Auteur : dimitri

nPerf : l’application pour tester vos débits 3G/4G/Wi-Fi se met à jour sur Android

L’application nPerf, qui permet de tester ses débits 3G, 4G ou Wi-Fi, se met à jour sur les smartphones Android avec quelques corrections de bugs.

Une mise à jour estampillée 2.6.10 est en effet en cours de déploiement. Une diffusion d’ailleurs progressive, comme nous l’ont indiqué les développeurs de nPerf. Il se peut ainsi que vous ayez à attendre avant de pouvoir la télécharger. Si tout se passe bien, le niveau de diffusion atteindra les 100 % dès demain.

Il s’agit d’une mise à jour correctrice. Celle-ci résout en effet un problème de détection 5G sur certains smartphones Samsung récents, dont ceux de la famille Galaxy S20. Elle traite également quelques problèmes mineurs, dont un se traduisant par le maintien du GPS activé lors du passage en arrière-plan depuis l’écran des cartes de couverture. En effet, le GPS activé par la carte Google ne se désactivait pas dans ce cas précis, ce qui pouvait entraîner une consommation inutile de la batterie.

Disponible gratuitement sur Android et iOS, l’application mobile nPerf permet pour rappel d’évaluer la qualité de sa connexion 3G, 4G ou Wi-Fi en effectuant un test de débit descendant, un test de débit montant, un test de navigation sur plusieurs sites Internet et un test de streaming vidéo avec trois qualités d’affichage. En fin de test, elle délivre alors un nombre de points reflétant la qualité globale de la connexion.

Rappelons enfin qu‘un partenariat entre Univers Freebox et nPerf vous permet de tester vos débits Internet fixe (fibre et xDSL).

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StopCovid : une alternative à l’étude pour ceux n’ayant pas de smartphone

Le gouvernement pense aux Français qui n’ont pas de smartphone pour installer l’application StopCovid et étudie la solution d’un objet connecté.

On le sait, le gouvernement français planche sur une application mobile StopCovid qui utiliserait le Bluetooth pour dresser un historique des rencontres à risques, afin de pouvoir alerter les personnes potentiellement contaminées et de les inviter à effectuer un dépistage. Une solution à propos de laquelle plusieurs spécialistes se sont d’ailleurs prononcés, parmi lesquels le CNNum, la CNIL et l’ANSSI, pour y aller de leurs recommandations en matière de fonctionnement, de respect de la vie privée ou encore de sécurité.

Même si Cédric O, le Secrétaire d’État chargé du numérique, a balayé l’idée d’un seuil minimal et indiqué que chaque téléchargement peut potentiellement sauver des vies, l’application gagnerait en intérêt au fur et à mesure que les installations augmenteraient. Or, le recours au smartphone écarte d’emblée ceux qui ne possèdent pas de smartphone. À nos confrères du Figaro, Aymeril Hoang, expert numérique du Conseil scientifique, a rappelé l’étude d’un objet connecté, mais que celui-ci arriverait dans un second temps, “parce qu’on ne pourra plus toucher à l’algorithme du Bluetooth”. “Ce type d’objet ne devrait pas être disponible avant l’été, tout simplement parce qu’il faudra aussi prendre en compte le temps de la fabrication”, a-t-il indiqué. Et de rappeler, concernant les solutions technologies, “il faut continuer à pratiquer les gestes barrières, à respecter une distance de deux mètres entre les personnes, isoler les personnes à risques”. La technologie fait en effet partie d’une stratégie globale. Rien de magique, comme cela a été rappelé à plusieurs reprises, notamment par Cédric O.

Le gouvernement pourra d’ailleurs compter sur la participation de Withings, le spécialiste français des objets connectés. Celui-ci fait en effet partie de l’équipe-projet StopCovid mise sur pied pour structurer les contributions françaises contre le Covid-19. On y retrouve également l’Inria, l’Inserm, l’Anssi, Capgemini, Dassault Systèmes, Lunabee Studio, Orange et Santé Publique France.

Parmi les autres solutions mises en place dans la lutte contre le coronavirus, rappellons également la plate-forme AlloCovid lancée par l’Inserm et basée sur l’intelligence artificielle. Les questions posées permettront d’orienter les personnes potentiellement infectées et de localiser un foyer infectieux grâce aux codes postaux fournis lors des appels. L’appel est gratuit et le numéro de téléphone détruit.

