Dans le cadre des fêtes de fin d’année, Bouygues Télécom propose des promotions sur ses offres ADSL et fibre « Fit », « Must » et « Ultym ». Les tarifs promotionnels sont valables pendant 12 mois.
Promotions valables jusqu’au 27 janvier 2019
En avril dernier, Bouygues Télécom a annoncé trois nouvelles offres ADSL et fibre baptisées « Fit », « Must » et « Ultym ». À l’approche de Noël, celles-ci font l’objet de promotions. Elles s’affichent ainsi à 12,99, 17,99 et 24,99 euros par mois, au lieu de 22,99, 32,99 et 39,99 euros par mois. Le tarif promotionnel est appliqué les 12 premiers mois, avant le retour au tarif normal, et inclut la location de la box. Il est soumis à un engagement d’un an.
Petit rappel des contenus de ces offres
Bbox Fit : l’offre dual-play
Accès Internet en ADSL
Appels illimités vers les fixes de 110 pays
Bbox Must : l’offre triple-play jusqu’à 500 Mbit/s
Accès Internet en ADSL (jusqu’à 200 Mbit/s) ou fibre optique (jusqu’à 500 Mbit/s)
Appels illimités vers les fixes/mobiles en France et vers les fixes de 110 pays
Plus de 180 chaînes TV, 32 chaînes de replay et enregistreur TV 128 Go sur demande
Bein Sports en option pour 5 euros par mois pendant 12 mois
Bbox Ultym : l’offre triple-play avec fibre optique jusqu’à 1 Gbit/s, répétiteur Wi-Fi et décodeur 4K
Accès Internet en fibre optique (jusqu’à 1 Git/s en débit descendant et jusqu’à 250 Mbit/s en débit montant)
Wi-Fi rapide dans la maison grâce au répétiteur inclus
Appels illimités vers les fixes de 110 pays
Plus de 180 chaînes TV, 32 chaînes de replay, décodeur 4K inclus et enregistreur TV 128 Go inclus
1 bonus au choix : Start by Canal, bouquet TV Box Jeunesse, Playzer ou clé 4G
Bouquet presse avec LeKiosk : plus de 1 000 journaux et magazines en illimité
Bein Sports en option pour 5 euros par mois pendant 12 mois
Bouygues Telecom annonce s’allier avec Axione et Mirova afin de développer l’infrastructure FTTH en zone très dense.
L’opérateur a publié aujourd’hui un communiqué de presse révélant les tenants et aboutissants de ce modèle de partenariat "inédit en France". Bouygues semble en effet annoncer une collaboration qui va bien au delà d’un simple financement.
Bien que l’opérateur soit déjà en partenariat avec Axione sur les RIP, il s’agit là d’un nouveau modèle de partenariat. L’accord signé garantit à Bouygues Télécom le financement et le déploiement d’une infrastructure complémentaire de 3.4 millions de prises FTTH. Cependant, l’opérateur va également bénéficier du savoir faire d’Axione dans le gestion de ce type d’infrastructure et ainsi, d’ici fin 2021, accéder à l’entièreté de la zone très dense (ZTD).
Ce partenariat est également la base de la création par Axione et Mirova de CityFast, un opérateur qui se dédiera à la ZTD, auquel Bouygues Telecom cèdera ses infrastructures pré-existantes tout en assurant la conception et le déploiement de son futur réseau de fibre optique. Ainsi Bouygues Telecom aura accès au réseau de CityFast pour une durée de 30 ans. Son infrastructure sera également ouverte à tous les autres opérateurs et la maintenance du réseau ainsi que sa commercialisation et l’exploitation sera gérée par Axione.
Les partenaires ont tous déclaré être très heureux du partenariat en appuyant sur sa nature nouvelle. En effet, comme pour son déploiement sur la 5G confié à CellNex, Bouygues exprime sa volonté de confier à des spécialistes la gestion des diverses infrastructures de son réseau afin d’"d’accélérer sa couverture FTTH du territoire et d’assurer un excellent niveau de qualité de service".
Le service de paiement de Google, déjà lancé depuis 3 ans aux Etats Unis, vient d’arriver sur notre territoire mais ne semble pas être disponible pour tous…
Google pay (anciennement Android pay) est un service qui permet de faciliter les paiements en ligne, via des applications mais également en sans contact pour les smartphones compatibles avec la technologie NFC. Le service propose également de stocker en version dématérialisée les différentes cartes de fidélités, des billets de transports (avion, train…) …
Si le service de paiement par téléphone semble présenter beaucoup d’atouts, il lui reste une grosse faille vis à vis de son lancement en France. L’application ne prends en compte qu’un petit bouquet de banques et de services de paiement : Boon, Boursorama Banque, Tickets Restaurant Edenred, Lydia, N26 et Revolut. Aucune grosse banque n’est représentée et l’application n’est pas compatible avec les cartes Visa.
