Auteur : dimitri

Des habitants ne veulent pas d’une antenne-relais Free, car cela défigurerait le paysage

Un maire et des habitants s’opposent à l’installation d’une antenne Free dans leur commune. Ils craignent que cela défigure le paysage, mais aussi des répercussions sur la valeur des biens immobiliers.

Cela se passe à Oudezeele, au nord de la France. Dans cette commune d’environ 700 habitants, au croisement de la rue du Moulin et de la rue Verte, TDF veut installer un pylône de 36 mètres prévu pour accueillir une antenne de l’opérateur Free, en vue de mettre fin à une zone blanche. Le maire et une partie des habitants ont manifesté leur opposition au projet. 

Ayant pris connaissance du projet fin août en découvrant le panneau de déclaration préalable de travaux dans un champ, 50 habitants ont monté l’association Marabout Vert pour manifester leur mécontentement. De son côté, le maire a refusé l’attribution d’un terrain, mais TDF a  trouvé une solution en obtenant une parcelle d’un terrain privé chez un exploitant agricole.

Les habitants déplorent une installation qui “défigurera leur paysage”, avec une implantation “au cœur d’un réseau de petites routes très fréquentées par les promeneurs, les randonneurs, les cavaliers et les coureurs “. Ils estiment par ailleurs que la campagne est un lieu pour se ressourcer où la technologie n’a pas sa place. L’un des riverains peste qu'”aujourd’hui, il est plus facile d’installer une antenne Free qu’un abri de jardin”. Les habitants craignent par ailleurs un impact sur la valeur de l’immobilier, pour les maisons d’Oudezeele et des alentours, mais également des risques sanitaires avec les ondes.

Site Internet, page Facebook, pancartes physiques, vidéo explicative et pétition en ligne et sur papier, l’association Marabout Vert a décidé de tout mettre en oeuvre pour empêcher l’installation de l’antenne. Elle compte aussi lever assez de fonds pour cofinancer une action en justice.

Source : L’Indicateur des Flandres

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Les câbles de fibre optique sous-marins pourraient servir à détecter les séismes

Des chercheurs évoquent la possibilité d’utiliser les câbles de fibre optique sous-marins pour détecter les activités sismiques.

En partant du principe que les mesures sismiques sont réalisées sur Terre et que l’eau recouvre une majeure partie du globe, cela laisse une bonne partie de la surface sans surveillance et prive les scientifiques d’une bonne source de données pour comprendre le phénomène des séismes.

Des chercheurs américains ont évoqué la possibilité de réaliser des mesures sous l’eau en utilisant les câbles de fibre optique sous-marins, ceux qui parcourent des milliers de kilomètres sous les mers et les océans pour faire transiter les données. Cette possibilité repose sur le fait que le signal lumineux est modifié lorsque le câble est bougé et déformé, que ce soit à cause des courants marins ou de la formation d’une faille géologique. Ainsi, en cas d’une modification significative du signal, cela suggère un mouvement et potentiellement une secousse sismique. 

Durant leur expérimentation, réalisée dans la baie de Monterey, en Californie, ils ont ainsi utilisé une vingtaine de kilomètres de câbles sous-marins pour les transformer en l’équivalent de 10 000 stations sismiques. Les chercheurs se mettaient à l’extrémité du câble et envoyaient de courtes impulsions, afin de mesurer les différentes variations du signal.

En plus de pouvoir étudier une surface plus importante, les scientifiques auraient surtout la possibilité de garder un oeil sur les zones jusqu’ici difficiles à surveiller avec le matériel actuel, en évitant les problèmes de batterie et de stockage des données. L’expérimentation a également montré des mesures plus précises, au point d’identifier des séismes jusqu’alors difficilement observables, et permettant de mieux prévoir d’éventuels cataclysmes loin des côtes.

Sources : AAAS

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Une antenne Free peine à arriver, alors que certains aimeraient bien la voir s’installer

Rendez-vous à Nogent-le-Bernard, commune du département de la Sarthe, où une antenne Free pourtant attendue a bien du mal à s’installer.

