Auteur : dimitri

La saisie tactile permet d’augmenter la vitesse d’écriture des messages sur mobile, à condition toutefois de prendre les bonnes habitudes et de bien choisir les outils à disposition.

Avec l’arrivée des écrans tactiles sur les smartphones, le clavier physique fait partie d’un autre temps. Si on y gagne évidemment en silence dans les environnements calmes, avec la disparition du bruit des touches (surtout pour les Speedy Gonzales du SMS), s’y retrouve-t-on vraiment en termes de rapidité de saisie ? C’est sur cet aspect que s’est penchée une étude réalisée avec le concours de plus de 37 000 personnes dans 160 pays.

Depuis un clavier virtuel, les utilisateurs atteignaient les 29 mots par minute en moyenne avec un seul doigt et les 38 mots par minute en moyenne avec deux doigts. Le chiffre varie selon l’âge, puisqu’il serait de 40 minutes pour les adolescents et de 29 et 26 mots pour les personnes âgées de 40 et  50 ans respectivement. Cela s’explique notamment par le temps passé quotidiennement sur le mobile, et du coup la pratique. Pour revenir au rythme moyen atteint avec les deux doigts, c’est à peine 25 % de moins par rapport aux 52 mots atteints lors d’une saisie sur un clavier physique AZERTY / QWERTY de taille standard. 

Au-delà de la moyenne, un participant à l’étude parvenait à 85 mots par minute avec un clavier virtuel. Pour approcher ce genre de cadence en saisie tactile, les chercheurs conseillent d’utiliser les deux pouces et les outils à disposition comme la correction automatique et l’écriture prédictive. Et s’ils recommandent d’utiliser la correction automatique qui augmente la cadence de 9 mots par minute en moyenne, ils suggèrent en revanche d’éviter la saisie prédictive qui nous retarderait de 2 mots par minute avec les secondes d’attention consacrées à choisir le mot.

Source : The Guardian

L’Arcep vient de publier son dernier observatoire du marché des télécoms, celui couvrant le second trimestre 2019. Celui-ci confirme la norme du “sans engagement” dans le mobile et la progression de la consommation de data mobile.

D’après le dernier observatoire du marché des télécoms publié par l’Arcep, le nombre de cartes SIM en service en France atteignait les 76 millions à l’issue du second trimestre 2019, soit au 30 juin 2019. Le chiffre affiche ainsi une progression de 1,8 million sur un an.

51 millions de cartes SIM, soit deux sur trois, étaient d’ailleurs actives sur les réseaux 4G. Cela représente une progression de 6,3 millions en un an. 81 % l’étaient sur les réseaux 3G. Les données du gendarme des télécoms confirment également que le “sans engagement” est devenu la norme dans le mobile. 70 % des forfaits mobiles sont en effet sans engagement de durée. Le modèle forfaitaire domine aussi très largement, puisqu’il représente près de 9 cartes SIM sur 10.

 

 

Des usages sont en revanche en recul ou stables. La consommation mensuelle moyenne des SMS a atteint les 184 SMS, soit 17 SMS de moins par rapport à la même période en 2018. De son côté, la durée moyenne mensuelle d’appel “évolue peu depuis trois ans “, selon l’Arcep, et atteignait ainsi les 3 heures et 21 minutes au second trimestre 2019. L’avènement des messageries type Messenger, WhatsApp, Skype et Viber n’y est sans doute pas étranger.

Le service Molotov, qui permet de regarder les chaînes gratuites de la TNT, met à jour son application sur iPhone. Il s’agit d’améliorer la compatibilité avec la dernière version du système d’exploitation d’Apple.

Disponible gratuitement sur de nombreux appareils incluant les ordinateurs sous Windows, MacOS et Linux, les smartphones et tablettes sous Android et iOS, les téléviseurs de certaines marques ou encore la Freebox mini 4K, l’application Molotov permet de regarder les chaînes gratuites de la TNT, en direct ou en replay.

