Auteur : dimitri

Freebox Pop et mini 4K : découvrez Tidal, la plate-forme de streaming musical avec diffusion haute fidélité

Univers Freebox vous fait découvrir Tidal. Avec sa qualité d’écoute et son absence de publicité, la plate-forme musicale s’adresse aux mélomanes.

Aujourd’hui, nous vous proposons de découvrir Tidal, disponible sur les players Pop et mini 4K via le Play Store. Cette plate-forme de streaming met en avant 70 millions de musiques et 250 000 clips vidéo avec une écoute sans perte (haute fidélité) et sans aucune publicité. Chacun devrait y trouver son compte avec notamment de la pop, du rock, du métal, du hip-hop, du R&B, du latino ou de la country. Le tout organisé sous la forme de playlists (style musical, artiste ou éditorialisé) ou d’albums. Les concerts sont également au programme.

Télécharger l’application Tidal sur le Play Store

Pour commencer, il faut télécharger l’application Tidal sur le Play Store. Pesant 30 Mo, elle a d’ailleurs été mise à jour le 29 mars dernier pour corriger des bugs, améliorer ses performances et ajouter de nouvelles langues. Une application loin d’être délaissée, donc.

S’inscrire depuis le navigateur Web

Au lancement de l’application, l’utilisateur est invité à lancer le navigateur Web sur ordinateur ou smartphone, pour y saisir un code et lier l’application au compte. Il faudra donc lancer le navigateur Web pour la création du compte, puis la liaison à ce dernier.

La souscription au service se fait en quelques minutes. Pour la connexion, on pourra utiliser son adresse e-mail, mais aussi son compte Facebook, Apple et Twitter. Pour le paiement, on aura le choix entre ses coordonnées bancaires ou son compte PayPal.

Notez que deux formules existent : une formule Premium à 9,99 euros par mois avec une qualité d’écoute en 320 Kbip/s et une formule Hi-Fi avec une qualité 1 411 Kbip/s. Pour chacun, il existe des réductions familiale (jusqu’à 5 membres) ou étudiante (- 50 %). Le service propose une période d’essai de 30 jours pour se faire une idée.

Une interface classique

Classiquement, l’interface propose une barre de navigation à gauche et des bandeaux de contenus éditorialisés.

En haut de la barre de navigation, une icône en forme de loupe permet de lancer un moteur de recherche utilisable avec la requête vocale ou le clavier virtuel. 

En dessous, des boutons pour accéder à la page d’accueil, aux contenus favoris et aux paramètres. La liste s’allonge lors de l’utilisation avec un accès au contenu en cours de lecture.

Un lecteur minimaliste, mais efficace

Au moment d’accéder à la playlist, on peut choisir une lecture à la suite ou bien aléatoire.  C’est selon.

Notez également la présence du bouton “Ajouter” qui permet d’alimenter la liste de favoris dont nous parlions justement au-dessus.

Le lecteur intégré va à l’essentiel : une mise en lecture/pause utilisable avec le bouton au milieu de la molette de navigation de la télécommande Freebox et une navigation dans le contenu avec les flèches gauche/droite de la molette. 

En allant vers le bas, on peut naviguer entre les autres contenus de la playlist grâce à des vignettes. Très pratique. Dans le cas d’un concert, cela permet de passer à d’autres concerts. 

Un service gourmand en bande passante, une qualité d’écoute ajustable

Pas grand-chose dans les paramètres de l’application si ce n’est le choix de la qualité d’écoute et la possibilité de se déconnecter du service. D’après nos constations, l’application consomme pas mal de bande passante, ce qui peut se ressentir une connexion ADSL. Un réglage de qualité d’écoute qui ne sera donc pas de trop dans le cas d’une connexion faible.

 


VERDICT

Classique dans sa forme, épargnée par la publicité, allégée des fonctions superflues et riche en contenus, Tidal présente un grand intérêt pour les mélomanes. Ajoutez à cela la qualité d’écoute élevée et vous obtenez un service presque incontournable. Le tout pour un prix loin d’être excessif. Le ticket d’entrée est en effet à 9,99 euros pour un utilisateur seul et 14,99 euros pour un foyer de 5 personnes. 