Alain Bidault, maire de Nogent-le-Bernard, commune du département de la Sarthe, en avait fait sa promesse durant sa campagne de 2014. Il avait promis l’amélioration de la couverture réseau mobile. Il avait même obtenu un soutien pour accélérer la concrétisation du projet grâce à une pétition signée par 176 personnes sur le millier d’habitants.

Sauf que les choses traînent. Un emplacement a bien été trouvé, mais c’était sans compter l’opposition de certains habitants. “Ce sont pourtant des gens qui ont signé la pétition, mais bon…”, déplore le sénateur Louis-Jean de Nicolaÿ qui pousse aussi le projet. Il indique d’ailleurs : “Nous sommes rentrés en négociation avec Free, car c’est l’opérateur qui nous a été imposé. Comme nous faisons partie du dispositif New Deal Mobile, tout est gratuit pour nous”.

De son côté, Alain Bidault craint que “Free se lasse” et finisse par se dire “Tant pis, on va autre part”. Pour autant, il n’a pas abandonné, indiquant qu’il travaillera jusqu’à son dernier jour, soit jusqu’en mars 2020. Voilà pourquoi il a décidé de faire venir des professionnels pour discuter avec les habitants dans la mairie. “Je ne maîtrise pas le sujet, je me dois de faire appel à des gens qui connaissent”, indique-t-il. Et d’ajouter que “si ça ne fonctionne pas, j’aurais fait mon possible“.

Source : Actu.fr

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Équipements pour le déploiement de la 5G : vers une certification européenne ?

À l’heure du déploiement de la 5G et des divergences concernant l’utilisation des équipements Huawei, l’idée d’une certification au niveau européen est mise sur la table.

Avec les avis qui peuvent diverger concernant l’utilisation ou non des équipements réseau de Huawei pour le déploiement de la 5G dans les pays de l’Union européenne, l’option pourrait être une certification commune. Voilà en tout cas la proposition d’Angela Merkel, qui fait en effet face à une vive polémique suite à son refus d’exclure le géant chinois.

Pour la chancelière allemande, transférer cette décision à une agence de certification européenne éviterait d’avoir des “signaux complètement différents”. Cela permettrait d’afficher une forme d’union sur un sujet sensible, que ce soit lors les discussions avec la Chine et Huawei ou face aux pressions des États-Unis. Un front commun qui montrerait la nécessité de “prendre au sérieux” les risques concernant la sécurité, comme l’ont récemment rappelé le président français Emmanuel Macron et le secrétaire général de l’Otan Jens Stoltenberg, et n’empêcherait pas les débats entre les états membres de l’UE.
 

Sources : Reuters et AFP via Les Echos

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Mise à jour Android 10 : Samsung commence à déployer l’interface One UI 2 sur ses Galaxy S10

Bonne nouvelle pour les propriétaires européens des Galaxy S10e, Galaxy S10 et Galaxy S10+. Samsung commence à déployer la version stable de One UI 2, basée sur Android 10, sur ses trois smartphones haut de gamme.

Depuis que Google a annoncé son système Android 10 sur ses smartphones Pixel, les constructeurs partenaires annoncent tour à  tour le déploiement de la mise à jour sur leurs modèles.

La nouvelle d’aujourd’hui concerne les propriétaires des smartphones Galaxy S10e, Galaxy S10 et Galaxy S10+. Le constructeur sud-coréen commence à en effet à diffuser la version stable de One UI 2, sa dernière interface basée sur Android 10, en Europe.

Pour l’instant proposé en Allemagne, le téléchargement de 1,9 Go devrait l’être prochainement sur d’autres marchés, dont la France. Il inclut d’ailleurs les patchs de sécurité Android du mois de décembre 2019.

Rappelons que nous avons réalisé des tests des Galaxy S10e, Galaxy S10 et Galaxy S10+. Univers Freebox vient également de publier un test complet du Galaxy Fold.

Source : GSMArena

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Univers Freebox a pu tester le Galaxy Fold, premier smartphone avec écran pliable de Samsung

Univers Freebox a testé pendant deux semaines le Galaxy Fold, premier smartphone avec écran pliable commercialisé par Samsung. Une vitrine technologique à 2 000 euros qui a ses qualités, mais aussi ses défauts.

