Auteur : dimitri

Idée confinement : initiez les enfants aux sons des animaux grâce à une application gratuite disponible sur Freebox mini 4K

À l’heure du confinement, il faut trouver des occupations, y compris et surtout pour les enfants si vous télétravaillez. Univers Freebox vous propose ainsi de découvrir une application éducative disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien.

Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K, “Les sons de la faune” est une application qui permet de faire découvrir aux enfants les sons de la faune, les sons de 80 représentants de la faune mondiale.


PS : confinement oblige, nous avons pris les captures avec les moyens du bord

Les enfants entendront ainsi des bruits qui leur sont ou leur deviendront peut-être vite familiers comme le chat, le chien, le pigeon, la vache ou le canard, et d’autres au contraire dont ils se passeront bien comme le moustique.

 

La page d’accueil : vraiment sommaire

L’interface est sommaire. Vous avez le bouton pour accéder à l’ensemble de la collection de sons, le bouton pour accéder à la liste de sons mis en favoris et un bouton pour quitter l’application.

En haut, vous noterez le mode aléatoire à cocher ou non. Il permet de faire défiler les fiches avec les sons dans l’ordre prédéfini ou de manière aléatoire.

La navigation dans l’interface se fait avec les flèches de la télécommande et le bouton OK. On peut également utiliser la manette Freebox avec une navigation passant par la croix multidirectionnelle ou le stick de gauche et une validation à l’aide du bouton 1 ou du bouton 3.

 

Des fiches qui auraient pu avoir quelques infos en plus

Les fiches comportent une photo de l’animal avec son nom juste au-dessus. Le son est lu automatiquement et peut-être réécouté avec le bouton en dédié, en position centrale.

Des boutons précédent et suivant permettent quant à eux de naviguer dans les différentes fiches. En haut à gauche, il y a enfin le bouton pour ajouter la fiche à la liste des sons favoris dont nous parlions plus haut.

Concernant les fiches, dommage qu’elles ne comportent pas quelques petites infos supplémentaires comme le milieu de vie, l’espérance de vie, le régime alimentaire, le poids ou le gabarit. Même si ça n’est pas le but initial, cela aurait été un plus pour une application à vocation éducative.

 

De la publicité en plein écran au programme

L’application est gratuite en contrepartie de la publicité. Sur les 15 premières minutes d’utilisation, nous avons eu deux fois un écran de publicité vidéo en plein écran. Deux vidéos de quelques secondes au moment où nous quittions la navigation dans les fiches. Même si la durée était courte, en termes d’expérience utilisateur, il y a mieux comme format…

 


VERDICT


L’application “Les sons de la faune” se montre simple dans son interface comme dans sa prise en main, ce qui rendra son utilisation aisée pour les enfants. Elle est assez riche en termes de sons.

L’application aurait en revanche pu ajouter quelques informations complémentaires sur chaque animal, pour gagner en consistance. Quant à la publicité, elle aurait pu être mieux intégrée, afin d’éviter l’affichage plein écran, aussi furtif soit-il.

Quoi qu’il en soit, cette application gratuite permettra d’occuper un peu les enfants tout en enrichissant leur culture générale. Bref, à essayer.


 

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Exposition aux ondes : l’ANFR publie le bilan de ses mesures, un seul cas où le niveau n’était pas respecté

C’est l’heure du bilan pour l’ANFR. Le gendarme des ondes en France fait le point sur les mesures de niveau d’exposition réalisées dans le cadre du dispositif national de surveillance. Un seul cas de dépassement a été observé.

Grâce au dispositif national de surveillance de l’exposition aux ondes électromagnétiques mis en place en 2014, l’ANFR (Agence nationale des fréquences) permet à toute personne physique ou morale de faire mesurer gratuitement l’exposition aux ondes électromagnétiques, aussi bien dans un lieu d’habitation que dans un lieu accessible au public. Un reportage vidéo détaillait d’ailleurs la marche à suivre pour demander la mesure.