Source : Le Figaro

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NRJ Mobile propose un forfait 50 Go en promo, sans prix qui change après la première année

NRJ Mobile annonce un forfait mobile 50 Go à prix promotionnel, dont le tarif ne change pas après la première année.

Jusqu’au 4 mai, NRJ Mobile propose en effet un forfait mobile 50 Go sans engagement en série limitée à 10,99 euros par mois au lieu de 15,99 euros par mois. “Et pas seulement la première année”, est-il précisé. Notez le coût de 10 euros, payable à la commande, pour la carte SIM triple découpe.

Dans le détail, le forfait comprend les appels, SMS et MMS en illimité, ainsi que 50 Go de data mobile (débit réduit au-delà). 5 Go sont utilisables depuis l’Europe et les DOM.

Pour rappel, la marque NRJ Mobile appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile virtuel en France. Elle opère sur les réseaux de Bouygues Telecom, Orange et SFR.

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Les Savoirs Free : un peu de culture à propos de l’e-mail que nous utilisons tous les jours

L’opérateur de Xavier Niel vous donne une nouvelle fois l’occasion de briller en soirée grâce à sa série “Les savoirs Free” sur les réseaux sociaux.

À l’heure du numérique, l’envoi ou la réception d’un mail, e-mail, courriel électronique ou courriel, appelez-le comme vous voulez, est devenu une banalité pour la plupart d’entre nous. Certains comme Xavier Niel en écrivent et reçoivent même un très grand nombre par jour.

Mais, au fait, pourquoi l’adresse contient-elle le symbole @, également appelé arobase ? La réponse dans une nouvelle épisode de la série “Les savoirs Free”.

 

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StopCovid : l’ANSSI publie ses recommandations concernant le volet sécurité de l’application

L’ANSSI annonce à son tour ses recommandations pour l’application StopCovid sur laquelle planche le gouvernement pour accompagner le déconfinement. Des recommandations sur l’aspect sécurité qui tournent notamment autour d’un coffre-fort électronique et de la détection des attaques.

Après le CNNum ou la CNIL, c’est au tour de l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) de publier ses recommandations concernant StopCovid, le projet d’application sur lequel planche le gouvernement pour accompagner le début de déconfinement prévu le 11 mai. Cette application utiliserait le Bluetooth pour dresser un historique des rencontres à risques, afin de pouvoir alerter les personnes potentiellement contaminées et de les inviter à effectuer un dépistage.

L’autorité administrative rappelle qu’elle a été intégrée au projet d’application StopCovid pour conseiller l’INRIA sur le volet sécurité numérique. Voici d’ailleurs ses recommandations :

  • Utilisation d’un coffre-fort électronique, matériel ou logiciel, pour protéger de manière robuste sur le serveur central, les informations pseudonymisées envoyées par le téléphone
  • Mise en œuvre sur l’ensemble des composants du dispositif de mesures pour concevoir une architecture sécurisée et permettre le bon fonctionnement du traitement des informations tel qu’envisagé
  • Application de mesures de sécurité visant à se protéger des attaques informatiques de type DDOS
  • Utilisation de mécanismes d’audit de l’imputabilité et de la traçabilité des actions menées sur le système
  • Réalisation d’audits et de contrôles de sécurité réalisés par l’ANSSI tout au long de la conception de l’application.  L’agence recommande également qu’un audit de type  bug bounty soit mené en parallèle. Conçue en mode agile, l’application devra être régulièrement mise à jour par ses utilisateurs
  • Création d’un dispositif de gestion des vulnérabilités pour maintenir  un bon niveau de sécurité de l’application et du serveur central durant toute la durée d’utilisation de l’application
  • Mise en place d’un dispositif de détection des cyberattaques pour réagir au plus tôt en cas de tentatives de compromission du système

Le gouvernement fera sans Apple et Google

Rappelons que le secrétaire d’État chargé du numérique a annoncé au JDD avoir fermé la porte à la solution proposée par Apple et Google pour StopCovid. Cédric O a indiqué une question de “souveraineté sanitaire et technologique”. “Ce que disent les épidémiologistes, c’est qu’il n’y a pas de seuil minimum de téléchargements nécessaire pour que cette application soit utile”, justifiait-il concernant l’utilité de l’application, alors qu’un sondage indiquait des utilisateurs peu enclins à l’installer. Selon lui, “chaque téléchargement est une chance de plus d’éviter le redémarrage de l’épidémie”.

