Auteur : dimitri

En permettant le télétravail, les réseaux ont contenu la baisse de productivité durant le confinement

Le confinement de la population sur fond de crise sanitaire a entraîné le recours massif au télétravail. Ce mode de travail a été permis grâce au bon fonctionnement des réseaux martelé par les opérateurs. Il a ainsi limité la baisse de productivité.

Voilà en tout cas ce que révèle une étude du cabinet de conseil Valoir concernant le travail à distance durant le confinement de la population. Selon les réponses données, la baisse de productivité était estimée à 1 % en moyenne. Elle se révélait plus grande dans le cas d’un travailleur entouré par des enfants (2 %). Celle-ci se révélait aussi plus forte pour un travailleur isolé, sans enfant ou autre adulte (3 %).

Les personnes questionnées ont révélé les principales sources de distractions que sont notamment les réseaux sociaux (32 %) où elles passent en moyenne 2,3 heures par jour, les enfants (24 %) et les autres adultes (18 %). Il y a également les animaux de compagnie et la nourriture à disposition. Concernant les plages horaires de travail, les personnes interrogées ont indiqué n’avoir pas changé leur habitudes. La journée moyenne s’établit d’ailleurs à 9,75 heures, débutant en moyenne à 8h15 et terminant en moyenne à 18h00.

D’après les réponses données, même si pour certains il a fallu un temps d’adaptation, les salariés semblent avoir plutôt bien vécu ce télétravail imposé par la situation exceptionnelle. Moins de 5 % ont mal noté leur entreprise concernant la mise en place de ce mode de travail et plus de 40 % aimeraient du télétravail à plein temps à l’avenir. Un chiffre indique d’ailleurs que les entreprises vont devoir s’emparer davantage du dossier. 3 % d’une journée de travail concernaient en effet des questions liées aux technologies mises en oeuvre pour ce mode de travail.

Source : ZDNet

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Clin d’oeil : le Canard Enchaîné trouve d’autres coupables

Le Canard Enchaîné rappelle que l’ultragauche n’est pas le seul coupable à envisager lors des dégradations d’équipements télécoms. En effet, d’autres coupables ont déjà été identifiés.

Dans un article intitulé “Allosabotage à votre service”, l’hebdomadaire satirique est revenu sur les sabotages en série touchant les équipements télécoms, dont celui ayant entraîné une panne massive en Île-de-France. Si les enquêteurs étudient la piste de groupuscules radicaux d’extrême gauche, tout en indiquant l’absence de revendications et la difficulté à identifier les auteurs des méfaits, le palmipède note de son côté que les cas de dégradations ont déjà révélé d’autres coupables.

Le Canard enchaîné rappelle en effet que les dégradations peuvent également être causées par des complotistes faisant le lien entre la 5G et le Covid-19, des techniciens maladroits, des sous-traitants malhonnêtes en manque d’activité ou encore par des voleurs de câbles. Le quotidien s’interroge également sur la radicalisation de ces rats amateurs d’amidon et mangeurs de câbles. Ceux-ci avaient notamment posé des problèmes à la mairie de Poitiers. Pour le Canard enchaîné, la réalité est “complexe” et il faudrait regarder au-delà d’une ultra gauche luttant contre des équipements servant le capitalisme, avec la possibilité de télétravail qui permet aux entreprises de continuer à fonctionner, ou facilitant la surveillance de masse.

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Iliad a poursuivi sa progression en Italie malgré la crise et se dirige vers les 6 millions d’abonnés

Malgré une crise sanitaire ayant ralenti le déploiement de son réseau mobile et impacté ses performances commerciales, la filiale italienne d’Iliad a poursuivi sa belle progression. Elle approche désormais les 6 millions d’abonnés.

Iliad vient de publier les résultats financiers de sa filiale italienne pour le premier trimestre 2020. Celle-ci a ainsi enregistré un chiffre d’affaires de 150 millions d’euros, en hausse de 85,7 % par rapport au premier trimestre 2019 où il était question de 81 millions d’euros.

Durant la période, marquée par le confinement de la population sur fond de crise sanitaire et par des offres agressives de la part des concurrents, Iliad a enregistré 525 000 recrutements nets en Italie par rapport à fin 2019 où il comptait près de 5,3 millions d’abonnés pour arriver fin mars 2020 à un total de 5,8 millions d’abonnés. Le bond est encore plus flagrant lorsque l’on compare avec le nombre d’abonnés il y a un an, à savoir 3,3 millions. En Italie, la maison-mère de Free et Free Mobile détient ainsi plus de 7 % de parts de marché dans le mobile.

