Auteur : anthony

L’application de Google s’inspire de Waze, également détenu par la firme de Mountain View, et permettra de signaler des événements comme la présence de radars ou des accidents. 

Waze avait depuis ses débuts une fonctionnalité qui la rendait très populaire en tant que GPS : la possibilité de signaler les événements en direct. Cet aspect communautaire permettait notamment de générer un itinéraire différent selon les accidents indiqués sur un trajet, calculer le ralentissement provoqué … Mais surtout indiquer la présence de radars et de policiers sur votre route. 

Un aspect communautaire qui n’existait pas encore sur Maps, l’appli GPS officielle de Google. Si la fonction avait été repérée en juin dernier dans le code de l’application, elle n’a été activée que récemment par le géant américain et permettra d’avoir un itinéraire plus réactif aux aléas de la vie. 

Une nouvelle fonctionnalité bienvenue mais encore incomplète. En effet, seuls les signalements faits par les utilisateurs sont visibles pour l’instant et on n’y trouve donc pas d’alertes radar ou accident . En attendant la prochaine mise à jour sans doute. En attendant, il faudra compter sur la participation des utilisateurs pour bénéficier d’alertes. 

Pour rappel, le signalement des radars stricto sensu n’est pas autorisé sur les appareils GPS et avait fait polémique concernant Waze, qui avait renommé ce type de signalement par "zone de contrôle" pour rester dans la légalité sans supprimer ce qui faisait son attrait pour les utilisateurs

Cette officialisation d’une nouvelle fonction, rapprochant de plus en plus l’appli officielle de la start-up rachetée par Google en 2013 pose quelques questions. Si Waze et Maps partagent des données de trafic et maintenant des fonctionnalités qui ont fait l’attrait du premier, est-il possible qu’une fusion des deux applications soit en projet pour la firme Mountain View? Waze reste après tout extrêmement populaire comme GPS, mais ne fait pas partie de la G-Suite, contrairement à Maps.  

Plusieurs utilisateurs Reddit ont pu observer l’apparition de la nouvelle fonctionnalité sur leur smartphone, il ne reste plus qu’à attendre son arrivée sur nos modèles. 

Source : AndroidPolice

 Oppo continue de s’étendre sur le marché européen en présentant à Milan deux modèles de smartphones hauts en couleurs et aux caractéristiques intéressantes, dont une compatibilité avec la fréquence B28 (700 mHz).

La branche low-price de OnePlus est arrivée en milieu d’année en France et fait déjà beaucoup parler d’elle notamment avec son Find X. La marque ne s’arrête pas là, puisqu’elle vient de lever le voile sur le prochain arrivage Européen avec le Oppo RX17 pro et sa version Neo. 

Pour le modèle original de cette nouvelle gamme, le RX17 pro, on remarque en premier son design. Il présente un écran AMOLED FullHD+ 6.4 pouces, protégé par un Gorilla Glass 6.  Il possèdera une encoche en goutte qui révèle le capteur frontal dont nous parlerons plus bas. 

Le flagship sera équipé d’un capteur Snapdragon 710 pour 6 Go de RAM et 128 Go de stockage, qui ne seront pas extensibles par Micro-SD. Une puissance correcte donc, malgré le fait que le processeur ne soit pas du plus haut de gamme. 

Le gros point fort de ce modèle réside surtout dans son équipement en photo. Il présentera déjà un appareil frontal à 25 Mpx, de quoi faire de beaux selfies, mais surtout un triple capteur photo à l’arrière. On trouvera deux capteurs à 12 Mpx avec des ouvertures focales respectives de f/1.5 et f/2.4 qui assisteront un capteur de 20 Mpx. Pour améliorer les capacités photos, le RX17 pro propose une intelligence artificielle en deux temps: un moteur AI-Ultra Clear qui analysera les conditions de prises et réglera les paramètres photo en fonction de celles-ci mais aussi un stabilisateur OIS évitant au mieux que vos photos soient floues.

Niveau batterie, Oppo équipe son flagship avec une double batterie 2×1850 mA avec charge rapide via la technologie SuperVOOC Flash Charge et garantit une charge complète en 40 minutes. Le paiement sans contact sera également possible grâce au module NPC équipant le flagship. 

