Auteur : dimitri

Pour Orange, Free, Bouygues et SFR, les choses se précisent concernant le déploiement de la 5G en France, notamment à propos de leur marge de manoeuvre lors du choix des équipements. Le décret “anti-Huawei” est paru au Journal officiel et confirme que les opérateurs devront obtenir des autorisations.

Le choix des équipements pour le déploiement de la 5G en Europe s’est traduit par quelques remous. Pas facile en effet de trouver un juste équilibre entre bon rythme de déploiement pour ne pas accuser un retard, sécurité des réseaux et concurrence saine.

Un décret récemment publié au Journal officiel vient d’ailleurs de clarifier les choses pour les opérateurs français. Surnommé anti-Huawei, même s’il ne concerne pas spécifiquement le groupe chinois, celui-ci confirme que Orange, Free, Bouygues et SFR devront obtenir des autorisations lors du choix des équipements de leurs réseaux mobiles 5G, auprès de l’ANSSI (agence nationale de la sécurité et des systèmes d’information). La réponse pourra prendre jusqu’à deux mois et devra être considérée comme négative en cas de non-retour.

D’ailleurs, les opérateurs craignent un abus de cette absence de réponse pour refuser sans aucune justification, afin de les inciter à éviter certains équipementiers. Et cela, alors que le gouvernement martèle qu’il ne s’agit pas d’évincer tel ou tel acteur. Cité par Les Échos, un opérateur évoque une façon subtile de faire : “Le gouvernement n’écrit pas tout dans la loi. Les choses vont se faire de façon plus subtile”. Quoi qu’il en soit, les opérateurs savent déjà qu’ils ne pourront pas installer d’équipements Huawei à Paris, dans les cœurs de réseau ou à proximité de zones sensibles telles que les bases militaires.

Entre les fréquences dont l’attribution prendra plus de temps que prévu et les installations d’antennes potentiellement retardées par une étape supplémentaire plus ou moins longue (si en plus elle aboutit), le risque d’une France en retard sur le déploiement de la 5G gagne en consistance.

Sources : Les Echos et 01net

Devant être dévoilé en début d’année prochaine, le smartphone haut de gamme Huawei P40 fait l’objet d’une fuite. L’occasion d’avoir un aperçu de ses principales caractéristiques.

Comme Samsung, Huawei dévoile ses smartphones haut de gamme en plusieurs temps. En début d’année, le constructeur chinois renouvelle ainsi sa famille P. La seconde partie de l’année est l’occasion de découvrir les nouveaux modèles Mate.

Le smartphone Huawei P40 attendu début 2020 fait d’ailleurs l’objet de fuites. Selon le compte @hereYashRaj sur Twitter, le smartphone aurait un chipset Kirin 990, un écran OLED 6,5 pouces en définition 2K avec un taux de rafraîchissement 120 Hz, plusieurs capteurs photo dorsaux dont un principal de 64 Mégapixels (modèle Sony IMX686) et une batterie 5 500 mAh avec une charge rapide 50 Watts pour faire le plein en seulement 45 minutes. Compatible 5G, il s’accompagnerait d’une ROM Emotion UI basée sur Android 10 pour la partie logicielle.

Le leaker accompagne enfin sa série de tweets d’une photo où l’on voit le smartphone et sa boîte.

La commune de Plestin-les-Grèves, en Bretagne, ne voulait pas d’une antenne-relais utilisée par Free. Finalement, les travaux auront bel et bien lieu.

En mai dernier, TDF avait déposé une déclaration préalable de travaux. Elle concernait un pylône de 30 mètres devant accueillir une antenne-relais de Free Mobile, au lieu-dit Lan Carré. Sans réponse de la part de la commune de Plestin-les-Grèves, ce qui sous-entendait un refus, l’opérateur d’infrastructures avait déposé un recours devant le tribunal administratif de Rennes, afin de pouvoir se lancer dans les travaux.

Si la commune refuse les travaux au motif de “la protection d’un espace naturel remarquable”, le juge rappelle que l’endroit “n’est que partiellement couvert par les réseaux mobiles de la société Free” et que l’opérateur a des engagements en termes de couverture. De plus, la mairie avait un mois pour contester les travaux et a publié son arrêté 4 jours après ce délai. Le juge indique ainsi qu’“à défaut de notification d’une décision expresse dans ce délai, le silence gardé par la commune vaut décision tacite de non-opposition à la déclaration préalable”.

En attendant un jugement sur le fond, TDF peut ainsi démarrer ses travaux, tandis que la commune doit lui verser 1 000 euros pour rembourser les frais de justice.