Iliad souligne que la forte présence en ligne a permis de compenser la mise en veille du réseau de distribution physique et de limiter le ralentissement de sa progression. Iliad note également que l’ensemble de ses boutiques sont à nouveau opérationnelles et ouvertes au grand public, mais s’attend à un retour à la normale progressif.

En parallèle, Iliad a poursuivi le déploiement de son réseau mobile en Italie. Sur les quatre premiers mois de l’année, près de 900 sites ont été ajoutés. À fin avril, le réseau comptait ainsi plus de 2 900 sites actifs et 5 000 sites équipés. Fin mars, il  comptait pour rappel 2 737 sites actifs.

Iliad souligne d’ailleurs que la poursuite du déploiement de son réseau en Italie a permis d’absorber une partie de la progression du trafic découlant des mesures de confinement dans le pays. L’objectif d’arriver à environ 5 000 sites actifs d’ici la fin de l’année reste d’actualité. Tout comme celui d’avoir déployé 10 000 à 12 000 sites à fin 2024.

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Iliad-Free fait le point sur l’ensemble de ses initiatives de solidarité pendant la crise et dévoile d’autres gestes

En période de crise sanitaire et de confinement de la population, Iliad a multiplié les gestes de solidarité. La maison-mère de Free et Free Mobile fait aujourd’hui le point sur ses initiatives en France, mais également en Italie.

Les initiatives mises en oeuvre par le groupe Iliad touchent ses collaborateurs, partenaires et abonnés, mais pas seulement. Elles concernent en effet le personnel soignant, l’éducation nationale, les personnes âgées et la population de manière plus générale.

En France, Iliad rappelle qu’il a évité le recours au chômage partiel et maintenu ses promesses d’embauche, qu’il a réglé sans délai plus de 90 millions de factures en cours à ses partenaires et créé le fonds d’investissement solidaire Solid-19. Il a par ailleurs enrichi temporairement son forfait à 2 euros (20 fois plus de data et 2 fois plus de voix), augmenté le débit 4G à 1 Mbit/s au-delà de l’enveloppe data pour les abonnés à 50, 60 ou 100 Go et mis au clair 42 chaînes de son bouquet Freebox TV. Sa filiale italienne a, de son côté, maintenu les promesses d’embauche, réglé plus de 20 millions d’euros de factures pour soulager les trésoreries des partenaires et augmenté la quantité de data de son offre à 4,99 euros par mois, passée ainsi de 40 Mo à 10 Go.

Iliad a également fait de autres nombreux gestes, dont certains n’ont pas été communiqués jusqu’à présent. On peut citer un don de 250 000 euros à ProtegeTonSoignant, la priorisation des interventions dans les établissements de santé et aux domiciles des abonnés personnels soignants, la mise à disposition des solutions de visioconférence basée sur Jitsi pour les professionnels et le grand public, le partenariat avec la Croix Rouge pour la mise en place de cellules d’écoute à destination des personnes âgées ou encore le soutien du projet “Visière Solidaire” pour la production de visières imprimées en 3D.

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5G : l’attribution des fréquences ne doit pas tarder, selon Free

Alors que l’attribution des fréquences 5G en France a dû être reportée sur fond de crise sanitaire, Thomas Reynaud, directeur général du groupe Iliad, maison-mère de Free Mobile, rappelle que les choses ne doivent pas trop traîner.

“Un report trop lointain fera prendre du retard à notre pays, ce n’est pas une bonne chose”, a résumé Thomas Reynaud, directeur général d’Iliad, en parlant de la 5G. Ce mardi, jour de la publication des résultats financiers de la maison-mère de Free, il a évoqué le cas de la 5G et indiqué que le processus d’attribution des fréquences doit reprendre “au plus tôt”

Il s’agit de “répondre à la forte demande des Français pour une meilleure connectivité” à laquelle la 5G est “une partie de la réponse”, comme l’a été la fibre optique. Selon Thomas Reynaud, les deux mois de confinement ont d’ailleurs montré la nécessité d’avoir des réseaux performants, avec des consommations en fortes hausses (+ 20 % pour la data mobile et + 50 % pour la voix mobile). Mais il s’agit également d’éviter que la France ne prenne du retard dans le déploiement de cette nouvelle technologie “importante pour la compétitivité”, la compétitivité du pays comme celle de ses abonnés.