Si les transactions sont chiffrées et sécurisées, le sans-contact est limité à 30€ de paiement, au delà il faudra passer une sécurité supplémentaire. En choisissant entre votre empreinte digitale ou un mot de passe par exemple, l’application vous permettra ainsi de sécuriser vos paiements plus élevés.
Pour ceux qui souhaitaient utiliser ce nouveau service de paiement et de portefeuille dématérialisé, si vous n’êtes pas clients d’une des banques déjà citée plus haut, il faudra attendre que Google développe son service et étende ses partenariats avec votre banque.
Comme chaque semaine, nous vous proposons notre chronique « Ça s’est passé chez Free et dans les Télécoms … » Celle-ci vous propose de vous replonger dans les événements qui ont fait l’actualité de la semaine en cours, mais durant les années, les décennies, voire les siècles précédents. Ces événements concerneront Free bien sûr, mais plus largement les télécoms et le numérique. Souvenirs, souvenirs …
6 Décembre 2012: Free Mobile enrichit son forfait à 2€
Free avait déjà secoué la concurrence en proposant un forfait mobile à 2€ et il réitère l’opération en 2012 en proposant un forfait "4 fois moins cher" que la concurrence qui intègre 2h d’appels au lieu d’une précédemment, SMS illimités et augmente même son option data en réduisant son prix afin d’obtenir les MMS illimtés en France métropolitaine et 30 Mo de data pour 0.99€/mois en plus.
Un spot publicitaire concis pour cet enrichissement d’offre.
12 Décembre 2005 : CANALPLAY débarque sur Freebox TV
Free et Canal+ c’est un partenariat de longue date qui dure encore aujourd’hui et Iliad avait renforcé ce partenariat en lançant une offre sur le service de VOD du groupe plutôt alléchante. Ainsi, Free offrait un tarif de 100 000 premiers films visionnés sur la plate-forme à 1.99€.
5 Décembre 1992 : France Télécom modernise son logo
L’identité visuelle de France Télécom a longtemps été sobre et même un peu vieillotte. En 1992 l’opérateur historique décide de changer d’image et c’est un nouveau logo qui initiera la transition vers le logo que nous connaissons aujourd’hui.
Entre le logo de 1992 et son premier logo datant de 1975, il y’avait du chemin à faire pour l’opérateur.
12 Décembre 2004 : Lancement au Japon de la Playstation portable
Le 12 Décembre 2004 marque l’arrivée de Sony sur le marché des consoles portables. Avec son écran haute définition, sa fonctionnalité d’écoute de musique et sa capacité à naviguer sur internet la PSP a très vite acquis une image de console portable de grande qualité.
Qui dit console puissante dit forcément pub nerveuse pour Sony !
12 Décembre 2012: Lancement de la chaîne 6Ter
Fin 2012 vient s’ajouter au groupe M6 la petite 6Ter, chaîne généraliste de la TNT. Une chaîne qui a pour vocation d’être familiale (aucun programme interdit aux moins de 10 ans en première partie de soirée) et proposant une grande diversité de programmes, avec également des séries inédites comme Once Upon a Time ou la série Marvel Agents of Shield.
La "petite soeur" (six-ter) du groupe M6 était née !
OnePlus confirme sa volonté de s’intégrer au marché haut de gamme, notamment avec son futur smartphone 5G qui devrait arriver en mai prochain.
La 5G et Oneplus, c’est un projet de longue date, nous vous relations déjà que la firme avait publié le premier tweet via ce réseau, qu’elle avait déjà créé des laboratoires dédiés à la 5G en juin… Et c’est dans une interview à Cnet que la firme a confirmé son arrivée sur le marché des smartphones 5G l’année prochaine.
Un projet qui a plus vocation à prouver les capacités de la firme de Shenzhen en matière de nouvelle génération de réseau qu’à engranger des profits. Pete Lau, cofondateur de Oneplus a ainsi déclaré "Nous n’attendons pas de grosses ventes sur ce produit 5G" . Le projet serait ainsi une entrée sur le marché qui, toujours d’après lui, serait très prometteur à partir de 2020.
