Auteur : dimitri

Qualcomm dévoile une plate-forme Snapdragon 215 avec laquelle il entend proposer le paiement mobile sur les smartphones d’entrée de gamme.

Le paiement mobile repose sur du service et du logiciel, mais également sur du matériel. Il faut notamment que l’utilisateur dispose d’un smartphone compatible. Avec son nouveau chipset Snapdragon 215, Qualcomm compte ainsi apporter le paiement en NFC sur les smartphones Android d’entrée de gamme. Il s’agit en effet de la première plate-forme mobile de la série 200 à proposer la technologie.

À côté de cela, la plate-forme Qualcomm Snapdragon 215 embarque un processeur 64-bit quad-core A53 promis 50 % plus performant que celui de la plate-forme Snapdragon 212 (qui était au passage en 32-bit) et un GPU Adreno 308 promis 28 % plus performant que celui de la plate-forme Snapdragon 212 (Adreno 304). Elle permet par ailleurs un affichage en définition HD+, du double capteur photo (pour le mode portrait), de la capture vidéo 1080p et de la charge rapide. Sans oublier d’évoquer le support dual-SIM avec la VoLTE sur chacune des cartes SIM, le support 4G/LTE avec des débits de catégorie 4 (jusqu’à 150 Mbit/s en débit descendant) et le support Wi-Fi 5 (ou Wi-Fi 802.11ac).

 

Le concept de maison connectée n’est pas forcément limpide pour tous. En quoi cela consiste-t-il ? Quelles sont concrètement les possibilités offertes dans notre quotidien ? Orange apporte des réponses dans une vidéo postées sur sa chaîne YouTube.

La vidéo donne des exemples de choses que l’on peut faire sur place ou à distance, depuis une application mobile sur son smartphone.

Il est possible de gérer l’éclairage de la pièce dans laquelle on se trouve sans quitter son canapé (grâces aux ampoules connectées). À distance, on peut aussi surveiller les allées et venues (détecteurs d’ouverture de porte), avoir un œil sur ce qui se passe (caméra connectée) et gérer les appareils électriques (prises connectées). Sans oublier les scénarios préprogrammés pour automatiser le fonctionnement des objets selon les heures de la journée. De quoi, par exemple, avoir la bonne température dans la salle de bain tous les matins ou encore couper toutes les lumières de la maison après le départ pour le travail.

Huawei commence à faire de la publicité pour son Mate X. Voilà qui laisse entendre un lancement de plus en plus proche pour le smartphone pliable compatible 5G.

Le lancement du Mate X, premier smartphone pliable de Huawei que l’on a pu découvrir au salon MWC de Barcelone avec son prix astronomique de 2 299 euros pour l’Europe, ne semble plus très loin. Prévue en septembre, la sortie pourrait intervenir plus tôt finalement. C’est en tout cas ce que suggère la promotion visible en Chine. Des internautes ont d’ailleurs partagé ces éléments publicitaires sur Weibo, l’équivalent chinois de Twitter. 

 

Voilà qui doit donner un petit coup de pression à Samsung qui avait tout fait pour sortir son Galaxy Fold en premier et qui a finalement dû reporter son lancement le temps d’apporter quelques correctifs. Sans compter les rumeurs évoquant un smartphone pliable chez Sony, avec un lancement possible d’ici la fin de l’année. 

 

Empêtré dans l’affaire Tapie et risquant de la prison ferme, Stéphane Richard peut désormais souffler. Le tribunal correctionnel vient en effet de le relaxer.

En tant qu’ancien directeur de cabinet de la ministre de l’Économie Christine Lagarde, Stéphane Richard s’étant retrouvé pris dans l’affaire Tapie. Il risquait ainsi trois ans de prison, dont une partie ferme. Sans compter l’interdiction d’exercer toute fonction publique durant cinq ans. Le verdict était par conséquent très attendu par l’intéressé, mais aussi par l’opérateur Orange, dont il est l’actuel PDG.

