Auteur : anthony

 

Les boutiques Play Store et App Store proposent des applications pour piloter l’interface TV de la Freebox depuis votre smartphone ou votre tablette tactile. Lesquelles fonctionnent déjà avec celle de la Delta ? Nous avons testé la chose.

Commandes vocales, télécommandes Freebox et télécommandes de téléviseur, mais aussi smartphones et tablettes

Il existe plusieurs façons de piloter l’interface TV de la Freebox Delta. On peut utiliser les commandes vocales grâce aux assistants Amazon Alexa ou Ok Freebox, mais aussi la télécommande Soft Touch et la télécommande tactile. Sans oublier la télécommande du téléviseur, grâce à la fonction HDMI CEC.

Et ce n’est pas tout puisqu’il existe des applications sur les stores de Google et Apple. De quoi permettre le pilotage depuis le smartphone ou la tablette tactile. Nous les avons testées pour voir celles qui fonctionnent avec la Freebox Delta.

Les applications sur Android

Commençons donc par les applications de télécommande Freebox disponibles sur Android. Nous avons mené les tests sur un smartphone Asus Zenfone Max Pro (M1) sous Android 8.1 Oreo. Notre sélection comporte 15 applications gratuites, dont celles de Télé Loisirs et Télé 7 Jours qui ne sont pas dédiées à la fonction télécommande, mais la proposent en option.

Parmi notre panel, trois applications ont fonctionné, que ce soit au niveau de l’établissement de la connexion ou des commandes (au-delà de la navigation dans les chaînes et du contrôle du volume) : FreeTelec, Freeteuse et Télé Loisirs.

FreeTelec et Freeteuse recherchent directement le Player au lancement, avant d’établir la connexion (sans code) et d’être pleinement opérationnelles. Dans le cas de Télé Loisirs, c’est un peu plus compliqué. Il faut en effet avoir un compte et être connecté pour accéder à la fonction télécommande.

 

Les applications iPhone/iPad

Poursuivons avec les applications iOS, que nous avons essayées sur un iPhone 6 tournant sous iOS 12.1.2. Nous avons installé 11 applications gratuites disponible sur l’App Store. Là encore, notre sélection inclut celles de Télé Loisirs et Télé 7 Jours, du fait de la section télécommande. 

Deux applications étaient opérationnelles : FreeTelec et Télé Loisirs. Comme sous Android, FreeTelec fonctionne au lancement, une fois le Player détecté. Pas besoin de code. Pareil pour Freeteuse. Dans le cas de Télé Loisirs, il y a une différence notable par rapport à Android. Pas besoin en effet d’avoir un compte et de se connecter pour accéder à la fonction télécommande.

 

Et pour celles qui ne fonctionnent pas ?

Pour une grande partie des applications, la connexion ne s’établit pas à l’heure où sont écrites ces lignes, soit parce que le Player de la Freebox Delta n’est pas détecté, soit parce le code de télécommande saisi (donnée accessible dans les paramètres du Player) n’est pas reconnu. Maintenant, la Freebox Delta est encore très récente. Il faudra très certainement attendre des mises à jour pour que la prise en charge soit effective.

Le smartphone Samsung Galaxy S10, qui doit être dévoilé le 20 février, est attendu avec un lecteur d’empreintes digitales dans l’écran. Ce dernier pourrait poser souci aux utilisateurs voulant installer une protection d’écran.

Samsung Galaxy S10 : un lecteur d’empreintes digitales ultrasonique dans l’écran

Dernièrement, Samsung a révélé la date de présentation officielle de son nouveau smartphone porte-drapeau. Le Galaxy S10 se dévoilera ainsi le 20 février, quelques jours en amont du MWC de Barcelone, lors d’un événement dédié. 

Parmi les nouveautés attendues, il y a un lecteur d’empreintes digitales dans l’écran. Pour une reconnaissance plus fiable et plus rapide, Samsung aurait d’ailleurs opté pour un modèle ultrasonique.

Des problèmes avec les protections d’écran

Et c’est justement ce lecteur d’empreintes digitales ultrasonique qui pourrait poser souci aux utilisateurs. Dans un tweet, l’accessoiriste Armadillotek indique avoir rencontré des problèmes avec les protections d’écran. Cela ne fonctionnerait pas. Nous ne savons pas en revanche avec quels matériaux la société a réalisé ses tests.

