Auteur : dimitri

Découvrez Freetv, une nouvelle application de télécommande Freebox gratuite et simple à utiliser

Vous cherchez une télécommande Freebox d’appoint ou de secours ? En voici une simple et gratuite.

Proposée aux utilisateurs sous Android, Freetv s’ajoute à la liste des applications mobiles bien pratiques en cas de télécommande Freebox introuvable, de télécommande défectueuse ou bien de piles déchargées alors que les magasins sont fermés. Elle permet en effet d’utiliser le smartphone ou tablette tactile comme télécommande.

Pour l’utiliser, il faut que le smartphone ou la tablette soit connecté au réseau Wi-Fi de la Freebox. Chose pratique : pas besoin de code de télécommande. Le player est en effet détecté automatiquement au lancement de l’application et les commandes opérationnelles dans la foulée.

L’interface se compose de deux onglets. Le premier donne accès à la télécommande virtuelle et le second à la liste des chaînes avec les programmes en cours de diffusion. Depuis cette liste, il est d’ailleurs possible d’accéder directement à la chaîne.

 

Compatible Freebox Révolution et Freebox Delta, Freetv est disponible gratuitement sur le Play Store. Sa gratuité a comme contrepartie la présence de publicité sous la forme d’un petit bandeau en haut de l’écran. 

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FMobile : nouvelle version de l’application permettant aux abonnés Free Mobile d’échapper à l’itinérance, mais…

FMobile, l’application permettant aux abonnés Free Mobile d’échapper à l’itinérance Orange se met à jour avec une grosse nouveauté. Pas d’App Store, en revanche.

Initialement pensée pour permettre aux abonnés Free Mobile de se libérer de l’itinérance Orange et d’échapper aux faibles débits de cette dernière, FMobile a évolué pour devenir une application utilisable avec les opérateurs du monde entier. Elle permet de gérer l’itinérance nationale et internationale de n’importe quel opérateur sur iPhone et iPad cellulaire.

Le développeur vient d’annoncer la disponibilité d’une version finale estampillée 4, avec toutefois des conditions très particulières. Ne parvenant pas à la faire valider par les équipes d’Apple pour un déploiement par l’intermédiaire de l’App Store, cette nouvelle version se retrouve distribuée par l’intermédiaire de TestFlight, le canal habituellement utilisé par les versions bêtas. La situation n’est pas sans rappeler les débuts un peu compliqués de l’application, lorsqu’elle n’arrivait pas franchir les portes de la boutique applicative de la firme à la pomme.

La principale nouveauté est l’arrivée d’une carte de couverture mondiale accessible depuis l’onglet “Carte de couverture” (entre les onglets “Réglages” et “Test de débits”) et à laquelle les utilisateurs peuvent participer. Pour permettre aux abonnés au forfait à 0/2 euros de participer sans consommer de data, une option “Attendre le Wi-Fi avant d’envoyer” a été prévue et s’active d’ailleurs automatiquement lorsque vous voyagez dans un pays non-inclus dans votre forfait (le développeur conseille toutefois vivement de désactiver la data par précaution). Concernant la carte en elle-même, le nombre total de points sur la carte est indiqué en haut à gauche et la légende accessible grâce au ‘i’ en haut à droite. Elle affiche également les réseaux alternatifs comme F-Contact, ainsi que les zones blanches. Quelques correctifs d’optimisation sont également au programme.

 

Comme l’indique le développeur, FMobile 4 accueille tous les utilisateurs sous iOS 9 et supérieur et remplace définitivement l’ancien FMobile 1.5. Petite précision concernant iOS 14 actuellement proposé en version bêta aux développeurs et ceux qui l’utiliseraient, la nouvelle version de FMobile n’est pas conçue pour et ne propose ainsi qu’une compatibilité minimale. Il faudra attendra FMobile 5, dont le développement débutera dans les prochaines semaines, pour une vraie compatibilité avec iOS 14. Cette future mouture sera synonyme d’une refonte complète.

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Android : 25 applications supprimées du Play Store contenaient un malware permettant le vol de données Facebook

25 applications Android ont été supprimées du Play Store. Elles contenaient du code malveillant permettant le vol de données de connexion à Facebook.

