Auteur : dimitri

Tutoriel Freebox Delta : comment installer une machine virtuelle

Free a déployé une mise à jour estampillée 4.1.0 sur le Server Freebox Delta / Freebox Delta S qui apporte notamment la possibilité d’utiliser des machines virtuelles pour par exemple héberger un site Web, gérer sa maison avec une solution domotique comme Jeedom ou héberger une partie de Minecraft. Pour rappel, une machine virtuelle permet d’émuler un système d’exploitation. Ce tutoriel va vous montrer comment installer la vôtre.

 

Pré-requis

Pour profiter de cette nouvelle fonctionnalité, il faut tout d’abord redémarrer le Server Freebox Delta. Une fois le redémarrage effectué, chargez le système Freebox OS depuis votre navigateur Web en vous rendant à l’adresse http://mafreebox.freebox.fr.

La nouvelle fonctionnalité est annoncée par une fenêtre popup et matérialisée par une icône en forme de pochette nommée VMs. Double-cliquez dessus.

 

 

Création de la machine virtuelle

Une grosse croix à gauche de la fenêtre permet de lancer le processus de création de la machine virturelle. Cliquez dessus.

Depuis la fenêtre suivante, vous allez pouvoir nommer votre machine virtuelle (nous avons choisi “VM UF”), mais aussi lui allouer un nombre de coeurs (1 ou 2) et une quantité de mémoire vive (512 Mo de base et jusqu’à 957 Mo), avant de définir le système d’exploitation à installer.

Le système pourra être l’un de ceux préinstallés, parmi Jeedom, Fedora 30, Debian Testing, Debian 10, Ubuntu 19.04 et Ubuntu 19.10. Nous avons retenu cette option, mais sachez que vous pouvez installer le vôtre à partir d’une image au format ISO.

Il faut ensuite choisir la méthode de sécurisation pour la connexion : une clé SSH générée à l’aide d’un outil tel que PuTTY ou un mot de passe classique. La première est plus complexe à mettre en place, mais plus sécurisée en contrepartie.

Vient ensuite l’installation de la machine virtuelle en indiquant la taille de stockage allouée (sur le disque dur ou SSD présent dans le Server Freebox Delta). Cela prendra quelques minutes.

Paramétrage et lancement de la machine virtuelle

La machine virtuelle est désormais prête à être utilisée en mode console (en utilisant des lignes de commande) avec ou sans écran virtuel (qui peut afficher l’interface graphique). 

L’allumage et l’arrêt passe par les boutons dédiés de couleur verte et rouge, dans la partie supérieure de l’interface Freebox OS. La possibilité d’écran virtuel nécessite de cocher la case à côté de la petite icône en forme d’écran dans les paramètres, tandis que son affichage passe par le bouton en forme d’écran dans la partie supérieure.

Notez que vous pourrez modifier après coup les paramètres de votre machine virtuelle (la quantité de RAM allouée, par exemple), à condition que celle-ci soit éteinte.

 

Des ressources limitées dont il faut tenir compte

Si on peut faire tourner plusieurs machines virtuelles en même temps, notez qu’il vous faudra composer avec les ressources disponibles (trois coeurs maximum) et peut-être jongler entre les machines virtuelles.

Nous avons voulu lancer Ubuntu et Fedora. Une alerte nous indiquait un manque de mémoire. Il nous a ainsi fallu couper la VM Ubuntu avant de pouvoir lancer la VM Fedora.

Il s’agit là de la première étape. Prochainement, nous vous proposerons des tutoriels pour installer différents logiciels sur le Server Freebox Delta.

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Android 10 : Google va pousser la disponibilité de son nouvel OS mobile sur les nouveaux smartphones

Google veut pousser les constructeurs à livrer leurs nouveaux smartphones avec la dernière versiond d’Android.

Google entend pousser Android 10, la dernière version de son système d’exploitation destiné aux smartphones et tablettes tactiles. Avec les nouvelles conditions de la licence Android, la firme de Mountain View va ainsi imposer son nouvel OS mobile sur les nouveaux appareils. 