Même si les écrans tactiles sont de plus en plus résistants, ils restent sujets aux rayures. Reste donc à espérer que ce problème de compatibilité avec les produits tierces ne se confirme pas, car il est forcerait les utilisateurs à se tourner vers les protections officielles, autrement dit plus coûteuses. Les choses se préciseront lorsque le Galaxy S10 arrivera sur les étals et entre les mains des utilisateurs et testeurs.

 

Après avoir évoqué travailler sur des smartphones pliables et enroulables, LG s’attaquerait maintenant au marché du double écran, mais en option. 

Le média américain Cnet a expliqué qu’une source proche du projet aurait évoqué un projet de ce type qui serait présenté lors du prochain Mobile World Congress à Barcelone. Cette source évoque ainsi un smartphone auquel pourrait être rattaché un deuxième écran sous une forme semblable à "une coque dotée d’un écran". Un projet intéressant à l’heure où les premiers smartphones double écrans émergent avec par exemple Yotaphone, le fabricant russe ou bien le dernier Nubia. 

Si LG était un petit peu en retrait sur le marché des smartphones, ces projets pourraient redorer son image. Il semblerait que la marque s’oriente de plus en plus vers l’innovation technologique que l’invasion du marché avec différentes gammes, comme le font certains concurrents chinois.

On manque encore d’information concernant ce nouveau smartphone, mais il serait présenté lors du futur MWC qui aura lieu le 25 février à Barcelone.  

 

Android Q, la prochaine évolution majeure du système d’exploitation mobile de Google, se dévoile en images. On a également des premières informations sur les nouveautés et améliorations qu’elle est susceptible d’apporter.

Android Q : présentation en mai 2019

Si Google respecte son calendrier habituel, on devrait avoir un premier aperçu de la prochaine évolution majeure de son système d’exploitation mobile en mai prochain, lors de l’événement Google I/O 2019.

Baptisée Android Q, celle-ci arrivera dans sa version finalisée après quelques mois de tests, en commençant par les smartphones maison, à savoir les Pixels. Seront ensuite servis les modèles des partenaires.

Quelles nouveautés et améliorations ?

Mais, d’ailleurs, quelles nouveautés et améliorations faut-il attendre avec Android Q. C’est en allant sur le forum XDA Developer que l’on peut avoir un premier aperçu, captures d’écran à l’appui.

 

 

 

Les équipes de Google plancheraient ainsi sur un thème sombre qui ne serait plus limité au panneau des notifications et au lanceur d’applications. Son activation pourra s’étendre à de nouvelles zones. On pense notamment aux paramètres et bien évidemment aux applications maison et tierces n’ayant pas un mode sombre. Twitter en possède un, par exemple. Ce thème sombre serait activable manuellement, mais aussi automatiquement en fonction sur l’heure de la journée. En plus d’être pratique pour l’usage le soir, il permet de réduire la consommation énergétique dans le cas d’un écran OLED.

Autre aspect étudié : les autorisations données aux applications. En plus de pouvoir bloquer ou autoriser l’accès au capteur photo, au microphone ou au carnet d’adresses, il sera possible de gérer le droit de fonctionner ou non en arrière-plan.

Google travaillerait enfin sur une technologie équivalente à DeX de chez Samsung, qui permet d’utiliser son smartphone comme une unité centrale d’ordinateur. Cela rappelle également la technologie Continuum de Microsoft sur les smartphones Windows 10.

Source : XDA Developers via The Verge

Motorola semble vouloir titiller la nostalgie des utilisateurs avec une édition revisitée de son modèle bien connu : le Razr. Cette nouvelle édition serait dotée d’un écran pliable et vendue à 1500$.

Le Razr a été un gros succès de Motorola à l’époque des mobiles "à clapet", puisqu’il s’était vendu à 130 millions d’exemplaires malgré les flagships de Nokia et Blackberry à l’époque qui lui ont fait de l’ombre. D’après des sources du Wall Street Journal, le fabricant américain voudrait ranimer la flamme de ce succès en sortant en février un nouveau modèle revu au goût du jour. 

Un smartphone qui serait donc doté d’un écran pliable, vendu à 1500$ et dont, toujours d’après les sources du journal américain, 200 000 exemplaires seraient déjà prêts à la distribution. Motorola rejoint donc la course à l’écran pliable de cette année avec un projet assez curieux et atypique qui arriverait en février. 