Les chercheurs de la société de sécurité Evina ont repéré 25 applications du Play Store, des applications à vocation différente (jeu, éditeur vidéo, gestionnaire de fichiers, météo, compteur de pas, fonds d’écran, etc.), mais ayant pour point commun d’être infectées par un malware. Ce code malveillant permettait la récupération de données de connexion au réseau social Facebook, en superposant une fenêtre de navigateur Web par dessus l’application Facebook officielle et lançant une fausse page de connexion. Les données saisies étaient ensuite envoyées vers un serveur distant. Du phishing, en somme. Evina a alerté Google qui a ensuite évincé les applications de sa boutique applicative.

Ci-dessous, la liste des applications vérolées ayant cumulé plus de 2,3 millions de téléchargements, certaines ayant même enregistré 100 000 ou 500 000 téléchargements à elles seules :

Source : ZDNet

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iOS 14 met en lumière les applications curieuses

La prochaine version de l’OS d’Apple destiné aux smartphones propose une fonction bien pratique pour détecter les applications trop curieuses.

Actuellement proposé aux développeurs sous la forme d’une version bêta, avant une disponibilité en version finale d’ici la fin de l’année, le système d’exploitation iOS 14 permet de repérer certaines applications un peu trop curieuses. Il se trouve en effet que l’utilisateur reçoit une notification lors de l’accès au contenu du presse-papier, où sont notamment stockées les données lors d’un copier/coller, des données potentiellement sensibles.

Grâce à cette fonction, des chercheurs en sécurité ont ainsi identifié plus de 50 applications trop friandes de données. Et il n’y a pas que des applications exotiques dans le lot puisqu’on retrouve Fruit Ninja, PUBG, Reuters, TikTok ou encore Viber dans la liste des applications. Si toutes les applications n’ont pas forcément de mauvaises intentions, la mise en lumière de la pratique aura au moins le mérite de calmer l’appétit de certaines d’entre elles et de repérer les comportements malveillants.

Ci-dessous, les applications épinglées par les chercheurs :

  • 10% Happier: Meditation
  • 5-0 Radio Police Scanner
  • 8 Ball Pool
  • ABC News
  • Accuweather
  • AliExpress Shopping App 
  • Al Jazeera English
  • AMAZE!!!
  • Bed Bath & Beyond 
  • Bejeweled
  • Block Puzzle 
  • CBC News
  • CBS News
  • Classic Bejeweled 
  • Classic Bejeweled HD 
  • CNBC
  • Dazn
  • FlipTheGun
  • Fox News
  • Fruit Ninja
  • Golfmasters
  • Hotels.com
  • Hotel Tonight 
  • Letter Soup 
  • Love Nikki 
  • My Emma 
  • News Break
  • New York Times
  • NPR
  • ntv Nachrichten
  • Overstock
  • Pigment 
  • Plants vs. Zombies Heroes 
  • Pooking – Billiards City 
  • PUBG Mobile 
  • Recolor Coloring Book to Color
  • Reuters
  • Russia Today
  • Sky Ticket 
  • Stern Nachrichten
  • The Economist
  • The Huffington Post
  • The Wall Street Journal
  • The Weather Network 
  • TikTok
  • Tok
  • Tomb of the Mask
  • Tomb of the Mask: Color
  • Total Party Kill
  • ToTalk
  • Truecaller
  • Viber
  • Vice News
  • Watermarbling
  • Weibo
  • Zoosk

Source : Ars Technica

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Exposition aux ondes : la législation évolue pour mieux informer le consommateur

Ce mercredi 1er juillet, la législation autour du DAS évolue. L’affichage de la mesure s’étend en effet à davantage d’appareils radioélectriques, afin de mieux informer le grand public concernant l’exposition aux ondes.

L’Agence Nationale des Fréquences, le gendarme des ondes en France, l’avait indiqué l’année dernière. La législation autour du DAS (Débit d’Absorption Spécifique) était amenée à évoluer, afin d’éclairer davantage les consommateurs dans un contexte de multiplication des appareils les exposant aux ondes.

Plus concrètement, l’obligation d’affichage du DAS devait s’étendre au-delà des téléphones mobiles, pour concerner l’ensemble des équipements radioélectriques prévus pour un usage à proximité du corps humain et dont la puissance moyenne maximale est supérieure à 20 mW. De quoi ainsi englober certaines montres connectées, les casques sans-fil et les tablettes tactiles.

