Auteur : dimitri

Univers Freebox a testé le smartphone Xperia 10 qui propose un écran 21/9 et une bonne 4G dans un format compact

Univers Freebox a pu tester les smartphones Sony Xperia 10 et Sony Xperia 10 Plus avec leur format 21/9 pensé pour la consommation de contenus multimédias. Après vous avoir donné nos impressions concernant le grand modèle, voici celles sur le plus petit.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un modèle prêté par le constructeur, voici un rappel des principales caractéristiques du Sony Xperia 10 disponible chez Free Mobile pour 349 euros :

–  Processeur : octa-core (Snapdragon 630)
–  Mémoire vive : 3 Go
–  Écran : dalle IPS 6 pouces offrant une définition Full HD+ (2 520 x 1 080 pixels) au ratio 21/9 et sans encoche avec une protection Gorilla Glass 5
–  Son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure
–  Stockage : 64 Go (extensibles par MicroSD)
–  Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B5/B7/B8/B20/B28/B32
–  Double capteur photo dorsal : 13 + 5 Mégapixels (principal et infos de profondeur)
–  Appareil photo frontal : 8 Mégapixels (dans une bordure de l’écran)
–  Prise casque : oui (tranche supérieure)
–  Connectique de charge : USB Type-C (tranche inférieure)
–  Connectivité Bluetooth : version 5.0
–  Support NFC : oui
–  Batterie : 2 870 mAh (non amovible) rechargeable en filaire avec le chargeur 7,5 Watts fourni
–  Système d’exploitation : Android 9.0 Pie
–  Protection : lecteur d’empreintes digitales sur la tranche droite

Une finition qualitative et un format compact

Avec le Xperia 10, on retrouve la finition qualitative du Xperia 10 Plus dont nous vous présentions le test précédemment.

On retrouve également le format 21/9, qui avait divisé au sein de notre rédaction avec le Xperia 10 Plus. Ici, l’impression d’avoir un smartphone trop long est atténuée en raison du format plus petit. Le gabarit pourrait d’ailleurs faire mouche auprès des amateurs de smartphones compacts. Pour vous donner une idée, imaginez un iPhone 6 en un peu plus long (voir photo ci-dessous). La prise à une main est parfaite.

Un joli écran et un son plutôt correct

Passons maintenant à l’écran 21/9, un point largement mis en avant par le constructeur. Un tel ratio offre un plus grand champ de vision pour une meilleure immersion en jeu.

Nous avons testé avec des vidéos et des jeux. Le ressenti est excellent, même si moins intéressant qu’avec le Xperia 10 Plus à l’écran plus grand. C’est la contrepartie d’un format plus compact.

Une partie son plutôt moyenne

Concernant la partie audio, le son sort d’un seul haut-parleur dans la tranche inférieure. Adieu le rendu stéréo. Notez toutefois que le rendu reste correct pour du son de smartphone. Le son nous apparaît en revanche clair et puissant. Il a juste tendance à devenir nasillard à plein volume.

Dans la tranche supérieure, certains remarqueront la présence du mini-jack.

Une 4G qui décoiffe et un support de la B28

Nous avons testé la 4G du Xperia 10 dans nos points habituels. Nous étions souvent à 100-150 Mbit/s. Comme le montrent nos captures, nous avons également eu la surprise d’aller au-delà des 200 Mbit/s. Clairement un point fort sur ce smartphone.

 

 

Toujours à propos de 4G, la bande des 700 MHz (la B28) est supportée. Un bon point si vous êtes abonné chez Free Mobile.

En parlant de la partie téléphonie, enfin, on retrouve ce tiroir souple pour les cartes SIM, qui permet de changer de carte SIM sans épingle, mais qui n’inspire pas vraiment confiance concernant sa durée sur le long terme. Fort heureusement, ce n’est pas l’élément qu’on retire régulièrement.

Une partie photo décevante

La partie photo fait partie de celles qui nous a le moins emballés. Sur pas mal de clichés, les couleurs apparaissaient trop saturées et présentaient de la bouillie de pixels. Oubliez aussi le zoom qui ne produit rien de joli. Le soir, pas de mode nuit pour récupérer quelque-chose, que ce soit les halos autour des lampadaires ou la teinte jaunâtre. Les seflies sont plutôt corrects, que ce soit en intérieur ou en extérieur.

