Auteur : dimitri

Smartphones 5G disponibles chez Free Mobile : lequel choisir avec un budget maximum de 400 euros ?

Univers Freebox vous propose des comparatifs avec les smartphones disponibles dans la boutique Free Mobile. D’ailleurs, que peut-on trouver en ce moment avec la 5G pour 400 euros et moins ? Voici nos suggestions, si vous comptiez renouveler votre smartphone. 

 

Avec un budget de 400 euros : l’Oppo Reno4 5G

Si vous avez un budget de 400 euros en poche, l’Oppo Reno4 5G à 399 euros est aussi élégant et bien fini qu’il est intéressant à l’usage. Compatible 5G, il offre de bonnes performances grâce à son chipset Snapdragon 765G, une charge filaire vraiment très rapide et une interface ColorOS assez complète. Ce smartphone profite bien d’un écran AMOLED, mais pas d’un taux de rafraîchissement élevé pour plus de fluidité, et d’un son agréable à écouter, mais pas stéréo. Quant à l’absence de charge sans-fil, elle se fait vite oublier avec la rapidité de la charge filaire 65 Watts.

Notre test complet du Oppo Reno4 5G


 

Avec un budget de 350 euros : le Samsung Galaxy A42 5G

S’il n’est pas parfait, le Samsung Galaxy A42 5G à 329 euros propose une expérience intéressante sous la barre des 350 euros. On a un écran AMOLED XXL, une connectique mini-jack, une batterie de bonne capacité pour passer la journée sans encombre, une compatibilité réseau 5G et une interface One UI efficace et peu chargée en logiciels préinstallés. Celui-ci en fait revanche l’impasse sur le son stéréo, la charge rapide et la charge sans-fil.

Notre test complet du Samsung Galaxy A42 5G


 

Avec un budget de 300 euros : le Xiaomi Mi 10T Lite 5G

Vous avez un budget de 300 euros maximum ? Le Xiaomi Mi 10T Lite à 299 euros se présente comme un choix intéressant avec son chipset Snapdragon 750G synonyme de 5G, son écran IPS 6,67 pouces FHD+ 120 Hz, sa batterie 4 820 mAh rechargeable en 33 Watts et son capteur photo principal 64 Mégapixels. Sur le même segment tarifaire l’Oppo Reno4 Z n’est pas trop mal loti, mais va moins loin sur la partie photo et la partie charge.


 

Avec un budget de 250 euros : le Xiaomi Redmi Note 9T

Xiaomi entend démocratiser la 5G en la proposant aux budgets serrés au travers de sa famille de smartphones Redmi. Si vous avez un budget maximum de 250 euros, vous pourrez ainsi vous tourner vers le Redmi Note 9T, actuellement affiché à 219 euros et modèle 5G le moins cher de la boutique.

Le Redmi Note 9T propose de bonnes performances en multimédia, un écran bien défini, un stockage extensible par MicroSD, une connectique mini-jack et une interface logicielle MIUI bien fichue. Maintenant, le segment tarifaire oblige à faire des choix. Pas de charge sans-fil, de fort taux de rafraîchissement pour l’écran ou de charge ultra rapide malgré la grosse batterie. En photo, on perd en outre l’ultra grand-angle que proposaient les Redmi Note 8T et Redmi Note 9.

Notre test complet du Xiaomi Redmi Note 9T


 

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Red by SFR : le Big Red de retour, des forfaits 100 et 200 Go à prix cassé

Pas d’engagement, un maximum de data pour l’Internet mobile et des prix cassés, voilà ce que proposent les derniers forfaits mobiles en promotion chez Red by SFR.

La marque de l’opérateur au carré rouge relance son opération Big Red. Jusqu’au 15 avril 2021, elle propose ainsi deux forfaits avec un maximum de data pour l’Internet mobile à des tarifs promotionnels.

Une version 100 Go revient à 13 euros par mois au lieu de 20, tandis qu’une version 200 Go coûte 15 euros par mois au lieu de 25. Pour la partie roaming depuis l’Europe et les DOM, on a des enveloppes respectives de 12 et 15 Go. Les deux forfaits comprennent en outre les appels, SMS et MMS en illimité.

Et chez les rivaux ?

Red by SFR n’est pas le seul dans la bataille autour de la data mobile. Bouygues Telecom, jamais très loin lors de telles promotions, propose quelque chose de similaire avec des forfaits B&You 100 et 200 Go à respectivement 12,99 et 14,99 euros.