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Test du Samsung Galaxy A41 disponible chez Free Mobile

Univers Freebox vous propose aujourd’hui le test du Samsung Galaxy A41, un smartphone de milieu de gamme positionné sous la barre des 300 euros. Il a quelques atouts intéressants, mais traîne également quelques défauts.

 

Avant de passer au test, voici les principales caractéristiques du Galaxy A41 qui nous a été prêté par le constructeur et que l’on trouve à 259 euros dans la boutique Free Mobile, grâce à une réduction de 40 euros :


Fiche technique du Samsung Galaxy A41 : les caractéristiques


-   Processeur : octa-core jusqu’à 2,0 GHz (chipset Helio P65)

-   Mémoire vive : 4 Go


-   Écran : dalle Super AMOLED 6,1 pouces avec une définition 2 400 x 1 080 pixels

-   Audio : son sortant uniquement de la tranche inférieure

-   Stockage : 64 Go extensible par carte MicroSD (slot dédié)


-   Gestion SIM : deux logements Nano-SIM dédiés dans un tiroir de la tranche gauche

-   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B3/B5/B7/B8/B20/B28/B38/B40/B41

-   Compatibilité 5G : non


-   Triple capteur photo au dos (organisation en ligne) : 48 + 8 + 5 Mégapixels

-   Capteur photo à l’avant : 25 Mégapixels dans une encoche goutte d’eau


-   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche inférieure)

-   Connectique de charge : USB-C (tranche inférieure)

-   Support Wi-Fi : version Wi-Fi 5

-   Connectivité Bluetooth : version 5.0

-   NFC : oui


-   Batterie : 3 500 mAh non amovible

-   Recharge filaire : support de la charge 15 Watts (bloc 9V/1,67A inclus dans la boîte)

-   Recharge sans-fil : non


-   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface One UI 2.5


-   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale ou lecteur d’empreintes digitales sous la dalle

-   Patchs de sécurité installés durant notre test : janvier 2021


Une bonne prise en main

Au premier abord, le Samsung Galaxy A41 ne sort pas spécialement du lot. C’est un smartphone parmi d’autres. Une carte de la discrétion que l’on peut apprécier.

À l’oreille, c’est un peu décevant en revanche. La vibration de la coque perçue au moment de poser le smartphone sur la table ou d’un tapotement dans son dos n’est pas vraiment ce qu’on attend d’un smartphone sur ce segment tarifaire.

Et entre les mains ? Compact, fin et léger, le Galaxy A41 offre une bonne préhension. Le bloc photo arrière n’est pas trop imposant et n’a jamais gêné. Les maladroits devront toutefois faire attention en raison de la coque assez glissante. Plusieurs fois, notre attention a été attirée par un smartphone en train de se faire la malle.

AMOLED et FHD+, mais pas de stéréo

Si l’écran du Galaxy A41 repose sur une dalle AMOLED et propose la définition Full HD+, il fait l’impasse sur le taux de rafraîchissement élevé, bienvenu pour apporter plus de fluidité en navigation comme en jeu. Nous l’avons constaté avec un peu de soleil. Il pêche aussi un peu en luminosité lors d’un usage en extérieur. Enfin, pas de poinçon, mais une encoche goutte d’eau pour le capteur photo frontal.

Au niveau de l’interface, on peut régler la chaleur d’affichage et on dispose d’un filtre de lumière bleue pour réduire la fatigue oculaire. Sans oublier le mode sombre pour l’usage le soir.

Côté son, le Galaxy A41 ne propose pas le double haut-parleur stéréo qui fait toujours plaisir en vidéo ou en jeu. On a également un manque de relief et une saturation un poil désagréable à fort volume. Bref, on a vu mieux.

Au moins, le smartphone propose-t-il le mini-jack pour ceux qui apprécient le filaire. La connectique se trouve d’ailleurs au niveau de la tranche inférieure, non loin du port USB-C.