La version Neo de ce nouveau modèle, plus accessible, propose un design sensiblement équivalent, la seule différence est le retrait d’un capteur photo à l’arrière.

Côté performance cependant, le RX17 Neo justifie la différence de gamme avec un processeur SnapDragon 660 et 4Go de RAM pour 128 Go de stockage. 

Niveau photo, même capacité pour l’avant mais l’arrière ne dispose que d’un double capteur 16 + 2 Mpx. Il embarquera une batterie de 3300 mAh et tournera, comme son modèle haut de gamme sous Android 8.1 Oreo avec une surcouche ColorOS 5.2 à sa sortie. Et les deux modèles seront compatibles avec la fréquence B28, de quoi ravir les abonnés Free mobile. 

Deux gammes de téléphones bien distinctes donc, puisque la version Pro du RX17 sera vendue à 599€ tandis que le Neo coûtera 349€ lors de leur sortie. Les intéressés pourront pré-commander dès le 9 novembre, mais ces deux modèles ne seront lancés en France que le 16 du mois. 

Source : Generation NT

Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique «  Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms … ». Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs … 

4 Novembre 1984 : Canal +, première chaîne cryptée et payante en France, est lancée.

La chaîne a été lancée un dimanche à 8h du matin pour ses 186 000 abonnés "fondateurs". Depuis ce jour la chaîne a bien grandi mais les bases étaient déjà la. Le groupe Canal projetait déjà de diffuser un large éventail de films (en évitant un trop grand nombre de rediffusion à l’année), des sports peu regardés comme le hockey ou le basket mais aussi la prédominance sur le football qui participera à la popularité de la chaîne. 

Pour les plus nostalgiques ou les curieux, voici d’ailleurs les premières minutes de la chaîne. 

5 Novembre 2007 : Et Free créa Eva au service de l’abonné

C’est vers 15h ce jour de l’année 2007 que Free avait mis à jour son site d’assistance avec une nouveauté : la présence d’une assistante virtuelle nommée Eva. Un personnage modélisé en 3D qui accompagnait les utilisateurs ayant besoin d’aide. Elle est toujours là, relookée et disponible pour accompagner les utilisateurs sur le site. 

Il n’y a pas à dire, le design 3D des années 2000, c’était sacrément vivant… 

7 Novembre 2015 : SFR annonce : c’est la fin de Numéricable et Virgin Mobile

C’était pourtant le groupe Altice-Numéricable qui avait racheté l’opérateur, mais le changement de nom a donné raison à la marque la plus forte. Ainsi il y’a 3 ans, le groupe a annoncé la disparition des offres de Numéricable mais aussi de Virgin Mobile. Les abonnés de ces marques ont été reconduits vers les offres SFR qui y correspondaient. On se souvient pourtant des pubs décalées de Virgin Mobile qui passaient à la télé, la fin d’une époque… 

 Même JCVD n’a rien pu faire apparemment.

3 Novembre 2013 : Le dernier numéro de Minitel actif disparaît

Si le minitel a cessé d’être utilisé depuis bien des années, une relique du passé persistait encore. En effet, en 2013, le service MIAMI ou 3618 était le dernier service encore en fonction et permettait (à l’époque) de communiquer entre différents minitels. Surprenant qu’il ait tenu jusque là, alors que le réseau avait été coupé en 2012. 

5 Novembre 2009 : Deezer lance son service payant après deux ans de gratuité

Depuis 2007, le service en ligne Deezer permettait d’écouter de la musique en ligne gratuitement. Ce jour de novembre marque un tournant pour le service, qui propose pour la première fois un abonnement payant, permettant d’éviter que son écoute soit interrompue par des publicités. Un grand pas dans la cour des grands pour le service de streaming Français, encore populaire aujourd’hui.

Pour une fois, finissons cette chronique en musique !  

Nous parlions hier de la place des fabricants chinois sur le marché mondial des smartphones et Xiaomi, 4ème du classement, n’est pas avare en annonces. 

Le Mi Mix 3 sera bien disponible en France

Commençons par une annonce Xiaomi a confirmé que son smartphone à écran coulissant, le Mi mix 3, sera disponible en Europe d’ici le premier trimestre de 2019.