Comme prévu, la mesure entrera en vigueur le 1er juillet 2020, soit demain, et s’appliquera à tout appareil dont la mise sur le marché interviendra après cette date. Le DAS devra être indiqué dans les notices et les publicités, mais également sur les lieux de vente à proximité des appareils concernés. Comme l’avait indiqué l’ANFR, qui veillera évidemment au respect des nouvelles règles avec des contrôles dès le mois de juillet, l’obligation d’information vaudra également lors de la distribution à titre gratuit.

Dans une vidéo publiée pour l’occasion, la mascotte Hertzi de l’ANFR vous dit tout sur le DAS :

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Facebook : après s’être attaqué aux fake news, le réseau social se penche sur le cas des informations obsolètes

Facebook poursuit son ménage dans les informations circulant sur sa plate-forme. Il s’attaque à présent aux vieilles informations qui ne sont peut-être plus d’actualité.

Les réseaux sociaux veulent garder leur crédibilité. Ils font ainsi en sorte assainir leurs plate-formes en limitant la propagation de fausses informations, ce que l’on appelle également des fake news. Citons notamment celle sur les oiseaux foudroyés par la 5G ou celle faisant le lien entre 5G et coronavirus

Facebook attaque le problème sous un autre angle, en s’intéressant à présent aux informations datées, dont le partage peut également avoir des répercussions si elles ne sont plus d’actualité. Une nouvelle fonction a ainsi été introduite par le géant des réseaux sociaux.

Lors du partage d’un article, une notification indiquera si celui-ci date de plus de 90 jours, chose que n’aura peut-être pas remarqué l’utilisateur. Libre à ce dernier ensuite de poursuivre ou non la publication.

Dans l’idée, il s’agit de prévenir l’internaute que son information est datée et potentiellement obsolète, et de l’inviter à prendre l’habitude de vérifier que les informations sont toujours d’actualité avant de les relayer.

Source : 20 Minutes

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Abonnés Free Mobile : attention à ce phishing promettant un gros cadeau

Ne tombez pas dans le piège. Un nouveau phishing cible les abonnés Free Mobile, leur promettant le gain d’un smartphone haut de gamme.

Un e-mail aux couleurs de Free annonce une assez bonne nouvelle. Selon celui-ci, un iPhone 11 Pro version 512 Go est à récupérer en payant simplement des frais d’envoi de 2 euros. La missive agite une belle carotte, en sachant que le smartphone haut de gamme en question s’affiche à 1 559 euros chez Apple. D’ailleurs, ça urge un peu. Les points cadeaux expirent bientôt.

Le système de points évoqué dans l’e-mail pour justifier le gain n’existe pas. La langue française un peu bancale (“afin qu’elle soit assurer le plutôt possible”, “il ne vous reste plus que de confirmer”) va également dans le sens d’une arnaque mal ficelée. Quant à l’auteur présumé de la missive, Olivier du Besset, il a bien opéré chez SFR d’après son CV sur Linkedin, mais pas chez Free. Ce n’est pas la première fois que les escrocs mélangent Free et SFR.

 

Pensez à nous indiquer, par e-mail ou via Twitter, les nouveaux phishings que vous pourriez recevoir par e-mail ou par SMS. Vous pouvez également signaler tout site de phishing sur http://phishing-initiative.com/.

 

Merci @PKristofe

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Sabotages d’antennes : près de 50 attaques en 3 mois, les opérateurs veulent un débat pour répondre aux inquiétudes

Sur fond de craintes autour de la 5G concernant la santé et l’environnement, les sabotages d’antenne-relais se multiplient en France. Pour les opérateurs, l’heure est donc à la surveillance pour protéger les équipements, mais également au débat pour répondre aux inquiétudes.

En France, les sabotages d’antenne-relais de téléphonie mobile se multiplient ces derniers mois. Des chiffres récemment communiqués par la GSM Association plaçaient même l’Hexagone sur le podium européen, derrière le Royaume-Uni et les Pays-Bas, avec près de 20 attaques. Les services de renseignement se penchent sur le phénomène, ce qui amène à des interpellations. Orange a d’ailleurs annoncé son plan de bataille en trois axes, en étroite collaboration avec les forces de l’ordre. Les attaques ont en effet des répercussions sur les abonnés, mais également un coût non négligeable pour les opérateurs.