Quatre capteurs photo

Le Galaxy A41 dispose de trois capteurs photo au dos, dont un de 48 Mégapixels. Pour les selfies, il s’équipe d’un module 25 Mégapixels. À l’usage, rien de foufou. Au moins a-t-on l’ultra grand-angle toujours bienvenu, quelques flous d’arrière-plan pas trop mal réussis et un mode 48 Mégapixels qui permet de gagner en détail de près comme de loin. Pour les clichés en basse luminosité, il faudra activer l'”Optimiseur de scène” (la petite roue blanche sur fond bleu). Quand la lumière viendra à manquer, l’icône montrera un quart de lune et l’outil tentera quelques améliorations (mais rien de fameux, d’après nos observations). Le manque de réactivité se montrait enfin pénalisant dans le cas d’un sujet qui bouge un peu trop.

Ci-dessous, une photo de jour, puis sa version ultra grand-angle :

Une photo avec du flou d’arrière-plan :

Deux photos avec le mode 48 Mégapixels :

Une photo de nuit, puis sa version (légèrement) améliorée par l’optimiseur de scène :

Deux selfies avec le mode portrait, en intérieur et en extérieur :

Dual-SIM et 4G 700 MHz

Au regard de taille du tiroir SIM, il aurait été étonnant de ne pas trouver deux logements SIM et un emplacement MicroSD. Oui, vous n’aurez ainsi pas à choisir entre gestion dual-SIM et extension de la mémoire interne. Une bonne chose. Le Galaxy A41 est compatible 4G, y compris sur la 700 MHz (la B28 chère aux abonnés Free Mobile). Pas de 5G, en revanche.

Ci-dessous, des débits en extérieur :

Et d’autres, obtenus en intérieur :

Le multimédia : il s’en sort

Le Galaxy A41 permet de jouer dans des conditions honnêtes, c’est-à-dire sans devoir mettre les graphismes au minimum, sans saccades et sans surchauffe désagréable. Pour autant, ça n’est pas une bête de course non plus. Un redémarrage du smartphone ou l’installation d’une grosse application permet d’en prendre conscience. Que c’est long parfois.

Ci-dessous, les vitesses de la mémoire interne mesurées avec l’outil Disk Speed. Nous avions 224 Mo/s en écriture et 238 Mo/s en lecture.

Une autonomie moyenne, une charge rapide (mais pas trop)

La contrepartie de la finesse, c’est une batterie 3 500 mAh et une autonomie assez moyenne à la clé. Le mot “déjà” est venu plusieurs fois à l’esprit, en raison d’une autonomie qui fondait assez vite. Tenir la journée sera bien. Deux jours loin du secteur paraissent un peu compliqués.

Ci-dessous, un exemple d’utilisation : départ à 11h36 avec 100 % et arrivée le lendemain à 9h17 avec 20 %

– 25 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 10 minutes de streaming audio avec le son du smartphone
– 50 minutes de streaming audio avec les écouteurs filaires
– Consultation et alertes Gmail/Twitter
– Surf sur Internet
– Photos
– 12 téléchargements, dont 3 gros
– 5 mises à jour d’applications
– Installation d’une mise à jour système
– Fonctionnement continu de TousAntiCovid
– Benchmarks
– Tests de débit

Samsung fournit un chargeur 15 Watts qui permet de faire le plein en environ 2 heures. Pas de charge sans-fil pour le Galaxy A41.

Ci-dessous, un suivi de charge :

– 9h36 : 3 %
– 9h41: 8 %
– 9h46 : 14 %
– 9h59 : 30 %
– 10h25 : 61 %
– 10h55 : 89 %
– 11h00 : 91 %
– 11h36 : 100 %

Le système Android 10 avec l’interface One UI 2.5

Au moment du test, nous avions une interface One UI 2.5 basée sur Android 10 avec les patchs de sécurité du mois de janvier 2021. Pas moyen d’avoir plus récent au moment d’écrire ces lignes.