L’ANFR vient de publier son bilan des mesures réalisées dans le cadre de ce dispositif au cours de l’année 2019, indiquant un nombre de demandes comparables aux années précédentes. Il y en a eu 3 020 en 2020, dont 526 en milieu rural et 2 494 en milieu urbain, 2 059 en intérieur et 961 en extérieur.

Dans 66 % des cas signalés en zone urbaine, la source d’exposition était la téléphonie mobile. La FM et le Wi-Fi représentaient tous les deux 8 % des cas. En zone rurale, la téléphonie mobile est la source d’exposition dans 33 % des cas. Le Wi-Fi arrive derrière, avec 14 % des cas.

Pour l’ensemble des mesures, l’étude révèle un niveau de champ médian de 0,38 V/m (la moitié des résultats obtenus sont inférieurs à cette valeur) et que 90 % des niveaux mesurés sont inférieurs à 1,8 V/m.

Les mesures montrent ainsi des niveaux bien inférieurs aux valeurs limites d’exposition en vigueur. Elles sont pour rappel de 28 V/m pour la radio FM, 30-39 V/m pour la télévision, 36-61 V/m pour la téléphonie mobile, 59 V/m pour la téléphonie sans-fil, 61 V/m pour le Wi-Fi ou un four micro-ondes et 87 V/m pour les ampoules fluocompactes ou le compteur Linky. Le niveau de champ médian est même en baisse par rapport à 2018, où il s’affichait à 0,40 V/m.

“La conformité des niveaux d’exposition constatés vis-à-vis du décret n° 2002-775 du 3 mai 2002 a été déclarée sur tous les sites ayant fait l’objet d’une mesure, à l’exception d’un site, pour  lequel un dépassement théorique des niveaux  de référence après extrapolation a été relevé, provenant de sources émettant à plusieurs fréquences”, indique l’ANFR. Et d’ajouter qu’“une réduction de puissance d’un facteur de plus de 6 a mis fin au dépassement”.

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Samsung parvient à dégager des bénéfices malgré la crise sanitaire

Malgré la crise du coronavirus, Samsung parvient à dégager des bénéfices. Mais ce n’est pas grâce aux smartphones ni aux téléviseurs.

Samsung a communiqué sur ses prévisions financières pour le premier trimestre 2020. De janvier à mars, le géant sud-coréen a ainsi généré un chiffre d’affaires de 41,64 milliards d’euros, en hausse de 5 % par rapport à la même période en 2019, et un bénéfice d’exploitation de 4,81 milliards d’euros, en progression de 2,7 %.

Si Samsung est présent sur les créneaux des smartphones et des téléviseurs, ce ne sont pas eux qui expliquent les résultats en hausse. Le groupe sud-coréen profite en effet de la généralisation du télétravail qui a augmenté les besoins en serveurs, des serveurs pour lesquels il propose justement ses puces. Cette présence dans différents secteurs et le contexte permettent donc à Samsung de compenser une baisse d’activité par une autre. La tendance positive pourrait toutefois ne pas s’inscrire dans la durée. Surtout avec l’impact de la baisse historique notée dans le secteur des smartphones.

Source : BFMTV

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Confinement : un peu d’écran pour les enfants, mais pas trop non plus

Oui, aux écrans pour occuper les enfants durant le confinement. Mais pas à n’importe quelle dose.

Avec le confinement ordonnée sur fond de crise sanitaire, beaucoup se retrouvent à télétravailler avec les enfants dans les parages. La tentation est ainsi grande de les mettre devant les écrans pour avoir la paix, que ce soit devant les documentaires, les applications éducatives, les dessins animés ou les jeux. Surtout si les bambins sont cloîtrés dans un appartement et n’ont ainsi pas un bout de jardin pour se défouler. Orange y va d’une vidéo pour rappeler qu’il convient de ne pas abuser des écrans, surtout chez les très jeunes enfants.

“À chaque âge, son temps d’écrans”, résume l’opérateur. Avant 3 ans, l’usage des écrans est déconseillé. De 3 à 6 ans, il est recommandé de limiter les sessions d’écran à 20 minutes et l’usage cumulé dans la journée (télévision, ordinateur, smartphone et tablette tactile) à 1 heure. Entre 7 et 9 ans, les sessions ne doivent pas dépasser les 30 minutes et le temps d’écrans cumulé les 2 heures. Au-delà de 10 ans, Orange recommande des sessions de 30 minutes et un cumul à la journée variable selon les besoins et le niveau de maturité de l’enfant.

