Auteur : anthony

Mousebot : Échappez vous de labyrinthes piégés sur la Freebox Mini 4K

 C’est aujourd’hui un jeu de labyrinthe et de réflexes amusant et gratuit que nous testons pour vous sur la Freebox Mini 4K. Il est disponible sur le play store de la box ou directement sur ce lien.

Mousebot, développé par Vector Unit est un jeu qui vous mettra dans la peau d’un robot souris sur lequel un chat scientifique teste ses pièges diaboliques. Votre mission, si vous l’acceptez, sera de survivre au labyrinthe infernal dans lequel vous êtes piégé tout en récoltant un maximum de fromage.

Le jeu vous propose une soixantaine de niveaux différents que vous devrez réussir un par un, chacun de ces niveaux étant réparti en 9 univers différents. Chaque univers proposera de nouveaux obstacles, mais aussi de nouvelles mécaniques de jeux comme le saut, pouvoir se surélever…

De nombreux pièges vous attendent et il faudra de la patience pour arriver à finir tous les niveaux !

Le gameplay de base est assez simple: vous avancez constamment et devez vous diriger à l’aide du stick directionnel gauche. D’autres fonctionnalités arriveront au fur et à mesure de votre avancée dans le jeu. Une qualité non négligeable que l’on peut noter pour Mousebot, c’est d’être très fluide pour un jeu Android TV, vous permettant ainsi de naviguer librement dans le labyrinthe sans pouvoir blâmer la manette ou la box quand votre robot est pris dans un piège. 

Le jeu vous pousse à prendre des risques pour récolter des fromages, qui sont une des monnaies qui vous servira notamment à débloquer ou acheter des skins pour personnaliser votre robot. De plus, à chaque début de niveau, le jeu vous donnera deux objectifs à remplir : le premier est de finir le niveau, l’autre équivaut à un nombre de fromages minimum à récupérer. Une jauge est d’ailleurs présente lors de votre partie pour voir où vous en êtes dans cet objectif précis. 

Récoltez un maximum de fromage ! 

De nombreux skins de personnalisation, que ça soit en peignant votre robot ou en lui octroyant des accessoires sont disponibles de deux manières. Soit vous les achetez avec de la monnaie sonnante et trébuchante ou avec des éclairs dont on parlera un peu plus bas, soit vous les gagnez pour chaque palier de 100 fromages acquis durant vos niveaux. Dans ce cas précis, vous gagnerez soit un skin soit un accessoire au hasard sans possibilité de choisir. 

Des personnalisations plus ou moins sympathique, entre le robot pirate et la tapisserie de salon…

Le jeu est aussi basé sur un système de vies limitées. Toujours dans l’optique de vous pousser à récupérer le maximum de fromages possibles et donc de prendre des risques, vous pourrez, si vous remplissez les deux objectifs du niveau, récupérer un éclair. C’est la monnaie la plus importante du jeu, puisqu’elle permets soit d’acheter des skins, mais surtout de racheter des vies supplémentaires lorsque votre compteur est arrivé à 0. Il est évidemment possible de débloquer les vies illimitées pour 4.99€ dans le jeu si vous le souhaitez. 

Ce système de vie peut vous gêner cependant, puisqu’il vous est obligatoire d’utiliser au moins un éclair pour redébloquer vos six vies initiales. Mais le jeu est assez facile pour collecter des éclairs à chaque niveaux, il faut juste être prêt à prendre quelques risques en frôlant des pièges. 

Le jeu est très coloré, les animations sont fluides et l’ambiance est assez fun pour amuser petits et grands pendant quelques temps. La durée de vie du jeu semble pouvoir tenir quelques après-midis au vu du nombre de niveaux proposés. 

En résumé, Mousebot vous permettra de vous divertir tranquillement, seul ou même en famille, et est particulièrement adapté à l’Android TV que ça soit par son gameplay ou par ses capacités techniques et visuelles. 

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Samsung prévoirait une quatrième version pour son Galaxy S10

Samsung voudrait aller un pas plus loin qu’Apple en proposant non pas trois, mais quatre versions de son futur flagship attendu en 2019. 