Rappelons que l’attribution des fréquences 5G comporte deux phases. Après instruction des dossiers déposés par les quatre opérateurs, l’Arcep a conclu le 31 mars à leur qualification. Ils peuvent ainsi obtenir un bloc de 50 MHz pour 350 millions d’euros et participer à la phase d’enchères. Les enchères pour l’attribution de 11 blocs de fréquences ont été repoussées sur fond de crise sanitaire et l’Arcep prévoit deux scénarios. “Le premier serait de pouvoir conduire les enchères à la fin du mois de juillet et le deuxième ce serait en septembre”, avait en effet indiqué le gendarme des télécoms, lors de son audition par la Commission de l’aménagement du territoire et du développement (Sénat).

Source : Le Figaro

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Smartphones disponibles chez Free Mobile : lequel choisir si vous avez un budget de 250 euros ?

Univers Freebox vous propose régulièrement des comparatifs avec les smartphones disponibles dans la boutique de Free. D’ailleurs, que peut-on trouver dans la boutique en ce moment pour 250 euros et moins ? Voici nos suggestions selon vos critères et besoins, si vous comptiez renouveler votre smartphone. 

 


Redmi Note 8 Pro : si vous avez le budget maximal de cette sélection

À 250 euros, le Redmi Note 8 Pro est une belle proposition. Il offre un bel écran, un son clair et puissant, de bonnes performances en jeu grâce à son chipset Helio G90T taillé pour le jeu mobile, une certaine polyvalence en photo grâce à son quadruple capteur 64 + 8 + 2 + 2 Mégapixels, une autonomie confortable avec une batterie 4 500 mAh, une charge rapide avec son bloc 18 Watts et une interface logicielle assez complète. Il y a aussi ces écouteurs de bonne facture.

Le test complet du Redmi Note 8 Pro


 

Redmi Note 8T à 199 euros : le meilleur compromis pour les petits budgets

Beau design, grand écran Full HD+, quadruple capteur photo, performances suffisantes pour jouer dans de bonnes conditions, grosse batterie et charge rapide, le Redmi Note 8T ne manque pas d’arguments pour séduire. Il est, à nos yeux, une référence sur son segment tarifaire.

Le test complet du Redmi Note 8T


 

Le Nokia 6.2 : le smartphone Android One à 199 euros

Avec le Nokia 6.2, la marque propose une expérience convenable sur le créneau des 200 euros avec un grand écran loin d’être désagréable, une expérience photo correcte (en gardant à l’esprit le positionnement tarifaire) et une journée d’autonomie atteinte sans se restreindre. Il a comme gros atout sa certification Android One annonçant à l’utilisateur une partie logicielle à jour. Notez également la présence du mini-jack et de l’USB-C. 

Le test complet du Nokia 6.2


 

L’Alcatel 1S 2020 à 99 euros

Récemment arrivé dans la boutique de Free Mobile, l’Alcatel 1S 2020 est le smartphone le moins cher parmi ceux actuellement disponibles. Sous Android 10, il propose un processeur octa-core 1,8 GHz avec 3 Go de RAM, un écran IPS 6,22 pouces HD+, un stockage 32 Go extensible par MicroSD, un triple capteur photo 13 + 5 + 2 Mégapixels à l’arrière, un capteur 5 Mégapixels pour le selfies et une batterie 4 000 mAh. On a donc la dernière version de l’OS mobile de Google avec la promesse d’une bonne autonomie. Il faudra évidemment faire des concessions en termes de performances et de photo.

 


 

Apple iPhone 7 à 199 euros : si vous préférez l’écosystème de la pomme

Si vous avez une préférence pour iOS, il y a l’iPhone 7 en ce moment disponible à 199 euros. Vous aurez un smartphone 4,7 pouces, des photos en 12 Mégapixels et l’accès à la dernière version du système d’exploitation d’Apple. Notez qu’on parle d’un modèle reconditionné, en partenariat avec Phone Recycle Solution (PRS). D’occasion, donc.


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Les Savoirs Free : un peu de culture sur l’histoire de la téléphonie mobile

L’opérateur de Xavier Niel vous donne une nouvelle fois l’occasion de briller en soirée grâce à sa série “Les savoirs Free” sur les réseaux sociaux.