Le tribunal correctionnel vient justement de rendre son verdict. Il a relaxé Stéphane Richard, qui n’a d’ailleurs pas tardé à afficher sa "grande satisfaction" et son "immense soulagement", à travers une vidéo relayée sur Twitter par Béatrice Mandine, directrice de la communication chez Orange. À travers celle-ci, le PDG de l’opérateur remercie les collaborateurs l’ayant soutenu. Il se dit aussi touché par la présence de certains au tribunal et par les nombreux témoignages de soutien. 

Merci de @srichard aux salariés d’ @orange pour leur soutien dans cette épreuve, et en avant pour construire ensemble le Groupe de demain! #proudtobeorange #RaisonDEtre pic.twitter.com/eTHq7s7v2z

— Beatrice Mandine (@BeaMandine) July 9, 2019

Les réactions de soulagement n’ont pas tardé non plus du côté des syndicats de salariés. Dans un tweet, Sébastien Crozier, président de CFE-CGC Orange, déclarait que "les personnels d’Orange sont soulagés" et que le groupe "peut affronter l’avenir avec sérénité", qu’il s’agisse des chantiers de la fibre, de la 5G, de la banque en ligne ou du développement en Afrique.

Les personnels d’@orange sont soulagés.#Orange peut affronter l’avenir avec sérénité : la fibre ds les territoires, la #5G, l’évolution en #opérateur #numérique avec ⁦@OrangeBankFR⁩ et ⁦@OrangeCyberdef⁩ et le dvt en #Afrique.
⁦@srichard⁩ https://t.co/tbW0fOG9E4

— Sébastien Crozier (@crozierblog) July 9, 2019

La marque chinoise Honor vient d’officialiser un nouveau smartphone d’entrée de gamme. Voici le Honor Play 8 et ses caractéristiques.

À bord du Honor Play 8, on trouve le processeur quad-core 2,0 GHz de la plate-forme MediaTek Helio A22 associé à 2 Go de RAM, ainsi qu’une batterie 3 020 mAh à recharger via un port Micro-USB et un stockage 32 Go extensible par MicroSD (emplacement dédié ; jusqu’à 512 Go).

Le smartphone Honor Play 8 propose par ailleurs un écran IPS 5,71 pouces au ratio 19/9 et dans une définition HD+ (1 520 x 720 pixels), un capteur photo dorsal 13 Mégapixels et un capteur photo frontal 5 Mégapixels installé dans une encoche goutte d’eau. Il fait l’impasse sur le lecteur d’empreintes digitales. On aura la reconnaissance faciale en alternative.

Pour l’instant, Honor a seulement communiqué sur disponibilité à domicile, où il faudra débourser 599 yuans, l’équivalent de 78 euros. En sortie de boîte, on trouvera une ROM basé sur Android Pie.

Si le Redmi Note 7 a intégré le catalogue de Free Mobile, son prédécesseur le Redmi Note 5 y est toujours présent. Son acquisition reste-t-elle intéressante, du coup ? Après avoir testé le Redmi Note 7, Univers Freebox a passé plusieurs jours en compagnie du Redmi Note 5 et vous donne ses impressions.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un smartphone acquis par nos propres moyens (ce qui permettra d’ailleurs de vous le faire gagner prochainement), voici un rappel des principales caractéristiques du Redmi Note 5 que l’on peut désormais trouver à 150 euros (y compris chez Free Mobile en ce moment, grâce à une offre de remboursement).

–    Processeur : octa-core jusqu’à 1,8 GHz (chipset Qualcomm Snapdragon 636)
–    Mémoire vive : 3 ou 4 Go
–    Écran : dalle IPS 5,99 pouces offrant une définition Full HD+ (2 160 x 1 080 pixels)
–    Audio : son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure
–    Stockage : 32 ou 64 Go (extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B3/B4/B5/B7/B8/B20
–    Double capteur photo dorsal : 12 Mégapixels (principal) + 5 Mégapixels (infos de profondeur)
–    Capteur photo frontal : 13 Mégapixels
–    Prise casque : oui (tranche supérieure)
–    Connectique de charge : Micro-USB (tranche inférieure)
–    Connectivité Bluetooth : version 5.0
–    Support NFC : non
–    Batterie : 4 000 mAh (non amovible) rechargeable en filaire avec le bloc 10 Watts fourni
–    Système d’exploitation : Android 9.0 Pie avec l’interface MIUI 10 (mise à jour disponible)
–    Protection : lecteur d’empreintes sous l’écran

Un design simple et efficace

Lorsqu’on le met côte à côte avec son successeur le Redmi Note 7 (à droite), le Redmi Note 5 (à gauche) apparaît plus classique.