Le géant sud-coréen semble vouloir faire de 2019 son année, en lançant son Galaxy F pliable mais aussi tout un tas de nouveautés pour son interface et bien sûr, son futur flagship. 

On parle beaucoup du Galaxy S10 et des informations ont fuité ici et là, notamment son processeur, son potentiel écran avec encoche circulaire … Mais c’est aujourd’hui une nouveauté surprenante qui provient de sources du Wall Street Journal qui nous intéresse.

En effet, si on supposait que le smartphone serait décliné en trois versions, à la manière de l’iPhone X, ces sources "proches du projet" font état d’une quatrième version qualifiée par le média américain de "monstrueuse". 

Le smartphone connu sous le nom de "Beyond X"  serait en effet équipé de 6 capteurs photos (tandis que les autres versions en disposeraient de 3 à 5), pourrait être compatible avec la 5G et posséderait un écran 6.7 pouces, contre 6.4 pouces pour le S10 plus, la version qui était prévue comme la plus performante avant ces rumeurs. Un potentiel candidat à l’un des quatre nouveaux écrans (dont deux sans encoches) présentés par samsung lors de sa conférence en début de mois?

Les technophiles attendent donc une présentation officielle avec impatience, étant donné qu’aucune date n’a encore été annoncée pour ces modèles. Si ce "monstre" s’avère être une réelle nouvelle mouture du flagship, nul doute qu’il présentera d’autres nouveautés. 

Source : Journal du Geek 

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Google Calendar va perdre une de ses fonctionnalités phares en 2019

Une nouvelle mise à jour de l’application bien connue de la G-Suite supprimera la fonctionnalité d’envoi de SMS pour prévenir d’événements à venir. 

Google Calendar est une de ces applications qui peut vite devenir indispensable pour ses utilisateurs. Petit agenda optimisé sur votre smartphone, l’application permettait entre autres de recevoir SMS  lorsqu’une date importante approchait, ou qu’un événement attendu était annulé… Tout ça sera bientôt fini.

En effet, comme annoncé sur le blog de la G-Suite, la fin de cette fonctionnalité est prévue pour le 7 janvier 2019. Cependant ça n’est pas la fin des notifications de l’application, loin de là, simplement la fin de l’envoi des SMS. 

Pour recevoir les nouvelles de Calendar, vous pourrez opter pour deux options d’après la firme de Mountain View. L’un est simplement de pouvoir recevoir les notifications sur un navigateur internet qui a l’application ouverte ou sur un smartphone Android. Vous pourrez également recevoir les informations concernées par mail. Un choix qui appartiendra aux utilisateurs.

Le géant américain a affirmé que l’interface utilisateur de l’application subirait quelques changements afin de s’adapter à cette nouveauté.  

Entre les nouvelles fonctionnalités de Google Maps, le lancement de Google One à l’international et ce remodelage de l’application Calendar, on assiste en ce moment à ce qui semble être un renouveau des services et applications de la G-Suite. 

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Oppo travaillerait lui aussi sur un smartphone pliable

La branche soeur de OnePlus, encore assez peu connue en France, serait en train de développer un smartphone pliable d’après des croquis de brevets dévoilés sur le net. 

C’est le site Néerlandais MobielKopen qui a révélé des images provenant d’un brevet déposé par la marque chinoise concernant un nouveau smartphone. Si aucune des caractéristiques techniques n’est présentée et que le design n’est peut être pas définitif, il n’en reste pas moins une particularité de taille présente sur ce brevet : le smartphone se plie.

C’est un design qu’on a l’impression dorénavant de voir toutes les semaines depuis les apparitions du Infinity Flex Dispay et du Royole pliable, mais on a ici quelques croquis qui présentent des éléments du projet d’Oppo. 

On peut y déceler notamment une différence importante avec d’autres modèles présentés: l’écran est plié à l’extérieur. Il serait ainsi composé d’une seule dalle toujours exposée. Un choix pratique qui pourrait garantir une certaine finesse du modèle, mais aussi une exposition de l’écran aux coups.