Source : Actu.fr

Netflix teste une nouvelle fonctionnalité qui pourrait plaire à ses gros utilisateurs.

Netflix propose une fonction assez pratique. Il peut en effet télécharger les épisodes de la série en cours de visionnage. Une fois regardés, les épisodes sont supprimés et remplacés par d’autres sans que l’utilisateur n’ait à s’en occuper. L’utilisateur peut définir si le téléchargement se fait uniquement en Wi-Fi ou indépendamment du réseau disponible. Ce téléchargement automatique permet d’avoir toujours du contenu à regarder, même dans une zone non couverte comme le métro ou une route de campagne.

Le service de streaming vidéo pense étendre la portée de ce téléchargement automatique. Il teste en effet la possibilité de télécharger automatiquement des contenus en se basant sur les goûts de l’utilisateur. Cela peut être une série comme un film. La fonction doit être activée au préalable et on peut définir une limite au-delà des 1 Go par défaut afin d’éviter de saturer la mémoire du smartphone. Reste maintenant à voir si les retours inciteront Netflix à déployer cette fonctionnalité à grande échelle.

Source : Android Police via Alloforfait

La société HMD Global a annoncé un nouveau smartphone Nokia 2.3. Il s’adressera aux budgets serrés avec la promesse d’une bonne autonomie et d’un bon suivi en termes de mises à jour.

Le Nokia 2.3 s’équipe du chipset MediaTek Helio A22 avec son processeur quad-core 2,0 GHz associé à 2 Go de mémoire vive. Livré avec Android 9.0 et promis à Android 10, ce smartphone propose un écran IPS 6,2 pouces HD+, une mémoire de stockage 32 Go extensible par MicroSD, une gestion dual-SIM, un double capteur photo 13 + 2 Mégapixels au dos (le second pour le mode portrait) et un capteur photo 5 Mégapixels à l’avant (qui servira aussi à la reconnaissance faciale). 

Le Nokia 2.3  promet également de tenir facilement les deux jours, grâce à sa batterie 4 000 mAh. Il faudra par contre se contenter d’un port Micro-USB et d’un chargeur 5 Watts. En parlant de connectique, le mini-jack répond présent.

Un prix de 109 euros a été annoncé pour ce smartphone qui fera partie du programme Android One pour une interface Android proche de celle imaginée par Google et un bon suivi en termes de mises à jour. Il aura d’ailleurs droit à deux ans de mises à jour majeures et trois ans de mises à jour de sécurité.

Xavier Niel, fondateur d’Iliad, maison-mère de Free et Free Mobile, revient sur le partenariat avec Younited Crédit.

Avec l’offre Freebox Delta, l’abonné devient propriétaire du player. Il doit ainsi s’acquitter d’un montant de 480 euros. Conscient qu’une telle somme peut être un frein, Free a donc cherché une solution de financement rapide à mettre en place et permettant à l’abonné d’intégrer plus facilement le coût de cet achat dans son budget.

L’opérateur s’est finalement associé à Younited Crédit pour permettre un paiement en 48 mois, soit 48 fois 10 euros. Le tout sans frais et avec une réponse rapide. De quoi rendre le produit plus accessible au grand public et ainsi augmenter les volumes d’abonnement, tout en fidélisant l’abonné.

Xavier Niel, fondateur d’Iliad, maison-mère de Free, explique ce partenariat dans une vidéo :

Dans cette seconde vidéo, il y a également l’intervention de Geoffroy Guigou, co-fondateur de Younited :

Univers Freebox vous propose régulièrement des comparatifs avec les smartphones disponibles dans la boutique de Free. D’ailleurs, que peut-on trouver dans la boutique en ce moment pour 200 euros et moins ? Voici nos suggestions selon vos critères et besoins, si vous comptiez renouveler votre smartphone. 

 

 

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Si vous avez un budget très limité : le Nokia 1 Plus à 99 euros

Si vous voulez un smartphone équipé d’une version récente d’Android sans casser la tirelire, le Nokia 1 Plus s’annonce comme le choix à privilégier, avec son système Android 9.0 Pie et son prix serré de 99 euros. D’ailleurs, le constructeur a promis la mise à jour vers la dernière version (Android 10) pour début 2020.

On note aussi l’assemblage de bonne facture, l’écran correct (pour la gamme de prix), l’expérience assez fluide (à condition évidemment de ne pas lancer 20 applications en même temps), la 4G permettant un surf confortable et l’autonomie plutôt correcte. Seule véritable ombre au tableau, en gardant à l’esprit le positionnement tarifaire : le stockage de seulement 8 Go, avec fort heureusement la possibilité d’extension MicroSD. Il est compatible avec la 4G 700 MHz.