La vidéo du jour nous parle de téléphonie mobile. Elle nous rappelle en effet que le premier appel cellulaire remonte à plusieurs décennies. L’occasion aussi de nous remémorer le fait que les terminaux mobiles n’ont pas toujours été aussi légers. Un kilo, ça fait sacrément lourd dans la poche…

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Le titre d’Iliad bondit en Bourse après l’annonce de résultats très solides

Les signaux continuent d’être au vert pour Iliad. La maison-mère de Free et Free Mobile voit ainsi son titre à nouveau grimper à la Bourse après l’annonce de solides résultats financiers.

Ce matin, Iliad, la maison-mère de Free et Free Mobile, a publié ses résultats financiers pour le premier trimestre 2020. Le groupe a notamment indiqué un chiffre d’affaires global de 1,382 milliards d’euros, en hausse de 6,9 % par rapport à la même période l’année dernière.

En France, où il vise 2 millions d’abonnés fibre optique en 2020 et 25 % du marché mobile à long terme, ses revenus sont en hausse de 1,7% et atteignent 1,233 milliards d’euros. En Italie, où il capte désormais 7 % du marché mobile, ils ont progressé de 85,7 % pour arriver à 150 millions d’euros.

Avec des résultats conformes aux attentes et de belles perspectives, les résultats d’Iliad ont été bien accueillis par les investisseurs. Le titre du groupe se retrouve ainsi 147,65 euros à l’heure où sont écrites ces lignes, en hausse de 4,89 % (+ 6,85 euros) depuis l’ouverture et de 26 % depuis le début de l’année, il atteignait une valeur de 116,70 euros.

Malgré les “bons résultats”, Thomas Reynaud, directeur général d’Iliad, a rappelé qu’il faut rester prudent et humble, avec le risque de pénurie de certains composants et le retour du rythme de déploiement qui sera très progressif.

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Des riverains opposés à l’installation d’un pylône multi-opérateurs devant accueillir Free et être utilisé pour la 5G

La résistance s’organise autour de l’installation d’un pylône multi-opérateur devant être utilisé par Free. Avec la hauteur, la mention de la 5G fait partie des choses qui ont attiré l’attention des opposants au projet.

Suite à la découverte d’un panneau d’informations concernant des travaux pour un pylône multi-opérateur sur un terrain privé de Vinci autoroutes à Cibourne, dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine, une pétition a été mise en ligne sur la plate-forme mesopinions.com par le collectif Lapurdi. Elle a d’ailleurs recueilli près de 22 000 signatures à l’heure où sont écrites ces lignes. Mesurant 33 mètres de haut et devant être installé sur une partie inaccessible du pont autoroutier de la route d’Olhette, le pylône doit accueillir les équipements de plusieurs opérateurs, dont Free, et servir à la future 5G. 

Les opposants dénoncent la pollution visuelle du fait de la hauteur de l’installation et revendiquent la préservation du patrimoine naturel basque. Leur regard a également été attiré par l’aspect 5G, une technologie qui, on le sait, suscite des inquiétudes concernant les ondes et la santé. Ils réclament le retrait des autorisations de travaux, ainsi que des études sur les impacts sanitaires et sur la conformité avec les règles de protection du patrimoine architectural et paysager. “Il est profondément immoral de profiter du confinement pour tenter d’imposer, en douce, des projets susceptibles d’attenter à la santé des populations et à ‘environnement de la commune”, dénoncent par ailleurs les opposants. Et de préciser : “Il n’est pas acceptable de renier les principes légaux d’information de la population, en installant des panneaux d’information à l’intérieur d’un chantier dont l’accès est interdit au public”.

Source : Sud Ouest

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Nokia 6.2 : le smartphone disponible dans la boutique de Free testé par Univers Freebox

Univers Freebox a pu tester le smartphone Nokia 6.2 récemment arrivé dans la boutique de Freebox Mobile. Voici ainsi nos impressions après plusieurs jours en sa compagnie.

Avant de passer à ce test, voici un rappel des principales caractéristiques du Nokia 6.2 qui nous a été prêté par la marque et qui s’affiche à 199 euros chez Free Mobile avec 4 Go de RAM et 64 Go de stockage :

 


Fiche technique du Nokia 6.2  : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 1,8 GHz (chipset Snapdragon 636)
–   Mémoire vive : 3 ou 4 Go


–   Écran : dalle IPS 6,3 pouces avec une définition Full HD+ (2 340 x 1 080 pixels)
–   Audio : son produit par un haut-parleur dans la tranche inférieure
–   Stockage : 32, 64 ou 128 Go en eMMC 5.1 extensible par carte MicroSD (emplacement dédié)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1, B3, B5, B7, B8, B20, B28, B38, B40, B41
–   Compatibilité 5G : non