Ce ne serait pas le premier fabriquant à en lancer un, son concurrent chinois Royole a en effet coiffé tout le monde au poteau il y a quelques semaines. Pas le plus grand non plus, puisque Samsung a lui même présenté un prototype peu de temps après. La marque pourrait cependant se démarquer, comme elle le fait déjà avec les smartphones classiques,  par ses prix. 

Car si OnePlus a annoncé qu’il s’intéressait dorénavant exclusivement au haut de gamme, tout comme Huawei qui lui même travaillerait sur un modèle pliable, Oppo reste un représentant de tout une gamme de smartphone à prix très concurrentiels. On a pu notamment le voir avec la sortie de son flagship RX17 la semaine dernière, Oppo est capable de proposer du haut de gamme pour un prix assez bas. Si la firme continue sur cette ligne et propose ce modèle en cassant les prix qui sont pour l’instant annoncés, cela pourrait être une grosse entrée pour la firme, notamment sur le marché européen où elle peine à se faire connaître.  

Source : Journal Du Geek

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Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms… La Freebox devient une console de jeu, “ne zappez plus, naviguez” avec SFR , les premiers pas de Windows etc…

Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs … 

 



16 Novembre 2010 : La Neufbox 6 ou Box Evolution de SFR est lancée

SFR lance sa nouvelle box internet avec player TV sur le marché, laquelle est accompagnée du slogan, "ne zappez plus, naviguez". Celle-ci est vendue comme écologique disposant d’un Wi-Fi dernier cri, d’une interface de navigation 3D… Mais aussi comme la plus petite box sur le marché à l’époque et compatible avec la fibre et la 3G. 

 

 


19 Novembre 2009 : Lancement de la section jeux de la Freebox HD

C’était une révolution pour les Freenautes, la Freebox HD ouvrait son service de jeux vidéos à tous. Il permettait de jouer à l’époque à des jeux classiques tels que le solitaire, le démineur… mais aussi à des ROMs sur émulateur, possédait un moteur de Doom et de Duke Nukem… Une première mondiale pour la box, qui était la première à pouvoir servir également de console de jeu pour ses abonnés. 

 Exterminer des aliens grâce à sa box, c’était possible !


20 Novembre 1985 : Windows 1.0 est lancé

C’était le début d’un géant, le lancement du premier système d’exploitation avec interface graphique de Microsoft : Windows 1.0. La marque de Bill Gates n’a d’ailleurs jamais changé le nom, continuant à développer des nouvelles versions et il est difficile de croire que vous n’ayez jamais utilisé un ordinateur tournant sur Windows de votre vie. C’est le début de l’empire Microsoft même si on ne le savait pas encore…

L’ancêtre de Windows 10… Difficile à croire non ? 


Des sorties de consoles cultes ! 

Cette semaine marque l’anniversaire de nombreuses consoles de jeux vidéos qui sont devenues cultes ou dont les descendants occupent encore le marché vidéo-ludique aujourd’hui. Le 19 Novembre 2006 marque l’arrivée de la Wii en première mondiale aux Etats-Unis, la console de salon la plus vendue de Nintendo. Avec sa WiiMote et ses ambitions de console familiale, elle se démarquait bien du nouveau né de Sony sorti deux jours avant: en effet, la PS3 a été lancée le 17 Novembre 2006.  Remontons plus loin dans le temps avec la première console de Microsoft, la XBOX, sortie le 15 Novembre 2001 dont les descendants se disputent toujours les parts de marchés avec Sony, aujourd’hui se concentrant sur la PS4 sortie depuis le 15 Novembre 2013 ! 

Cette chronique est aussi l’occasion de célébrer deux anniversaire de consoles Nintendo. En effet, le 21 Novembre 1990 sort la console culte d’une génération : la Super NES tandis que 14 ans après, le 21 Novembre 2004 sort la console portable la plus vendue au monde : la Nintendo DS. Joyeux anniversaire donc à ces deux consoles, montrant que peu importe les générations, Nintendo a su conquérir de nombreux (grands) enfants. 