Pour les adultes qui télétravaillent sur écran toute la journée, rappelons qu’une petite pause ne fait pas de mal. Orange a également diffusé une vidéo avec quelques exercices expliqués par un ostéopathe. Il y a notamment l’exercice du pigeon.

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Free Mobile : l’itinérance Orange prolongée, mais améliorée par rapport à ses débuts

Free ne cesse de muscler son réseau mobile grâce au déploiement des antennes 4G émettant sur la bande des 700 MHz. Mais ce n’est pas le seul paramètre qui permet à ses abonnés de se retrouver moins souvent en itinérance sur le réseau 3G Orange avec ses débits bridés. Il y a en effet le réseau dit “208.16”.

L’Arcep a récemment indiqué avoir reçu un avenant pour la prolongation du contrat d’itinérance passé entre Free et Orange, le second apportant pour rappel son réseau 3G là où le premier n’a pas de réseau. Encore 2 ans à composer avec l’itinérance n’ont pas tardé à pester certains. Sauf que l’itinérance a évolué par rapport aux débuts de l’opérateur.

Le réseau 208-16 pour revenir plus rapidement sur le réseau Free

Avec le déploiement des antennes en 700 MHz, une bande de fréquences dite en or, car permettant d’améliorer sensiblement la couverture réseau mobile, les abonnés Free Mobile ont de plus en plus de chances de capter le réseau de leur opérateur et moins de chances de se retrouver sur celui d’Orange avec ses débits désormais bridés à 384 kbit/s. Selon les dernières données de l’ANFR, au 1er avril 2020, Free comptait 15 586 sites 4G en service, dont 14 150 antennes 4G 700 MHz en service.

Et il y a un second paramètre qui peut améliorer grandement l’expérience des abonnés Free Mobile devant encore composer avec l’itinérance Orange : le réseau 208.16 dont nous vous parlions début 2019. Celui-ci vient en effet compléter le réseau 208.15 utilisé depuis le début par Free Mobile. Précisons d’ailleurs que l’infrastructure et le réseau ne changent pas. Seule l’identification du réseau évolue, avec l’usage d’un nouvel alias. Comme une voiture qui changerait de plaque d’immatriculation. Elle reste la même, mais change d’immatriculation.

Comme cela a été constaté, le réseau 208.16 améliore grandement l’expérience en itinérance, avec un fonctionnement différent. Avant, il fallait parfois jusqu’à 30 minutes pour basculer sur une antenne Free après avoir été connecté à une antenne Orange, ce qui pouvait être grandement pénalisant lors de l’utilisation d’un ascenseur ou du passage dans un parking. Avec le réseau 208.16, le laps de temps avant le retour sur le réseau Free se compte en secondes dès la détection d’une antenne de l’opérateur. La donne n’est plus du tout la même. D’autant plus que ce mécanisme concerne tous les sites.

L’itinérance en dernier recours

Mais pourquoi garder l’itinérance, du coup ? Eh bien, elle peut avoir son utilité dans les zones très mal couvertes, voire pas du tout. Surtout face aux oppositions de riverains que nous rapportons régulièrement dans nos colonnes. Des opposants qui oublient parfois qu’ils ont du réseau grâce à l’itinérance Orange et qu’ils n’en auraient plus si l’itinérance prenait fin.

Or, en cas d’opposition, le problème ne vient pas des moyens financiers et techniques, mais de l’allongement des procédures avec des négociations à l’amiable et la recherche d’un nouvel emplacement. Sans oublier la voie judiciaire qui peut repousser d’un an ou plus l’installation d’une antenne.

