Auteur : dimitri

Smartphones : Xiaomi dévoile deux modèles à petit prix et Honor un modèle 5G pour le milieu de gamme

Chaque semaine, retrouvez un condensé des annonces autour des smartphones. Au programme : l’annonce du Honor 30 Lite et des Redmi 9A et 9C. Les deux derniers utilisent d’ailleurs les chipsets mobiles Helio G25 et Helio G35 tout juste présentés par MediaTek.

Honor a donc présenté le smartphone Honor 30 Lite, un modèle 5G positionné sur le milieu de gamme. Articulé autour du chipset MediaTek Dimensity 800, celui-ci propose un écran 6,5 pouces FHD+ 90 Hz, un triple capteur photo 48/8/2 Mégapixels à l’arrière, un module 16 mégapixels pour les selfies, une batterie 4 000 mAh et une charge filaire en 22,5 Watts. La marque n’a pas encore communiqué sur la disponibilité en France, mais elle tombe sous le sens avec la disponibilité du prédécesseur le Honor 20 Lite.

De son côté, Xiaomi a dévoilé les Redmi 9A et Redmi 9C, deux smartphones d’entrée de gamme dont la disponibilité européenne a été confirmée, mais reste à préciser concernant les tarifs. Ils partagent un écran 6,53 pouces HD+ avec encoche goutte d’eau, une capture photo 5 Mégapixels à l’avant et 13 Mégapixels à l’arrière et une batterie 5 000 mAh. Le premier opte pour le chipset Helio G25. Le second se tourne vers le chipset Helio G35 aux fréquences plus élevées, ajoute des capteurs photo à l’arrière pour plus de polyvalence et permet d’avoir le lecteur d’empreintes digitales.

Quant à Qualcomm, il a détaillé les chispets Helio G25 et Helio G35 embarquant justement à bord des nouveaux Redmi. Ces plates-formes sont synonyme de processeur octa-core (2,0 GHz pour le G25 et 2,3 GHz pour le G35), d’une solution graphique IMG PowerVR GE8320 (650 ou 680 MHz), de photo 21 ou 25 Mégapixels, de 4G/LTE, de Wi-Fi 5 et de Bluetooth 5.0

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Achats en ligne : les bons réflexes à avoir rappelés par 60 millions de consommateurs

Pour éviter les mauvaises surprises lors d’achats en ligne, l’association 60 millions de consommateurs rappelle les réflexes à avoir.

Avec la possibilité de faire des emplettes n’importe quand, n’importe où et depuis de nombreux appareils, y compris le smartphone, le commerce est entré dans les habitudes de nombreux Français. 60 millions de consommateurs y va ainsi d’une petite piqûre de rappel concernant les bons réflexes à avoir. Ce rappel fait suite à une hausse des plaintes au cours des dernières semaines, avec une période de confinement propice aux achats en ligne et donc aux arnaques.

60 millions de consommateurs invite ainsi à se méfier des publicités sur les réseaux sociaux tels que Facebook ou Instagram, où les arnaques sont nombreuses. “Ces offres sont d’autant plus dangereuses qu’elles ciblent très finement les clients en fonction de leurs centres d’intérêt”, souligne l’association. Elle rappelle par ailleurs l’importance de vérifier l’identité du vendeur en fouillant dans les mentions légales (nom, adresse du siège, adresse e-mail, numéro de téléphone), la situation de l’entreprise (liquidation judiciaire ?), la facilité à joindre le service client et les avis sur les moteurs de recherche, réseaux sociaux et forums. Pour éviter les mauvaises surprises ou les difficultés en cas de litige, elle suggère ensuite d’éviter les sites ou vendeurs à l’étranger et de vérifier la fiabilité du vendeur dans le cas des marketplaces de gros sites comme Amazon, Boulanger, Cdiscount ou Fnac, en scrutant notamment les avis. Dernières recommandations enfin : avoir comparé les prix en amont pour vérifier que l’on profite bel et bien d’un prix intéressant au-delà de la grosse remise affichée par le vendeur et avoir vérifié que l’on est sur une page sécurisée au moment du paiement grâce à la présence du cadenas dans le champ URL.