 Les 3 géants du gaming mis à l’honneur cette semaine, comme quoi l’approche des fêtes ça motive à sortir des consoles !


18 Novembre 2005 : Lancement de Gulli

Après avoir parlé des grands enfants, cette semaine marquait aussi un anniversaire qui touche les tout petits, puisque Gulli a été lancée à 18h le 18 Novembre 2005. Fruit d’un partenariat entre le groupe Lagardère et France Télévision, la chaîne est destinée aux enfants et propose de nombreux dessins animés, mais aussi des émissions variées. Elle est toujours disponible sur la TNT, mais aussi par satellite, cable, ou sur internet. 

Il est probable que cette chaîne ait bercé la jeunesse de vos frères et soeurs ou de vos enfants.

 

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LG pourrait tenter de revenir sur le marché des smartphones d’entrée de gamme

 

LG a depuis plusieurs années un peu de mal à se faire une place stable sur le marché des smartphones. Néanmoins,  les visuels et quelques informations qui ont fuité sur son prochain flagship, le LG Q9, peuvent annoncer du neuf chez la firme sud-coréenne.

La gamme Q est connue depuis quelques années pour reprendre des éléments du design de smartphones haut de gamme pour les adapter à des modèles moins puissants. Cette tendance est respectée puisque le Q9, sur ces visuels, est montré comme possédant une encoche en haut et un menton plutôt bas. 

Si les capacités de l’écran sont encore inconnus, rendus oblige, nous pouvons cependant voir qu’il serait équipé d’une prise casque et d’une prise USB-C. L’arrière ne nous est malheureusement pas révélé. 

D’autres fuites cependant ont révélé que le futur flagship sud-coréen pourrait embarquer un processeur Qualcomm SnapDragon 660, de 4 Go de RAM pour soit 32 soit 64 Go de stockage qui seraient extensibles jusqu’à 2To par micro-SD. Côté batterie, d’après les informations du  leaker MadSimar, on pourrait compter sur une autonomie correcte avec une capacité de 3500 mAh. Le tout tournant sur Android 8.1, comme beaucoup de smartphone d’entrée et de milieu de gamme. 

Ce qui pourrait décider du succès ou non de ce modèle, c’est son prix à sa sortie. En effet, la gamme Q de LG a pour réputation de proposer des capacités de smartphones à 200€ pour 100€ de plus. Et les concurrents chinois qui débarquent avec des prix cassés pour des performances plus que correctes n’aident pas non plus. 

Si le fabricant lance son flagship au prix par exemple de son Q7, soit 350€, et selon le reste de ses caractéristiques techniques à venir,  les capacités supposées de ce smartphone pourraient remettre LG sur de bons rails. Le smartphone pourrait être présenté officiellement en fin d’année. 

Source : MrGizmo

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Retroarch : Jouez à tous vos jeux rétros sur émulateur avec la Freebox Mini 4K

Aujourd’hui c’est une application de regroupement d’émulateurs de nombreuses consoles gratuit que nous testons pour vous sur la Freebox Mini 4K. Retroarch est disponible sur le playstore de la box ou bien directement en cliquant sur ce lien.

Retroarch propose tout un stock d’émulateurs à télécharger pour simuler une console rétro que vous avez eu, ou n’avez pas pu avoir à l’époque.  L’application permet ainsi de simuler le fonctionnement d’une Super NES comme d’une Playstation, en se limitant aux consoles sorties avant les années 2000 tout de même. 

Les émulateurs sont biens connus des amateurs de rétro-gaming puisqu’ils sont souvent le seul moyen (autre que d’avoir directement la console chez soi), de jouer à des jeux cultes comme les premiers Sonic, Mario ou dans le cas de ce test, à Final Fantasy VIII. 