 

Avant de passer à ce test, voici un rappel des principales caractéristiques du Galaxy Fold qui nous a été prêté par la marque :

 


La fiche technique


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,84 GHz (chipset Qualcomm Snapdragon 855)
–   Mémoire vive : 12 Go


–   Écran externe : dalle AMOLED 4,6 pouces en 1 680 x 720 pixels
–   Écran interne : dalle AMOLED souple de 7,3 pouces en 1 536 x 2 152 pixels
–   Audio : son stéréo produit par le haut-parleur en haut et le haut-parleur en bas
–   Stockage : 512 Go (non extensible)


–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B12/B13/B14/B18/B19/B20/B25/B26/B28/B29/B30/B66/B71
–   Un logement Nano-SIM dans un tiroir en haut de la tranche gauche


–   Triple photo au dos : 12 + 16 + 12 Mégapixels
–  Double capteur photo à  l’intérieur : 10 + 8 Mégapixels (dans une large encoche)
–   Capteur photo à l’avant : 10 Mégapixels (dans une large bordure)


–   Prise casque 3,5 millimètres : non
–   Connectique de charge : port USB-C (tranche inférieure)
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   Support NFC : oui


–   Batterie : 4 380 mAh (non amovible)
–   Charge : en filaire avec le bloc 15 Watts fourni ou en sans-fil en 15 Watts
–   Recharge inversée :  en sans-fil en 9 Watts 


–   Système d’exploitation : Android 9.0 Pie avec l’interface MIUI


–    Solutions de déverrouillage : lecteur d’empreintes sur la tranche gauche ou reconnaissance faciale


 

Il faut l’dire : une bonne tablette, mais un mauvais smartphone

 

Le Samsung Fold propose un nouveau format. On un écran de petit smartphone (4,6 pouces) à l’extérieur et un écran de petite tablette tactile (7,3 pouces) à l’extérieur, entre lesquels on bascule en pliant ou dépliant l’appareil. En mode smartphone, le Samsung Fold est long et épais. De loin, et même d’un peu plus près, il peut faire penser à une grosse télécommande. En mode tablette, il propose une épaisseur assez classique. 

En termes de prise en main, le Samsung Fold est une bonne tablette, mais un mauvais smartphone. En tant que smartphone, il ne se glisse en effet pas forcément bien dans la poche et rend moins évidentes et/ou moins rassurantes des actions pourtant devenues naturelles sur smartphone comme la prise d’un selfie, la prise d’une photo au bord de l’eau, la saisie d’un message ou la saisie d’une adresse Web. Cela s’explique par l’écran étriqué qui rend la lecture et la saisie moins confortables, mais également par ce côté pavé qui rend la prise en main moins assurée. Le coût du smartphone de 2 000 euros n’est pas non plus étranger à cette appréhension. Surtout quand l’appareil ne vous appartient pas. Plusieurs personnes de notre entourage ont purement et simplement refusé d’y toucher.

En tant que tablette tactile, pas vraiment de souci. Le format a beaucoup plu au sein de la rédaction ou auprès des personnes extérieures. On a autant de plaisir à utiliser le Galaxy Fold qu’une tablette l’iPad Mini 2.

 

Un écran de smartphone étriqué, un son puissant

 

Côté écran, celui du mode smartphone est vraiment trop étriqué. On aurait aimé qu’il couvre un peu plus de surface, pour offrir une plus grande diagonale.

Celui-ci du mode tablette se révèle plus confortable. Sa pliure se voit sous certains angles, mais elle se fait oublier en jeu ou en vidéo. En jeu, elle pourra déranger si votre doigt doit se balader sur toute la surface. Dans un jeu avec des contrôles fixes, comme Call of Duty, elle ne fera pas sentir. Il y a en revanche cette large encoche qui peut masquer une partie de l’interface dans un jeu. Dommage.

Quid des craintes concernant l’écran souple que l’on peut avoir peur de plier et déplier ? Après un léger temps d’adaptation, on finit par prendre le pli et l’ouverture / fermeture devient plus naturelle, plus assurée.