Maintenant, cela n’empêche pas l’impression de qualité. L’assemblage est parfait et rien ne craque. Il y a peut-être le bloc photo excentré qui dépasse un peu et qui pourra gêner si vous avez l’habitude d’utiliser votre smartphone posé sur une table. Le format et le poids en font par ailleurs un smartphone agréable à tenir en main.

 

Un écran qui se défend et un son assez puissant

Durant nos tests en jeu et en vidéo, l’écran s’est montré confortable à utiliser avec le bon rendu des couleurs et les bons angles de vision. On peut d’ailleurs régler le contraste et les couleurs depuis les paramètres.

À l’heure des encoches goutte d’eau et autres astuces pour maximiser la surface d’affichage, les bordures qui entourent l’écran du Redmi Note 5, surtout en haut et en bas, donnent en revanche un sacré coup de vieux au smartphone. Seuls les allergiques à l’encoche ou les réfractaires au capteur frontal mécanisé s’en satisferont totalement.

Côté son, c’est assez puissant pour jouer et regarder une vidéo sans enceinte externe. On peut toutefois regretter le son qui n’est pas stéréo. Les mélomanes apprécieront en revanche la présence du mini-jack, dans la tranche inférieure.

 

Une partie photo globalement correcte

Abordons à présent la partie photo. Globalement, c’est correct, notamment dans de bonnes conditions de luminosité. En effet, pas de mode nuit sur le Redmi Note 5. Il y a bien une option "Améliorer les photos en basse luminosité automatique", mais elle servira juste à lisser légèrement afin de faire disparaître le bruit numérique. Rien de très folichon, en somme. Depuis les paramètres, vous pourrez d’ailleurs activer une option pratique, celle qui permet de déclencher la photo avec le lecteur d’empreintes dorsal. Vous trouverez aussi l’option pour désactiver le filigrane, si jamais il était activé (ce n’était pas le cas pour nous).

Ci-dessous, une photo en version normale, puis zoomée (et ratée) :

D’autres photos en plein jour :

Un portrait :

Une photo de nuit et alors qu’il pleuvait, sans la petite fonction d’amélioration, puis avec :

Un selfie à plusieurs (où nous avons laissé le filtre beauté avec son lissage agressif de la peau) :

Une 4G confortable, mais pas de B28

Durant nos tests, nous étions généralement à 50-100 Mbit/s, ce qui rend les téléchargements et le surf Internet assez confortables. Nous avons même réussi à dépasser les 100 Mbit/s.

 

Pour les abonnés Free Mobile, notons que la 4G 700 MHz (ou B28) n’est pas au programme. Le Redmi Note 5 fait partie des quelques smartphones non compatibles parmi ceux vendus par Free Mobile.

Des performances qui permettent de jouer

Côté performances, le Snapdragon 636 offre une utilisation fluide et permet de s’adonner à quelques jeux sympas comme Asphalt 9 ou PUBG Mobile. Nous avons d’ailleurs passé quelques heures sans ressentir une grosse chauffe ou vider à grande vitesse notre batterie.

Il ne faudra par contre pas être trop exigeant côtés graphismes. Dans Asphalt 9, c’est fluide et propre dans l’ensemble, mais pas bluffant non plus. De son côté, PUGB Mobile se lance, mais avec des graphismes au minimum et quelques saccades de temps à autre. 

 

Un passage dans AnTuTu confirme que nous ne sommes pas en face d’une bête de course. Le Redmi Note 5 se retrouve en dessous d’un petit Huawei P30 Lite.

La partie stockage se montre assez réactive de son côté. Disk Speed indique en effet 206 Mo/s en écriture et 258 Mo/s en lecture.