Free a une série Free 70 Go à 9,99 euros la première année, avant le passage au forfait Free 5G. Sosh, la marque d’Orange, y va de séries limitées 40 et 80 Go à 12,99 et 15,99 euros, même après un an. Chez Cdisount Mobile, on trouve un forfait 50 Go à 10 euros, pas seulement la première année. NRJ Mobile propose quant à lui un forfait 150 Go à 7,99 euros la première année et un forfait 60 Go à 2,99 euros les six premiers mois. Quant à Auchan Telecom, il affiche un forfait 100 Go à 4,99 euros les six premiers mois et un forfait 40 Go à 6,99 euros par la première année.

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Clin d’oeil : un serveur Freebox Delta, c’est encombrant, un abonné va le payer très cher

Si Free le cherche, il sait où le trouver.

Pour beaucoup, l’arrivée du printemps est l’occasion de désencombrer la maison, en vidant caves, greniers et placards. Un abonné Freebox Delta a visiblement jugé que son serveur ne lui était plus d’aucune utilité et s’en est ainsi débarrassé en même temps que chaises, valises et autres affaires encombrant inutilement son habitation.

L’un de ses voisins a en effet retrouvé l’équipement Free dans la rue et prévenu au passage l’opérateur que ça n’était pas la peine de chercher très loin. Celui-ci n’était d’ailleurs pas en très bon état à en juger d’après les photos accompagnant son tweet.

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Freebox mini 4K : l’opérateur vole au secours des abonnés coincés lors de l’association de la télécommande

Pas toujours facile de faire l’association de sa télécommande Freebox, et apparemment encore plus dans le cas du player Freebox mini 4K. Un QR a en effet fait son apparition sur l’écran d’association de la télécommande sur cet appareil. D’après nos propres constations, il n’apparaît pas sur ceux des players Freebox Pop, Freebox Révolution et Freebox Delta.

Après avoir flashé le QR Code à l’aide du capteur photo de son smartphone ou de sa tablette tactile, l’abonné est renvoyé vers le tutoriel vidéo disponible sur la plate-forme YouTube. Un des nombreux tutoriels vidéo proposés à travers la chaîne de Free.

 

 

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Freebox Pop et mini 4K : que vaut le nouveau service engagé Brut X ?

Le média d’information Brut a lancé sa propre plate-forme SVOD. Baptisée BrutX, celle-ci est disponible sur toutes les Freebox. Petit tour de l’interface du service et aperçu des contenus qu’il propose.

Fondé en 2016 par Guillaume Lacroix, Renaud Le Van Kim et Laurent Lucas, le média en ligne français Brut revendique 300 millions de spectateurs mensuels et ses vidéos ont enregistré 20 milliards de vues au cours de l’année 2020. Il se lance aujourd’hui sur le créneau de la SVOD avec sa plate-forme Brut X. Disponible sur les Freebox Freebox Révolution, mini 4K, Delta + player Devialet, One et Pop pour 4,99 euros par mois, le service mise sur un catalogue incluant des films, des séries et des documentaires, parmi lesquels des contenus originaux. Aujourd’hui, Univers Freebox vous en propose le test sur le player Freebox Pop.

Une interface classique

Classique, voilà ce qui définit le mieux l’interface de Brut X, avec une barre de navigation à gauche, qui peut d’ailleurs se réduire lors de la navigation dans les contenus, et une suite de bandeaux de contenus.

La barre de navigation donne accès à la page d’accueil avec ses bandeaux de recommandation, à un moteur de recherche, au catalogue avec un classement par type de contenus (BrutX Original, série, film, documentaire, court métrage, biopic, etc.), aux contenus favoris et aux paramètres du contenu.

Vraiment dommage de ne pas avoir la recherche avec les commandes vocales. Obligé de passer une saisie au clavier virtuel. On a vu plus confortable.

Des contenus engagés

Qu’il s’agisse des thématiques apparaissant sur la page d’accueil, des synopsis ou même des étiquettes en bas des fiches descriptives (militantisme, transgression, casser les codes, diversité, écologie, etc.), l’engagement en termes de contenus apparaît rapidement. 

Brut X fait en effet la part belle aux contenus autour de la communauté LGBT (“Veneno”) et de la protection de l’environnement (“Trashed, la terre n’est pas une poubelle”). Il y a également des contenus en lien avec la justice (“L’avocat de la terre”), la politique (Ai Weiwie: Never Sorry”) ou les dérives de la société de consommation (“Apocalypse Cow”). Citons aussi le documentaire “Cartels” qui promet de “vous emmener à la rencontre des vrais narcos au Mexique”. Le service s’est lancé avec 500 heures de programmes.

