Auteur : dimitri

Phishing ciblant les abonnés Free : on ne gagne pas de cadeaux sans casser des œufs

Encore un arnaqueur qui ne s’est pas foulé pour donner des chances à sa combine de fonctionner.

Pas de repos pour les auteurs de campagnes de phishing, qui travaillent même le week-end. Nous avons en effet été sollicités en plein week-end. Malheureusement – pour l’auteur, évidemment -, cette tentative d’hameçonnage a peu de chances d’aboutir. Il faut dire que notre “ami” ne s’est pas foulé. Voyons d’ailleurs ça dans le détail.

Il y a tout d’abord cette adresse e-mail. Une adresse en mouseplanet.com n’a pas grand-chose à voir avec Free. Ci-dessous, l’adresse de l’expéditeur :

Vient ensuite la mise en page assez rudimentaire : quelques images cliquables affichant des phrases assez courtes. Il y a au moins un avantage à cela, celui de ne pas avoir moult fautes. Reste que la supercherie saute aux yeux lorsque l’on passe sur les images pour observer les liens. Ils sont à rallonge et n’ont surtout rien à voir avec Free. Ci-dessous, le corps du message :

Puis le lien des images :

Du côté de la désinscription, ça ne va pas non plus. L’auteur du message propose bien la désinscription, mais il invite à écrire à une adresse postale hors de France. Un choix pas très cohérent. Ci-dessous, le bas du message avec la désinscription :

 

Bref, tout sonne faux ici sur la forme. Le fond n’est pas très convainquant non plus avec cette histoire d’œuf à casser. Supprimez sans la moindre hésitation cet e-mail. Rappelons enfin que vous pouvez signaler tout site de phishing sur http://phishing-initiative.com/.

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Le saviez-vous ? Il est possible de personnaliser le fond d’écran de la Freebox Révolution

Vous ne le saviez peut-être pas. Il est possible de modifier le fond d’écran de la Freebox Révolution et de mettre l’image de votre choix.

On peut personnaliser le fond d’écran de son ordinateur, de sa tablette tactile ou de son smartphone avec l’image de son choix. Une photo en amoureux, une photo de famille ou une image tirée de son film favoris, par exemple. Eh bien, c’est aussi envisageable avec l’écran d’accueil de la Freebox Révolution.

Allez tout d’abord dans la section “Photos” et choisissez “Mes Photos”.

De là, repérez la photo de votre choix parmi celles stockées sur le disque dur de la Freebox Révolution et ouvrez-la.

Une fois la photo ouverte, affichez le menu contextuel en appuyant sur le bouton vert de la télécommande, celui avec le M dessus.

Dans le menu apparu en haut à gauche de votre téléviseur, il ne reste alors qu’à choisir l’option “Mettre en fond d’écran”.

De retour sur l’écran d’accueil de votre Freebox Révolution, vous constaterez alors que celui-ci a changé d’apparence. Ci-dessous, l’avant et l’après :

Pour ajouter votre photo sur le disque dur de la Freebox Révolution et l’utiliser ensuite comme fond d’écran, il faudra passer par Freebox OS, le système d’exploitation de la Freebox accessible depuis un navigateur Web à l’adresse http://mafreebox.freebox.fr/.

L’ajout dans le répertoire des photos s’effectuera depuis l’application “Explorateur de fichiers”. Notez d’ailleurs que la suppression de ce fichier entrainera le retour au fond d’écran d’origine.

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Free Mobile : comparatif des smartphones à moins de 200 euros et choix de la rédaction

Univers Freebox vous propose régulièrement des comparatifs avec les smartphones disponibles dans la boutique de Free. D’ailleurs, que peut-on trouver dans la boutique en ce moment pour 200 euros et moins ? Voici nos suggestions selon vos critères et besoins, si vous comptiez renouveler votre smartphone. 

 

 


Si vous avez un budget très limité : le Nokia 1 Plus à 99 euros

Si vous voulez un smartphone équipé d’une version récente d’Android sans casser la tirelire, le Nokia 1 Plus s’annonce comme le choix à privilégier, avec son système Android 9.0 Pie et son prix serré de 99 euros. D’ailleurs, le constructeur a promis la mise à jour vers la dernière version (Android 10) pour début 2020.