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Coronavirus : Arte détricote la rumeur d’une aubaine pour la 5G

Aux yeux de certains complotistes, le gouvernement profiterait du contexte de crise sanitaire pour déployer tranquillement la 5G.

Au travers d’une vidéo, 28′, le magazine d’actualité d’ARTE, revient sur les origines d’une rumeur selon laquelle le gouvernement utiliserait le contexte de crise sanitaire pour déployer en douce la 5G.

Au départ, il y a la publication au Journal officiel d’une ordonnance prévoyant des aménagements pour des opérateurs télécoms afin de faciliter leur travail au quotidien durant le confinement, à l’heure où les réseaux sont devenus essentiels pour communiquer, télétravailler, étudier et se divertir. La déclaration préalable avant implantation d’une nouvelle antenne n’est temporairement plus obligatoire. Les délais consultatifs non plus.

De fil en aiguille, l’information a été reprise et déformée pour affirmer le fait que le gouvernement utiliserait l’épidémie de coronavirus pour déployer la 5G. Or, l’attribution des nouvelles fréquences aux opérateurs prévue fin avril a été repoussée en raison du contexte sanitaire. L’épidémie COVID-19 a donc plutôt retardé qu’accéléré le déploiement de la 5G en France.

Les thèses complotistes autour de la 5G sont dans les viseurs de YouTube et Twitter qui font ainsi le ménage sur leurs plates-formes respectives. Outre-Manche, elles donnent également lieu à des incendies et des agressions.

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OnePlus 8 : le smartphone haut de gamme testé par Univers Freebox, la même expérience premium, mais avec quelques concessions

Univers Freebox a pu obtenir les smartphones OnePlus 8 et OnePlus 8 Pro. Après le test du modèle Pro, voici comme promis celui de la version standard.

Avant de passer à ce test, voici un rappel des principales caractéristiques du OnePlus 8 qui nous a été prêté par la marque et qui coûte 699 euros en configuration 8/128 Go ou 799 euros en configuration 12/256 Go :

 


Fiche technique du OnePlus 8 : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,84 GHz (chipset Snapdragon 865)
–   Mémoire vive : 8 ou 12 Go en LPDDR4x


–   Écran : dalle AMOLED 6,55 pouces avec une définition Full HD+ (2 400 x 1 080 pixels) 90 Hz
–   Audio : son stéréo produit par le haut-parleur d’appel et un haut-parleur dans la tranche inférieure
–   Stockage : 128 ou 256 Go en UFS 3.0, sans possibilité d’extension par carte MicroSD


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche inférieure
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B12/B13/B17/B18/B19/B20/B25/B26/B28/B32/B66
–   Compatibilité 5G : oui (grâce au modem X55)


–   Triple capteur photo au dos : 48 + 2 + 16 Mégapixels
–   Capteur photo à l’avant : 16 Mégapixels (dans un poinçon en haut à gauche)


–   Prise casque 3,5 millimètres : non
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11 b/g/n/ac/ax
–   Connectivité Bluetooth : version 5.1
–   Support NFC : oui


–   Batterie : 4 300 mAh non amovible
–   Recharge filaire avec le bloc 30 Watts (5V/6A) fourni
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : ROM OxygenOS basée sur Android 10


–   Solutions de déverrouillage : lecteur d’empreintes sous l’écran ou reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : mars 2020


 

Toujours cette sensation agréable en main et ce plaisir pour les yeux

 

Ayant reçu les OnePlus 8 et OnePlus 8 Pro en même temps et dans le même coloris, il nous est parfois arrivé de les confondre. Ils sont en effet assez proches en termes de gabarit (6,55 contre 6,78 pouces) et de poids (180 et 199 grammes). À moins de les avoir côte à côte, le seul moyen de les distinguer à l’oeil, c’est la partie photo à arrière, qui s’étend sur deux colonnes pour le modèle Pro, et sur une seule dans le cas du modèle standard.