Un lecteur vidéo très dépouillé

Brut X mise sur un lecteur vidéo très dépouillé, présentant simplement une réglette de navigation dans le contenu, utilisable avec les flèches gauche/droite de la télécommande Freebox. La mise en lecture/pause passe par le bouton d’action au milieu des flèches.

Une route dentée donne de son côté accès à quelques paramètres. On peut en effet ajuster la qualité du flux en fonction de sa connexion Internet. Pratique pour ceux ayant une connexion un peu faiblarde. 

Le deuxième paramètre consiste à régler la vitesse de lecture du contenu. Pas vraiment pratique de le trouver à cet endroit-là.

Les paramètres : circulez, il n’y a rien à voir

La section paramètre accessible depuis la page d’accueil sert uniquement à se déconnecter du service. Pour la gestion du compte, il faudra se rendre sur la page Web du service. Autant dire qu’un simple bouton de déconnexion aurait suffi.

L’application, ça coince sur Freebox mini 4K

Le player Freebox mini 4K ayant accès au Play Store, il peut également récupérer l’application Brut X qui y est disponible. Sauf qu’elle ne fonctionne pas, d’après nos constations sur deux players. Au sein de l’application, il est en effet seulement possible de se déplacer verticalement et de revenir en arrière, ce qui ne facilite pas la navigation dans les contenus ou rend impossible l’ouverture de ces derniers.

 


VERDICT

Si Brut X n’est pas critiquable concernant la variété, la quantité et l’engagement de ses contenus, il pêche en revanche au niveau de l’interface, avec des fonctions aux abonnées absentes ou “planquées”. Cette marge de progression concernant l’optimisation de l’application s’illustre parfaitement par le dysfonctionnement que nous avons noté sur la Freebox mini 4K. Si l’application est récupérable sur le Play Store pour ceux voulant passer outre la facturation par Free, elle est tout simplement inutilisable.


 

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NRJ Mobile propose un forfait 150 Go à 7,99 euros

Un max de data à prix cassé, voici ce que propose NRJ Mobile avec l’un de ses derniers forfaits mobiles en promotion. Pas de 5G, par contre.

Jusqu’au 18 avril 2021, NRJ Mobile, désormais dans le giron de Bouygues Telecom, commercialise un forfait mobile sans engagement à 7,99 euros par mois. Le prix passe à 22,99 euros par mois après 12 premiers mois. La carte SIM triple découpe, payable à la commande, coûte 10 euros. Le forfait en question inclut les appels, SMS et MMS en illimité. Pour la partie data, on a une enveloppe mensuelle de 150 Go utilisable en 3G ou 4G, selon la couverture réseau disponible. En roaming, on dispose de 10 Go depuis l’Union européenne et les DOM.

En parallèle, NRJ Mobile propose un forfait mobile sans engagement avec appels, SMS et MMS illimités, ainsi que 60 Go de data, pour 2,99 euros par mois. Le tarif promotionnel est cette fois-ci valable durant 6 mois, avant un basculement à 14,99 euros.

Comme Auchan Telecom et Cdiscount Mobile, la marque NRJ Mobile appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile en France avec 2 millions de clients, récemment devenu filiale du groupe Bouygues Telecom

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Free Mobile : face à la mobilisation contre un pylône, l’opérateur jette l’éponge

Une commune manifestait son opposition face un pylône devant servir à la 3G, 4G et 5G de Free. Le telco a finalement abandonné son projet.

Free avait manifesté fin 2020 son intention d’améliorer sa couverture mobile à Mercuer, un village de 1 200 âmes dans le département de l’Ardèche. Il prévoyait ainsi d’installer des antennes-relais pour sa 3G, 4G et 5G sur un pylône TDF de 30 mètres implanté au lieu-dit Le Chamounard. Fin mars, l’opérateur a toutefois annoncé l’abandon du projet.

Des élus et riverains opposés au projet

Ce changement de cap s’explique par la mobilisation locale. Élus et riverains avaient manifesté leur opposition, par une pétition en ligne et une au format papier, ayant recueilli plusieurs centaines de signatures chacune. Sans oublier l’organisation, le dimanche 3 janvier 2021, d’un rassemblement d’environ 150 personnes par le collectif “Mercuer non à l’antenne” auquel était présent le maire.