Des données plus récentes sont tombées. En moins de trois mois, ce sont ainsi près de 50 antennes qui ont été vandalisées, dont 4 rien que dans l’agglomération de Toulouse, en Haute-Garonne. Interrogé par France Info, Christophe Miette, chargé de mission police judiciaire au SCSI-CFDT, parle de groupuscules anarchistes luttant contre le capitalisme, avec un appel aux attaques lancé fin mars. Sans oublier les anti-ondes qui voient d’un mauvais oeil l’arrivée de la 5G, les complotistes faisant le lien entre la technologie et le coronavirus, les complotistes détournant les faits pour montrant un impact sur les animaux ou les militants écologistes craignant des répercussions sur l’environnement

Les opérateurs télécoms se disent prêts à répondre aux inquiétudes. Interrogé par Le Parisien, Didier Casas, administrateur de la FFT, indiquait la nécessité de “remettre de la raison, remettre de la science, remettre de la compréhension, de l’écoute, de la pédagogie”. Et d’ajouter : “on veut qu’il y ait un débat qui s’installe dans le pays sur la technologie”.

Source : Franceinfo

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Redmi Note 9 : la nouvelle référence des smartphones pour les petits budgets testée par Univers Freebox

Univers Freebox vous a déjà proposé le test du Redmi Note 9 Pro, l’un des smartphones de milieu de gamme récemment annoncés en France par Xiaomi. Voici à présent celui de la version standard, tout aussi convaincante comme le verrez.

Les smartphones Redmi Note sont réputés pour leurs excellents rapports équipement-prix, comme des choix intéressants pour les budgets limités. Dernièrement, Xiaomi a lancé en France un Redmi Note 9 Pro sous la barre des 300 euros que nous avons déjà testé et un Redmi Note 9 dont le prix démarre à 199,90 euros et dont nous vous proposons aujourd’hui le test après une semaine d’utilisation au quotidien.

 

Avant de passer au test, voici un rappel des principales caractéristiques du Redmi Note 9, dont un exemplaire 3 Go + 64 Go nous a été prêté par la marque :


Fiche technique du Redmi Note 9 : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,0 GHz (chipset Helio G85)
–   Mémoire vive : 3 ou 4 Go


–   Écran : dalle IPS 6,53 pouces avec une définition FHD+ (2 340 x 1 080 pixels)
–   Audio : son sortant de la tranche inférieure
–   Stockage : 64 ou 128 Go (extensible, grâce à un slot MicroSD dédié)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–   Compatibilité 5G : non


–   Quadruple capteur photo au dos (organisé dans un bloc carré) : 48 + 8 + 2 + 2 Mégapixels principal + ultra grand-angle + macro + infos de profondeur)
–   Capteur photo à l’avant : 13 Mégapixels (dans un poinçon en haut à gauche de l’écran)


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche inférieure)
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11 a/b/g/n/ac
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   Support NFC : oui


–   Batterie : 5 020 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 18 Watts (bloc 22,5 Watts fourni dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface MIUI 11


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal ou lecteur d’empreintes digitales au dos
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : mai 2020


 

Un smartphone beau, mais salissant

Avant que les traces de doigt et les poussières ne soient de la partie, c’est-à-dire très rapidement, le Redmi Note 9 est un beau smartphone. Bref, esthétiquement réussi, mais salissant. Cela nous a notamment enquiquinés pour les photos d’illustration, mais ne devrait pas trop agacer les maniaques avec la coque de protection fournie.

En main, il y a ce bloc photo arrière dont la protubérance est fort heureusement atténuée par la coque de protection fournie. Autrement, elle viendrait gêner la tenue en mode paysage, durant du jeu ou de la vidéo. Chose appréciable : pas d’aspect savonnette, même sans la coque de protection. Le smartphone ne glisse pas facilement des mains. Enfin, le Redmi Note 9 n’est pas un parpaing, mais pas un poids plume non plus. On le sent bien dans la poche du short. Cela s’explique par la grosse batterie à bord.