Ce flagship quant à lui présente des nouveautés sur son design, avec donc cet écran borderless coulissant manuellement et qui révèle l’appareil photo frontal. Un processeur SnapDragon 845, bien sûr, 6 ou 8Go de RAM mais c’est aussi au niveau de ses capacités photos que le smartphone veut se démarquer.

Si au niveau de l’équipement, il ressemble au Mi 8 Pro évoqué plus bas avec un double capteur 12 megapixels à l’arrière, il possède un logiciel de traitement de photo permettant beaucoup plus de libertés aux photographes. Des photos que vous pourrez traiter sur un écran de 6.4 pouces FullHD+.  Et surtout, pour les abonnés Free : la B28 marche sur ce modèle ! 

La marque étends son territoire Européen en arrivant chez les Anglais

Une annonce est apparue hier sur les réseaux sociaux de la marque chinoise. Mi débarquerait ainsi au Royaume-Uni dès le jeudi 8 novembre avec ce qui semble être le Mi 8 Pro. C’est en effet ce qu’annonce la marque sur sa page facebook et son compte twitter en proposant en avance les liens de live de l’annonce, prévue pour 15h (heure française), le 8 novembre à Londres. 

The latest in tech, meet our new flagship, the future at your fingertips. #LookInsideMi

Xiaomi’s very FIRST launch in the UK is at 2 PM on 8th Nov. 2018.
Click the link and stay tuned!https://t.co/gzdque71QFhttps://t.co/GDRrvYelDA pic.twitter.com/IdLRJJtb7w

— Mi (@xiaomi) 5 novembre 2018

 On ne connaît pas trop le Mi 8 Pro, sa version Lite venant seulement de débarquer en France il y’a un peu plus d’une semaine. On connaît en revanche plusieurs caractéristiques du flagship. Il sera équipé d’un processeur SnapDragon 845 pour 6Go de RAM et 128 Go de stockage. On y trouvera un écran OLED de 6.2 FullHD+, une batterie de 3000 mAh et tournera sur Android 8.1 à sa sortie.

Niveau photo, on y trouve un double capteur 12 megapixels à l’arrière et un appareil frontal à 20 megapixels. Il sera capable de capturer de la vidéo en 4K. Toujours pas de B28 pour les abonnés Free mobile cependant.  

Mais la grosse nouveauté que ce flagship présente, c’est surtout le capteur d’empreinte digitale sous l’écran, que tout le monde veut adopter en ce moment.  C’est d’ailleurs sur cela qu’insiste la marque dans son annonce avec un visuel très explicite. Cette arrivé sur le marché Londonien serait aussi l’occasion pour le géant chinois d’ouvrir sa première boutique physique au Royaume-Uni après en avoir ouvert plusieurs en France. Aucun prix pour le marché européen n’est annoncé, mais il était disponible en import sur GearBest à 538€.  

Un smartphone plus puissant en préparation…

On entre maintenant dans le domaine de la rumeur avec le site chinois GizChina qui explique que le prochain modèle suivant le Mi 8, le Mi 9 pourrait être équipé d’un nouveau processeur Snapdragon 8150/ Snapdragon 855, qui succéderait au 845. 

Et cela ne serait pas la seule nouveauté que le flagship pourrait embarquer. Il est aussi mentionné que son capteur photo serait le IMX586 48 Mpx de Sony qui a été annoncé il y’a quelques mois.  

Ces deux nouveaux composants n’équipant pour l’instant aucun modèle annoncé par des concurrents, cela pourrait marquer l’arrivé de Xiaomi sur du très haut de gamme très bientôt. 

Cependant, ces rumeurs sont ce qu’elles sont, il convient d’être prudent et d’attendre début 2019 pour connaître un peu mieux ce projet qui n’a en rien été officialisé pour le moment.  

Sources : BFM TV , Generation NT, Frandroid

Nous testons pour vous cette semaine la version anniversaire d’un monument du jeu mobile, disponible sur le playstore de la Freebox Mini 4K en freemium. 