La compatibilité 5G a un coût et la firme ne s’en cache pas, ainsi, ce nouveau modèle pourrait coûter entre 200$ et 300$ de plus que leur dernier flagship : le Oneplus 6T. Un saut dans les tarifs plus haut de gamme pour Oneplus donc.
Comme des rumeurs le supposaient , le nouveau flagship serait le premier modèle en Europe à embarquer un capteur Snapdragon 855. Pete Lau a également confirmé qu’il s’agissait là de la création d’une nouvelle gamme de smartphone, se dissociant complètement d’un futur Oneplus 7.
Le sixième Orange Show Hello s’est tenu à Paris La Défense, devant un parterre de chefs d’entreprise, de décideurs, d’experts high-tech et de journalistes. On fait le point sur les choses annoncées.
La maison connectée Commençons par la partie de la conférence relative à la maison connectée. Au printemps 2019, grâce à une simple mise à jour logicielle et sans la nécessité d’un abonnement supplémentaire, Orange proposera un service nommé « Maison Connectée ».
Avec lui, les abonnés disposant d’une Livebox dernière génération auront la possibilité de contrôler à distance les équipements (ampoules Philips Hue ou thermostat Netatmo) et objets connectés (téléviseur, par exemple) de la maison, depuis une application installée sur leur smartphone.
Mais ce n’est pas tout puisque les abonnés Orange auront aussi accès au service « Maison Protégée ». Développé avec Groupama et proposé dans le cadre d’un abonnement, il offrira des services de télésurveillance et d’intervention.
L’assistant personnel Djingo
Poursuivons sur le thème de l’intelligence artificielle, avec l’annonce du nouvel assistant Djingo développé en étroite collaboration avec l’opérateur Deutsche Telekom.
L’assistant Djingo sera utilisable avec une enceinte connectée portant le même nom, laquelle proposera aussi l’assistant Alexa d’Amazon pour des fonctions étendues au-delà de l’écosystème d’Orange. Elle sera disponible pour les abonnés Orange au printemps 2019, au prix de 49 euros. Rien n’indique pour l’instant une accessibilité aux non-abonnés Orange, ni le prix qui leur serait facturé.
Mais l’assistant Djingo ne se limitera pas à une enceinte connectée façon Google Home Mini ou Amazon Alexa Dot. En effet, grâce à une mise à jour logicielle, il embarquera à bord du décodeur TV.
La 5G : nouveaux usages et alternative à la fibre optique
La 5G, c’est la prochaine évolution majeure dans le secteur de la téléphonie mobile, avec la promesse de débits jusqu’à dix fois plus élevés par rapport à la 4G et une latence réduite. Un tournant bienvenu à l’heure du streaming vidéo et où le jeu mobile se développe (on le voit avec les smartphones dédiés comme ceux de Razer, Nubia ou Xiaomi), mais également à l’heure où l’on parle de maison connectée, de voiture autonome et de télémédecine. La 5G se présente par ailleurs comme une alternative pour les zones peu ou pas desservies pour le très haut débit fixe.
Opérateurs comme constructeurs de smartphones mettent donc les bouchées doubles pour être fin prêts le moment venu. Et justement, Stéphane en a touché quelques mots à l’occasion du Show Hello. En utilisant les sites 4G déjà existants, la 5G sera ainsi déployée dans 17 villes en Europe en 2019. Les offres commerciales débarqueront en 2020, au moment où suffisamment de smartphones compatibles 5G seront disponibles.
"On n’a pas besoin de nouvelles box pour ça"
Comme un retour de bâton à destination de Xavier Niel, toujours prompt à venir égratigner la concurrence, Stéphane Richard y est allé de quelques piques avant de monter sur scène. Elles concernaient l’offre Freebox Delta annoncée comme particulièrement riche en équipements, services et contenus, mais aussi vivement critiquée pour son coût élevé par rapport au positionnement habituel du trublion des télécoms (mais pas par rapport à son contenu). C’est donc de bonne guerre.
Des collaborateurs interrogés sur le chemin étaient l’occasion, pour le PDG d’Orange, de rappeler que les services OCS, Netflix et Canal en Dolby Atmos et UHD faisaient partie de choses proposées depuis longtemps. "On n’a pas besoin de nouvelles box pour ça", selon lui. Il a aussi été rappelé qu’un disque dur 1 To ou une barre de son sont bien proposés, mais pas imposés.Tout comme l’offre maison connectée est gratuite et accessible avec l’ensemble des box.
Les hostilités avaient déjà lancées en amont de l’annonce de la Delta. À nos confrères de Franceinfo, Stéphane Richard disait déjà avoir "largement de quoi répondre".