 

Une autonomie excellente

Passons maintenant au volet autonomie, un point fort bien connu chez le Redmi Note 5. Chargée à 100 % le jeudi à 23h07, la batterie était à 51 % le samedi à 9h54 et à 23 % le dimanche à 19h11. Entre temps, nous avons beaucoup manipulé le smartphone, joué avec le haut-parleur à fond, écouté de la musique en Bluetooth, utilisé Twitter, surf sur Internet, téléchargé quelques mises à jour et réalisé des tests de débits. S’il y a un point où il n’est pas attaquable, c’est certainement l’autonomie, qui s’avère excellente. Cela s’explique par la présence d’une grosse batterie 4 000 mah avec une configuration assez modeste.

Quid de la charge ? Eh bien, sans être ultra rapide du fait d’un bloc 10 Watts, cela reste acceptable au regard de la taille de la batterie. Partis de 27 % à 21h08, nous sommes arrivés à 44 % à 21h25, 63 % à 21h47, 81 % à 22h12 et 100 % à 22h45.

Une ROM MIUI très complète et à jour

La ROM MIUI 10 basée sur Android Pie dont profite le Redmi Note 5 (grâce à une mise à jour disponible en sortie de boîte) se montre très complète.

 

On peut citer le mode sombre pour ne pas déranger le soir, le mode lecture pour épargner ses yeux et le second espace pour mettre ses données à l’abri.

 

Il y a également la possibilité de choisir entre la navigation gestuelle et la navigation avec les boutons, le mode à une main avec trois diagonales d’affichage (3,5 pouces,4 pouces et 4,5 pouces) et les raccourcis comme la capture d’écran avec un glisser à trois doigts.

 

Concernant la sécurité, enfin, nous avions les patchs du mois de mai 2019 au moment des tests. Pour le déverrouillage, il faut se contenter du lecteur d’empreintes digitales, qui se révèle très efficace. Aucun raté durant nos tests et c’est quasi-instantané. 

VERDICT : design simple mais efficace, écran confortable, 4G assez rapide, autonomie exemplaire et ROM à jour, le Redmi Note 5 ne manque pas d’arguments pour un smartphone pouvant être déniché à 150 euros.  Maintenant, si vous avez une marge de manoeuvre concernant le budget, nous vous suggérons plutôt son remplaçant le Redmi Note 7 qui propose de meilleures performances (Snapdragon 660 au lieu de Snapdragon 636), un chargeur plus rapide dans la boîte (18 Watts au lieu de 10 Watts), une partie photo avec un vrai mode nuit (et non une petite amélioration) et l’USB-C (contre Micro-USB) pour quelques dizaines d’euros de plus. Et s’il fallait un argument de plus par rapport au Redmi Note 5, le Redmi Note 7 disponible chez Free Mobile gère la 4G 700 MHz.

La loi visant à renforcer la sécurité de la 5G en encadrant davantage le choix des équipements a été finalisée et adoptée en commission mixte partiaire par les députés et sénateurs. Reste à attendre sa publication au Journal Officiel et son application du côté des opérateurs télécoms.

Alors que les États-Unis avaient fait le choix de bannir les équipements Huawei pour le déploiement de la 5G au motif de risques d’espionnage et invité dans la foulée les partenaires à faire de même, la France s’était plutôt orientée vers un encadrement renforcé. Une réponse moins frontale, en somme. Si la question sécuritaire apparaissait légitime au regard de la portée de cette nouvelle technologie (voiture autonome, ville intelligente, télémédecine, industrie, etc.), pas question en revanche d’écarter un acteur majeur et de ralentir le déploiement de la 5G en France.