Ci-dessous, des photos sans zoom et avec zoom (où le zoom est clairement moche, trop contrasté) :

Une photo prise par temps nuageux (avec une impression de bouillie de pixels au niveau des arbres) :

D’autres photos prises en extérieur (qui sont acceptables cette fois-ci) :

Un portrait avec un flou autour du sujet :

Une photo de nuit (avec des halos apparaissant autour des lampadaires et une teinte plus jaune qu’à l’oeil nu)

Une selfie avec deux sujets sur deux plans différents :

Des performances qui laissent envisager un peu de jeu, mais pas trop

Parlons maintenant des performances du Xperia 10, qu’AnTutu situent bien en-dessous d’un Huawei P30 Lite.

Dans les faits, on peut lancer et faire tourner Asphalt 9 ou PUBG Mobile, avec les graphismes au minimum pour le second. Sauf que les jeux saccadent régulièrement. Sans compter la chauffe qui ne tarde pas à se manifester, surtout avec PUBG, où elle rend tout simplement désagréable la prise en main. Nous l’avions déjà remarqué sur le grand frère. Bref, un peu de jeu, mais pas trop, avec le Xperia 10.

Une autonomie correcte, mais une charge un peu longue

Abordons le volet autonomie. Nous avons démarré un mercredi à 12h30 à 100 %. Le vendredi d’après à 9h40, nous étions à 18 %, en ayant beaucoup manipulé, lancé pas mal de tests de débits et de performances, pris de nombreuses photos, effectué des gros téléchargements et jouer à des jeux gourmands. Autant dire qu’avec un usage normal, tenir les deux jours semble envisageable, surtout avec les modes d’économie Stamina et Ultra Stamina, le second réduisant les applications au strict minimum.

Avec le chargeur 7,5 Watts fourni, mieux vaut ne pas être pressé pour faire le plein. Nous avions à 10 % à 9h50. Nous étions à 25 % à 10h11, 50 % à 10h36 et 80 % à 11h23. Nous avons atteint les 100 % à 12h08. Comptez ainsi plus de 2 heures pour faire le plein.

Un Android proche de l’expérience stock

Comme nous l’avions noté sur le Xperia 10 Plus, Sony propose un système d’exploitation Android proche de l’expérience stock, avec quelques ajustements d’interface et quelques logiciels en plus. Citons notamment la partie assistance, accessible depuis les paramètres, qui pourra servir aux débutants, ou la détection latérale, qui se matérialise par une petite barre latérale s’ouvrant après un double tapotement et affichant de la prédiction d’applications.

 

On retrouve outre cela, la gélule pour la navigation à la gestuelle et le tiroir d’applications.

 

 

Côté sécurité, nous avions les patchs du mois de mai 2019 au moment des tests. Un smartphone plutôt à jour de ce côté-là. On aime aussi le lecteur d’empreintes de la tranche latérale qui se montre très efficace. Aucun raté durant nos tests.

VERDICT : le Xperia 10, c’est le Xperia 10 Plus en plus petit pour le bonheur de ceux recherchant un smartphone compact. On retrouve ainsi la finition qualitative, le bel écran, le son agréable à écouter, la bonne 4G et l’Android proche du stock déjà-vus chez le grand-frère, mais également (et malheureusement) ses problèmes de chauffe. Une nouvelle fois, on peut aussi pointer du doigt le positionnement tarifaire pas vraiment à l’avantage de Sony face aux propositions de certaines marques. On pense toujours au Redmi Note 7 à 199 euros qui offre de meilleures performances, de meilleures photos et une autonomie excellente.

Classés sous les catégories : Non classé

Huawei tease ses smartphones Nova 5

Huawei tease ses smartphones Nova 5, dont on attend l’annonce prochainement.

Comme nous l’apprend un teaser vidéo, Huawei dévoilera de nouveaux smartphones le 21 juin, soit vendredi prochain. On parle d’une famille Nova 5 qui devrait comprendre un Nova 5 et un Nova 5i, le premier profitant d’une fiche technique plus étoffée. 