L’Arcep fête l’anniversaire de sa plate-forme "J’alerte l’Arcep" en délivrant plusieurs chiffres concernant les quatre opérateurs français, et Free n’a pas à rougir de ses résultats.
La plate-forme permet de prévenir le régulateur des télécoms d’éventuels problèmes concernant le service de chaque opérateur et a ainsi permis de dégager différentes informations sur chacun d’entre eux. Ainsi, le nombre d’alertes enregistrées s’élève à 34 000 alertes sur une durée d’un an.
Le gendarme des télécoms a également publié un graphique présentant le nombre d’alertes moyens selon les opérateurs et, effectivement, Free est deuxième derrière SFR. L’Arcep précise cependant que ces chiffres ne sont pas représentatifs de la population ni de cas concrets.
Cependant l’Arcep s’est aussi alliée à Médiamétrie à qui il a été demandé d’effectuer différents sondages de satisfaction sur différents critères (SAV, service global…) en différenciant le FAI de l’opérateur de téléphonie mobile. Le tout dans le but de comparer les résultats de sa plate-forme avec les résultats du sondage. On apprends ainsi que d’après ce sondage, 50% des français ont rencontré un problème avec leur FAI pour 40% concernant l’abonnement mobile. Ce ne sont cependant pas les seuls chiffres proposés et sur ceux comparant les opérateurs, Free se défend plutôt bien.
Les sondés ont ainsi attribué des notes aux opérateurs selon certains critères. Par exemple, pour la qualité des services clients en tant que FAI et en général, Free est premier de la classe.
Des notes à remettre dans leur contexte cependant, car celles basées sur "J’alerte l’Arcep" sont "Bien en dessous de la moyenne".
C’est également sur la note globale de satisfaction que Free tire son épingle du jeu puisque la plate-forme J’alerte l’Arcep et le sondage Médiamétrie sont d’accord sur un point : Free est ex-aequo avec Orange tant en tant que FAI ou opérateur mobile.
Les données collectées par la plate-forme permettront ainsi à l’Arcep de prendre des mesures lors de la récurrence d’un problème, que cela soit fait en prévenant l’opérateur ou en utilisant des méthodes plus répressives.
Vivo, marque du groupe BBK récemment arrivée en France, vient de dévoiler le smartphone Nex Dual Display Edition. La fiche technique envoie du lourd. Il serait très intéressant de le voir arriver dans nos contrées.
Vivo Nex Dual Display Edition : deux écrans AMOLED et trois capteurs photo Avec OnePlus et Oppo, Vivo fait partie des trois marques du groupe BBK récemment arrivées en France. Elle vient de dévoiler son smartphone à double écran qui a fait l’objet de plusieurs fuites sur la Toile. Il répond au nom de Vivo Nex Dual Display Edition, offre deux écrans AMOLED et trois capteurs photo au dos.
L’écran principal offre une diagonale de 6,39 pouces avec une définition 2 340 x 1 080 pixels et un ratio 19,5/9. Au dos, on trouve un écran 5,49 pouces en 1 920 x 1 080 pixels au ratio 16/9. Pour la photo, on a trois capteurs : un 12 Mégapixels en principal, un 2 Mégapixels pour les infos de profondeur et un de type ToF (Time of Flight). L’intelligence artificielle sera de la partie pour la reconnaissance de scène ou peaufiner les portraits et selfies. Sans oublier la reconnaissance faciale, en alternative au lecteur d’empreintes digitales intégré à l’écran principal.
Le choix de deux écrans donne la possibilité d’avoir un écran principal sans bordure et sans encoche pour accueillir le capteur photo avant, tout en ayant la possibilité de réaliser des selfies avec le ou les capteurs photo au dos. La prévisualisation passe alors par l’écran secondaire au dos. Ce second écran permet par ailleurs d’utiliser un écran moins gourmand pour les tâches basiques (appels, SMS, réseaux sociaux), et donc d’améliorer l’autonomie.Tout comme il étend la zone tactile pour, par exemple, ajouter des zones d’interaction en jeu. À la charge des développeurs d’en tirer parti.
Du Snapdragon 845 avec 10 Go de RAM Sous le capot ensuite, on trouve la plate-forme Snapdragon 845 avec son processeur octa-core associé à 10 Go de mémoire vive. Le stockage est annoncé à 128 Go, sans possibilité d’extension par carte MicroSD. À bord également une batterie à la capacité 3 500 mAh, avec une charge passant par un bloc 22,5 Watts. En sortie de boîte, on trouvera une ROM Android 9.0 Pie avec l’interface Funtouch OS 4.5.