Dernièrement, députés et sénateurs se sont réunis en commission mixte partiaire, afin de se mettre d’accord et de finaliser le texte de loi dessinant les contours de cet encadrement renforcé qui consistera en un régime d’autorisation au préalable. Pour Catherine Procaccia, rapporteure du texte au Sénat : « les acteurs économiques bénéficient désormais d’un cadre clair pour leurs investissements ». Le texte concerne donc Huawei, mais également les autres équipementiers réseau. L’élément matériel ou logiciel pourra être écarté s’il présente un risque en termes de sécurité. Le texte ne concerne que les équipements 5G, et non 4G. Il s’agit de ne pas avoir d’impact sur les réseaux en place, surtout à l’heure où le New Deal Mobile pour l’amélioration de la couverture mobile porte ses fruits. Cela explique notamment le fait que le texte s’applique aux appareils installés depuis le 1er février 2019. Il ne reste maintenant qu’à attendre la promulgation par le président de la République et la publication dans le Journal Officiel pour la mise en application.

HMD Global prépare un nouveau smartphone. Il se positionnerait en tant que solide milieu de gamme avec un accent sur la partie photo.

Plusieurs fuites autour d’un smartphone Nokia en préparation chez HMD Global. Ce modèle répondrait au nom de code Daredevil en interne et pourrait apparaître en tant que Nokia 5.2 une fois sur les étals.

En termes de caractéristiques techniques, des photos montrent un écran avec une encoche de type goutte d’eau pour le capteur photo frontal, un port USB-C pour la recharge et un lecteur d’empreintes positionné au dos pour la sécurisation des données. Mais surtout, elles révèlent un bloc photo circulaire à trois capteurs qui serait la fruit d’une collaboration avec Carl Zeiss, le principal étant d’ailleurs un module 48 Mégapixels. La découpe de la surcoque de protection visible sur certains clichés suggèrent la présence du mini-jack, dans la tranche supérieure. Les attentes portent également sur un chipset de la famille Snapdragon 600 ou 700, un écran Full HD+ et une batterie de bonne capacité.

 

Sources : NokiaMob, Nokia anew et GSMArena

Plusieurs smartphones Alcatel sont disponibles chez Free Mobile. Univers Freebox a pu échanger avec David Derrida, directeur produit chez TCL Communication, groupe aux commandes d’Alcatel Mobile. Nous avons ainsi confirmation que les principaux modèles supporteront de la 4G 700 MHz. Nous apprenons également que l’un de ceux vendus par Free Mobile basculera prochainement sous Android Pie.

Trois smartphones Alcatel sont actuellement disponibles chez Free Mobile, les Alcatel 1, 1x et 3, les deux derniers étant des nouveautés. Doit-on encore en attendre d’autres prochainement ?

Actuellement, nous avons 4 produits référencés chez Free Mobile dont 3 smartphones, ce qui représente une belle part de « linéaire » chez Free. Nous sommes en discussion régulière avec Free Mobile pour étoffer la gamme avec de nouvelles propositions aux caractéristiques techniques toujours plus développées, tout en conservant un niveau de prix équivalent.

Sur les trois smartphones disponibles, deux sont compatibles avec la 4G 700 MHz. Les prochains modèles qui arriveront chez Free Mobile seront-ils toujours compatibles avec cette 4G 700 MHz ? Et plus généralement, les prochains téléphones Alcatel le seront-il ?

Nous nous efforçons de supporter la bande 28 sur la majorité de nos smartphones Alcatel et notamment sur les principaux modèles de notre gamme. Nous sommes conscients que c’est désormais un critère indispensable pour Free Mobile.

Les trois smartphones disponibles, que nous avons d’ailleurs testés, ont le système d’exploitation Android Oreo. Seront-ils bientôt mis à jour avec un système d’exploitation plus récent, ne serait-ce qu’Android Pie ?

Notre smartphone Alcatel 3 va être prochainement mis à jour vers la version Android Pie. Concernant les modèles de la série 1, nous privilégions plutôt l’expérience utilisateur et la fluidité du système d’exploitation plutôt que les mises à jour de la version d’Android. Toutefois, tous nos smartphones, incluant les modèles de la série 1, bénéficient de mises à jour de sécurité régulières.

Free a déjà profité de smartphones exclusifs, à l’image du Redmi Note 7 Edition 700. Cela pourrait-il être le cas avec la marque Alcatel ?