A l’heure ou les jeux android sont de plus en plus performants, demandent de plus en plus de ressources il est bon de revenir aux bases. Et même aux bases du jeu vidéo lui même, avec un jeu qui n’aurait pas volé sa place sur une borne d’arcade dans les années 80. 

Sky Force anniversary, l’édition qui fête donc la dixième année du jeu Sky Force sur mobile vous mets dans la peau d’un pilote devant lutter contre les forces militaires démesurées d’un général despotique. Pas vraiment besoin de plus de scénario que ça pour un jeu qui repose majoritairement sur les réflexes et l’envie… de tout faire exploser. 

Tellement d’explosions qu’on se croirait dans un Michael Bay

Car c’est cette expérience que vous propose le jeu : vous êtes dans un avion et vous devez détruire vos ennemis et sauver quelques alliés. Pour cela on disposera d’un gameplay simple : si vous utilisez la télécommande il vous suffira de diriger votre avion à l’aide des flèches directionnelles, pour ceux qui préfèrent le gamepad, on y rajoute simplement un bouton de tir (le bouton A). Une fois que vous connaissez ces deux paramètres, le reste ne tient qu’à vous et à vos réflexes. 

On est très vite lancé dans l’action, une flopée d’avions ennemis vous fonce dessus dès les premières secondes

Cependant détruire les ennemis ne suffit pas, il faut aussi récolter les divers items que vos assaillants lâcheront derrière eux une fois que vous les avez abattu. On en trouve trois différents : les étoiles, les plus fréquentes, qui constituent la monnaie du jeu, les coeurs, qui vous redonnent de la vie (et vous allez en avoir besoin) et les médailles, qui se collectent au fur et à mesure de l’avancée du niveau pour débloquer un power-up. Vous apprendrez vite à repérer quels items se cachent souvent dans quels ennemis, sauf pour les étoiles qui apparaissent quel que soit l’ennemi, seul leur nombre varie. 

Slalomez entre les tirs pour récupérez vos étoiles ou votre vie ! Si vous vous en sentez capable, vous pourrez même réaliser des combos. 

Si il existe une monnaie dans le jeu, c’est bien sûr pour améliorer votre avion. Si l’introduction vous mets dans un avion sur-équipé, vous commencerez le jeu avec un avion fragile, ne possédant qu’un canon d’attaque et ne faisant que très peu de dégâts. Il faudra pour cela vous rendre dans un hangar, ou on vous proposera d’améliorer vos équipements pré-existants (canon principal et santé), puis d’acheter des nouveaux équipements : des canons auxiliaires, un aimant pour attirer les items à vous…

Il va vous falloir quelques parties avant de pouvoir récupérer la puissance de votre ancien avion. 

Le jeu est certes prenant, mais il propose aussi un réel challenge. Outre sa difficulté, qui est assez élevé pour ne pas qu’on se lasse trop vite, on vous propose pour chaque niveau des objectifs supplémentaires (abattre 70% des ennemis, sauver tous les alliés…) pour pimenter vos phases de gameplay. Ces objectifs supplémentaires sont optionnels… ou presque. En effet par exemple pour passer au second niveau, il faut finir le premier mais aussi remplir un de ces objectif. 

Après une heure d’essais et le passage en mode multi-joueur, nous sommes difficilement venus à bout… du premier niveau Sur neuf. 

Si vous ne vous sentez pas de taille face à l’armée que vous affrontez, pas de problème, vous pouvez vous aussi demander du renfort avec un mode deux joueurs. Pour cela, il faudra bien sûr avoir un gamepad et vous pourrez ainsi affronter les ennemis à deux, opter pour une stratégie de défense…  

Niveau graphisme, rien à redire : le jeu est très beau. Certes il s’agit toujours d’un jeu proche de l’arcade, mais le design est résolument moderne et coloré, le dynamisme du jeu ne l’empêche pas d’être lisible. Les animations sont très bonnes et vous vous retrouverez très satisfait de voir un mid-boss exploser suite à vos assauts répétés. La musique mets aussi très bien dans l’ambiance, rythmée et peu répétitive. 