Source : 60 millions de consommateurs

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Kosc Telecom repris par Altitude Infrastructure : une nouvelle rassurante qui change la donne, selon Infranum

Le rachat de Kosc Telecom par Altitude Infrastructure a été validé. Une bonne nouvelle qui change la donne sur le marché des entreprises et que doit intégrer l’Arcep dans son analyse en matière de concurrence, selon InfraNum.

Cette semaine, le tribunal de commerce de Paris a validé le rachat de Kosc Telecom par Altitude Infrastructure pour un montant de 14 millions d’euros. Le premier devient ainsi une filiale du second qui récupère en la marque, le réseau, les contrats en cours et les 62 salariés.

Une nouvelle rassurante

“C’est une nouvelle extrêmement rassurante pour tout l’écosystème des acteurs télécoms de proximité”, selon Étienne Dugas. “Kosc aura désormais une assise financière suffisante pour poursuivre son ambition de déverrouiller le marché des télécoms professionnels “, explique le président d’InfraNum, qui regroupe plus de 200 entreprises de la fibre optique. L’ex-FIRIP estime en effet l’insuffisance concurrentielle comme l’un des points de blocage majeurs dans la digitalisation des TPE et PME. 

Fournisseur de connectivité très haut débit né en 2016 de la fusion des réseaux de Completel et OVH, Kosc Telecom opère pour rappel sur le marché des entreprises en tant qu’opérateur de gros proposant l’accès à un réseau fibre optique, un marché où il se retrouve en concurrence avec le duopole Orange et SFR. Faisant face à des difficultés financières, l’entreprise dirigée par Yann de Prince avait été placée en redressement judiciaire il y a six mois.

Une nouvelle qui change la donne

Pour InfraNum, cette reprise change la donne sur le marché fibre entreprises à quelques semaines de la sortie du projet final d’analyse de marché de l’Arcep. Réalisée par un opérateur “indépendant et neutre”, elle “permet d’espérer une nouvelle dynamique concurrentielle sur le marché entreprise” souligne l’ex-FIRIP. Le gendarme des télécoms en France “doit donc intégrer cette nouvelle donne pour garantir enfin à tous les acteurs sur le marché de gros une équité sans faille, en rendant disponible tout le panel des offres neutres, mutualisées, ouvertes, passives ou actives qui ont fait leurs preuves dans les réseaux d’initiative publique”.

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Bouygues Telecom propose des forfaits 60, 80 et 100 Go en séries spéciales

Bouygues Telecom propose des forfaits mobile sans engagement sous la forme de séries spéciales. Ils se caractérisent par des enveloppes data mobile généreuses.

Jusqu’au 8 juillet, Bouygues Telecom propose en effet trois forfaits mobile sans engagement en séries spéciales avec de bonnes quantités de data mobile. Facturé 12,99 euros, le premier inclut les appels/SMS/MMS illimités, ainsi que 60 Go de data, dont 10 utilisables depuis le reste l’Europe et les DOM. Il comprend par ailleurs trois mois d’abonnement Premium au service de streaming musical Spotify. Affichés à 14,99 et 16,99 euros, les deuxième et troisième font passer à une enveloppe data de 80 et 100 Go.

À noter pour terminer qu’il faudra payer 10 euros au moment de la commande pour la carte SIM triple découpe.

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Realme 6 Pro : le smartphone testé par Univers Freebox, une belle proposition sur le milieu de gamme

La rédaction d’Univers Freebox a reçu plusieurs smartphones Realme, une jeune marque chinoise qui entend marcher sur les plates-bandes d’acteurs comme Xiaomi en proposant elle aussi des configurations intéressantes à prix serré. Voici donc le test du modèle Realme 6 Pro, en attendant ceux des Realme 6, Realme 6i et Realme C3.