La réponse revient à Free Mobile. De notre point de vue, nous sommes évidemment disposés à discuter avec eux d’un tel partenariat.

Tour à tour, les constructeurs annoncent des smartphones 5G. Quelle est la position d’Alcatel Mobile à ce sujet ?

Le groupe TCL a déjà annoncé plusieurs produits 5G depuis le Mobile World Congress 2019. Nous avons notamment annoncé le lancement d’un modem 5G et d’une TV 8K 5G, ces deux produits étant, pour le moment, principalement destinés au marché chinois. Nous serons prêts pour accompagner l’adoption de la technologie 5G sur le marché français, une fois que cette technologie se sera démocratisée afin d’offrir une proposition à un prix abordable.

Quid des smartphones pliables ?

Le groupe TCL, dont l’expertise dans les écrans n’est plus à prouver, a fait des investissements industriels et en R&D très importants pour être l’un des leaders dans ce domaine. Nous avons dévoilé au Mobile World Congress 2019 plusieurs prototypes fonctionnels d’écrans pliables et de charnières brevetées. Nous sommes convaincus que la 5G et les écrans pliables vont changer radicalement le panorama du marché des smartphones au cours des prochaines années. Rendez-vous prochainement.

De manière globale, quelle est la position des smartphones Alcatel Mobile sur le marché français ?

En Europe de l’Ouest (UK, France, Allemagne, Italie, Espagne, Pays-Bas et autres pays de l’Europe de l’Ouest), Alcatel Mobile est le deuxième constructeur de téléphones mobiles à moins de 150 euros, selon les chiffres IDC T1 2019. Si l’on y ajoute les produits vendus en marque blanche par nos clients, nous pouvons prétendre à une position encore plus forte. Sur le marché français, notre ambition est de refléter notre position sur le reste de l’Europe.

Avez-vous prévu une montée en gamme de la marque ?

Alcatel Mobile poursuit sa mission d’apporter de l’innovation sur le marché des smartphones entrée de gamme, à moins de 200 euros, tout en préservant notre ADN de qualité et notre engagement en RSE (Responsabilité sociétale des entreprises). Pour les produits milieu de gamme, nous adressons aujourd’hui le marché avec la marque BlackBerry Mobile. Avec l’arrivée de la 5G et des écrans pliables, la question de la marque se pose. Rendez-vous très prochainement.

Univers Freebox a testé le Xiaomi Mi 9T, un smartphone vendu à moins de 400 euros qui propose notamment un écran aux bordures très réduites, un triple capteur photo et une grosse batterie. Voici nos impressions – particulièrement positives, vous le verrez – après plusieurs jours en sa compagnie.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un smartphone prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques du Xiaomi Mi 9T qui coûte 349,90 euros dans sa configuration 6/64 Go et 389,90 euros dans sa configuration 6/128 Go.

–    Processeur : octa-core jusqu’à 2,2 GHz (chipset Qualcomm Snapdragon 730)
–    Mémoire vive : 6 Go
–    Écran : dalle AMOLED 6,39 pouces offrant une définition Full HD+ (2 340 x 1 080 pixels)
–    Audio : son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure
–    Stockage : 64 ou 128 Go (non extensible par MicroSD)
–    Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–    Triple capteur photo dorsal : 48 Mégapixels (principal) + 8 Mégapixels (zoom 2x) + 13 Mégapixels (ultra grand-angle 124,8 degrés)
–    Capteur photo frontal : 20 Mégapixels (dans une partie motorisée de la tranche supérieure)
–    Prise casque : oui (tranche supérieure)
–    Connectique de charge : USB Type-C (tranche inférieure)
–    Connectivité Bluetooth : version 5.0
–    Support NFC : oui
–    Batterie : 4 000 mAh (non amovible) rechargeable en filaire avec le bloc 18 Watts fourni
–    Système d’exploitation : Android 9.0 Pie avec l’interface MIUI 10
–    Protection : lecteur d’empreintes sous l’écran ou reconnaissance faciale

Un smartphone à la finition soignée et une coque de protection sympa en prime

Le Xiaomi Mi 9T profite d’une finition exemplaire. Comme l’accoutumée avec les modèles dotés d’un dos brillant, il faudra composer avec les traces de doigts.

