Auteur : dimitri

À la recherche d’un matériau plus économique que le verre et plus écologique que le plastique pour la conception de la fibre optique, des chercheurs ont essayé d’en fabriquer avec du bois.

Des chercheurs finlandais ont en effet cherché à fabriquer de la fibre optique avec 100 % de cellulose, principal composant du bois. Or, le bois n’est pas réputé pour bien conduire la lumière. La cellulose a donc été extraite du bois grâce à l’usage d’un solvant et à la coagulation dans l’eau, afin de parvenir à une fibre parfaitement transparente. Elle a ensuite été séchée pour former un coeur de 210 micromètres de diamètre avec un fort indice de réfraction. Ce coeur a enfin été recouvert d’une gaine en acétate de cellulose de 3,4 micromètres d’épaisseur avec un indice de réfraction plus faible. 

Si cette fibre optique à base de bois moins chère à produire et biodégradable se révèle fonctionnelle, mais également très résistance aux changements de température et aux actions mécaniques, elle montre en revanche des performances moins élevées que la fibre optique que l’on connaît. Celle-ci est notamment davantage soumise à l’atténuation du signal (perte de 6,3 dB/cm, contre 0,1 dB/cm). Son utilisation aura donc surtout un intérêt pour les liaisons courtes distances. On peut l’imaginer ainsi dans des secteurs tels que le bâtiment, pour la détection de produits chimiques ou pour les changements de température et d’humidité.
 

Source : Futura Tech

La voiture s’annonce de plus en plus connectée. Une vidéo vous donne idée des avantages de cette connexion permanente.

L’industrie s’oriente vers les voitures connectées, notamment avec le déploiement de la 5G offrant de meilleurs débits et une latence réduite. Mais comment se traduira-t-il concrètement pour l’utilisateur ? Une vidéo postée sur la compte YouTube d’Orange vous donne quelques exemples parmi lesquels l’accès à davantage de musique, la suggestion du meilleure itinéraire grâce à l’info trafic en temps réel, la localisation des places de parking disponibles à proximité, l’appel des secours en cas de problème sur la route ou les suggestions du constructeur concernant l’entretien.

Deux forfaits mobiles à prix cassé en ce moment chez Cdiscount Mobile.

Cdiscount Mobile propose en effet deux forfaits mobiles à des tarifs promotionnels jusqu’à 18 décembre.

Revenant à 2,99 euros par mois au lieu de 9 euros par mois, le premier comprend 200 minutes d’appels, les SMS et MMS en illimité et 5 Go de data 3G/4G. À cela s’ajoute 1 Go de data 3G/4G valable depuis l’Europe et les DOM.

Affiché à 4,99 euros par mois au lieu de 15,99 euros par mois, le second propose les appels, SMS et MMS illimités. Pour la data, on a 50 Go avec débits 3G/4G depuis la France Métropolitaine, auxquels s’ajoutent 3 Go avec débits 3G/4G pour l’Europe et les DOM.

Notez que les tarifs promotionnels sont valables durant les 6 premiers mois d’abonnement, avant un retour aux  tarifs normaux. Les forfaits sont sans engagement.

Si vous êtes propriétaire du Galaxy Note10 ou du Galaxy Note10+, voici une bonne nouvelle pour vous. La mise à jour Android 10 commence à arriver en version stable.

Après la famille Galaxy S10, au tour de la série Galaxy Note10 d’être servie. Samsung commence en effet à déployer la mise à jour One UI 2, basée sur Android 10, en version stable sur les Galaxy Note10 et Galaxy Note10+ commercialisés en Europe.

Des notifications ont été rapportées chez nos voisins en Allemagne, ce qui suggère une diffusion imminente en France. Peut-être a-t-elle même déjà débuté au moment où sont écrites ces lignes. Bref, pensez à guetter du côté des notifications ou à lancer une petite recherche de mise à jour depuis les paramètres du smartphone. Notez que le téléchargement inclut les patchs de sécurité du mois de décembre 2019.

