Auteur : dimitri

TV5 Monde lancera sa plate-forme VOD avec publicité en septembre

Le patron de TV5 Monde en dit davantage sur la plate-forme AVOD que lancera la chaîne de télévision francophone dans le courant de l’année 2020.

Début 2019, TV5 Monde indiquait son intention d’entrer dans la danse et de lancer à son tour un nouveau service de vidéo à la demande. Il était question d’une ouverture des vannes dans le courant de l’année 2020. Lors d’une entrevue accordée à nos confrères du Figaro, Yves BIGO, journaliste à la tête de la chaîne de télévision francophone depuis 2012, en dit un peu plus.

La plate-forme en question répondra donc au nom de “TV5 Monde+” et ouvrira ses portes au mois de  septembre 2020. Elle sera de type AVOD (Advertising-Based Video On Demand), “c’est-à-dire gratuite avec authentification proposée et la possibilité d’accueillir de la publicité”, comme l’indique Yves BIGO. Un peu à la manière de YouTube, en somme.  Et d’ajouter que la plate-forme “sera accessible partout et son but sera de permettre la découvrabilité des créations francophones”. En d’autres termes, TV5 Monde+ sera disponible dans le monde entier et mettra en avant les créations françaises.

“C’est une étape qui viendra couronner la transformation numérique de TV5 Monde sur laquelle nous travaillons depuis plusieurs années”, résume Yves BIGO. Il donne d’ailleurs quelques chiffres pour l’année 2019 : 380 millions de vidéos vues, soit une progression de 22 % par rapport à 2018, et 13 millions d’abonnés sur les réseaux sociaux. À propos du bassin d’utilisateurs, il ajoute également : “la totalité de nos neuf chaînes linéaires touche aujourd’hui 364 millions de foyers partout dans le monde, même en Chine, en Corée du Nord ou à Cuba. Notre audience mesurée sur les 24 pays où l’on peut le faire est de 58 millions de téléspectateurs hebdomadaires”

Classés sous les catégories : Non classé

Galaxy S20 : le nom du prochain smartphone haut de gamme de Samsung semble se confirmer, comme l’écran 120 Hz

À mesure que l’événement Unpacked de Samsung se rapproche, les fuites s’intensifient autour des smartphones que devrait y présenter la firme sud-coréenne.

Alors que l’on attendait assez logiquement des Galaxy S11e, Galaxy S11 et Galaxy S11+, des noms Galaxy S20, Galaxy S20+ et Galaxy S20 Ultra ont été évoqués. Un changement qui gagne en consistance avec l’une des photos récemment publiées par le site XDA Developers. On y voit en effet un écran de démarrage Galaxy S20+ 5G. Voilà qui suggère au passage des variantes 4G et 5G, au moins pour ce modèle de la famille.

Il se murmure par ailleurs que Samsung compte proposer des écrans avec un taux de rafraîchissement à 120 Hz. Le leaker Ice Universe apporte en effet quelques précisions à ce sujet. Le constructeur laisserait en fait trois options : la définition FHD avec du 60 Hz, la définition FHD avec du 120 Hz ou la définition WQHD avec du 60 Hz. Pas de WQHD avec du 120 Hz, par contre. Il faudrait ainsi choisir : la meilleure définition ou le meilleur taux de rafraîchissement.

Classés sous les catégories : Non classé

nPerf : la version iOS de l’outil pour tester sa connexion 3G/4G/Wi-Fi se met à jour après plusieurs mois de silence

Permettant de tester ses débits 3G, 4G ou Wi-Fi, l’application nPerf se met à jour sur iOS avec des améliorations et corrections à la clé.

Disponible gratuitement sur Android et iOS, l’application mobile nPerf permet d’évaluer la qualité de sa connexion 3G, 4G ou Wi-Fi en effectuant un test de débit descendant, un test de débit montant, un test de navigation sur plusieurs sites Internet et un test de streaming vidéo avec trois qualités d’affichage. En fin de test, elle délivre alors un nombre de points reflétant la qualité globale de la connexion. 

Après la version Android, et surtout après une dernière mise à jour remontant à l’été 2019, la version iOS de nPerf évolue à son tour vers une mouture 2.5.0. Voici d’ailleurs les nouveautés et améliorations annoncées par les développeurs :

  • amélioration du moteur de mesures
  • meilleure gestion de la barre de progression pour le chargement / la lecture d’une vidéo
  • résolution d’un bug empêchant parfois la suppression d’un test dans l’historique si vous n’étiez pas connecté avec un compte nPerf
  • résolution de bugs mineurs

L’application nPerf pour Android est à télécharger sur l’App Store.