Si nous ne pouvons pas vous expliquer directement comment télécharger une ROM, voici la marche à suivre pour installer et jouer à un jeu rétro via cette application. Une fois l’application téléchargée, il vous faudra d’abord trouver le firmware de la console que vous souhaitez simuler (pour une PSX, une référence se trouve ci dessous) et le télécharger sur votre pc. De même, il vous faut trouver une ROM correcte à utiliser qui corresponds au jeu.

Chaque jeux ou consoles différent(e)s nécessitant cette opération, il est conseillé de faire ses recherches en amont afin d’éviter de devoir répéter la manipulation à chaque fois.

Une fois la ou les ROM téléchargée(s), il vous faudra les copier sur une clé USB puis la brancher à la box. Rendez vous ensuite dans l’explorateur de fichier pour copier ces fichiers (uniquement les fichiers, pas les dossiers) dans le dossier réservé à Retroarch. Le firmware doit être copié dans le dossier "System" et les ROM doivent être copiées dans le dossier "Download". 

Une fois ces manipulations faites, vous pourrez lancer l’application sans problème. Petit hic, la langue par défaut est l’anglais, il vous faudra donc vous rendre le menu "User" et sélectionner votre langue de prédilection si vous n’êtes pas à l’aise avec la langue de Shakespeare

Une fois cette opération faite, vous pourrez vous lancer dans le concret et jouer. Pour cela, il vous faudra d’abord sélectionner votre émulateur (le "coeur" comme traduit maladroitement par l’application). Retroarch vous proposera de télécharger directement un émulateur en fonction de la console concernée. Vous y trouverez ainsi une liste triée par firme et par console. Attention, tous les émulateurs ne fonctionnent pas forcément et il vous faudra peut être en installer plusieurs pour trouver le bon. Pour notre test, nous avons choisi PCSX ReARMed, un émulateur playstation. 

Un grand catalogue de consoles à émuler s’ouvre ainsi à vous. 

Avant de complètement lancer le jeu, nous vous conseillons de bien configurer votre gamepad pour que les touches soient adaptées à votre expérience de jeu. Nous vous conseillons également de bien vérifier vos paramètres de sauvegarde et de créer un bouton de retour au menu (qui est désactivé par défaut) comme montré ci dessous.

Une fois que vous aurez cliqué sur la barre présentée, vous pourrez sélectionner la combinaison de touche qui vous corresponds le mieux. 

Une fois cette opération effectuée, vous pourrez jouer au jeu en cliquant sur "charger le contenu". Sélectionner le fichier de téléchargements pour lancer l’image de votre jeu, l’émulateur prendra le reste en main pour vous permettre de revivre les sensations des jeux d’antan. 

Retrouvez vos jeux iconiques comme à l’époque de leur sortie.

En somme, cette application vous permettra de rejouer à des jeux qui ont depuis longtemps disparus de la circulation en  version physique ou qui sont devenus si rares qu’ils en sont des objets de collection. Retroarch s’adresse cependant à un public connaissant initialement le fonctionnement des émulateurs et peut être compliquée à appréhender pour des néophytes. 

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Nous avons testé Mars, un plate-former SF de la Freebox Mini 4K

Aujourd’hui, nous testons pour vous un jeu gratuit disponible sur le play store de la Freebox Mini 4K : Mars: Mars.

Mars: Mars est un jeu de plate-forme développé par Pomelo Games qui vous met dans la peau d’un explorateur martien. Vous êtes en effet volontaire pour l’opération de MarsCorps visant à explorer la planète la plus proche de notre Terre. Petit hic cependant, cette expédition a été faite par une campagne de financement et il a fallu réduire le budget. Vous n’avez donc qu’une combinaison à propulseur bon marché et devez vous propulser de passerelles en passerelles pour recharger vos propulseurs. Il est disponible gratuitement sur le playstore ou via ce lien directement. 

Le jeu possède un gameplay simple à saisir, mais plus complexe à maîtriser. En effet, il repose sur le fait de vous projeter d’une plate-forme à une autre et vous devrez gérer votre atterrissage afin de n’arriver ni trop vite, ni trop au bord de la passerelle ciblée. Sans quoi votre combinaison s’autodétruira. 