 

Un écran manquant de luminosité, pas de son stéréo

Le Redmi Note 9 offre d’assez belles couleurs avec une possibilité de réglage dans les paramètres. Il a esquivé l’encoche, en optant pour un poinçon qui se fait oublier et que l’on peut éventuellement cacher en passant là encore par les paramètres. L’aspect qui nous a surtout sauté aux yeux, c’est le manque de luminosité. Malgré une luminosité à fond, nous avions du mal à utiliser l’écran par un bon ensoleillement.

 

Côté audio, pas de stéréo, ce qui est dommage en vidéo ou en jeu. En effet, le son sort uniquement d’une grille de la tranche inférieure. S’il se montre puissant et pas trop criard, ce n’est pas celui qu’on écoutera en continu pendant un pique-nique. Après, on ne s’attendait pas non plus à un super son sur un smartphone à 200 euros.

À brancher en mini-jack, les écouteurs filaires sont de bonne facture. Ils ne sont pas d’ailleurs pas totalement inconnus puisqu’équipant déjà les précédentes générations de la famille Redmi Note.

 

De quoi s’amuser un peu photo

Sans être un expert en photo, le Redmi Note 9 offre une polyvalence avec ses multiples capteurs, permettant notamment de l’ultra grand-angle, de la macrophotographie et du flou d’arrière-plan. Les selfies ne seront pas très détaillés, mais devraient être suffisants pour de la publication sur les réseaux sociaux.

Ci-dessous, une photo en extérieur avec sa version ultra grand-angle et sa version zoomée :

Une autre photo en extérieur :

Une photo avec la mode macro :

Deux photos avec du flou d’arrière-plan :

Une photo de nuit en milieu urbain et sa version (un peu) corrigée par le mode nuit :

Un selfie en extérieur :

Nous avons laissé le filigrane mis par défaut sur les photos. Vous pourrez bien évidemment le retirer dans la section Paramètres / Watermark de l’application. Il sera même possible de mettre le vôtre.

 

Le smartphone est B28

Le Redmi Note 9 supporte la B28, soit la 4G 700 MHz sur laquelle a beaucoup misé Free Mobile. Côté débits, sans affoler les compteurs, il a dépassé les 100 Mbit/s en réception dans des zones bien couvertes. 

Ci-dessous, des débits en extérieur :

 

Et des débits en intérieur :

 

 

Un smartphone joueur

Avec son chipset Helio G85, le Redmi Note 9 s’annonce paré pour les jeux, et c’est effectivement le cas. Notre habituel Call of Duty Mobile se chargeait tranquillement et tournait de manière fluide. Une chauffe était perceptible en haut du dos, mais pas du tout dérangeante. Bref, il n’a jamais été une épine dans le pied nous empêchant les Tops 1. Au niveau de l’interface générale, pas de temps d’attente spécialement gênant. Tout était fluide.

Pour les amateurs de benchmarks, AnTuTu place le Redmi Note 9 au même niveau qu’un Galaxy A51, que nous avons d’ailleurs testé et que l’on trouve aujourd’hui à 349 euros. Disk Speed indique de son côté dans les 200 Mo/s, pour la mémoire interne.

 

L’autonomie : un gros point fort

Avec une batterie 5 020 mAh, le Redmi Note 9 ne s’essouffle pas trop vite. On tient facilement les 2 jours loin d’une prise secteur, sans se restreindre. 

Ci-dessous, deux exemples d’utilisation :

(1er cas) : Démarrage à 21h11 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 13h57 avec 30 %
– 1 heure et 15 minutes de streaming audio avec les écouteurs filaires
– 35 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 2 heures et 25 minutes de YouTube avec les écouteurs filaires
– 15 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 50 minutes de podcast depuis le navigateur
– Consultations et alertes Gmail / Twitter / Linkedin
– Pas mal de surf
– Quelques SMS
– Des photos
– Fonctionnement de StopCovid
– Installation de la mise à jour avec les patchs de mai 2020
– Tests de débits

(2e cas) : Démarrage à 18h12 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 19h02 avec 13 % 
– 1 heure et 15 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 30 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 55 minutes de YouTube avec les écouteurs filaires
– 2 heures et 25 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 35 minutes de streaming audio avec le son du smartphone
– 1 heure et 5 minutes de streaming audio avec les écouteurs filaires
– Consultations et alertes Gmail / Twitter
– Surf
– SMS / MMS
– 1 court appel
– Photos
– Fonctionnement de StopCovid
– 17 mises à jour d’applications
– Tests de débits