Selon XDA-Developers, tout nouvel appareil Android approuvé après le 31 janvier 2020 devra en effet être fourni avec Android 10 pour profiter des services de Google tels que la boutique d’applications Play Store. 

Rappelons enfin que Google a annoncé une édition allégée nommée Android 10 Go qui permettra, quant à elle, de favoriser l’installation de son dernier OS mobile sur les appareils d’entrée de gamme, aux configurations plus modestes.

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Fibre optique : la propagation de la lumière expliquée dans une vidéo

Une vidéo vous explique en quelques minutes la propagation de la lumière dans la fibre optique.

La fibre optique promet de forts débits par rapport à l’ADSL. Mais comment cela fonctionne-t-il à l’intérieur ?

Dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, un professeur apporte quelques éclairages sur la propagation de la lumière dans la fibre optique, avec les phénomènes de réfraction et de réflexion.

L’occasion également de rappeler les différents composants : le coeur où va se propager la lumière, la gaine pour protéger le coeur et une enveloppe en plastique pour protéger l’ensemble.

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Enchères 5G : les recettes minimales attendues par l’Etat chiffrées à 600 millions d’euros

Le gouvernement français commence à chiffrer dans son budget les recettes générées par l’attribution des fréquences de la 5G. Il s’agit d’une estimation en attendant de connaître les prix de réserve.

Lors de son audition au Sénat, Sébastien Soriano a invité le gouvernement à ne pas être trop gourmand concernant l’attribution des fréquences qui seront utilisées pour la 5G, afin de maintenir un bon niveau d’investissement du côté des opérateurs et de permettre des prix attractifs pour les consommateurs.

D’après le projet de loi de finances 2020, le gouvernement estime à 600 millions d’euros les recettes minimales. Le chiffre peut surprendre, car bien inférieur aux 6,5 milliards d’euros en Allemagne et en Italie, mais surtout au prix de réserve indiqué en juin dernier plus proche des 1,5 milliard d’euros que des 3 milliards par Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances. Interrogé à ce sujet par l’Express à propos de ces 600 millions d’euros, le ministère de l’Économie et des Finances a tempéré le chiffre et précisé que “le montant indiqué est une estimation”. Il s’agit en effet du minimum attendu, en attendant d’avoir les informations concernant les prix de réserve et le calendrier de paiement.

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Univers Freebox a testé le smartphone Galaxy Note10+ disponible chez Free Mobile, une belle vitrine technologique

Univers Freebox vous propose aujourd’hui le test du smartphone Samsung Galaxy Note10+ disponible dans la boutique en ligne de Free Mobile.

Avant de passer à ce test réalisé à partir d’un smartphone prêté par la marque, voici un rappel des principales caractéristiques du Galaxy Note10+ que nous avons eu dans sa version 12 + 256 Go, disponible à 1 109 euros chez Free Mobile.

 


La fiche technique


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,7 GHz (chipset Exynos 9825)
–   Mémoire vive : 12 Go
–   Écran : dalle AMOLED  6,8 pouces offrant une définition 3 040 x 1 440 pixels
–   Audio : rendu stéréo
–   Stockage : 256 ou 512 Go (extensible par MicroSD)
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B12/
                                    B13/B17/B18/B19/B20/B25/B26/B28/B32/B66


–   Gestion dual-SIM : oui, grâce à un emplacement Nano-SIM et un emplacement hybride Nano-SIM/MicroSD
–   Capteurs photo au dos : 12 + 12 + 16 + 0,3 Mégapixel (principal + zoom optique 2x + ultra grand-angle + TOF)
–   Capteur photo à l’avant : 10 Mégapixels (dans un poinçon)
–   Prise casque 3,5 millimètres : non (il faut passer par le port USB-C)
–   Connectique de charge : port USB-C (tranche inférieure)
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   Support NFC : oui

 