Rien à redire pour la partie son. Le son est stéréo, puissant et dynamique. On a plaisir à poser le Galaxy Fold sur la table pour diffuser un peu de musique ou même pour jouer dans le canapé. Bien évidemment, une enceinte Bluetooth fera facilement mieux, notamment pour les basses.

 

 

Une excellente partie photo

 

Les six capteurs photo du Galaxy Fold permettent une certaine polyvalence en termes de clichés. Il y a un mode nuit. Celui-ci pourra corriger quelques défauts. Mails il ne fera pas de miracle en toute circonstance. Quant aux selfies, ils n’ont rien de confortable avec un pavé dans la main ou un grand écran de tablette dans les mains.

Ci-dessous, une photo en extérieur par très mauvais temps, avec sa version zoomée et sa version ultra grand-angle :

Une photo en intérieur, avec sa version zoomée :

Un mode portrait en intérieur :

Une photo le soir en milieu urbain, puis sa version corrigée par le mode nuit :

Un selfie en extérieur, par mauvais temps :

 

Un smartphone qui fait tout tourner

 

Avec un chipset Snapdragon 855 à bord et 12 Go de RAM, notre Galaxy Fold fait évidemment tout tourner et bien. Il y a juste cette petite chauffe que nous avons notée par moment. Elle se manifeste au niveau de la tranche. Rien de dérangeant toutefois.

La rapidité se note aussi au niveau de la mémoire de stockage interne. L’outil Disk Speed nous indiquait en effet 411 Mo/s en écriture et 1,3 Go en lecture. Oui, ça décoiffe.

 

De débits confortables en 4G et un support de la B28

 

Nous avons testé le  Samsung Galaxy Fold sur le réseau de Free Mobile. 

Voici des exemples de débits en extérieur :

 

Puis des exemples de débits en intérieur :

Le Galaxy Fold gère enfin la 4G 700 MHz (B28), chère à l’opérateur de Xavier Niel.

 

Une autonomie suffisante pour passer la journée

 

En termes d’autonomie, le Galaxy Fold peut tenir la journée sans problème et permet d’envisager une seconde journée. Cela dépendra évidemment des usages.

 

Ci-dessous, deux exemples d’utilisation :

 

(1er cas) Départ à 7h50 avec 100 % et arrivée le lendemain à 8h38 avec 20 %

– 1 heure et 20 minutes de jeu avec le son du Galaxy Fold
– 25 minutes de YouTube avec le son du Galaxy Fold
– 45 minutes de streaming audio avec l’enceinte Bluetooth
– 2 heures et 40 minutes de streaming audio avec le casque Bluetooth
– Consultations et alertes Twitter
– Alerte Gmail
– Surf sur Internet
– Téléchargements des applications, dont trois gros jeux
– Photos
– Tests de débits
– Benchmark

 

(2e cas) Départ  à 23h07 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 12h30 avec 13 %

– 25 minutes de YouTube avec l’enceinte Bluetooth
– 40 minutes de YouTube avec le son du Galaxy Fold
– 2 heures et 50 minutes de streaming audio avec l’enceinte Bluetooth
– 40 minutes de streaming audio avec le son du Galaxy Fold
– 25 minutes de jeu avec l’enceinte Bluetooth
– 1 heure et 45 minutes de jeu avec le son du Galaxy Fold
– Consultation et alertes Twitter
– Alertes Gmail
– Surf sur Internet
– Mises à jour des applications, dont une grosse de 1 Go

 

Avec un chargeur 15 Watts, la charge de la batterie 4 380 mAh ne s’éternise pas.

Ci-dessous, deux suivis de charge :

 

(1er exemple) :
– 8h47 : 19 %
– 8h52 : 25 %
– 8h59 : 34 %
– 9h15 : 53 %
– 9h37 : 74 %
– 10h00 : 90 %
– 10h31 : 100 %

 

(2e exemple) :
– 9h45 : 37 %
– 9h50 : 43 %
– 9h55 : 50 %
– 10h01 : 57 %
– 10h22 : 78 %
– 10h56 : 92 %
– 11h20 : 100 %

 

Notez enfin qu’il y a la recharge sans-fil. Nous avons ainsi pu recharger le Galaxy Fold sur le player de la Freebox Delta. La charge sans-fil permet de recharger les écouteurs sans-fil Galaxy Buds.