Pas de charge ultra rapide avec le Redmi Note 9, mais pas de charge ridiculement lente non plus. Il supporte en effet la charge 18 Watts. Xiaomi fournit même un chargeur plus puissant dans la boîte (22,5 Watts). Cela change de quelques mesquineries observées dans le secteur haut de gamme…

Ci-dessous, un suivi de charge :
– 19h02 : 13 %
– 19h07 : 17 %
– 19h12 : 22 %
– 19h17 : 27 %
– 19h22 : 31 %
– 19h47 : 52 %
– 19h57 : 59 %
– 20h12 : 70 %
– 20h41 : 90 %
– 20h56 : 96 %
– 21h11 : 100 %

 

L’interface MIUI complète, mais avec un peu trop de logiciels partenaires

La partie logicielle du Redmi Note 9 repose sur Android 10.

  

Celle-ci contient pas mal de logiciels et jeux préinstallés dans le cadre de partenariats commerciaux (Facebook, Linkedin, eBay, AliExpress, Netflix, WPS Office, Opera, Block Puzzle Guardian, Crazy Juicer, Dust Settle, Bubble Story et Bubble Shooter With Friends). Fort heureusement, on peut les désinstaller après un appui prolongé sur l’icône.

 

L’interface propose également quelques fonctions pratiques, comme : 

– L’affichage multifenêtre
– Le mode à une main avec trois diagonales d’affichage
– Le mode nuit
– Le mode Lite pour désencombrer le bureau
– Le second espace pour garder vos données à l’abri

  

Concernant enfin l’aspect sécurité, une mise à jour intermédiaire de 267 Mo nous a permis de passer des patchs de février 2020 à ceux de mai 2020. Pas les derniers, dommage.

 

Quant aux solutions de déverrouillage, à savoir le lecteur d’empreintes ou la reconnaissance faciale, rien à dire. C’est efficace et rapide. Une fois le réglage adéquat effectué, il suffit de saisir et regarder smartphone pour atterrir en 2 secondes sur l’écran d’accueil. Idem lorsqu’on a bien localisé l’emplacement du lecteur d’empreintes.

 


VERDICT

Sauf à être très tatillon, difficile de reprocher quelque chose à ce Redmi Note 9 au regard du prix serré et des prestations. Il coche certes moins de cases que sa déclinaison Pro (avec sa charge très rapide, par exemple), mais offre une belle expérience utilisateur, sans défaut majeur. Cerise sur le gâteau : le constructeur l’accompagne d’accessoires, dont un chargeur plus puissant que nécessaire, des écouteurs de bonne facture et une coque de protection certes basique, mais que certains fabricants ne fournissent même pas avec leurs modèles haut de gamme. Au même titre que les prédécesseurs, le Redmi Note 9 est une valeur sûre à conseiller aux petits budgets.


 

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Test du smartphone Redmi Note 9 Pro réalisé par Univers Freebox : une nouvelle valeur sûre pour les petits budgets

Univers Freebox a pu tester le Redmi Note 9 Pro, l’un des smartphones de milieu de gamme récemment annoncés en France par Xiaomi. Voici nos impressions après une semaine en sa compagnie. Sans surprise, elles sont très positives.

Dernièrement, Xiaomi a dévoilé un smartphone Redmi Note 9 Pro sous la barre des 300 euros, dont nous vous proposons le test aujourd’hui. Le constructeur chinois a aussi lancé un Redmi Note 9 dont le prix démarre à 199,90 euros et dont vous découvrirez notre test un peu plus tard. Les smartphones Redmi Note sont réputés pour leurs excellents rapports équipement-prix, comme des choix intéressants pour les budgets limités. Est-ce à nouveau le cas avec ce Redmi Note 9 Pro sous la barre des 300 euros ? C’est ce que nous allons voir dans ce test.