–   Batterie : 4 300 mah (non amovible) rechargeable en filaire avec le bloc 25 Watts fourni ou en sans-fil (chargeurs Qi) ; possibilité de charge sans-fil inversée
–   Système d’exploitation : Android Pie avec l’interface One UI
–   Solutions de déverrouillage : lecteur d’empreintes sous l’écran ou reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal

 

Un smartphone magnifique

 

“Magnifique”, c’est en effet le premier adjectif venu à l’esprit lors de la sortie de la boîte. L’écran aux bordures ultra fines ou débordant sur les tranches font leur petit effet. Tout comme l’extrême finesse et le dos reflétant différentes couleurs. Comme d’habitude avec les finitions brillantes, gare aux traces de doigts. Les maniaques, vous voilà prévenus.

Le design fin et tout en rondeur se traduit également par une prise en main excellente. Le bloc photo arrière dépasse un peu, mais pas au point de déranger un gaucher ou de faire beaucoup basculer le smartphone posé sur le dos.

Un bel écran, mais un son qui manque un peu de basses

L’écran fait partie des points forts du Galaxy Note10+. Grand, lumineux et bien défini, il offre une excellente expérience en multimédia. On a vraiment plaisir à l’utiliser. Le poinçon ? Tellement petit qu’il se fait rapidement oublier. Notez qu’il sera possible de régler le ton (vif ou naturel) et la définition d’affichage (HD+, FHD+ et WQHD+) depuis les paramètres.

 

Le constat côté son est plutôt en demi-teinte. Le rendu est stéréo et propre. Dommage que les basses soient en retrait. Le rendu perd un peu relief.

Toujours en parlant du son, pas de sortie 3,5 millimètres. Il faudra passer par le Bluetooth ou l’USB-C pour l’utilisation d’écouteurs. Ceux fournis dans la boîte et signés AKG sont d’ailleurs de très bonne facture. Ils profitent d’un câble tressé et s’en sortent vraiment bien pour la restitution des sons graves.

La photo, c’est son dada

Parlons maintenant de la photo, qui fait comme l’écran partie des points forts de ce Galaxy Note10+. En plus d’être polyvalent, le fleuron de Samsung propose de très bons clichés, de jour comme de nuit, grâce à un mode nuit dédié. Les amateurs de selfies y trouveront également leur compte.

Ci-dessous, une photo, avec le zoom intermédiaire puis le zoom à fond, avec des protagonistes qui ne tiennent pas vraiment en place ; pas de miracle, mais le Galaxy Note10+ peut s’en sortir à condition de ne pas abuser du zoom :

Une photo de jour, puis sa version ultra grand-angle :

D’autres photos de jour :

Une photo en mode portrait en intérieur avec un sujet qui bouge un peu :

Une photo de jour et sa version corrigée par le mode nuit :

Un selfie en extérieur :

La 4G à toute vitesse

Nous avons effectué de tests avec la 4G de Free Mobile.  Les téléchargements ne traînent pas en longueur. Nous avions assez souvent 50 Mbit/s en réception en intérieur. Nous franchissions régulièrement les 100 Mbit/s en extérieur.

Ci-dessous, un test depuis la salle de rédaction :

Et quelques tests réalisés en extérieur dans des zones plus ou moins bien couvertes :

 

Des performances au top, et sans chauffe désagréable

Que ce soit dans l’interface ou dans les gros jeux comme Call of Duty: Mobile, PUBG Mobile ou Asphalt 9, aucun ralentissement. Tout va vite. Concernant la chauffe, elle est effectivement perceptible dans la moitié supérieure à l’arrière, mais sans jamais être dérangeante.

Nous avons passé le Galaxy Note10+ dans les outils AnTuTu et Disk Speed. Le smartphone haut de gamme de Samsung se retrouve bien positionné dans le classement AnTuTu. Disk Speed indique de son côté à 1 Go/s en lecture et près de 500 Mo/s (485 pour être précis) pour la mémoire interne.