 

Une partie logicielle intéressante, mais perfectible

 

L’interface One UI du Galaxy Fold repose sur le système Android 9.0 alias Pie. Elle a évidemment été adaptée à l’appareil. Il y a exemple les boutons virtuels (pour qui voudraient les garder), que l’on peut mettre à droite, à gauche ou au centre de l’écran interne.

Sur l’écran externe :

 

 

 

Sur l’écran interne :

Il y a également la bascule entre les deux écrans. Dommage d’ailleurs que la bascule s’opère depuis l’écran externe vers l’écran interne pour avoir un affichage plus grand pour la lecture vidéo, l’affichage d’une photo ou l’affichage d’une page Web, mais pas de le sens inverse.

Chose pratique également : le multifenêtre qui permet d’avoir deux petites fenêtres sur la droite et une grande fenêtre sur la gauche. Ci-dessous, nous avions YouTube, ainsi que Facebook et Twitter :

En plus classique, nous avons aussi aimé les fonctions pratiques comme le mode sombre, la gestion avancée des gestes, l’outil de maintenance et la barre latérale donnant accès aux applications favorites. L’Espace Enfants est là. Pas sûr qu’il serve beaucoup avec un appareil à 2 000 euros.

Du côté des logiciels pré-installés, il y a Facebook, OneDrive et Netflix. On ne peut pas les désinstaller.

Durant nos tests, nous avions les patchs de sécurité du mois de novembre 2019. En parlant de sécurité, il y a la reconnaissance faciale qui marche très bien, notamment lors de l’ouverture du Galaxy Fold. Le lecteur d’empreintes digitales sur la tranche droite, en dessous du bouton d’allumage/mise en veille répond bien également.

Nous vous déconseillons juste de désactiver la gestuelle permettant d’afficher le panneau de notification lors du passage du doigt sur ce lecteur d’empreintes. L’affichage non désiré a vite fait d’agacer…

 


VERDICT

Le Galaxy Fold est-il une prouesse technologie ? Oui. Était-il vraiment prêt pour arriver entre les mains du grand public. Non.

Le Galaxy Fold se présente en effet comme un smartphone pouvant devenir une tablette tactile une fois déployé. Si l’expérience tablette tactile se révèle intéressante (mais pas parfaite pour autant), l’expérience smartphone se montre vite frustrante avec un appareil difficile à caser dans le poche et rendant les tâches courantes parfois compliquées.

Ajoutez à cela un prix très élevé et un écran fragile plus fragile qu’à l’accoutumée. Le Galaxy Fold n’est pas celui qui démocratisera le smartphone avec écran souple. Il apparaît plus comme celui ayant en quelques sortes essuyé les plâtres et ouvert la voie aux autres constructeurs en montrant que c’est possible. On le voit aussi devenir un objet collector pour les geeks les plus fortunés. Voilà qui donne en tout cas envie de voir la suite. L’expérience ne pourra être que meilleure.


 

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Une vidéo pour comprendre en 3 minutes le déploiement de la fibre optique

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Comment se passe le déploiement de la fibre optique du nœud de raccordement optique jusqu’à l’abonné. Une vidéo vous dit tout.

Une vidéo de 3 minutes postée sur le compte YouTube de Vendée Numérique vous explique en effet le déploiement de la fibre optique en partant du NRO (Nœud de Raccordement Optique) pour aller jusqu’au PM (Point de Mutualisation), lequel permet de relier en moyenne 400 habitations ou entreprises. Cette étape se fait exclusivement en souterrain.

Puis vient le raccordement du PM (Point de Mutualisation) jusqu’au PBO (Point de Branchement Optique), lequel permet de relier en moyenne 12 habitations ou entreprises. Cette étape se fait en aérien ou souterrain, avec comme règle de suivre le réseau de télécommunication existant.

À partir de ce PBO enfin, le technicien missionné par l’opérateur pourra réaliser le raccordement final jusqu’au domicile ou local.