Elle vient justement d’être mise à jour sur iOS avec la publication d’une version numérotée 3.14.0. Cette mise à jour est synonyme d’une optimisation pour le fonctionnement de l’application avec le système d’exploitation iOS 13 disponible sur les nouveaux iPhone et déployé sur les anciens modèles par le biais d’une mise à jour. Une nouvelle fois, les développeurs invitent les utilisateurs à faire part de leur expérience. “Vos retours sont précieux, n’hésitez pas à nous écrire à l’adresse : help@molotov.tv”, indiquent-ils. La mise à jour est à télécharger depuis l’App Store.

La boutique en ligne de Free Mobile accueille deux nouveaux smartphones Xiaomi. Notez que tous les deux bénéficient d’une ristourne.

Le premier est le Xiaomi Mi A3, dont vous pouvez retrouver notre test ici. Il est vendu à 249 euros au comptant (219 euros en ce moment). On peut également l’acquérir en 4 ou 24 fois sans frais. 

En voici ses caractéristiques :

Le second est le Xiaomi Mi 9T Pro, dont notre test est disponible ici. Il s’affiche à 429 euros (399 euros avec l’offre de remboursement). Là encore, on peut acheter le smartphone en plusieurs fois sans frais.

En voici ses caractéristiques :

 

La 5G, les consommateurs l’attendent avec plus ou moins d’impatience. Selon un sondage, ils seraient même prêts à payer plus pour bénéficier des forts débits qu’elle promet.

Avec l’arrivée de la 5G se pose évidemment la question de la monétisation par les opérateurs, afin d’amortir les lourds investissements. Un sondage de l’équipementier Ericsson, auquel ont participé 1 500 personnes et dont les résultats ont été relayés par 01net, montre que les consommateurs sont prêts à accueillir cette 5G et à mettre la main à la poche pour en profiter.

De là à dire qu’ils l’attendent de pied ferme, il n’y a qu’un pas puisque 32 % des interrogés se disent prêts à changer d’opérateur si elle tarde à être disponible chez le leur. Cela s’expliquerait notamment par le fait que 44 % n’obtiendraient pas satisfaction avec la 4G et verraient ainsi la 5G comme la solution. 

Concernant le surcoût, s’il y en a effectivement un, les consommateurs français serait prêts à payer un surcoût de 9 euros en moyenne. Dans le détail, les plus technophiles se diraient prêts à débourser 11 euros de plus parm mois, l’utilisateur lambda 10 euros de plus et les moins pressés 6 euros de plus.

Une vidéo pour comprendre le fonctionnement de la 5G en 2 minutes.

À travers une vidéo publiée sur YouTube, Sébastien KAISER, Directeur Connectivité & Réseaux chez SNCF, s’est donné pour mission d’expliquer le fonctionnement de la 5G en deux minutes chrono. 

Sébastien KAISER revient notamment sur la différence concernant les antennes et la diffusion du signal. La 4G utilise de grosses antennes et couvre une zone sur une grande distance. La 5G repose quant à elle sur de petites antennes pour cibler (beamforming) et suivre (beamtracking) des appareils sur de courtes distances grâce à des milliers de signaux émis en simultané (Massive MIMO).

Pour ceux qui voudraient en savoir plus, une précédente vidéo expliquait les technologies mises en oeuvre avec la 5G.

Les prochains smartphones haut de gamme de Google font l’objet de nouvelles fuites.

Les fuites autour des smartphones Pixel 4 et Pixel 4 XL ont été particulièrement nombreuses, en amont d’une présentation officielle prévue le 15 octobre. Des visuels publiés par le site 9to5Google révèlent les principales caractéristiques techniques, ainsi que le contenu de la boîte.

Les Pixel 4 et Pixel 4 XL devraient ainsi embarquer le chipset Snapdragon 855 avec 6 Go de mémoire vive et 64 ou 128 Go de stockage. Ils proposeraient en outre des haut-parleurs stéréo, un double capteur photo 12 + 16 Mégapixels au dos (le second module servant pour le zoom). Les différences entre les deux modèles se traduiraient par un Pixel 4 avec un écran OLED 5,7 pouces 90 Hz Full HD+ et une batterie 2 800 mAh pour le Pixel 4, tandis qu’un Pixel 4 XL proposerait un écran OLED 6,3 pouces 90 Hz Quad-HD+ et une batterie 3 700 mAh. Tous les deux bénéficieraient de trois ans de mises à jour majeures. La boîte inclurait d’office le chargeur 18 Watts. 