L’interface One UI 2.5 propose quelques fonctions pratiques, dont :

– La navigation avec les touches ou les mouvements
– L’affichage fractionné pour le multitâche
– La barre latérale pour accéder aux applications favorites et aux outils (boussole, règle, niveau, etc.).
– Le mode nuit
– Le Game Launcher pour gérer ses jeux
– Le centre de maintenance (batterie, stockage, mémoire et sécurité)
– L’accès rapide au manuel (“Mode d’emploi”, en bas des paramètres)

Côté applications préinstallées dans le cadre de partenariats commerciaux, nous avions Facebook, OneDrive et Netflix. Impossible de les désinstaller. Nous pouvons seulement les désactiver.

Concernant enfin les solutions de déverrouillage, à savoir le lecteur d’empreintes sous la dalle ou la reconnaissance, elles ont fonctionné dès le départ, sans la nécessité d’un réenregistrement des empreintes ou des données du visage. La première manque toutefois de réactivité. On a vite fait de la délaisser pour la seconde.


VERDICT

Le Galaxy A41 a quelques atouts comme son format assurant une belle préhension, son écran AMOLED Full HD+, sa gestion dual-SIM, son extension MicroSD et sa connectique incluant le mini-jack. Ce smartphone pêche en revanche côté performances et autonomie. Il y a également cette partie photo nous épargnant les capteurs 2 Mégapixels à foison et offrant quelque chose d’assez satisfaisant sur cette gamme de prix, mais oubliant malheureusement le mode nuit. L’interface logicielle est assez bien faite, mais mériterait clairement une mise à jour. Le lecteur d’empreintes manque de réactivité. Le smartphone a récemment vu son prix baisser dans la boutique Free Mobile, en ce moment à 259 euros au lieu de 299 euros, et ça n’est pas un mal.


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Choc des smartphones chez Free Mobile : deux modèles à 219 euros, lequel choisir ?

Grâce à de récentes baisses de prix, la boutique Free Mobile propose actuellement deux smartphones à 219 euros. Lequel se présente comme le meilleur choix en fonction de vos besoins ?

Avec le choc des smartphones, Univers Freebox vous propose des comparatifs entre les smartphones vendus à tarifs équivalents via la boutique de Free Mobile, au grès des nouvelles disponibilités et des mouvements de prix. Il s’agit de vous aider à choisir selon vos attentes. Aujourd’hui, nous opposons les Xiaomi Redmi Note 9T et Huawei P40 Lite, deux modèles proposés à 219 euros. Notez d’ailleurs qu’ils sont disponibles en plusieurs fois sans frais.

L’écran : ex aequo

Au niveau de l’écran, les deux smartphones proposent globalement les mêmes prestations avec une dalle IPS, une diagonale assez proche, une définition Full HD+ et un poinçon excentré pour le capteur photo avant, plus discret qu’une encoche goutte d’eau.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9T (6,53 pouces, IPS, FHD+ et poinçon)
  2. Huawei P40 Lite (6,4 pouces, IPS, FHD+ et poinçon)

Performances : Xiaomi

La plate-forme retenue pour le Redmi Note 9T apporte un processeur légèrement plus véloce, mais surtout la compatibilité 5G dont ne bénéficie pas le P40 Lite. Xiaomi remporte par conséquent cette manche.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9T (processeur octa-core 2,4 GHz du chipset Dimensity 800U avec 4 Go de RAM)
  2. Huawei P40 Lite (processeur octa-core 2,27 GHz du chipset Kirin 810 avec 6 Go de RAM)

La photo : Huawei

Capteur principal de 48 Mégapixels pour les deux, mais module ultra grand-angle en plus pour le modèle Huawei qui propose ainsi plus de polyvalence en photo. Dommage toutefois que les deux smartphones aient recours à des capteurs additionnels de 2 Mégapixels pour gonfler la fiche technique.

Notre classement :

  1. Huawei P40 Lite (48/8/2/2 Mégapixels au dos, 16 Mégapixels à l’avant)
  2. Xiaomi Redmi Note 9T (48/2/2 Mégapixels au dos, 13 Mégapixels à l’avant)

L’autonomie : ex aequo

Xiaomi a comme sérieux argument sa batterie 5 000 mAh pour une solide autonomie, mais Huawei n’est pas en reste non plus avec sa charge filaire en 40 Watts pour faire le plein rapidement et envisager des charges express.