Avec le OnePlus 8, on retrouve ainsi l’aspect premium et le toucher agréable notés avec le OnePlus 8 Pro, mais dans un gabarit un peu plus contenu et avec un poids un peu plus léger.

On retrouve également le bloc photo arrière protubérant pouvant gêner selon la façon dont vous tenez le smartphone et rendre le smartphone instable si vous l’utilisez sur une table. Là encore, la coque de protection fournie atténue grandement le désagrément. Transparente, elle ne camoufle pas non plus le joli design du smartphone.

 

Un écran sans encoche et un son stéréo puissant

 

Comme celui du OnePlus 8 Pro, l’écran du OnePlus 8 propose une expérience intéressante avec ses belles couleurs et sa bonne luminosité. Il fait certes l’impasse sur le taux de rafraîchissement 120 Hz du modèle Pro, mais offre déjà une bonne fluidité avec son taux de rafraîchissement à 90 Hz. Il ne propose pas non plus la définition Quad-HD+ du modèle Pro, mais sa définition Full HD+ est amplement suffisante. Depuis les réglages de l’interface, vous pourrez ajuster le calibrage des couleurs (vif, nature ou avancé) et le rafraîchissement (60 ou 90 Hz).

Pas d’encoche ou de mécanisme pop-up pour abriter la caméra frontale. Le OnePlus 8 opte pour un poinçon. Petit et se retrouvant dans le coin inférieur gauche en vidéo ou en jeu, il se fait rapidement oublier. En toute honnêteté, il n’a jamais attiré notre attention durant notre test. On peut toutefois le masquer en créant une bordure noire virtuelle, même cela prive d’une partie de l’écran et n’est pas très esthétique. Pas vraiment d’intérêt, donc.

Comme celui du OnePlus 8 Pro, le son du OnePlus 8 se montre clair, dynamique et puissant. Il manque en revanche un peu de basses. Bref, le son reste propre, mais pas bluffant. Toujours au chapitre audio, oubliez le mini-jack, aux abonnés absents.

 

Une partie photo qui devrait satisfaire le plus grand nombre

 

Comme pour le test du OnePlus 8 Pro, les mesures actuelles de confinement ont évidemment limité nos tests photo en extérieur. Globalement, l’expérience se révèle intéressante, avec des clichés de jour et de nuit largement exploitables, au-delà de la simple publication sur les réseaux sociaux. La partie photo du OnePlus 8 devrait couvrir la grande majorité des situations et satisfaire le plus grand nombre.

Une photo de jour en extérieur, puis sa version ultra grand-angle et sa version zoomée (x2) :

Une autre photo de jour en extérieur, puis sa version ultra grand-angle :

Une autre photo de jour en extérieur, puis sa version zoomée (2x) :

Une photo de nuit en extérieur, puis sa version corrigée par le mode dédié, avec du bon boulot au niveau de la verdure et des lampadaires :

Un effet de flou d’arrière-plan réalisé en intérieur (avec notre petit robot qui fait encore des acrobaties) :

Deux selfies pris en intérieur :

 

Au programme : 4G 700 MHz et 5G

 

Autre chapitre de ce test impacté par le contexte de confinement : celui des débits. En raison des déplacements limités, nous n’avons pu réaliser beaucoup de tests de débit. Sans compter l’impossibilité de tester la 5G, faute de réseau disponible.

Ci-dessous, un test réalisé en intérieur :

Et deux tests réalisés en extérieur :

 

 

De la fluidité, en veux-tu, en voilà

 

Comme le OnePlus 8 Pro, le OnePlus 8 s’équipe de la plate-forme Snapdragon 865 de Qualcomm, avec son processeur octa-core 2,84 GHz, et d’un stockage UFS 3.0. La navigation dans l’interface se révèle ainsi très fluide, tandis que les jeux comme Aphalt 9 ou Call of Duty sont des formalités. Là encore, une chauffe était rapidement perceptible, mais pas désagréable. Vous savez simplement que ça s’active à l’intérieur.

Dans AnTuTu, le OnePlus 8 se retrouve en haut, aux côtés des Galaxy S20 de Samsung. De son côté, l’outil Disk Speed indique 1,2 Go/s en lecture et 543 Mo/s en écriture pour la mémoire de stockage interne, ce qui explique les installations très rapides et les chargements très rapides pour les grosses applications.