Proximité des habitations et d’un clocher classé

Les opposants dénonçaient la proximité des habitations, situées à moins de 100 mètres du lieu choisi. “Il me semble important que le maire protège sa population”, déclarait Céline Boissin, créatrice et porte-parole du collectif. “La maison la plus proche se situe à 50 mètres. On a compté : une trentaine d’enfants pourraient vivre sous ce pylône”, explique-t-elle.

Ils pointaient en outre du doigt la proximité de l’église romane Saint-Loup, datant du XIIe siècle et monument classé du village. “On s’oppose, car ce projet nous semble complètement aberrant. On a tous eu des normes pour nos maisons : les tuiles, l’orientation, etc. qui nous ont coûté cher. Finalement, tout ça, c’est du vent si on met une antenne de 30 mètres de haut”, estimait pour sa part Céline Boissin, donnant comme exemple son voisin ayant été interdit de bitumer un terrain proche de l’église.


(Crédit photo Wikipédia)

Source : Le Dauphiné Libéré

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Free a toujours soif de concurrence et souhaite la bienvenue à Elon Musk et son très haut débit

Free se nourrit de la concurrence et de la remise en question. L’arrivée d’Elon Musk sur le marché de l’Internet très haut débit en France apparaît comme une bonne chose. L’opérateur de Xavier Niel souhaite ainsi la bienvenue à ce nouveau challenger.

En février dernier, l’Arcep a annoncé avoir donné son feu vert à Space X. La société aérospatiale de l’entrepreneur et milliardaire Elon Musk dispose ainsi de fréquences pour proposer Starlink dans l’Hexagone. Pour rappel, cet accès à Internet fixe repose sur une constellation de satellites (42 000 sont prévus). Il a pour objectif de réduire les zones blanches et de couvrir la planète.

Selon le gendarme des télécoms, le service Starlink pourra ainsi utiliser la bande de fréquences 10,95-12,70 GHz (sens espace vers Terre) et 14-14,5 GHz (sens Terre vers espace) pour les terminaux utilisateurs de type paraboles. Ces fréquences servent pour la transmission du signal du satellite vers le terminal de l’utilisateur. Le service prend également appui sur la bande 17,8-19,3 GHz (sens espace vers Terre) et 27,5-30,0 GHz (sens Terre vers espace) pour les passerelles, essentielles au fonctionnement du réseau. Ces fréquences permettront au satellite de se connecter au réseau terrestre. 

Thomas Renaud souhaite la bienvenue à Elon Musk

Invité sur BFM Business et interrogé par Cyrielle HARIEL sur la concurrence potentielle de ce nouvel acteur sur le marché des télécoms, a répondu à l’affirmative le directeur général d’Iliad, la maison-mère de Free et Free Mobile. “Ça fait toujours concurrence”, a-t-il en effet indiqué. Une concurrence d’ailleurs bienvenue, selon Thomas Renaud. “Depuis 20 ans, on se nourrit de la concurrence et on adore la bataille”, a-t-il expliqué. L’occasion d’accueillir chaleureusement ce nouveau challenger. “On adore être bousculé dans nos certitudes, donc on dit bienvenue à Elon Musk sur le marché du très haut débit en France”, a déclaré Thomas Renaud.

Il faudra convaincre les communes

Prochaine étape : convaincre les communes d’accueillir les stations de base, installées au sol et permettant de faire la liaison avec le réseau terrestre. Trois stations ont été autorisées, selon l’Arcep. Il s’agit de celles d’Ornon (en Gironde, près de Bordeaux), de Saint-Senier-de-Beuvron (dans la Manche) et Graveline (dans le Nord). Et les opposants ont déjà commencé à faire entendre leur voix.

Source : BFM Business

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Sabotages d’antennes-relais : un homme interpelé pour plusieurs incendies

Un homme a été interpelé et condamné pour quatre attaques ayant ciblé les antennes-relais de téléphonie mobile. Il plaide un confinement “pas justifié” qui a fini par le rendre “aigri”.

Les sabotages des équipements de télécommunication tels que les antennes-relais de téléphonie mobile et les câbles fibre optique se multiplient en France, occasionnant des dysfonctionnements pour les abonnés et des préjudices financiers pour les opérateurs télécoms. Un classement européen accueillait ainsi la France en troisième position. Un récent rapport du ministère de l’Intérieur recensait quant à lui 174 attaques en l’espace d’un an.