La finesse de l’ensemble et le poids bien reparti participent à la bonne préhension. Petit détail appréciable : la coque de bonne facture fournie d’office. Il s’agit d’un modèle rigide avec revêtement anti-déparant particulièrement agréable en main et facile à mettre et remettre. 

 

Un bel écran AMOLED sans bordure ni encoche et un son qui ne manque pas de patate

Parlons à présent de l’écran AMOLED du Xiaomi Mi 9T. Il offre de jolies couleurs et de bons angles de vision. Notez à ce propos qu’on peut régler la chaleur d’affichage depuis les paramètres. Il s’en sort également bien du côté de la luminosité, permettant ainsi une lecture confortable lors d’un temps très ensoleillé. Nous vous conseillons d’ailleurs de désactiver la luminosité automatique. On se retrouve souvent avec une luminosité baissée sans raison. La caractéristique sans bordure ni encoche permet de son côté de profiter pleinement des jeux vidéo et vidéos. Du pur bonheur, on peut le dire. Aucun intrus dans l’affichage.

Côte son, c’est puissant, clair et il y a du relief. On en vient à regretter que le son ne soit pas stéréo comme sur les OnePlus 7 ou Asus Zenfone 6. Ici, il sort de la grille dans la tranche inférieure. D’ailleurs, pas de deuxième grille pour faire illusion d’un deuxième haut-parleur et donner une impression de symétrie. De l’autre côté, on trouve en effet le tiroir SIM, celui que les constructeurs mettent généralement sur le côté. Pourquoi pas.

Les mélomanes noteront de leur côté la présence du mini-jack, dans la tranche supérieure.

De belles photos, de jour comme de nuit

Abordons maintenant la partie photo. Les photos produites par le triple capteur 48/8/13 Mégapixels au dos lors d’une journée lumineuse sont très bonnes. Celles de nuit profitent d’un mode dédié qui fait du très bon boulot.

Les amateurs de selfies seront, quant à eux, aux anges au regard de la qualité fournie. Sympa d’ailleurs le petit effet lumineux quand le capteur sort de sa cachette.  

Les amateurs de photo noteront un mode Pro pour des réglages personnalisés. Une dernière chose peut-être, sauf si vous voulez faire de la publicité pour votre smartphone : pensez à désactiver le filigrane activé par défaut. Pour cela, il suffit d’aller dans les paramètres de l’application photo (Menu/Paramètres/Filigrane de l’appareil).  

Ci-dessous, une photo sans zoom puis avec zoom 5x et 10x en fin de journée (on évitera de trop pousser le zoom, comme vous le voyez) :

D’autres photos de jour, qui sont très réussies (et qui font voyager au passage) :

Un exemple de selfie :

Une photo prise la nuit, en fonctionnement classique, puis avec le mode nuit (qui corrige les halos de lumière, redonne du vert aux arbres, redessine les voitures au premier plan et redonne de la netteté à l’ensemble) :

Une 4G qui dépote et un support de la B28

Nous avons testé les débits dans nos endroits habituels. En extérieur et dans une zone bien couverte, nous avons franchi à plusieurs reprises les 100 Mbit/s. Il nous est même arrivés d’aller au-delà des 200 Mbit/s. En intérieur, nous avions réussi à avoir 50 Mbit/s en réception. Autant dire que les téléchargements en 4G étaient confortables.

 

Bonne nouvelle pour les abonnés Free Mobile : le Xiaomi Mi 9T gère la 4G 700 MHz (B28).

De très bonnes performances

À aucun moment durant nos tests, nous n’avons eu l’impression d’un quelconque ralentissement, comme si nous avions un smartphone avec un Snapdragon 855. Sauf que nous avions un chipset plus modeste, à savoir le chipset Snapdragon 730. Des jeux comme Asphalt 9, Need for Speed: No Limits ou PUBG Mobile tournent tranquillement. Le dernier fonctionne d’ailleurs avec les graphismes à fond. Il est arrivé au smartphone de chauffer, mais pas de manière insupportable, et seulement en jeu ou en benchmark.