Envolez vous vers la passerelle suivante mais attention ! Une erreur, une arrivée trop rapide et…

Vous aurez donc deux boutons à utiliser : les gâchettes de votre gamepad. Celle à gauche pour diriger votre astronaute amateur à gauche et celle à droite pour… aller à droite. Il vous faudra ensuite gérer la physique du  jeu, la gravité et la force de propulsion pour arriver sur la plate-forme que vous visez. Cependant attention : votre capacité en carburant est (très) limitée, impossible donc de redécoller si vous sentez que vous arrivez trop loin de votre point de chute prévu.

Surveillez votre jauge d’essence (en haute à gauche), votre direction, votre vitesse…

Le jeu propose un réel challenge, puisque des obstacles viendront se mettre sur votre route : arbres martiens qui vous font rebondir, trous noirs qui vous aspirent dans une autre dimension… Et votre réserve de carburant ne s’améliore pas. Il vous faudra donc évoluer dans les divers environnements proposés en gérant votre carburant, votre atterrissage et votre environnement.

Vous devrez également récolter des crédits martiens, monnaie qui vous permettra de faire venir de nouveaux explorateurs qui vous feront découvrir de nouveaux univers. Un petit hic cependant, le jeu vous lançant directement dans la peau de Max, l’astronaute de base, vous devrez comprendre cette mécanique seul. Il faut en fait cliquer sur le bouton A pour ouvrir le menu, puis sélectionner la case en haut à droite pour débloquer ces nouveaux personnages.

 Un menu pas forcément très clair au premier abord…Il a fallu être à la centième plate-forme pour saisir à quoi servait la case permettant d’accéder à un nouvel explorateur. 

Récupérer les pièces demande un niveau supérieur de précision, parfois des prises de risques (en frôlant un trou noir par exemple) et ajoute donc une difficulté au jeu. Mais vous serez récompensés par des nouveaux univers à explorer, au design assez simple mais élégant. 

De nouveaux univers sympathiques, plus vraiment martiens cependant… 

Car oui, si le design est assez minimaliste, on se laisse vite prendre par l’ambiance du jeu, calme et rêveuse, qui contraste avec la frustration de louper votre plate-forme pour la énième fois. 

Si le principe du jeu est sympathique et simple à comprendre, sa difficulté et son côté répétitif peut cependant perdre le joueur. En effet, avant d’obtenir les 50 crédits pour débloquer un nouveau personnage et donc un nouvel univers graphique, il faudra essuyer beaucoup d’échecs consécutifs. Ce problème peut cependant être réglé via l’achat direct des nouveaux personnages a 0.99€… Un choix qui appartient au joueur. 

59 explorateurs, à 0.99€ chacun.. C’est autant de monde à explorer certes, mais pour aucune différence de gameplay et juste un habillage esthétique…

Mis à part cette difficulté un peu poussive qui entraîne parfois une réelle frustration, Mars: Mars pourra occuper votre temps entre deux émissions de télé ou même un après midi si vous aimez le challenge et les jeux de plate-forme. Le jeu est assez adapté aux capacités de la Freebox mini 4K pour que vous ne soyez pas frustrés de latences ou de manque de réponse de la part de votre gamepad. A essayer pour les plus téméraires !  

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Apple serait en train de rendre Siri capable de vous assister hors-ligne

La dernière limite de l’assistant d’Apple qui le force à être connecté à Internet ou aux serveurs de la Pomme pourrait bientôt être abolie si l’on en croît un brevet déposé par la firme de Cupertino. 

Siri a déjà conquis beaucoup d’utilisateurs d’iOS et macOS à travers le globe et le géant américain serait en train de la rendre plus autonome en lui permettant de fonctionner hors connexion. 