 

Une autonomie confortable et une charge très très rapide

La batterie 4 300 mAh  permettra sans problème de tenir la journée dans le cas d’un usage pas trop poussé. Ci-dessous, deux exemples d’utilisation :

 

(1er cas) Départ de 13h38 avec 100 % et arrivée le lendemain à 8h55 avec 34 % :
– 20 minutes de streaming audio avec le haut-parleur
– 30 minutes de YouTube avec le haut-parleur
– 1 heure et de 35 minutes de jeu avec le haut-parleur
– Tests de débits
– Quelques photos
– Consultation et alertes Twitter
– Surf sur Internet
– Quelques SMS

 

(2e cas) Départ de 21h10 avec 100 % et arrivée le lendemain  à 21h40 avec 30 %
– 2 heures et de 30 minutes de streaming audio avec les écouteurs
– 35 minutes de YouTube avec le haut-parleur
– 30 minutes de YouTube avec les écouteurs
– 5 minutes de jeu avec le haut-parleur
– Manipulations et captures
– Benchmarks
– Tests de débits
– Quelques photos
– Consultation et alertes Twitter
– Surf sur Internet
– Mises à jour des applications
– Deux gros téléchargements 

Parlons maintenant de la charge avec une petite anecdote. Nous avions branché le Galaxy Note10+ alors qu’il lui restait 11 % de batterie. Une urgence survenue à ce moment-là a monopolisé notre attention pendant un peu plus d’une heure. Le temps de revenir, le plein était fait. Oui, ça va vite. Très vite. D’ailleurs, voici deux exemples de suivi de charge avec le bloc 25 Watts fourni :

 

(1er cas) :
– 21h41 : 30 %
– 24h45 : 41 %
– 21h51 : 51 %
– 21h56 : 61 %
– 21h01 : 71 %
– 22h06 : 79 %
– 22h11 : 85 %
– 22h21 : 91 %
– 22h31 : 96 %
– 22h40 : 100 %

 

(2e cas) : 
– 12h38 : 20 %
– 12h49 : 43 %
– 13h03 : 70 %
– 13h22 : 92 %
– 13h38 : 100 %

Dans le second cas, la charge était promise en 1 heure et 1 minute. L’estimation s’est ainsi révélée très précise.

Enfin, le Galaxy Note10+ propose de la charge sans-fil et de la charge sans-fil inversée. En plus de pouvoir faire le plein sur le player de Freebox Delta, il a pu dépanner un Galaxy S9 à court de batterie.

Android avec l’interface One UI

Le Galaxy Note10+ s’accompagne du système Android 9 Pie coiffé de l’interface One UI.

 

 

Claire et complète, elle propose quelques fonctionnalités bienvenues comme le mode nuit, le volet latéral donnant accès aux applications favorites et le mode d’emploi intégré.

 

Les parents apprécieront peut-être aussi l’Espace Enfants qui donne accès à des applications et contenus pensés pour les plus jeunes. À condition évidemment d’être prêt à mettre son cher smartphone entre de mains pas toujours adroites.

 

Du côté des applications préinstallées dans le cadre de partenariats, certaines peuvent être supprimées comme Spotify, Outlook ou Linkedin. Avec d’autres comme Netflix ou Facebook, on pourra seulement retirer le raccourci.

 

Difficile de faire l’impasse sur le stylet S Pen, même quand on n’en a pas forcément l’utilité. C’est un attribut de la série Galaxy Note et il peut se montrer très pratique. Le S Pen peut servir à la prise de note manuscrite ou à la retouche des photos. Ceux ayant de gros doigts pourront l’apprécier pour la navigation dans l’interface ou l’écriture d’un message.

Mais avec sa connectivité Bluetooth, le stylet S Pen permet d’autres choses. Nous avons ainsi pu piloter la lecture vidéo dans YouTube (navigation dans une liste de vidéos et réglage du son) avec une diffusion sur le téléviseur via la Freebox mini 4K. Le stylet devient alors une télécommande Bluetooth. Pratique. Nous pouvions aussi naviguer dans les modes de l’application Photo, basculer entre les capteurs avant et arrière et déclencher la capture. Le tout à distance.