Classés sous les catégories : Non classé

Smartphones : Bouygues Telecom vous aide à diagnostiquer les dysfonctionnements de nombreux modèles

Dans la section assistance de son site Internet, Bouygues Telecom propose une partie intéressante si vous rencontrez un problème avec votre smartphone.

Bouygues Telecom propose en effet de diagnostiquer les problèmes les plus courants et les plus faciles à résoudre sur un smartphone. Celle-ci est accessible en cliquant sur “Assistance”, puis “Résoudre un problème lié à votre mobile” et “Diagnostic mobile”.

Il faut ensuite sélectionner la marque et le modèle de son smartphone. On y trouve un grand nombre de marques, des plus connues comme Apple, Samsung, Huawei, Sony et Nokia, en passant par des marques moins visibles comme Wileyfox ou MobiWire.


 

On accède ensuite à une page avec les problèmes regroupés dans différentes thématiques (Autonomie et charge, écran, Wi-Fi, Bluetooth et GPS, etc.). Sur la droite, une sélection indique les problèmes les plus rencontrés. Bien vu.

Dans la même veine, Bouygues Télécom propose également des manuels avec des explications étape par étape sous la forme d’animations, pour apprendre à utiliser son smartphone.

Classés sous les catégories : Non classé

Huawei Mate X : le constructeur chinois chiffre les ventes de son premier smartphone pliable

Huawei chiffre les ventes de son premier smartphone pliable. Il s’en est vendu 100 000 par mois depuis le lancement.

Les constructeurs de smartphones ont fini par lancer les premiers modèles pliables à écran souple. Il y a tout d’abord eu le FlexPai de Royole, d’ailleurs récemment rebadgé par le frère de Pablo Escobar, célèbre baron colombien de la drogue. Sont ensuite arrivés le Galaxy Fold de Samsung, le Mate X de Huawei et le RAZR de Motorola.

Avec une technologie qui commence tout juste à arriver entre les mains des utilisateurs, principalement les technophiles comme on s’en doute, l’industrie surveille évidemment de près son accueil et n’hésite pas à lâcher des chiffres pour concrétiser cela. Dans le cadre du salon CES de Las Vegas, Samsung a ainsi indiqué que son Galaxy Fold s’était écoulé à plus de 400 000 exemplaires. Huawei a également lâché l’info, avec 200 000 unités vendues depuis le lancement le 15 novembre, en sachant que la diffusion s’est cantonnée au marché chinois.

Il y a donc un public potentiellement intéressé par ce nouveau form factor. Reste maintenant à peaufiner la copie pour une adoption plus massive. Et il y a encore du chemin à faire. On se souvient en effet que le Galaxy Fold a fait l’objet d’une seconde version et que cette version corrigée était loin d’être parfaite, comme nous l’avions noté durant notre test. Il faudra aussi que le coût de la technologie diminue fortement, avec des smartphones vendus 1 600 voire 2 000 euros et plus. Peut-être le successeur du Galaxy Fold pressenti pour l’événement Unpacked du 11 février, aux côtés des nouveaux Galaxy S, viendra-t-il ajuster les curseurs.

Source : GSMArena

Classés sous les catégories : Non classé

5G : les USA pourraient sanctionner à leur manière les pays utilisant quand même les équipements Huawei

Après l’alerte, la sanction. Les États-Unis pourraient en effet punir, à leur manière, les pays qui utiliseront les équipements réseau Huawei pour le déploiement de la 5G.

Suite à la campagne de boycott des équipements Huawei lancée par les États-Unis, certains pays comme l’Australie, le Japon et Nouvelle-Zélande ont suivi et écarté le géant chinois pour le déploiement de la 5G, mais ce n’est pas le cas de tous. La France, par exemple, a choisi de n’évincer personne, même si chez les opérateurs on émet des doutes à ce sujet. L’Allemagne a aussi refusé l’idée d’écarter Huawei.

Tout le monde n’ayant pas répondu favorablement à l’appel, les USA pourraient ainsi décider d’être plus incitatifs (ou directifs, c’est selon). Le sénateur Tom Cotton a en effet présenté un projet de loi pour interdire le partage de renseignements avec tout pays utilisant les technologies 5G de Huawei.