–   Triple capteur photo au dos : 16 +  8 + 5 Mégapixels (bloc circulaire au centre)
–   Capteur photo à l’avant : 8 Mégapixels (dans une encoche goutte d’eau)


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche supérieure)
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11 b/g/n/ac
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   Support NFC : oui


–   Batterie : 3 500 mAh non amovible
–   Recharge filaire :  bloc 10 Watts (5V/2A) fourni
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 (mise à jour installée en début de test)


–   Solutions de déverrouillage : lecteur d’empreintes au dos ou reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : mai 2020


 

Un smartphone agréable en main

 

En termes de design, le Nokia 6.2 joue la carte de la simplicité et il faut admettre que c’est plutôt joli à regarder. Sauf peut-être quand la poussière et les traces de doigt s’en mêlent. Oui, ce smartphone se révèle vite salissant.

En main, les lignes arrondies, la largeur contenue et la grande finesse rendent le smartphone facile à tenir, même pour les petites mains. Glissé dans la poche d’un short lors d’un petit footing, le smartphone s’est même fait oublier.

Deux choses nous en revanche dérangés durant nos tests. La première, c’est le côté glissant. Nous l’avons ressenti en main, mais nous nous en sommes également rendu compte en entendant quelques “plaf !” inattendus, heureusement depuis des petites hauteurs et sur du lino.

La seconde, c’est ce bloc photo circulaire un peu imposant au dos, qui dérangeait notre index durant nos sessions de jeu ou de vidéo. Pas de souci en revanche avec ce bloc photo lors de l’utilisation avec le smartphone posé sur la table, du fait d’un bloc large et centré.

 

Un écran qui fait le boulot, mais un son vraiment moyen

 

Bon rendu des couleurs, bonne luminosité et bons angles de vision, l’écran n’a rien d’extraordinaire et fait simplement ce qu’on attend de lui. 

Le son se révèle par contre assez décevant. On s’en satisfera pour une écoute d’appoint, mais on appréciera vraiment de connecter une enceinte Bluetooth. 

Même topo pour les écouteurs filaires fournis. Aucun plaisir d’écoute. On les remettra vite dans la boîte. D’ailleurs, la connexion passe par une prise audio 3,5 millimètres.

 

Une photo acceptable

 

Le Nokia 6.2 n’excelle pas en photo, mais offre quelque chose de très satisfaisant pour un smartphone à petit prix.  Ce smartphone permettra quelques clichés pour les réseaux sociaux ou quelques photos souvenirs. Ce n’est pas lui en revanche que vous sortirez pour les gros événements type mariage. Il y a juste ce mode nuit un peu surprenant la première fois. Avec le contraste trop élevé, il fait penser en effet à un filtre comme on en trouve dans certains applications. On aime, ou pas.

Ci-dessous, une photo en extérieur, puis sa version ultra grand-angle et zoom x3 :
Une photo en extérieur, puis sa version ultra grand-angle :

Un sujet rencontré par hasard qui avait un peu la bougeotte, mais qui a bien voulu prendre la pause :

Une photo en extérieur (“mais m’sieur, je n’avais pas vu le panneau”) :

Une photo en intérieur avec un effet de flou :

Des photos de nuit en extérieur, avec leurs versions corrigées par le mode nuit :

Des selfies en extérieur et depuis la salle de rédaction :

 

Un smartphone compatible B28

 

Le Nokia 6.2 s’annonce compatible B28, gérant ainsi la 4G 700 MHz chère à l’opérateur de Xavier Niel. Le confinement a évidemment limité nos tests de débit. 

Ci-dessous, des résultats obtenus en extérieur :

 

Puis un test en intérieur :

 

Le jeu, ça va être un peu chaud !

 

Le chipset Snapdragon 636 nous a permis de jouer avec fluidité et sans saccades à Asphalt 9 et Call of Duty Mobile. En moins, nous avons rapidement senti que le smartphone était poussé dans ses retranchements avec une chauffe pas dramatique, mais un poil agréable.

Pour ceux qui aiment les benchmarks, AnTuTu positionne le Nokia 6.2 juste au-dessous d’un Galaxy A8 2018 et non loin d’un Redmi Note 5. Disk Speed indique de son côté des pointes à 183 Mo/s en écriture et 282 Mo/s en lecture pour la mémoire interne.