Quelques exemples pour le plaisir des yeux…

Il est temps d’aborder le petit soucis du jeu: son aspect freemium. Si le premier et le second niveau peuvent vous prendre pas mal de temps à passer, ça sera la votre dernière expérience gratuite sur le jeu. Les niveaux suivants devront être achetés dans une version complète à 4.99€. Un prix raisonnable pour un jeu android de cette qualité, certes, mais assez frustrant pour ceux qui se retrouveraient bloqués après le niveau deux et qui n’avaient pas prévu de payer au départ. 

C’est cependant le seul aspect négatif du jeu qui n’en est finalement pas vraiment un, juste inhérent au système de jeux du playstore de maintenant. Sky Force Anniversary fait honneur à sa licence, en proposant un gameplay simple, une expérience intense et une qualité graphique impressionnante. Il rappellera certainement à quelques un d’entre vous les heures passées sur les bornes d’arcade et risque de vous occuper pour pas mal de temps si vous avez la fièvre du High Score.Vous pourrez le trouver sur le playstore de la Mini 4K mais aussi sur ce lien. 

Le modèle moins cher d’Apple ne verra pas sa production augmenter pour la fin de l’année. 

L’iPhone XR, le nouveau né d’Apple et dernier de la gamme d’extension de l’iPhone X présentait pourtant toutes les qualités pour être le best-seller de fin d’année pour la Pomme. Il semblerait pourtant, d’après l’indice Nikkei, que le géant américain ait choisi de ne pas produire plus de stock pour le reste de 2018.

Un choix curieux mais qui peut se justifier. On peut noter déjà le fait que le marché du smartphone soit dans une phase de recul de 6% en un an, ce qui pourrait expliquer l’envie d’Apple d’éviter de produire un surplus de stock. Avec ce contexte économique la firme américaine réviserait assez régulièrement ses stratégies de production pour éviter ce cas de figure. 

On note aussi comme potentielle raison l’augmentation de la vente des iPhone 8 et 8 Plus qui ont bénéficié d’une baisse de prix avec l’arrivée de la nouvelle gamme X. Puisqu’ils restent présents sur le catalogue Apple, la marque pourrait anticiper la vente de ces modèles en fin d’année et donc éviter de produire trop de XR pour les fêtes. 

Cette non-augmentation de production risque de décevoir les statisticiens qui s’étaient prononcées sur des estimations de ventes, puisqu’on parle d’une réduction de production allant jusqu’à 25% pour les prévisions les plus optimistes. 

Même les assembleurs d’Apple Pegatron et Foxconn semblaient avoir prévu une extension de leur chaîne de production. Foxconn devait même ajouter 15 lignes de production à ses 45 actuelles. Ce changement serait donc assez soudain, même pour les partenaires du géant américain. 

Si certaines raisons sont avancées, on peut tout de même se demander si cette décision n’est pas due à un succès moindre que celui attendu pour l’iPhone XR. Maintenant qu’Apple a annoncé qu’il ne révélerait plus le nombre de ventes de ses smartphones, on ne peut hélas que supposer ou attendre un improbable communiqué officiel. 

Source : Generation NT

Après la sortie en Chine du modèle pliable de Royole, Samsung, qui en parle depuis longtemps a commencé à teaser son futur modèle pliable. 

Pas de réelle annonce mais plutôt un clin d’oeil aux plus attentifs puisqu’il réside dans un changement de photo de profil sur ses réseaux sociaux principaux : Facebook et Twitter . La marque sud-coréenne y présente son logo… plié en deux, tout simplement. 

Malgré le petit buzz du premier smartphone pliable lancé par un fabricant chinois la semaine dernière, on continue de se tourner vers Samsung qui est le premier gros fabricant à s’être officiellement intéressé à cette technologie. Dans une interview le mois dernier, Samsung a fait comprendre que les intentions de la marque étaient claires : ils ne souhaitaient pas produire un gadget, mais un véritable objet utilisable et fonctionnel. 

En sachant qu’une conférence Samsung est prévue dans le courant de novembre et d’après les affirmations de la chaîne CNBC qui révélait que le modèle pourrait être officialisé en fin d’année, une présentation détaillée de ce modèle pour l’instant connu sous le nom de Galaxy F est attendue prochainement. Peut être même un lancement officiel. 