Pour justifier ce projet de loi, Tom Cotton a déclaré : “Les États-Unis ne devraient pas partager d’informations importantes avec des pays qui permettent à une branche du Parti communiste chinois chargée de la collecte de renseignements d’opérer librement à l’intérieur de leurs frontières”. Il invite ainsi les partenaires des USA à “examiner attentivement les conséquences de traiter avec Huawei sur leurs intérêts nationaux”. La présentation de ce projet intervient alors que le Royaume-Uni doit décider s’il utilisera ou non les équipements Huawei, et alors que Huawei a communiqué sur une progression de son chiffre d’affaires malgré les dommages collatéraux du conflit sino-américain. Il s’agit visiblement d’accentuer la pression.

Source : ZDNet

Classés sous les catégories : Non classé

Réservation des fréquences 5G aux seuls opérateurs télécoms : Orange y voit une stratégie gagnant-gagnant

Pour Orange, le choix de réserver les fréquences 5G aux seuls opérateurs télécoms apparaît comme la bonne stratégie. Les industriels profiteront d’une expertise, tout en faisant des économies sur le déploiement et l’entretien.

Dans une interview accordée au site Industrie Techno, Arnaud Vamparys, vice-président d’Orange en charge de la 5G, revient sur l’attribution des fréquences de la 5G en France et sur le fait que les industriels devront passer par les opérateurs télécoms.

Selon Arnaud Vamparys, le choix du gouvernement et du  régulateur des télécoms de ne pas faire comme l’Allemagne ou le Royaume-Uni, en choisissant de réserver les fréquences 5G aux opérateurs télécoms, apparaît comme le bon. Rappelons en effet que les industriels ne pourront pas acquérir une partie du spectre pour déployer des réseaux privés. Ils devront ainsi passer par Bouygues Telecom, Free, Orange ou SFR, avec des extensions privées de réseaux publics.

Interrogé sur le fait que la possibilité de déployer des réseaux privés fait pourtant partie des grandes promesses de la 5G industrielle, Arnaud Vamparys explique que la création d’un réseau privé pour chaque usine revient à “ouvrir un nouvel opérateur” avec la nécessité de prévoir “des appareils compatibles”, “des bonnes cartes SIM” et “des équipements réseau adaptés”. Sans oublier qu’un ” certain nombre d’objets ne resteront pas que sur le site industriel”, et devront peut-être fonctionner “en dehors de l’atelier ou dans plusieurs usines”.  Arnaud Vamparys y voit une solution chère et plus complexe à mettre en place et à entretenir, plutôt qu’en faisant appel à un opérateur comme Orange qui a un savoir-faire en matière de déploiement de réseau. “Je ne dis pas qu’il ne faut pas de concurrence (…), mais les opérateurs disposent d’un savoir-faire qu’il faudra utiliser”, indique-t-il. Traduction : les opérateurs télécoms y trouveront leur compte, mais les industriels aussi. Une stratégie gagnant-gagnant, en somme.

Si la 5G à un grand potentiel dans l’industrie et si des expérimentations ont déjà lieu, Arnaud Vamparys ne croit pas en son arrivée dans l’industrie en 2020. Il voit “les premières machines industrielles connectées en 5G débarquer en 2021, voire 2022”. Cela s’explique par le “manque d’objets compatibles avec la 5G disponibles sur le marché aujourd’hui”. Et d’ajouter que “les premiers équipements industriels ne devraient apparaître sur le marché qu’en 2021”. Il souligne aussi “le fait que “beaucoup d’industriels vont attendre que les réseaux commerciaux soient lancés”, tout en invitant à ne pas attendre “aussi longtemps pour enclencher la phase de test”.  “Il y a déjà des choses réalisables en 4G et le standard 5G peut être compatible avec la 4G, donc il sera possible de convertir les appareils l’un après l’autre le moment voulu”, explique-t-il.

Classés sous les catégories : Non classé

Abonnés Freebox Delta : l’application mobile Cafeyn (anciennement LeKiosk) se met à jour sur iOS avec une nouveauté

L’application mobile du service Cafeyn, ex-LeKiosk, dont l’abonnement est intégré à l’offre Freebox Delta, se met à jour sur iOS pour apporter une nouveauté.