 

Une autonomie confortable et une charge très rapide

 

La batterie du OnePlus 8, un modèle 4 300 mAh, permet de tenir un peu plus d’une journée sans se priver et même d’aller vers les deux jours pour les moins gourmands.

Ci-dessous, deux exemples d’utilisation :

(1er cas) : Départ à 8h42 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 8h15 avec 12 % :

– 60 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 50 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 10 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– Consultation et alertes Twitter
– Consultation et alertes Gmail
– Alertes Facebook
– Surf sur Internet
– 9 téléchargements, dont 3 gros
– Photos
– Tests de débits
– Benchmarks

(2e cas) : Départ à 9h13 avec 100 % et arrivée le lendemain à 21h21 avec 18 % :

– 2 heures de jeu avec le son du smartphone
– 1 heure et 25 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 35 minutes de streaming audio avec le son du smartphone
– 10 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– Consultation et alertes Twitter
– Consultation et alertes Gmail
– Alertes Facebook
– Surf sur Internet
– 25 mises à jour d’applications
– Photos

Le OnePlus 8 propose de la charge 30 Watts, mais uniquement en filaire, contrairement au OnePlus 8 Pro qui le propose également en sans-fil. Et ça ne traîne pas, puisqu’on récupère dans les 10 % toutes les 5 minutes.

Ci-dessous, un suivi de charge :

– 22h37 : 17 %
– 22h42 : 28 %
– 22h47 : 41 %
– 22h52 : 52 %
– 22h57 : 63 %
– 23h02 : 73 %
– 23h07 : 83 %
– 23h12 : 90 %
– 23h17 : 94 %
– 23h22 : 97 %
– 23h27 : 99 %
– 23h29 :  100 %

 

Une interface basée sur Android 10

 

L’interface OxygenOS du OnePlus 8 repose sur Android 10.

Elle contient quelques applications issues de partenariats commerciaux : Facebook, Messenger, Instgram ou Netflix. Seule la quatrième ne peut pas être désinstallée.

La partie logicielle propose également quelques fonctions pratiques comme :

–  Le mode lecture
–  Le mode zen pour un moment de déconnexion (20, 30, 40 ou 60 minutes)
–  Le choix entre la navigation dans l’interface avec les boutons ou la gestuelle
–  La gestion avancée des gestes (la mise en silencieux en retournant le smartphone, la capture d’écran à trois doigts, la reconnaissance des lettres sur l’écran éteint, etc.).

–  Et toujours le basculement pratique entre les modes mode sonnerie, vibreur et silencieux grâce au bouton coulissant sur la tranche droite (Alert Slider)

Grâce à une mise à jour intermédiaire diffusée en OTA et pesant 412 Mo, nous sommes passés des patchs de sécurité de février 2020 à ceux de mars 2020.

Parlons enfin des deux solutions de déverrouillage proposées par le OnePlus 8, à savoir la reconnaissance faciale et le lecteur d’empreintes digitales sous la dalle. Aucun problème d’enregistrement. Aucun raté. Aucune attente. Un sans-faute durant nos tests.

 


VERDICT


Le smartphone OnePlus 8 se présente comme une version moins onéreuse du OnePlus 8 Pro en contrepartie de quelques concessions. Des concessions que les moins technophiles seront probablement prêts à faire, avec une version non-Pro faisait l’impasse sur des aspects pas forcément essentiels comme l’affichage 120 Hz ou la recharge sans-fil, mais gardant la 5G.

Moins onéreux ne signifie pas pour autant attractif, puisqu’on parle d’un smartphone à 699 ou 799 euros. Pour ça, peut-être faudra-t-il attendre une potentielle version Lite qui a fait l’objet de rumeurs en amont de l’annonce des OnePlus 8 / OnePlus 8 Pro et qui pourrait arriver un peu plus tard dans l’année.


 

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Opposés à l’arrivée d’une antenne Free, des riverains réclament l’arrêt des travaux

Énième levée de boucliers face à l’arrivée d’une antenne-relais de téléphonie mobile. Au motif de risques pour la santé et d’une pollution visuelle, des riverains demandent l’arrêt des travaux et le choix d’un autre emplacement.