Face aux géants Samsung, Huawei, Oppo, qui vont se lancer dans le pliable, on peine à voir en quoi le fabricant américain, un peu tombé en désuétude, pourrait se démarquer. Ce ne serait pas par son prix, qui reste assez élevé, peut être par une autre technologie ou un autre angle d’approche pour la technologie de l’écran pliable, cela reste à voir… 

 

Comme d’autres constructeurs, Xiaomi a commencé à proposer le lecteur d’empreintes digitales directement dans d’écran de ses smartphones. Maintenant, le Chinois entend pousser la technologie encore plus loin, afin de la rendre plus pratique.

Le lecteur d’empreintes digitales sous l’écran

Depuis peu, le lecteur d’empreintes digitales commence à s’installer directement sous l’écran, après avoir été placé en dessous de l’écran (dans le menton du smartphone), à l’arrière (non loin du ou des capteurs photo dorsaux) ou sur la tranche (dans le bouton de mise sous tension).

Si les tests montrent une légère baisse concernant la vitesse de reconnaissance, et donc de déverrouillage, le capteur profite d’une meilleure protection contre les rayures, car protégé par la vitre de protection. Citons également le gain d’ordre esthétique, le lecteur se retrouvant caché.

Encore plus pratique avec Xiaomi

Ayant déjà commencé à intégrer la fonctionnalité, avec le Mi 8 Pro, Xiaomi entend pousser la technologie plus loin, pour la rendre plus pratique. En effet, à l’heure actuelle, il faut poser le doigt à un endroit bien précis, indiqué par l’interface, pour pouvoir procéder au déverrouillage. Lin Bin, l’un des co-fondateurs de Xiaomi, a posté une vidéo sur Weibo où on l’on voit un prototype et une manipulation suggérant la possibilité de poser le doigt sur une surface plus grande, et pourquoi pas n’importe où. 

À quand l’intégration sur un modèle commercial ?

Comme on s’en doute, le développement d’une telle technologie et son intégration auront forcément des répercussions sur les prix. Dans un premier temps, il faut ainsi s’attendre à la voir cantonnée aux smartphones haut de gamme. Quant aux premiers modèles, ils ne devraient pas arriver dans les semaines ou mois qui suivent. Peut-être en fin d’année, avec le successeur du Mi 8 Pro ? 

L’abonnement Netflix inclus dans les offres Freebox Delta et One peut désormais être géré depuis votre espace abonné. 

Si vous faites partie de ceux qui ont commandé la Freebox Delta ou la One, vous savez que vous possédez dorénavant un forfait Essentiel, inclus dans l’abonnement. Univers Freebox avait d’ailleurs réalisé un tutoriel pour aider les abonnés à activer cet abonnement et comment le gérer. 

Dans ce même tuto nous vous avions expliqué qu’il n’était pour l’instant possible de changer son offre que depuis le site de Netflix sur un autre terminal que votre Freebox Delta. Ce n’est désormais plus le cas puisqu’en vous connectant à votre espace abonné, vous pourrez directement changer votre offre Netflix (passer en résolution supérieure par exemple) en même temps que tous les autres paramètres. 

En effet l’onglet Netflix se trouve désormais tout en haut de votre espace Télévision et en cliquant dessus vous aurez toutes les infos concernant cet abonnement. Vous pourrez également modifier votre abonnement selon vos besoins, si vous souhaitez avoir la possibilité de regarder en plusieurs écrans en simultané ou une meilleure définition…

Il vous est également possible d’y retrouver les informations concernant votre compte comme le mot de passe ou votre identifiant Netflix. Si lors de l’activation de l’abonnement, vous n’aviez pas pu le mener à terme, il vous sera également proposé de reprendre l’activation facilement. 

C’est une des premières fonctionnalités de l’espace abonné que Free avait promis lors de la sortie de la nouvelle Freebox qui vient d’apparaître. De nouvelles fonctionnalités devraient bientôt apparaître comme les options multi-tv et la boutique d’accessoires de la Freebox Delta. 

 

Redmi, la nouvelle marque de Xiaomi, a présenté le Note 7, son premier smartphone. Une variante estampillée Pro est dans les cartons.