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Application mobile pour lutter contre le COVID-19 : les opérateurs pourraient être mis dans la boucle

Cédric O, secrétaire d’État au Numérique, et Olivier Véran, ministre de la Santé, donnent davantage de détails concernant l’application mobile sur laquelle travaille le gouvernement afin d’enrayer l’épidémie COVID-19. Elle reposera bien sur le volontariat et sur le Bluetooth.

Comme on le sait, le gouvernement planche sur une application mobile pour enrayer l’épidémie de coronavirus, qui a déjà fait plus de 10 000 morts en France. Un entretien accordé au Monde par Cédric O, secrétaire d’État au Numérique, et Olivier Véran, ministre de la Santé, permet d’en savoir davantage sur l’avancement du projet.

Avec cette application nommée StopCovid, encore à l’état de “phase exploratoire”, il s’agirait uniquement d’utiliser le Bluetooth, moins intrusif que le GPS en termes de vie privée. “Seul le Bluetooth est envisagé”, a en effet indiqué Cédric O. Par ailleurs, les données seraient “anonymes et effacées au bout d’une période donnée”. Stéphane Richard, le PDG d’Orange, a d’ailleurs défendu cette solution, la jugeant “technologiquement très performante, mais en même temps respectueuse des libertés publiques”.

Rappelons d’ailleurs le fonctionnement de cette application. Celle-ci scannerait les autres smartphones équipés de l’application et générait un historique des rencontres stocké de manière sécurisée dans le smartphone. Il s’agirait de pouvoir alerter les personnes croisées dans le cas d’une contamination confirmée 14 jours après la rencontre.

Il reste toutefois la question de son installation, sachant qu’elle doit être massive pour être efficace et que le gouvernement veut la rendre facultative. Et c’est là que les opérateurs pourraient entrer dans la boucle pour communiquer auprès de leurs abonnés pour inciter à l’installation, mais également avec des SMS d’alertes. Si la solution s’annonce performante et respectueuse de la vie privée, les détracteurs soulignent qu’elle laisse sur le banc de touche ceux ne possédant pas de smartphone.

Source : Le Monde via Le Figaro

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Orange fait le bilan du trafic Internet en France “en plein boom depuis le confinement”

Avec l’épidémie de coronavirus et le confinement de la population, les réseaux télécoms sont plus sollicités que d’habitude. Orange donne quelques chiffres pour illustrer la situation.

Dans une vidéo, Orange revient sur la charge des réseaux en ces temps de confinement de la population qui concerne 2,7 milliards d’individus dans le monde. La hausse de charge atteindrait ainsi 70 % dans les pays confinés.

En France, avec le désir de s’informer, la volonté de rester en contact malgré le confinement et le télétravail pour les salariés qui le peuvent, la consultation d’Internet a progressé de 70 %, la fréquentation des réseaux sociaux augmenté de 61 % et le volume des appels vidéo via Skype ou Teams bondi de 50 %. Les appels ont doublé. Orange avait aussi indiqué la semaine dernière un volume d’utilisation augmenté par 5 pour l’application WhatsApp. La vidéo évoque par ailleurs le pic du trafic internet de 1 165 Go/s enregistré le 10 mars 2020, équivalent à 2 millions de vidéos en qualité HD.

À la question “Internet tiendra-t-il face à cette surcharge ?”, la vidéo rappelle le “oui” de Stéphane Richard qui disait les réseaux assez dimensionnés. Elle rappelle aussi que les opérateurs ont déjà élargi la bande passante de 20 % en mars. Fin mars, Orange a annoncé une stabilisation de la situation, notamment après les mesures prises par les plates-formes de streaming vidéo. L’opérateur soulignait par ailleurs un retour au niveau avant-crise pour la quantité d’appels, notamment après la période d’appels passés aux proches pour parler de la situation et s’assurer que tout le monde va bien.

Pour ceux qui sont confinés, rappelons qu’Orange a publié des conseils pour optimiser son réseau Wi-Fi, occuper les enfants afin de télétravailler en paix et préserver son dos pour ceux devant les écrans.

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NRJ Mobile propose un forfait 60 Go en série spéciale avec un smartphone Samsung offert

NRJ Mobile annonce un forfait mobile en série limitée. Celui-ci s’accompagne d’un smartphone offert, en contrepartie d’un engagement.