Avant de passer au test, voici un rappel des principales caractéristiques du Realme 6 Pro, qui coûte 349,90 euros et dont un exemplaire nous a été prêté par la marque :

 


Fiche technique du Realme 6 Pro : les caractéristiques


–   Processeur : octa-core jusqu’à 2,3 GHz (chipset Snapdragon 720G)
–   Mémoire vive : 8 Go en LPDDR4x


–   Écran : dalle IPS 6,6 pouces avec une définition FHD+ (2 400 x 1 080 pixels)
–   Audio : son sortant de la tranche inférieure
–   Stockage : 128 Go en UFS 2.1 (extensible, grâce à un slot MicroSD dédié)


–   Deux logements Nano-SIM accessibles depuis un tiroir de la tranche gauche
–   Compatibilité 4G : support des bandes B1/B2/B3/B4/B5/B7/B8/B20/B28
–   Compatibilité 5G : non


–   Quadruple capteur photo au dos (organisé en ligne) : 64 + 8 + 12 + 2 Mégapixels (principal + ultra grand-angle + téléphoto + macro)
–   Double capteur photo à l’avant : 16 + 8 Mégapixels (principal + ultra grand-angle) dans un poinçon excentré


–   Prise casque 3,5 millimètres : oui (tranche inférieure)
–   Connectique de charge : USB-C (dans la tranche inférieure)
–   Support Wi-Fi : 802.11 a/b/g/n/ac
–   Connectivité Bluetooth : version 5.1
–   Support NFC : oui


–   Batterie : 4 300 mAh non amovible
–   Recharge filaire : support de la charge 30 Watts (bloc fourni dans la boîte)
–   Recharge sans-fil : non


–   Système d’exploitation : Android 10 avec l’interface Realme UI


–   Solutions de déverrouillage : reconnaissance faciale avec le capteur photo frontal ou lecteur d’empreintes digitales sur la tranche droite
–   Patchs de sécurité installés durant notre test : juin 2020


 

Un smartphone avec un design réussi, mais salissant

 

De face, le Realme 6 Pro ne se démarque pas vraiment des autres, suivant en effet la tendance actuelle des écrans avec un ou deux poinçons à la place de l’encoche.

De dos, il se différencie par son éclair apparaissant selon l’angle. Pour l’anecdote, un passant curieux nous a même demandé quel était notre modèle de smartphone.

En main, le smartphone offre une bonne préhension avec des lignes arrondies. Sauf lorsqu’il est tenu en mode paysage pour le jeu ou la vidéo, avec cette ligne de capteurs photo qui peut se retrouver sous l’index. Excentré, ce bloc photo rend également instable le smartphone lorsqu’il est posé sur la table. Un constat récurrent ces temps-ci avec la multiplication des capteurs photo.

Fort heureusement, la surcoque de protection fournie atténue les effets de cette protubérance au dos. Elle vous évitera également les traces de doigt qu’attrape facilement la coque du smartphone.

 

Un écran sans encoche, pas de son stéréo

 

Comme dit plus haut, pas d’encoche. Le Realme 6 Pro opte en effet pour un écran poinçonné. Il y a d’ailleurs deux poinçons, ce qui rend la partie photo avant moins discrète par rapport à d’autres smartphones que nous avons testés.

À l’usage, l’écran n’offre pas une luminosité extraordinaire pour un usage en extérieur lors d’une journée ensoleillée, mais une bonne fluidité grâce à son taux de rafraîchissement 90 Hz. Ce second paramètre est d’ailleurs ajustable depuis les paramètres (Affichage et luminosité / Fréquence d’actualisation de l’écran). On peut choisir entre 60 et 90 Hz, ou bien opter pour une sélection automatique en fonction de l’application.

La température des couleurs fait également partie des choses ajustables.

Côté son, pas de stéréo. Il sort en effet uniquement de la tranche inférieure, ce qui est dommage en jeu ou en vidéo. On note en revanche que celui-ci ne manque pas de patate, propose un début de basses et se laisse écouter à plein volume (sauf avec les sons un peu trop criards).