On sait depuis peu que Samsung n’est pas le seul gros fabricant à s’y intéresser, mais c’est le plus gros et la marque s’y intéresse depuis 2011, ce qui justifie des attentes hautes pour la firme sud-coréenne qui, si elle n’a pas pu lancer le premier modèle, devra proposer le meilleur du marché pour être crédible. 

Nous testons aujourd’hui pour vous l’application "Dois-je répondre ?" disponible gratuitement sur le Google Playstore pour les smartphones Android. 

Cette application a un but simple : permettre à la communauté d’utilisateurs d’évaluer la qualité des appels reçus et de catégoriser les numéros inconnus selon leur pertinence : Télé-marketing, sondages, appels automatiques… Vous pourrez ensuite filtrer les appels selon vos attentes et personnaliser les types de numéros auxquels vous êtes enclins à répondre. 

 Une application gratuite et très bien notée sur le playstore, avec une communauté assez conséquente

Pour l’installer, rien de plus simple: il vous suffit de la rechercher sur le playstore ou bien de cliquer directement sur ce lien. Il vous faut ensuite vous connecter via une adresse mail (ou un compte google) et ensuite la définir comme application d’appel par défaut sur votre smartphone et c’est installé, elle est opérationnelle. 

Installée en quelques clics sur votre smartphone, avec toutes les instructions facilitant l’installation. 

L’application reste basée sur la contribution de la communauté: c’est à dire que l’on y note les appels de numéros inconnus pour les valider ou les signaler comme indésirables. Un système de notation clair et précis puisqu’il se fait par des smileys :  ou  et des commentaires qui catégorisent l’appel inconnu.  Votre journal d’appel sera aussi segmenté, vous permettant de différencier tous vos appels des appels de numéros qui n’appartiennent pas à votre répertoire de base. 

Ainsi vous repérerez très vite les numéros sains (en vert et souriants), les numéros indésirables (en rouge, triste) et vous connaîtrez la teneur de ces appels (en dessous) 

Une fois votre application installée, vous pourrez régler les appels que vous souhaitez bloquer. Deux options vous sont proposées : bloquer les numéros selon votre propre évaluation (ainsi vous aurez une expérience personnalisée, mais n’échapperez pas aux appels spams, du moins les premiers) ou utiliser l’évaluation générale des utilisateurs. Il est aussi possible de personnaliser encore plus votre réception d’appels dans les réglages avancés. 

Vous pouvez ainsi régler aussi bien les appels sortants que les appels entrants, établir un mètre étalon pour le degré d’évaluation des numéros bloqués…

Bien sûr, tous les numéros ne sont pas évalués par la communauté, ou du moins les évaluations faites ne sont pas assez nombreuses pour noter la pertinence des appels. Lorsque vous aurez un appel d’un numéro inconnu qui n’est pas encore répertorié sur le site, vous aurez ainsi ce type de fenêtre d’appel qui vous préviendra que le numéro n’est pas forcement sûr. L’émoticône interrogatif grisé permets aussi de reconnaître la nature de l’appel très rapidement. 

Vous êtes ainsi prévenus clairement avant d’appeler et même durant l’appel. 

Si l’application en elle-même est gratuite, il y est encouragé d’y contribuer. La manière la plus simple est évidemment de noter les appels inconnus que vous recevez, de la manière la plus complète possible. Pour cela il suffit de cliquer sur le numéro dans votre journal d’appel et vous pourrez l’évaluer directement. Il vous est aussi possible de faire des dons à l’application pour la soutenir financièrement. Un clic sur un smiley et un commentaire, un don d’argent, les deux… A vous de choisir et dans tous les cas aucun n’est obligatoire. 

Une évaluation rapide, qui vous proposera directement de bloquer ce numéro si vous le souhaitez. 

Pour résumer, il s’agit ici d’une application communautaire visant à épurer vos appels des appels que vous considérez comme parasites. Vous pouvez tout autant choisir de bloquer tous les numéros considérés comme mauvais que personnaliser vos réceptions. Rappelons qu’elle est gratuite et disponible sur le playstore, facile à installer et son fonctionnement est clairement expliqué dans l’application elle-même. 

La Pomme préfère prendre son temps pour lancer un iPhone compatible en 5G quand pour d’autres fabricants la course est déjà lancée.