C’était la grosse limitation de l’assistant qui, tout serviable qu’il était, devait être relié aux serveurs d’Apple et au Cloud pour fonctionner. Un brevet ayant été déposé en septembre 2017 par Apple mais rendu public seulement récemment révèle une possibilité d’action en local pour Siri. Deux fonctionnalités sont concernées : la compréhension du logiciel (donc transformer vos paroles en texte sur votre appareil) et la validation d’une action demandée, qui sont encore aujourd’hui gérées via le cloud, pourraient bientôt être prises en charge par l’appareil Apple lui même. 

L’assistant fera donc directement appel aux ressources présentes dans votre iPhone ou votre Mac pour effectuer ces tâches, sans passage par le cloud. Une façon pour Siri d’être plus rapide et il pourra ainsi être utilisé en toute circonstances, y compris dans une zone sans réseau. Cependant, ça ne serait pas la seule nouveauté possible. 

En effet, le brevet déposé et analysé par le média américain Apple Insider révèle également qu’Apple pourrait se servir du "machine learning", une catégorie de logiciel permettant à une application "d’apprendre" grâce aux données qu’on lui fournit. Siri pourrait donc adapter ses actions au contexte dans lequel la demande est faite et être ainsi plus à l’écoute de ses utilisateurs. 

Il serait également possible pour Siri de s’améliorer en comparant les réponses faites par les serveurs d’Apple lorsqu’il est connecté et les actions effectuées hors ligne. En donnant un score de pertinence à chacune de ces réponses à la même requête par exemple, cela renforcerait l’assistant via ce système d’apprentissage du logiciel, facilitant ainsi l’interprétation d’une requête précise.

Au vu des nombreux brevets que dépose Apple, on ne peut être sûr qu’il s’agisse là d’une future mise à  jour de l’assistant mais au vu des envies de la firme de Cupertino d’améliorer la qualité de ses services (sécurité, interface…), il est bien possible qu’on ait ici un aperçu du futur de Siri…

 Source : Apple Insider

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Des empreintes digitales créées informatiquement pourraient passer la sécurité de votre smartphone

Une équipe de chercheurs américains a mis au point une empreinte digitale "passe partout" pouvant berner les smartphones et leurs scanners biométriques. 

Les lecteurs d’empreintes digitales ne sont peut être pas si sûrs que ça: pas besoin de matériel sophistiqué digne d’un film d’espionnage pour les contourner mais d’une simulation informatique réalisée par des chercheurs américains.

Le "machine learning" a en effet permis, en se basant sur 6000 empreintes digitales réelles, de créer cette clé passe-partout biométrique. Les chercheurs ont lancé des algorithmes qui avaient pour but d’analyser les données fournies par cette base de données. A partir de ces analyses, les chercheurs ont pu créer plusieurs modèles d’empreintes capables de berner les dispositifs de sécurité des smartphones. 

L’étude américaine fait état de la réussite de ces empreintes lors d’un essai sur cinq en moyenne. 20% de réussite, cela peut paraître peu, mais il faut garder en tête que la base de données sur laquelle les chercheurs ont entraîné leur logiciel était limitée à 6000. De plus, chaque modèle a pu fonctionner sur différentes empreintes, montrant ainsi les limites des capteurs étudiés. 

En effet, les lecteurs d’empreintes digitales n’utilisent jamais l’entièreté de la surface du doigt pour reconnaître l’utilisateurs qui veut déverrouiller son appareil. La reconnaissance se fait sur différents points de l’empreinte, qui peuvent être reconnus quelque soit la position du doigt concerné. Ces caractéristiques choisies par les fabricants comme garanties de sécurité ont en fait représenté une faille que les chercheurs ont pu exploiter. 

Cette faille inhérente à un service de scan d’empreintes digitales ergonomique prouve que la sécurité de nos données biométriques est un nouvel enjeu important pour l’avenir de la sécurité. Car outre le fait de pouvoir déverrouiller les smartphones, les empreintes digitales sont aussi de plus en plus utilisées pour des applications de paiement, de gestion de comptes bancaires et d’autre services qui se doivent de garantir une certaine sécurité. Avec le développement du machine learning et la circulation de logiciels pouvant être détournés sur le web, le défi pour sécuriser durablement nos appareils semble être de taille.  

 Source : The Guardian

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