Concernant enfin la sécurité, nous avions les patchs du mois de septembre 2019. Quant aux solutions de sécurisation, à savoir le lecteur d’empreintes digitales ou la reconnaissance faciale avec le capteur photo avant,  elles sont très rapides et efficaces.

VERDICT :  difficile de ne pas tomber sous le charme du Galaxy Note10+ qui profite d’une finition magnifique (ou bling-bling, c’est selon), alliant finesse, courbes et matériaux qualitatifs. Les technophiles y trouveront aussi leur compte du côté de la fiche technique particulièrement aguicheuse : hautes performances, écran géant et lumineux, excellentes photos, débits très confortables en 4G et charge très rapide. Seul le son peut décevoir. Clair, puissant et stéréo, il manque en effet un peu de relief. Un détail, mais un aspect sur lequel on ne peut pas faire l’impasse avec un smartphone vendu plus de 1 000 euros.

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Fibre optique : les étapes du déploiement jusqu’au domicile expliquées en vidéo

À travers quatre vidéos, Orange explique les différentes étapes avant l’arrivée de la fibre optique au domicile de l’abonné.

Rappelant que la fibre optique ne tombe pas du ciel, l’opérateur Orange publie quatre vidéos où il explique les étapes de son déploiement jusqu’au domicile de l’abonné.

La première étape correspond aux travaux pour l’installation du NRO (Noeud de Raccordement Optique). Il s’agit d’un grand central optique que l’on relie au coeur du réseau national et qui permet de couvrir en fibre une zone de plusieurs kilomètres.

La seconde consiste en la création des points de mutualisation, d’où partent les points de raccordement vers les bâtiments et les logements.

La troisième étape correspond au raccordement du point de mutualisation dans la rue au point de branchement optique placé à l’intérieur de chaque immeuble ou à l’extérieur d’une maison. Pour cela, on utilise les équipements souterrains ou aériens existants. Cela peut prendre du temps, car il faut notamment obtenir l’autorisation du syndic.

Durant la quatrième, il ne reste qu’à souscrire auprès de l’opérateur de son choix, programmer l’intervention du technicien au domicile, connecter la box et enfin raccorder ses équipements.

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iPhone 6S et 6S Plus : Apple répare gratuitement certains modèles

Apple lance un programme de réparation gratuite concernant une partie des propriétaires d’iPhone 6S et iPhone 6S Plus. En cause : un composant potentiellement défaillant pouvant entraîner des problèmes d’absence d’alimentation.

Au travers d’une page dédiée,  Apple annonce un programme de réparation pour les iPhone 6S et iPhone 6S Plus produits entre octobre 2018 et août 2019 qui présenteraient des “problèmes d’absence d’alimentation”. Selon la firme à la pomme, l’appareil ne s’allume pas “en raison d’un composant qui peut être défaillant”.

Apple invite ainsi les propriétaires à se rendre dans une Apple Store, se rapprocher d’un réparateur agréé ou contacter son assistance pour une réparation gratuite. Le constructeur précise toutefois que des frais pourront être appliqués si des dommages comme un écran fissuré compromettent la réparation et doivent être réparés au préalable. Il indique enfin que le programme concerne seulement ces modèles d’iPhone et que les propriétaires ayant déjà effectué la réparation à leurs frais peuvent demander un remboursement.

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5G : Panasonic montre comment il teste la voiture autonome

De nombreuses expérimentations sont menées autour de la 5G, qui arrivera en France en 2020. Voici un aperçu de celles préparant la voiture autonome, l’un des domaines qui profiteront de cette nouvelle technologie de communication.

Avec ses débits en hausse et sa faible latence, la 5G servira dans de nombreux secteurs, incluant notamment l’industrie, la médecine et la voiture autonome. Et voici justement une vidéo montrant comment sont menés les tests de la 5G avec la voiture autonome.

Tournée dans une chambre anéchoïque de 27 x 21 x 9 mètres se trouvant à Yokohama (Japon) et publiée par Panasonic, cette vidéo montre une voiture équipée de la 5G tournant sur elle-même et un système de communication 5G installé à côté qui adopte différentes positions.