Quant aux écouteurs filaires, ils pourront se brancher en mini-jack. Le Realme 6 Pro dispose de cette connectique. Elle se retrouve dans la tranche inférieure avec la grille de haut-parleur et le port USB-C.

 

6 capteurs photo en tout

 

Le Realme 6 Pro multiplie en effet les capteurs photo, en proposant 4 à l’arrière et 2 à l’avant. À l’usage, il montre ainsi une certaine polyvalence, à défaut d’exceller. En ultra grand-angle, par exemple, les couleurs sont un peu ternes et les clichés manquent de détails. Le mode macro reste exploitable, à condition de ne pas être exigeant. Le mode nuit améliore l’ordinaire, mais sans briller non plus.

Ci-dessous, une photo de jour en extérieur avec sa version ultra grand-angle et ses versions zoomées 2x/5x :

 

 

Une autre photo de jour en extérieur et sa version ultra grand-angle :

Une photo de jour en extérieur avec le mode macro :

Une photo en extérieur, avec du flou d’arrière-plan :

Une photo en intérieur le soir, avec une jeune Leeloo ayant la bougeotte :

Une autre photo en intérieur le soir, avec notre petit robot :

Un selfie en intérieur, à la rédaction  :

Une photo de nuit en milieu urbain, avec sa version corrigée par le mode nuit :

 

Une compatibilité avec la B28

 

Le Realme 6 Pro pourra intéresser les abonnés Free Mobile puisqu’il gère la 4G 700 MHz, la fameuse B28. Notez également qu’il offre deux logements SIM. Pas de slot hybride obligeant à choisir entre fonctionnement dual-SIM et extension de la mémoire de stockage.

Ci-dessous, des débits obtenus en extérieur :

  

Puis en intérieur, depuis la salle de rédaction et une zone résidentielle :

 

 

Un smartphone joueur

 

Avec le processeur octa-core 2,3 GHz apporté par le chipset Snapdragon 720G et la mémoire vive 8 Go, le Realme 6 Pro lançait tranquillement nos habituels Asphalt 9 et Call of Duty Mobile avec des temps de chargement assez courts, une bonne fluidité et une chauffe contenue.

Dans AnTuTu, le Realme 6 Pro se retrouve entre le Samsung Galaxy S9 et le Xiaomi Mi Note 10 Pro. Il se retrouve également dans l’ombre de… lui-même. Concernant la mémoire de stockage interne, l’outil Disk Speed indiquait 221 Mo/s en écriture et 477 Mo/s en lecture.

 

 

Une bonne autonomie et une charge très rapide

 

Passons maintenant à l’autonomie, assurée par une batterie 4 300 mAh. On tient facilement la journée et demie. Les moins gourmands pourront espérer tenir 2 jours loin du secteur.

Ci-dessus, deux exemples d’utilisation :

(1er cas) : Départ à 17h42 avec 100 % et arrivée le surlendemain à 13h57 avec 13 % :
– 1 heure de YouTube avec le son du smartphone
– 20 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 30 minutes de partage 4G
– Consultations et alertes Twitter / Gmail
– Surf sur Internet
– 1 appel
– Quelques SMS
– 10 téléchargements d’applications, dont 3 gros
– 22 mises à jour d’applications
– Mise à jour système pour passer aux patchs de juin 2020
– Fonctionnement de StopCovid
– Photos
– Benchmarks
– Tests de débits
– Manipulation + capture d’écran

(2e cas) : Départ à 15h12 avec 100 % et arrivée le lendemain à 17h15 avec 41 % :
– 1 heure et 5 minutes de streaming audio avec les écouteurs Bluetooth
– 60 minutes de jeu avec le son du smartphone
– 10 minutes de YouTube avec le son du smartphone
– Consultations et alertes Twitter / Gmail
– Surf sur Internet
– Quelques SMS
– 2 mises à jour d’applications
– Fonctionnement de StopCovid
– Photos
– Tests de débits

Dans le pire des cas, le chargeur 30 Watts (5V/6A) fourni permet de récupérer pas mal d’autonomie en très peu de temps. De quoi envisager une charge express avant de prendre la route.

