-jack et d’un design sans bouton physique. Une nouvelle fuite concernant la charge rapide dont il profiterait.

Une publication du serial leaker Ice universe sur Twitter montre Léonard De Vinci et le nombre binaire 101101. Or, Da Vinci est le nom de code du Galaxy Note10 et 101101 en binaire correspond à 45 en décimal. Avec un Galaxy Note9 embarquant une batterie 4 000 mAh, on s’attend à une capacité similaire sur le Galaxy Note10. Autant dire qu’un chargeur 45 Watts serait bienvenu. Une précédente rumeur évoquait du 25 Watts.

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Sony Xperia 1 : le smartphone haut de gamme avec écran large 21/9 pour le multimédia arrive en France

Présenté en février dernier, à l’occasion du salon MWC de Barcelone, le smartphone Sony Xperia 1 s’apprête à arriver en France avec son écran large 21/9 pensé pour le multimédia. Rappelons ses caractéristiques et son prix.

Le smartphone Sony Xperia 1 apparaît en effet sur le site français du constructeur avec l’indication « bientôt disponible ». Le compte Sony Mobile sur Amazon indique une date de disponibilité, le 17 juin, et confirme le prix de l’appareil en France, à savoir 999 euros.

Avec le Xperia 1, Sony met en avant un écran OLED 6,5 pouces au format 21/9 affichant dans une définition 3 840 x 1 644 pixels qui a été pensé pour le multimédia. Ce smartphone prend par ailleurs appui sur le chipset Snapdragon 855, dont le processeur octa-core est épaulé par 6 Go de RAM. Pour le reste, il propose des haut-parleurs stéréo, un support Dolby Atmos, un stockage extensible par MicroSD, un triple capteur photo dorsal 12 + 12 + 12 Mégapixels (principal + super-grand-angle + zoom optique), un capteur photo frontal 8 Mégapixels, une batterie 3 330 mAh rechargeable en 18 Watts (50 % en 30 minutes), une conception étanche, un capteur biométrique sur la tranche et une ROM Android 9.0 Pie. Pour les abonnés Free Mobile, notez enfin que le Xperia 1 gère la 4G sur la bande des 700 MHz.

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Auchan Télécom propose un forfait 30 Go en série limitée à 2,99 euros par mois

Auchan Télécom propose un forfait mobile 30 Go à prix cassé. Sans engagement, il revient à 2,99 euros les six premiers mois.

Jusqu’au 4 juin, Auchan Télécom propose un forfait 30 Go en série limitée. Sans engagement de durée, celui-ci revient à 2,99 euros par mois au lieu de 12 euros. Le tarif promotionnel est valable 6 mois avant un retour au tarif normal et réservé aux particuliers pour toute nouvelle souscription. Notez que la carte SIM triple découpe, payable à la commande, coûte 10 euros.

Ce forfait mobile inclut les appels, SMS et MMS en illimité, ainsi que 30 Go de data utilisables en France Métropolitaine avec des débits 3G ou 4G selon la couverture disponible.

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Galaxy Note10 : Samsung prévoirait de gros changements

De nouvelles informations viennent d’émerger à propos du Galaxy Note10, prochain smartphone haut de gamme de Samsung. Elles évoquent deux gros changements.

Comme tous les ans, les smartphones haut de gamme de Samsung sont dévoilés en deux temps. Il y a le renouvellement de la famille Galaxy S en début d’année, et celui de la famille Galaxy Note quelques mois plus tard. Après des Galaxy S10e, S10 et S10 Plus, on attend ainsi un Galaxy Note10, à propos duquel plusieurs rumeurs ont circulé ces derniers temps. Il se murmure ainsi que Samsung prévoirait 4 versions, dont 2 compatibles 5G. Mais les attentes portent également autour d’une recharge plus rapide, d’un capteur photo dorsal 64 Mégapixels (celui récemment dévoilé) et d’un écran troué pour accueillir la partie photo dédiée aux selfies.

Toujours à propos de ce Galaxy Note10, des rumeurs plus récentes évoquent la disparition des boutons physiques au profit de tranches sensibles aux pressions, comme sur le HTC U12+ de 2018, ou comme sur les Meizu Zero et Vivo Apex 2019 aperçus début 2019. Il est également question de la suppression du mini-jack, qui apparaît toutefois moins surprenante au regard de son évincement de plus en plus courant dans le secteur des smartphones.

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Smartphones 5G : MediaTek présente un chipset intégrant son modem Helio M70

 

MediaTek, qui propose des chipsets à destination des smartphones et des tablettes tactiles, avait promis une annonce autour de la 5G. C’est chose faite avec une plate-forme intégrant son modem Helio M70. Elle a été présentée dans le cadre du Computex de Taipei.

Sans en donner le nom commercial, MediaTek a en effet dévoilé une plate-forme mobile qui intègre son modem Helio M70 et propose ainsi de la 5G avec des débits pouvant aller jusqu’à 4,7 Gbit/s en réception (téléchargement) ou 2,5 Gbit/s en émission (envoi). Notez que le modem est multimode, pouvant ainsi fonctionner avec les réseaux mobiles des générations précédentes (2G, 3G et 4G). Les premières livraisons aux constructeurs sont prévues fin 2019. Les appareils en étant équipés devraient donc arriver début 2020.

Gravée en 7 nanomètres, la plate-forme de MediaTek aura également une partie processeur utilisant les cœurs Cortex-A77 récemment dévoilés par ARM. Celle-ci pourra gérer de la capture photo en 80 Mégapixels et de l’enregistrement vidéo en 4K à 60 images par seconde. L’intelligence artificielle sera évidemment de la partie pour l’embellissement des photos ou l’optimisation de l’autonomie.

Avec sa nouvelle plate-forme, MediaTek rejoint donc Qualcomm, Samsung et Huawei sur le créneau des smartphones 5G. Rappelons qu’Intel s’est retiré suite à l’accord signé entre Qualcomm et Apple.

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