Une chambre anéchoïque, également appelée chambre sourde, est une salle d’expérimentation dont les parois absorbent les ondes sonores ou électromagnétiques. Elle reproduit les conditions de champ libre et ne provoque ainsi pas d’écho pouvant perturber les mesures. Pour le groupe japonais, il s’agit de mener des tests dans des conditions optimales, afin de déterminer le meilleur emplacement pour l’installation des antennes côté infrastructures et véhicules.

Source : L’Usine Nouvelle

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Clin d’oeil : l’histoire de la fin du roaming au sein de l’Union européenne se retrouve en partie réécrite par une association de consommateurs

Et s’il l’on réécrivait l’Histoire. UFC Que-Choisir revendique en effet la fin des frais de roaming au sein de l’Union européenne, en oubliant le coup de poker d’une certaine Viviane Reding.

Dans une vidéo postée sur sa chaîne YouTube, UFC Que-Choisir décide de revenir sur la fin des frais de roaming au sein de l’UE, qui se traduisaient par des surcoûts plus ou moins élevés chez les consommateurs lors de l’usage de leur forfait mobile depuis l’étranger. Le tout avec humour, puisqu’on voit ET appeler sa maison et se faire raccrocher au nez à cause de ses appels passés depuis la Terre qui sont en hors forfait et alourdissent la facture. 

Maintenant, le petit message véhiculé par l’association interpelle un peu. “Avant, appeler depuis l’étranger coutait des sommes astronomiques… C’est pourquoi, l’UFC Que-Choisir a obtenu la disparition des surcoûts des appels passés ou reçus depuis un autre pays de l’Union européenne”, peut-on en effet lire en fin de vidéo. Et d’ajouter : “L’UFC Que-Choisir fait avancer vos droits. Et ça, c’est pas du cinéma”.

Or, on se souvient du coup de poker tenté en 2007 par Viviane Reding, alors commissaire européenne en charge des télécoms. Contrairement au Parlement européen, aux associations de consommateurs et aux médias, les opérateurs ne voyaient pas vraiment d’un bon oeil la disparition des frais de roaming à l’international et avaient le soutien de leur gouvernement. Elle a donc organisé une conférence de presse pour annoncer qu’un accord avait été trouvé pour baisser les coûts liés à l’itinérance, alors qu’aucun n’accord n’était trouvé et n’avait de chance d’être trouvé. L’annonce a fait les gros titres dans les médias. Félicités pour leur travail en faveur des consommateurs et pris au dépourvu, les ministres européens des télécoms n’ont ainsi pas tardé à entériner la décision.

Rappeler avoir apporté sa contribution, pourquoi pas. Mais de là à tirer totalement la couverture vers soi, non.

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Galaxy Fold : la robustesse de l’écran souple équipant le smartphone pliable de Samsung testée par une machine

Le Galaxy Fold, premier smartphone pliable de Samsung, ou deuxième si l’on tient compte de la première version ayant donné lieu à une seconde version corrigée, voit la robustesse de son écran souple testée dans une vidéo. Il n’est pas ménagé.

Avec les écrans souples sur les smartphones pliables tels que le Galaxy Fold se pose la question de la résistance dans le temps. Et voilà justement notre Galaxy Fold, avec lequel Samsung promet au moins 200 000 cycles d’ouverture/fermeture, soit  5 ans d’utilisation, qui a droit à sa petite séance de torture.

Cnet a en effet décidé de vérifier les promesses de la firme sud-coréenne en installant le Galaxy Fold sur une machine enchaînant les ouvertures/fermetures. Le smartphone ne parvient ainsi pas à 120 000 pliages sans renconter des problèmes au niveau de l’écran et de la charnière. Si nous sommes loin des 200 000 pliages annoncés par Samsung, on peut aussi souligner l’enchaînement et la brutalité des séquences de pliage. Nul doute que les propriétaires de ce smartphone à 2 000 euros se montreront moins brutes et iront ainsi un peu plus loin.

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