Ci-dessous, un suivi de charge :
– 13h58 : 13 %
– 14h03 : 20 %
– 14h08 : 30 %
– 14h19 : 53 %
– 14h28 : 69 %
– 14h39 : 81 %
– 14h49 : 90 %
– 14h56 : 95 %
– 15h12 : 100 %

 

Une interface Realme UI très (trop ?) complète

 

L’interface Realme UI fournie repose sur Android 10. Elle contient quelques applications préinstallées dans le cadre de partenariats commerciaux, dont Yandex, Facebook et Opera. On peut les désinstaller.

 

 

Assez complète (même un peu trop, au point qu’on s’y perd un peu dans les nombreux réglages), la partie logicielle propose quelques fonctions pratiques, dont :

– Le mode sombre
– La gestion de la température d’affichage avec une possibilité de planification horaire
– L’affichage multifenêtre
– La barre latérale pour ajouter des raccourcis vers des fonctions ou applications favorites
– La gestion des gestes sur l’écran éteint (un V pour allumer la lampe-torche très pratique, par exemple)
– La possibilité de bloquer les fausses bornes d’accès

 

Concernant les patchs de sécurité, nous avions ceux de juin 2020, après l’installation d’une mise à jour. Notre smartphone était à jour.

 

Quant aux solutions de déverrouillage, elles se révèlent très efficaces. Le lecteur d’empreintes sur la tranche droite amène en un clin d’oeil sur l’écran d’accueil. Idem pour la reconnaissance faciale, surtout lorsqu’elle est paramétrée de manière optimale (déclenchement lors d’un tapotement sur l’écran ou lors de la prise en main). Nous l’avons même testée dans le noir, avec succès à chaque fois. Comme dirait l’autre, “c’est toujours un succès”.

 


VERDICT

Au regard des 350 euros affichés, le Realme 6 Pro en offre pas mal : design soigné, écran 90 Hz sans encoche, bonnes performances pour jouer, bonne polyvalence en photo, solide autonomie, charge très rapide, mini-jack et support de la B28. Alors, oui, il ne propose de son stéréo ni de charge sans-fil, mais cela reste pardonnable sur son segment tarifaire. Le seul vrai reproche, c’est l’interface logicielle riche, mais dans laquelle on se perd facilement. Une réorganisation serait bienvenue. Fort heureusement, le moteur de recherche permet de s’y retrouver. Au moins l’interface a-t-elle le mérite d’être à jour. Chose notable enfin : le boîte inclut une coque de protection et le chargeur adéquat pour profiter de la charge rapide.


 

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Expositions aux ondes : impossible de démontrer l’absence de risques, selon l’Anses

L’Anses est attendue à propos d’un rapport concernant les risques sanitaires liés à la 5G. Elle préfère l’annoncer d’emblée : il n’y aura pas de réponse facile à interpréter, pas de réponse totalement tranchée. La science ne permet pas de démontrer l’absence totale de risques.

L’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) doit produire un rapport au premier trimestre 2021 à propos des risques sanitaires liés à la 5G, dont le lancement doit intervenir d’ici la fin de l’année. Des conclusions très attendues par certains maires écologistes réclamant un moratoire en l’absence de données sur ces risques. Ce mercredi 1er juillet, une table ronde s’est d’ailleurs tenue au Sénat, afin d’aborder la question. Olivier Merckel, chef de l’unité d’évaluation des risques liés aux agents physiques à l’Anses, a joué la carte de la transparence concernant ce rapport. 