À côté d’un forfait 50 Go en promotion, NRJ Mobile propose également un forfait en série spéciale jusqu’au 22 avril qui comprend les appels, SMS et MMS en illimité, ainsi que 60 Go de data.

Affiché à 17,99 euros, il est soumis à un engagement de 24 mois, en contrepartie d’un smartphone offert. Notez qu’il faudra payer 10 euros pour la carte SIM triple découpe au moment de la commande.

Pour revenir au smartphone offert, il s’agit du Galaxy A10, un modèle d’entrée de gamme équipé d’un processeur octa-core jusqu’à 1,6 GHz associé à 2 Go de RAM, d’un écran IPS 6,2 pouces HD+ (1 520 x 720 pixels), d’un stockage 32 Go extensible de 512 Go par carte MicroSD, de capteurs photo avant/arrière de 5/13 Mégapixels et d’une batterie 3 400 mAh.

Pour rappel, la marque NRJ Mobile appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile virtuel en France.

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Xavier Niel : son empire et les évolutions lancées par Free en une infographie

Xavier Niel symbolise la démocratisation de l’Internet fixe et mobile avec ses marques Free et Free Mobile. Mais l’homme a créé un véritable empire s’étendant au-delà du simple secteur des télécoms. Petit aperçu.

Selon Forbes, Xavier Niel était la 18e fortune française en 2019 avec 3,6 milliards d’euros. Pour se rendre compte de son empire, l’Observatoire du journaliste a réalisé une infographie retraçant l’évolution de l’empire de Xavier Niel au fur et à mesure de ses lancements et ses acquisitions dans le domaine des télécoms, mais également de ceux des médias, de la formation, des startups, de l’immobilier, de la production de contenus et de la musique en ligne.

Dans le domaine des télécoms, là où tout a démarré, Xavier Niel a notamment crée Worldnet en 1993 qui fût le premier fournisseur d’accès à Internet en France, lancé le fournisseur d’accès à Internet Free en 1999 et donné le coup d’envoi pour Free Mobile en janvier 2012. Xavier Niel détient 70 % d’Iliad, la maison-mère de Free et Free Mobile.

Au-delà des frontières de l’Hexagone, il a racheté 55 % de Monaco Telecom en avril 2014, racheté Orange Suisse devenu Salt par la suite en décembre 2014, acquis 31,6 % d’EIR en 2017 en Irlande et lancé Iliad Italia en mai 2018. A contrario, malgré l’indication sur l’infographie, Iliad a fait une offre à 15 milliards de dollars pour acquérir 56,6 % de T-Mobile US, 4e opérateur mobile, aux États-Unis. Sauf que l’opération n’a pas abouti.

Dans d’autres domaines technologiques, on retrouve Xavier Niel avec l’école d’informatique 42 lancée en 2013, l’incubateur de startup-ups Station F en 2017 et les 15 % détenus dans le service de streaming audio Deezer. À travers le business angel Kima Ventures, Xavier Niel a également soutenu plus de 200 startups à hauteur de 30 %.

Hors technologies, Xavier Niel a investi dans différents médias incluant notamment Rue 89 (2014, à travers le Nouvel Obs), le Monde (2010), Les Cahier du Cinéma (2010), Nice Matin (2019), La Provence (2019) et France Antilles (2020). Il fait également partie des contributeurs de la société des Amis de Mediapart, a investi dans le site Electron Libre et participé au site d’actualité Atlantico à travers le fonds d’investissement Free Minds qu’il détient à 49 %. Toujours dans le domaine du contenu, Xavier Niel détient 6,56 % dans la société de production de contenus Mediawan.

Xavier Niel investit également dans l’immobilier. Citons notamment l’acquisition du Golf du Lys à 2006, l’entrée au capital de l’hôtel L’Apogée en 2013 (50 %), le rachat de l’hôtel de Coulanges en 2016 ou l’acquisition de la partie basse de la Tour Montparnasse en 2019.