Rappelons que nous avons réalisé des tests des Galaxy Note10 et Galaxy Note10+. Univers Freebox vous a également proposé des tests complets des Galaxy S10e, Galaxy S10, Galaxy S10+ et Galaxy Fold.

Source : SamMobile

Google continue d’enrichir l’application de SMS et MMS disponible sur les smartphones Android. 

Peu de temps après le déploiement de la technologie RCS, la firme de Mountain View vient en effet d’annoncer le déploiement de deux nouvelles fonctionnalités. Elles visent à renforcer la protection des utilisateurs face aux messages douteux.

La première est celle des SMS vérifiés,. Lors de l’envoi d’un message par une société, son nom, son logo et un badge vérifié apparaîtront afin de confirmer à l’utilisateur que le message provient d’une source sûre. Une avancée bienvenue avec certaines sociétés utilisant parfois plusieurs numéros, au point de pouvoir semer le doute chez le destinataire. Surtout lorsqu’il s’agit d’un lien de vérification sur lequel cliquer.

La seconde consiste en une protection antispam en temps réel. L’application affichera alors un badge pour indiquer le caractère potentiellement dangereux du message et invitera la destinataire à la plus grande prudence. L’utilisateur pourra, dans le cas d’un spam avéré, procéder au signalement et au blocage.

Notez que le déploiement de ces nouvelles fonctionnalités est progressif. Celles-ci pourront ainsi mettre plus ou moins de temps à apparaître

L’installation d’une relais-relais utilisée par Free semblait en bonne voie, mais une pétition portée par les riverains a changé la donne. Le maire et l’opérateur doivent à présent chercher un autre emplacement.

Pour répondre à un manque de couverture réseau, Guy Bourras, le maire de Saint-Julien-du-Sault, avait repéré et choisi une parcelle chemin des Bourbiers où installer une antenne-relais de Free. L’installation par TDF du pylône devant accueillir cette antenne avait fait l’objet d’une délibération fin octobre. Tout semblait en bonne voie.

Sauf qu’une pétition signée par 150 personnes et arrivée fin novembre sur le bureau du maire a incité ce dernier à remettre le projet en cause. La semaine prochaine, il compte “faire modifier la délibération votée lors du dernier conseil” et repartir à la recherche d’un nouvel emplacement.

Mais pourquoi cette pétition ? Pour ses initiatrices et ses signataires, il y a les risques sanitaires. Non opposés par principe à la nécessité d’un bon réseau pour certains, mais évoquant le “principe de précaution désormais inscrit dans la constitution”, ils réclament un éloignement d’au moins 150 mètres des habitations, contre les 10 mètres prévus pour le projet. Un argument auquel TDF répond la chose suivante : “selon les résultats des recherches scientifiques actuelles, aucun effet néfaste sur la santé n’est établi si l’exposition reste inférieure aux niveaux fixés par les normes en vigueur”.

Est ensuite évoqué le risque d’impact sur la valeur de l’immobiliser à proximité de l’antenne. “J’ai contracté un emprunt sur vingt-cinq ans pour acheter ma demeure il y a plusieurs années. Si je devais la vendre, elle serait dévaluée avec ce pylône”, indique explique Anne-Claire Péant, l’une des personnes vivant à proximité du site choisi et à l’origine de la pétition.

Source : L’Yonne Républicaine

Google teste une nouvelle fonctionnalité dans son service de navigation Maps qui doit améliorer la sécurité de ses utilisateurs.

Voilà qui pourrait intéresser ceux qui utilisent assez régulièrement l’application de navigation Google Maps en tant que piéton, et surtout le soir.

Le site XDA-Developpers indique avoir repéré une fonction en fouillant dans le code. Il s’agit d’indiquer les rues équipées d’éclairages publics et celles au contraire en étant dépourvues. Les rues éclairées seraient indiquées avec une surbrillance en jaune. De quoi ajuster son trajet pour éviter les rues non éclairées, surtout lorsqu’on se déplace en nombre réduit et dans un lieu totalement inconnu. En voyage à l’étranger, notamment.