Notre classement :

  1. Xiaomi Redmi Note 9T (batterie 5 000 mAh et charge 18 Watts)
  2. Huawei P40 Lite (batterie 4 200 mAh et charge 40 Watts)

Le choix d’Univers Freebox :

Chacun a ses arguments à faire valoir, mais le Xiaomi Redmi Note 9T remporte ce match pour deux raisons. Premièrement, il est le seul à proposer la 5G récemment lancée commercialement en France. Deuxièmement, il propose l’accès au Play Store et à sa foule d’applications dont se trouve privé le Huawei P40 Lite, comme le confirme d’ailleurs le site du constructeur au moment de l’achat. Notre test avec le Huawei Y6p avait montré à quel point cet aspect se révèle vite pénalisant dans le cadre d’un usage normal.


 

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Sur fond de crise sanitaire, le marché des applications mobiles s’envole

Avec des utilisateurs confinés en demande de divertissement et de moyens de communication, les applications mobiles ne connaissent pas la crise.

218 milliards de téléchargements en 2020, selon les données d’App Annie. 143 milliards de dollars de dépenses, soit 20 % par rapport à l’année précédente. Le marché des applications mobiles n’a pas connu la crise en 2020.

Et ça n’est pas fini. Selon App Annie, les dépenses dans les applications ont représenté 32 milliards de dollars au cours du premier trimestre 2021, dont 21 milliards pour l’App Store d’Apple et 11 milliards pour le Play Store de Google. Un chiffre en progression de 40 % par rapport à la même période en 2020, mais également un record. 22 milliards proviendraient des jeux mobiles, avec dans le détail 13 milliards pour l’App Store et 9 milliards pour le Play Store.

Parmi les applications les plus téléchargées, on retrouve des applications de réseau social et de messagerie (TikTok, Facebook, Instagram, Telegram et WhatsApp), des applications de contenus vidéo (YouTube, Disney+ et Tencent Video), des applications de rencontres (Tinder) et des jeux (Candy Crush Saga, Pokémon Go ou PUBG Mobile).

Sources : Presse Citron et ZDNet

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Free Mobile : pas question pour un village de brader la santé et l’environnement

Levée de boucliers face à l’arrivée d’une antenne-relais Free Mobile. Pas question de brader la santé et l’environnement.

Avec pour objectif d’améliorer sa couverture mobile à Bettborn, dans le département de la Moselle, Free compte implanter un pylône de 40 mètres de haut sur un terrain communal. L’emplacement se trouve plus précisément dans le virage à l’entrée de ce village de quelques centaines d’âmes. L’opérateur de Xavier Niel prévoit même de le peindre en vert pour une meilleure intégration dans le paysage.

Trop près des habitations

Sauf que les riverains ne l’entendent pas de cette oreille. “C’est beaucoup trop près des habitations”, estime Bruno Halter, initiateur du mouvement et porte-parole des opposants. Comme le matérialisent déjà quatre piquets, l’équipement doit en effet se retrouver à 40 mètres des premières habitations.

L’exposition aux ondes fait en effet partie des griefs, au même titre que la répercussion sur la valeur de l’immobilier. “J’ai dû faire deux permis de construire pour ma maison à cause des bâtiments historiques, et il y a ça…”, s’étonne par ailleurs un autre habitant.

Le loyer annuel de 3 500 euros proposé par Free ne semble pas convaincre. “À Bettborn, on brade la santé et l’environnement”, pouvait-on en effet lire sur une pancarte lors d’un rassemblement de protestation le 26 mars dernier.


(Crédit photo : Laurent Mami)

Alerte concernant “l’amiante de cerveau”

Jean Rinaldi, de l’association CCARRA (Coordination citoyenne antennes-relais Rhône-Alpes et nationale), est venu afficher son soutien, suite à la sollicitation de Bruno Halter. “Nous nous apercevons que les citoyens ne connaissent pas leurs droits, les risques”, explique-t-il. Et d’ajouter que “les opérateurs se croient tout permis”, agissant “de façon féodale, comme au Moyen-Âge, en termes d’information”. Celui-ci y va aussi de préconisations : “Nous recommandons l’installation des antennes-relais à 700 mètres des habitations. Nous souhaiterions aussi que les opérateurs mutualisent les antennes”.