On note aussi l’assemblage de bonne facture, l’écran correct (pour la gamme de prix), l’expérience assez fluide (à condition évidemment de ne pas lancer 20 applications en même temps), la 4G permettant un surf confortable et l’autonomie plutôt correcte. Seule véritable ombre au tableau, en gardant à l’esprit le positionnement tarifaire : le stockage de seulement 8 Go, avec fort heureusement la possibilité d’extension MicroSD. Il est compatible avec la 4G 700 MHz.

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Si vous avez un budget de 150 euros : le Nokia 3.2 à 149 euros ou l’Alcatel 3 à 139 euros

Sur la tranche des 100-150 euros, deux modèles sortent du lot. Le choix dépendra en fait de votre priorité, à savoir un grand écran ou la possibilité de jouer occasionnellement.

Si vous voulez un écran de taille confortable, le Nokia 3.2 se présente comme un bon choix sur le créneau des 100-150 euros puisqu’il offre une diagonale de 6,3 pouces avec toutefois une définition HD+. On peut aussi apprécier d’avoir une version récente d’Android, une bonne autonomie et une 4G assez rapide. Il faudra toutefois composer avec sa recharge assez longue, en partie explicable par la présence d’une batterie 4 000 mAh à bord.

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Vous êtes un joueur occasionnel ? L’Alcatel 3 est l’option à envisager, si vous comptez acquérir votre smartphone chez Free Mobile et si vous avez un budget de 150 euros maximum.

S’il ne le propose pas avec les graphismes au maximum, il arrive notamment à faire tourner le sympathique Asphalt 9 sans problème. On pourra donc envisager du jeu pas trop gourmand à l’occasion. L’Alcatel 3 offre par ailleurs une autonomie confortable et un support de la 4G 700 MHz. Du côté des concessions à faire, il y a notamment la partie photo moyenne et la recharge pas des plus rapides.

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Si vous avez un budget de 150-200 euros : le Moto G7 Play à 169 euros, le Xiaomi Mi A3 à 199 euros et le Redmi Note 7 à 199 euros

Trois choix intéressants dans cette gamme de prix.

Si vous cherchez un smartphone Android à la fois compact et suffisamment puissant pour jouer de manière occasionnelle, le Moto G7 Play se présente comme un choix intéressant. Il s’en sort également plutôt correctement en photo si ça n’est qu’en vue d’une publication sur les réseaux sociaux.

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Si vous cherchez les performances et l’écran très défini sous la barre des 200 euros, tout en ayant une bonne autonomie, le Redmi Note 7 est un très bon choix. Autres choses notables : le joli design, la prise casque et une partie photo avec un mode nuit assez convaincant. Il profite en plus de la technologie 256QAM qui a été activée par Free Mobile et qui booste les débits.

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Si vous avez un budget de 150-200 euros et voulez l’expérience Android imaginée par Google, le Xiaomi Mi A3 avec Android One mérite de faire partie des options. Un autre aspect intéressant est son autonomie vraiment très bonne. Si son écran AMOLED offre de belles couleurs, il manque en revanche de définition.

Le smartphone se montrait déjà intéressant lorsqu’il était affiché à 249 euros. Récemment revenu dans la boutique de l’opérateur à 50 euros de moins, il gagne encore en intérêt. Notez d’ailleurs qu’il est compatible avec la 4G 700 MHz (B28) et qu’il bénéficie de la technologie 256QAM.

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CHOIX DE LA RÉDACTION

Si vous avez le budget maximal de cette sélection, nous vous suggérons le Redmi Note 7 qui reste à nos yeux une valeur étalon, tant il en propose en termes d’affichage, de performances, de photo et d’autonomie au regard des 199 euros demandés. Maintenant, ceux cherchant l’expérience Android telle qu’imaginée par Google pourront préférer le Xiaomi Mi A3 au même prix. Celui-ci a un autre atout, et pas des moindres : une solide autonomie.


 

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Malgré la ferme opposition d’une mairie, Free peut installer son antenne-relais

La mairie se voit contrainte d’accorder un permis de construire à Free pour l’installation d’une antenne-relais. Elle invite toutefois l’opérateur à ne pas lancer tout de suite les travaux.

Free a du mal à installer son antenne-relais au sud de la ville d’Orléans, dans le Loiret. La mairie s’y oppose fermement depuis avril 2018 et met tout en oeuvre pour ne pas délivrer de permis de construire. Deux permis ont été refusés le 26 avril 2018 et le 7 février 2019.