L’offre Freebox Delta comprend un abonnement au service Cafeyn, anciennement nommé LeKiosk, pour accéder à un grand nombre de journaux et magazines en version numérique sur ordinateur, mais également sur smartphone et tablette tactile grâce à des applications mobiles disponibles sur l’App Store et le Play Store. Parmi eux, il y a notamment L’Équipe, Le Parisien, Sud Ouest, Ouest France, La Voix du Nord, L’Obs, Le Point, Challenges, Marianne, Le JDD, Closer, Paris Match, Voici, Gala, Elle, Vogue, Marie France, Première, Les Inrockuptibles, Auto Plus, L’Auto-Journal, L’Automobile Magazine, L’Argus, Auto Moto, National Geographic, Science & Vie, Sciences et Avenir, The New York Times et Time.

L’application iOS profite justement d’une mise à jour 5.0.4. Les développeurs indiquent une nouveauté, à savoir “une sélection quotidienne de 5 articles pour tenir en éveil votre curiosité, laquelle est “accessible depuis l’écran d’accueil”. Et d’ajouter : “si un article ne vous intéresse pas, faites le nous savoir en glissant la vignette de l’article vers la gauche afin d’affiner votre sélection”.  “C’est un peu comme si vous aviez un journaliste à disposition qui passait en revue toute la presse pour vous proposer le meilleur du meilleur”, concluent-ils.

Classés sous les catégories : Non classé

La Gazette Insolite et Humoristique des abonnés Free

La vie d’un Freenaute n’est pas forcément une longue ligne droite. Elle peut démarrer de façon plus ou moins cocasse et se poursuivre avec des anecdotes parfois insolites. Racontez-nous ça !

Avec “la Gazette Insolite et Humoristique des abonnés Free”, nous lançons une nouvelle chronique où vous avez la parole. Basée sur les retours du lieu d’accueil où nous recevons pour rappel les abonnés afin de les aider, mais également sur vos propres témoignages par e-mail ou par Twitter, elle vous narre les histoires insolites et drôles vécues par des abonnées Freebox et Free Mobile.

Commençons par l’histoire d’une abonnée Freebox Révolution venue au concept store de Nancy. L’abonnée ne comprend pas vraiment ce qui se passe. Alors qu’elle n’a rien fait de spécial, la télécommande du player ne fonctionne plus. Sauf que la prise en main de la fameuse télécommande ne tardera pas à montrer que l’objet n’a pas été traité de la manière la plus douce. Le cache-piles n’est pas enfoncé jusqu’au bout et le revêtement siliconé est mou au niveau de la partie supérieure, là où se trouve le pavé numérique. Étrange. Au moment de retirer le cache-piles, la maltraitance de la pauvre télécommande se confirme. Le cache-piles n’est pas amovible, au contraire du revêtement en silicone. 

Ci-dessous, les photos de la télécommande Freebox Révolution rapportée par l’abonnée 

Puis les photos d’une télécommande Freebox Révolution de la boutique :

En fait, la télécommande a été totalement démontée et… mal remontée. À l’envers, en fait. Ce qui explique la partie molle sous les chiffres, puisqu’on y retrouve l’emplacement pour les piles, au lieu d’avoir la carte électronique. Pas étonnant que la télécommande ne fonctionne pas…

Vous avez une anecdote drôle ou insolite à partager, envoyez-nous ça à l’adresse redaction(AT)universfreebox.com avec comme sujet “la gazette insolite et humoristique des abonnés Free”.

Classés sous les catégories : Non classé

Une vidéo retrace l’histoire des télécommunications depuis les premiers câbles sous-marins télégraphiques

Avis aux curieux. Une vidéo de 3 minutes retrace l’histoire des télécommunications depuis les premiers câbles télégraphiques jusqu’aux câbles à fibre optique.

Une vidéo de quelques minutes publiée sur la chaîne YouTube de RFI est l’occasion découvrir (ou redécouvrir) l’histoire des télécommunications, de la pose du premier câble sous-marin télégraphique dans les années 1850 au déploiement des câbles sous-marins en fibre optique à partir des années 1980, en passant par le développement des premiers satellites de télécommunications au milieu des années 1960. Un déploiement qui a suivi la demande toujours croissante en capacité de communication, notamment au cours des dernières décennies avec l’arrivée du Web.

Classés sous les catégories : Non classé