Le risque est bien réel à ses yeux. “Vous savez comment on appelle les ondes ? L’amiante de cerveau”, estime Jean Rinaldi. “Il y a beaucoup d’études. La Nasa, EDF, etc. ont fait part de risques. Le Sénat a même recommandé le principe de précaution pour les antennes-relais. Et le Parlement européen a mis en place une réglementation en 2011”, explique-t-il. “Face à un champ trop puissant, les pacemakers, les neurostimulateurs peuvent avoir des problèmes. Il y a aussi les maladies, l’impact sur la faune et la flore”, détaille Jean Rinaldi, évoquant par la même occasion l’impact pouvant aller jusqu’à 40 % sur la valeur de l’immobilier.

Jean Rinaldi était d’ailleurs venu avec du matériel pour réaliser des mesures de rayonnement avec les mobiles en fonctionnement sur place. L’occasion d’inviter à ne pas garder le mobile près du corps et à privilégier l’usage de l’oreillette pour téléphoner.

Un maire pieds et poings liés

Les riverains reprochent également le manque d’informations du côté de la municipalité, le fait d’avoir été mis devant le fait accompli. La publication fin janvier dans le journal municipal serait passée inaperçue et ils auraient réellement pris connaissance du projet en découvrant l’arrêté de non-opposition du conseil municipal apposé sur le terrain.

Pascal Martin, le maire, a affirmé son soutien aux riverains et expliqué sa décision. “La préfecture nous a également expliqué que depuis 2012, les mairies ne peuvent plus s’opposer à l’installation d’une antenne-relais”, a indiqué l’élu qui s’était au préalable rapproché de l’Agence régionale de santé pour en savoir davantage sur les risques liés aux ondes. Face à la mobilisation, la commune tente à présent de faire déplacer l’antenne.

Source : Le Républicain Lorrain

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Free Mobile : plusieurs baisses de prix sur les iPhone 12 disponibles dans la boutique

L’opérateur de Xavier Niel applique plusieurs baisses de prix sur les smartphones Apple les plus récents disponibles dans sa boutique en ligne. Deux modèles sont concernés.

Il y a tout d’abord l’iPhone 12 mini dont les versions avec 64, 128 et 256 Go de stockage passent à respectivement 739, 799 et 919 euros (au lieu de 789, 849 et 969 euros), après l’application d’une baisse de 50 euros.

Les réductions s’appliquent également sur le paiement en plusieurs fois sans frais :
– iPhone 12 mini 64 Go : 241 euros à la commande, puis trois fois 166 euros
– iPhone 12 mini 128 Go : 301 euros à la commande, puis trois fois 166 euros
– iPhone 12 mini 256 Go : 421 euros à la commande, puis trois fois 166 euros

L’iPhone 12 voit aussi les prix de ces différentes configurations baisser de 50 euros. Elles s’affichent ainsi à 839, 899 et 1 019 euros, au lieu de 889, 949 et 1 069 euros.

Et là encore, les réductions s’appliquent au paiement en plusieurs fois sans frais :
– iPhone 12 64 Go : 341 euros à la commande, puis trois fois 166 euros
– iPhone 12 128 Go : 401 euros à la commande, puis trois fois 166 euros
– iPhone 12 256 Go : 521 euros à la commande, puis trois fois 166 euros

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Smartphones : Xiaomi se positionne enfin dans le pliable, Motorola lance deux nouveaux modèles 5G

Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au menu : l’agrandissement de la famille Mi 11 chez Xiaomi, la découverte du premier modèle pliable signé Xiaomi et l’arrivée de deux modèles Motorola 5G en France.

Après un Mi 11 premier du nom, Xiaomi a dévoilé d’autres déclinaisons baptisées Mi 11 Lite, Mi 11 Lite 5G, Mi 11i et Mi 11 Ultra en ce début de semaine.