Les attentes concernant les Nova 5 et Nova 5i portent sur un écran 6,4 pouces Full HD+ sans encoche et troué pour accueillir le capteur photo frontal. Les fuites suggèrent également la présence d’un bloc photo dorsal avec trois ou quatre capteurs, dont un 48 Mégapixels pour le Nova 5. Côté chipset, enfin, le Nova 5 embarquerait le Kirin 980, tandis que le Nova 5i se tournerait vers le Kirin 710. 

Classés sous les catégories : Non classé

Samsung travaille sur un smartphone avec écran enroulable

 

Le dépôt d’un brevet confirme les travaux de Samsung concernant un smartphone avec écran enroulable.

Pour offrir de plus grands affichages sur les smartphones, les constructeurs ont dans un premier temps agrandi la taille des écrans. Mais nos mains n’étant pas extensibles, ils ont ensuite réduit au maximum les bordures, grâce à diverses solutions pour déplacer le capteur photo frontal. Plus récemment encore, on a vu des smartphones à écran pliable, avec le Galaxy Fold chez Samsung et le Mate X chez Huawei. Mais il ne faudrait pas oublier les écrans enroulables que LG a notamment utilisé par son téléviseur caché dans un meuble.

Samsung a d’ailleurs déposé un brevet, qui a été repéré par Let’s Go Digital. On voit la possibilité d’étendre l’écran du smartphone en déroulant verticalement l’écran souple grâce à un coulissement de la partie supérieure du smartphone. Cela donne un aspect étiré comme avec les Xperia 1, Xperia 10 et Xperia 10 Plus avec écran 21/9. Par rapport à l’écran pliable, l’écran enroulable devrait permettre de contenir l’épaisseur du smartphone. Reste à voir l’aspect robustesse sur la durée. Sans compter l’histoire de la coque. 

Ci-dessous, une illustration, sans doute plus parlante que des mots :

Sources : Let’s Go Digital et FRandroid

Classés sous les catégories : Non classé

La sécurité de la 5G pourrait poser problème aux enquêteurs

 

Les mécanismes de sécurité de la 5G pourraient rendre plus complexe le travail des enquêteurs lors des écoutes téléphoniques.

La 5G, qui fait ses premiers pas sur certains marchés et qui arrivera en France en 2020, apportera de meilleurs débits et une latence plus faible, mais également une sécurité renforcée. Et c’est ce dernier point qui inquiète les services de renseignement.

Selon un rapport de Gilles de Kerchove, coordinateur de l’UE pour la lutte contre le terrorisme, dont les ministres de l’Intérieur ont récemment pris connaissance, la sécurité renforcée de la 5G pourrait poser problème lors des enquêtes, et plus précisément concernant les écoutes téléphoniques. Avec le chiffrement des données, la lecture du l’IMSI, le numéro d’identification unique de l’abonné, deviendrait impossible. De plus, les dispositifs de type IMSI catcher, les fausses antennes-relais qui permettent d’intercepter les communications mobiles, pourront être détectés et rendus inefficaces.

En clair, il deviendrait difficile de localiser l’appareil mobile et d’identifier le propriétaire de la carte SIM à bord. Pas simple dans ce cas de suivre le parcours d’un suspect. Maintenant, on se doute que les législateurs mettront des outils à disposition des enquêteurs pour rééquilibrer la balance.

Sources : Le Monde et Le Point
Classés sous les catégories : Non classé

La 3G va-t-elle disparaître rapidement pour accélérer le déploiement de la 5G ?

Avec l’arrivée de la 5G et le souhait d’éviter le même retard qu’avec la 4G, se pose la question d’un possible nouveau réaménagement des fréquences basses en France. Au même titre que la TNT a fait de la place pour la 4G, la 3G pourrait ainsi en faire pour la 5G. L’option n’est pas envisagée ouvertement, mais la porte n’apparaît pas totalement fermée non plus.

L’amélioration de la couverture 4G en France est passée par la réattribution de fréquences basses. La bande des 700 MHz utilisée pour la diffusion de la TNT a ainsi été réallouée aux opérateurs télécoms. Free a d’ailleurs misé à fond sur ces fréquences dites en or, car permettant notamment une meilleure couverture des bâtiments, pour son réseau 4G. Pourrait-on assister au même schéma avec la 5G, mais avec une réattribution des fréquences basses utilisées pour la 3G, celles sur la bande des 900 MHz ?