Une absence de risques impossible à démontrer

Si les pouvoirs publics voudraient “la réponse la plus facile à interpréter” pour “savoir comment déployer ou pas”, il a indiqué être obligé de décevoir. “On ne pas démontrer qu’il n’y a pas de risques”, a-t-il lâché, insistant sur le fait que ça n’est “pas possible”, “on ne pourra jamais démontrer qu’il n’y a pas de risques liés à une technologie”. Même si c’est inconfortable, la science ne peut pas donner de réponse totalement tranchée, aussi bien concernant l’absence de risque ou la présence d’un risque avéré. Il s’agira de faire “au mieux”.

La source la plus préoccupante n’est pas celle pointée du doigt

Olivier Merckel nuance en rappelant que “tous les travaux menés jusqu’à présent par l’Anses ne mettent pas en évidence de risques avérés liés à l’exposition notamment aux antennes-relais de téléphonie mobile (2G, 3G, 4G)”. Il rappelle également que de par sa proximité avec le corps le téléphone mobile expose davantage aux ondes que les antennes-relais. C’est selon lui “la source la plus préoccupante à partir du moment où on s’intéresse, on se questionne sur l’exposition”. Le facteur est “de l’ordre de 100 ou 1 000 fois plus élevé pour le téléphone mobile”.

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5G : les maires écolos, une nouvelle épine dans le pied du gouvernement

Au regard de la portée industrielle de la technologie, le gouvernement veut déployer la 5G au plus vite. Sauf que l’arrivée de maires écologiques dans des grandes villes s’annonce comme déjà un caillou dans la chaussure. Ceux-ci réclament en effet un moratoire.

Pour le gouvernement et l’Arcep, pas question de prendre du retard sur un dossier aussi important que celui de la 5G. Au-delà des débits en hausse, la technologie va en effet de pair avec des grps chantiers tels que la voiture autonome, la ville intelligente et la télémédecine. Ils souhaitent ainsi un lancement des premières offres dès la fin de l’année et excluent donc l’idée d’un report comme demandé par une partie des opérateurs et des associations, mais également par quelques maires. 

“Un vrai débat”

Sans certitude concernant la nocivité de la nouvelle technologie sur la santé (baisse de la fertilité, problèmes de sommeil, développement de cancers, etc.) et l’environnement (consommation énergétique), malgré les éléments de réponses apportées par les spécialistes et les opérateurs, plusieurs nouveaux maires écologistes réclament en effet un moratoire. C’est le cas à Besançon, Bordeaux, Poitiers et Nantes. 

“La 5G pose des problèmes de santé publique. Attention à ne pas courir après des technologies qui nous amèneraient dans le mur”, lâchait dans un tweet Anne Vignot, récemment élue maire de Besançon, pour qui le principe de précaution doit être de mise en attendant les conclusions définitives de l’Anses attendues début 2021.

“Je trouve totalement inadmissible qu’on puisse l’imposer sans expliquer, sans discuter, sans voir ce que sont les aspirations des habitants”, indiquait à RTL Pierre Hurmic, qui été récemment élu maire de Bordeaux et réclame “vrai débat”.

“Il y a de nombreux motifs pour s’opposer à la 5G, mais le principal d’entre eux est l’impact catastrophique en termes de consommation énergétique. On pourrait aussi se contenter de ce qu’on a, la 4G fonctionne très bien”, répondait au Parisien Léonore Moncond’huy, nouvelle maire de Poitiers.

Des bâtons dans les roues

Si les maires n’ont pas le pouvoir d’empêcher l’arrivée de la 5G dans leur ville, ils peuvent en revanche le retarder en multipliant les recours administratifs, ce qui ne ferait évidemment pas les affaires du gouvernement qui souhaite logiquement avancer une fois les fréquences attribuées aux opérateurs.  plus, Besançon, Bordeaux, Poitiers et Nantes sont loin d’être des bourgades. Si d’autres grosses villes rejoignaient le mouvement, la pression pourrait s’accentuer sur le gouvernement.

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Google veut vous aider à saisir encore plus vite vos messages sur smartphone

Une fonction très pratique pourrait arriver sur les smartphones. Basée sur l’IA, elle permettrait en effet d’accéder la saisie des messages.