En France ? Seule la disponibilité chinoise, à domicile donc, a été évoquée pour l’instant. Les précommandes sont d’ores et déjà ouvertes, avec des livraisons prévues le 29 décembre. Sur le marché chinois, il faudra débourser 4 998 yuans, soit environ 640 euros. Comme indiqué plus haut, Vivo opère désormais en France. À voir donc si ce Nex Dual Display Edition s’y aventurera. Dans l’affirmative, et comme on en a l’habitude, le prix serait plus élevé.
Comme vous le savez, Orange organisera le 12 décembre, soit ce mercredi, son sixième Show Hello à Paris La Défense. Mais qu’en attendre au juste ?
Une nouvelle box : peu de chances
Le sixième Show Hello d’Orange se tiendra le 12 décembre, à Paris La Défense. Il interviendra peu de temps après l’annonce de la Freebox Delta, face à laquelle Stéphane Richard, à la tête d’Orange, disait avoir largement de quoi répondre.
Sachant qu’une nouvelle gamme d’offres Livebox et qu’un nouveau décodeur TV UHD ont été présentés en octobre dernier, il y a peu de chances de découvrir une nouvelle box ou un nouveau décodeur.
Accent sur les services et les contenus disponibles avec les offres Livebox
Et c’est qu’a d’ailleurs confirmé Stéphane Richard, dans une récente entrevue accordée à nos confrères de Franceinfo. Il prévoyait de mettre l’accent sur les services et les contenus, ce qui suggère des offres aux mêmes tarifs, mais plus complètes.
On s’attend du coup à des annonces autour du déploiement de la fibre optique en France et des débits proposés. Cela permettrait de contrecarrer les annonces faites du côté de Free autour des pointes à 10 Gbit/s promises en réception.
Et pourquoi pas un abonnement presse illimité comme avec LeKiosk accessible avec la Delta. On peut aussi imaginer plus de contenus vidéo premium, pour répondre à la box haut de gamme de Free qui comprend pour rappel les services Netflix et myCANAL. Même la Freebox One inclut Netflix.
Le nouveau Djingo ? Des nouvelles de la 5G ? Un bilan sur Orange Bank ?
On espère par ailleurs y découvrir le nouvel assistant Djingo pour interagir avec l’écosystème Orange ou piloter sa maison connectée (ampoules, climatisation, alarme), avec une intelligence artificielle plus étoffée.
Dans un autre registre, il y a de fortes chances que l’opérateur donne des nouvelles concernant les tests et le déploiement de la 5G en France. Les offres commerciales sont, pour rappel, attendues en 2020. Free étant silencieux à ce sujet, le champ est libre en termes de communication. On devrait enfin avoir des nouvelles concernant la banque mobile Orange Bank, lancée fin 2017, suite au rachat de Groupama Bank.
La course à la 5G se poursuit et c’est dorénavant Bouygues Telecom qui s’allie à un partenaire de taille pour développer la nouvelle génération de réseau mobile.
Le partenaire en question est Cellnex, un acteur majeur des équipements de télécommunications sans fil en Europe. L’entreprise compte ainsi construire et gérer, pour le compte de Bouygues Telecom, 88 sites en zone très dense ayant pour but de gérer le trafic 5G.
Cellnex et Bouygues n’en sont pas à leur première collaboration, puisque l’opérateur espagnol avait déjà racheté 4000 sites cellulaires au français avec pour but d’atteindre les 5000 sites en 2022.
Ce partenariat a pour but, pour l’opérateur français, d’implanter ses équipements dans ces "centres stratégiques", le tout pour un loyer que Bouygues paiera. La gestion, la construction et tout ce qui concerne l’installation de ces centres sera du ressort de Cellnex. D’après les partenaires, ces centres seront également ouverts à d’autres opérateurs mais limités à 30% de leur capacité.
C’est un investissement de taille pour Cellnex puisqu’il représente 250 millions d’euros sur 5 ans mais il espère dégager des bénéfices avant 2021. La France est, d’après Patrick Duprat, directeur général Cellnex France « en tête de nos priorités. Nous avons réalisé en France la plus forte croissance en 2018, et nous allons renouveler l’essai en 2019 » pour Cellnex.
Bouygues cherche donc à investir dans cette nouvelle génération de réseau de manière "pragmatique", son directeur financier a d’ailleurs annoncé que l’opérateur préférait rester "présent sur la partie télécoms et s’appuyer sur un spécialiste pour la partie passive des infrastructures".
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