Les Mi 11 Lite et Mi 11 Lite 5G partagent un écran AMOLED 6,67 pouces FHD+ 90 Hz, un triple capteur photo 64 + 8 + 5 Mégapixels et une batterie 4 250 mAh rechargeable en 33 Watts. Le premier s’équipe du chipset Snapdragon 732G et le second du chipset Snapdragon 780G. Le Mi 11 Lite est d’ores et déjà disponible à 329,99 euros en configuration 4/64 Go ou 349,99 euros en configuration 6/128 Go. Le Mi 11 Lite 5G débarquera le 20 avril prochain à 399,99 euros en configuration 8/128 Go, y compris chez Free Mobile.

Les Mi 11i et Mi 11 Ultra (photo ci-dessous) ciblent le haut de gamme avec un chipset Snapdragon 888 à bord. Le Mi 11i propose un écran AMOLED 6,67 pouces HD+ 120 Hz, un triple capteur photo 108 + 8 + 5 Mégapixels et une batterie 4 520 mAh rechargeable en 33 Watts, tandis que le Mi 11 Ultra s’équipe d’un écran AMOLED 6,81 pouces WQHD+ 120 Hz, d’un triple capteur 50 + 48 + 48 Mégapixels et d’une batterie 5 000 mAh supportant la charge 67 Watts en filaire comme en sans-fil. Notez également le petit écran AMOLED à côté du bloc photo dorsal pour les notifications et la prévisualisation des selfies. On a seulement les prix pour l’Europe, à savoir 649 et 1 199 euros. Le constructeur n’a pas encore précisé ceux pour la France.

Toujours chez Xiaomi, on a pu découvrir le Mi MIX Fold (photo ci-dessous), premier smartphone pliable de la marque qui reprend d’ailleurs le form factor des Fold de Samsung, à savoir un appareil s’ouvrant comme un livre pour passer d’un smartphone (6,52 pouces) à une tablette (8,01 pouces). Sans surprise, la vitrine technologique profite d’une belle fiche technique : Snapdragon 888, mémoire vive jusqu’à 16 Go, dalles AMOLED, système audio avec Harman Kardon, photo 108 Mégapixels et charge 67 Watts. Le constructeur n’a pas encore communiqué sur la disponibilité hors de Chine, où le prix démarre à 9 999 yuans (environ 1 300 euros) pour une configuration 12 + 256 Go.

Motorola a enfin annoncé l’arrivée de deux smartphones 5G en France, des Moto G50 et Moto G100 qui débarqueront mi-avril à respectivement 249 et 549 euros. Le Moto G50 s’équipe d’un chipset Snapdragon 480, d’un écran IPS 6,5 pouces HD+ 90 Hz, d’un triple capteur photo 48 + 5 + 2  Mégapixels et d’une batterie 5 000 mAh rechargeable en 15 Watts. Le Moto G100 (visible ci-dessous) profite quant à lui d’un chipset Snapdragon 870, d’un écran IPS 6,7 pouces FHD+ 90 Hz, d’un triple capteur photo 64 + 16 + 2 Mégapixels au dos et d’une batterie 5 000 mAh rechargeable en 20 Watts.

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Free : quand la fibre optique de l’opérateur frappe directement à la porte des Français

Free communique d’une nouvelle manière pour annoncer la disponibilité locale de sa fibre optique. 

Free cravache pour proposer sa fibre optique à un maximum de Français, avec désormais plus de 20 millions de foyers éligibles à ses offres FFTH, et il compte bien s’assurer que ceux pouvant en bénéficier soient au courant.

Après le mobilier urbain, les sachets de pain, les taxis ou encore le camion itinérant, l’opérateur de Xavier tente en effet une autre approche, plus directe. En ouvrant leur porte le matin ou en revenant à la maison le soir, les abonnés potentiels pourront être informés de la disponibilité de la fibre Free et être invités à se rapprocher de l’opérateur pour s’inscrire. Ils trouveront en effet un prospectus glissé dans la porte où est donné un numéro de mobile, rappelé les principaux moyens de contact (1033, free.fr et boutiques) et mis en avant une fibre numéro un en débit descendant (au 1er semestre 2020, d’après le baromètre nPerf).