La mairie ne pointe pas spécifiquement du doigt les risques sanitaires, mais plutôt l’aspect visuel, avec un pylône de 36,26 mètres placé dans la zone d’activités des Montées, sur une parcelle à proximité du Zénith. De part sa hauteur, l’installation serait non conforme aux “règles de l’article US10 du PLU (NDRL : plan local d’urbanisme) relatives à la hauteur des constructions”. Malgré la haie d’arbres de “15 à 20 mètres”, les habitants du “lotissement des Platanes situé à proximité immédiate du projet” auraient en effet la vue dessus.

Sans surprise, l’affaire avait été portée devant la justice. En mai 2019, la justice administratif avait ainsi suspendu l’arrêté avec lequel le maire refusait de délivrer le permis de construire. Le Conseil d’État vient de rejeter le pourvoi en cassation de la ville. Bien qu’obligée de délivrer un permis de construire, la ville indique dans un communiqué que l’affaire doit encore passer par le tribunal administratif. Elle invite de ce fait l’opérateur à ne pas se lancer dans les travaux, ou alors ” à ses risques et périls”, insistant en effet sur le “caractère provisoire” du “permis de construire délivré”. Elle précise que “le contentieux au fond se poursuit” et que “le tribunal administratif statuera prochainement pour annuler ou non l’arrêté de refus”.

Source : La République du Centre

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Qu’est-ce que le VPN et à quoi ça sert ? Une vidéo vous dit tout

Une vidéo de quelques minutes vous dit tout sur le principe du VPN.

Pour sécuriser sa connexion à Internet, notamment lors de l’usage d’une connexion à un réseau Wi-Fi public, on entend souvent parler de la solution du VPN (pour Virtual Private Network, ou Réseau Privé Virtuel). 

Mais qu’est-ce donc ? Comment cela fonctionne-t-il exactement ? Dans quels cas concrets cela peut-il servir ? Une vidéo de quelques minutes publiée sur la chaîne YouTube de vpnMentor vous dit tout.

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Youboox, le service de lecture en streaming offert aux abonnés Free, se met à jour sous Android

Après s’être mis à jour sous iOS, l’application du service de lecture en ligne Youboox offert aux abonnés Free se met à jour sur les appareils Android.

Pour rappel, Free propose Youboox à ses abonnés fixes et mobiles (sauf ceux au petit forfait à 2 euros). L’accès gratuit est valable jusqu’au 31 janvier 2020. Au-delà, il est laissé à l’abonné Free le choix de continuer ou pas avec la formule payante. Youboox est un service qui donne accès à une large bibliothèque de romans, BD et mangas en tous genres, depuis l’ordinateur, mais également depuis les smartphones et tablettes tactiles grâce à des applications mobiles.

Youboox fait d’ailleurs évoluer ses applications mobiles. Si la version iOS a fait peau neuve, la version Android a également droit à sa mise à jour. Interrogé par nos soins, Youboox nous a parlé d‘”une évolution graphique de l’application pour mettre davantage en cohérence l’application Android avec l’application iOS”. Il est également question de la correction de “quelques bugs”. La mise à jour améliore par ailleurs la section livres audio (à laquelle les abonnés Free n’ont pas accès). L’application Youboox pour Android peut être téléchargée sur le Play Store. À noter que la diffusion est progressive. Il se peut ainsi que la mise à jour ne vous pas proposée tout de suite.

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Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel revient sur 30 ans de régulation à travers une vidéo montrant ses actions

Dans une vidéo, le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel rappelle 30 ans d’actions.

Le CSA (Conseil Supérieur de l’Audiviosuel) a été crée le 17 janvier 1989 et a donc soufflé sa trentième bougie cette année. À travers une vidéo d’environ 5 minutes, il retrace son l’histoire et ses différentes actions qui ont évolué avec les nouveaux usages.

Au CSA, on doit notamment les quotas de diffusion d’oeuvres françaises et européennes, l’encadrement du temps de parole en période d’élections présidentielles, la signalétique plus claire concernant les limites d’âge pour chaque contenu, la meilleure accessibilité pour les sourds et malentendants, la coordination du lancement de la télévision en HD, la promotion de la santé dans les publicités ou la création d’un code de bonne conduite pour la couverture des actes terroristes .

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Des riverains inquiets s’opposent à une antenne-relais de Free

L’installation d’une antenne Free inquiète des riverains. Ils évoquent les risques sanitaires et l’impact sur la valeur de leurs maisons.