La question peut se poser au regard du choix récemment opéré par Vodafone au Royaume-Uni. L’opérateur britannique a en effet indiqué qu’il fera le nécessaire pour qu’un maximum d’utilisateurs puissent profiter d’une couverture 4G, afin de pouvoir désactiver "d’ici deux à trois ans" sa 3G et réutiliser les fréquences pour améliorer la couverture du réseau 5G qu’il lancera début juillet. Pas question en revanche de couper la 2G, notamment destinée aux objets connectés qui ne nécessitent pas forcément de gros débits. La question se pose encore plus, au regard des dernières déclarations de Sébastien Soriano, lors de son audition au Sénat. Le président du gendarme des télécoms laissait en effet entendre que la libération de fréquences pour le secteur des télécoms se poserait à nouveau un jour. La "question de savoir si les fréquences basses ne seraient pas plus utiles à faire de la 5G se pose", déclarait-il.

Source : ZDNet
Classés sous les catégories : Non classé

Asus confirme un smartphone avec écran 120 Hz pour les joueurs

Asus prépare le successeur de son smartphone ROG Phone destiné aux joueurs. La firme taïwanaise vient d’ailleurs de confirmer l’une de ses caractéristiques.

Un smartphone Asus ROG Phone 2 est dans les tuyaux pour succéder au modèle Asus ROG Phone annoncé mi-2018 et destiné aux joueurs sur mobile. En amont de son officialisation, le constructeur a confirmé une caractéristique.

Après un ROG Phone doté d’un écran 90 Hz, il sera question d’un ROG Phone 2 équipé d’un écran 120 Hz. Comme sur les Razer Phone et Razer Phone 2 de 2017 et 2018, en somme.

Sachant qu’on parle d’un smartphone taillé pour les gros jeux sur mobile, on s’attend également à retrouver le chipset Snapdragon 855 de Qualcomm avec jusqu’à 12 Go de mémoire vive et un système de refroidissement optimisé.

Une grosse batterie et une charge rapide tombent également sous le sens, surtout avec un premier modèle proposant une batterie 4 000 mAh et une charge 30 Watts. À voir enfin si le mini-jack sera conservé, sachant que l’industrie a tendance à l’évincer.

Source : GSMArena

Classés sous les catégories : Non classé

Ventes de smartphones : Apple et Samsung en perte de vitesse au profit de Huawei et Xiaomi

Le cabinet d’étude IDC vient de publier un rapport sur les ventes de smartphones dans la zone EMEA au cours du premier trimestre 2019. Apple et Samsung sont en perte de vitesse, tandis que Huawei et Xiaomi progressent.

D’après le dernier rapport du cabinet IDC sur les ventes de smartphones dans la zone EMEA, (Europe, Moyen-Orient et Afrique) au cours du premier trimestre 2019, celles-ci sont en baisse d’environ 3 % par rapport à la même période en 2018. Cela s’explique par le marché arrivé à maturité et l’arrivée de la 5G qui pousse les utilisateurs à décaler leur achat.

Maintenant, la baisse n’affecte pas tout le monde. Les géants Apple et Samsung ont vu leurs ventes reculer de 22,73 et 6,82 %. De leur côté, Huawei et Xiaomi ont vu les leurs augmenter de 66,13 et 33,26 %. Au final, Samsung conserve sa première place sur le podium avec 29,47 %. Huawei et Apple échangent leurs places respectives, avec 25,39 % de parts de marché pour Huawei qui se retrouve en seconde place et 14,74 % pour Apple qui recule à la troisième. Xiaomi prend la quatrième place à HMD Global (smartphones Nokia). À voir si la situation actuelle, où Huawei est en passe de perdre sa licence Android et de devoir proposer son propre système d’exploitation sans le Play Store, pourrait avoir de grosses répercussions.

Source : ZDNet

Classés sous les catégories : Non classé

Focus sur la caractéristique Android One, dont profitent certains smartphones vendus par Free Mobile

 

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons d’Android One.

Les smartphones Nokia 3.2 et Nokia 4.2, récemment arrivés chez Free Mobile, font partie du programme Android One. On peut également citer les Xiaomi Mi A2 et Mi A2 Lite, disponibles en France, ou encore le Motorola One Vision, annoncé dernièrement. Mais qu’est-ce donc ?