Pour les amateurs de benchmarks, AnTuTu place le Xiaomi Mi 9T entre un Samsung Galaxy S9 (avec chipset Exynos 9810) et un Huawei P20 Pro (avec chipset Kirin 970). Il s’agit de modèles haut de gamme de 2018.

Le stockage à bord se montre également plutôt rapide. L’outil Disk Speed indique 211 Mo/s en écriture et 472 Mo/s en lecture. Voilà qui explique également l’impression de fluidité, notamment lors de l’installation des applications.

Une autonomie excellente et une charge rapide

L’autonomie du Xiaomi Mi 9T est excellente. En même temps, il dispose d’une batterie 4 000 mAh. Pour vous donner une idée, nous étions à 100 % lundi soir à 22h09. Nous sommes arrivés à 51 % le mardi à 23h30 et à 21 % le mercredi à 15h43. Entre temps, il y a plusieurs heures de jeu avec le son à fond, de l’écoute audio en Bluetooth, quelques photos, de la consultation et des notifications Twitter, du surf sur Internet et des tests de débits. Tenir deux jours apparaît parfaitement envisageable. Les utilisateurs les moins gourmands pourront tenir un peu plus.

Concernant la charge, le bloc 18 Watts permet de ne pas attendre trop longtemps malgré la bonne taille de la batterie. À 20h44, nous étions à 24 %. Nous sommes arrivés à 32 % à 20h51, 71 % à 21h19 et 100 % à 22h09. Nous avons par la suite simulé des charges de 10 et 20 minutes exactement. Chaque créneau de 10 minutes nous permettait de récupérer exactement 12 % de batterie. Bref, de quoi envisager une petite charge d’appoint avant de prendre la route. Notez enfin qu’il n’a pas la recharge sans-fil.

Une interface très complète, mais sans le tiroir d’applications

Sur le Xiaomi Mi 9T, on retrouve la ROM MIUI 10 des Xiaomi Mi 9 SE et Xiaomi Mi 9, avec laquelle il faudra faire sans le tiroir d’applications caractéristique d’Android. Les applications se retrouvent organisées sur le bureau avec un dock des favorites, à la manière d’iOS. On aime, ou pas.

 

Cette interface se montre très complète et avec des fonctionnalités bienvenues comme le mode à une main proposant trois diagonales d’affichage réduites (3,5, 4 et 4,5 pouces), le mode Lecture (pour soulager les yeux avec un ton plus chaud), le mode sombre (pour ne pas déranger le soir), le second espace (pour mettre ses données à l’abri) et le choix laissé entre la navigation à la gestuelle ou avec les boutons Android.

  

 

Du côté de la sécurité, au moment des tests, les patchs de mai étaient installés. Pas les derniers, donc. Quant aux solutions de déverrouillage, le lecteur d’empreintes sous l’écran et la reconnaissance faciale fonctionnent plutôt bien. Pas de raté durant nos essais. La seconde solution est évidemment un peu plus longue, du fait d’une partie mécanisée devant sortir et rentrer. À ce propos, comme sur les Asus Zenfone 6 et OnePlus 7 Pro l’accéléromètre permet de détecter la chute et de mettre la caméra à l’abri.

VERDICT : finition soignée, performances au top, bel écran quasi sans bordures, 4G rapide, très bonne partie photo, énorme autonomie, charge rapide et même support de la 4G 700 MHz en ce qui concerne les abonnés Free Mobile. Petit détail agréable en prime : la coque fournie est de bonne facture. C’est presque un sans faute pour ce Xiaomi Mi 9T. En étant tatillon, on pourrait juste regretter le son qui n’est pas stéréo. Mais c’est vraiment pour chipoter, car le son est agréable à écouter, notamment en jeu. De là à parler de la nouvelle référence sous la barre des 400 euros, il n’y a qu’un pas, qu’on peut franchir sans prendre de risque. Vous avez un budget de 400 euros pour un smartphone Android ? Le Mi 9T fait clairement partie des options à envisager.