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Si vous avez un budget de 150 euros : le Nokia 3.2 à 149 euros ou l’Alcatel 3 à 139 euros

Sur la tranche des 100-150 euros, deux modèles sortent du lot. Le choix dépendra en fait de votre priorité, à savoir un grand écran ou la possibilité de jouer occasionnellement.

Si vous voulez un écran de taille confortable, le Nokia 3.2 se présente comme un bon choix sur le créneau des 100-150 euros puisqu’il offre une diagonale de 6,3 pouces avec toutefois une définition HD+. On peut aussi apprécier d’avoir une version récente d’Android, une bonne autonomie et une 4G assez rapide. Il faudra toutefois composer avec sa recharge assez longue, en partie explicable par la présence d’une batterie 4 000 mAh à bord.

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Vous êtes un joueur occasionnel ? L’Alcatel 3 est l’option à envisager, si vous comptez acquérir votre smartphone chez Free Mobile et si vous avez un budget de 150 euros maximum.

S’il ne le propose pas avec les graphismes au maximum, il arrive notamment à faire tourner le sympathique Asphalt 9 sans problème. On pourra donc envisager du jeu pas trop gourmand à l’occasion. L’Alcatel 3 offre par ailleurs une autonomie confortable et un support de la 4G 700 MHz. Du côté des concessions à faire, il y a notamment la partie photo moyenne et la recharge pas des plus rapides.

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Si vous avez un budget de 150-200 euros : le Moto G7 Play à 169 euros, le Xiaomi Mi A3 à 199 euros et le Redmi Note 8T à 199 euros

Trois choix intéressants dans cette gamme de prix.

Si vous cherchez un smartphone Android à la fois compact et suffisamment puissant pour jouer de manière occasionnelle, le Moto G7 Play se présente comme un choix intéressant. Il s’en sort également plutôt correctement en photo si ça n’est qu’en vue d’une publication sur les réseaux sociaux.

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Après un Redmi Note 7 très convaincant, Xiaomi récidive avec un smartphone tout aussi intéressant sur le créneau des 200 euros. Beau design, grand écran Full HD+, quadruple capteur photo, performances suffisantes pour jouer dans de bonnes conditions, grosse batterie et charge rapide, le Redmi Note 8T ne manque pas d’arguments pour séduire. Il est, à nos yeux, la nouvelle valeur étalon sur son segment tarifaire. Bons points enfin si vous êtes abonnés Free Mobile, le Redmi Note 8T s’annonce compatible B28, gérant donc la 4G 700 MHz chère à l’opérateur, mais profite également de la technologie 256QAM récemment activée et boostant les débits.

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Si vous avez un budget de 150-200 euros et voulez l’expérience Android imaginée par Google, le Xiaomi Mi A3 avec Android One mérite de faire partie des options. Un autre aspect intéressant est son autonomie vraiment très bonne. Si son écran AMOLED offre de belles couleurs, il manque en revanche de définition.

Le smartphone se montrait déjà intéressant lorsqu’il était affiché à 249 euros. Récemment revenu dans la boutique de l’opérateur à 50 euros de moins, il gagne encore en intérêt. Notez d’ailleurs qu’il est compatible avec la 4G 700 MHz (B28) et qu’il bénéficie de la technologie 256QAM.

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CHOIX DE LA RÉDACTION

Si vous avez le budget maximal de cette sélection, nous vous suggérons le Redmi Note 8T, la nouvelle valeur étalon des smartphones à 200 euros. Il est la preuve que l’on peut avoir un bon smartphone sans forcément se ruiner. Maintenant, ceux cherchant l’expérience Android telle qu’imaginée par Google pourront préférer le Xiaomi Mi A3 au même prix. Celui-ci a un autre atout, et pas des moindres : une solide autonomie.

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Une partie des clients Red by SFR risquent de voir rouge. Si l’opérateur augmente la facture de certains abonnés mobile, il annonce également une augmentation sur celle de certains abonnés fixe.

En effet, certains abonnés RED Box reçoivent un e-mail leur indiquant l’augmentation de leur facture mensuelle. Il s’agit plus précisément de ceux ayant souscrit une offre ADSL ou fibre optique commercialisée en 2017 ou 2018. Le coût de l’abonnement passera ainsi de 10 à 13 euros par mois.