Le prospectus glissé dans toutes les portes d’un immeuble de 4 étages

Toujours dans le but d’informer ceux souhaitant passer à sa fibre optique, Free met désormais à jour quotidiennement sa carte d’éligibilité.

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Sabotage d’antennes et de câbles fibre optique : le gouvernement recense 174 cas en un an

Les antennes-relais de téléphonie mobile et câbles de fibre optique font régulièrement l’objet d’attaques. La France n’est pas épargnée par le phénomène. Un rapport gouvernemental en révèle l’ampleur.

174, c’est le nombre d’équipements de télécommunication pris pour cibles en l’espace d’un an en France, selon un rapport du ministère de l’Intérieur dont nos confrères de France Inter ont pu prendre connaissance.

Un bilan qui n’a rien d’une surprise, quand on se souvient de la troisième place occupée par la France dans un précédent podium européen. Sans oublier les peurs liées spécifiquement à la nouvelle 5G, avec des actions pacifiques dans certains cas, et beaucoup moins dans d’autres.

Principalement en zone rurale

Dégradées ou détruites (52 % d’incendies), avec à la clé des perturbations pour les abonnés et des préjudices financiers pour les opérateurs télécoms, ces infrastructures se trouvent pour 137 d’entre elles en zone rurale et pour 2 d’entre elles en région parisienne. Les départements les plus touchés par ces actes de malveillance sont l’Ardèche, les Bouches-du-Rhône, la Drôme, la Haute-Garonne et l’Isère.

Par qui ? Pourquoi ?

Les auteurs des attaques ont bien du mal à être clairement identifiés et condamnés. Le rapport du ministère de l’Intérieur indique en effet l’interpellation de seulement 26 personnes soupçonnées d’être liées à 14 attaques.

Les actions sont régulièrement guidées, soutenues ou revendiquées par l’ultra gauche qui avait lancé il y a un an des appels à “Renouer avec l’Action directe” pour s’attaquer à des infrastructures utilisées pour la surveillance de masse et l’asservissement de la population. Elle invitait notamment à cibler les infrastructures isolées et peu protégées.

On peut aussi souligner le fait que les antennes-relais suscitent régulièrement des craintes chez certains riverains concernant l’exposition aux ondes et la perte de valeur pour l’immobilier à proximité. Autant de motifs pouvant inciter des personnes isolées à passer à l’acte. Voilà pourquoi le gouvernement qualifie la mobilisation de “large”, car allant au-delà de la revendication politique.

Source : France Inter

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Vie privée : quelles sont les applications populaires siphonnant le plus les données de leurs utilisateurs ?

Les données personnelles font partie du modèle économique d’un grand nombre d’applications mobiles populaires. Mais à quel point ?

Avec la foule de services gratuits qu’il faut bien financer d’une manière ou d’une autre et les recommandations de contenus devant bien s’appuyer sur quelque chose, la collecte des données personnelles des utilisateurs n’est un secret pour personne. Elle fait partie de l’équation.

Le cabinet Statista a d’ailleurs publié une étude s’intéressant aux applications mobiles populaires disponibles sur l’App Store et à celles d’entre elles qui siphonnent le plus de données personnelles. Sans trop de surprise, les réseaux sociaux s’emparent de la majeure partie du classement. Le podium est d’ailleurs formé par trois d’entre eux, à savoir Instagram, Facebook et Linkedin. Ces plates-formes sociales récupèreraient ainsi 79, 57 et 50 % des données leurs utilisateurs. On y retrouve aussi Uber Eats avec 50 %, eBay avec 36 % et Spotify avec 29 %.

Ci-dessous, le classement complet :

  1. Instagram : 79 %
  2. Facebook : 57 %
  3. LinkedIn : 50 %
  4. Uber Eats : 50 %
  5. YouTube : 43 %
  6. eBay : 36 %
  7. TikTok : 36 %
  8. reddit : 29 %
  9. Snapchat : 29 %
  10. Spotify : 29 %
  11. Tinder : 21 %
  12. Twitter : 21 %

Sources : Presse-Citron et Yahoo News

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