Source : Observatoire du journalisme

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Idée confinement : incarnez la mascotte des Linuxiens dans un jeu de plate-forme gratuit disponible sur Freebox mini 4K

À l’heure du confinement, il faut trouver des occupations, y compris et surtout pour les enfants si vous télétravaillez. Univers Freebox vous propose ainsi de découvrir un jeu de plate-forme sympa et disponible gratuitement sur le Play Store de la Freebox mini 4K ou via ce lien.

Disponible sur le Play Store de la Freebox mini 4K, Tux Adventure est un jeu de plate-forme. Comme nom l’indique, vous incarnez Tux, la mascotte de la communauté autour des systèmes d’exploitation Linux. Il vous faudra parcourir les différents niveaux pour en venir à bout, tout en évitant les ennemis et récoltant un maximum de pièces.

L’histoire du jeu : “Il était une fois, il y a très très longtemps, une planète appelée Glace-Otopia. C’était une planète froide entretenue par l’unique espèce qui l’habitait : les Tux. Ils ressemblaient à des pingouins en un peu plus intelligents et utilisaient le ‘Cristal de Glace’ pour geler la surface de la planète. Ce dernier était gardé dans le Palace de Glace, où réside la princesse Penny, de la tribu du Sud. Tout allait bien jusqu’au jour où les « Forces de l’ombre » attaquèrent le cristal et le cassèrent en morceaux. Les différentes pièces furent éparpillées à travers le monde. Certains nobles Tux lancèrent des recherches afin de rassembler toutes les pièces, mais finirent par renoncer face à la tâche immense que cela représentait. Alors que tout espoir avait été abandonné, un héros se fit connaître…”

Notez que la manette est obligatoire, ce qui n’a rien de surprenant pour ce type de jeu. Vous pourrez notamment utiliser la manette de votre Freebox. On peut s’orienter dans l’espace grâce à la croix multidirectionnelle ou au stick de gauche, tandis qu’on saute grâce au bouton 3. Le bouton 1 permet quant à lui la mise en pause. Rien de bien compliqué, même pour un non-joueur.

Dès l’écran d’accueil, le ton est donné. Vous allez évoluer dans un environnement assez enfantin, avec des graphismes simples et hauts en couleur. Sans être extraordinaire, la musique se marie assez bien à l’environnement et ne se révèle pas rapidement fatigante à la longue. Elle se montre même plutôt reposante.

Pour la navigation entre les différents niveaux, on avance dans un environnent en trois dimensions jusqu’à franchir la porte. On peut démarrer le niveau quand celui-ci a évidemment été déverrouillé.

Un cadenas en lévitation devant la porte du niveau vous indiquera si le niveau est bien déverrouillé

La prise en main est facilitée avec le peu de commandes à retenir, mais également parce que les mouvements du personnage sont assez précis. Nous n’avons jamais ressenti un moment de frustration en ayant “pourtant” bien fait le mouvement.

Si les premiers niveaux se passent sans encombre, ça se gâte tout doucement, avec des fossés, des plates-formes au-dessus du vide et des plates-formes en mouvement. Le bon dosage ne donne pas envie de poser la manette et de désinstaller le jeu au bout de quelques niveaux.

Concernant les ennemis que vous allez croiser, ils peuvent vous atteindre en vous touchant avec leur corps ou grâce à des projectiles assez faciles à esquiver.

Notez d’ailleurs que la mort de votre héros n’est pas instantanée avec les ennemis. Elle se fait au bout de deux touches. De plus, vous pouvez retrouver de la vie en collectant des coeurs distillés le long du niveau. En revanche, vous mourrez instantanéement lors d’une chute. Logique.

 


VERDICT

Sans casser trois pattes à un canard – ou à un pingouin, si on se replace dans le contexte -, Tux Adventure est un jeu assez agréable dans l’ensemble. Gratuit, simple à prendre en main, plein de couleurs, gâté d’une musique reposante et avec un peu de difficulté pour pimenter un peu les parties, il peut permettre de tuer le temps en cette période de confinement ou même lors d’un dimanche après-midi pluvieux.  Bref, il pourra occuper les enfants, comme les adultes amateurs de jeux de plate-forme.


 

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