Comme le suggèrent nos confrères de 20 Minutes, l’ajout d’un aspect collaboratif, avec la possibilité pour les utilisateurs d’indiquer quelles rues sont réellement éclairées, serait bienvenu. Dans un souci d’économies, l’éclairage de certaines communes reste en effet partiellement, voire totalement éteint.

Enedis, distributeur d’électricité en France, est également mis à contribution dans le cadre du Plan France Très Haut Débit.

Le Plan France Très Haut Débit a été lancé avec pour objectif de couvrir l’intégralité du territoire français et de proposer à tous les citoyens un accès Internet performant dans leurs logements, entreprises et administrations. Il doit être atteint en 2025 avec la fibre optique et dès 2022 avec un mix de technologies incluant le satellite et le THD Radio.

La société Enedis, qui gère le réseau électrique en France, participe à sa manière à ce vaste chantier, comme elle le rappelle à travers une vidéo postée sur sa chaîne YouTube. Le distributeur met notamment à disposition les infrastructures du réseau électrique pour le déploiement de la fibre, que ce soit en aérien et souterrain. Sa participation se traduit également par la réalisation d’études et la mise au point d’outils pour garantir le bon déploiement ou par la communication de ses plans de déploiement du réseau électrique en vue d’une mutualisation des infrastructures.

Samsung annonce les deux premiers représentants de sa famille de smartphones Galaxy A ciblant le milieu de gamme. Voici les modèles Galaxy A51 et Galaxy A71 avec leurs caractéristiques.

Les deux smartphones de la série Galaxy A (2020) seront donc les Samsung Galaxy A51 et Samsung Galaxy A71. Tous les deux s’accompagneront d’une ROM One UI 2 avec socle Android 10.

Le Samsung Galaxy A51 embarque un chipset Exynos 9611 avec jusqu’à 8 Go de RAM, un stockage jusqu’à 128 Go extensible par MicroSD et une batterie 4 000 mAh rechargeable en filaire en 15 Watts. Il propose un écran Super AMOLED 6,5 pouces FHD+ avec un lecteur d’empreintes sous la dalle. Pour la photo, on a un quadruple capteur 48 + 12 + 5 + 5 Mégapixels au dos, ainsi qu’un capteur 32 Mégapixels dans un poinçon à l’avant.

Le Samsung Galaxy A71 permet de passer au chipset Snapdragon 730, à un écran 6,7 pouces (toujours en AMOLED et en Full HD+), à un capteur photo principal de 64 Mégapixels, à une batterie 4 500 mAh et à une charge filaire en 25 Watts.

Reste maintenant à attendre les informations concernant la commercialisation européenne des Galaxy A51 et Galaxy A71. La firme sud-coréenne n’a pas encore communiqué à ce sujet.

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons d’Android TV.

Si Android s’adresse aux smartphones et tablettes tactiles, le système d’exploitation de Google se décline sur d’autres appareils, avec notamment Android TV. 

Annoncé le 25 juin 2014 lors d’une conférence Google I/O, le système Android TV s’adresse, comme son nom l’indique, à l’univers de la télévision connectée. Cela se traduit par une interface centrée sur les contenus, ceux disponibles au travers de sa plate-forme de téléchargement (films, jeux) ou par l’intermédiaire d’applications tierces (chaînes de télévision, films et séries en SVOD). Il y a également la possibilité d’envoyer du contenu depuis son smartphone vers le téléviseur grâce à la technologie Chromecast.

On retrouve ainsi Android TV dans des téléviseurs connectés, mais également dans des boîtiers multimédias tels que le player de la Freebox mini 4K annoncée en mars 2015 ou la Nvidia Shield. Selon Android Rumours, il pourrait également se retrouver dans un player accompagnant la Freebox V8 attendue début 2020.

Notez enfin que Google a annoncé Android TV basée sur les améliorations et corrections d’Android 10. Reste donc à attendre le déploiement du côté des constructeurs partenaires.