 

 

Un peu plus d’une journée d’autonomie

 

Lors d’échanges avec HMD Global, la société qui gère les smartphones Nokia, il nous a été indiqué que la philosophie de la marque est d’assurer la journée d’autonomie, sachant que les smartphones sont rechargés la nuit. Avec sa batterie 3 500 mAh, le Nokia 6.2 assurera effectivement cette journée d’autonomie et même un peu plus. Difficile par contre d’envisager les deux jours sans se restreindre.

Ci-dessous, deux suivis de charge.

 

(1er cas) : Départ à 20h13 avec 100 % et arrivée le lendemain à 22h48 avec 29 % :

– 1 heure et 10 minutes de streaming audio avec l’enceinte Bluetooth
– 20 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 25 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– Quelques SMS
– Consultation et alertes Gmail/Twitter
– Surf sur Internet
– 9 téléchargements, dont 3 gros
– 8 mises à jour d’applications
– Tests de débits
– Manipulations et captures d’écran
– Benchmarks

(2e cas) : Départ à 18h48 avec 100 % et arrivée le lendemain à 19h00 avec 25 % :

– 10 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 1 heure et 55 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 35 minutes de jeu avec les écouteurs Bluetooth
– Quelques SMS
– Consultation et alertes Gmail/Twitter
– Surf sur Internet
– Photos
– 1 téléchargement d’application
– 13 mises à jour d’applications
– Tests de débits

Avec le bloc 10 Watts fourni, la charge ne s’éternise pas, mais n’est pas la plus rapide non plus. Comptez en effet dans les deux heures pour faire le plein. Une illumination du bouton d’alimentation vous indique d’ailleurs quand le smartphone est en charge.

Ci-dessous, un suivi de charge : 

– 16h49 : 10 %
– 16h54 : 15 %
– 16h59 : 19 %
– 17h04 : 24 %
– 17h13 : 34 %
– 17h26 : 34 %
– 17h39 : 47 %
– 17h47 : 68 %
– 17h58 : 78 %
– 18h15 : 89 %
– 18h25 : 94 %
– 18h48 : 100 %

Sans surprise au regard du positionnement tarifaire, pas de charge sans-fil pour ce Nokia 6.2. Au moins a-t-on échappé à la veille connectique Micro-USB, puisqu’il dispose de l’USB-C.

 

Un système d’exploitation Android 10

 

Au démarrage de notre Nokia 6.2, nous nous sommes vus proposer une mise à jour de 1 471,5 Mo.

Celle-ci sonnait le passage à Android 10. Le déploiement avait en effet été annoncé peu de temps avant par la marque.

  

 

L’interface du Nokia 6.2 propose quelques fonctions pratiques comme le mode nuit, l’ajustement dynamique de l’affichage (couleur, contraste et luminosité) en fonction de l’utilisation et la possibilité d’afficher le panneau de notification en passant le doigt sur le lecteur d’empreintes digitales.

Chose pratique également si vous utilisez régulièrement Google Assistant, il y a un bouton de déclenchement dédié sur la tranche gauche.

 

Concernant les solutions de déverrouillage, à savoir le lecteur d’empreintes au dos et la reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal, elles ne sont pas les plus rapides que nous ayons vues. Il y a une attente de 2 ou 3 secondes.

Nous vous conseillons d’ailleurs la première solution qui fonctionne mieux que la seconde. La reconnaissance faciale s’est souvent montrée problématique, malgré plusieurs enregistrements des données du visage.

Toujours au volet sécurité, nous avions les patchs du mois de mai 2020. Rien à redire de ce côté-là. Notre smartphone est à jour.

 


VERDICT


Le Nokia 6.2 n’excelle dans aucun domaine. Il propose en revanche une expérience convenable sur le créneau des 200 euros.

Ce smartphone offre en effet un écran correct, permet de jouer à des titres récents, devrait satisfaire le plus grand nombre en photo, assure sans problème la journée d’autonomie et dispose des connectiques USB-C/mini-jack. Celui-ci a également comme gros atout sa certification Android One qui annonce à l’utilisateur une partie logicielle à jour. On a d’ailleurs un système Android tel qu’imaginé par Google, sans surcouche constructeur ou applications additionnelles.

On pourra en revanche lui reprocher l’aspect savonnette qui rend indispensable l’usage d’une coque de protection si vous êtes maladroit, le son vraiment très moyen et la chauffe un peu désagréable lors d’une bonne sollicitation.


 

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