Certains sont heureux de l’arrivée d’une antenne, et d’autres non. Rendez-vous dans la commune de Calamane, près de Cahors, dans le département du Lot, en région Occitanie, où un collectif de riverains s’oppose à l’arrivée d’une antenne-relais de téléphonie mobile devant être utilisée par Free. Une pétition “Non à une antenne-relais au Mas Delleu Calamane (46)” a d’ailleurs été lancée sur Change.org. L’installation doit prendre place sur un terrain acquis il y a quelques années par la mairie.

Rassemblés sous le collectif “Ondes positives”, des habitants du lieu-dit Mas Delleu refusent l’installation qui se traduirait par un pylône de 30 mètres. Ils dénoncent les risques sanitaires pour les enfants et les séniors, notant une “proximité immédiate d’habitations (NDRL : moins de 80 mètres des premières habitations)”, et la pollution visuelle pour un hameau “composé de constructions traditionnelles ayant un intérêt patrimonial et l’espace naturel qui l’entoure”. Les riverains dénoncent également le fait de ne pas avoir été prévenus et avoir découvert les travaux lors de la pose de la dalle en béton. “Nous avons constaté que des travaux en vue de l’installation d’un pylône antenne-relais, pour l’opérateur Free, ont été entrepris sans aucune information ni concertation de la part de la mairie“, déplore Claudine Liarsou, porte-parole du collectif.

Disant comprendre “la nécessité d’une couverture du réseau de téléphonie mobile de qualité”, les opposants réclament ainsi l’arrêt des travaux et le choix d’un autre lieu garantissant “la santé et le bien-être de tous”, ainsi que le respect des paysages. Ils soulignent que “d’autres lieux respectueux des habitants et de la nature sont possibles”. Interrogé à ce sujet, Jean-Paul DUJOL, le maire de la commune de Calamane, n’a pas souhaité commenter afin de ne pas alimenter la polémique.

Source : Actu.fr

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Traçage pendant l’épidémie : la CNIL y va aussi de son “oui, mais” concernant l’application du gouvernement

La Commission nationale de l’informatique et des libertés a rendu son avis concernant StopCovid, le projet d’application mobile sur lequel planche le gouvernement pour aider à enrayer l’épidémie de coronavirus.

Comme le CNNum, la CNIL a été saisie par Cédric O, le secrétaire d’État chargé du numérique, pour donner son avis concernant le projet d’application StopCovid devant être débattu cette semaine à l’Assemblée nationale et au Sénat, afin de pouvoir accompagner le début de déconfinement prévu le 11 mai.

Pour rappel, l’application utiliserait le Bluetooth pour dresser un historique des rencontres à risques, afin de pouvoir alerter les personnes potentiellement contaminées et de les inviter à effectuer un dépistage.

Une application conforme

Dans son avis publié ce week-end, la CNIL déclare ainsi le projet d’application mobile StopCovid “conforme au Règlement général sur la protection des données”, compte tenu d’une utilisation reposant sur le volontariat et de garanties apportées par le gouvernement, avec une application utilisant des pseudonymes et ne permettant pas de remontée de listes de personnes contaminées.

Là encore, un “oui, mais”

La CNIL rappelle que l’application doit être déployée seulement si “son utilité est suffisamment avérée” et si elle fait partie d’une “stratégie sanitaire globale”. Elle invite à ne pas céder à “la tentation du solutionnisme technologique”. Est d’ailleurs rappelé que l’efficacité dépendra de la disponibilité dans les boutiques applicatives telles que l’App Store et le Play Store, d’une installation massive par le grand public et d’un bon paramétrage. Pour l’installation massive, ça semble d’ailleurs plutôt mal parti

L’autorité administrative insiste outre cela sur le fait qu’il doit y avoir la notion de volontariat, mais sans “conséquence négative en cas de non-utilisation”, que ce soit concernant “l’accès aux tests et aux soins” ou “l’accès à certains services à la levée du confinement, tels que les transports en commun”.

Après analyse du protocole technique, l’autorité administrative note par ailleurs que l’application “traitera bien des données personnelles et sera soumise au RGPD”. Elle veut d’ailleurs éviter certains risques comme la “banalisation” d’une application de suivi des contacts. L’usage d’une telle application doit en effet rester contextuel et temporaire. La conservation des données doit elle aussi rester temporaire.