 

Avant de passer au test, voici un rappel des principales caractéristiques du Redmi Note 9 Pro, dont un exemplaire 6 Go + 128 Go nous a été prêté par la marque :


Fiche technique du Redmi Note 9 Pro : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,3 GHz (chipset Snapdragon 720G)
–   Mémoire vive : 6 Go


–   Écran : dalle IPS 6,67 pouces avec une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels)
–   Audio : son sortant de la tranche inférieure
–   Stockage : 64 ou 128 Go (extensible, grâce à un slot MicroSD dédié)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–   Compatibilité 5G : non


–   Quadruple capteur photo au dos (organisé dans un bloc carré) : 64 + 8 + 5 + 2 Mégapixels (principal + ultra grand-angle + macro + infos de profondeur)
–   Capteur photo à l’avant : 16 Mégapixels (dans un poinçon centré)


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche inférieure)
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11 a/b/g/n/ac
–   Connectivité Bluetooth : version 5.0
–   Support NFC : oui


–   Batterie : 5 020 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 30 Watts (bloc 33 Watts fourni dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface MIUI 11


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal ou lecteur d’empreintes digitales sur la tranche droite
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : avril 2020


 

Un beau smartphone

 

Le Redmi Note 9 Pro existe en trois finitions blanc polaire, gris de minuit et vert forêt. Nous avons reçu la troisième qui est vraiment agréable à l’oeil. Concernant les finitions, elles sont impeccables. On peut le dire, c’est un beau smartphone.

En main, le poids bien réparti, le design arrondi et la largeur contenue rendent la tenue agréable sans forcément avoir de très grandes mains.

Seul bémol, comme souvent ces derniers temps-ci : le bloc photo arrière. S’il ne rend pas instable le smartphone installé sur la table, grâce à sa bonne surface et sa position centrée, il vient gêner en mode paysage durant le jeu et la vidéo. Un aspect fort heureusement atténué par la coque de protection fournie.

 

Un écran manquant de luminosité et un son pas stéréo

 

L’écran offre de belles couleurs et n’est pas gâché par un intrus de type encoche ou bordure. Le Redmi Note 9 Pro opte en effet pour un poinçon centré pour accueillir le capteur photo frontal. Le seul point réellement dérangeant noté en extérieur, c’est le manque de luminosité. Pas dramatique en soi, mais il fallait le souligner. Notez qu’on peut régler la température des couleurs et cacher le poinçon depuis les paramètres du smartphone. Pour l’avoir essayé, nous vous déconseillé ce second réglage qui ne présente aucun intérêt, même pas esthétique.

 

Concernant le rendu audio, c’est assez puissant et propre, mais pas stéréo, ce qui peut déranger en jeu ou en vidéo. Il faut toutefois garder à l’esprit le segment tarifaire de ce smartphone. Nos oreilles n’ont en tout cas jamais saigné.

Déjà vu et étrange, on retrouve la fonction de nettoyage du haut-parleur. Pourquoi pas…

Toujours au chapitre son, le branchement des écouteurs passe par une prise audio 3,5 millimètres. On y branchera des écouteurs d’assez bonne facture connus, puisqu’accompagnant déjà les précédentes générations de Redmi Note. Nous avons ceux du Redmi Note 7 et ce sont les mêmes.

 

De la polyvalence en photo

Avec son quadruple capteur intégrant des modules ultra grand-angle, macro et de profondeur, le Redmi Note 9 Pro offre une certaine polyvalence en photo. Il devrait satisfaire le plus grand nombre. Sans être extraordinaire, le capteur avant propose des selfies plutôt convenables dans de bonnes conditions de luminosité.

Une photo et sa version ultra grand-angle et sa version zoomée :

Un flou d’arrière-plan :

Deux photos avec le mode macro qui permet de s’amuser un peu :

Une photo et sa version améliorée par le mode nuit, qui redonne un peu de couleur et d’éclairage sans faire trop artificiel :

Un selfie en extérieur et un autre en intérieur :

 

Un smartphone compatible B28 et de bons débits en 4G

 

Le Redmi Note 9 Pro supporte la 4G 700 MHz (B28) utile pour aux abonnés Free Mobile. En zone bien couverte, il permet d’avoir d’assez bons débits en 4G, y compris en intérieur. Cela explique les téléchargements qui ne s’éternisent pas. Ci-dessous, des tests de débit en extérieur avec les outils de speedtest RNC Mobile et nPerf :

 

Puis des tests de débit en intérieur, depuis la salle rédaction et une zone résidentielle :

 

 

Le jeu ? Une formalité ! AnTuTu, par contre…

 

Avec son chipset Snapdragon 720G et sa mémoire vive 6 Go, le Redmi Note 9 Pro s’en sort bien avec les jeux qu’il lance rapidement et fait tourner avec des graphismes beaux et fluides.