Levée de boucliers à Saint-Germain, dans le département de la Vienne, où un pylône est installé depuis une paire d’années. Gilles Ameteau se souvient qu’il était là, en 2001, lorsqu’il a acheté sa maison.

Au départ, les riverains du chemin des Pechauds et de l’impasse du Parc ne s’inquiétaient pas de la présence du pylône, car celui-ci abritait un relais audiovisuel. Ils pensaient ainsi que l’installation allait “disparaître” un jour avec “les progrès du numérique et la télévision par satellite”. Sauf que des travaux en 2017 ont permis d’ajouter une antenne FM, qui a fait passer l’installation de 20 à 26,5 mètres. Plus récemment encore, durant l’été 2019, de nouveaux travaux en vue de l’installation d’une antenne-relais de téléphonie mobile par Free. De quoi doucher tout espoir de voir disparaître ce pylône.

Les riverains ont déploré le fait ne pas avoir été “informés”. Ils évoquent le risque que “cette installation puisse diminuer la valeur de (leurs) maisons” et “le risque d’exposition aux ondes électromagnétiques”. Des risques qui pourraient, selon eux, être évités, sachant “qu’il existe déjà un relais Free sur la commune de Saint-Savin, sur l’antenne située zone de la Croix-de-Pierre” et que ça n’est donc “pas la peine d’en surajouter”. Pour l’heure, et comme l’a indiqué l’opérateur d’infrastructure TDF, l’antenne est installée, mais pas encore activée. En attendant, la résistance s’organise. Les riverains se sont rapprochés de l’association Robin des toits.

Source : La Nouvelle République
 

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Uber veut enregistrer vos conversations, pour le bien de tout le monde

Uber, le service de mise en relation entre passagers et chauffeurs, teste la possibilité d’effectuer des enregistrements sonores des trajets.

Uber teste une fonctionnalité qui peut faire tiquer à l’heure des polémiques autour de la vie privée et de la collecte des données personnelles par les géants de la tech. Le service qui permet de mettre en relation chauffeurs et passagers travaille en effet sur une possibilité d’enregistrer le son durant les trajets.

Plus concrètement, le conducteur ou le passager pourra décider de lancer l’enregistrement sonore du trajet à l’aide d’un bouton au sein de l’application. À l’issue de la course, si un incident est déclaré, l’enregistrement sera transmis à Uber, tout en étant chiffré et conservé sur le téléphone. Seul Uber disposera alors de la clé pour déverrouiller le fichier d’enregistrement. Le but est donc d’éviter tout mauvais comportement, que ce soit de la part du conducteur ou du passager.

Comme l’a indiqué Uber, la fonction va être testée au Brésil et au Mexique à partir du mois de décembre. Mais le Washington Post suggère qu’elle pourrait l’être prochainement aux États-Unis. À voir donc si Uber compte effectivement déployer cette fonction d’enregistrement à grande échelle et sur quels marchés. La législation autour de la vie privée des utilisateurs variant d’un pays à un autre pourrait en effet compliquer la tâche à l’entreprise.

Source : L’Expansion

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Assistants vocaux : Sonos rachète une startup française pour avoir sa propre technologie

Le spécialiste de l’audio Sonos va disposer de son assistant vocal. Le géant américain vient en effet d’acheter une startup française.

Après avoir utilisé les assistants vocaux d’Amazon et de Google au sein de ses enceintes connectées, Sonos va pouvoir intégrer son propre assistant dans ses produits et ainsi gagner en indépendance. Le géant américain vient en effet d’officialiser l’acquisition de Snips, pour la coquette somme de 37,5 millions d’euros. Il met ainsi la main sur l’assistant vocal développé par la société française co-fondée en 2013 par Michael Fester, Rand Hindi et Mael Primet.

D’ailleurs, Rand Hindi, celui des trois qui disait en 2018 vouloir détruire Alexa, quittera l’entreprise pour d’autres projets, toujours à propos de la vie privée. C’était en effet le créneau choisi par Snips concernant son assistant vocal qui analysait les données en local, et non dans le Cloud comme chez les concurrents. Cette position explique peut-être en partie les difficultés à déployer la technologie, malgré une levée de fonds de 12 millions d’euros en 2017. Le reste des 50 salariés poursuivra l’aventure à Paris et deviendra un pôle R&D de Sonos.

Source : Les Echos

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