Un avis après le débat au Parlement

La CNIL a demandé à pouvoir se prononcer lorsqu’elle aura toutes les cartes en main. Elle veut pouvoir le faire “après la tenue du débat au Parlement, afin d’examiner les modalités définitives de mise en œuvre du dispositif, s’il était décidé d’y recourir”. L’autorité rappelle que l’ensemble des précautions et garanties favorisera “la confiance du public dans ce dispositif, qui constitue un facteur déterminant de sa réussite et de son utilité”.

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Smartphones disponibles chez Free Mobile : lequel choisir si vous avez un budget de 300 euros ?

Univers Freebox vous propose régulièrement des comparatifs avec les smartphones disponibles dans la boutique de Free. D’ailleurs, que peut-on trouver dans la boutique en ce moment pour 300 euros et moins ? Voici nos suggestions selon vos critères et besoins, si vous comptiez renouveler votre smartphone. 

 

Samsung Galaxy A51 à 299 euros : celui pensé pour séduire le plus grand nombre

Avec le Galaxy A51, Samsung a visiblement décidé de satisfaire le plus grand nombre et n’a pris aucun risque. Joli design, usage fluide, écran plus que satisfaisant, son agréable à écouter, mini-jack, slot MicroSD dédié, support de la 4G 700 MHz (B28), gestion dual-SIM, polyvalence en photo, bonne autonomie et dernière version d’Android, difficile de lui reprocher quelque chose. Nous avions trouvé la proposition très intéressante à 379 euros. Désormais affichée à 299 euros chez Free, elle gagne en intérêt.

Le test complet du Samsung Galaxy A51


 

Honor 20 : un autre modèle intéressant en ce moment

À 299 euros (au lieu de 349 euros), le Honor 20 est une belle proposition. Cet ancien modèle haut de gamme offre un joli design, un bel écran, un son propre (mais manquant un peu de patate), de belles photos, une 4G rapide (avec le support de la B28), une charge rapide, des solutions de déverrouillage très efficaces et une interface très complète. Celui-ci ne souffre à vrai dire d’aucun défaut majeur. Peut-être l’absence du mini-jack et de la recharge sans-fil, si ce sont des éléments qu’on juge indispensables.

Le test complet du Honor 20

 


Redmi Note 8T à 179 euros : le meilleur compromis pour les petits budgets

Beau design, grand écran Full HD+, quadruple capteur photo, performances suffisantes pour jouer dans de bonnes conditions, grosse batterie et charge rapide, le Redmi Note 8T ne manque pas d’arguments pour séduire. Il est, à nos yeux, une référence sur son segment tarifaire. Bons points enfin si vous êtes abonnés Free Mobile : le Redmi Note 8T s’annonce compatible B28, gérant donc la 4G 700 MHz chère à l’opérateur, mais profite également de la technologie 256QAM récemment activée et boostant les débits. À 199 euros, il se présentait déjà comme un excellent compromis pour les petits budgets. Affiché à 179 euros en ce moment, on ne peut que le recommander.

Le test complet du Redmi Note 8T


 

Wiko View 3 Lite à 109 euros : pour les budgets très serrés

Récemment passé 129 à 109 euros, le Wiko View 3 Lite est devenu encore plus intéressant si vous avez un budget très limité. Il est actuellement le smartphone le moins cher sur la boutique de Free Mobile. Il offre un grand écran 6,1 pouces, supporte la 4G 700 MHz (B28) et propose une autonomie intéressante grâce à sa batterie 4 000 mAh, mais il faudra faire quelques concessions au niveau des performances, de la photo et de la vitesse de charge.

Le test complet du Wiko View 3 Lite


 

Apple iPhone 7 à 279 euros : si vous préférez l’écosystème de la pomme

Si vous avez une préférence pour iOS, il y a l’iPhone 7 en ce moment disponible à 279 euros. Vous aurez un smartphone 4,7 pouces, des photos en 12 Mégapixels et l’accès à la dernière version du système d’exploitation d’Apple. Notez qu’on parle d’un modèle reconditionné, en partenariat avec Recommerce. D’occasion, donc.


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