Le Redmi Note 7 : premier smartphone d’une nouvelle ère

La semaine dernière, Xiaomi a officialisé l’émancipation de Redmi, qui devient une marque, après avoir été une gamme de smartphones réputée pour ses prix attractifs.

L’occasion d’annoncer le Redmi Note 7, premier smartphone de cette nouvelle ère. La fiche technique mentionne notamment un chipset Snapdragon 660, un écran 6,3 pouces Full HD+ et une batterie 4 000 mAh rechargeable en filaire avec un bloc 10 Watts ou un bloc 18 Watts optionnel. Pour la photo, on trouve deux capteurs 48 + 5 Mégapixels au dos et un capteur 13 Mégapixels à l’avant.

Et bientôt une variante Pro

Comme l’a indiqué Redmi, une variante Pro est dans les tuyaux. Elle sera synonyme d’un capteur 48 Mégapixels signé Sony (IMX 586), à la place du capteur Samsung (Bright GM1). On l’attend aussi avec le chipset Snapdragon 675 au lieu du Snapdragon 660 et peut-être 128 Go de stockage, sachant que la variante classique ne propose que 32 ou 64 Go.

Sans oublier d’évoquer le modèle Snapdragon 855

Si Redmi était synonyme de milieu de gamme en tant que gamme chez Xiaomi, les ambitions sont tout autres en tant que marque à part entière. Aussi, le président et fondateur de Xiaomi Lei Jun a fait savoir sur le réseau social Weibo qu’un smartphone Snapdragon 855 était dans les tuyaux et arrivera prochainement chez Redmi. À voir ensuite s’il profitera ou non du modem 5G que Qualcomm propose en option avec sa plate-forme mobile.

Si le Xiaomi Mi Mix 3 a déjà été annoncé en Europe, sa version 5G quant à elle devait être lancée un peu plus tard en ce début d’année. De nouvelles spéculations font état d’un lancement à la fin du mois de février. 

La version 4G arrivera demain sur le Mi Store des Champs Elysées pour 500€ puis 529€ après deux semaines de commercialisation, mais c’est aujourd’hui une rumeur sur sa version compatible 5G qui nous intéresse.

Une rumeur relayée par le média Gizchina fait état d’un lancement le 24 février, soit la veille du salon MWC de Barcelone. Les rumeurs font état d’un événement privé pour lancer ce modèle équipé d’un SoC Snapdragon 855 et donc du modem X50 5G. 

Une arrivée très rapide d’un smartphone 5G en France pour la marque chinoise,qui pourrait mettre son concurrent OnePus dans l’embarras puisque le fabricant avait annoncé souhaiter être le premier à lancer un smartphone 5G dans le monde. 

 

Alors que sa dernière apparition en public datait de 2015, le PDG de Huawei a décidé de s’exprimer sur les soupçons d’espionnage de sa compagnie pour le compte du gouvernement chinois. 

Huawei est depuis plusieurs mois surveillé par les Etats-Unis qui soupçonnent la firme d’espionnage. Nous vous relations d’ailleurs que les Etats-Unis avaient enjoint ses alliés à couper les liens avec l’équipementier télécom. D’autres événements avaient marqué cette surveillance, comme l’arrestation de la fille du PDG qui occupait le poste de directrice financière au sein de la firme, suivi d’une demande d’extradition par la Maison Blanche.

Face à ces accusations, Ren Zhengfei, fondateur de la marque, à décidé de s’exprimer concernant ce problème dans une rare apparition en public. Une occasion pour lui de démentir ces accusations face aux journalistes. 

" J’aime mon pays, je soutiens le parti communiste mais je ne ferais rien pour nuire au monde."

"Je ne vois pas de lien entre mes convictions personnelles et les affaires de Huawei."

Le businessman chinois a également affirmé à Shenzhen devant les journalistes que jamais Pékin ne l’avait contacté dans un but d’espionnage et qu’ils ne livreraient jamais d’informations sensibles au gouvernement. Une affirmation qu’une porte-parole du ministère des affaires étrangères a appuyé en demandant l’arrêt des accusations envers le gouvernement chinois. Le tout pour "une saine coopération des deux côtés" . 

Un appel au calme donc et une volonté de mettre ces accusations derrière eux pour Pékin et Huawei. Reste à voir sir le gouvernement américain acceptera ces démentis ou continuera sa campagne contre le fabricant. 

Source : The Telegraph