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UFC-Que Choisir lance un outil pour lutter contre l’obsolescence programmée

L’association de consommateurs UFC-Que Choisir lance un outil en ligne pour lutter contre l’obsolescence programmée des appareils.

L’UFC-Que Choisir a voulu marquer le coup. À la veille du Black Friday, symbole de l’hyperconsommation, l’association de consommateurs annonce un outil pour lutter contre l’obsolescence programmée des appareils.

Comme rappelé par l’UFC-Que Choisir, l’obsolescence programmée consiste à “réduire artificiellement la durée de vie appareils obligeant à les remplacer plutôt qu’à les réparer (composants fragiles, pièces détachées indisponibles, pièces essentielles inaccessibles, obsolescence logicielle, etc.)”. Cela concerne le smartphone, comme le téléviseur ou le lave-linge.

Il s’agit plus précisément d’un observatoire des pannes. Celui-ci permet aux consommateurs de signaler les appareils “trop vite usés”, afin “de détecter et d’agir contre les cas d’obsolescence programmée”. L’UFC-Que Choisir indique vouloir “faire, avec l’aide des consommateurs, toute la lumière sur la réalité des abus afin de lancer les actions nécessaires : pression sur les fabricants, lobby auprès des pouvoirs publics, combats judiciaires”. Le ton est donné.

Les consommateurs pourront signaler leurs pannes en quelques minutes pour obtenir des conseils et des lettres types. Les pannes rapportées permettront aussi à l’association de mener son enquête et d’enclencher des actions judiciaires. L’observatoire des pannes de l’UFC-Que Choisir est disponible à cette adresse.

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Technologies utilisées par Free : focus sur l’assistant Google disponible sur la Freebox mini 4K

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons de l’assistant Google.

Avec sa Freebox Delta, Free propose les assistants vocaux Ok Freebox et Amazon Alexa.  L’opérateur de Xavier Niel a également recours à Google Assistant avec sa Freebox mini 4K sous environnement Android TV. Comment fonctionne-t-il ?? À quoi sert-il ?

Comme tout assistant vocal, Google Assistant doit comprendre qu’on le sollicite. Dans le cas de la Freebox mini 4K, il suffit ainsi d’une pression sur le bouton en forme de microphone sur la télécommande. Après quoi, Google Assistant se manifeste sous la forme d’une vignette à l’écran accompagnée d’un petit son et attend votre requête vocale.

Au quotidien, Google Assistant sur la Freebox mini 4K permet de rechercher du contenu, mais aussi de répondre à des questions plus générales. Il peut ainsi trouver un film sur Netflix ou Google Play Films, des émissions sur le replay ou un clip musical sur YouTube. Il peut aussi répondre à des questions telles que “Donne-moi la météo”,  “Quand a eu lieu la révolution française ?” ou “Qui est Xavier Niel ?”.

Notez que Google Assistant peut également fonctionner sur Freebox Révolution, comme nous vous le montrions dans un tutoriel. Les requêtes sont alors détectées avec le microphone d’une enceinte connectée ou d’un smartphone.

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Twitter va faire le ménage dans ses comptes inactifs

Le réseau social à l’oiseau bleu s’apprête à un petit ménage dans les comptes de ses utilisateurs. Ceux qui sont inactifs depuis quelque temps seront supprimés.

Avis à celles et ceux qui ont un compte Twitter dormant depuis plusieurs mois, voire davantage. À partir du 11 décembre, la plate-forme de microblogging va en effet se lancer dans la fermeture des comptes inactifs. La mesure concerne plus précisément les comptes sans aucune activité depuis six mois et plus. Le nettoyage sera progressif et s’étalera sur plusieurs mois.

Pour éviter cette fermeture du compte, il faut simplement se reconnecter. Pas besoin en effet d’une interaction en particulier. Dans le cas contraire, le compte Twitter sera fermé et le nom d’utilisateur remis en circulation, à disposition d’autres utilisateurs donc.

Voilà en tout cas une bonne manière de libérer des noms d’utilisateurs sur lesquels certains ont la main sans jamais les utiliser, en privant ainsi ceux qui pourraient en avoir une véritable utilité.

Source : ZDNet

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