 

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons de la technologie 256 QAM.

Après avoir proposé la modulation 64 QAM (Quadrature Amplitude Modulation, soit Modulation d’Amplitude en Quadrature en français), Free a récemment activé la modulation 256 QAM sur son réseau mobile en France Métropilitaine, et plus récemment encore à La Réunion. Mais à quoi sert cette technologie ?

Dans les faits, cela permet de booster les débits. Le débit maximum théorique descendant sur le réseau Free Mobile en France passe ainsi de 337,5 Mbit/s (en 64 QAM) à 440,55 Mbit/s (en 256 QAM). Une augmentation de l’ordre de 30 %, ce qui est loin d’être négligeable.

Sur le plan technique, il s’agit dans les grandes lignes d’augmenter le nombre de données transmises sur une période de signal. Le 64 QAM permet en effet d’encoder jusqu’à 64 valeurs (encodées sur 6 bits) par période, contre 256 valeurs (encodées sur 8 bits) par période pour le 256 QAM. 

Exemple de période, qui représente la durée s’écoulant pendant un cycle de signal avant qu’il soit répété

En pratique, cet exploit nécessite un signal de bonne qualité, puisque la lecture du signal se fait par intervalle beaucoup plus réduit (4 fois plus réduit), ce qui augmente le risque de lire une donnée fausse due aux parasites électromagnétiques. De plus, vote mobile doit être capable de réaliser plus de 8 lectures par période de signal, ce qui est le cas pour les modems compatibles LTE CAT 11 et plus.

Pour profiter de l’activation de la modulation 256 QAM, il faut ainsi un smartphone compatible. D’ailleurs, Free indique cette compatibilité sur les fiches techniques des smartphones vendus à travers sa boutique en ligne.

Après la France Métropolitaine, au tour de La Réunion de profiter de l’activation de la technologie 256 QAM pour des débits en hausse.

En septembre dernier, VacheGTI, l’un des spécialistes du réseau de Free Mobile, rapportait l’activation de la modulation 256 QAM sur le réseau mobile de Free en France Métropolitaine. Cela se traduisait concrètement par une hausse des débits de l’ordre de 30 %, avec un débit maximum théorique passant de 337,5 Mbit/s (en 64 QAM) à 440,55 Mbit/s (en 256 QAM). Pour calculer les débits max 4G avec différentes modulations, vous pouvez utiliser cet outil disponible en ligne.

Dylan LEGROS, membre actif du projet RNC Mobile, indique l’activation de cette même technologie sur le réseau mobile de Free à La Réunion. “La modulation permet dorénavant un débit maximum de : 97,9Mb/s en 4G (contre 75Mb/s) et 195,8Mb/s en 4G+ (contre 150Mb/s)”, indique-t-il. Et d’ajouter que “la modulation 256 QAM ne fonctionne que dans des conditions radio optimales et avec un mobile au minimum LTE cat.11”. 

 

Un phishing cible les abonnés Free. Si celui-ci n’est pas forcément le plus esthétique, il peut semer le doute. Son auteur se montre en plus légèrement insistant.

Une énième campagne de hameçonnage cible en ce moment les abonnés de l’opérateur de Xavier Niel. D’après l’e-mail, il s’agit de récompenser l’internaute ayant participé à une enquête au sujet de Free. 50 euros sont ainsi promis.

S’il est plutôt bien ficelé au premier abord et peut semer un léger doute avec la présence du logo Free, le bouton de désabonnement tout en bas, l’absence de grosses fautes de français et surtout le nom du destinaire (récupération sur les réseaux sociaux ? récupération à partir de l’adresse e-mail ?), la mise en page, le recours à des images cliquables, l’énorme bouton avec son texte pressant l’internaute et les adresses sans aucun lien avec Free vont le sens d’une arnaque.

Pour couronner le tout, l’auteur du phishing juge bon d’envoyer deux fois le même mail à 15 minutes d’intervale. Au cas où vous pourriez mordre à l’hameçon la seconde fois.

Rappelons enfin que vous pouvez signaler tout site de phishing sur http://phishing-initiative.com/.