En contrepartie, l’abonné fibre optique bénéficie d’une hausse de son débit. L’e-mail indique un débit maximal en réception passant à 1 Gbit/s. L’abonné ADSL profite des appels en illimité vers les mobiles. En lisant la missive, il y a une différence de taille : l’abonné fibre optique ne pourra pas refuser cette augmentation, tandis que l’abonné ADSL pourra décider de conserver son offre actuelle.

Ci-dessous, les e-mails reçus par les abonnés fibre optique et ADSL et envoyés à CableReview :

 

Il est bien sûr possible de résilier le contrat sans frais dans un délai de quatre mois après l’entrée en vigueur de la modification.

Free informe ses abonnés. Après l’annonce officielle, voici en effet l’e-mail annonçant l’intégration automatique du service Youboox One sous la forme d’une option payante dans les forfaits Freebox et Free Mobile.

Iliad, la maison-mère de Free, a annoncé dans un communiqué de presse que l’abonnement Youboox One sera automatiquement intégré sous la forme d’une option payante dans les forfaits Freebox et Free Mobile à partir du 1er février 2020. Rappelons que le service de Youboox One est proposé gratuitement jusqu’au 31 janvier 2020 à tous les abonnés Freebox et Free Mobile (sauf ceux aux forfaits 2 euros). 

En parallèle, les abonnés commencent à recevoir l’e-mail indiquant l’intégration de Youboox One dans leur forfait, à partir du 1er février 2020 et avec un supplément de 0,99 euros sur leur facture mensuelle :

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“Vous allez prochainement profiter de contenus supplémentaires sur Youboox One !

Cher(e) abonné(e),

Depuis le 31 janvier 2019, vous bénéficiez sans surcoût d’un accès à Youboox One, sur votre ligne “xxxxxxxxxx”. Ce service vous permet de profiter en illimité de dizaines de milliers de livres (BD, mangas, policiers, politique, art, culture, cuisine, jeunesse, guides de voyage…) sur votre smartphone, tablette ou PC, jusqu’à 3 écrans en simultané.

Nous vous informons que le service Youboox One intégrera de nouveaux contenus à compter du 1^er février 2020. En plus de 50 000 livres déjà disponibles et des livres en avant-première qui vous sont réservés en tant qu’abonné Free, vous pourrez également profiter des livres audio, dont 1 best-seller par mois⁽¹⁾.

Devant le succès rencontré par l’offre Youboox One, nous avons décidé de vous faire bénéficier automatiquement de ce service intégrant les livres audio, à partir du 1^er février 2020, pour seulement 0,99€ par mois⁽²⁾, grâce à une remise de couplage.

Les livres audio débarquent sur Youboox One

Dès le 1^er février 2020, nous vous ferons profiter de plusieurs centaines de livres audio inclus dans Youboox One, dont 1 best-seller par mois⁽¹⁾. Un large choix pour répondre aux goûts de toute la famille. Choisissez. Ecoutez !

Nous tenons à vous rappeler que cette offre est sans engagement. Vous pouvez si vous le souhaitez faire le choix d’y renoncer en un simple clic, à tout moment et sans frais, depuis votre Espace Abonné. Pour ne pas profiter de cette offre, cliquez-ici.

Nous vous souhaitons d’agréables moments avec Youboox One.

L’équipe Free”

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Pour ceux qui sont veulent pas du service, nous avons publié un tutoriel pour vous montrer comment activer ou désactiver l’option Youboox.

Généralement, ce sont les opérateurs télécoms et autres sociétés de services qui sont pointés du doigt par les clients pour des appels répétés émanant de leurs services commerciaux. Dans le cas présent, c’est le client qui s’est adonné à la pratique. Et pas qu’un peu.

Un abonné KDDI a récemment été arrêté par les autorités. Estimant que le contrat n’a pas été respecté et exigeant des excuses de la part de l’opérateur télécom japonais, il appelait de manière incessante le service client depuis deux ans pour exprimer son mécontentement et proférer des insultes.

Sur les deux ans, il a en effet cumulé environ 24 000 appels, soit une moyenne de 33 appels par jour. La semaine précédant son arrestation par la police de Tokyo, l’homme avait ainsi appelé 400 fois le service client. Un véritable acharnement, auquel l’homme s’adonnait notamment depuis les cabines publiques pour tenter de brouiller les pistes.

L’abonné, en fait un retraité de 71 ans (ce qui explique le temps libre pour s’adonner à ce harcèlement), se retrouve poursuivi pour entrave à une activité commerciale normale.

Source : Franceinfo