Côté benchmarks, AnTuTu a tout simplement planté à plusieurs reprises, toujours vers les 80 %. De son côté, Disk Speed indique 214 Mo/s en écriture et 467 Mo/s en lecture, pour sa mémoire interne. Ce n’est pas extraordinaire, mais ça participe à la fluidité d’utilisation.

 

Deux jours d’autonomie et une charge vraiment rapide

 

Avec sa batterie 5 020 mAh, on peut tenir dans les 2 jours sans se priver.

Ci-dessous, deux suivis de charge :

(1er cas) : Départ à 23h40 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 22h22 avec 20 % :
– 30 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 45 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 1 heure et 10 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– Consultation et alertes Gmail / Twitter
– Beaucoup de surf sur Internet
– Fonctionnement de StopCovid
– 10 téléchargements d’applications, dont 3 gros
– 14 mises à jour d’applications
– Benchmarks (ou tentatives)
– Tests de débits
– Manipulations + captures

(2e cas) : Départ à 23h34 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 19h14 avec 8 % :
– 15 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 1 heure et 30 minutes de YouTube avec les écouteurs filaires
– 5 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– 2 heures et 30 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 25 minutes de streaming audio avec le son du smartphone
– 20 minutes de jeu avec les écouteurs filaires
– Consultation et alertes Gmail / Twitter
– Surf sur Internet
– Quelques SMS
– Fonctionnement de StopCovid
– Photos
– 6 mises à jour d’applications
– 1 téléchargement
– Tests de débit

Le smartphone supporte la charge 30 Watts et s’accompagne du chargeur adéquat (et même un peu plus puissant).

La charge se révèle ainsi assez rapide. On peut récupérer quelques dizaines de % avant de prendre la route. Vraiment pratique.

Ci-dessous, un suivi de charge : 
– 22h23 : 20 %
– 22h28 : 30 %
– 22h33 : 41 %
– 22h38 : 50 %
– 22h43 : 58 %
– 22h48 : 65 %
– 22h53 : 74 %
– 22h58 : 81 %
– 23h03 : 85 %
– 23h08 : 89 %
– 23h13 : 93 %
– 23h18 : 96 %
– 23h23 : 98 %
– 23h34 : 100 %

 

Une interface Android 10 assez complète

 

La partie logicielle du Redmi Note 9 Pro repose sur Android 10.

 

 

Elle inclut pas mal d’applications et jeux préinstallés dans le cadre de partenariats commerciaux. On peut tout désinstaller.

 

 

On note quelques fonctions pratiques, comme :
– Le mode nuit
– L’écran scindé en deux pour utiliser deux applications en même temps
– Le mode à une main avec trois diagonales d’affichage (3,5, 4 et 4,5 pouces)
– Le second espace pour mettre ses données à l’abri
– Une diode indiquant la charge ou les notifications

 

  

Concernant enfin la sécurité, nous avions les patchs d’avril 2020 au moment de notre test. Pas les derniers, donc. Quant aux deux solutions de déverrouillage, à savoir la reconnaissance faciale et la lecture d’empreintes digitales, elles fonctionnent parfaitement. Rapides et efficaces, celles-ci n’ont jamais posé le moindre problème.

 


VERDICT

Même s’il n’est pas parfait, le Redmi Note 9 Pro coche pas mal de cases au regard de son prix contenu. Il propose en effet un écran bien défini et sans encoche (mais manquant un peu de luminosité), assez de performances pour jouer à des jeux gourmands, de quoi s’amuser en photo, une bonne autonomie et une charge vraiment rapide. On a par ailleurs le support de la B28 chère à Free et le mini-jack que cherche à évincer l’industrie du smartphone. Le constructeur n’est pas avare non plus concernant les accessoires, fournissant une coque de protection, des écouteurs de bonne facture et un chargeur un peu plus puissant. Bref, on ne peut que vous le conseiller, tout comme ses prédécesseurs.


 

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