Depuis 2018, l’intelligence artificielle Smart Compose permet d’accélérer la rédaction des e-mails dans la messagerie électronique Gmail, grâce à des suggestions de phrases s’affichant au fil de la saisie. Elle est arrivée par la suite dans la suite bureautique Google Docs.

Comme l’ont remarqué certains, la technologie Smart Compose fait l’objet de tests au sein de la version bêta de Gboard, le clavier virtuel proposé sur les smartphones. Concrètement, un glissement vers la droite permettrait de valider ou non la suggestion de l’intelligence artificielle, puis de continuer la saisie du message jusqu’à la suggestion suivante. De quoi potentiellement améliorer la saisie dans les applications de messagerie telles que Messages, Messenger, Telegram ou encore WhatsApp. Sans oublier les éventuelles fautes de frappe évitées.

Source : Presse-Citron

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Auchan Telecom dégaine un forfait 100 Go en promotion à 9,99 euros par mois

Auchan Telecom propose un forfait mobile 100 Go en série limitée. Sans engagement, celui-ci revient à 9,99 euros par mois.

Jusqu’au 14 juillet, Auchan Telecom propose un forfait mobile 100 Go à 9,99 euros par mois au lieu de 19,99 euros par mois. Le tarif promotionnel vaut pour les 12 premiers mois.

Sans engagement de durée, le forfait comprend dans le détail les appels, SMS et MMS en illimité, ainsi que 100 Go de data mobile (débit réduit au-delà) en 3G ou 4G (selon la couverture disponible). Il prévoit aussi les appels, SMS et MMS illimités, ainsi que 5 Go de data, depuis l’UE et les DOM.

Notez qu’il faudra payer 10 euros pour la carte SIM triple découpe, au moment de la commande.

Comme Cdiscount Mobile ou NRJ Mobile, la marque Auchan Telecom appartient à Euro Information Telecom, cinquième opérateur mobile en France avec 2 millions de clients, d’ailleurs en passe d’être racheté par Bouygues Telecom. Elle utilise les réseaux de Bouygues Telecom, Orange et SFR.

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Des opposants à l’arrivée d’une antenne Free remportent finalement une manche face à l’opérateur

Des riverains pensaient la partie presque perdue face à l’arrivée d’une antenne Free et pourtant ils viennent de remporter une manche face à l’opérateur. Les travaux ont été mis en pause.

Mi-juin, nous relations une énième opposition de riverains face à l’arrivée d’une antenne Free. C’était à Talloires, dans le département de la Haute-Savoie, où les opposants craignaient une surexposition aux ondes, notamment du fait que le site pourra servir à la 5G. Ils dénonçaient aussi une installation ne respectant pas la Loi Littoral, car risquant de dénaturer un site dans une zone classée agricole. Les inquiétudes portent par ailleurs sur un impact sur la valeur des biens immobiliers à proximité. 

Une évolution presque inespérée pour les riverains

Les riverains voulaient bloquer les travaux pour l’installation du pylône de 25 mètres prévu pour accueillir l’antenne de Free. Sauf qu’une erreur a permis leur démarrage. Si les opposants comptaient sur deux recours déposés devant le tribunal administratif de Grenoble, ils déploraient le débordement des tribunaux avec le confinement et craignaient ainsi que les travaux ne soient achevés entre temps.

Malgré cela, le tribunal administratif de Grenoble s’est récemment prononcé, réclamant l’arrêt des travaux, le temps d’un jugement sur le fond. S’ils n’ont pas encore remporté leur bras de fer face à Free, les riverains peuvent pour l’instant souffler dans un combat qu’ils mènent depuis plusieurs mois. “Il s’agit pour nous d’un très bon résultat et nous espérons que le Tribunal prendra une décision dans le même sens pour l’annulation de la déclaration de travaux”, estime l’un des opposants.

Source : L’Essor Savoyard

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