Quatre antennes attaquées, un homme interpelé

Il arrive aussi que les enquêtes aboutissent et que les auteurs présumés des faits soient retrouvés. C’est le cas d’un retraité de La Chapelle-de-Surieu, interpelé le 7 avril dernier à son domicile, après une enquête initiée par la Section de recherches de Grenoble. L’homme de 62 ans était soupçonné d’avoir détruit, en partie par incendie, quatre pylônes de téléphonie mobile en Isère (Pact, Assieu et Chapelle-de-Surieu) et dans la Drôme (Hauterives). Ce sont notamment ses recherches géographiques sur son ordinateur, ses extinctions prolongées de son mobile au moment des faits et sa proximité géographique avec l’un des lieux qui ont notamment permis de le confondre. Les dégâts matériels sont estimés à 103 000 euros.

Se revendiquant proche du mouvement des gilets jaunes et désignant la crise du Covid-19 comme “un mensonge d’État”, “une escroquerie de notre gouvernement qui impose de brûler les corps des personnes décédées pour ne jamais retrouver de preuves”, le sexagénaire a reconnu en partie les faits (3 sur 4) lors d’une garde à vue de 48 heures, tout en soulignant “ne plus être lui-même depuis un an, aigri par un confinement qui n’est pas justifié” et parlant d’“une soupape qui a disjoncté”. L’homme a exprimé un seul regret, celui “que ses actes n’aient pas eu de conséquences sur l’action du gouvernement”.

L’homme a été présenté le 9 avril au tribunal de Vienne. Il a écopé d’une peine de 3 ans de prison avec sursis. Notant que c’est la colère qui l’avait poussé à l’acte, la procureure de la République de Vienne, avait requis 3 ans d’emprisonnement, dont 2 assortis d’un sursis simple, “pour le retenir d’un nouveau passage à l’acte”.

Sources : Le Dauphiné Libéré, Le Parisien et France Bleu

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Fermeture du réseau cuivre d’Orange : 10 millions de foyers n’auront plus accès à l’ADSL d’ici fin 2021

Une page commence à se tourner pour l’opérateur historique avec une première étape dans la fermeture commerciale du réseau cuivre. 10 millions de Français n’y auront plus accès d’ici la fin de l’année.

Ce n’est un secret pour personne. Avec la fibre optique déployée à tour de bras, peut-être un peu trop vite au regard de nombreuses remontées et remontrances, le réseau cuivre vit sa dernière décennie. Xavier Niel, le fondateur de Free, milite d’ailleurs activement pour une fermeture rapide.

10 millions de foyers n’y auront plus accès fin 2021

Fin 2021 annonce une première grosse étape dans ce démantèlement. “Nous avons l’ambition de fermer d’ici la fin de l’année 2021 10 millions de foyers”, a en effet indiqué Nicolas Guérin, lors la conférence de l’Arcep sur les territoires connectés qui s’est déroulée le 4 avril.

Concrètement, pour ces 10 millions de foyers, fibrés et éligibles aux offres FTTH des quatre principaux opérateurs, l’ADSL ne sera disponible commercialement. “La fermeture technique se fera plutôt en 2022”, a d’ailleurs précisé le secrétaire général d’Orange. En septembre 2021, l’opérateur historique compte également présenter un plan détaillé avec les différentes étapes entre 2021 et 2030, année qui doit sonner la fin du cuivre dans l’Hexagone.

Des expérimentations à grande échelle

Orange a mené une expérimentation de démantèlement total, à Lévis Saint Nom, commune intégralement fibrée dans le département Yvelines, en Île-de-France. L’opérateur historique en prévoit d’autres au cours du second trimestre 2021. “Il faut une expérimentation sur une ville plus grande, sans doute en Île-de-France. Il en faut aussi sur des villes où il y a des RIP, en outre-mer et dans des zones où il y a plus d’entreprises”, a en effet expliqué Nicolas Guérin.

Une qualité de service qui doit rester au rendez-vous

Comme son prédécesseur, Laure de la Raudière, la nouvelle présidente de l’Arcep, a toutefois rappelé que le déploiement de la fibre optique et la rentabilité en baisse du réseau cuivre ne doivent pas être des motifs pour délaisser le réseau cuivre et les abonnés pâtir de son mauvais état. Il faut que les clients ADSL “puissent avoir un service de qualité jusqu’à ce qu’on puisse les basculer sur la fibre”, avait-elle alors insisté, dénonçant un “calvaire” pour les abonnés et une situation “inacceptable” à ses yeux.

Source : 01net

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