Lancé en 2014, le programme Android One garantit un système d’exploitation Android sans modification ou avec très peu de modifications de la part du constructeur. Le système d’exploitation a été développé par Google en collaboration avec les constructeurs de smartphones. Ces derniers s’attardent ainsi principalement sur la partie matérielle de l’appareil.

En plus de se traduire par un Android proche de celui de Google – un Android stock – et non alourdi par d’éventuels ajouts, cela assure à l’utilisateur une diffusion régulière des mises à jour. D’ailleurs, le programme Android One promet au moins 2 ans de mises à jour de fonctionnalités et au moins 3 ans de mises à jour de sécurité.

Classés sous les catégories : Non classé

5G : les opérateurs chiffrent le surcoût et le retard dans le cas où le déploiement devait se faire sans Huawei

Alors que Huawei fait l’objet d’une campagne de boycott initiée par les États-Unis au motif de proximité avec le gouvernement chinois et de risques d’espionnage, les opérateurs mobiles publient une étude pour indiquer les conséquences d’un bannissement du groupe chinois pour le déploiement de la 5G en Europe.

La GSMA, qui regroupe les acteurs du secteur de la téléphone mobile, chiffre le surcoût découlant d’une exclusion de Huawei pour la 5G en Europe à 55 milliards d’euros. Le groupement industriel estime par ailleurs à 18 mois le retard en matière de déploiement. En 2025 et sans Huawei, 25 % de la population européenne serait couverte en 5G, contre 40 % avec Huawei. Pendant ce temps-là, 55 % des habitants aux USA en profiteraient.

Pour expliquer ces chiffres, la GSMA évoque notamment l’avance prise par Huawei en matière de R&D, le grand nombre de brevets déposés et le fait que ses équipements sont moins chers. Sans compter que les autres équipementiers, dont Ericsson et Nokia, devraient absorber la demande qu’aurait dû gérer Huawei. Si elle tire la sonnette d’alarme, c’est au regard de l’enjeu de la 5G, qui n’est pas seulement synonyme de hausse des débits, mais de nouveaux usages comme la télémédecine, la ville intelligente et la voiture connectée.

Source : BFM Business
Classés sous les catégories : Non classé

Lifi Power : une connexion 100 Mbit/s par passager à bord des avions pour regarder des films ou jouer en 4K

Grâce à la technologie de communication sans-fil basée sur la lumière invisible Li-Fi, Air France et Oledcomm entendent proposer une connexion 100 Mbit/s pour chaque passager à bord de ses avions. 

Air France Industries KLM Engineering & Maintenance, l’équipementier aéronautique Latécoère, la startup Oledcomm, l’université Paul Sabatier et l’éditeur de jeux vidéo Ubisoft viennent d’annoncer la possibilité de proposer une connexion 100 Mbit/s pour chaque passager à bord des avions, grâce à l’offre Lifi Power. On

Plus concrètement, l’offre mêle les technologies fibre optique, Li-Fi et USB Type-C. L’USB-C sert à connecter le smartphone, la tablette tactile ou l’ordinateur portable au niveau du siège, l’appareil pouvait être loué. Le Li-Fi permet de faire communiquer l’émetteur/réception au niveau du siège avec l’émetteur/réception au plafond. Quant à fibre optique, elle sert à relié l’ensemble des émetteurs Li-Fi au service de divertissement et au réseau Internet. En plus des bons débits, Lifi Power permet également d’éviter le câblage en cuivre et le blindage (pour les interférences) et donc le surpoids poids dans l’avion, ce qui peut avoir un impact sur la consommation de carburant.

Aucune date précise n’a été avancée pour l’exploitation commerciale de Lifi Power qui intéresse Air France, mais également d’autres compagnies. Cette connexion 100 Mbit/s devrait devenir une réalité pour les passagers sur les vols moyen-courrier, puis sur les vols long-courrier. Benjamin Azoulay, PDG d’Oledcomm espère voir la solution d’ici deux ans. Selon lui, elle ouvrira la voie à la vidéo à la demande ou encore aux jeux vidéo, en qualité 4K. Celle-ci fera l’objet d’une démonstration grandeur nature du 27 au 23 juin prochain, lors du salon du Bourget. Les visiteurs pourront notamment s’adonner au jeu Trackmania Stadium d’Ubisoft.

Source : 01net

Classés sous les catégories : Non classé